par Initiator » Mar 17 Jan 2023 15:36
Souvent le candaulisme flirte avec le fantasme de voir sa femme écarter les cuisses « comme une putain » pour le premier venu.
Bien sûr, il n’est jamais question de véritable prostitution parce que là, il s’agit d’un tout autre monde bien sinistre et bien sordide. Le mari candau n’est pas un mac!
Mais la frontière est parfois ténue. Pas besoin de faire le trottoir ou de s’exposer en vitrine pour s’amuser à « jouer la pute ».
Mes compagnes successives ont toutes joué au moins le jeu de sortir en vêtements sexy pour aller draguer. Mais là, on reste encore dans le domaine de la « salope ».
Par contre, à partir du moment où leurs amants leur font des petits cadeaux (une lingerie, un bijou, un bon repas au resto, un week-end au bord de la mer) les choses deviennent plus ambigües.
Avec l’une ou l’autre, la ligne rouge a été franchie à certaines occasions.
Un jour, par exemple, j’étais de sortie dans un bar à cocktails avec Claire. qui était en assez jolie tenue. Elle s’est fait draguer par un mec qui devait avoir 20 ans de plus qu’elle et qui semblait plein aux as à en juger par sa dégaine. Voyant qu’elle se laissait baratiner, j’ai pris un peu de distance pour observer avec délice ces moments merveilleux: le premier verre offert, son regard qui devient plus brillant, le deuxième verre, ses rires qui deviennent un peu gourde, son corps qui bouge sur son tabouret, les premiers attouchements furtifs, puis la main de l’inconnu sur sa cuisse et enfin l’addition réglée en carte Visa Gold et le départ avec un petit regard complice dans ma direction tandis qu’elle se laisse aider pour enfiler son manteau.
Je sais ce qui va se passer et je l’attendrai à la maison pour qu’elle me raconte tout et que je la re-baise ensuite furieusement.
J’apprendrai après que les choses ne se sont pas déroulées comme d’habitude.
Ici trajet en Porsche vers un hôtel 5 étoiles. Sushis et vin blanc avant de monter dans une suite. Là après les préliminaires d’usage, elle se retrouve à 4 pattes sur le lit, robe relevée tandis qu’il lui prend la chatte avec un engin de taille moyenne ni terriblement dur ni terriblement habile. Et là, pendant qu’il la pilonne et qu’elle peine à trouver le plaisir, elle se demande bien ce qu’elle fout là. Tout en simulant un minimum pour donner l’illusion à son partenaire, elle prend conscience de l’image qu’elle doit donner, , exposant son gros cul dans cette chambre feutrée et elle commence à se voir en « pute de luxe ». Puis l’idée qu’elle doit lui en « donner pour son argent » la fait basculer dans un plaisir cérébral d’endosser un rôle d’escort qui doit satisfaire le client. Et là, tout à coup, un immense orgasme la prend par surprise déclenchant aussi la jouissance de l’homme qui se retire d’elle et enlève sa capote pour lui jouir sur les fesses. Elle reste un moment sonnée par sa propre jouissance, aussi violente qu’inattendue, étalée sur le grand lit, encore souillée par la semence de l’homme et des idées plus qu’ambigües lui passent dans la tête.
Lorsqu’elle se relève pour aller à la salle de bains, elle l’entend appeler la réception pour commander une bouteille de champagne. Les images se bousculent dans sa tête, en sortant, elle s’attend presque à trouver quelques billets sur sa table de chevet. Mais non, il a tout de même plus de classe que ça. Ils boivent une coupe de champagne et il lui explique qu’il es marié, qu’il vit à Paris mais vient dans la région une fois par mois pour son boulot et qu’il serait ravi de la revoir. Il demande à Claire si elle peut se rendre disponible et que lui, de son côté aimerait « la gâter ».
À ce moment-là, le rapport devient sans équivoque pour Claire qui lui répond « pourquoi pas, mais je dois d’abord en parler à mon mari ».
Après le champagne, il veut bien sûr lui prendre le cul et elle a le réflexe génial de lui dire: la prochaine fois, histoire de faire monter les enchères. Avant de le quitter pour me rejoindre, elle le remerciera tout de même du champagne et de l’hôtel en le suçant comme elle sait si bien le faire.
À partir de ce moment là, ma femme a joué « escort » une fois par mois pendant plus d’un an. Cela s’est terminé en apothéose par un week-end au Touquet pendant lequel, test à l’appui, il l’a convaincue de se laisser baiser sans capote, ce qu’il a fait copieusement pendant ce séjour où ils ont très peu vu la mer. Puis son cadeau d’adieu fut à la hauteur du reste: une mini cabriolet flambant neuve!
Si ça ce n’est pas de la prostitution de haut vol?
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Initiator le Mar 17 Jan 2023 17:49, édité 1 fois.