par tendreloup » Mar 27 Aoû 2013 17:38
Avec mon épouse, nous avons évolués lentement dans le plaisir sexuel et maintenant le libertinage. Cela fait 30 ans que nous vivons ensemble, c'était ma première femme et j'étais son premier homme... Nos débuts nous semblent maintenant très maladroits mais nous éprouvions du plaisir et cela nous semblait le summum de l'érotisme, il m'a fallu des mois pour qu'elle accepte que je lui lèche le sexe, des années pour qu'elle suce le mien... Puis avec le temps pour éviter l'usure nous avons fait l'amour dans notre jardin, puis dans la forêt proche (sans risque d'être surpris cette forêt est très peu fréquentée) puis quelques caresses intimes dans les dunes, puis nous avons tenté le naturisme. A 2 minutes de chez nous il y a un grand lac ou seuls quelques pêcheurs viennent de temps à autre. C'est notre promenade presque quotidienne.
Petit à petit, nous avons transformé cette promenade en moment érotique, Irène enfile une mini jupe et un chemisier ample sous un long gilet de laine Qu'elle enlève une fois arrivé au bord du lac puis marchant devant moi elle s'exhibe, se penchant puis déboutonnant son chemisier ! Jusqu'à ce que je la rejoigne au bord de l'eau et l'embrasse en la caressant partout. Lorsque l'excitation est à son comble, elle fuit et nous nous réajustons pour rentrer et faire l'amour intensément.
Après une de nos escapades, alors que nous faisions l'amour, je dis pour la taquiner : « Tu as vu le pêcheur dans sa barque pendant que tu t'exhibais? »
« Non, mais j'espère qu'il s'est bien régalé ! »
« Oh ! J'en suis sur, il ne regardait plus sa ligne et je pensais que ses yeux allaient tomber »
Elle me répondit : « tu aurais du me le dire, je me serais plus tourner vers lui... J'espère que tu n'es pas jaloux ? »
Notre joute amoureuse devint torride et après un long moment de plaisir nous étions tous les deux fatigués et essoufflés. « C'est vrai qu'il y avait une barque ? » Je lui répondis que non, que je la taquinais. Puis plus sérieusement elle dit que cela l'aurait certainement excité mais aussi effrayé.
Nous avons discuté pour la première fois de l'éventualité d'être observés dans nos exhibitions. Je n'osais pas lui dire que cela me donnait l'idée de la voir caressée par un inconnu. Après cette conversation, notre désir était revenu et nous avons recommencé comme au début de notre relation mais avec plus de fougue et de plaisir.
Quelques jours plus tard, alors que nous étions au bord du lac, elle dos à l'eau je la caressais en remontant largement sa jupe, je lui dit : « il y a une barque qui approche », elle se contenta de m'embrasser sans chercher à fuir puis après quelques minutes d'un baiser profond je lui dis : « il approche du bord ! » elle se recula légèrement et en continuant de me caresser le sexe à travers mon pantalon elle dit : « ça a l'air de t'exciter un max qu'un homme m'approche, tu n'as pas peur qu'il ait envi de me toucher ? » Je reçu une vrai décharge et je regrettais que le lac soit vide. Je lui avouais qu'il n'y avait ni barque ni voyeur et elle rit en disant qu'elle s'en doutait. Elle se réajusta et enfila son gilet. En rentrant nous évoquions l'éventualité d'un voyeur s'approchant et j'avouais l'excitation que cela me provoquais ne sachant pas si j'étais capable d'assumer. Elle répondit qu'elle non plus ne savait pas si elle supporterait mais qu'imaginer la situation ajoutait une très forte excitation. A plusieurs reprises, nous avons évoqué un partenaire imaginaire et cela à fait grimper notre plaisir au maximum tout en reconnaissant chacun qu'entre le fantasme et la réalité il y avait un monde.
De temps à autre, lors de nos promenade je l'avertissait d'un pêcheur nous regardant et s'approchant, bien sur elle ne le croyait pas mais cela suffisait à créer un climat plus érotique que d'ordinaire.
Un soir d'été, nous nous promenions au bord de l'eau quand il me sembla apercevoir une barque derrière nous, je pris Irène dans mes bras et commençais à l'embrasser profondément guettant la barque du coin de l'oeil, elle avait retiré son gilet mais nous n'avions pas commencé notre séance d'exhibition. Il y avait bien une barque, une excitation mêlée de doute et de crainte me pris, Je voyais distinctement l'homme qui pêchait, il était à 50 mètres du bord et dérivait lentement. Il regardait sa ligne mais jetait des coup d'oeil vers nous. Je dis à Irène : « il y a une barque sur le lac » « hummm » me répondit-elle « Je sens sa rame dans ton pantalon et elle est bien dure » je caresse son dos puis ses fesses et je commence à relever sa jupe et lui caressant les fesses. Le pêcheur n'a d'yeux que pour nous. Sa barque passe lentement derrière nous et alors qu'elle commence à s'éloigner, j'entraîne Irène vers l'herbe qui borde la bande de sable, je mets son grand gilet par terre et nous nous asseyons à ce moment elle voit la barque à deux cents mètres de nous qui s'éloigne. Elle se blottit contre moi et m'embrasse avec une passion folle.
Je recommence à la caresser et j'évoque son exhibition, comment il a regardé ses fesses tout en lui caressant son sexe trempé. Elle sort ma bitte pour me rendre la pareille et nous nous caressons comme des fous. A ce moment je constate que la barque remonte le très léger courant qui l'avait entraîné loin de nous, j'écarte les cuisse de ma belle pour enfoncer plusieurs doigts dans sa chatte, la barque est beaucoup plus proche du rivage, j'écarte les pans du chemisier pour que ses seins soient bien visible et lui dit que notre voyeur revient, elle garde la tête tournée vers moi et se laisse faire. Puis elle se laisse allé en arrière jusqu'à s'allonger sur le dos. Toujours les seins à l'air et les cuisses bien écartées, la barque approche je suis dans un état d'excitation maximum, elle gémit doucement sous mes caresses. Je n'ose regarder vers le large sentant la présence toute proche. Puis je tourne la tête et je vois l'homme à moins de 3 mètres, un sourire crispé et un clin d'oeil et je décris la scène à ma douce. Elle est trempée et ouverte comme jamais. Un léger raclement se fait entendre, elle se redresse et voit l'homme à un pas de la rive elle se laisse retombée en arrière en disant « non, partons, il est là ! » je l'embrasse et elle se défend très mollement.
Je continue à la caresser et à l'embrasser sentant cette présence si proche. Elle se contente de dire : « tu es fou, arrête, partons... » mais sans réelle conviction, j'ai les sens aux aguets, j'entends le crissement du sable sous des pas, je sais qu'il s'approche. Une angoisse me noue la poitrine mais l'excitation est plus forte. Je le vois s'asseoir près de nous et regarder mes gestes et le corps presque dénudé de mon épouse. Mince, la quarantaine il n'est ni beau ni laid, mais sa présence nous électrise. Le temps est suspendu, nous ne disons plus rien et je la caresse partout, elle tient mon sexe dans sa main n'exerçant plus que des pressions régulière. Elle a fermé les yeux et son corps vibre sous mes caresses. Un mouvement attire mon regard vers l'homme, il a ouvert son pantalon et a sorti son sexe en érection qu'il masturbe lentement. Notre regard se croise et je met ma tête dans le cou de ma chérie pour lui murmurer ce que j'ai vu, qu'il se masturbe en le regardant et qu'il est assis à moins de 50 cm de nous ; elle se contente de gémir puis après un soubresaut elle me murmure à l'oreille : « il me touche » je tourne la tête pour vois sa main qui monte et descend le long de la hanche d'Irène... Mon sexe fait des bonds dans la main d'Irène et je serre les couilles pour ne pas jouir.
La main augmente son champs d'investigation allant de la base de la poitrine à la cuisse, Irène ne bouge plus, elle a toujours les yeux fermés et ne resserre pas les jambes, elle semble offerte. La main passe de plus en plus près de l'aine et je retire la mienne du sexe laissant la place libre, la main étrangère ralentie et s'approche de plus en plus de son sexe, de l'autre bras elle me serre par le cou et murmure : « non pas ma chatte » je ne répond pas et j'avance mes doigts vers cette chatte dégoulinante pour faire barrage mais il est trop tard mes doigts rencontrent d'autres doigts, je presse légèrement pour que ces doigts s'enfoncent un peu plus. Irène gémit en faisant non de la tête puis tend brutalement les jambe en vibrant. Elle jouit très fort très longtemps. L'homme poursuit sa caresse et je m'apprête à repousser cette main car après une jouissance Irène ne supporte même plus un léger effleurement mais elle reste les jambes écartées sans chercher à fuir et je regarde cette mains qui glisse le long de la fente avec les doigts qui pénètrent cette chatte complètement ouverte. L'homme la caresse de la main gauche continuant son va et vient sur son sexe de la main droite. Irène recommence à me masturber doucement serrant fort mon sexe. Elle a l'autre bras le long du corps, Je prends sa main et la dirige vers le sexe de l'homme docilement elle suit le mouvement et se retrouve avec une bitte dans chaque main. Les caresses de l'homme se font plus fortes et de la mains devenue libre il caresse les seins de ma belle. Il s'est légèrement tourné sur le coté et avance son bassin vers la hanches d'Irène. A chaque aller retour le bout du sexe touche sa peau. Je prends la tête de ma chérie à deux mains et je l'embrasse comme un fou, puis je remonte légèrement pour que mon sexe vienne à hauteur de sa bouche. Elle m'engloutit profondément et je vois la bitte de l'homme glisser sur la hanche d'Irène à quelques centimètres de sa chatte, mon plaisir est divin et je regarde cette scène comme si je devais m'en souvenir toute ma vie. L'homme se redresse sur son coude son sexe frotte celui d'Irène en venant du coté écartant à chaque coup de rein les lèvres de sa chatte puis il passe ses jambes au dessus de la jambe gauche d'Irène et continue de frotter sa bitte mais cette fois le long de sa chatte. Il serait temps de tout arrêter mais le spectacle me rend fou d'excitation et Irène reste la bouche collée à mon sexe. Un soupir et une pression de sa bouche me font comprendre qu'il l'a pénétrée je ne vois plus les deux ventres sont collés mais les secousses ne laissent aucun doute. Il baisse ma femme. Mon sperme gicle dans la bouche d'Irène qui ne se recule pas et avale tout, c'est la première fois que je jouis dans sa bouche. L'homme se redresse et referme son pantalon, il marmonne quelque chose comme « merci beaucoup c'est super » et se dirige vers sa barque fuyant comme un voleur. Je caresse ma douce lentement hésitant à lui toucher le sexe puis je pose ma main sur sa chatte. Il a jouit dans son ventre, le sperme déborde je l'étale sur les lèvres du sexe de ma chérie, mon sexe est à nouveau en érection, je pénètre Irène d'une poussée puis je la secoue comme une poupée de violents coups de rein Je sens l'éjaculation venir et je m'affale sur elle comme foudroyé par le plaisir. Us remettons de l'ordre dans nos vêtements et repartons doucement vers la maison. Un silence pèse entre nous, soudain elle dit on est fou, il n'a même pas mis de préservatif ! C'est vrai je n'y ai même pas pensé. Nous avons souvent évoqué cette aventure créant à chaque fois une excitation terrible, même si pendant deux mois nus sommes restés inquiets dans l'attente de faire un test HIV qui fort heureusement était négatif. A ce moment nous ignorions que c'était le début d'un dévergondage à tendance caudaliste