Premier abattage

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.

Premier abattage

Messagepar MissBoobs » Lun 30 Oct 2023 22:57

Après les différents gang-bangs auxquels elle a participé, notamment chez Christian, un ami routier lyonnais, je me suis résolu à lui faire essayer l’abattage…Inquiet au départ de ses réactions, j’ai été rapidement rassuré par le coeur qu’elle a mis à l’ouvrage…Son passé, son éducation et son milieu ne la prédisposaient pas à tenter ce genre d’expérience et ma crainte de gâcher tout le travail de dressage antérieur était vraiment grande. Finalement, l’anonymat total dont elle a bénéficié lui a permis de profiter pleinement de cette expérience.

Grâce à Christian, pour débuter dans cette singulière activité, j’ai été mis en contact avec un chef de chantier de l’entreprise VXYZ, oeuvrant sur l’aménagement du noeud autoroutier de l’A6 et l'A89 au Nord de Lyon.

J’ai rencontré Manuel, c’est ainsi qu’il s’appelait, dans un bar de la Tour de Salvagny. La cinquantaine bedonnante, habillé d’un marcel et d’un short, employant le langage fleuri des routiers lyonnais, profession qu’il avait exercé, il m’a dit intéressé par la proposition que Christian lui avait transmise. Ses équipes comportaient chacune une vingtaine de personnes, majoritairement d’origine africaine ou maghrébine.

L’idée fût alors d’offrir Nyssia à ses équipes, à tour de rôle, pour les récompenser d’un labeur éprouvant dans des conditions météorologiques souvent difficiles, éloignés qu’ils sont de leur famille et de leur pays d’origine. Rendez vous fût ainsi pris pour une soirée de semaine, après la fermeture du chantier dans les bâtiments de chantier, style Algeco, dont il était le seul à disposer de l’accès en dehors des heures de chantier.

Ma femme ne sait jamais ce qui l’attend, tout à la fois pour qu’elle ne puisse pas se soustraire par crainte de ce qui va lui arriver et parce que cette même crainte induit chez elle une excitation qui rend sa chatte encore plus baveuse que d’habitude…

Un Mercredi en fin de journée, nous avons donc pris la route pour arriver à destination vers 19 heures. Avant d’être arrivés, je lui ai demandé de ne garder que son soutien gorge ouvert (90F) et ses chaussures à talons, puis lui ai bandé les yeux. Je l’ai couverte de son imperméable afin de prévenir les regards concupiscents des automobilistes que nous croisions.

Manuel nous attendait seul prés des bâtiments. Comme convenu, les gars de l’équipe C qui avait remporté le premier passage de la bourge, étaient à l’intérieur et ne pouvaient ni voir ni entendre. J’ai aidé Nyssia à ôter son imperméable et à sortir de la voiture, nue, en soutif ouvert et talons. La nuit était tombée, mais à l’aide de sa torche Manuel n’a pas manqué de tout détailler du corps de ma femme, ne pouvant s’empêcher de commenter…

-Eh ben! Christian m’avait prévenu! Mais dis donc, tu ne t’ennuies pas avec un morceau pareil. La salope! Les gars ne se sont jamais tapé une blanche comme ça, je suis sûr! Quelle taille de bonnets elle fait? C’est pas des seins, c’est des pis!
-90F, naturel.
-Salope! Elle aura du mal à marcher les cuisses serrées en repartant, je te garantis! Elle aime la bite, il paraît. Elle va être servie!

Je sentais bien que Nyssia ne frissonnait pas uniquement à cause de l’humidité et du froid… Elle ne savait ni où nous étions, ni qui prononçait ces paroles délicates ni enfin ce qui l’attendait.

Très élégamment, Manuel la pris par le coude gauche pour la diriger avec précaution à l’intérieur, dans une pièce comportant essentiellement comme mobilier un bureau et deux chaises, et l’aida à s’asseoir aussi confortablement que possible, non sans avoir subrepticement effleuré ses seins dont les bouts étaient durs et sortis… Les cuisses bien serrées comme on le lui avait appris dans son pensionnat de jeune fille, elle exhibait malgré elle deux mamelles pleines, rondes et manifestement lourdes vu la tension des bretelles du petit soutif, agrémentées de deux grandes aréoles brunes dont la rugosité laissait deviner qu’elles pouvaient avoir froid.

-La petite dame prendra bien un café pour se réchauffer?
-Oui merci, s’il vous plaît. J’ai un peu froid.
-Je vous prépare ça tout de suite! Vous allez vite vous réchauffer, ne vous inquiétez pas!

Pendant que Manuel s’éloigne, je dégrafe le soutien gorge et l’enlève. Aussitôt le chef de chantier prend des photos dont je me demande où nous allons les retrouver…Mais Nyssia a un bandeau assez large, lui couvrant les yeux et le nez - mais laissant la bouche libre, bien sur -, qui devrait permettre de préserver son anonymat.

Manuel revient avec le café et là, sans vergogne, palpe et soupèse les gros seins de ma femme avec une visible satisfaction, les claque un peu avec la paume, se touchant les couilles au travers de son pantalon aussitôt après…Heureusement, ma femme a l’habitude et laisse faire, en y prenant même, probablement, une dose de satisfaction et de courage pour affronter la suite.

-Sacré matos! J’en ai jamais vu en vrai d’aussi grosses! Putain, quelle paire! Ça doit être lourd à porter! Vu ce qu’elle trimballe, c’est sûr que t’as pas de problème pour la placer, la salope…Chérie, écarte les cuisses que je regarde ce que tu nous offres.

Ma femme s’exécute, manifestement intriguée par la voix rocailleuse qui l’interpelle en l’appelant « Chérie » et en la tutoyant, ce qui ne lui laisse aucun doute sur ce qu’on attend d’elle!

-Dis donc, belle touffe! On dirait presque une portugaise : ça va me rappeler le pays!

Ses gros doigts touchent la motte et s’introduisent dans la fente. Nyssia sursaute mais laisse faire et s’appuie contre le dossier de la chaise. Manuel continue son exploration avec application et délectation…il remue les doigts à l’intérieur.

-Elle est déjà trempe, la pute. Un vrai bourbier. Ça va pas changer mes gars qui ont l’habitude de travailler dedans! Et ça va être plus facile pour tout faire rentrer!

Les doigts trempés de cyprine, il ouvre la bouche de ma femme :

-Allez suce! Nettoie moi ça! Et suce moi le pouce comme une bite, pour voir ce que tu sais faire!

Nyssia s’exécute en léchant les doigts qui lui fouillent la bouche. Pas de doute, elle est bien dressée…ma fierté, ma satisfaction et mon excitation me durcissent la queue. Elle suce le pouce de Manuel, faisant tourner sa langue autour, le sortant presque de sa bouche, puis l’enfournant à nouveau comme elle le fait avec un mandrin.

-Salope! La reine des pipes, dis donc! Tu vas avoir de quoi te goinfrer!

Manuel me fait signe qu’il va prévenir ses gars…Nyssia semble un peu perdue assise sur sa petite chaise, à poil, en talons, les yeux bandés, la moule et la bouche pleines de mouille, sans savoir ce qui l’attend même si j’imagine que maintenant elle doit en avoir une petite idée…

Le bâtiment dans lequel nous sommes comprend un couloir qui mène à une pièce vide sans porte, sur le sol de laquelle a été posé un grand matelas, sans drap, à même le sol. Le chef de chantier réunit ses gars et leur donne ses instructions :

-Vous la baisez ou vous faites sucer. Vous pouvez lui bouffer la moule avant. Vous ne l’enculez pas. Tous avec capotes. Son mari et moi, on vérifie. Ce n’est pas une pro, donc faites gaffe. Si ça se passe bien, vous aurez droit, pour ceux qui veulent, à un deuxième tour. Si ça se passe mal, j’arrête tout et ceux qui ne l’auront pas niquée n’auront plus qu’à se branler. C’est compris?
-Oui Chef.
-Maintenant vous êtes combien? 20? Bon, vous vous mettez 10 de chaque côté du couloir et vous lui laissez le passage pour qu’elle aille dans la piaule. Elle est à poil. Au passage, vous pouvez toucher mais c’est tout. Ensuite c’est à tour de rôle, il y en aura pour tout le monde si vous ne faites pas les cons. Donc pas la peine de vous bousculer. Vous allez voir, c’est du premier choix, de la bonne, avec des nibards comme j’ai jamais vu en vrai. Son mari et moi, on vous surveille. Allez, go!

Un brouhaha s’ensuit et les mecs tous habillés de leur tenue de travail se rangent de chaque côté du couloir comme l’a demandé Manuel. Certains se préparent en se touchant au travers du pantalon, d’autres sortent carrément leur queue. Clairement, des braquemarts…des poutres…de vrais pieux! Et ils ont faim : ça doit faire un bail qu’ils ne se sont pas tapés une pute, une blanche à gros seins en plus…Ils doivent avoir les couilles bien pleines : elle va prendre cher, la nympho…

Manuel me fait signe d’amener Nyssia dans le couloir. Les mecs se tournent pour voir le paquet qu’ils vont pouvoir se taper. Pas un mot. Pas un bruit. Juste celui des bites qu’on branle. Ça astique ferme. Elles sont toutes sorties maintenant.

Elle a toujours les yeux bandés. Je la laisse remonter le couloir garni des mâles qui vont se la faire. Pour l’aider à avancer, ils la prennent à tour de rôle par le bras d’une main et de l’autre ils explorent le matos…le cul, la foune, les seins bien sur, les bouts….puis ils la passent à celui qui est devant…et ainsi de suite jusqu’au bout du couloir où Manuel se trouve. Il n’en a pas perdu une miette. Quand elle arrive à lui, il profite sérieusement. Les mecs matent en se branlant sec. Après lui avoir exploré le cul, la chatte, peloté les seins et tiré les bouts, il l’allonge sur le dos sur le matelas par terre.

-Ecarte les cuisses! Plus que ça sinon je t’attache. Ils ne te toucheront pas le trou. Mais si tu n’es pas gentille, moi je m’en servirais. Compris? Et j’en ai aussi une grosse. Après le premier tour, tu pourras te reposer et ceux qui veulent auront droit ensuite à un deuxième tour. Tu gardes ton bandeau tout le temps. Ça évitera qu’on te reconnaisse même s’ils font des photos.

Le défilé va pouvoir commencer. Je me mets dans la chambre, Manuel est à l’entrée pour vérifier que toutes les bites ont une capote. Prévoyant, il en a en plus un stock dans ses poches.

-Rachid, t’es le premier, vas-y!

Rachid a un gourdin entre les cuisses. Enorme. Epais comme elle les aime. Elle va être servie. S’ils sont tous comme cela, je doute qu’elle puisse marcher pour rentrer ce soir!

Il s’avance dans la piaule, son gourdin raide et bien gonflé à la main. Il baisse son froc aux chevilles. Pas de slip…A genoux sur le matelas, il se jette sur la motte, et la dévore en suçant les grosses lèvres déjà bien baveuses et totalement sorties. Il se paluche en même temps. Tout d’un coup il se redresse, s’écrase la bouche sur un nichon en lui enfilant son pieu à fond d’un coup sec. Nyssia couine, se tortille, ce qui excite encore davantage le rebeu qui lui tête le sein avec avidité. Il lui lime la chatte une dizaine de fois puis explose et ressort son mastar. Il tête l’autre nibard avant de se relever, de remonter son froc en rangeant sa bite et laisser la place au suivant.

Jolie vision : Nyssia sur le dos, cuisses grandes ouvertes, les limaces gluantes et pendantes, les poils noirs faisant contraste avec la chair rose de la vulve, et les seins proéminents surmontés de deux tétines pointées vers le plafond.

Le deuxième n’a pas attendu longtemps pour prendre sa place. Un grand black efflanqué avec une longue pine qui dépasse largement de sa main qui la tient. Elle est trop longue pour être entièrement raide. Des balloches qui lui fouettent les cuisses. Pas de préliminaire. Il la pine direct, d’un coup. Elle couine. Ca l’excite. Il sort sa queue et la pine à nouveau au fond d’un coup. Recommence. Elle se tortille, couine sans arrêt mais manifestement mouille et écarte les cuisses encore davantage.

Manuel évidemment le remarque.

-Eh ben dis donc! Une vraie chaudasse, ta femme! La salope! Une gueule d’ange et un cul de pute! J’en ai rarement vu des comme ça! Christian m’avait prévenu mais je n’y croyais pas trop. C’est vrai qu’il a l’expérience, vu le nombre de gang bangs qu’il organise chez lui et où elle se fait démonter. Je sais qu’il la tire à chaque fois. Pas vrai?
Christian est un bon copain. Et il aime bien se la faire. Vu le mal qu’il se donne, on lui doit bien cela!
OK. Le prochain qu’il organise, je viens! J’aurais le temps de me la faire comme je veux. Et par tous les trous. Allez vas-y, Nazaire! Bourre!

Nazaire termine rapidement son affaire à grands coups, ses couilles tapant a chaque fois le trou de Nyssia. Elle se met à jouir en hurlant, et la mouille gicle quand le grand black retire sa longue bite.

A peine sortie du trou, elle est remplacée par celle d’un autre black au noeud très gonflé. Il lui ouvre la moule et la perfore avec son gland. Une fois dedans il lui dévore les deux nichons, les presse l’un contre l’autre, mordille les bouts, secoue les mamelles, se contracte et crache son jus dans la capote.

Le défilé continue. Tous sont clairement morts de faim! Chaque passage ne dure guère plus d’une a deux minutes. La chatte est béante. Par exception, de temps en temps, un des gars se fait sucer le manche avant de la pénétrer. Mais la plupart l’enfile direct. Une fois les premiers mecs passés, elle donne un coup de rein à l’entrée d’une nouvelle queue pour mieux l’accueillir et la sentir au fond, ce qu’elle adore. Elle a pris naturellement le coup de cul qui va bien! En plus, ça fait cogner les burnes contre son cul et ça, elle aime.

Après avoir tiré leur coup, les mecs retournent dans la pièce dans laquelle ils attendaient, échangent leurs commentaires, boivent un coup et reviennent se mettre en place dans le couloir, à la fois pour profiter du spectacle et pour prendre leur tour la bite à la main…

Environ aux deux tiers de la file d’attente, je ne sais plus exactement, un beur baraqué arrive à l’entrée et dis à Manuel :

-J’la nique à 4 pattes, Chef, comme une chèvre.
-Si tu veux mais pas par le cul, on est d’accord?
-Oui Chef!
-T’as entendu? En levrette, cul en l’air et ouvre bien, il est est très épais Mouloud!

Ma femme s’exécute, se retourne, toujours les yeux bandés. Les mecs matent ses gros seins qui pendent…

-Tourne toi, face au couloir, Chérie! On veut voir tes gros nibards! Ça va secouer! Allez Mouloud, vas-y mon gars! Emboîte ta chèvre!

Mouloud ne se fait pas prier! Il se met en position derrière Nyssia, face au couloir et à ses potes qui matent. Il passe son gland dans la fente de bas en haut, puis de haut en bas et continue ainsi…elle doit avoir la moule en feu! Et d’un seul coup, brutalement, il enfonce son pieu au fond de la matrice, s’agrippe aux hanches de la salope et la pilonne comme un marteau piqueur. Les grosses mamelles s’agitent, se balancent, se tapent l’une contre l’autre en faisant un bruit sourd. Tous les mecs matent en s’astiquant la bite, Manuel et moi compris…Nyssia couine puis crie lorsqu’elle se met a jouir au moment au Mouloud retire son mandrin. Il n’a pas encore craché. Il y retourne : pareil, un grand coup et il est au fond. Quelques allers-retours et il remplit sa capote!

Les quelques mecs qui restent à passer se pressent. Le spectacle les a sérieusement chauffé, Manuel et moi aussi d’ailleurs. Ils défilent rapidement pour se soulager entre les cuisses de ma femme en profitant de ses loches. Elle est restée à 4 pattes face au couloir…on la voit bien encaisser et les meules s’agiter. Elle crie de plus en plus souvent…

Le dernier passé, elle s’affale sur le matelas, les seins écrasés par son poids, les cuisses restées ouvertes, la tête enfouie dans ses bras.

-Chérie, tu en as oublié un…ouvre ta bouche, ma salope! Christian m’a dit que tu pompais comme une pro, en aspirant les bites et en creusant les joues. C’est clair qu’il a l’habitude que tu te goinfres avec sa queue. Alors tu as de la chance. Je vais te prêter la mienne : elle est grosse, va falloir que tu ouvres grand. Tu vas me sucer et me lécher les burnes : j’ai une capote, t’inquiète. Je sais que tu n’avales que ton mari. Je te bourrerais tout à l’heure : tu mérites.

Nyssia se relève sur les coudes, ce qui permet a Manuel d’avoir une superbe vue sur ses loches, puis s’assied sur ses talons, cuisses bien écartées pour être en position pour avaler le mandrin du chef de chantier qui le présente aussitôt à la pipeuse qui l’enfourne. Elle lèche la hampe, le noeud, les couilles, les gobe en les faisant rouler dans sa bouche ce qui fait immédiatement partir le jus dans la capote!

-Salope! Tu m’as fait jouir trop vite! Tu vas le payer ma petite! Tu mériterais que je t’encule tout de suite, à sec. Mais j’ai promis. Et tu ne perds rien pour attendre. On va se retrouver chez Christian. Attends que je te bourre tout à l’heure…Tu vas bien la sentir te ramoner et tu prendras à chaque coup mes couilles contre ta fente!

Ma femme s’affale de nouveau. Elle n’en peut plus. C’est la pause. Les mecs matent en se touchant. Je vais la voir et lui caresse les cheveux.

-Ça va? Explosée? Tu n’as pas mal?
-Non, ça va, merci. Je suis explosée mais ça va. J’ai pris mon pied plusieurs fois.
-Je sais. On a entendu…
-Ah bon?
-T’étais trop occupée pour t’en rendre compte. Le bandeau ne te gêne pas?
-Non. Au contraire. Il me protège et me permet de me lâcher encore plus.
-Tu es prête pour une deuxième salve?
-Laisse moi un peu de temps et donne moi à boire. Mais oui, ça va le faire. Au fait, combien sont.ils?
-Tu n’as pas compté?
-Non. J’avais autre chose à faire…
-Ils sont 8 plus le chef de chantier et moi. Tu as compris que c’est une séance d’abattage dans un Algeco.
-Oui. C’est bien ce que je me suis dit.
-Premier abattage. Félicitations! On remettra ça…
-Laisse moi récupérer quand même un peu, s’il te plait!
-Pas de souci, ma belle salope! Mais t’es vraiment devenue une pute!
-Je sais. J’assume. Je m’envoie en l’air…et pas qu’avec toi! A notre âge, si on n’en profite pas, on n’en profitera jamais! En plus, c’est ce qui t’excite aussi…

Manuel un peu calmé, revient vers nous :

-Dis moi Chérie, si tu veux prendre une douche avant le deuxième tour, tu peux y aller. C’est juste là, au fond. -Evidemment, on laissera la porte ouverte.
-Oui, merci. Je vais en profiter.
-Si tu veux pisser, écarte les cuisses, et fais debout. Comme ça, on profitera.

Ma femme pratique l’uro. Donc ce n’était pas pour l’effrayer, contrairement à ce que pensait surement le chef de chantier. Elle s’est donc levée, exposant toute sa nudité aux regards des mecs qui se paluchaient toujours. Arrivée dans la douche où Manuel l’a menée et dont il maintenait la porte grande ouverte, elle fit couler l’eau et, prenant la pomme dans sa main, face au couloir, elle s’aspergea la moule en l’écartant pour bien la laver. Manuel aux premières loges commençait manifestement à rebander : sa proposition n’avait évidemment pas été innocente.

Derrière le bandeau noir et manifestement inspirée par l’excitation qu’elle sentait causer, debout, elle écarta les cuisses pour laisser passer un gros jet de pisse, toujours face au couloir…les mecs n’en croyaient pas leurs yeux et Manuel avait les siens rivés sur la foune de ma femme et le torrent qui en sortait.

Soulagée, Nyssia remit la douche en marche, se rinça puis se sécha à l’aide d’une serviette tenue par Manuel qu’il passa et frotta bien partout, ce qui ne manqua pas de faire s’agiter les deux gros globes qu’elle porte en étendard sur la poitrine.

Une demie-heure se passa, calmement, ma femme reprenant des forces et les mecs de la vigueur.

Puis le deuxième tour commença.les positions de chacun étant sensiblement les mêmes : Rachid commence par bouffer de la foune, Nazaire rentre son tuyau interminable, et ainsi de suite. Mouloud la reprend comme une chèvre et les derniers l’imitent.

Vient le tour de Manuel.

-Tourne toi dans l’autre sens, écarte bien les cuisses et écrase toi les seins et le reste sur le matelas.

Totalement allongée, dans cette position, les mecs - qui sont toujours dans le couloir et veulent voir comment leur chef va faire payer la salope qui l’a fait jouir trop vite - ont une vue imprenable sur sa moule grande ouverte, ses limaces baveuses et le fond de la matrice bien rose.

Manuel se met à 4 pattes derrière elle, lui écarte les fesses pour mater son trou, puis, sans crier gare, s’affale sur elle de tout son poids en lui fourrant sa bite d’un coup jusqu’aux couilles au fond du vagin. Nyssia crie de surprise. Le chef a montré qui commandait! Il lui écrase ses burnes contre la fente et la pilonne sans s’arrêter pendant un bon moment. Elle se tortille, couine, pus finalement lâche un gros jet de mouille qui inonde les couilles du chef, à la grande satisfaction de ce dernier. L’honneur est sauf! Il peut continuer à la ramoner un peu avant de lâcher sa crème dans la capote et retirer son mandrin, le sourire aux lèvres.

Elle est clairement épuisée.

Je profite néanmoins de la situation, dans la même position, pour la fourrer et lui lâcher la purée sans capote. Je n’en pouvais plus.

Elle se repose quelques instants puis demande à Manuel de pouvoir prendre une autre douche.

-Mais oui, bien sûr, tu l’as bien méritée, Chérie. Et tu ne vas même pas avoir à te donner la peine de te savonner, je vais le faire moi-même!

Le salaud met ses paroles à exécution et savonne ma femme avec application sous la douche, aucun recoin de son corps n’étant laissé au hasard, sous l’oeil intéressé et les mains occupées de l’ensemble de son équipe.

Il la sèche en la frictionnant partout, et jette un regard de vainqueur aux gars qui ne pourront qu’encore mieux le respecter…

-T’est vraiment une bonne salope, Chérie, un bon coup. Une bourge qui se fait piner et qui pompe comme toi, ça court pas les rues! Christian est un connaisseur, il ne m’a pas menti. Mais chose promise, chose due. Tu vas revenir t’occuper ici de mes deux autres équipes comme tu l’as fait ce soir. Et je vais te retrouver chez Christian à la prochaine occasion pour te fourrer ma bite de cheval dans le cul!
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Re: Premier abattage

Messagepar didso77 » Mar 31 Oct 2023 09:24

beau récit excitant et bien écrit; merci à vous
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Re: Premier abattage

Messagepar Rosecris » Mar 31 Oct 2023 10:41

À mettre dans catégorie fantasmes candaulistes plutôt que dans récit
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Re: Premier abattage

Messagepar alexetflo » Mar 31 Oct 2023 12:31


peut être que ça c'est réellement passé, en tous cas super récit.

et puis je reste persuadé que des couples ont vécu cela où Mme c'est faite gangbanguer par 20 mecs, sauf que là le lieu ajoute l'excitation du couple.
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Re: Premier abattage

Messagepar MissBoobs » Mar 31 Oct 2023 13:04




Merci de vos commentaires. Ce n’est plus un fantasme (ça l’était bien sur) : ça s’est réellement passé comme décrit, il y a quelques années.
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