Ma copine a surpris l’hôte AirBNB en pleine branlette...

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.

Ma copine a surpris l’hôte AirBNB en pleine branlette...

Messagepar jerem4444 » Mer 29 Nov 2023 11:58

LE AIRBnB
Ma copine a surpris l’hôte en pleine branlette et voilà ce qu’il s’est passé…


Dans un précédent récit, je vous faisais part du jour où j’avais découvert que j’étais candauliste.
Je m’appelle Mathieu, j’ai 22 ans et je suis l’heureux concubin d’une resplendissante femme du même âge, brune à franges, dotée d’une paire de seins et d’un cul qu’elle met en valeur avec des décolletés exagérés et des leggins serrés si bien qu’aucun mec ne peut passer à côté d’elle sans marquer un temps d’arrêt.
Je crois même l’avoir déjà vu provoquer des disputes de couple et cela m’emplit de fierté, je dois avouer.


Dans mon précédent récit, je vous racontais comment les attouchements d’un inconnu dans le métro sur ma belle s’étaient transformés en jeu érotique entre Sophie et moi, au point que Sophie cède à une pulsion de se faire prendre par cet inconnu dans des toilettes publiques pendant que j’attendais à l’extérieur.
Suite à cette expérience, il ne fut pas si facile d’en reparler ensemble. Un peu honteux, il nous fallut quelques jours pour l’accepter mais l’envie de reproduire l’expérience se faisant de plus en plus présente, je finis par aborder le sujet.
Pour Sophie, qui était devenue à l’aise avec son corps au cours de notre relation, je comprenais qu’elle n’avait pas pu s’épanouir sexuellement avant de me rencontrer et que d’une certaine manière, se rendre compte qu’il était possible pour elle de le faire tout en restant avec moi, était quelque chose qui lui plaisait beaucoup.
Quant à moi, la simple idée qu’un homme fantasme sur, bande en découvrant, pervertisse ma Sophie me procurait un niveau de jalousie mêlée d’excitation que je n’aurai jamais cru possible.
Mais Sophie me fit comprendre que ce n’était pas tant provoquer une expérience d’infidélité qui l’intéressait en cherchant un homme quelconque sur le net, mais plutôt céder à une envie pressante quand une occasion se présenterait. Elle ne souhaitait cependant pas céder à ce genre de pulsion au sein de notre cercle d’amis car elle refusait que cela entache ses relations amicales.
Autant dire qu’attendre une situation comme celle du métro pour que cela se reproduise, je n’étais vraiment pas assuré de revivre cette aventure.
Je vous ferai grâce de toutes les idées qui m’étaient passées par la tête pendant deux mois : faire des sorties en couple dans un bar ou en boîte (ce n’était pas notre genre et si on le faisait, c’était avec des amis, donc difficile de provoquer la situation), organiser un petit week-end à la plage en province pour qu’elle se remette topless avec l’espoir que cela crée une occasion, etc.
Le salut vint bien d’un voyage mais pas comme je l’attendais. Sophie voulait profiter du mois de septembre, après la période des petits jobs d’été et avant la reprise des cours pour partir en vacances à budget réduit, en roadtrip en Bretagne. L’idée était, pour ne pas dépasser le budget, de faire appel à des AirBnB et de les réserver à la dernière minute pour nous laisser la liberté de visiter et rouler au gré de nos envies.
En vacances, Sophie avait déjà bien plus la tête au sexe que pendant la période de travail et la régularité de nos ébats faisait qu’il fallait faire preuve de plus d’imagination pour pimenter ceux-ci. Les scénarios qu’on se racontait en baisant où un autre homme la prenait remportaient souvent un franc succès.
La météo en Bretagne en septembre n’était malheureusement pas favorable au fantasme que je m’étais imaginé de la voir topless sur une plage se faire mater par d’autres hommes mais je lui lançais de temps en temps des petits défis comme sortir sans culotte avec une jupe, flasher ses seins à l’extérieur quand il n’y avait personne en apparence autour de nous ou encore sortir en public avec un petit plug anal.
Un jour de notre voyage, nous étions en étape à Quimper et nous cherchions un AirB&B pas très cher. En last minute comme ça et vu notre budget, nous n’étions pas très regardant sur la note. Il fallait juste que l’endroit soit propre et que l’hôte ait quelques avis positifs, comme quoi il était aimable. Cela nous suffisait amplement.
L’hôte s’appelait Pascal et à moins de 30€ la nuit, il ne nous apparut pas anormal que nous ayons seulement une chambre pour nous dans son appartement. En vérité, il s’agissait de sa chambre, en témoignaient toutes les affaires laissées sur la table de nuit et dans la salle de bain. Nous comprenions que quand le mec pouvait trouver des locataires à la dernière minute, cela l’arrangeait financièrement et il se contentait de leur mettre des draps propres et d’aller dormir en bas dans le canapé sans chercher à présenter un lieu immaculé comme une chambre d’hôtel.
Quand cela arrivait, nous avions pour habitude de ne pas trop tarder le lendemain matin car nous avions vraiment l’impression d’avoir “créché” chez quelqu’un d’autre.
A notre arrivée, Pascal nous fit une visite rapide de son petit duplex avec une chambre et une salle de bain là-haut sous les toits, les toilettes, la cuisine ouverte sur le salon en bas.
Pendant la courte visite, je voyais déjà que le mec lorgnait sur le décolleté de Sophie. Elle avait en effet, une robe échancrée à la poitrine qui ne pouvait vraiment pas laisser indifférent. L’homme devait avoir à peu près la quarantaine. Il avait l’air physiquement bien entretenu à l’exception de sa barbe de quelques jours qui ensauvageait son visage.
- Désolé pour le désordre en haut, je n’ai pas eu le temps de ranger, dit-il
- Ce n’est pas grave, assura Sophie, nous venons de réserver il n’y a même pas une heure, nous comprenons.
- Si vous avez le moindre petit creux, n’hésitez pas à venir vous servir dans le frigo. Il y a quelques yaourts, des compotes et des canettes.
Il joignit le geste à la parole et nous montra le contenu de son frigo.
- Pour le petit déjeuner, j’ai du pain et de la brioche, de la confiture et du nutella. Il y a aussi du jus d’orange au frigo et des capsules ici pour le café.
- C’est gentil, merci, répondis-je
- Pas de soucis, vous pouvez descendre à toute heure, je suis habitué. En général, je me lève tôt le matin, il y a des chances que je sois sorti quand vous descendez. Si c’est le cas, vous n’avez qu’à claquer la porte en partant et à m'envoyer un message. J’aurai mes clés avec moi.
Nous le remerciâmes et prîmes congé de lui. Je montai la valise dans l’escalier.
- Des serviettes propres sont dans le petit placard sous l’évier, ajouta-t-il avant que nous prenions possession des lieux.


Il était déjà 22h et nous n’avions que peu dîné. Sophie avait pris une douche et enfilé une nuisette très sexy. Il nous semblait entendre Pascal en bas regarder la télévision.
- J’ai faim, m’annonça Sophie, alors que je scrollais sur les réseaux sociaux. Je levai la tête.
- On aurait peut-être dû manger un peu plus, admis-je.
- Je n’ose pas trop descendre au frigo, le mec est peut-être déjà endormi, me confia-t-elle.
- Je ne pense pas, on entend la télé.
- Il peut s’être endormi devant.
- Dans ce cas, si la télévision ne le réveille pas, tu ne devrais pas le réveiller.
Convaincue ou peut-être surtout parce qu’elle avait vraiment faim, Sophie se leva et commença à enfiler un gilet par-dessus sa nuisette.
- Tu peux y aller sans gilet, l’arrêtai-je. J’avais évidemment envie que Pascal la voit ainsi vêtue. S’il dort… de toute façon…
- Coquin, dit-elle, il y a quand même toutes les chances qu’il ne dorme pas.
- Ah ? Tu penses ? fis-je d’un air innocent.
Souvent, quand je semblais hésiter, cela donnait des ailes à Sophie pour relever le défi. Elle aimait bien jouer avec moi.
Elle disparut quelques secondes avant de revenir. Elle s’empressa de refermer la porte. Elle présentait un air mi choqué, mi amusé.
- Déjà ? Tu as fait vite !
- Mathieu, commença-t-elle. Le mec est en train de se branler.
- Hein ? répondis-je sur le ton de la surprise.
- Oui, j’en suis sûre. J’ai à peine descendu deux marches, mais du haut de la mezzanine, on a vue sur le salon. Le mec est dans son canapé en train de mater un porno sur son PC. Je l’ai clairement vu la bite à la main ! me confia-t-elle amusée et un brin émoustillée.
- Mais il t’a vue ?
- Non il ne m’a pas vu, le canapé est dos à l’escalier.
- Attends, je vais voir…
Curieux de voir par moi-même si ce que me disait Sophie était vrai et je l’avoue, curieux aussi de voir à quel calibre j’avais affaire ; j’ouvris silencieusement la porte de la chambre et entrepris de descendre deux marches pour avoir la vue sur le salon. Le mec était effectivement en train de se branler devant un porno sur son PC. Le truc semblait être en mute et on entendait que sa télévision qu’il ne regardait pas vraiment. Il avait plutôt une grosse queue, plus grosse que la mienne en tout cas.
Je remontai dans la chambre.
- Alors ? me demanda Sophie.
- Oui je l’ai vu, répondis-je, excité par la situation.
- Je vais attendre qu’il finisse pour aller chercher à manger, ce serait trop la honte pour lui si je le surprends, plaisanta-t-elle.
- Tu devrais le mater, au moins pour savoir quand il finit, suggérai-je.
- Ah ah ! Cochon, va !
Mais dans son regard, je savais qu’elle en avait envie.
- Si j’étais à ta place, je materai. Une situation comme ça n’arrive pas tous les jours.
- Tu crois vraiment que je te laisserai mater une autre fille ? plaisanta-t-elle.
Mais derrière la blague, il était évident qu’elle hésitait car elle marqua un temps d’arrêt. Peut-être qu’elle était en train de se demander si cela se faisait vis à vis de moi et peut-être qu’elle était en train de se remémorer notre dernière expérience.
- Bon d’accord, dit-elle. Mais tu ne pourras t’en prendre qu’à toi-même si la jalousie s’empare de toi, c’est toi qui m’y pousse…
Sans attendre de réponse de ma part, elle se dirigea vers la porte, me fit le signe d’un baiser avec sa bouche et un sourire avant de sortir de la chambre.
Sophie avait raison, j’étais jaloux et parfois ma libido et mes vieux fantasmes de pervers ne me permettaient pas de réfléchir rationnellement. Mais depuis la fois précédente, j’avais eu un peu le temps de me faire à cette sensation. L’excitation aavait tendance à transformer la souffrance de ma jalousie maladive en quelque chose de plaisant, presque jouissif.
Bien sûr, je ne pouvais m’empêcher de me faire des films, d’imaginer Sophie surprise par notre hôte en train de l’observer et qu’il lui demande de descendre pour lui permettre de voir de plus près…
Ma curiosité l’emporta, je me dirigeai vers la porte et l’ouvris doucement pour voir si Sophie était toujours là. Je la trouvai assise sur la seconde marche en partant du haut, à mater ostensiblement le mec. Elle avait sa main dans la culotte et se touchait sans vergogne.
Cela eut pour effet immédiat de me faire bander. J'observais ma copine se masturber en observant un mec lui-même en train de se masturber. C’était un sentiment puissant, j’avais moi-même envie de me toucher. Je l’observai quelques minutes et décidai qu’il fallait pour mener mon excitation à son paroxysme que je m’avance davantage pour avoir les deux dans mon champ de vision. Mais ce ne fut pas possible sans d’abord me faire remarquer par Sophie et surtout, je déclenchai involontairement un bruit de craquement dans les marches.
Je vis le mec s’arrêter tout de suite de se masturber, saisir un plaid près de lui et le placer sur son engin et rabattre le clapet de son PC portable.
Sophie s’était retournée et me lança un regard désapprobateur. Quand elle se releva pour retourner se cacher dans la chambre, Pascal appela :
- il y a quelqu’un ?
Notre hôte s’était retourné légèrement et tentait de regarder en notre direction. Je pense qu’il ne nous voyait pas car il posa la question une seconde fois. Peut-être la pénombre, peut-être l’inconfort de regarder par-dessus son épaule sans trop pouvoir bouger le reste du corps au risque de se faire griller…
A la première demande, Sophie s’était arrêtée dans son élan et ne bougeait plus pour ne plus faire de bruit. Elle me lançait un regard interrogateur qui signifiait “est-ce qu’il m’a vu ?”. Au deuxième appel, elle se résigna et se décida à descendre.
Mon cœur battait à la chamade.
- Oui, c’est moi, désolée Pascal. Je passais juste au frigo pour chercher quelques snacks.
- Ah, pas de soucis, répondit Pascal, toujours bloqué sur le canapé avec le plaid sur ses genoux. Mais la bosse au niveau de son entrejambe ne trompait personne.
Je vis ma Sophie disparaître de mon champ de vision en allant au frigo. Pascal la suivait du regard. Clairement, sa nuisette ne le laissait pas de marbre. Surtout qu’il était en plein acte. Il devait être surexcité le cochon !
Sophie se servit dans le frigo, remercia notre hôte en s’excusant de nouveau de l’avoir dérangé et remonta dans la chambre. Je lui emboîtai le pas en haut des escaliers.


- Ca va petit cochon ? Tu t’es bien rincé l'œil ? me demanda-t-elle.
- Bah et toi, je t’ai vue de toucher !
Elle rougit et s’approcha de moi et mit sa main sur mon pantalon de pyjama.
- Ça n'a pas l’air de t’avoir laissé indifférent.
Elle me poussa sur le lit, me retira le bas de pyjama, et mon boxer. Je bandais comme un âne. Elle m’enjamba. Je compris qu’elle avait besoin de soulager une envie après la situation excitante qu’on venait de vivre. Mais je ne voulais pas que l’excitation lui passe si vite. J’avais envie que ça aille plus loin. J’étais resté sur ma faim.
- Hop hop hop, tu t’empales direct comme ça, sans préliminaires ?
- Bah j’ai pas l’impression que ce soit nécessaire, sourit-elle en désignant ma bite. Et moi je suis déjà bien mouillée ! Mais bon si tu insistes…
Elle s’agenouilla sur le lit et entreprit de me dispenser une fellation.
- Imagine que c’est son sexe, dis-je pour la motiver
Elle goba ma bite d’un coup et se mit à tourner la langue autour. Elle avait l’air très excitée par cette idée car je la vis de nouveau se toucher en me suçant. Elle fermait les yeux, j’imaginai qu’elle était en train de se représenter Pascal.
- Effectivement, tu n’as pas menti, tu as l’air d’avoir bien faim, la taquinai-je.
Elle émit quelques sons de succions puis retira ma bite de sa bouche.
- Hum, tais-toi.
- Tu veux le sucer admets-le… insistai-je.
- Oui, me répondit-elle cash. Ne me tente pas trop, s’il te plaît !
- Bah vas-y puisque tu en as tant envie !
Me voyant insister encore, elle stoppa sa fellation et remonta vers mon visage. Elle me décrocha un baiser comme je lui connaissais quand elle était vraiment excitée. Puis elle se pencha à mon oreille et me chuchota :
- Je veux que tu te branles en me regardant le sucer, d’accord ?
J’opinai du chef subjugué par la terrible sensualité de sa suggestion.
Elle respira un bon coup, elle semblait prendre son courage à deux mains, puis elle sortit de nouveau de la chambre, cette fois sans essayer de ne pas faire de bruit. Je la suivis et la vis descendre les escaliers d’un pas plus assuré que la première fois.Je m’arrêtai en haut des marches, là où je pouvais les voir sans être vu.
Je vis que Pascal avait repris son petit plaisir perso et que Sophie le surprenait de nouveau. Cette fois, la vitesse à laquelle Sophie était descendue ne lui permit pas de prétendre qu’il ne faisait rien de plus que de regarder la télé. Il avait juste eu le temps de ramener son plaid sur sa bite pour la cacher. Son porno continuait de jouer.
- Oh désolée ! s’exclama Sophie, je voulais juste prendre une boisson dans le frigo, j’ai oublié d’en prendre une tout à l’heure.
Pascal avait l’air gêné. En même temps, il jouait avec le feu depuis tout à l’heure ! Il ne fallait pas trop s’étonner !
- Continuez ce que vous faisiez, faîtes comme si je n’étais pas là, supplia Sophie.
Il bégaya un peu et se fondit en excuses. Sophie le rassura.
- J’en ai vu d’autres, ne vous inquiétez pas. Allez-y, ne vous occupez pas de moi. Faîtes comme si je n’étais pas là.
Cette injonction ressemblait presque plus à un ordre qu’à une suggestion.
L’hôte remua timidement la main sous le plaid, mais la gêne semblait l’emporter sur la situation. Sa vidéo porno continuait à se jouer, et Pascal ne savait plus où se mettre. Il était probablement dans l’attente que Sophie quitte la pièce. Elle disparut de mon champ de vision. Je l’entendis prendre une canette dans le frigo. Puis elle revint vers le canapé et se posta derrière Pascal, accentuant le malaise. Elle regarda la séquence porno qui se déroulait.
- Hum, dîtes donc, vous avez l’air d’aimer les petites brunettes à frange, dit-elle en désignant la fille dans la vidéo. Elle me ressemble beaucoup…
- Je… Je suis vraiment désolé, bafouilla l’hôte.
- On dirait que je vous ai fait de l’effet et que vous avez cherché une nana qui me ressemble pour assouvir votre fantasme de me voir nue !
On aurait dit qu’elle le réprimandait comme un enfant qui avait fait une bêtise. Sophie fit le tour du canapé et se mit face à Pascal. Voyant Sophie amusée, Pascal sembla se détendre un peu. Peut-être jusqu’alors paniquait-il à l’idée que cela soit décrit dans son profil d’hôte et que cela l’empêche de louer à nouveau mais il sembla de plus en plus évident à cet homme mais aussi à moi-même que Sophie était plutôt ouverte voir émoussée par la situation et que la stratégie la plus susceptible de récolter des avis positifs serait de marcher dans son jeu.
- Votre décolleté ne m’a pas laissé indifférent, avoua l’hôte. Votre homme a beaucoup de chance.
Ah ça oui ! J’étais bien d’accord avec ce brave Pascal, je ne pouvais pas lui en vouloir. La robe échancrée qu’elle portait plus tôt donnait envie de l’arracher. Et la nuisette qu’elle portait là n’était pas beaucoup mieux de ce point de vue.
- Vous voulez voir mes seins ? Je peux vous les montrer mais à deux conditions, répondit-elle du tac-o-tac.
- Lesquelles ? demanda Pascal.
- La première est que vous n’en touchez pas un seul mot à mon copain et la seconde est que vous me montriez ce que vous avez de caché là-dessous. Je veux voir l’effet que je vous fais.
En signe de réponse, Pascal souleva le plaid et révéla une queue gonflée par le désir et déjà bien humide de présperme. Sophie retira ses bretelles délicatement l’une après l’autre pour dévoiler ses épaules nues, puis baissa le haut de sa nuisette sous la poitrine pour lui révéler ses gros seins.
- Votre copain ne va pas se demander ce qui prend autant de temps ?
- Il est absorbé par son smartphone, mentit-elle, reprenez ce que vous faisiez lorsque je suis descendu, ordonna-t-elle
Pour toute réponse, Pascal reprit le massage de sa verge bien gonflée mais pas encore bien dressée.
- Je peux goûter ? demanda Sophie.
Je n’en pouvais plus. Mon boxer était déjà mouillé d’avoir débandé et rebandé plusieurs fois. Je sortis ma bite et commençai moi aussi à me masturber depuis ma position d’observateur. Pascal n’avait aucune idée que je les regardais. Je devais juste éviter de faire du bruit.
Sophie s’était agenouillée devant l’hôte et lui léchait les couilles, jouait avec sa grosse bite.
Pascal s’était complètement détendu. Je l’entendis même décrocher un petit :
- Humm, petite allumeuse…
Sophie engloutit sa queue et commença les va-et-vient en gémissant. Elle semblait se régaler. Pascal, de plus en plus à son aise, se permit de mettre la main sur l’arrière de sa tête et d’imprimer le mouvement. Au bout de quelques minutes de fellation, l’ascendance sur la situation qu’avait Sophie s’était totalement inversée. Elle était agenouillée devant son canapé, les seins à l’air. Pascal lui baisait la bouche et lui enfonçait la queue jusqu’au fond de la gorge comme jamais je n’avais osé lui faire. Sophie émettait certes quelques hauts-le-cœur mais surtout des gémissements de plaisir qui semblait indiquer qu’elle appréciait ce traitement. Parfois elle s’interrompait et crachait sur sa queue. La salive et les liquides séminaux se mélangeaient et tombaient de sa bouche sur ses seins.
J’accélérai la cadence de ma masturbation, j’avais envie de jouir mais me retenais pour en profiter le plus longtemps possible.
- Humm, une vraie salope, ton copain n’a aucune idée de la salope que tu es, il passe vraiment à côté de quelque chose…
- Tu as un préservatif ? l’interrogea Sophie.
Sa question me fit l’effet d’un électrochoc. Une déferlante d’excitation s'immisça en moi et je jouis dans mes mains. Elle voulait le baiser, le laisser entrer dans sa chatte. Après la jouissance, la jalousie s’installa plus facilement. Mon dieu qu’avais-je fait ? Lors de la première expérience, l’inconnu l’avait sodomisée. Aucun inconnu n’avait encore eu le droit d’accéder à sa chatte.
- En haut, dans la chambre, répondit Pascal.
- Je ne peux pas aller le chercher tant que mon mec est réveillé, tu n’en as pas en bas ?
Je ne remarquai que maintenant que le vouvoiement était tombé. Vu le niveau d’intimité auquel ils en étaient arrivés, cela n’avait rien d’étonnant.
- Non… Mais je suis clean, je n’ai pas baisé depuis… tu n’imagines même pas combien de temps !
Je rêve, le mec proposait à ma nana de la baiser sans protection ?
- Ce n’est pas question de cela, je ne prends pas la pilule.
Ce que je savais être un nouveau mensonge de sa part probablement pour ne pas avoir à se justifier de ne pas lui faire confiance.
Pascal semblait tout penaud comme s’il venait de manquer le coup de sa vie mais Sophie reprit sa fellation pour certainement offrir une issue libératoire et consolatoire à sa frustration. Je sentais un semblant d’excitation revenir mais comme je venais de jouir, c’était encore la jalousie qui l’emportait. Je décidai de revenir discrètement dans la chambre et de me laver les mains.
Sophie resta encore cinq bonnes minutes en bas avant de remonter dans la chambre. Cinq bonnes minutes pendant lesquelles je digérai ce qu’il s’était passé et continuait de se passer en bas. L’excitation refaisant peu à peu surface. J’étais nu, je venais de me laver la queue. En entrant dans la chambre, elle me décrocha un sourire de coquine.
- Alors ? Ça t'a plu pervers ?
- Et toi ? Cochonne !
Elle s’approcha de moi et me décrocha un nouveau baiser langoureux, elle avait le goût de bite et de sperme. Il n’en fallut pas plus pour que je bande à nouveau. Cette dépravation m’excitait au plus haut point.
- Où est-ce qu’il a joui ?
- Dans ma bouche, me répondit-elle insolente, j’ai avalé !
- Hein ? fis-je surpris.
- Je ne voulais pas prendre de risque je te jure ! tenta-t-elle de s’expliquer, mais dans le feu de l’action, j’avais vraiment trop envie de recevoir la giclée dans ma bouche.
Je ne sais pas pourquoi mais le risque qu’elle avait pris me semblait dérisoire par rapport à l’effet de sa confidence sur mes hormones.
- Tu as bien léché le sperme de l’inconnu l’autre jour, toi aussi, dit-elle pour se déculpabiliser.
- Tu aurais pu le baiser du coup, je t’ai vue lui dire que tu ne prenais pas la pilule.
- Tu aurais aimé ?
Elle mit la main sur mon sexe dressé et commença à me masturber puis m’emballa à nouveau.
- Oui, avouai-je.
- Il est encore temps de le faire, me dit-elle, tout en me branlant.
- Humm, répondis-je, c’est-à-dire ?
- Je pourrais lui dire que tu t’es endormi, que tu as le sommeil lourd. Je pourrais lui demander de me baiser à côté de toi…
Sa perversité allait au-delà de ce que j’imaginais, j’étais surexcité. J’acceptai sa proposition.
Sophie avait le numéro de l’hôte puisque nous correspondions avec lui pour convenir de la rencontre à son appartement. Elle lui envoya un message pour lui dire qu’elle avait mis la main sur ses préservatifs (qui étaient effectivement dans le tiroir d’une des tables de nuit). Elle lui demanda de monter et de ne pas faire un seul bruit.
Je me couchai, dos à la porte, remontait la couette sur le corps. Sophie éteignit la lumière et nous attendîmes quelques secondes. J’entendis alors Sophie chuchoter :
- Entre, fais comme chez toi, ajouta-t-elle avec un trait d’humour.
Pascal lui répondit en chuchotant également.
- Tu ne veux pas aller en bas ?
- Non, je veux que tu me baises à côté de lui !
- Tu es vraiment une nympho, ton mec n’a vraiment pas idée !
- Tu veux ou tu veux pas ? le pressa Sophie.
- Il ne risque pas de nous entendre ?
- Il a pris un somnifère, et il a le sommeil très lourd.
- Tu as les préservatifs ?
- Oui, répondit-elle.
J’avais maintenant le dos tourné. Je ne pouvais plus savoir ce qu’il se passait, je ne pouvais que l’imaginer.
J’entendis ce que je pensais être la déchirure de l’emballage. Je sentis Sophie se couchait sur la place à côté de moi dans mon dos. Le mec respirait fort.J’entendis des bruits humides de masturbation. J’imaginai qu’il ou elle branlait sa bite pour la préparer au préservatif. Je les entendis glousser bassement, puis gémir. Je m'efforçais de ne pas trahir mon éveil, je me concentrais sur le fait de respirer lentement comme quelqu’un qui dort malgré que mon pouls s’accélérait. Puis je sentis le mec monter sur le lit lui aussi, ou sûrement sur ma Sophie. Je sentis des mouvements. J’entendis leurs souffles, leurs gémissements. Je bandais raide sous ma couette.
- Humm, quelle bonne salope…
- Hum oui, prends moi devant lui. Je suis une vraie pute, souffla Sophie.
Ils essayaient de retenir leurs cris et de baiser le plus silencieusement possible. Pascal croyait sûrement en sa réussite car je ne bougeais pas d’un poil et il avait tendance à s’oublier de plus en plus dans l’action. Je n’avais plus besoin de me concentrer sur ma respiration pour la rendre crédible, il m’apparut évident qu’il ne m’aurait pas entendu de toute façon, trop occupé à sauter ma copine juste à côté de moi. Le plus frustrant était de ne pas pouvoir me branler. Pendant les quinze minutes que durèrent l’acte, je me concentrai pleinement sur les sons pour alimenter mon imaginaire visuel. Je ne perdis pas une seule miette de l’action. La situation d’avoir sa copine en train de baiser un inconnu qui pensait être en train de me cocufier contre ma volonté, était extrêmement excitante. Ce mâle viril qui pensait tout maîtriser mais qui en fait ne faisait qu’exécuter notre plan à Sophie et à moi.
Je les entendis changer de position plusieurs fois. Je l’entendis complimenter le cul de Sophie et se perdre dedans. J’entendis Sophie sucer à nouveau notre hôte et se régaler. J’entendis Sophie se plaindre à un moment que le mec se trompait de trou et qu’il lui faudrait changer de préservatif ou l’enlever pour la prendre par le cul. J’entendis Pascal l’insulter encore quand il réalisa à nouveau quelle salope elle était. Il la baisa par tous les trous : la bouche, la chatte et le cul. Selon mon imagination, il la prit même en levrette en lui tenant la crinière et en lui mettant le doigt dans la bouche. Il finit par lui donner un orgasme bien mérité qui même étouffé ne pouvait pas passer inaperçu. Je n’avais aucune idée de si c’était son premier de la soirée depuis que je l’avais vu se toucher dans l’escalier, mais je me souvenais m’être dit que ce n’était pas trop tôt pour elle, avec tous les efforts qu’elle avait dispensés.
A la fin, elle lui demanda de jouir sur ses fesses, et de partir en silence avec ses préservatifs usagés.


Lorsque Pascal referma la porte, je me retournai vers Sophie et nous n'eûmes même pas besoin de converser. Le débrief se fit sexuellement, Sophie ne semblait pas encore rassasiée. Elle m’embrassa puis vint se positionner à califourchon sa vulve sur mon visage et se coucha sur moi en position 69. Le sperme de Pascal coulait de ses fesses vers mon visage, j’entrepris de la nettoyer avec ma langue pendant qu’elle suçait ma bite gonflée de désir. Puis je léchai tout, son clito, son anus, j’attrapai le sperme sur ses fesses, l’étalai, le mis dans ma bouche. Je lui léchai les fesses. Sophie gémissait, toujours très silencieusement pour ne pas éveiller les soupçons de notre hôte. Elle continuait sa fellation et c’est dans cette position que nous finîmes par jouir en même temps, moi dans sa bouche, elle, sur ma langue.
Cette soirée nous avait épuisés. Nous nous endormîmes profondément et nous passâmes probablement la meilleure nuit de sommeil de notre voyage.
Au petit matin, je me réveillai presque en craignant que Sophie y soit retournée, accroc à la bite de cet homme mais elle était là avec moi. Elle voulut que cela reste une aventure d’un soir et que nous partîmes en catimini. Pascal ne s’était pas levé tôt comme il nous avait dit être son habitude. Probablement qu’il espérait encore que Sophie le rejoigne pour la baiser une dernière fois mais nous descendîmes tous les deux ensemble, habillés, avec notre valise prêts à partir. Il feignit de se réveiller, nous proposa de rester pour un petit dej, mais nous insistâmes pour reprendre la route immédiatement. Sophie ne manqua pas de le remercier avec tous les sous-entendus que cela comprenait et nous lui attribuèrent une excellente critique signée de nos deux noms, qu’il prit sûrement pour un trophée d’une part pour avoir satisfait son insatiable invitée, d’autre part pour avoir réussi à me laisser penser que j’avais passé un excellent séjour chez lui tandis qu’il pilonnait ma moitié !


Récit 5/12
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