Alice, salope cocufieuse et pute à ses heures

Quelques autres screenshots.

12 juillet 2018 (soir), la suite :
Après m'avoir raconté longuement son escapade de midi, il était temps pour moi de lui signifier que certes le défi pouvait être considéré comme réussi mais que néanmoins, les termes n'avaient pas été respectés.
Ainsi, elle devait de suite aller se changer et se maquiller. Je voulais la baiser comme une pute.
Au programme, jupe trop courte, top transparent, menottes pour entrave, collier et laisse ainsi qu'une petite panoplie assortie entre autres d'un paddle et d'un martinet.
Je me souviens m'être brillamment servi de tous les accessoires pour la piner et la fesser. L'excitation de la journée ainsi qu'un sentiment de vengeance m'animaient. Tous ses trous y sont passés. Ses fesses étaient bien rougies par les coups. Pendant que je la prenais, à quatre pattes, comme la chienne qu'elle est, je me suis mis à énoncer des punitions pour s'être fait baiser par l'inconnu du temps de midi :
1) désormais, le port du soutien-gorge est proscrit (sauf si motivé) ;
2) puisqu'elle est une salope désobéissante, j'envoie de suite la vidéo preuve de sa pipe à un couple d'amis chez qui nous devions aller en weekend quelques jours plus tard ;
3) elle allait trouver un mec ok pour la baiser sous mes yeux. Je resterais témoin mais une fois parti, elle devrait sans rien dire se mettre en position de chienne, la chatte encore humide, pour que je puisse à mon tour profiter de ses trous.
A ma grande surprise, elle répondit par l'affirmative et sans rechigner aux trois points !
Mon excitation était à son comble, je la sentais de plus en plus mouillée et... coulante. C'est dans sa bouche que je me suis fini. Pas une goutte de mon éjaculation abondante n'est sortie qu'elle conclut par un mmh, c'était bon ! J'ai pris conscience à ce moment-là que ma femme était une perle, un diamant à tailler, une salope que j'allais pouvoir éduquer comme bon me semblait !
Et je n'étais pas au bout de mes surprises, loin de là ! Elle décida, par exemple, de son propre chef de ne plus couvrir sa chatte de manière ponctuelle.
Le lendemain, en repensant au déroulé de la journée écoulée, je me dis que finalement la grande gagnante dans cette histoire c'était elle :
- elle a assouvi son fantasme de baiser avec un inconnu ;
- elle a été récompensée le soir en étant baisée et traitée comme une pute ;
- finalement, la punition n° 3 allait assouvir également un de ces fantasmes !

superbe, vivement la suite! bise

Magnifique la suite un chef d’œuvre !

Alice est une très belle pute. Nous avons hate de suivre son evolution.

On imagine qu'avec ce départ fulgurant, en 2018, les cinq années écoulées depuis ont du être remplies de belles surprises avec cette coquine au sourire ravageur et à la poitrine magnifique !

super récit

Super récit ! On attend la suite avec impatience. Elle promet!

Bravo et quelle chance d’avoir rencontré une telle femme

A ce moment-là, pas encore mais nous y viendrons !

En tous les cas, merci à tous pour vos retours.

Je veux tout savoir de cette salope prometteuse

C'est surement très prometteur.. il n'y a pas de mal a mettre un peu de beurre dans les epinards en cette periode inflationniste

Avec mon mari, nous attendons avec impatience, la suite.

24 juillet 2018 :
Les chaudes journées d'été défilaient. Les punitions données étaient en partie exécutées.
- Alice ne portait plus de soutien-gorge. A l'époque, elle avait adoré ce sentiment de liberté complètement nouveau. Elle se sentait épiée par les badauds, ses collègues, nos connaissances. La situation l'excitait. Moi aussi d'ailleurs et j'imaginais sans mal quelques collègues masculins avoir du mal à se concentrer vu les robes légères qu'Alice portait durant cet été. Nous nous sommes d'ailleurs aperçus bien plus tard lors de nos vacances qu'une robe en particulier ne cachait vraiment pas grand chose en fonction de la lumière ! Quelques slips ont dû craquer !

- Nos amis ont particulièrement apprécié la vidéo qui leur est parvenue. Notre ami était comblé, notre amie jalouse. Elle aussi aurait aimé pouvoir faire ce genre d'escapade. Finalement, cette dernière a jugé qu'Alice et elle étaient des grosses salopes et qu'elle lui boufferait la chatte lors de notre week-end chez eux ! Ce séjour dans le sud semblait promettre tellement tous les acteurs étaient chauds ! Tout ce petit monde y allait de son petit projet. Même notre ami commun qui allait nous accompagner pour ce petit voyage commençait à sortir de sa coquille. Tout le monde en parut d'ailleurs fort étonné. Personne n'aurait pu imaginer qu'un gros cochon sommeillait en lui ! Mais nous en reparlerons plus tard car celui-ci prendra une part dans l'éducation de salope d'Alice.

- En ce qui concerne la troisième punition, Alice s'était bien activée. Après avoir réalisé un gros triage, une bonne dizaine de prétendants subsistaient.

Alice porta son choix sur un gars sportif, bien taillé. Il s'est avéré à quelques jours de la date de rendez-vous que celui-ci avait une sexualité déviante peu banale. Il voulait que nous mettions à sa disposition des ballons de baudruche ! Cela a bien refroidi Alice, moi aussi d'ailleurs. Autant nous sommes ouverts, curieux et tolérants, autant nous avions du mal à accepter qu'Alice ne soit finalement reléguée qu'au second rang ! Nous lui avions donc fait comprendre que le plaisir d'Alice était primordial et que son fantasme n'était pas du tout notre trip. Bien qu'il ait répondu plusieurs fois qu'il n'y avait pas de problème, c'est un lapin qui allait se présenter à nous lors du rendez-vous. Alice regardait l'horloge toutes les 5 minutes. Après 30 minutes, nous avons essayé de le joindre par plusieurs canaux, sans succès ! Alice était hyper déçue de ce rencard présumé avorté. Qu'à cela ne tienne, c'est moi qui ai eu le plaisir de profiter de sa tenue de salope et de ses trous bien accueillants !
L'indélicat fut banni. Ce goujat avait préféré donner suite à une dame "plus canon" et non accompagnée de son homme...
À cet époque, Alice n'était pas super à l'aise avec son corps, avait du mal à s'accepter et ne comprenait pas vraiment l'engouement pour sa personne. Je vous laisse imaginer le genre de dégâts que ce genre de connard (pardon) peut faire. Je voyais déjà tout mon travail fichu et la perspective de devoir peut-être recommencer de zéro ne m'enchantait guère...

C'est ainsi que finalement, un peu refroidie tout de même par l'expérience, Alice a jeté son dévolu sur celui que nous appellerons Mathieu.
Rdv pris le 23 juillet toujours à notre domicile ! Cela faisait quelques jours que les deux discutaient tant et plus. Alice était humide à longueur de journée. Pourtant, le matin fatidique, Alice me prévint que le rdv était reporté au lendemain. Nous commencions à être plus que sceptiques quant à la faisabilité des rencontres à domicile et en particulier quant à la fiabilité des hommes seuls !

Nous voilà le 24 juillet. Alice était particulièrement chaude. Plus l'heure approchait, plus sa chatte était humide et chaude. Cela ferait un magnifique écrin pour notre invité du soir. Elle s'était maquillée en insistant très fortement sur le rouge à lèvres. Elle avait revêtu une robe effet mouillé dos nu et des résilles. Sa chatte soigneusement rasée était donc facilement accessible, ce qui m'a permis de vérifier plusieurs l'état de liquéfaction !
Nous avons craint un moment de nous voir poser un nouveau lapin. A 15 minutes du rdv, Mathieu nous prévint qu'il démarrait seulement de chez lui or +/- 40 minutes nous séparaient. Finalement, c'est avec une heure de retard qu'il s'est présenté... sans préservatif !
En attendant son arrivée, Alice ne tenant plus, je lui ai présenté mon sexe complètement gluant, je l'ai masturbée en prenant soin de ne pas la faire jouir. Une fois Mathieu (enfin!) arrivé, elle a juste appliqué un parfum intime sur son abricot en décomposition. De mon côté, je piaffais d'impatience, j'espérais que les choses sérieuses débutent rapidement ce qui ne fut pas le cas ! Visiblement un peu gêné par la première rencontre, la situation et aussi certainement par le fait que j'allais les regarder sans pour autant me cacher, notre gaillard tournait autour du pot !
Lassé des bla-bla inutiles, je l'ai invité à prendre place à côté de ma femme. Les choses sérieuses ont dès lors pu débuter.

Alice et Mathieu se roulaient des pelles, les mains parcouraient les corps. Mathieu s'est mis à masser les seins d'Alice et a vite glissé vers son entrejambe. Sentant l'humidité, il a libéré ses seins, relevé sa robe et a commencé à la lécher. Après quelques instants, les rôles se sont inversés. Mathieu, debout, a attrapé les cheveux d'Alice et la tirée vers son membre. Ma salope l'a englouti et a entrepris une pipe en bonne et due forme. Je n'en perdais pas une miette entre prise de photos, de vidéos et masturbation.
Alice voulant sa queue en elle, s'est installée en levrette sur le canapé. Mathieu a donc commencé ses va-et-vient. Bien qu'elle gémissait comme une chienne, il me semblait que cette séance de baise ne lui convenait pas vraiment. Et en effet, quelques minutes plus tard, Mathieu s'arrêtait déjà. Il était dégoulinant de sueur.
Après une courte pause boisson, Alice se montrait plus entreprenante. Elle voulait de la bite, de la fessée, être baisée sans ménagement ! Elle attrapa Mathieu par la queue et la goba à nouveau. A nouveau en forme, elle se remit à quatre pattes, lui implorant de la fesser plus fort, de la baiser plus fort. J'étais excité comme un dingue, je l'aurais baisée comme elle le voulait mais je ne pouvais que constater que Mathieu reprenait fort timidement ! Il se confondait en excuses, s'épongeait régulièrement ne lâchant plus son essuie... C'est à ce moment que j'ai rangé mon sexe, le spectacle offert n'étant plus à mon goût.
Pourtant Alice était toujours demandeuse. Nouvelle pipe, nouveau léchage de minou, nouvelle capote enfilée. Mathieu enfourna sa queue en Alice maintenant allongée sur le dos, jambes bien écartées et relevées. Las, Mathieu n'était vraiment pas à la hauteur ! Je pense que lui aussi a dû se rendre compte qu'elle n'était pas satisfaite. Il arrêta tout mouvement et je l'entendis murmurer : "ça ne te dérange pas si on arrête là pour aujourd'hui ?"
Alice répondit par un timide "non". Je voyais à sa tête toute sa frustration !
Mathieu s'est rapidement rhabillé. Il n'a même pas été nécessaire de prendre congé de lui !
Après l'avoir raccompagné, je me suis directement déshabillé. Arrivé auprès d'Alice, elle me faisait savoir directement que ça n'avait été terrible du tout, qu'elle avait eu bon mais sans plus mais ça je le savais déjà !
Je l'ai attrapée par les fesses comme elle aime, penchée en avant pour avoir accès à ses trous. J'ai commencé à lui claquer les fesses durement en la traitant de salope, de garage à bites.
Une fois ses fesses bien rougies, j'ai pris ma queue en main et je l'ai pénétrée d'un coup, sans ménagement. Alice gémissait et criait de plus en plus fort son plaisir. Pendant que je lui limais la chatte, je lui ai demandé plusieurs fois si c'est comme ça qu'elle voulait qu'on la baise. Ce à quoi, elle acquiesçait de plus en plus fort.
Après qu'elle ait atteint la jouissance, je mis ma queue dans sa bouche. Elle s'employa à la sucer comme une pro et c'est sur ses seins que mon abondante éjaculation arriva.

Il va sans dire que nous n'avons jamais revu Mathieu !

Encore quelques clichés de cette soirée.

Magnifique, cela donne envie de se vider sur elle

de bien magnifiques récits, en attente de la suite

Vu le peu de retours et le temps que cela me prend, je passe en mode accéléré.

Le mois d'août 2018 est passé à une vitesse folle.

Dans la première quinzaine, Alice a rencontré deux hommes et nous sommes sortis deux fois en club.
Notez qu'elle a continué à porter ses robes quotidiennement sans aucun sous-vêtement.

Le premier rendez-vous juste au sortir du bureau devait être un premier contact avant une éventuelle rencontre. Le lieu était le parking d'un supermarché bien connu de la région.
Je me rappelle avoir dit à Alice qu'elle finirait par sucer. Et ça n'y a pas coupé !
Après un bref échange, le gars avait les doigts dans sa chatte et elle le masturbait.
Quelques minutes plus tard, elle avait sa queue en bouche ! Cette salope a tout avalé puis est rentrée à la maison.
Quand je suis arrivé chez nous vers 19 heures, elle m'a tout raconté, je lui ai glissé un doigt. Son sexe était toujours trempé ! Elle m'a raconté qu'excitée par la situation, elle avait quitté son véhicule pour monter dans l'autre sans son sac à main... dans lequel se trouvait son téléphone. Résultat : pas de souvenir !
Une fois les enfants au lit, nous avons longuement baisé. Ce soir-là, je lui avais même demandé de me sucer comme elle l'avait fait dans l'après-midi... en prenant soin de la filmer !
Alice a bien tenté de reprendre contact avec le gars en question, elle aurait aimé avoir sa queue en elle mais il n'a jamais donné suite !

Pour son deuxième rendez-vous, elle avait été invitée par un directeur d'école dans un hôtel de jour. Rencontré sur le site rencontre celui-ci portait le pseudo de Clark Kent. Quand nous reparlions de cette rencontre, on faisait dès lors toujours mention de Superman.
Cette fois encore, aucune photo ou vidéo n'a été réalisée.
Elle est arrivée dans la chambre, Superman lui a littéralement sauté dessus. Déjà bien excitée à l'arrivée, elle s'est complètement liquéfiée au contact de son inconnu du jour !
Il lui a rapidement retiré sa robe et elle s'est retrouvée nue.
Il lui a massé les seins, l'a doigtée, l'a fessée.
Il a sorti sa queue qu'elle a sucé goulument.
Mise à quatre pattes en bonne chienne, il a léché ses trous, a finalement enfilé une capote et l'a baisée presque deux heures durant en prenant soin de bien l'enculer également !
Il a joui sur ses seins puis s'est douché.
Alice est également passée par la douche et est rentrée. Jusqu'au lendemain matin sa chatte est restée humide. Je lui ai toutefois fait remarqué que la prochaine fois qu'un homme jouissait sur elle, elle devrait revenir sans se laver. Je voulais la sentir puant le sexe, sentir qu'elle avait déjà servi !
Pour sûr, Superman a été jusque là son meilleur coup !
Incroyable mais véridique, Alice a voulu reprendre contact quelques jours plus tard. Superman avait tout simplement supprimé son profil et plus jamais nous n'avons entendu parlé de lui !
Quand Alice m'en a fait part, j'ai brusquement ressenti une excitation sans pareille. En plus, d'être une sacrée cochonne et une incorrigible salope, ma femme était en fait un vide-couilles à usage unique !

Nos deux sorties en club ont été d'une banalité sans nom. Nous n'avons trouvé personne à notre goût. Nous avons donc pris soin de nous balader nus et de baiser au vu de tous.

La deuxième quinzaine a livré son lot de surprises.

Nous sommes en congés et le premier jour de ceux-ci, Alice me fait une révélation.
La semaine précédente, alors qu'elle était partie chercher à manger durant la pause midi, un homme plutôt bien fait l'a accostée en rue et l'a complimentée.
Il lui a ensuite proposé 150 euros pour une baise rapide dans un hôtel du coin plutôt sympa.
Offusquée, elle a refusé. Le gars n'a pas insisté et est parti.
Pourtant, en poursuivant son récit Alice me dit avoir été tout de même excitée durant l'après-midi et finit par me demander ce que j'aurais fait à sa place.
Je lui réponds que pour ma part, j'aurais dit oui. Baiser des inconnus gratuitement ou pas, c'est du pareil au même si la personne plaît.
Après une très courte réflexion, elle me dit que si l'occasion se présente puisque je marque mon accord, elle sautera sur l'occasion.
Inutile de vous dire que je bandais comme un affamé de sexe !

Et là, elle me sert un deuxième truc qu'elle avait gardé secret jusqu'à cet instant.
Alice a 20 ans et elle vit en appartement avec son compagnon de l'époque.
Son contrat de remplacement dans une société de recouvrement de dettes vient de se terminer. Ne voulant pas rester au chômage, elle se met directement en recherche de n'importe quel travail "en attendant de trouver mieux".
Elle aperçoit dans un journal en distribution toute-boîte, une annonce d'un bar à putes. Je me permets une légère remarque : nos lois étant finalement très différentes en Belgique, au jour d'aujourd'hui, les bars à Champagne tels que nommés maintenant sont légaux tout comme au Pays-Bas. On ne parle plus non plus de prostituées mais d'hôtesses d'accueil en bar à Champagne.
Revenons à l'annonce : le bar à putes cherche UN barman.
Alice appelle le numéro et décroche un entretien le jour même.
Elle s'y présente et se fait confirmer qu'il s'agit bien d'un boulot de barman et de rien d'autre. La propriétaire la rassure de suite et lui signifie qu'elle a perdu son barman et qu'il ne s'agit que de servir les boissons, nettoyer le bar, gérer la réserve, etc. Bref, un job de barmaid (donc) !
Voilà la jeune Alice engagée dans un endroit plutôt cocasse.
Elle y preste deux jours sans aucun souci.
Le troisième jour, une fille est malade. La propriétaire demande à Alice si elle a déjà pensé à proposer ses services à ces messieurs.
Alice est décontenancée et fait remarquer à la patronne qu'elle est engagée pour le service boissons (que la jeunesse est naïve).
La patronne lui fait comprendre qu'elle est dans le besoin, que si elle accepte c'est un autre salaire qui s'offre à elle et des moments de plaisir (!)
A ce stade, je suis au bord de l'explosion. J'imagine ma femme, si jeune, s'offrir pour quelques billets à la première bite qui aurait pu la choisir. Je lui demande donc qu'elle a été sa réponse.
Suspendu à ses lèvres, elle me dit qu'après avoir pris le temps de réflexion... elle a finalement refusé la proposition.
Légère déception.
Je bande grave.
Mon sexe gonflé sort de mon boxer.

Alice s'est aperçue de mon état et y va de son troisième secret :
Je devais avoir 17 ans, mon beau-père possédait un billard dans la pièce à côté de ma chambre.
Un jour, alors que j'étais seule, je me suis enfilée la queue.
Alice a failli faire la pute, Alice a failli être une pute, quelle délectation cela aurait été. Je ne pensais qu'à ça. Retour plus ou moins sur Terre, je lui demande de répéter car je ne suis pas certain d'avoir tout compris.
- Un jour, je me suis godée avec une queue de billard quand j'étais seule chez ma mère.
- Quoi ? Avec le petit ou le grand côté ?
- Hé bien avec la base. Que veux-tu que je fasse avec la pointe ???
- T'es vraiment une salope ma parole ! C'était bon ?
- J'ai mouillé le tapis si tu veux tout savoir.
J'étais en train de m'imaginer Alice en train de se mettre une queue de billard ! - Pas pratique, comment as-tu fait ???
- Les queues étaient en deux parties. Cela se dévissait très facilement pour pour pouvoir les ranger dans un étui.
J'étais sans voix ! Mais quelle chienne !!!
- Tu as nettoyé après au moins ?
- J'ai juste nettoyé le tapis pour ne pas qu'il y ait une tache de mouille.
J'ai été chercher son collier et sa laisse.
Je l'ai baisée.
Je l'ai insultée de tout ce qui pouvait me venir en tête.
Je l'ai fessée en lui demandant si elle aurait aimé être une pute.
- Oui !
- Tu aurais aimé avoir du pognon pour être baisée, d'être un bac à foutres ?
- OUI !
- Te rends-tu compte que la queue de billard est restée pleine de mouille ?
- Je m'en fiche !
Je l'ai mise à genoux.
- Lèche mes couilles ! Tu n'es qu'une salope !
Elle avait son regard de chienne.
J'étais en train de me branler frénétiquement quand elle me dit (quatrième révélation) :
- J'aimerais qu'en club, tu me bandes les yeux et que tu m'offres à quiconque voudrait de moi. Hommes ou femmes. Etre léchée et baisée par tout le monde sans jamais savoir qui se serait occupée de moi.
Je lui ai promis qu'un jour, on ferait ça. Quelle serait la chienne de notre club. Je lui ai balancé une sévère décharge de foutre dans la bouche et sur son visage.
Mes congés commençaient vraiment bien !
Et dire que nous devions encore partir chez nos amis dans le sud accompagné de mon meilleur ami !

Carrément génial !!!

Vivement la suite, on adore...

merci pour le partage de toutes les aventures de ta miss
vivement la suite
un liégeois qui lui veut du bien

Très belles histoires, je l'imagine dans un gang bang avec au moins une ou deux bites par orifices.
Et pour bien finir la soirée, la voir nettoyer toutes les bites qui l'on fait jouir.
Très belle femme, vivement la suite.

Récit très chaud, merci pour ce partage.
Très impatient de lire la suite !

Suite de nos aventures...

Comme la rentrée scolaire se profilait, nous avons avancé notre séjour chez nos amis afin d'être plus à l'aise le dernier week-end d'août.

Nous voici donc le 28 août 2018.
Nous prenons l'avion avec Peter, mon meilleur ami et allons passer trois jours chez Alain et Aurelia, des potes communs.
Aurelia, c'est celle qui a promis à Alice de la déguster...
Dans l'avion, je fais remarquer à Alice qu'Alain est très sympa de nous accueillir, que nous avons de la chance d'aller dans le sud à moindre coût. Pour le remercier, je suggère qu'elle le suce dès notre arrivée.
Il ne se passera rien dans l'avion car notre fille de trois ans nous accompagne également et évidemment, elle demande beaucoup d'attention.

Arrivés chez nos amis, les retrouvailles sont chaleureuses.
On nous fait visiter la grande maison, le grand extérieur avec le terrain de boules, les transats et la piscine.
On apprend à ce moment là également qu'Alice et moi allons partager notre chambre avec Peter.
Alice est un peu décontenancée. Pour ma part, je me dis que c'est râpé pour les baises nocturnes. Mouais...
L'après-midi file entre installation, courses et boules.

Aurelia qui était allée se changer, portait juste un long t-shirt noir. Évidemment quand elle ramassait les boules, elle prenait un malin plaisir à nous montrer ses trous. Alain se marrait à chaque fois en lui faisant remarquer qu'elle était une sacrée salope ! En milieu de partie, elle annonce la couleur :
Le PERDANT me baise ce soir. Au moins, il n'aura pas tout perdu ! Quant à toi ma chère Alice, après notre grillade, nous irons nous doucher et nous habiller. Ensuite, je vais te bouffer la chatte et te goder jusqu'à ce que tu mouilles les draps ! Les mecs n'auront qu'à nous regarder par la fenêtre de la chambre.
Alice ne dit rien, elle sourit. Finalement, elle lâche un "d'accord" sur un air de défi.
J'ai été le grand perdant. Je bandais dur à voir cette chienne de compétition montrer constamment ses orifices et encore plus de savoir que j'allais bientôt pouvoir en profiter !
Durant l'apéro, installés sur les transats, mis à part Alain qui s'agitait aux préparatifs de la grillade, Aurelia écartait sans cesse ses jambes nous offrant une vue de premier choix sur sa chatte dégoulinante. On pouvait distinguer un joli filet, jonction entre ses deux grandes lèvres. Cette chienne se marrait à chaque écartement puis y allait d'un léger gémissement.
Je bandais toujours. Il faut dire que la vue imprenable était pour moi.
Peter semblait de plus en plus gêné par la tension sexuelle. On ne l'entendait pas. Pas un mot, pas une remarque.
Alice me faisait remarquer qu'Aurelia est une chienne affamée. Elle trouvait qu'elle exagérait, que les enfants pouvaient débarquer à tout moment. Pourtant ceux-ci étaient en train de s'éclater dans la salle de jeu. De temps à autre on entendait les rires, ce que je lui ai fais remarquer.
Déclic.
Alice alpague Alain : ta femme va me bouffer la chatte, mon homme va la baiser ensuite. Je compte sur toi pour t'occuper de moi ! Pour te prouver que moi aussi je peux être une bonne salope, je te propose une pipe tout de suite.
Alain acquiesce doublement.
Aurelia fait remarquer à Alice qu'elles sont pareilles... deux salopes.
Alice est amusée, elle s'éloigne déjà avec Alain.
Peter ne lâche toujours pas un mot, il se décompose. Il se demande ce qu'il fait là.
Et moi je bande encore et toujours, trop à l'étroit dans mon bermuda !
Quand Alice fait sa réapparition, elle est en train de se passer les doigts au coin des lèvres.
Elle sourit.
Elle jette un regard non pas de complicité mais plutôt de pure compétition à Aurelia. Elle est chaude. Elle propose une gâterie à Peter qui décline.
Aurelia lui propose la même chose. Peter décline encore.
Alice s'approche de mon oreille en glissant que sa mission est accomplie. Alain a eu tous ses remerciements.
Peter se lève, vide son verre et annonce qu'il va prendre une douche. Dès qu'on distingue le bruit de la douche, Aurelia nous balance son t-shirt et part le rejoindre. C'est complètement nue qu'elle pénètre dans la salle de bain. Alain se demandant où est passée sa femme, nous lui répondons qu'elle est partie rejoindre Peter. Tout ce qu'il dira est qu'Aurelia est une pute. Néanmoins, tout ceci s'est déroulé en a peine deux minutes et finalement Aurelia est ressortie rapidement de la salle d'eau, un peignoir la couvrant. Elle nous annoncera que Peter n'a pas voulu d'elle et qu'il lui a demandé de sortir.
Alice et moi rigolons. Alain, moins. Il lui dira qu'elle n'a dû être super convaincante...

Après le repas, quelques bouteilles de vin vidées et les enfants mis au lit, Alice et Aurelia se sont mises comme prévu en action.
C'est Aurelia qui a lancé les hostilités. Elle a pris Alice par la main et elles ont disparu dans la salle de bain.
Après quelques minutes, elles en sont ressorties.
Alice portait un corset et un mini string qui ne cachait pas grand chose. Aurelia avait opté pour un corset également, un porte-jarretelle et de très jolis bas. Elle était encore la chatte à l'air.
Aurelia a installé Alice sur le lit entourée de jouets divers, elle a ouvert les volets de la chambre et nous a ordonné de sortir de la maison pour nous installer à la fenêtre.
Le temps de faire le tour, Aurelia dansait devant Alice. Elle libéra ses seins qu'elle caressait puis ôta le string d'Alice lui demandant de se toucher.
Alice s'exécuta rapidement. Très vite Aurelia la rejoignit sur le lit. Elles s'embrassaient goulûment.
Alain, Peter et moi spectateurs/voyeurs à la fenêtre, nous assistions à ce spectacle. Chacun se caressait la bite par dessus nos shorts.
Aurelia entreprit de lécher Alice. Elle lapait ses seins puis descendit doucement le long de son corps pour enfin rejoindre sa chatte que l'on voyait déjà complètement mouillée. Alice dégoulinait.
Alain sortit sa queue, il se branlait frénétiquement. Avec son autre main, il filmait sans vergogne la scène et y allait de ses commentaires salaces.
De mon côté, ne tenant plus, je me mettais à me masturber également en prenant soin de ne pas y aller trop fort. Je voulais garder tout mon jus pour cette chienne d'Aurelia. Je voulais inonder son corps de mon foutre.
Peter, jusque là très (trop?) sage, commentait également la scène un grand sourire aux lèvres. Nous n'avions pas remarqué de suite que lui aussi était la bite à la main !
Sous les coups de langue d'Aurelia, Alice gémissait tant et plus. Après quelques minutes, elle demanda à sa lécheuse de la goder. Chose qu'Aurelia lui accorda.
Nul besoin de lubrifiant, le gode entrait et sortait mais malheureusement ce n'était pas du goût d'Alice!
- Plus fort !
- C'est moi décide, c'est moi qui te baise !
- S'il te plaît, plus fort, plus vite, je voudrais jouir. Je n'en peux plus.
A notre grand regret, Aurelia fit la sourde oreille. Je voyais sur le visage de ma belle que ça ne lui convenait pas et elle mit fin rapidement à ce petit jeu saphique remerciant son amante.
- Venez les gars, nous ordonna Aurelia.
C'est la bite à l'air que nous les avons rejointes.
Aurelia se jeta sur moi comme une morte de faim, elle me déshabilla et me poussa sur le lit. Elle goba ma queue dans la foulée sans que je me rende compte de ce qui se passait autour de moi. Reprenant mes esprits, je vis Peter toujours habillé mais se masturbant. Alice s'employait au fond de la pièce à sucer Alain. Celui-ci était en train de la doigter.
Je me mis à dévorer la chatte trempée d'Aurelia lorsque j'entendis Alice demander à Alain de la baiser.
- Baise-moi. Baise-moi fort. Je veux être remplie.
Alain se leva, probablement pour prendre un préservatif et c'est à ce moment là qu'Aurelia lui lança :
- Je t'interdis de la niquer !
- Mais pourquoi ???
- Pcq je te l'interdis, lui répondit-elle entre deux gémissements.
Alice sans doute frustrée de ne pas avoir joui avec son amante et se rendant compte qu'elle ne serait pas non plus baisée par Alain me dit :
- Si elle ne veut pas qu'Alain me prenne, je ne veux pas non plus que tu la baises !
Froid glacial.
Peter avait déjà rangé sa queue.
Alice et Alain étaient déjà partis en direction de la cuisine et s'installèrent à table, nus, avec un verre de vin. Ils furent rejoints dans la foulée par Peter.
Aurelia et moi toujours dans la chambre, continuions nos jeux oraux. Puis, face à l'évidence de la situation, nous nous sommes arrêtés. Après nous être promis de reprendre plus tard (ce qui n'est finalement jamais arrivé jusqu'à ce jour) nous avons rejoint également le reste de la troupe nus comme des vers. Je bandais toujours fort, Aurelia était remplie de mouille coulant le long de ses jambes.
C'est à côté de ma belle que je me suis installé qui me lâcha un "désolée". Elle prit ma queue dans sa main et la massa.
Aurelia n'a pas eu le temps de s'installer. La voyant arriver, Alain l'attrapa par la taille, la tourna, lui mit trois ou quatre claques bien senties sur son cul magnifique. Il la pencha en avant, les mains sur la cuisinière. Il prit sa queue en main et l'enfonça d'un coup en elle. Il fit quelques va-et-vient, l'insulta de salope, lui fit remarquer que de sa faute l'ambiance était plombée tout en la fessant. Son cul était complètement rouge ! Cette chienne l'encourageait à y aller de plus belle.
Nous assistions à cette baise, moi toujours branlé par ma douce qui se caressait également. Peter, lui, se remit à se masser la bite par dessus ses vêtements.
Les choses semblaient repartir du bon pied quand soudain, Alain se retira d'un coup, attrapa Aurelia fermement par les cheveux et lui balança une giclée de foutre au visage.
- Sale pute, tu n'auras rien d'autre ! J'espère que tu seras aussi frustrée que nous. Tu vas t'asseoir sans t'essuyer et tu vas boire ton verre. Moi, je vais me coucher !
Alice, Peter et moi, nous nous sommes regardés, nous demandant sans doute ce qu'il se passait (encore).
Alice se leva de table :
- Je vais me coucher aussi.
Peter vida son verre et lui emboîta le pas. Ils rejoignirent tous deux la chambre voisine de la cuisine.
J'étais attablé comme un con, mon sexe encore dur et avec un mal de couilles bien présent...
Aurelia vint s'installer à côté de moi me montrant fièrement le foutre dégoulinant de son visage sur ses seins.
Nous avons discuté un moment, tout en vidant encore quelques verres, pendant lequel nous nous sommes dit que nous aurions bien voulu nous déguster plus "profondément" et pendant lequel nous nous sommes demandé également si Peter et Alice étaient dans le même lit ou chacun de son côté. Vu le silence, il y avait fort à parier que chacun était à sa place mais amusés, nous avons quand même poussé la porte pour vérification. Et déception, le sage Peter était bien blotti dans son drap, seul dans son petit lit d'appoint.
Nous nous sommes souhaités la bonne nuit, tous deux rejoignant nos compagnons respectifs.

Installé dans le lit auprès de ma belle, frustré et toujours avec mon mal de couilles, j'étudiais les possibilités :
- Réveiller doucement Alice et la baiser en silence pour ne pas réveiller Peter ?
- Me branler doucement pour ne pas les réveiller ? Mais où me lâcher, je n'avais rien à proximité pour m'essuyer et la perspective de dormir avec du foutre sur le corps ne m'enchantait guère...
- Ne rien faire, m'endormir avec toute cette frustration ? L'alcool aidant, cela n'aurait pas dû être compliqué...
Mon salut vint alors d'Alice qui en fait ne dormait que d'un oeil :
- Ca va ? Tu ne dors pas ? murmura-t-elle.
- Non pas encore. J'ai mal aux couilles, je n'arrête pas de bander, je suis frustré, j'ai trop envie !
- Bien tu sais, moi aussi je suis frustrée. Je n'ai pas joui, personne ne m'a baisée finalement. Tu veux me prendre ?
Je lui répondis :
- Ok pour moi mais Peter est là.
Je n'eus pas le temps de terminer ma phrase ! Elle répondit tac-o-tac :
- Je m'en fous ! Baise-moi stp ! Prends-moi et fais-moi jouir ! A peine eut-elle terminé que ma queue était dans sa bouche.
Soulagé à l'idée que j'allais enfin baiser et sans doute absorbé par la pipe prodiguée par ma salope d'Alice, je mis un moment avant de me rendre compte de bruits suspects ne provenant pas de notre couche !
C'était Peter ! On entendait des bruits de frottement accompagné de sons de bite bien mouillée qu'on branlait !
Je le fis remarquer à Alice.
Elle stoppa sa succion et me dit sur un ton enjoué :
- Oui je sais, j'ai entendu mais je m'en fous. Prends-moi maintenant.
Sur ces paroles, je me redressai d'un coup et mit ma salope dans la position qu'elle préfère : à quatre pattes, le cul tourné vers Peter. Je pris soin d'allumer la lampe de chevet et ensuite, je mis ma queue bien au fond de son minou détrempé.
En train de la baiser, je fis :
- Stop les conneries maintenant ! Peter vient ici te faire sucer pendant que je la baise. Je sentis Alice mouiller abondamment. Peter se leva et alluma carrément la lumière de la pièce.
Il vint près de nous la queue en main. Il se mit à caresser les seins d'Alice. Elle voulut lui gober la bite mais il eut un pas de recul :
- Je peux pas faire ça. Tu es mon meilleur ami et il s'agit de ta femme !
On lui fit remarquer que ce n'était pas grave, que c'était désiré mais rien n'y fit. Il se contentait de se palucher tout en lui massant les seins.
Tout à coup, il disparut de la chambre. Sans doute allait-il jouir. Mais en fait, non. On l'entendit avec un volume sonore assez net :
- Venez, ça baise !
Alice et moi nous sommes demandés ce qui lui prenait de crier de la sorte. Nous étions en pleine nuit, il allait réveiller les enfants !
Finalement, quelques secondes plus tard, nous fûmes acteurs face à Aurelia, Alain et Peter.
Les trois se branlaient frénétiquement. Excités par la situation, je baisais Alice de plus en plus fort et elle, elle gémissait de plus en plus fort.
Alice se mit à jouir. Son corps était proche de la convulsion. N'en pouvant plus, je la mis sur le dos et déchargea sur ses nichons. Aurelia se mit à jouir également. Peter en avait fini également. On pouvait distinguer du foutre dans sa main. Alain attrapa à nouveau Aurelia par la chevelure et la fit mettre à genoux. Il se vida avec une deuxième faciale tout en l'insultant de bac à foutre !
Je ne sais pas pourquoi mais nous avons tous fini par rire. Nous avons repris un dernier (!) verre et sommes allés nous coucher.
Le réveil fut (très) difficile ! Entre gueule de bois générale et les cris des enfants bien réveillés eux !

J ai pas encore tous lu
Mais j adore ce genre de topic
Merci du partage .

J'enchaîne directement avec la suite qui après ce séjour va devenir extrêmement piquante !

29-30-31 aout
Il n'y a pas grand chose à raconter malheureusement. Clairement, quelque chose à été cassé entre les filles. Cela va se confirmer le 29 et s'accentuer le 30.

Tout le monde fait un passage obligé par la case antidouleur et sieste après le déjeuner.
On se remet tous difficilement. Les gosses sont surexcités et ne nous lâchent pas d'une semelle.
On s'en veut un peu et on se fait la réflexion commune que nous avons exagéré ! On décide dès lors de la faire cool pour ce soir. On pourra profiter de notre dernière soirée le 30 avant de rentrer.
Néanmoins, Aurelia ne semble pas l'entendre de cette oreille... Que ce soit sur les transats, à la douche, lors des parties de boules, elle continue dès qu'elle le peut à montrer ses origines à qui la regarde. Elle finit d'ailleurs à poil lors d'une partie de pétanque alors que le voisin direct est en train de rentrer chez lui. Elle restera comme ça tant que les enfants font la sieste car de toute façon "ce n'est pas la première fois que le voisin me voit. Il vient parfois faire une partie avec nous".
Alain décide de la calmer et l'emmène dans leur chambre pour une partie de boules d'un autre ordre.
Alice et moi proposons de nous occuper des enfants si la sieste venait à se terminer.
Je repensais à tout ce qui était arrivé la veille. Je commençais à bander et je n'aurais pas cracher sur une petite pipe vite fait bien fait.
Je m'arrange avec Peter le sage plus si sage qui s'occupera des enfants au cas où.
Je ne devrai pas négocier très longtemps avec Alice. Nous nous éloignons dans une annexe pour être cachés.

- Sors donc tes seins !
Elle s'exécute et les prend en main. Elle se les masse et me rappelle à quel point j'aime quand elle fait ça.
Je sors ma bite et lui présente. Je lui dis à quel point elle a été une bonne salope hier, que je suis fier d'être son mari sans pour autant regretter la tournure de sa relation avec Aurelia.
Elle me dira que celle-ci l'a saoulée à ne pas vouloir la baiser comme elle voulait, qu'elle aurait pu continuer pendant des heures sans pour autant que ma chérie atteigne l'orgasme. Elle me raconte également que l'interdiction de baiser avec Alain alors qu'ils étaient bouillants tous les deux avait été la goutte qui a fait déborder le vase. Tout et tous pour elle... Nous convenons que nous verrons comment tout cela se passe et que nous prendrons ce qui vient, qu'au pire des cas, nous profiterons de nos amis de manière "traditionnelle".
Loin d'avoir débander, je lui demande de s'agenouiller et de me prendre en bouche. Je profite de l'instant, Alice gemit en me suçant. Je lui pince les tétons. Elle aime, elle adore quand je lui fais cela. Elle sort ma bite de sa bouche et me demande si je veux bien la baiser et reprend sa pipe gourmande. Après quelques secondes de réflexion, je sens Alice s'arrêter, j'entends des bruits de pas.
- Ah ! C'est là que vous êtes ! Je peux le sucer avec toi ? C'est Aurelia qui en a fini avec Alain mais qui visiblement n'en a pas eu assez...
Pendant une seconde, je me dis qu'enfin je vais pouvoir avoir une fellation à deux bouches, je m'imagine la scène.
Alice y coupe court.
- On allait baisé mais pas grave, régale toi. Finissez ce que vous avez commencé hier soir ! Alice tourne les talons, remballe sa paire de sein et s'en va d'un pas assuré.
Aurelia s'approche, sourire carnassier.
Comprenant qu'Alice n'apprécie pas vraiment la situation, je comprends qu'il vaut mieux éconduire Aurelia.
- Je comprends, me dit-elle. Dommage, j'aurais aimé tout avaler pour enfin te goûter. Ce sera pour une prochaine fois.
Je rejoins ma moitié la bite dure, presque douleureuse.

Bien qu'Alain nous propose une soirée de débauche le lendemain pour notre dernière nuit chez eux, il ne se passera plus rien !
Peut-être par vengeance ou jeu, allez savoir, nous apprendrons bien plus tard, car Aurelia l'a avoué à Alain, que celle-ci a convié un couple d'amis pas du tout porté par les plaisirs du sexe.
Je me souviendrai toujours de la tête de mon pote en voyant leur voiture dans l'allée menant à la maison. C'eût été la police qui venait l'emprisonner à vie, cela aurait été pareil !
- Bin putain, on n'est pas prêt de baiser !
Me voyant interloqué, il ajouta :
- Ils sont collants ceux-là. Il faut limite les mettre dehors pour qu'ils partent!

Et de fait, Aurelia a tout fait pour que la visite "surprise" s'éternise... Apéro interminable, oubli d'achat du charbon pour la grillade et les "vous n'allez quand même pas partir si vite"!

Alice a capitulé vers 1 heure du matin. Nous devions partir tôt le 31 pour prendre l'avion et elle se voulait fraîche pour s'occuper de notre fille.
- Amuse toi et profite de tes potes, me fit-elle.
Bien que je m'amusais et rigolais de bon cœur, le cœur n'y était pas vraiment. A l'intérieur, je me disais mais bordel vont-ils se barrer un jour ? A 2heures, je rejoignais Alice. Peter fit de même mais dans son petit lit.

Bien qu'on puisse qualifier pratiquement de fiasco la partie sexuelle de cette escapade, nous avons globalement passer un très bon séjour. L'avenir nous apprendra par la suite que nos petits jeux entre amis n'étaient pas terminé. Pour autant, nous ne sommes jamais retournés chez eux sauf Peter qui vous allez le comprendre va faire un virage à 180 degrés et se dévergonder d'une manière particulièrement inattendue !
Il ne perd d'ailleurs jamais une occasion d'au moins se faire sucer dès qu'il est en présence d'Aurelia !

Dans l'avion, nous étions cette fois disposés en 2+2. Notre fille qui defitivement adore les vols est assise aux côtés d'Alice. Me voilà donc avec Peter toujours aussi stressé en avion. Pour le détendre et surtout occuper son esprit à autre chose, je lui proposes de débrifer notre court séjour.
Cela a été vite fait : Aurelia est une grosse salope et il ne s'imaginait pas ça d'elle, du moins pas à ce point. Alice est une grosse cochonne aussi ! Mais il se l'imaginait mieux vu ce que je lui ai déjà raconté... Sinon le vin était bon, la bouffe aussi et globalement on s'est bien marré.
J'acquiesce avec tout. La petite dame à côté de lui moins. Elle le dévisage, elle nous dévisage. Elle comprend vite fait que la grosse cochonne est assise derrière elle. Peter et moi rions.
Gros silence, dans nos paroles en tous les cas.
Je vois bien qu'il a quelque chose à me dire mais il bloque. Soudain, il me fait:
- Tu sais le premier soir...
- Quoi ? Ben non, raconte...
- Bin en fait, quand tu m'as dit de vous rejoindre pour me faire sucer... En fait, ça m'aurait plu, peut-être même plus. Mais j'osais pas. Je craignais que ce soit sur le coup de l'excitation. J'avais peur que cela brise notre amitié, j'avais peur pour ma filleule (vous l'aurez compris, il est parrain de notre choupette).
Je ne savais trop quoi dire sur le coup mais cela me confortait dans l'idée que finalement tout le monde voulait baiser Alice !
Je lui répondis finalement :
- C'est bête. Elle était dans le feu de l'action, bien excitée et frustrée de ne pas avoir été baisée comme il faut avant. Elle t'aurait sucé, tu aurais pu lui mettre ta queue où tu l'aurais souhaité. Elle était tellement chaude qu'elle aurait fait n'importe quoi. A mon avis, on aurait même pu faire une double ! Tu sais, je pense que tu et que nous avons raté le coche. Oui, on sort en club, on échange mais nous n'avons jamais fait de trio. Je ne sais pas si ce sera réalisable à l'avenir avec toi compte tenu de la proximité que nous avons !
C'est à ce moment que la brave dame qui visiblement n'en avait pas perdu une miette demanda à une hôtesse si elle pouvait changer de place. Pas de chance, l'avion était plein à craquer !
J'ajoutai :
C'est bien que tu te sois confié. Rentrons chez nous et profitons pour nous reposer un peu. Lundi, c'est rentrée scolaire et reprise professionnelle. Mais tu sais, on cherche qqun de fiable pour jouer à trois, qqun que nous n'aurions pas peur d'inviter chez nous. On voudrait un truc suivi pour qu'Alice se lâche au maximum et vu qu'en plus tu es célibataire, tu me sembles tout indiqué ! J'en discuterai à tête reposée avec elle.

Nous sommes rentrés chacun de notre côté.
Pour notre part, nous avons décidé d'une petite soirée bien coquine en amoureux, histoire d'évacuer la frustration des derniers jours.
Comme à notre habitude, nous avons baisés comme des porcs. Entre fessées, gorge profondes, entrave, jouets en tous genres, anale, vaginale, tout y est passé et je n'ai pas manqué de glisser à l'oreille de mon adorable salope que le parrain de notre fille rêvait en fait de lui fourrer sa queue dans tous ses trous.
Sur le coup, elle ne dit pas un mot. Mais son corps avait déjà répondu pour elle. Elle coulait littéralement sur le canapé.

Si ce n'était que ça...

Super récit encore merci et hâte de pouvoir découvrir la suite

Merci, ça fait plaisir.

Yes merci pour ce post, très sympa. On espère découvrir la suite en effet ! Surtout la partie pute en ce qui me concerne

Elle est incroyable... il y a une liste où postuler?

Merci pour vos retours.
Je poste la suite dès que possible.

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Contactez l’administrateur du forum ou le webmaster: webmaster@candauliste.com

On dirait que quelque chose s'est pas passé comme prévu

En effet ! Impossible de poster la suite. La flemme de tout retaper... sans savoir si cela fonctionnera !

Ohhh zut tu as tapé pour rien ? Merde...
Quand tu écris un truc long, je te conseille de toujours l'écrire sur un traitement de texte pour éviter les mauvaises surprises !

On espère que tu auras le courage de te remettre à taper parce que votre histoire est excitante et pleine de promesses

Si le texte est long, il vaut mieux le taper sur Word, et faire un copier coller sur le site. En effet il n'est pas rare que l'éditeur "saute" quand on reste un peu trop longtemps en mode réponse.

Tu as abandonné du coup ?

J'ai beau avoir retapé tout dans un traitement de texte, impossible de le poster.
Toujours le même message d'erreur.
Vu que l'Admin ne semble pas vouloir bouger, nous en resterons là !

Je ne suis que le co admin et je n'y connais pas grand chose en subtilité informatique et encore en script internet.
Mais, je vais aller dans le sens des messages précédents à savoir que de faire ton brouillon sur word ou autre puis de coller sur plusieurs messages.

Je propose cela car je n'avais jamais vu ce type de souci sur le forum.

C'est ce qu'il a fait et il arrive pas à poster.
Faut trouver une solution parce qu'on n'a plus de récits du genre, tous les posteurs s'en vont ou s'arrêtent. Alors que c'est ce qu'il y a de mieux sur ce forum !

1er septembre 2018

Vu que nous cherchions un complice pour des trios mais aussi pour baiser Alice pendant je serais simple spectateur,
Vu les confidences de Peter (célibataire depuis juillet 2014!) dans l'avion,
Vu qu'Alice ne semblait pas fermée à l'idée de jouer avec lui,
Je décide de l'inviter pour passer la soirée avec nous comme nous l'avions fait déjà des dizaines de fois. Sauf que j'avais une petite idée dernière la tête !
Peter répond très vite par l'affirmative et propose de prendre son scrabble...
Ce à quoi je lui réponds que c'est autre chose qu'il va prendre !

L'apéro et le repas finis, nous restons attablés et nous entreprenons une partie de cartes. Toutes les discussions convergent sur le sexe et plus précisément sur la débauche qui a lieu en France.
Peter finit même par s'excuser auprès d'Alice de ne pas l'avoir baisée...
Elle lui dira que ce n'est pas grave.
Je me suis dit que ma petite idée derrière la tête avait du plomb dans l'aile ! Alice qui te dit c'est pas grave, c'est Alice qui te dit en fait que c'est mieux comme ça ! Cela a été mon ressenti sur le moment en tous les cas. N'empêche ça continue de discuter sexe et chacun y va de ses petites confidences et envies mais cela ne se passe pas du tout comme je l'espérais.

L'heure avançant, Alice nous signifie qu'elle va mettre notre fille au lit.
Peter lui lance alors:
- Comme on a dit ! Tu t'habilles sexy !
Alice ne dit rien, elle esquisse un petit sourire en coin.
Pendant qu'elle est à l'étage, nous parions sur le fait qu'elle s'exécute ou non, quel(s) vêtements pourrait-elle porter, etc.
Peter me confie qu'il bande à cause de toutes ces discussions.
Pour ma part, je pars défaitiste et me dit qu'elle ne fera pas une chose pareille, pas avec lui. Trop proches...
Nous entendons la porte du rez-de-chaussée s'ouvrir. Nous ne savons pas à quoi nous attendre. Elle traverse la salle à manger et distinguons des bruits de talon. Le son est de plus en plus proche, Alice est dans le salon et désormais dans le petit hall qui mène à la cuisine.
Tel un moment suspendu, nous attendons impatiemment de la voir.
Mes yeux sont rivés vers le sol. Alice fait son entrée.
Première déception, les talons sont des talons certes mais il s'agit d'une paire assez confortable qui n'a pas grand chose de sexy et qu'elle utilise en guise de chaussures le soir quand nous restons à la maison.
Deuxième déception:
- J'ai mis mon kimono, j'ai un peu froid.
Mon regard croise celui de Peter. Pas besoin de mots. On se dit que c'est foutu.
Alice nous annonce qu'elle voudrait se poser, qu'elle est quelque peu fatiguée de la semaine écoulée:
- Je vais m'installer dans le canapé devant un film. Ne vous tracassez pas pour moi, jouez.
Nous lui disons que nous allons l'accompagner et lui emboîtons le pas.
Arrivée à hauteur du canapé, je distingue les mouvements d'Alice. Elle est en train de défaire sa ceinture et fait aussitôt glisser son vêtement de soie.
Je me trompais ! Nous nous trompions !
Alice tourne son visage vers nous et nous dit qu'elle nous a bien eus ! Et en effet, Peter et moi nous nous recomposons, notre déception s'est envolée au moment où le kimono a laissé place à une nuisette translucide qui ne cache pas grand chose. Ni devant ni derrière ! Pas plus en haut qu'en bas ! Pas de sous-vêtement à l'horizon.

Alice s'installe pile au milieu du canapé et nous invite à nous asseoir à ses côtés.
Elle propose un film, on n'arrive pas à tomber d'accord. Peter reluque allègrement ses nichons. Elle s'en amuse, lui dit que c'est un cochon. Il ne s'en laisse pas conter et continue son petit jeu.
Je propose de choisir le film moi-même. J'ai justement, une belle scène de triolisme MFM sous la main.

Je me dis que cela va donner des idées, faire monter l'excitation.
Très vite, Alice est excitée. Elle trouve les acteurs à son goût. Je constate d'ailleurs qu'elle n'a plus les jambes croisées. Celles-ci s'ouvrent peu à peu.
Peter semble se dandiner, serait-il à l'étroit ?
Alice commence à me caresser par dessus mes vêtements. Malgré la promiscuité, elle est bien tournée vers moi et délaisse complètement notre ami qui d'ailleurs n'a plus droit à la vue qu'il avait il y a encore quelques minutes.
Je me décide à résoudre cette situation inacceptable et à activer une bonne fois pour toute ce petit jeu à trois.
- Quand on a une paire de seins comme ça, on ne les cache pas. Libère les et fais en donc profiter Peter.
Alice s'exécute non sans me demander si je suis certain. Ma réponse a été de l'aider en faisant glisser les bretelles de la nuisette.
Peter y va de ses commentaires. Il semble apprécier le spectacle qui lui est à nouveau offert.
Il tend une main vers la poitrine d'Alice et me demande la permission de toucher.
- Chérie, veux-tu que Peter te masse les seins ?
- Oui. Je veux qu'on me suce les tétons aussi, tu sais que j'adore ça.
Vu le regard de notre ami, il semble qu'il ait parfaitement enregistré l'information !
Nous voilà donc, en train de parcourir à quatre mains et deux bouches le corps de ma chère Alice.
- Ecarte tes jambes mon cœur. Jai envie de te caresser, te doigter !
Alice s'exécute à nouveau sans broncher. Je sens toute son humidité. Nul doute, ma cochonne est prête.
Elle défait mon pantalon que je retire et chope de sa main droite mon membre déjà dur et bien humide également. Elle me masturbe.
Elle tente de faire pareil avec Peter mais celui-ci à un mouvement de recul.
- Je ne suis pas certain que ce soit une bonne idée ! Je crains pour notre amitié qui pourrait être mise en péril.
L'excitation retombe bien évidemment. Nous nous mettons à discuter tous les trois et après quelques minutes, Peter est convaincu et rassuré.
Les conditions:
- Le jeu durera le temps qu'il reste célibataire ;
- Si un de nous trois veut y mettre fin pour quelque raison, il ne devra pas se justifier. Tout s'arrête ;
- Peter devient le gode vivant d'Alice ;
- Il y aura de la baise à trois, juste eux deux tranquillement voire eux deux sous mon regard ;
- Alice étant ma salope, je pourrai l'envoyer se faire baiser et rentrer aussi vite. A charge de Peter de faire le max pour se libérer ;
- À la demande Peter, sauf exception, aucun cliché ne sera pris. Il en va de même pour les vidéos ;
- Peter prendra soin de toujours mettre une capote ;
- Nous ne parlons de ceci à personne. Il s'agit d'un secret que nous ne pouvons briser.
Une fois le cadre établi et tout le monde rassuré, nous buvons un verre à notre santé avant de reprendre nos petites affaires là où nous en étions arrivés !

Alléluia !
Et vive le bloc-notes.

Yeeeaaah merci pour la suite et cette bonne érection
Content que l'aventure Alice reprenne ahah

Un plaisir à lire

1er septembre 2018, la suite

Nous sommes debout. Alice au milieu de nous deux, face à moi.
Nos langues se mélangent goulûment.
Je lui caresse les seins, lui pince les tétons.
Mes descendent sur ses hanches et je sens une main de Peter m'effleurer.
Il lui caresse le cul.
D'un mouvement, je le retourne vers Peter.
Ils s'embrassent. On dirait des amoureux tellement cela semble tendre.
Je fais tomber les bretelles de sa nuisette une à une et c'est maintenant la nuisette qui tombe.
Alice est nue.
Je me déshabille à mon tour pendant que Peter continue ses baisers.
Ses mains se baladent partout.
Il fouille son intimité.
Alice gémit.
La bouche de mon pote se jette sur les seins de ma belle. Chacun leur tour, les tétons sont léchés, mordillés, pincés.
Alice gémit plus fort.
- Tu es trempée ! lâche Peter.
- J'ai envie de vos queues.
J'attrape Alice et la fait asseoir sur le coin de l'assise.
Je porte ma queue à sa bouche. Alice s'empresse de me sucer. Elle s'applique. Elle lèche la hampe de la base jusqu'au gland puis part dans des mouvements de va-et-vient tout en maintenant son regard dans le mien.
Pendant ce temps, Peter retire ses vêtements. Une fois nu, Alice lui fait signe de la main de nous rejoindre.
Nous voilà tous deux face à Alice, bites tendues.
Elle les prend en main, se met à nous branler puis commence à nous sucer tour à tour.
- Ta femme suce comme une chienne !
- Elle adore ça, lui dis-je. Elle adore qu'on l'insulte, ça l'excite !
Peter semble avoir bon, très bon.
- Couche-toi salope et écarte tes jambes. Je vais te bouffer la chatte.
Alice s'exécute sans demander son reste.
Peter s'active sur son minou et glisse un doigt dans son sexe.
Alice m'interpelle :
- Occupe-toi de mes seins pendant qu'il me lèche.
Je lui suce les mamelles comme elle adore. Pendant que ma bouche s'occupe d'un téton, de ma main je lui tire et pince l'opposé.
Alice pousse des râles.
- Je vais te montrer comment elle aime se faire baiser.
J'ordonne à Alice de se mettre à quatre pattes.
Ma main claque sur chaque fesse. Plusieurs fois. De plus en plus fort.
Son cul est rouge. On y distingue les marques.
Je prends Alice par les hanches. Ma queue n'a absolument aucun besoin de forcer pour la pénétrer.
D'intenses va-et-vient s'enchaînent. Je sens Alice de plus en plus mouillée, sa chatte est liquéfiée. Son jus coule le long de mes couilles.
Elle crie son plaisir.
Tout en continuant à la ramoner et lui asséner une fessée ou l'autre, je jette un regard à Peter qui est en train de se branler.
- Tu as compris ce qu'elle veut ? Comme une chienne !
Alice gémit toujours tant et plus.
- Peter, fais-toi sucer pendant que je la baise. Elle a besoin d'une queue en bouche.
Notre lascar ne s'est évidemment pas fait prier.
Voilà notre brave Alice en train de se faire pilonner la chatte tout en suçant et gémissant.

Nous avons passé la soirée en une sorte de baise-relais.
Moi dans sa chatte et Peter dans sa bouche et inversément.
J'avoue avoir perdu la notion du temps et ne me souviens plus vraiment combien de temps tout ce manège a perduré.
Néanmoins, Peter et moi prenions un malin plaisir à nous arrêter et échanger nos places dès que nous sentions l'excitation trop forte.
Nous nous sommes arrêtés lorsqu'Alice a lâché un magnifique jet de mouille sur le canapé ! De mémoire, elle a joui au moins trois fois rien qu'en la pénétrant alors qu'elle aime plutôt qu'on s'occupe de son clitoris.
Quant à Peter et moi, toujours bandants et n'ayant toujours pas donné la moindre goutte de foutre, c'est en nous suçant côte-à-côte qu'Alice nous a terminé.
Peter a joui dans sa bouche et cette petite salope a tout avalé.
Pour ma part, ayant la chance d'être fort productif, je me suis lâché dans sa bouche, sur son visage et le reste a été pour ses seins.
Ce fut digne d'un film de cul !

Peter et Alice se sont vus un grand nombre de fois jusque la toute fin de l'année 2019.
Chaque fois que je recevais une photo coquine, Alice prenait un malin plaisir de l'envoyer également à son nouvel amant. Durant ces quelques mois, Alice avait en quelque sorte deux hommes.
Nous avons aussi poursuivi nos trios mais il n'y a pas eu un nombre incalculable.

Afin de pouvoir revenir plus rapidement au présent, je progresserai de manière chronologique en écartant les (trop nombreuses) histoires avec Peter. Je ne les oublie pas toutes pour autant et je vous raconterai certaines sous forme de "parenthèse".

Merci le bloc note de permettre à ce récit de reprendre ! Et merci pour ce récit bien écrit

On sent bien qu'Alice a encore plein de choses à nous révéler !! Vivement !

Je sais que c'est bientôt noël, mais ce n'est pas la peine de m'enguirlander non plus.

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Tout a été tapé dans le bloc-notes mais ça recommence !
J'abandonne ! Bonne continuation !

!!!

Les boules j'étais trop content de voir qu'il y avait un nouveau post !

C'est probablement un caractère spécial dans le texte .. Je ne vois que ça ? Ou trop long?

Allez, si il est sauvegardé dans votre bloc note, j'espère que vous aurez le courage de retenter de poster, qui a le découper en plusieurs parties... (Si je peux aider d'une manière ou d'une autre, n'hésitez pas, je ne suis géographiquement pas loin )