Le Strip Game

Ma copine et moi jouons au trou du cul déshabilleur avec un couple d’ami


Un beau mois de mai, Délia (32 ans) et moi (Romain, 34 ans) avions loué un mobil-home dans un camping de l’Algarve au sud du Portugal bénéficiant de l’atout de ne pas avoir d’enfants pour profiter du soleil sans être étouffés par les foules de touristes.
Au cours de notre séjour, nous avions fait la connaissance d’un autre couple de français d’environ notre âge : Saria et Clément. Les deux filles s’étaient d’abord rencontrées à la piscine du camping où Délia avait abordé Saria parce qu’elle avait un tee-shirt “IT Crowd”, une série dont Délia était très friande. Quand elle s’était aperçue que l’anglais de Saria trahissait un accent français, le contact avait été établi et elles ne s’étaient plus quittées de la journée.


Le soir, elles avaient organisé une soirée jeu improvisée entre couples puisque nous partagions, à priori, un intérêt commun pour les jeux de société. Je fis ainsi la connaissance de Saria, très belle femme, d’origine libanaise et de Clément, bâti à m’en donner des complexes.


Nous avions ainsi “copiné” avec eux pendant les 2 semaines de notre séjour.
Au début, nous ne les voyions que le soir pour faire des jeux ou assister aux différentes animations du camping tandis que la journée, nous sortions dans la région avec Délia. Puis les deux filles s’étaient vite mises à proposer des sorties en couple en journée, à la plage par exemple.
Une soirée, proche de la fin (la réservation de Saria et Clément touchait à son terme), nous avions bu (un peu trop?), nous revenions de la soirée dansante et n’étions pas vraiment transportés par l’idée d’aller nous coucher. Nous avions envie de profiter encore de nos nouveaux amis avant leur départ et nous les invitâmes donc à une soirée jeu tardive.
Nous jouâmes à un petit jeu de bluff nommé Skull & Roses et décidâmes d’ajouter une règle permettant de faire durer la partie tout en poussant aux confidences : augmenter le nombre de défis à gagner pour emporter la partie (qui était normalement de 2) et donner la possibilité au perdant d’un défi de choisir de répondre à une question indiscrète plutôt que de perdre une carte (4 cartes perdues signaient normalement l’élimination)


C’est lors de cette partie que nos amis apprirent que Délia et moi avions eu une expérience sexuelle avec un troisième homme et que j’étais moi-même bisexuel. En vérité, je devais ce dérapage à Délia qui, lors d’une de mes défaites, me demanda si j’aimais l’anal alors qu’elle savait très bien la réponse. Saria avait bien noté que j’étais mal à l’aise et avait posé la question “Tu aimes l’anal pour toi ou sur Délia ?” à ma défaite suivante, ce à quoi j’avais répondu : “les deux”. J’étais étonné de voir Délia satisfaite vu que je la connaissais particulièrement réticente à se lâcher sur les sujets de sexe devant ses amis. Délia attachait une énorme importance à sa réputation. Mais je songeai que le fait que Saria et Clément n’étaient que des amis de vacances, qu’on ne reverrait probablement jamais ou en tous cas qui n’auraient jamais le loisir de communiquer avec nos amis et nos collègues de notre vie de tous les jours, devait probablement être la raison pour laquelle Délia se lâchait de la sorte.


J’ai déjà eu l’occasion de vous raconter dans ma première histoire (“le vis à vis”), comment cette aventure nous était arrivée à Lisbonne. Délia était allée jusqu’à céder au chantage indécent d’un inconnu pour récupérer une vidéo qu’il avait de nous et se rendant compte que j’étais excité par la situation, m’avait fait participé à leur ébats en tant que cocu soumis ; ébats pendant lesquels j’avais découvert ma bisexualité.
Je dois vous avouer qu’en revenant de Lisbonne, je ne faisais pas le fier et cette expérience m’avait énormément travaillé.
Délia avait envie de recommencer mais je n’étais pas sûr que c’est ce que je voulais. Je me sentais sale, honteux. Il avait fallu un peu de temps à Délia pour me rassurer à ce sujet. En vérité, je m’étais même posé des questions : “Suis-je devenu gay ?” “Serais-je toujours attiré par Délia si nous prenons l’habitude d’introduire un homme dans nos ébats ?” “N’est-ce pas une façade ?“
Noël était arrivé avec son lot de préoccupations (les achats de noël), puis les fêtes, puis ma mère avait été hospitalisée pour un souci de santé et il avait fallu que je m’occupe pas mal de mon père. La discussion avec Délia avait été enterrée jusqu’à ce qu’un soir, je rentre et la retrouve en train de se masturber devant le PC.
Durant l’espace de quelques secondes, je crus qu’elle me trompait en cybersexe avec un autre homme et la première réaction qui me vint fut une grande excitation doublée d’un pincement de jalousie. Je sus qu’il n’y avait pas de doute, j’étais toujours terriblement attiré par Délia et j’avais probablement un vieux fantasme candauliste enfoui en moi.
En vérité, Délia ne faisait que se masturber devant un porno gay. Et il ne s’agissait pas d’un truc soft entre hommes, il s’agissait vraiment d’un plan bareback en gros plan. Cela eut pour effet de relancer la conversation sur nos désirs sexuels et fantasmes respectifs.
Délia aimait l’animalité qui se dégageait de ces rapports entre hommes. Elle aimait beaucoup le rapport de dominant et soumis ainsi que l’anal. Elle l’aimait sur elle-même mais elle redoutait parfois d’être trop malmenée ou d’avoir mal et disait prendre encore plus de plaisir à le vivre par mon intermédiaire car j’étais plutôt costaud. (En vrai, moi je dirai plus grassouillet mais bon visiblement, je me vois plus négativement qu’elle ne me voit, elle).
Quant à moi, je lui avouai être véritablement excité à l’idée de la partager, de revoir le désir que j’avais quand je l’ai découverte nue pour la première fois dans les yeux de parfaits inconnus et l’excitation que cela pouvait leur procurer.


Suite à cette discussion, Délia m’offrit le plaisir, pour mon anniversaire, d’une session coquine en ligne sur un tchat de mise en relation aléatoire où elle alla jusqu’à se masturber devant un homme qui la gratifia d’une belle éjaculation. Puis nous fîmes l’amour comme nous ne l’avions pas fait depuis un moment.
Je lui offris, quelques jours plus tard, en guise de remerciement, un gode ceinture qu’elle pourrait utiliser sur moi lors de nos prochaines vacances dans 2 semaines au portugal, ce qu’elle n’avait pas manqué de faire à deux reprises au cours du séjour.


Le jour suivant la soirée Skull&Roses, je n’étais plus très sûr de ce que nous avions confessé exactement à nos amis. Nous étions partagés entre la peur de tomber sur eux et d’être jugés à jeun sur nos confidences et l’envie de les revoir pour leur dernier jour et dernière nuit sur le camping. Quand nous tombâmes effectivement sur eux, sur le chemin de la piscine, leur comportement chaleureux nous rassura sur le fait qu’ils n’avaient pas pris peur ou du moins pris leur distance vis-à-vis de nos bizarreries. Peut-être qu’ils se posaient exactement la même question que nous mais je ne me rappelais pas qu’ils aient fait d'extravagantes révélations. Il faut dire qu’ils avaient une fâcheuse tendance à gagner les jeux. Le soir même, ils nous invitèrent à leur mobil-home à leur tour pour un apéritif et quelques jeux.
Au début, l’ambiance était plutôt sérieuse. Nous fîmes un petit “codenames” : filles contre garçons. Puis après quelques verres, nous décidâmes de changer de jeu. Clément sortit un tarot de 78 cartes et nous proposa un “trou du cul” (que nous connaissions sous le nom de jeu du “président”). Comme le nom du jeu avait déclenché quelques remarques salaces, Saria jugea opportun de proposer de faire plutôt un “trou du cul déshabilleur", histoire de voir de vrais “trous du cul” (avait-elle plaisanté). Je connaissais le “poker déshabilleur” ou le “pouilleux déshabilleur”, mais pas vraiment le “trou du cul déshabilleur”.
La règle n’était pas bien compliquée.
Pour le trou du cul, je ne rentre pas dans le détail, il s’agit de réussir à poser toutes ses cartes en main en respectant un certain nombre de règles. Le joueur qui finit le premier devient “président”, le second “vice-président”, le troisième “vice trou du cul” et le dernier “trou du cul”. A la partie suivante, le vice trou du cul est pénalisé et le trou du cul doublement pénalisé en faveur respectivement du vice-président et président si bien que l’ordre établi est renforcé et le jeu devient au global, un jeu d’ascension sociale.
La règle “déshabilleur”, s’appliquait seulement au trou du cul : celui-ci devait, en plus de tout cela, retirer un vêtement. J’aurais dû me douter que cette règle sentait la merde (sans mauvais jeu de mots ^^). On avait bien sûr toutes les chances qu’une personne se retrouve à poil avant que toutes les autres n’aient perdu un seul vêtement. Mais j’avais déjà quelques verres dans le nez et le “codenames” avait déjà eu raison de mes derniers neurones éveillés. Délia et moi acceptâmes de bon cœur.


Avant de commencer, nous vérifiâmes tous, que nous avions le même nombre de vêtements sur nous, à savoir quatre : une paire de tongs (pour nous tous). Clément et moi avions chacun un sous-vêtement, un tee-shirt et un shirt. Saria était encore en bikini deux pièces bleu-marine de sa journée de piscine mais avait enfilé un petit gilet par-dessus. Délia était en robe légère par-dessus son maillot de bain deux pièces.


Aux premières parties, je crus que la roue avait tourné en notre faveur (à moi et à Délia) car Saria devint vice trou du cul et Clément trou du cul (et inversement à la deuxième), ce qui nous plaçait en bonne posture pour ne pas perdre un vêtement pendant que Saria et Clément était déjà pieds nus. À la troisième, Clément se retrouvait déjà torse nu. Puis sans se décomposer, il commença son ascension sociale. À la quatrième partie, Délia devint trou du cul et perdit ses tongs. À la suivante, Saria perdit son gilet et enfin à la sixième, c’est moi qui me retrouvai pieds nus. À partir de là, ce fut la descente aux enfers : je perdis tee-shirt et shirt coup sur coup et j’étais maintenant en boxer.
Clairement, je complexais en regardant la musculature de Clément. Bizarrement, je n’avais pas eu de pensées homo à son égard : son torse m’inspirait plus de la jalousie que de l’excitation.
Les deux parties suivantes, je remontai d’un cran la hiérarchie laissant ma pauvre Délia à la place du trou du cul. Si je commençai à réaliser ce que le jeu allait provoquer en la voyant se défaire de sa robe et se mettre en maillot de bain, ce n’était rien à côté de l’excitation qui me parcourut lorsque Délia retira son haut. Jusqu’alors, nous nous étions tous déjà vus en maillot de bain, donc pas de grande surprise. Mais là, ma ravissante Délia allait se mettre à nu et je me mis à durcir.
Délia avait une poitrine plutôt proéminente et qui ressortait d’autant plus qu’elle était plutôt svelte de corpulence, avec un physique de sportive. En somme, elle avait des seins magnifiques qui aurait dressé n’importe quelle queue. Quand elle fit tomber le maillot sans se donner la peine de se cacher les seins, j’observai le regard de Clément sur ma copine. Sa poitrine ne le laissait clairement pas indifférent. Saria ne semblait pas plus jalouse que cela. Elle riait de bon cœur. Elle fit même une incursion sous la table de jardin et me fit remarquer le début de trique qui s’emparait de moi en pouffant de rire. Je lui dis que c’était normal “ma copine me faisait de l’effet”. La vérité, c’est que c’était l’exhiber qui me faisait de l’effet.
En plus, nous étions sur la terrasse du mobil-homme à la vue de tous.
La partie suivante, je vis quelques hommes passer et tenter de jeter un regard innocent vers nous en faisant mine de ne pas regarder les nichons de ma copine tout en se rinçant bien l'œil.
Distrait par la situation, je manquai de placer une carte que j’aurai dû placer et perdis la partie. Je devais maintenant ôter mon boxer et me retrouver nu, ce qui devait normalement marquer la fin du jeu.
J’avais une bite de taille tout à fait acceptable et sous le coup de l’érection, j’avais moins peur d’être jugé sur sa petite taille, alors je profitai de celle-ci pour me défaire de mon boxer.
Délia applaudit mon audace (elle ne pensait peut-être pas que j’irai au bout), et Saria ne manqua pas une miette du strip-tease. Même Clément avait levé les yeux de Délia et me regardait. Ils me demandèrent de faire un tour sur moi-même pour montrer mes fesses.
- Non mais oh ! Vous voulez pas que je vous fasse une danse aussi pendant qu’on y est ?
Je me rassis aussi sec regagnant ma pudicité.
- On fait un autre jeu ? demanda Clément.
- On peut continuer ! répliqua Délia. Vous avez encore des vêtements à perdre !
- Oui, mais Romain a déjà tout perdu, signala Clément. Que fait-on s’il redevient trou du cul ?
- Il nous montre son trou du cul ! rétorqua Saria.
Délia et elles rirent de bon cœur.
- Mesdames, quand même, il y a des enfants qui passent dans ce camping.
- C’est pas faux, dit Clément. On devrait peut-être se mettre à l’intérieur, en plus il commence à faire frisquet.
Les filles acquiescèrent. Moi je me demandais s’ils étaient sérieux : se mettaient-ils à l’intérieur pour le froid ou pour que les choses deviennent plus chaudes. Je pensais encore naïvement que Saria plaisantait.
En rentrant dans le mobil-home, nous entrâmes dans la petite intimité du couple Clément et Saria. Il y avait, une culotte de Saria qui trainait par terre, qu’elle s’empressa de cacher sous le lit. Leurs valises n’étaient pas encore faites pour le départ. Clément débarassa la table des quelques provisions qu’il leur restait : tomates, concombre et un sac de cerises qui me rappelaient que nous n’avions pas dîner (mais nous avions tout de même mangé un peu à l’apéro). Il rapprocha la table du lit car ils n’avaient qu’une banquette amovible pour 2 personnes.
- Peut-être que c’est mieux si on se met tous sur le lit, proposa Saria.
Je ne voyais pas en quoi c’était mieux mais tout le monde semblait être d’accord avec elle et Clément remis la table à sa place (je compris après que sur le lit, nous étions tous à découvert nous laissant le loisir de nous mater sans être gênés par le mobilier). La banquette servit de rallonge et nous pouvions nous asseoir en tailleur. J’étais le seul un peu mal à l’aise car j’avais la bite à l’air, que je tentais de la dissimuler derrière ma main pour qu’on ne voit pas que j’avais débandé. Délia semblait être plus à l’aise et assumer sa grosse poitrine que Clément avait du mal à quitter des yeux et chaque fois que Saria le surprenait ainsi, elle semblait plutôt amusée par la situation.
- Bien, je propose que si le trou du cul a encore un vêtement à retirer, il le retire. Sinon, il reçoit un gage de la part du président, expliqua Saria qui avait déjà bien réfléchi à une version alternative hardcore du jeu.
Tous approuvèrent sachant où cela allait nous mener. Personnellement, j’allais me donner à fond pour ne pas être dernier et laisser Délia perdre car la simple idée qu’elle se retrouve à avoir des gages sexuels devant moi m’excitait au plus haut point (et c’était probablement pour cette raison que j’avais accepté de poursuivre sur cette idée saugrenue).


Nous reprenions la partie là où elle en était et sans surprise, je perdis la première de cette série “nouvelles règles” et Clément, président, m’ordonna de me lever du lit, de me retourner et de montrer mon trou du cul à tout le monde.
Je m’exécutai, fit un tour sur moi-même et allais me rasseoir quand il m’interrompit en insistant bien qu’il avait dit “trou du cul” et pas “fesses”. Ils me firent recommencer et me demandèrent d’écarter les fesses pour qu’on puisse voir mon anus.
Je me sentais légèrement humilié mais quand je revins à ma place et que je remarquai que la bite de Clément avait un peu durci à travers son boxer et que Saria me regardait un peu plus intensément, je me sentis flatté.
La partie suivante, la tendance s’inversa enfin. Avec un excellent tirage, l’avantage du président ne lui permit pas de me détrôner et je réussis le formidable exploit de passer de trou du cul direct au poste de président. Saria perdit cette partie et retira le haut de son bikini.
Sa poitrine était moins imposante que celle de Délia mais plutôt bien proportionnée, je dirai plutôt un bonnet C. Ses tétons étaient légèrement “puffy” (c’est-à-dire dressés au bout des seins). Elle était déjà très séduisante en temps normal, je la trouvai presque intimidante ainsi nue. Comme Délia, elle ne chercha pas à se cacher, elle semblait fière de ses seins qui laissaient toute fois apparaître ses marques de bronzage sur le reste du corps. Délia me scruta avec un sourire. La partie devenait vraiment chaude.
Nous continuâmes de jouer avec beaucoup d’erreurs de part et d’autre car très distraits et un peu pompettes. Délia perdit la partie suivante.
Elle se leva, se retourna et décida de nous dévoiler son cul magnifique en retirant doucement sa culotte de maillot de bain. Délia avait des fesses particulièrement rebondies et bien fermes. Elle en était fière et moi aussi. Puis elle se tourna avec la main sur son minou, qu’elle retira doucement en riant, se défit de la culotte à ses pieds et se rassit. Délia était complètement rasée au niveau de la chatte. Ma trique et celle de Clément se faisaient de plus en plus marquées.
Clairement, Clément avait été déstabilisé par ce strip-tease car il perdit la prochaine et dut à son tour retirer son boxer révélant ainsi une queue de taille à peu près similaire à la mienne, peut-être légèrement plus large mais moins longue. Il bandait aussi. Il était particulièrement poilu au niveau du pubis (ça se voyait déjà un peu sur le torse, les bras et les jambes mais là c’était un peu plus flagrant).
Délia semblait très émoustillée par cette apparition et elle gloussait avec Saria en faisant des messes basses.
Saria était la seule à qui il restait un vêtement (son bas de bikini). La partie suivante vit Délia perdre à nouveau (Clément vice trou du cul). Saria, qui était présidente, donna un gage à Délia. Elle demanda à Délia de caresser le sexe de Clément donnant ainsi le premier gage de contact qui marqua le début d’une soirée bien plus pornographique que l’érotisme auquel nous nous étions accoutumés. Pendant que Délia caressait le sexe tendu de Clément, Saria me fixait. Elle semblait excitée, elle aussi, par la situation. C’était comme si Délia lui avait raconté mon fantasme candauliste et qu’elle en avait elle-même un similaire avec son mec.
Moi je planais complètement. Tout le monde put remarquer que je bandais à nouveau (d’ailleurs à force de bander pendant les gages et débander pendant les parties, les liquides séminaux s’accumulaient sur les draps et je n’étais pas le seul). On pouvait remarquer une tâche sur le bikini de Saria qui semblait mouiller abondement.
Nous reprîmes le jeu et Délia perdit à nouveau. Cette fois, Saria qui avait encore gagné, demanda à Délia de choisir entre me sucer moi et sucer Clément.
La décence aurait poussé Délia à me choisir moi, ne serait-ce que pour signifier à Saria qu’elle allait trop loin dans ses gages, mais je ne fus pas surpris de voir que Délia avait déjà décidé dans sa tête que cette soirée se finirait en partie de sexe entre couples. Elle décida de sucer Clément. Pendant les cinq bonnes minutes que cela dura, je ne pus m’empêcher de me masturber en les regardant, inutile de feindre la jalousie, je crois que Saria et Clément avait bien vu que cela m’excitait et je vis même Saria faire de même en mettant la main dans son bikini.
Alors que Délia s’appliquait et que ses bruits de succions nous transportait dans un état de luxure jamais ressenti, Clément l’arrêta probablement avant qu’il ne s’apprête à jouir car cela ne faisait pas partie du contrat du gage.
Au tour d’avant, j’étais descendu vice trou du cul, la partie suivante, je finis trou du cul et cette fois le gage s’appliqua à moi. Saria avait encore gagné. Je me demandai si elle allait me demander de lui lécher les seins ou pire, de sucer son copain vu les confidences de la veille (mais je ne savais pas s’il était lui-même bi).
Ce qu’elle me demanda fut bien plus hardcore : elle me demanda de m’insérer le concombre que Clément avait déplacé tout à l’heure. Je fis “non” de la tête mais Délia tenta de me convaincre :
- Allez, on sait que tu aimes ça et nous on aimerait voir ça, c’est hyper excitant dit-elle.
Clément se leva et alla me chercher un préservatif et du lubrifiant qu’ils avaient dans leur trousse de toilettes.
- Tu peux mettre ça dessus si tu veux !
- On peut aussi arrêter le jeu maintenant, me proposa Saria comme issue de secours.
La vérité, c’est que je n’avais pas envie d’arrêter car j’avais envie de voir Délia se faire baiser. Alors je décidai de m’exécuter.
Vint alors cette scène surréaliste où je me mis à quatre pattes sur le lit entre eux et m’enduis le cul de gel. Mon cul avait déjà subi deux sodomies cette semaine avec le gode ceinture de Délia, donc je n’en étais pas à ma première fois et je le savais propre car je lui faisais un lavement régulier pour faire plaisir à Délia. J’enfonçai d’abord un puis deux doigts. Puis enfila le préservatif sur le concombre, qui n’était pas beaucoup plus gros que le gode ceinture dont j’avais l’habitude (mais bien plus long), je le lubrifiai puis le posai sur ma rondelle. Enfin je l’enfonçai.
Délia se touchait en me regardant et Saria décida de retirer son bas de bikini bien qu’elle n’avait pas perdue, pour avoir la liberté de se toucher elle aussi. Les deux filles échangeaient un regard complice. Je commençais à comprendre sur quoi elles s’étaient entendues et quelles étaient leurs passions communes.
Clément se branlait en regardant la situation. Je ne saurai dire si c’était moi qui l’excitais ou plutôt les deux filles.
Je l’enfonçai un peu plus profond et fis quelques va-et-vient.
- Je peux ? me demanda Saria ?
Elle fit un geste comme pour se saisir du concombre. Je l’autorisai. Elle fit alors elle-même les mouvements de va-et-vient dans mon cul en accélérant de plus en plus. Je gémissais comme une fille et manquai de peu de jouir ainsi. Puis elle s’arrêta, le retira et se racla la gorge.
- Hum, ne jouis pas trop vite, on a encore quelques parties à jouer, dit-elle en souriant.
La partie d’après, tout le monde jouait n’importe comment et n’avait qu’une envie, c’était de la terminer pour passer aux gages. On se demandait presque pourquoi on continuait le jeu mais il avait de marrant qu’il désignait le perdant subissant les sévices et le gagnant décidant des gages.
Délia semblait s’être laissée perdre et contre toutes attentes, c’est moi qui l’emportai et eut la primeur de choisir le gage pour ma copine. Mais je n’avais envie que d’une chose : que Clément la prenne devant moi. Je demandai alors à ce qu’il l’encule. D’une part, je me faisais plaisir, d’autre part je punissais Délia en choisissant l’anal car je savais que le gage précédent avait été à cause d’elle (de quelque chose qu’elle avait dû dire à Saria) et en même temps je punissais Saria en ne lui demandant pas son avis pour que son mec baise ma copine. Mais elle ne sembla pas être inquiétée plus que cela.
Clément s’exécuta sans se faire prier et Délia lui présenta son cul rebondi qu’il écarta. Il enduit son anus de lubrifiant et enfila un préservatif. Il ne put pas la pénétrer dès la première fois. Cela lui prit bien quelques minutes et la pénétration sembla douloureuse pour Délia qui n’était pas bien préparée mais ses petits cris de douleurs se transformèrent rapidement en cris de jouissance. Délia criait haut et fort “défonce moi, hum” !
Saria et moi n’avions pas le cœur à les arrêter. Je m’astiquai le poireau vigoureusement en regardant son copain défoncer ma copine et Saria se branlait la chatte que je pus d’ailleurs prendre le temps de détailler, un beau petit ticket de métro au niveau de la croupe, luisante de mouille. Saria mouillait très abondement.
À un moment, elle décida de venir se placer en face de Délia qui était prise en levrette. Elle écarta les jambes et saisit la tête de Délia pour la plonger entre ses cuisses.
Délia se laissa faire. Saria la força à lui lécher la chatte et gémissait à son tour.


Clément n’en pouvait plus de pilonner le petit trou serré de Délia, il indiqua à celle-ci qu’il était prêt à venir.
- Romain, viens, prends son sperme ! m’ordonna-t-elle, au summum de l’excitation.
Je lui obéis immédiatement dans un état second. Romain sortit sa bite du cul de Délia, enleva son préservatif et se finit au-dessus de ma bouche. Il poussa alors quelques râles et des giclées de sperme sortirent de sa bite. Il sembla qu’à ce moment Saria fut elle-même prise d’un orgasme bruyant et humide car je sentis aussi ses fluides atterrir sur moi (il me fut confirmé par la suite que Saria était une femme fontaine).
Je nettoyai la bite de Clément avec ma langue et avalai son sperme pendant que les filles continuaient à se donner du plaisir. En suçant Clément, je vis qu’il durcissait à nouveau, il venait à peine de débander, quelle endurance ! Ma fellation de nettoyage se transforma en une fellation de préliminaires. Il me tint la tête et me baisa littéralement la bouche en regardant les filles s’embrasser et se lécher les seins mutuellement. J’étais devenu son objet sexuel.
Puis Délia me fit signe de monter sur le lit à quatre pattes et toutes les deux avec Saria, dirigèrent la bite de Clément vers mon orifice qui était déjà bien dilaté à cause du concombre. Clément ne me traita pas aussi gentiment que Délia. Il semblait qu’il n’avait pas osé lui faire mal mais qu’avec moi il ne se retenait pas sachant le gouffre qu’était mon cul.
Il me baisa sans préservatif et les filles le suçaient de temps à autre et à tour de rôle, quand il sortait sa bite de mon cul.
Enfin, pour finir cette partie de baise entre couples, Délia et Saria me demandèrent d’enfiler un préservatif et de baiser Saria pendant que je me faisais enculé par son copain.
Saria s’allongea sur le dos et m’ouvrit grand les jambes. Je lui enfonçai mon sexe dressé sous les encouragements de Délia puis Clément vient s’introduire à nouveau dans mon cul. J’étais littéralement pris en sandwich et ce fut une des expériences les plus excitantes de ma vie.
Délia, quant à elle, se masturbait vigoureusement en me regardant enculé, pénétrer son amie. L’orgasme vint quasi simultanément pour nous tous. Je déclarai que j’allais venir quand les contractions de Saria se faisaient de plus en plus fortes. Nous jouîmes ensemble, puis je sentis le jus de Clément se propager dans mon cul à peine quelques secondes après, accompagné des bruits de jouissance de Délia qui se donnait un ultime orgasme.


Nous nous attardâmes là, sur le lit, tous épuisés et béats de cette aventure. Nous restâmes toute la nuit pour dormir, les deux garçons par terre et les deux filles sur le lit. Nous nous endormîmes tellement rapidement que nous étions encore nus, les cartes trainaient partout et la lumière était encore allumée dans la kitchenette empêchant la pièce d’être plongée dans une totale obscurité. Je me réveillai à peine quelques heures plus tard et retrouvai Clément sur le lit en train de prendre ma copine en petite cuillère et ils ne s’en cachaient même pas. Saria était sur le lit avec eux et caressait les seins de Délia en les regardant baiser. Quand elle vit que j’étais réveillée, elle descendit du lit, me donna un préservatif et me demanda de la baiser à nouveau, ce que je fis pendant que Délia se faisait prendre par Clément. Nous baisâmes ainsi jusqu’à l’orgasme comme deux couples échangistes.
Il ne semblait pas y avoir de limite à cette nuit avant le départ de Saria et Clément, nous en profitâmes jusqu’au bout. J’eus notamment le plaisir de baiser Délia avec Clément la double pénétrant dans la chatte (car elle n’en pouvait plus pour le cul) pendant que Saria dormait encore. Et une dernière, pendant que les deux filles prenaient leur douche ensemble et se touchaient, Clément me demanda de le sucer.
Après cela, nous les aidâmes à ranger le mobil’home, tous les préservatifs usagés que nous avions laissé trainé, le concombre, les cartes. Nous leur dîmes au revoir à la fois déçus que ça se termine et soulagés que cela se soit passé en vacances et n’ait pas d’impact sur notre vie quotidienne et nos amis de Paris.

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