Collection "Candaulisme non prémédité"

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.

Collection "Candaulisme non prémédité"

Messagepar jerem4444 » Mar 24 Oct 2023 21:17

Bonjour, je partage avec vous et dans les semaines à venir, une collection de 12 nouvelles candaulistes qui relatent les confidences de 6 couples découvrant cette pratique.
En voici l'histoire "pilote".

01. LE CINÉMA
Ma copine prise par un inconnu au cinéma… et cela m’excite.

Céline et moi vivons en couple depuis près de cinq ans.
Métro, boulot, dodo : la routine s’était installée. Lors de nos dernières vacances, lorsque nous nous sommes retrouvés tous les deux, sans téléphone portable, c’était comme si nous levions le nez du guidon pour la première fois depuis des mois. Nous nous sommes trouvés, nous avons fait l’amour et nous nous sommes dit qu’il faudrait qu’on le fasse plus souvent.
Avec la routine, le désir sexuel n’est plus aussi présent. Nous avons décidé, dans ce moment de lucidité, qu’il fallait profiter de cette prise de conscience pour prendre des mesures : inscrire dans notre emploi du temps, un moment à nous chaque semaine et faire en sorte que ce moment soit original et différent des précédents.

Cela requiert de l’imagination.
Au départ, ce n’est pas plus compliqué qu’un cinéma, aller au théâtre, au restaurant, faire un jeu ensemble. Souvent, l’escapade se solde par du sexe, mais, somme toute, assez traditionnel. Avant que la routine ne s’installe de nouveau, nous avons eu l’idée, un soir après un bowling, de baiser dans la voiture sur le parking presque vide de l’établissement.
Cela a été une révélation pour nous. La peur et l’excitation d’être surpris par un.e inconnu.e pendant l’acte a décuplé notre plaisir. Ce soir-là, nous nous sommes découvert un goût pour l’exhibitionnisme.

Nos rendez-vous amoureux sont ainsi devenus l’occasion d’expérimenter de nouveaux lieux et de multiplier les prises de risque : fellation dans une cabine d’essayage, attouchements dans l’ascenseur, baise à l’écart lors d’une balade en forêt... L’idée que quelqu’un puisse tomber sur nous et prendre du plaisir à nous observer, nous excitait beaucoup, mais nous ne savions pas si nous désirions vraiment que cela se produise. Nous prenions juste du plaisir à l’imaginer.
En vérité, je ne savais pas grand-chose sur mes envies, sur mes fantasmes et encore moins sur ceux de Céline. Et je ne m’étais jamais vraiment rendu compte du fait que ce n’était pas réellement moi que j’aimais exhiber mais Céline.
Céline est sublime. Je n’ai jamais été trop friand d’un physique bien en chair mais j’ai toujours aimé des formes généreuses pour les seins et pour les fesses. Je sais que cela n’est pas toujours bien compatible mais Céline a la particularité de remplir ce critère. Plutôt mince, mais dotée d’une grosse poitrine et d’un cul à faire bander un curé. C’est un peu comme avoir tiré le gros lot. J’ai de la chance de l’avoir. Céline a bien d’autres qualités par ailleurs, mais ceci est une histoire érotique et je ne suis pas sûr que son sens de l’humour ou son talent pour le violon ait quelque chose à apporter à cette histoire.
Lors de mes rares sessions de plaisir en solitaire, je me suis rendu compte que ce qui m’excitait beaucoup, c’était la perspective qu’un homme découvre le corps exquis de ma copine et me jalouse d’être celui qui a la chance de la voir tous les jours dans son intimité.

Une soirée, alors que nous n’avions pas trouvé d’idée de sortie, Céline a osé me proposer une session d’exhibition “à la maison”, via internet. L’idée était de franchir l’étape de s’exhiber devant quelqu’un par webcams interposées et de voir si nous ressentions la même excitation à être vus que celle liée au risque d’être surpris.
Nous sommes allés sur un tchat aléatoire. Nous n’avons même pas cherché à aller sur un site coquin ou des dizaines de couples ont déjà l’habitude de s’exhiber et se sont même professionnalisés, juste la section pour adulte d’un célèbre site qui met en relation au hasard deux interlocuteurs. Nous nous sommes bien doutés que dans cette section, nous allions trouver principalement des webcams de bites sans visage, en train de se masturber (mais pas que, en fait). Nous avons éloigné le PC du lit (sur lequel se trouvait la webcam) mais avons “casté” l’image sur la télé pour voir le texte et la vidéo en grand.
Au début, nous n’avons pas lancé la recherche. Nous nous sommes chauffés tous les deux, avons fait quelques préliminaires et quand l’excitation est arrivée, Céline a lancé la recherche aléatoire. Nous avons zappé quelques caméras, trop sombre, trop mal cadré, personne devant l’écran, hommes ayant un sexe trop petit ou au repos. Nous nous étions pas spécialement mis d’accord sur ce que nous cherchions mais je pense que c’était probablement un homme déjà chaud, pas dégueulasse physiquement et surtout communiquant un minimum (car la plupart se branlent sans rien dire). A un moment, nous sommes tombés sur un mec plutôt bien membré qui nous a aussitôt écrit. Il s’est présenté, nous a demandé des banalités et a complimenté la poitrine de Céline (qui avait gardé la culotte mais avait déjà les seins à l’air). Nous ne l’avons pas zappé, nous avons répondu que l’on cherchait juste un bon public, expressif. Il a dit qu’il pourrait être ce public et nous a invité à poursuivre notre exhibition. Céline a alors retiré la bite de mon caleçon et a entrepris de me sucer en faisant dos à la caméra, à quatre pattes, car elle ne souhaitait pas que l’on puisse voir son visage. Malgré que l’homme ne voyait rien au spectacle de la fellation, il nous a encouragé avec vigueur tout en se masturbant. Céline, très excitée, s’est touchée en même temps. J’ai invité Céline à aller plus loin et à offrir à l’homme une vision de son cul. Elle s’est exécutée sans broncher. Elle a descendu sa culotte le long de ses jambes et j’ai vu
sur la télévision ce que le mec voyait : le gros cul de ma Céline en gros plan. Le mec l’a gratifiée d’un “Hum, trop bon ce cul, j’y plongerai bien ma queue” et s’est branlé frénétiquement.
J’étais très excité qu’un mec s’imagine pénétrer le cul de ma copine. Céline est ensuite montée sur moi et s’est empalée sur ma bite. Dans cette position, elle pouvait tourner la tête en arrière vers l’écran et constater l’effet qu’elle provoquait sans pour autant être vue puisque nos visages à cette hauteur étaient hors plan. Le mec, fou d’excitation, a joui dans sa main puis a quitté le tchat en nous remerciant. Nous avons fini notre partie de sexe sans chercher à nous reconnecter avec quelqu’un d’autre, l’émotion et l’excitation de cette exhib étant encore bien assez présents pour jouir rapidement.
Cette première expérience de réelle exhibition a été un préliminaire à ce qui allait arriver.

C’était une sortie de couple classique pour aller voir un film au cinéma. Nous avions choisi une séance d’un soir, pour un film que nous pensions intéressant. A la base, nous n’avions même pas prévu de sexe. Ce n’était pas un cinéma porno ou quoique ce soit dans le genre. C’était juste un cinéma standard, un MK2 pour être plus précis. Mais visiblement, le film ne marchait pas très bien car il n'y avait presque personne dans la salle.
Deux femmes étaient installées au second rang, ce qui semblait être un couple au troisième rang et un homme seul un peu plus loin. Nous nous installâmes dans le fond de la salle car nous aimons être très éloignés de l’écran. La salle avait la particularité de proposer des sièges qui peuvent devenir “duo”, c’est-à-dire que l’accoudoir central peut se relever.
Ce qui permettait au début de la séance à ma chérie d’être allongée sur mon torse sans être gênée par l’accoudoir pour regarder le film en amoureux ; s’est transformé, une bonne demi-heure d’ennui plus tard, en une bonne opportunité pour se toucher librement.
Je caressais les seins de Céline au travers de son haut et Céline frottait ma bite à travers le pantalon. Ne tenant plus, Céline entreprit de défaire les boutons de mon pantalon pour en sortir une queue durcie par la perspective d’une nouvelle prise de risque exhibitionniste. Elle s’abaissa sur mon sexe et se mit à me sucer, le plus discrètement possible.

Nous étions très excités de la situation. Nous n’étions pas sûr que si les autres personnes à l’avant se retournaient, elles puissent réellement nous voir car ce qui se passait au niveau du bassin devait être caché par les sièges devant nous mais nous imaginions que cela pouvait se deviner.
- Je crois que j’ai mouillé ma culotte, me susurra Céline à l’oreille. Tu veux peut-être aller voir ça de plus près ?
Je glissais ma main le long de son dos pour pénétrer dans sa culotte par les fesses et tentai de me frayer un chemin pour accéder à sa chatte. Elle dut retirer le bouton de son jean et m’aider un peu. J’arrivai jusqu’à sa culotte et Céline ne m’avait pas menti : elle était bien trempée. Je commençai à lui caresser les lèvres et à lui masser le clitoris.
Nous continuâmes ainsi pendant quelques minutes mais il ne fallut pas beaucoup plus longtemps à l’homme seul pour capter l’un de nos - pourtant - discrets gémissements.
Nous le vîmes tourner la tête dans notre direction. Persuadés qu’il ne voyait pas d’où il était, ce qu’il pouvait bien se passer sous la ceinture, je continuai sans gêne de branler ma belle et elle de même.

A un moment, l’homme se leva et nous le vîmes venir s’asseoir au bout de notre rangée. Notre réflexe fut bien évidemment de cacher les pièces à convictions pour ne pas être pris en flagrant délit. Je masquai ma bite à l’aide de mon manteau. Céline se redressa et je remontai légèrement ma main. Je l’avais gardé dans son jean mais on aurait sû dire, là dans le noir, si je n’avais pas juste ma main posée sur elle, la prenant simplement dans mes bras comme un couple normal fait au cinéma. L’idée était bien évidemment de faire comprendre à cet homme qu’il se méprenait, qu’il s’était sûrement imaginé de fausses choses en nous entendant gémir et que nous étions innocemment en train de regarder le film.
Sauf que Céline, amusée de la situation, n’avait pas retiré sa main de ma bite et continuait à me branler doucement sous le manteau.
D’ailleurs, je mouillais abondamment et en foutait partout sur celui-ci.
En vérité, la présence de cet étranger en bout de rangée ne faisait que dupliquer notre excitation. Alors discrètement, nous décidâmes de poursuivre. Céline rabaissa sa tête, souleva légèrement le manteau et me reprit dans sa bouche. L’homme ne pouvait pas voir ce qu’il se passait à part que Céline était couchée sur moi. Quant à moi, je me frayai de nouveau un chemin vers sa vulve pour reprendre la masturbation. Si nous étions restés ainsi, nous aurions pu être confondus dans le noir avec un couple regardant statiquement le film. Mais il fallut bien que Céline opine du chef le long de ma queue pour prodiguer les soins qu’elle me réservait et cela avait tendance à ne pas passer inaperçu.

Céline avait le dos tourné par rapport à l’étranger mais moi je pouvais le voir. Parfois elle se redressait et regardait à droite, pour voir ce qu’il faisait. A un moment, il nous sembla le voir bouger sa main avec vigueur. Il n’y avait aucun doute sur le fait qu’il avait capté notre manège car il se branlait. A moins d’un curieux hasard, nos ébats étaient sûrement la raison de son excitation. Avec la pénombre, nous ne voyions pas très bien si sa bite était sortie et nous nous sommes imaginés que lui aussi ne devait pas voir beaucoup. Il devait probablement s’exciter sur des ombres et user de son imagination pour le reste. Je pris alors l’initiative d’aider un peu l’imaginaire de cet inconnu. Je baissai le haut bien décolleté de ma copine sous l’un de ses seins pour le sortir à l’air libre. J’avais envie que le mec s’excite en voyant cette poitrine parfaite. Je m’attendais à ce que Céline me réprimande et le range comme elle le fait souvent au début lors de nos jeux d’exhib (avant de se laisser un peu plus faire par la suite). Mais de toute évidence, elle était déjà chaude.
- Je crois que tu peux sortir les deux, me souffla-t-elle en souriant.
Je suivis sa suggestion. J’avais appris à ne jamais la contredire.
Je sortis le deuxième sein, exposant sa grosse poitrine à l’air. Je fixai le mec pour voir sa réaction. Un moment “clair” dans le film permit à l’étranger de bien prendre la mesure de ce qu’il venait de voir. Ce moment “clair” me permit également de jeter un œil à sa verge sortie, bien dure et relativement énorme. Plus encore que la mienne.
Dans notre expérience sur internet, le mec avait une queue bien montée mais c’était sans commune mesure avec ce que nous voyions là.
- La vache, me signala Céline après s’être retournée. Elle est ÉNORME, ajouta-t-elle en instant bien sur le mot.
- Je suis trop excité ma chérie, il va falloir que tu ralentisses la cadence, lui répondis-je en désignant sa main qui continuait de me branler la bite à peine dissimulée sous le manteau.
Elle me sourit et arrêta de me branler. Elle prit la quantité incroyable de pré-sperme que j’avais sécrété sur le bout de ses doigts et l’appliqua sur ses seins pour les faire luire. Elle savait que j’adorais cela. En règle générale, je jouissais sur sur sa poitrine et étalais mon sperme dessus.
- Il a l’air d’aimer ma poitrine, me dit Céline en matant le mec accélérer la masturbation de son énorme chibre.
Je sortis ma main de sa culotte et décidai de lui peloter ouvertement les seins. Le mec semblait apprécier que les ébats se soient déplacés à un niveau plus propice au spectacle.
Céline découvrit mon sexe du manteau qui le cachait à peine et reprit ses attouchements plus lentement. Je sentais que la queue de cet inconnu lui donnait envie et qu’elle avait envie de toucher de la bite. Je descendis la main sur son bas-ventre et tentai de pénétrer dans sa culotte par l’avant.
Elle descendit son jean un peu jusqu’à la moitié des fesses, pour que je puisse y accéder plus facilement. Je la masturbai enfin et elle reprit sa fellation.

Le reste du public semblait assez absorbé par le film pour ne rien voir de nos ébats. L’homme par contre, ne le regardait plus, comme nous. Il se leva discrètement et se rapprocha dans la rangée. Il s’installa sur le siège juste à côté du nôtre, derrière ma chérie qui était absorbée dans sa fellation. Il était proche à présent. Je ne savais pas s’il fallait mettre fin à l’expérience maintenant ou ce que dirait Céline quand elle relèverait la tête et se rendrait compte de la proximité de l’individu.

Je pus le détailler un peu, il était d’un âge plutôt mature mais sans être vieux. Il avait un physique plutôt ordinaire. Ce qui le caractérisait, c’était définitivement la taille de sa queue.

Céline se releva et eut un petit sursaut en se rendant compte que le mec était juste sur le siège derrière elle. Son réflexe fut de cacher sa poitrine avec ses bras pendant qu’elle le détaillait à son tour.
L’inconnu reprit effrontément sa masturbation sans dire un mot et en fixant Céline du regard. Cela sembla détendre Céline et relancer son excitation. Elle retira ses bras de sa poitrine et exhiba fièrement ses énormes seins à l’individu, presque comme une invitation. Celui-ci répondit en les caressant du bout de la main gauche. Elle se laissa faire et mon cœur se mit à battre à cent à l’heure. Je pensais mon excitation à son paroxysme avant cela mais je n’avais encore rien vu.
Céline se saisit de ma bite qu’elle venait à peine de lâcher suite à la surprise et reprit son activité tout en gardant le regard et le buste tourné vers cet homme.
Je trouvais cela terriblement excitant. J’imaginais qu’elle était en train de soutenir les yeux de cet homme tout en en branlant un autre, comme pour lui montrer la cochonne qu’elle était. Ce n’était pas juste exhiber ma copine que j’aimais en fait, c’était la voir faire sa salope avec un total inconnu. Je ne la connaissais pas comme ça, j’avais l’impression de la redécouvrir.
Mais cela ne s’arrêta pas là. Avec sa main droite, elle saisit le pénis de l’homme et se mit à le branler aussi. Elle avait une bite dans chaque main et moi, toujours la main sur son clitoris, je pus constater qu’elle mouillait abondamment.
Elle tourna sa tête vers moi pour voir ma réaction.
Elle vit que j’étais sous le choc mais que je ne disais rien. Elle sut que j’avais atteint un niveau d’excitation jamais égalé auparavant.
Elle branla le mec et moi-même, tout en me regardant dans les yeux, m’offrant ce même regard que je l’avais imaginé donner quelques secondes plus tôt à cet inconnu. Un regard de pute qui en voulait. Je ne pus me retenir d’avantage. Je jouis instantanément dans sa main. Je me rendis compte que cela faisait quelques secondes que je ne la masturbais plus, elle.

Elle ne s’arrêta pas de le branler après que j’eus envoyé la purée et il ne s’arrêta pas de la toucher. Bien que mon excitation était retombée un peu, je devais continuer d’assister à ce spectacle que j’avais implicitement autorisé quelques minutes plus tôt. Céline reprit ma bite en bouche pour en lécher le sperme qui coulait tout autour (après tout, il fallait nettoyer, nous étions dans un cinéma) et étala ce qu’elle avait dans ses mains sur ses seins. L’inconnu avait relocalisé ses caresses de plus en plus bas pour essayer d’atteindre son bas ventre puis sa culotte.
Entre lui et elle, il y avait un accoudoir et il semblait être gêné par celui-ci. Elle décida de lui faciliter l’accès en descendant son jean et sa culotte jusqu’aux genoux puis lui présenta son gros cul en lui tournant le dos. Elle entreprit ensuite de me refaire bander en reprenant sa fellation, sauf que cette fois, l’inconnu lui branlait le clitoris par derrière et se permit de lui pénétrer la chatte avec ses doigts (je complète avec ce qu’elle m’a raconté après l’expérience car je n’ai pas pu tout voir d’où j’étais).

Je vis le souffle de Céline s’accélérer. Visiblement, elle appréciait ce traitement. De temps en temps, il retirait ses doigts et étalait la mouille de ma copine un peu plus haut sur ce que je devinais être son anus, puis crachait dessus et y retournait avec ses doigts. Nous avions déjà pratiqué l’anal avec Céline. Elle n’était pas la plus grande adepte de cette pratique mais l’acceptait parfois parce qu’elle savait que son cul me rendait totalement fou.

A un moment, il se passa quelque chose et je sus qu’il n’y avait plus de retour arrière possible. L’homme donna une petite claque sur le cul de ma copine et se déplaça d’un siège en s’éloignant de nous. Il releva l’accoudoir entre le siège vide et le sien et je le vis tirer un préservatif de sa poche et l’enfiler sur sa grosse verge.
Céline comprit qu’il l’invitait à quitter notre siège duo et à passer sur le siège duo voisin. Je ne pus pas l’arrêter, cela se passa très vite. C’était comme s’il me l’arrachait à moi. Elle avait visiblement très envie de se prendre cette grosse queue. Sans même me consulter, elle s’était levée brièvement et s’était rassise dans le fauteuil voisin, toujours en lui présentant son cul et comme ça en quelques secondes j’étais cocu. Cocu, heureux.
Je devinai qu’il était au fond de son fion. Je le devinais parce que c’est ce que moi j’aurai fait. Avec des fesses comme les siennes, un cul si accueillant, on a qu’une envie, c’est de s’y perdre. En plus, il avait une grosse queue, il devait être en train de lui démonter l’anus (ce qui me fut confirmé par Céline plus tard).
Il la prit comme ça devant moi pendant dix bonnes minutes. Céline soutenait mon regard pendant l’acte comme la grosse cochonne qu’elle était. Parfois, elle grimaçait de se prendre un aussi gros calibre, parfois elle fermait les yeux pour mieux se concentrer sur le plaisir et ouvrait la bouche avec sûrement l’envie d’en sortir de grands gémissements mais tentant de les contrôler.
Même baisée silencieusement, je pouvais tout de même entendre le bruit de leur respiration et les mouvements de pénétration imprimés sur le siège. Le film était entré dans sa phase finale d’action depuis un moment, de quoi recouvrir ces mêmes bruits pour les autres personnes présentes dans la salle plus bas.
Je me branlais en les regardant. A un moment, je sentis que ma copine atteignait l’orgasme, elle laissa échapper un bruit et fut prise de tremblement. L’homme se retira à temps, ôta son préservatif et lâcha de gros jets de foutre bien épais sur les fesses de ma chérie. Il n’en fallut pas plus pour que je jouisse à mon tour. Je réalisais que la voir souillée du sperme d’un autre avait toujours été l’un de mes fantasmes inavoués.
Le bruit provoqué par cet acte final avait fini par capter l’attention du couple qui se trouvait tout devant et qui avait l’air de demander ce qu’il se passait derrière mais quand le film fut terminé quelques minutes plus tard, ils ne trouvèrent qu’un couple qui se galochait poliment. L’étranger était déjà parti discrètement. Au pire, leur imagination les amènerait sur ce qu’il s’était vraiment passé mais sans pouvoir être sûr que cela était bien arrivé. Au mieux, ils penseraient à un couple chahutant un peu.
Ils ne se doutaient pas que sous son pull et son jean, du sperme coulait le long de ses fesses et de ses jambes, qu’elle avait été souillée par un inconnu devant son cocu de copain.
- Rendez-vous original et différent des autres, déclara Céline. Je pense que c’est une mission réussie !
Elle semblait fière d’elle, très loin de la honte que je m’attendais à lire sur son visage. Elle me confessa qu’elle avait ce fantasme depuis un moment et que le faire et me voir y prendre du plaisir l’avait libérée.
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Re: Collection "Candaulisme non prémédité"

Messagepar jenreve1 » Mar 24 Oct 2023 21:21

histoires à suivre
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Re: Collection "Candaulisme non prémédité"

Messagepar allisnogood » Mer 25 Oct 2023 08:15

Sans illustrations parfois les histoires se suffisent à elles même tant elles sont si bien racontées… merci de ce joli moment de plaisir
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Re: Collection "Candaulisme non prémédité"

Messagepar tof77130 » Mer 25 Oct 2023 20:18

superbe récit , très excitant ;)
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Re: Collection "Candaulisme non prémédité"

Messagepar jerem4444 » Ven 27 Oct 2023 15:02

Merci, voici la 2e nouvelle sur 12.

02 - LE METRO
Ma copine doigtée dans le métro par un inconnu... et cela m’excite

Je découvris mon goût pour le candaulisme ce fameux jour du 14 juin où Sophie et moi nous rendîmes au centre commercial en métro.
J’avais déjà quelques doutes, un an plus tôt lors de notre voyage à Barcelone. Nous nous étions posés sur la plage une belle journée d’été. Ma copine, encouragée par toutes ces filles topless, s'était débarrassée de son haut dévoilant son attirail bonnet D qui n’avait rien à envier à ceux des autres filles.
J’avais rencontré Sophie trois ans plus tôt à la fac et elle m’avait tout de suite tapé dans l'œil. Une belle brune de corpulence normale avec une poitrine magnifique et un superbe cul, peu sûre d’elle ; à l’époque, elle portait des lunettes et un appareil dentaire. Les garçons l’appelait “la crevette” : tout est bon, sauf la tête.
Si je l’avais rencontrée plus tard, elle n’aurait jamais lancé un regard sur moi : petit maigrichon pas très musclé qui n’avait pour moi qu’une bite de taille bien supérieure à la moyenne. Cependant, lors d’une première rencontre, ce genre de critère n’entre pas en ligne de compte.
Un an après, nous sortions ensemble. Elle était devenue resplendissante. L’appareil avait disparu, elle avait troqué ses lunettes pour des lentilles de couleur bleue, elle était plus à l’aise dans son corps et enfilait des vêtements qui mettait en évidence sa poitrine et ses fesses, elle était devenue l’objet de désir de tous les garçons. Moi j’étais comme un propriétaire sur le marché de l’immobilier qui avait acheté son bien avant qu’il ne prenne de la valeur. J’étais fier ce jour-là sur la plage. Tous les garçons qui passaient et même certaines filles mataient sa poitrine. Certains en couple essayaient de se donner une contenance mais c’était plus fort qu’eux. J’avais un début d’érection. Je m’imaginais qu’un mec s’arrête là et propose à ma copine de lui étaler la crème solaire, les yeux avides.
Le soir même à l’hôtel, au moment où nous faisions l’amour, j’avais touché deux mots de mon envie naissante à Sophie. Je la surpris à accélérer le rythme sur ma verge, motivée par mes mots. L’idée qu’un autre garçon puisse toucher son intimité et que je l’approuve l’avait excitée.

Le 14 juin, nous nous rendîmes dans un centre commercial parisien en métro.
Celui-ci était bondé. Nous étions tassés comme des sardines au niveau de la barre en métal mais au moins nous avions quelque chose pour nous tenir. Chaque station voyait un flot de voyageurs toujours plus important monter dans le wagon. A chaque station, nous étions de plus en plus compressés, Sophie et moi, contre la barre. Ce jour-là, Sophie avait mis un haut noir transparent au niveau du nombril et une petite jupe noir plutôt courte qui mettait en valeur les formes de ses fesses. Nous étions face à face. Sophie me chuchota tout à coup :
- Il y a un type derrière moi qui m’effleure les fesses...
Je regardai derrière. Il y avait un homme plutôt mûr, dans la quarantaine.
- Je ne sais pas s’il en fait exprès mais ça devient insistant. C’est bien un mec ou c’est une fille ?
- C’est un vieux
- Le pervers ! Je suis sûre qu’il en fait exprès, me murmura-t-elle.
C’était probable. J’avais déjà lu des témoignages de femmes victimes de ce genre d'attouchements. Un métro bondé comme ça, personne ne pouvait voir où les mains se baladaient et cet homme était probablement en train de profiter de la situation. Il est vrai que le cul de ma copine est magnifique, ce n’est pas sans me rappeler cette fois sur la plage…
- On peut échanger de place ?
- Je ne sais pas si on va pouvoir là, il faudrait que tu arrives à te glisser par là quand les gens sortiront à la prochaine station, répondis-je.
Mais cela ne bougeait plus, le wagon avait atteint sa capacité maximale et tout le monde semblait se rendre au même endroit.
- Je crois qu’il a compris que j’ai saisi son manège parce qu’il n’essaye même plus de faire passer ça pour de l’effleurage, me dit-elle.
Elle semblait mi-agacée, mi-amusée me jaugeant du regard pour savoir quelle réaction adopter.
- Ok, on va essayer de changer de place, répondis-je.
- Ça n'a pas l’air de te mettre en colère ou de te rendre particulièrement jaloux, me murmura-t-elle.
- Si tu veux que je lui casse la figure, je le ferai, plaisantai-je.
En réalité, j’étais excité par la situation mais je ne voulais pas le dire car je n’en étais pas particulièrement fier. Amusée ou agacée, Sophie n’avait qu’à trancher par elle-même.
- Là clairement il me caresse les fesses…
- Sous la jupe ?
- Quoi ? Non dessus, tu crois quand même pas qu’il ira jusqu’à passer en dessous !? s’enquit-elle en essayant de contrôler le volume de sa voix se rendant compte qu’elle avait dépassé le niveau du chuchotement et risquait d’être entendue par d’autres.
- Bah si tu l’arrêtes pas, oui. Donne-lui une claque sur la main ou crie-lui dessus, ça devrait le calmer, tentai-je de la conseiller.
- C’est ce que tu aimerais que je fasse ?
- Pourquoi tu me demandes ça ? C’est à toi de savoir si ça te gène !
- Parce que j’ai l’impression que toi, ça te gène pas plus que ça que quelqu’un tripote ta copine devant toi.
Je restai muet ne sachant pas quoi répondre. Elle me regarda surprise.
- Ça t’excites ?
- Un peu, avouai-je honteux.
Elle passa sa main au niveau de ma braguette pour tater mon sexe et sentit la bosse sous mon jean.
- Espèce de cochon, me dit-elle. Je m’en doutais.
A la station suivante, la porte s’ouvrit. Quelques personnes descendirent permettant de relâcher un peu la densité.
- Tu veux qu’on échange de place, maintenant ? proposai-je à nouveau.
- Non c’est bon, je suis bien à ma place, me répondit Sophie en chuchotant, l’air malicieux.
Je n’insistai pas. Station suivante, il y avait du monde sur le quai. Quelques-uns entrèrent mais la plupart d’entre eux restèrent sur le quai.
- Tout va bien ma chérie ? m’enquis-je en sourdine.
- Je suis serrée, répondit-elle. Le vieux en profite bien pour me tripoter les fesses ! Il nez se donne plus la peine de faire croire à un accident de contact ! se moqua-t-elle.
Je tentai de voir la main du type pour savoir si Sophie me racontait ça juste pour m’exciter ou si cela était bien vrai. Et ça l’était. Le type ne se gênait plus, il voyait que Sophie ne bronchait pas, alors il prenait ses aises.
- Je vois pourquoi tu ne veux plus changer de place, lui répondis-je, presque sur un ton de reproche.
- Tu m’as dit que ça t’excitait, et moi aussi ça m’excite, donc j’en profite !
Le fait que Sophie se laisse toucher comme ça dans le métro au milieu de tout le monde et trouve cela excitant, c’était un aphrodisiaque pour moi. Je ne l’imaginais pas coquine comme cela. Je l’embrassai. Elle tournait sa langue rapidement dans ma bouche comme si elle léchait un gland. Elle avait l’habitude de me faire ça lorsqu’elle était réellement excitée. Elle s’approcha de mon oreille et me murmura :
- Je mouille, mon chéri.
- Je peux ?
Elle me fit un signe affirmatif et j’engageai ma main discrètement le long de ses cuisses en remontant vers son sexe. La cyprine coulait de sa culotte le long de sa jambe. Le type avait dû s'en rendre compte car il avait maintenant franchi une étape supplémentaire : il était maintenant sous la jupe et caressait du dos d’un doigt la cuisse de ma copine. Sophie réagissait en remuant légèrement les fesses. Quelques secondes plus tard, Sophie me disait déjà :
- Il est en train de caresser ma culotte trempée.
Mon boxer aussi était mouillé. Sur quelques stations, le mouvement des foules nous rappelait à la réalité et pendant quelques secondes je n’avais plus la tête au sexe. Puis je me concentrai à nouveau sur la main de l’homme caressant ma copine. Ces aléas me faisaient bander et débander sans cesse en produisant une quantité incroyable de pré-sperme.
Un nouveau mouvement de foule fit arrêter le mec. Après une station, il n’était plus vraiment bien placé et je crus que c’en était terminé de ce petit jeu. Mais à la suivante, il repartit à l’assaut de sa place chétive. Il revint sur ma copine de manière très discrète, sans doute peu rassuré que la configuration ait changé et puisse permettre à d’autres personnes que moi-même de voir la scène qui se déroulait. Mais Sophie était bien décidée à aller plus loin :
- Attends, j’ai une idée, dit-elle.
Et quelle idée ! Je devinais sous sa jupe ce qu’elle faisait, elle avait abaissé l’arrière de sa culotte jusqu’en bas de ses fesses comme invitation à lui toucher le sexe.
- Il ne résistera pas à ça, me murmure-t-elle.
- Tu as fait quoi ? lui demandai-je pour être sûr que j’avais bien compris.
- J’ai les fesses à l’air sous ma jupe…
Chacune de ses actions osées me donnait envie d’exploser de jouissance. Je n’avais qu’une envie : ouvrir mon pantalon et masturber mon sexe gonflé par le désir. J’aurais pu jouir instantanément. Je n’étais pas habitué à voir Sophie comme ça. La chose la plus folle que nous ayions fait ensemble, avait été la fois où l’on s’était masturbés mutuellement dans un parc public à l’abri des regards, excités à l’idée qu’on puisse nous découvrir.
- Il a les doigts sur ma chatte, il est en train de me caresser le clito, dit-elle difficilement.
Je voyais qu’elle se contenait pour ne pas gémir. Elle aussi, visiblement, avait besoin d’exploser.
Elle continua à me raconter chacun de ses gestes. L’homme alla jusqu’à mettre un doigt à l’intérieur de son sexe et à étaler la mouille sur son anus en vue de lui enfoncer aussi un doigt par la petite porte de derrière.
Ce que l’homme ne savait pas, c’est que Sophie s’y refusait. Elle n’avait rien contre la sodomie car souvent il nous était arrivé de faire l’amour en regardant des vidéos pornos de femmes sodomisées mais elle avait peur que cela lui fasse mal. Elle serrait les fesses et décidait qu’il allait trop loin. Mais le mec avait l’air de faire une fixation sur ses belles fesses rebondies, il glissait ses mains entre ses fesses et cela m’était insupportablement excitant. Le fait de savoir qu’il caressait là où d’habitude Sophie m’arrête par peur que j’aille plus loin, de savoir qu’elle ne pouvait plus faire marche arrière après avoir accepté les avances du type de cette manière.
Sophie réussit quand même à se glisser légèrement sur le côté de sorte que le jeu puisse être interrompu. Et il le fut. Il n’avait que trop duré. Nous étions bientôt arrivés à destination et le wagon commençait à se désemplir. Il n’était plus assez bondé pour tenter un mouvement sous la jupe de Sophie. Et bientôt, il fut assez vide pour que nous nous asseyions sur un strapontin en face de celui de l’homme. Ce petit répit permit à Sophie et à moi-même de détailler l’homme. C’était donc un homme mûr, à peu près la quarantaine, pas spécialement baraqué, assez grand, les cheveux bien garnis. Il portait un pantalon classe, beige qui dessinait une bosse au niveau de son sexe. Il portait une chemise, entrouverte. Quelques poils en dépassaient. C’était un modèle de virilité. Il ne nous regardait pas directement en face, sans doute par honte.

Nous étions enfin arrivés au centre commercial. Nous descendions.
Sitôt seuls dans les couloirs, notre discussion revînt sur ce qui s’était passé dans le métro.
- Tu as vu ça ? Il m’a carrément doigté la chatte dans le métro ! Tu es sûre que tu n’es pas jaloux ?
- Je le suis.
- Mais tu m’as dit que ça ne te gênait pas ! se défendit-elle.
- Oui, c’est pas que ça me gène pas. Je suis jaloux mais j’ai trouvé ça terriblement excitant.
- Moi aussi, m’avoua-t-elle. Viens on rentre à la maison, j’ai trop envie de te baiser. Cet attouchement m’a allumée comme jamais.
- Salope ! la traitai-je avec le sourire.
Elle me rendit le sourire. Elle aimait que je l’insulte ou lui parle avec des mots crus quand elle se sentait d’humeur.
Nous avançions dans la galerie. Je remarquai tout à coup que l’homme était derrière nous.
- Il est descendu au même arrêt que nous visiblement.
- Non arrête ! Déconne pas !
Elle se retourna et fit volte-face.
- Putain, tu crois qu’il a cru qu’il y avait moyen de me tringler ?
- Tu viens de le laisser te doigter la chatte ! Evidemment qu’il y a cru !
- Viens, il faut rentrer dans un magasin pour le semer.
Nous rentrions dans “Pylones”, une boutique d’objets design et rigolos.
- Tu n’aimerais pas le faire ? demandai-je.
- De quoi ? Coucher avec lui ?
- Bah oui.
- T’es fou.
Elle m’embrassa alors, comme elle m’avait embrassé dans le métro. Je devinai alors que malgré sa négation, son bassin pensait le contraire. Elle était encore brûlante d’envie. Je fus alors pris d’une nouvelle crise de jalousie suivi immédiatement par une envie urgente de me branler. Ma bite avait encore gonflé et commençait à me faire mal.
J’aperçus alors un objet qui éveilla mon intérêt. Je l’achetai profitant que ma copine ait la tête aux accessoires de beauté.
Nous sortîmes alors du magasin. Le type était là-bas, plusieurs mètres devant nous, assis sur un banc, l’air de rien comme s’il ne nous avait pas du tout remarqué.
Je glissai alors l’objet que j’avais acheté dans la main de ma copine. Un préservatif.
- Vas le baiser, ordonnai-je
Elle me regarda quelques secondes ne sachant pas comment réagir, partagée entre sa crainte que je sois devenu fou et son envie folle d’exécuter mon ordre. Puis elle sembla prendre une décision.
- Tu es sûr de toi ?
- Non
- Et bien c’est trop tard, reste là et attends bien sagement sur ce banc que je me fasse baiser comme tu dis !
Avant même que je n’eus le temps de protester ou de revenir sur ma requête, elle se dirigea d’un pas assuré vers les toilettes.
Quelques secondes à peine suffirent pour que le type se lève de son banc et se dirige également vers les toilettes.
Mon dieu qu’est-ce que j’avais fait ! J’avais poussé ma copine à me cocufier ! Elle allait se faire baiser par un inconnu dans les toilettes d’un centre commercial !
Je regrettais mon comportement. Il n’y avait plus de marche arrière possible.
Ou bien.
Je pouvais encore débouler dans les toilettes et les arrêter.
Je m’assis pour réfléchir. Mon sexe gonflé dans mon entrejambe me gênait.
Je l’imaginais en train de sucer le type ou mieux encore, sa queue dans sa chatte, prise en levrette, ses énormes seins écrasés contre la paroi de la cabine. Je mouillais tellement que le liquide séminal commençait à traverser mon jean.
Je regardai mon téléphone. Elle m’avait peut-être écrit pour me dire qu’elle plaisantait. Ou bien elle allait m’appeler et laisser le téléphone ouvert pour que je puisse entendre ?
Je me levai. Je marchai vers un magasin, entrai à l’intérieur et contemplai les étalages sans grand intérêt. Je tentais tant bien que mal de cacher ma trique avec ma sacoche.
Je pourrais peut-être aller me masturber aux toilettes pour me passer l’envie qui était si forte et voir les choses claires. Mais peut-être qu’après, je serais si conscient de la situation que j’aurais mal de jalousie et ne le supporterai pas. Et si je devais aller aux toilettes ? Irai-je à ceux où ils étaient ? Etaient-ils chez les femmes ? Chez les hommes ? Les entendrais-je ?
J’étais paralysé par trois choses : mon excitation, ma jalousie et les questions qui se bousculaient dans ma tête. C’était peut-être ça l’amour cérébral. C’était ça le candaulisme ?
Soudain, mon téléphone se mit à vibrer. Je le regardai. Sophie venait de m’envoyer une image : un selfie où je voyais sa grosse poitrine inondée de sperme.
Avant d’avoir le temps de poser d’avantage de questions, il se passa trois choses simultanément : un bouton de mon jean se défit tellement mon sexe était gonflé ; l’homme sortit des toilettes ; et enfin, un autre message arriva. Il disait “viens me rejoindre dans les toilettes des hommes”.

Ni une, ni deux, je me dirigeai vers les toilettes. Sophie m’avait déparalysé en prenant la décision à ma place. Ce qui avait été une requête pour elle au début s’était transformé en pouvoir sur moi. Je mourrais d’envie de savoir ce qui était arrivé.

J’entrai dans les toilettes des hommes. Il n’y avait qu’une cabine occupée. Je fis timidement :
- Sophie ?
- Je suis là, me répondit-elle en entrouvrant la porte de sa cabine.
Elle jeta un regard furtif à l’extérieur pour s’assurer que nous étions seuls puis me fit entrer. Elle referma la porte. Elle était belle, sans son haut, les seins à l’air, pleins de sperme. Sa jupe toujours sur elle. Elle avait sa culotte en main. Encore une fois, un millier de questions naissaient dans ma tête mais je n’eus pas le temps de les formuler.
- Tu peux mettre ça dans ta sacoche, me dit-elle en me tendant sa culotte trempée.
Je remarquais la cuvette des toilettes baissée, son téléphone posé dessus, l’emballage du préservatif déchiré. Je mis la culotte dans ma sacoche que je déposai à terre.
- Et bien, que regardes-tu ?
- Tu l’as sucé ?
- Tu me l’as demandé...
Soudain, sans crier gare, je ne sus pas ce qu’il me prit, je léchai sa poitrine souillée de sperme. Je me baignai de luxure en m’abreuvant de sa décadence. J’avais tellement envie de goûter la semence de mon cocufieur. C’était immoral et terriblement excitant. Elle fut surprise et me lança un regard plein de reproches. J’avais pris un gros risque aveuglé par mon envie. Mais c’était trop tard, je léchai ses tétons, sa poitrine. Je tentai de gober ses seins dans son intégralité et il me semblait que cela l’excitait. Le mal étant déjà fait, elle me demanda de la nettoyer mieux que ça. J’avalais chaque goutte de sperme et chaque goutte dupliquait la taille de mon sexe.
Elle ouvrit ma braguette et libéra la bête qui s’était tant retenue. Puis elle me raconta :
- J’ai attendu dans le couloir des toilettes et il est arrivé. Une femme est passée. Je faisais semblant d’attendre mon petit ami devant les toilettes des hommes. Puis il est arrivé. J’ai mouillé comme une dingue. Il est passé devant moi et m’a dit “viens que je te baise, sale pute !” Je l’ai suivi et il m’a indiqué la direction d’une cabine dans laquelle je suis rentrée avec lui.
Tout en me racontant l’histoire, elle me masturbait le sexe. L’odeur qui s’en dégageait était plutôt forte, à force de mouiller mon boxer…
- Il m’a demandé “ton copain sait que tu es là ?”. J’ai répondu “c’est lui qui m’envoie”. Il a dit “c’est bien tu es obéissante”. Il a défait son pantalon et a sorti sa queue. Il m’a demandé de la prendre en photo pour toi.
Elle me montre la verge du quarantenaire sur son téléphone. Elle était un peu moins longue que la mienne mais un peu plus épaisse. globalement, j’étais rassuré, je n’avais rien à lui envier. Mais surtout, imaginer cette taille dans la bouche de ma Sophie…
- Alors je l’ai sucé comme ça...
Elle se met à me sucer et à me montrer ce qu’elle lui a fait avec les mouvements de langues.
- Salope, laissai-je échapper. Elle sortit mon gland de sa bouche.
- Il m’a traité de sale pute aussi. Parles moi cru.
Elle reprit son travail et j’exécutai ses ordres, pas très sûr de savoir qui avait vraiment le pouvoir sur l’autre à cet instant.
- Sale pute, vas-y suces moi bien, lui débitai-je. Salope. Tu aimes sucer les mecs comme ça dans les toilettes. Tu les fais tous comme ça ?
Elle me fit oui d’un d’un hochement de tête, tout en me suçant. Avec une main, elle tenait ma verge qu’elle continuait à dévorer, de l’autre, elle saisissait son portable et me montrait la photographie suivante : un selfie d’elle en train de sucer le type. Puis elle reposa le portable et commença à se caresser le sexe. Visiblement, cette situation l’excitait au plus haut point. J’allais jouir.
Non pas déjà ! Pas maintenant. Elle me suçait depuis à peine deux minutes, je n’avais pas entendu la fin de l’histoire encore ! Je sentis l’orgasme arriver. Je me retins et il se passa alors une chose étrange. J’éjaculai mais sans vraiment ressentir l’orgasme, sans que l’envie ne me quitte vraiment, j’avais envie de continuer. Mais Sophie avait pris ma semence dans sa bouche. Elle déglutit avant de dire :
- Il n’a pas joui dans ma bouche, petit coquin ! Tu es précoce !
- Je n’ai pas fini, la rassurai-je.
Elle se levait. Quelqu’un entra dans les toilettes. Nous attendions quelques minutes. Cette personne sortit.
- Tant mieux car moi non plus, je n’ai pas fini mon histoire, reprit-elle.
Ensuite, il m’a demandé de retirer mon haut et quand il a vu mes seins, il m’a traité de salope en me les pelotant très très fort. Puis il a glissé sa bite entre eux et me les a baisé…
Elle me montra une nouvelle photographie qu’il lui avait ordonné de prendre pour moi.
- Ensuite, il a enfilé la capote et il a relevé ma jupe. Je pensais qu’il allait me pénétrer la chatte mais au lieu de ça, il a commencé à collecter ma cyprine et à la coller sur mon anus. Je lui ai dit d’arrêter, que je ne voulais pas le faire par là mais il a insisté. Il a dit qu’il ne fallait pas faire la salope dans le métro et que c’était ma punition pour m’être mal comportée et pour avoir trompé mon copain. Il m’a dit, tout en me travaillant le trou, que j’allais bien la sentir et que ça me servirait de leçon la prochaine fois dans le métro.
Elle releva sa jupe et je vis son anus dilaté et mouillé. Je n’en crus pas mes yeux ! Et ma bite !
Elle accompagna sa démonstration d’une nouvelle photo où cette fois, le type avait pris le cliché de haut, pendant qu’il la prenait en levrette, ses fesses en coeur autour de sa queue, sa bite clairement rentrée dans le cul de ma copine.
Elle ne m’avait jamais autorisé ça et voilà qu’elle l’avait fait !
Comme pour me rassurer, elle me dit :
- J’ai adoré ça et je veux que toi aussi tu m’encules bien profond. Ta bite est plus longue, je veux que tu ailles là où il n’est pas encore aller.
Il ne m’en fallut pas beaucoup plus pour me motiver. J’attendais ça depuis tellement longtemps. Son cul dilaté et la largeur de la bite du type m’avait facilité le travail d’insertion.
J’étais en train de sodomiser ma pute de Sophie. Je continuai les insultes :
- Tu la sens sale pute ? Tu sens ma grosse queue dans ton cul ?
- Oh ouii ! cria-t-elle. Remplis-moi ! Je veux me sentir bien remplie !
- Cul de salope, tu aimes ça bouffer des queues par le cul !
- Oh oui ! démontes-moi ! Je veux que tu possèdes mon corps, je veux être à toi !
- Tu m’as trompé salope ! tu t’es faite enculée par un inconnu, t’as aimé ça j’espère ?
- Oh oui ! Je suis une salope, punis-moi, prends-moi ! Jouis dans mon cul !
Je devinais la fin de l’histoire quand secoué par mes coups de bite, Sophie me montrait tant bien que mal les deux dernières photos : une de son cul avec un trou béant et l’une de ses nichons pleins de spermes, celle-là même qu’elle m’avait envoyée. Il avait retiré sa bite de son cul, le préservatif également et s’était masturbé sur la poitrine de ma copine en l’aspergeant de foutre. Foutre que j’avais léché jusqu’à la dernière goutte.
J’enculais ma copine. Elle se doigtait la chatte et fous d’ivresse sexuelle, nous atteignîmes l’orgasme ensemble.
J’eus peur qu’après, la jalousie et l’insanité de tout ce qu’il venait de se passer nous prenne d’assaut mais nous avions tous deux des choses à nous reprocher, dont nous n’étions pas fier. Il ne fallut que quelques jours pour les accepter et pour que l’envie de recommencer revienne.
C’était donc ce 14 juin que j’avais découvert le candaulisme. Notre couple était déjà fort avant mais il l’était encore plus après car nous étions relancés.

Ma copine m’a demandé d’ajouter à ce récit le conseil suivant : ne reproduisez pas la bêtise que j’ai pu faire d’avaler le sperme d’un inconnu. Heureusement pour moi, les analyses ont montré que je n’ai contracté aucune maladie (ni elle). Pourtant si tout était à refaire, je ne changerai rien de ce qui est arrivé. C’était sans nul doute la journée la plus excitante de toute ma vie.
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Re: Collection "Candaulisme non prémédité"

Messagepar alexetflo » Sam 28 Oct 2023 06:11

instant quasi surréaliste quand le couple franchi le pas de la décence des conventions de la morale, chacun submergé par des ressentis différents et excitants ceux de l'un excitant l'autre, puis partagés en un plaisir commun dans l'intimité retrouvée.

magnifique et au combien excitant témoignage, qui j'en suis certain vous chamboule toujours !
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Re: Collection "Candaulisme non prémédité"

Messagepar brions » Sam 28 Oct 2023 08:44

excellentissime !!!
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Re: Collection "Candaulisme non prémédité"

Messagepar jerem4444 » Ven 3 Nov 2023 09:13

La suivante. Celle-ci contient des scènes homosexuelles (gay).

03 - LE VIS A VIS
Ma copine et moi baisés par un voisin pervers




Figurativement et littéralement, ma copine Délia, 32 ans et moi Romain, 33 ans, avons été baisés par un inconnu lors de notre citytrip à Lisbonne.
Délia a des origines portugaises. Ce n’est pas particulièrement pour voir sa famille qu’on y voyage régulièrement car elle les voit peu. Mais c’est notre goût mutuel pour le soleil, la vie pas chère et les beaux paysages du Portugal que nous nous y rendons de temps en temps.
Cette fois, nous avions décidé de découvrir la capitale (nous sommes plutôt habitués à l’Algarve) lors d’un petit week-end prolongé de novembre. Nous avions réservé un hôtel sympa, plutôt design, donnant sur la plaça de figueira. Notre chambre donnait sur une petite rue perpendiculaire à la place, un fort vis à vis dessus comme habituellement dans les hôtels citadins.


Comme je me doute que vous n’êtes pas venus là pour lire le lonely planet, je vais entrer dans le vif du sujet : Délia et moi avons une vie sexuelle plutôt épanouie. Je dirai, presque honteusement, que Délia est un peu plus ouverte que moi. Elle semble avoir vécu quelques expériences avant de me rencontrer. Elle semble à l’aise dans son corps, c’est une sportive, plutôt svelte. Elle a un cul que beaucoup de filles lui envient (elle n’hésite d’ailleurs pas à le mettre en valeur dans des leggings très serrés quand elle va faire de l’escalade) et des seins plutôt gros pour sa fine corpulence. Moi, c’est un peu l’inverse, je suis un peu en surpoids, pas très à l’aise dans ma peau. Je pense que je pourrais facilement avoir peur de la perdre si je ne savais pas que nombreux de ses ex ont une morphologie similaire à la mienne. Cela n’a pas l’air de la déranger.


Comment sais-je qu’elle est plus ouverte que moi ?
Je n’en suis pas si sûr. Je l’ai déjà interrogée sur la chose sexuelle la plus folle qu’elle ait faite. C’était globalement assez sage. Jamais essayé de coucher avec une autre fille, jamais couché avec plusieurs mecs en même temps. Une expérience d’exhibition dans un lieu public, quelques jeux de rôles à base de soumission et surtout, elle a déjà pratiqué le pegging avec l’un de ses ex. De mon côté, je n’avais jamais eu d’expériences particulièrement folle non plus. J’ai joué à touche-pipi avec une cousine quand j’étais jeune, j’ai eu quelques conquêtes, pas tant que ça et j’ai déjà fantasmé sur le fait de sucer un homme bien que je me considère comme hétéro. Hétéro curieux ?
Nous avons parlé plus longuement du pegging. Il nous était déjà arrivé Délia et moi d’essayer la sodomie, mais sur elle. Elle semblait apprécier. Mais jamais nous n’avions essayé sur moi. Ce jour où nous nous faisions des confidences, elle m’avait proposé un anulingus pour voir déjà si j’appréciais cela. J’avais beaucoup aimé et cet anulingus avait dévié en un doigt dans le cul qui m’avait fait jouir instantanément.
C’est à peu près là que nous en étions dans notre couple (ensemble depuis un peu moins de deux ans).
Les voyages étant souvent propices à la découverte de nouvelles expériences sexuelles, une fois confortablement installés dans notre chambre d’hôtel, il ne nous fallut pas longtemps avant de terminer l’un sur l’autre (ou l’un dans l’autre). Ce qui était à la base une pause sieste, éreintés par notre voyage en avion, s’était donc transformé en partie de jambe en l’air afin de tester l’isolation sonore de notre chambre et la solidité de notre lit.
Pendant cette partie de sexe, Délia prit l’ascendant et monta sur moi. On avait l’habitude, pour s’exciter de dérouler des scénarios ou d’évoquer quelques fantasmes. Délia, tout en s’empalant sur ma verge me faisait part de son désir de profiter de notre voyage dans une ville où personne ne nous connaissait, pour entrer dans un sexshop et acheter un sex toy… pour moi. La scénario dérapa vite en Délia désirant l’essayer sur place dans une cabine d’essayage. Elle entrerait avec moi dans la cabine et laisserait le rideau entrouvert. Dans mon fantasme, je la déshabillai dans cette cabine et l’idée que le gérant du magasin puisse l’entrevoir m’excitait au plus haut point. Dans son fantasme, elle me déshabillait, m’écartait le cul et l’idée que le gérant du magasin puisse m’entrevoir la faisait mouiller comme jamais. Nous avions un désir d’exhibition mutuelle. Nous ne nous rendions pas compte à ce moment, qu’un inconnu se tenait à sa fenêtre dans l’appartement de l’autre côté de la petite rue en train de nous observer.
C’est en changeant de position, quand je voulus prendre Délia en levrette, qu’elle l’aperçut la première.
Il ne cherchait pas à se cacher. Nous n’avions pas tiré les rideaux et l’homme avait une vue directe sur notre chambre. Il semblait nu… il était nu. Il semblait, vu d’où on était, plutôt musclé, plutôt bien taillé. Il semblait avoir un gros membre entre les jambes. Comme nous étions dans notre délire d’exhibition, nous ne nous arrêtâmes pas. Il semblait que cet homme avait un rôle à jouer dans notre scénario. Celui du gérant. Délia lui faisait face, à quatre pattes sur le lit. Je faisais face également à l’homme et prenait Délia en levrette. Imaginer que cet homme voyait Délia se faire prendre comme une chienne, les seins bringuebalant… Peut-être même qu’elle tenait son regard pendant qu’elle se faisait baiser… Cela me rendait fou.
Nous vîmes l’homme saisir son sexe et se masturber. Délia accélérait le long de ma verge. Je la vis même se toucher le clito et se lêcher le doigt plein de sa mouille, comme si elle réprimait un désir de sucer.
Je sentais l’orgasme venir et je sentais que Délia aussi contractait de plus en plus son vagin.
Soudain Délia s’arrêta net et se mit à crier :
- Ah non, pas ça, le salaud !
L’homme s’était emparé de son téléphone portable et nous filmait. Cela avait suffit pour la faire redescendre. Elle se leva du lit et tira sur le rideau.


Délia attachait beaucoup d’importance à sa réputation de fille sage. Bien que je la savais un peu salope dans notre intimité, ce côté-là d’elle ne transparaissait jamais devant nos amis, nos voisins ou ses collègues. Elle accordait d’ailleurs bien trop d’importance à sa carrière professionnelle pour cela. Le fait que ce soit un inconnu, une autre ville, un autre pays loin du cercle des gens qui la connaissent, était ce qui lui avait permis de se libérer ainsi. Mais l’homme avait franchi une limite. Elle ne souhaitait pas que celui-ci diffuse sa vidéo sur internet et qu’elle risque que cette petite aventure excitante se sache d’où elle venait. Personnellement, j’étais mitigé. Plutôt frustré en fait d’avoir été sur le point de jouir et de ne pas pouvoir finir, ne réalisant que très tardivement les conséquences à assumer.


Il vint même un moment où Délia, prise d’anxiété, me suggéra qu’on aille frapper chez l’homme et qu’on lui demande gentiment d’effacer la photo ou la vidéo qu’il avait pu prendre.
Je n’étais pas chaud. D’abord parce que je ne parlais pas un mot de portuguais et puis parce que j’avais peur que l’homme réagisse mal.
Délia, elle, ne parlait pas portuguais mais le comprenait plutôt bien. Elle pensait que l’on pouvait le demander gentiment, en anglais et que l’homme comprendrait.
J’acceptai de la suivre dans son entreprise car je vis que c’était vraiment très important pour elle.


Nous nous rhabillâmes. Délia portait justement un legging très serré. Peut-être aurais-je du la prévenir que cette tenue particulièrement affriolante n’aiderait sûrement pas l’homme à penser avec autre chose que son sexe quand elle lui demanderait la faveur qu’elle s’apprêtait à lui demander.
Nous descendîmes par la réception de l’hôtel, adressant un sourire à l’hôte de réception. Nous sortîmes sur la place, tournant à droite sur ce qui ressemblait bien à notre rue, la traversâmes et en bas de ce qui semblait être l’immeuble de l’appartement de notre voisin voyeur, nous nous demandâmes à quel étage cela pouvait bien être.
Nous regardâmes en face, tentâmes de retrouver notre chambre sur la façade de l’hôtel, par rapport à l’étage où nous étions. Deux, trois fenêtres pouvaient correspondre. Nous re-traversâmes la rue pour prendre un peu de recul, regardâmes en face. Nous jaugeâmes l’endroit où devait se trouver l’homme et nous en déterminâmes l’étage. Nous sonnâmes aux 2 appartements de cet étage. On nous ouvrit la porte de l’immeuble sans même nous demander qui nous étions.


Nous montâmes alors au quatrième. Il y avait un palier à gauche, un à droite. Notre homme devait être sur celui de gauche pour que cela corresponde.
Délia sonna. J’étais particulièrement tendu, je ne savais pas ce qu’on allait dire (j’allais la laisser parler). Mon coeur battait à la chamade.


La personne qui nous ouvrit était un homme torse nu, environ la quarantaine, plutôt le look sportif. Il nous sourit, c’était bien lui. Visiblement, il nous avait reconnu.
- Good afternoon sir, commença Délia, avec son accent français. I apologize if we disturb you. My boyfriend and I have seen you filming us with your phone. As we have no problem that you keep what you have seen in your head, I would be very grateful if you could delete the photos and the videos from your phone (elle avait visiblement préparé sa requête en chemin).
L’homme continuait de sourire. Il baragouina un truc comme “how grateful” (du moins c’est ce que je cru comprendre avec son accent). Puis termina sa phrase en portugais. Je ne compris pas un mot de ce qu’il avait dit ensuite mais Délia blêmit. Je compris, à ce moment, qu’elle avait été (et moi aussi) extrêmement naïve de penser que tout se passerait nickel sans plus de cérémonie.


- I beg you pardon ?! s’exclama Délia.
Pour toute réponse l’homme posa la main gauche sur la tête de Délia, montra sa bosse sous son jogging et appuya sur la tête de Délia comme pour la rabaisser au niveau de sa bite. Délia ne se laissa pas faire. Elle se dégagea immédiatement de sa main, le gifla puis hystérique, força le passage dans l’appartement de l’homme à la recherche du portable.
J’avais honte. Elle était forte et moi je ne faisais rien je n’étais pas d’une grande aide.
L’homme amorça un mouvement vers Délia pour la rattraper et je fis un vague geste pour l’en dissuader mais il se dégagea sans difficulté. Il saisit Délia par la taille. Celle-ci criait en français
- Efface tout, pervers ! pervers !
L’homme la déposa sur le palier, tout en me poussant, referma la porte et on l’entendit dire quelque chose à travers en portugais. Délia rageait.
- Et puis toi tu fais rien !
- Mais qu’est-ce que tu veux que je fasse ?
- Bah m’aider putain !
- Mais il a dit quoi ?
- Il a dit que si je veux qu’il supprime les photos, je dois le sucer.
Je pris un air choqué. Je réalisai seulement que j’avais bien compris son geste mais que je m’étais presque interdit de croire que c’était bien ça qu’il insinuait. Mais curieusement, je n’étais pas en colère. Je dis :
- Mais ça va pas ce type !
Délia tapait sur la porte. Le mec ne répondait pas.
- On devrait aller voir la police. Il n’a pas le droit d’avoir ces photos de nous.
- Tu sais comment fonctionne la justice au Portugal ?
- Non
- Moi non plus. Le temps qu’on s’occupe de ça, ça sera déjà sur internet
- On laisse tomber alors, c’est si grave que ça que ça soit sur internet ?
Je pensais qu’elle s’ennerverait contre moi. Mais non, sa colère semblait avoir redescendu déjà un peu à force de battre la porte.
- Bah oui quand même, me répondit-elle. J’ai pas envie qu’il la mette sur internet et qu’un de mes collègues ou de nos connaissances tombe dessus.
- Au pire, tu seras connue pour la nana qui a une sex tape sexy, c’est fréquent de nos jours !
- Pfff, et toi ? T’es dessus aussi, ça te dérange pas plus que ça ?
- Bah, j’aurais préféré qu’il coopère mais bon là, entre me prendre un pain et qu’on voie ma sex tape, je suis pas sûr d’avoir plus envie du premier que du second.
- T’es bien un mec toi. T’as une sex tape, t’es un boss. T’es une fille, t’as une sex tape, t’es une salope !
Je ne répondis rien.
- Je suis sûr que si j’avais été en train de te faire expérimenter les plaisirs anals, que tu aies été ma salope sur la vidéo, tu mettrais plus d’entrain à la récupérer.
- C’est pas faux, admis-je.


Au bout de quelques secondes assis sur une marche de l’escalier devant le palier du mec, Délia me surprit :
- Et si je lui donne ce qu’il veut ?
- Le suçer ? ça va pas ?
- Fais pas comme si ça t’excitait pas, j’ai vu comment tu étais chaud quand le mec nous regardait tout à l’heure !
- Mais c’était pour le côté exhib, je comptais pas faire un plan à 3 avec lui ! protestai-je
- OK, inversons les rôles. Ce serait toi sur la vidéo en train de te faire enculer comme on discutait…
- Bah je te vendrai pas au mec pour obtenir ce que je veux, quand même pas !
- Non, j’ai pas fini. Et mettons qu’il te demande à toi de le sucer ?
- SUCER le mec MOIi-même pour qu’il efface ma photo de MOI en train de me faire ENCULER. Bah dis donc, j’aurai bien changé de bord en une journée, plaisantai-je !
- Sa queue était pas dégueu, dit Délia
Ce qu’elle disait me choquait mais bizarrement ma bite ne semblait pas penser la même chose puisqu’elle gonflait dans mon pantalon.
Je me composai un air de dégoût peu convaincant. En vérité, de ce que j’avais pu voir, c’était un bon morceau, bien épais. On avait d’ailleurs vu sa bosse de très près… Je commençai à me dire que j’étais peut-être bisexuel ou alors c’était elle qui était entré dans ma tête et qui m’avait mis ces images de fellation. Pourquoi ne me dérangeaient-elles pas ? Pourquoi étais-je excité au contraire ?
Délia posa la main sur mon pantalon au niveau de ma queue
- Je le savais ! ça t’excite gros porc !
Je ne sus pas quoi répondre.
- J’y vais déclara-t-elle.
Elle frappa à la porte et cria “Alright, you won!”


La porte s’ouvrit. Le mec nous fit signe d’entrer.
Je ne savais pas si c’était un plan de Délia pour retenter de trouver le téléphone. Mieux fallait-il que je me tienne prêt à retenir le mec. Mais je me dis que l’espoir était maigre. Il avait probablement mis son téléphone hors de portée de vue et quand bien même on l’aurait, comment le déverouillerait-on ? Il faudrait le voler et le détruire…
L’homme ferma derrière nous et nous fit signe de le suivre dans son salon, l’endroit d’où il nous avait probablement observés. Honteusement, je me soumis à son ordre lorsqu’il me montra un fauteuil où je compris que je devais m’asseoir. Il regarda ma copine et elle comprit ce que son regard signifiait. Elle se mit à genou et baissa son jogging, puis son caleçon. Il en sortit un chibre énorme, surtout sur l’épaisseur.
Je n’en revenais pas, elle n’avait pas d’autre plan, elle allait vraiment le faire, elle était sérieuse.
Elle ouvrit la bouche et il déposa le bout de sa verge sur sa langue.
Je bandais comme un âne. J’en avais honte.
Sans même me regarder, elle commença à se saisir du sexe énorme et à en lécher le bout du gland comme pour vérifier que le goût la satisfaisait assez pour entreprendre la tâche qui l’attendait. Puis quand elle fut plus à l’aise, elle engloutit ce qu’elle put du sexe de cet inconnu et se mit à faire des va-et-viens avec sa main et sa bouche. J’entendais les bruits de succion, le type l’encourager dans une langue que seule elle pouvait comprendre, et je crus même percevoir un gémissement de plaisir de la part de Délia, comme si elle se régalait.
Elle m’avait déjà sucé auparavant, mais ma queue est bien plus modeste en taille que cet homme et jamais je ne l’avais vu aussi investie dans sa tâche. Elle sortait la bite de sa bouche, crachait dessus, la masturbait, la lécher, la gobait comme si c’était le meilleur plat de sa vie. Je la vie même entrer sa main gauche dans son legging et se toucher.
Le moins qu’on puisse dire c’est que sous la contrainte de ce dominateur, je ne la reconnaissais plus, elle semblait réellement prendre du plaisir comme je n’avais jamais pu lui en donner.
Et loin d’être jaloux ou en colère, je ressentais un sentiment de profonde gratitude envers cet inconnu qui était en train de nous faire découvrir, contre notre volonté à l’origine, une sexualité que nous ne soupçonnions même pas. Je n’en pouvais plus, j’abaissais mon short puis mon boxer et sorti mon sexe dressé et prêt à l’emploi. J’étais encore un peu frustré d’avoir été coupé dans mon élan un peu plus tôt et mon boxer était bien tâché de liquides séminaux. Je me mis à me branler en la regardant le sucer et se toucher en même temps.
Il lui dit quelque chose qui semblait être sur le ton de l’invitation et je la vis retirer son haut pour finir en soutif et legging, toujours à genoux devant lui. Elle reprit la fellation mais il la stoppa, cette fois-ci son ton paraissait plus être un ordre. Elle dégrafa immédiatement son soutif, jeta un bref regard vers moi, honteuse, puis reprit sa fellation, sans mot dire.
Elle continuait de se toucher en même temps. De temps en temps, elle crachait sur son sexe et un mélange de fluide et de bave tombait le long de ses lèvres sur sa poitrine.
Je me branlai et gémis.


L’homme lui dit alors autre chose. Je le vis s’asseoir sur le canapé en face de moi laissant une place à ma chérie sur sa gauche. Elle sembla hésiter sur la position à adopter mais il continua de la guider. Elle finit sur le canapé, en position balasana, la bouche empalée sur sa queue. Cette position mettait en évidence son fessier avantageux. Le mec ainsi, pouvait lui toucher la poitrine en glissant ses mains entre ses cuisses et ses seins, la caresser sur le dos et le long de l’échine jusqu’à atteindre son legging. Il caressa sa chatte à travers le vêtement.
Elle se releva un peu, interrompit brièvement sa fellation comme pour signifier son désaccord, mais l’inconnu l’avait complètement sous son emprise. Il lui dit autre chose en portuguais. Puis je l’entendis dire quelque chose en anglais qu’il voulait visiblement que j’entende :
- He seems to like it
Il parlait de moi. J’avais sûrement le visage déformé par le plaisir. Délia me décrocha un regard, puis un sourire. Je lui rendis sans trop savoir pourquoi. Je venais sûrement de donner mon accord tacite pour que les choses aillent plus loin sans vraiment le réaliser car il commençait déjà à baisser son legging le long de ses jambes et à lui caresser les fesses.
Elle se laissait faire pendant qu’elle poursuivait la fellation avec toujours autant d’appétit.
Parfois je l’entendais avoir un haut-le-coeur quand la bite de l’homme partait trop loin au fond de sa gorge. Je n’avais pas réalisé que de temps en temps, il lui appuyait sur la tête pour s’enfoncer plus loin. Jamais elle ne m’avait fait de gorge profonde auparavant.
Plus les secondes passaient, plus l’homme prenait ses aises avec ma copine. Désormais, il la doigtait par l’arrière et la faisait gémir. Sa fellation commençait à devenir moins appliquée à mesure que son propre plaisir prenait le pas sur son désir de bien faire.
Il dit encore quelque chose en portuguais. Elle s’arrêta de le sucer, m’observa longuement et se leva.
- Tu as l’air d’aimer ce qu’il se passe, petit cochon, me dit-elle.
- Je plaide coupable, dis-je la bite à la main. Toi aussi tu as l’air de prendre ta corvée à coeur…
Elle me sourit et s’assit sur les genoux de l’homme tout en soutenant mon regard. Puis elle remonta ses jambes sur le canapé pour se mettre à califourchon sur son bassin, face à moi. Je compris alors qu’il n’y avait déjà plus de retour arrière possible. Délia était clairement dans un état d’envie tel qu’elle n’avait même pas pris la peine de prendre des précautions. Elle s’empala la chatte sur la grosse queue de l’homme qui poussa un râle de plaisir. Je la vis fermer les yeux et profiter de la sensation d’être remplie par cet énorme chibre. Je pouvais voir tous les détails de leurs anatomies respectives dans cette position.
L’homme lui dit quelque chose et je vis son regard s’illuminer, comme si un univers de possibilité venait de s’ouvrir. Soudain, elle m’ordonna sèchement :
- Viens lécher ma chatte.
J’étais sur le cul, figurativement et littéralement. Mais son ordre éveilla une excitation insoupçonnée en moi. Je crois que je commençais à comprendre ce qui l’excitait depuis tout à l’heure.
- Allez, lèche-moi la chatte ! répéta-t-elle.
C’était grisant.
Je me levai, mon short et mon boxer tombaient au sol. Je décidais que je pouvais m’en passer. Le tee-shirt aussi d’ailleurs. Nu comme un vers, j’avançai vers le canapé et m’agenouillai devant les jambes du mec, j’abaissai mon visage au niveau de la vulve de ma copine et vis en gros plan la bite énorme du mec la pilonner. Elle poussait des gémissements sonores “oh oui, oui !”. Elle me prit la tête et la plaqua contre sa chatte. “Lèche-moi”. Je m'exécutai. Je lui léchai le clito. Il était difficile pour moi, avec son bassin qui bouge pour se faire prendre de m’appliquer. En vérité, je me contentai de sortir la langue et de lécher tout ce qui passait dessus : son clito, sa vulve et même la base de la queue de cet inconnu. Délia était tellement excitée de la situation qu’il lui vint un orgasme qu’elle exprima bruyamment.
Le mec poussait des râles et criait des choses en portuguais. A un moment, il lui dit quelque chose puis passa en anglais. “Your man is a pussy”, “he cannot defend you”, “punish him”
Je compris qu’il était en train de faire mon réquisitoire en portuguais, probablement parce que je n’avais pas eu les couilles de m’imposer pour récupérer la vidéo et que si je l’avais fait, peut-être n’aurions nous pas eu besoin de nous retrouver dans cette situation.


Délia releva son bassin, l’énorme bite du mec en sortit, trempée de fluides.
- Suce le ! m'ordonna-t-elle. Nettoie-le ! Je sais que tu en meurs d’envie !
Ah bon ? Me demandai-je. En avais-je vraiment envie ? Je bandais toujours comme un âne. Comme j’avais arrêté de me branler quelques minutes plus tôt et que j’avais probablement ramolli un peu avant d’en arriver là, il y avait une quantité importante de pré-sperme qui coulait de ma bite, j’en foutais même sur le parquet.
- Allez ! insista-t-elle.
Je m’exécutai encore. Je saisis l’énorme bite du mec et l’engloutis sans cérémonie. Ses fluides, ceux de ma chérie. J’étais moi aussi en appétit devant cette grosse queue. J’avais envie de faire comme Délia tout à l’heure, de ressentir le même plaisir. Délia se releva, le mec continuait de lui parler, tout en émettant un ou deux gémissements de temps en temps.
Délia s’éloigna de nous, je ne sais pas où elle était partie, mais je n’avais plus envie de m’arrêter.
- Good boy ! me félicita l’étranger.
Délia revint, s’assit à côté de lui sur le canapé, lui tendit quelque chose. Je relevai les yeux, je vis qu’il s’agissait du portable. Le mec le déverrouilla et le tendit à Délia.
- Continue mon chéri, tu es très doué, il a l’air d’aimer ça.
Je m’appliquai du mieux que je pouvais en essayant moi aussi de faire des gorges profondes, en crachant, en répétant tout ce que je venais de voir. Pendant ce temps, je pense que Délia était en train de supprimer les photos et vidéos compromettantes pour lesquelles nous étions venus. Elle lui rendit le portable et il le déposa à côté de lui sur le canapé.
Il me semblait alors que nous avions rempli notre mission et que je pouvais m’arrêter.
Je sortis le sexe de cet homme de ma bouche et réussis à articuler :
- C’est bon, tu l’as supprimé ? On peut y aller ?
L’homme parla à Délia encore et elle me répondit alors.
- Il faut quand même aller au bout, tu comprends chérie ? Il veut juste se vider et après il nous laissera tranquille. Il veut juste ton cul.
J’étais interloqué mais je compris que ce coup-ci, c’était probablement autant un autre ordre de cet homme que le fantasme de ma copine, puisqu’elle m’en parlait depuis un bon moment. J’en avais envie sans oser me l’avouer. Cocu jusqu’au bout, le type aura réussi à obtenir une fellation de ma copine, la baiser, me rabaisser à bouffer leur fluide et sa queue et maintenant à me laisser lui offrir mon cul.
- D’accord, dis-je vaincu.
Je me relevai puis me mit à 4 pattes sur le canapé.
L’homme dit quelque chose en portuguais.
- Tu dois le supplier de te prendre, dit Délia.
- C’est une blague ?
- Tu veux sa queue dans ton cul ou non ?
- Bah euh…
- On peut partir maintenant si tu veux, me dit Délia
- Mais tu as dit que je devais le finir
- Oui, parce que ça ne se fait pas de le laisser comme ça les couilles pleines, mais je ne vais pas te forcer…
- Mais toi tu veux quoi ?
- Que tu te fasses défoncer à ton tour pendant que c’est moi qui me masturbe. Après tout, c’est ce que tu as fait tout à l’heure, chacun son tour !
- D’accord, dis-je.
- Bah alors supplie le !
- Vraiment ?
- Allez !
- Fuck me please, dis-je à l’homme.
Il répondit en portuguais.
- Il n’est pas convaincu, il ne le fera pas si tu ne veux pas.
- Fuck my ass, répétai-je avec un peu plus de conviction.
L’homme se leva et aller chercher mes vêtements et me les tendit.
- Il sent que tu ne veux pas, tu peux te rhabiller.
Le problème c’est qu’ils étaient entrés dans ma tête tous les deux. J’en avais vraiment envie de sa queue, je la voulais dans mon cul. C’était un fantasme jamais avoué depuis toujours. Non seulement j’avais la possibilité de le réaliser mais en plus cela ferait plaisir à ma moitié. C’est du gagnant gagnant. Et ça lui permettrait de se finir. Gagnant, gagnant, gagnant…
- No, I want you to fuck my ass now, dis-je avec assurance. Please, I beg you !
- That’s more like it, sissy !
Il cracha sur mon cul. Pas besoin de lubrifiant, la seule perspective de me faire défoncer et de devoir attendre autant avait dilaté mon cul. Néanmoins, elle était large et ne rentra pas sans peine. Ce fut douloureux mais jamais de ma vie je ne me sentis aussi rempli et aussi satisfait de l’être. J’étais sa pute, son objet. J’étais pris, j’étais possédé.
Il commença à me limer, à me défoncer.
Délia s’était rassise dans le canapé et se masturbait activement. Je pense que cela faisait longtemps qu’elle avait ce fantasme.
Il me vint à l’esprit que Délia avait un kink, une perversion sexuelle qui était la relation de dominant et soumis. Je pense qu’elle aimait être soumise à des hommes actifs, sportifs, musclés et qu’elle aimait soumettre ceux qui sont plus enrobés, moins à l’aise dans leur corps. Quant à moi, j’étais tout à fait à ma place de cocu bisexuel heureux, usé comme un objet de plaisir pour ma copine et son amant du jour.
Je n’avais plus besoin de me branler. Honnêtement, je savais qu’en me touchant quelques secondes je serai capable de jouir instantanément et je ne voulais pas que cela m’arrive le cul plein, je risquerai de souffrir une fois l’excitation éteinte.
Alors je me laissai pilonner ainsi quelques minutes pendant que le souffle de cet homme s’activait et que Délia se donnait son second orgasme.
Puis il quitta mon cul et aboya quelque chose. Délia se mit tout de suite à genou devant lui et me fit signe d’en faire autant. Nous allions recueillir ensemble sa semence.
Il jouit alors des quantités impressionnantes de sperme tout droit dans la bouche de Délia. Il en coula sur son menton et sur ses seins. Il me tendit son sexe pour que je le nettoie. Je récupérai les derniers jets et lui arrachai quelques dernier râles. Sa bite avait l’odeur de mon cul, mais loin de m’écoeurer, cela m’excitait davantage, j’entrepris alors de me finir moi aussi. Ce qui me permit d’arriver à l’extase fut le baiser que m’offrit Délia à cet instant. Elle m’emballa avec tout le sperme dans sa bouche et nous le partageâmes. Le summum de la décadence, s’embrasser dans le sperme. Nous restions comme ça un moment à partager le fruit de notre dur labeur. Puis Délia avala et je l’imitai.
Elle me sourit puis nous prîmes nos affaires, nous nous rhabillâmes et quittâmes l’appartement rassasiés.
En partant l’homme dit :
- Come back tomorrow for the video !


Dans l’escalier, j’interrogeai Délia, pas certain d’avoir bien compris.
- Tu as bien supprimé la vidéo ?
- Euh.. oui… celle pour laquelle on était venu oui…
- Comment ça, celle pour laquelle on était venu ? Il y en a d’autres ?
- Et bien, je crois que pendant qu’il t’enculait, il a repris son téléphone et nous a filmé tous les deux, toi en train de te faire sodomiser et moi en train de me masturber…
- Mais, tu ne l’as pas arrêté ? Tout à l’heure tu t’es arrêtée net quand il a sorti le téléphone
- J’étais trop excitée mon chérie, je n’ai rien pu faire, je suis désolée ! s’exclama Délia. Écoute, c’est pas grave, on revient demain, on a juste à suivre ses ordres, pas besoin de réfléchir et à la fin on lui fait virer la vidéo. Il a bien tenu sa parole pour la première !


De mon point de vue, il nous a plutôt bien baisés oui !
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Re: Collection "Candaulisme non prémédité"

Messagepar lesamours31 » Dim 5 Nov 2023 00:40

genial vivement la suite
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Re: Collection "Candaulisme non prémédité"

Messagepar jerem4444 » Ven 10 Nov 2023 22:48

04. L’AIRE DE REPOS
Ma copine n’aurait pas dû exciter un chauffeur routier sur la route…


Ceci est notre seconde histoire.
Céline et moi vivions en couple depuis près de cinq ans et nous avions découvert récemment que nous ne connaissions décidément rien de nos fantasmes mutuels.
Métro, boulot, dodo, faisant son office ; nous avions d’abord connu la lassitude dans une vie sexuelle peu épanouie avant de prendre le problème à bras le corps et de pimenter nos ébats en les portant sur l’espace publique, dans des lieux ni trop propices à nous faire surprendre mais juste assez pour être excités par la prise de risque.
Et donc, comme je le racontais dans la première histoire, nous avions fini par nous faire prendre dans un cinéma par un inconnu, qui, captant notre manège, s’était rapproché de notre siège pour mater nos ébats et avait fini la séance dans le cul de ma copine.


Suite à cette séance, nous n’avions pas vraiment eu l’occasion d’en reparler pendant deux semaines car Céline partait en déplacement pour le boulot. La seule chose que je me permis de lui rappeler était que, malgré ce qu’il s’était passé, je n’étais pas encore prêt à la laisser aller voir ailleurs en mon absence, quand elle le désirait. Alors que je ne m’étais jamais posé la question avant et que je lui vouais une entière confiance, je commençais à craindre, en réalisant la vraie coquine qu’elle était, qu’elle pouvait m’avoir déjà trompé lors de précédents voyages.


Ces deux semaines furent d’ailleurs très longues, par rapport à ses voyages d'affaires habituels. Je me torturais le cerveau en l’imaginant se faire baiser par un de ses collègues, ou pire encore par son patron. Ces délires m’excitaient et alimentaient mes séances de masturbation mais me rendaient jaloux tout à la fois et ne me laissaient qu’une immense impression de vide une fois que je jouissais.
J’en vins, dans mon cheminement de pensée, à distinguer deux choses : le fait qu’elle couche avec un autre du fait qu’elle me mente ou qu’elle développe des sentiments pour un autre.
Et s’il était évident pour moi que le premier était une source potentielle énorme de plaisir, la seconde était celle qui me posait problème. Il faudrait qu’à son retour, nous en discutions et que nous fixions quelques règles.
Quand Céline revint de son voyage d’affaires, elle put enfin prendre quelques jours de congé et je décidai de lui faire la surprise d’un week-end prolongé dans un complexe hôtelier de luxe avec piscine, spa et centre de bien-être afin qu’elle puisse se reposer de ces deux semaines d’intense activité et du décalage horaire enduré.


Samedi matin, sur la route pour cet hôtel, qui était longue, je décidai d’entamer la conversation tant attendue.
- Tu m’as beaucoup manqué ces deux semaines, lui avouai-je.
- Toi aussi mon chéri, je suis très contente de partir en week-end en amoureux ! Merci pour ta surprise, me répondit-elle enjouée.
- Je veux dire, vraiment beaucoup !
- Ah bon ? Plus que d’habitude ?
- Oui plus.
Il y avait parfois des pauses pendant lesquelles nous pouvions apprécier les refrains de nos chansons préférées.
- Je ne suis pas parti plus longtemps, dit-elle après un moment de réflexion. Est-ce que ça a un rapport avec ce qu’il s’est passé au cinéma avant mon départ ?
Je me doutais alors qu’elle aussi devait avoir cogité sur le sujet. Je décidai de ne pas tourner autour du pot.
- Oui, ça m’a un peu travaillé…
- Ah ? m’interrogea-t-elle. Genre, en bien ou en mal ?
- Euh…
J’hésitai.
- Tu n’as pas aimé ? Tu es jaloux, c’est ça ? me demanda-t-elle inquiète.
- Oui, non, ce n’est pas ça…
Elle sembla confuse et je voyais bien que je n’étais pas clair mais je ne savais pas comment l’amener. Je décidai de mettre les pieds dans le plat.
- J’ai été très excité avec cet inconnu au cinéma. J’espère juste que tu penses pas que du coup, ça légitime le fait de me tromper avec un collègue.
Nouvelle pause pendant laquelle je me demandais si elle n’allait pas se vexer que je mette en doute sa confiance.
- C’est donc ça qui te travaille ? Cette fois au cinéma était la seule fois où je t’ai trompé, me répondit-elle.
Je sentis mon coeur s’alléger mais répliquai :
- On ne peut pas dire que tu m’aies vraiment trompé, enfin c’était devant moi…
- Bah si un peu quand même, c’est même ça qui t’a excité et qui m’a excitée ! me dit-elle de but en blanc.
- Je veux dire que tu ne l’as pas fait dans mon dos, tu ne m’as pas menti… En vrai si tu couchais avec un collègue ça m’inquiéterait pas plus que ça à condition de pas le cacher, de le faire devant moi !
- Ah ah, coquin ! Bon, avec un collègue, même juste pour du sexe, j’éviterai car ça ne serait pas très bon pour ma carrière. Je préfère encore avec un inconnu qu’on ne reverra jamais, me dit-elle en souriant. Mais en tous cas, si c’est que pour du sexe, ce sera pas sans toi. Et pour tomber amoureuse d’un autre, là, il faudrait déjà que notre couple ait des problèmes et crois-moi que je t’en parlerai si c’était le cas ! tenta-t-elle de me rassurer.
Je pris quelques secondes pour apprécier ses paroles. Voilà aussi pourquoi j’aimais Céline, elle était intelligente et il ne nous avait pas fallu deux heures pour nous accorder : elle rendait les choses simples.
- Et toi ? Tu as aimé cette expérience ? lui demandai-je pour détendre l’atmosphère qui s’était fait pesante à cause de mes inquiétudes.
- J’ai adoré sur le moment et j’ai bien eu le temps d’y repenser entre temps. J’ai eu peur que tu rétropédales car je trouvais qu’on avait trouvé un truc intéressant…
- Tu veux dire, que tu trouves intéressant l’idée de baiser d’autres mecs en restant en couple avec moi ?
Elle me sourit. Je tentai de rester concentré sur la route (oui, faut que je précise que c’est moi qui conduisais).
- Bah et toi, tu trouverais pas intéressant de pouvoir coucher avec plein de filles, tout en me gardant ?
- Cela ne m’avait pas traversé l’esprit mais j’avoue, c’est tentant ! Pourquoi, toi aussi tu prendrais plaisir à me voir avec une autre ?
- Je ne sais pas, m’avoua-t-elle. Peut-être un jour, on verra. Mais oui, il y a quelque chose d’assez excitant dans l’idée d’exciter les mecs comme ça, de s’exhiber puis de se donner devant toi…
- Vas-y développe, je sens que tu vas m’exciter ! l’incitai-je.
- Déjà, c’est flatteur quand un homme est attiré par toi. Alors quand je vois en plus l’excitation dans tes yeux de comment toi tu me vois et comment tu es excité de voir que les hommes sont attirés par moi, cela décuple le sentiment d’être un objet de désir.
- Je pensais que ça vous gênait, vous les femmes, d’être juste un objet de désir, que tous les hommes pensent qu’à vous baiser.
- Oui, dans certaines situations où je ne serai pas d’humeur, comme au travail… Mais d’un autre côté, j’aime bien me sentir attirante.
- Tu l’es !
Elle était habillée avec une robe courte à froufrous, en mode vacances. Céline était plutôt mince au niveau de la taille mais avait malgré cela une superbe grosse poitrine naturelle et un gros cul. C’était le corps parfait pour moi et chaque fois qu’elle se baladait à poil devant moi à la maison, mon sexe se mettait tout de suite au garde à vous et je devais retenir l’irrésistible envie de gober ses seins et de lui lécher les tétons. Bref… Attirante, elle l’était !
- Tu as déjà été draguée par un collègue ?
- Oui, plein de fois ! s’amusa-t-elle. Mais je dis toujours non, ajouta-t-elle quand elle vit mon visage étonné. Pas au boulot et pas derrière ton dos, arrête de t’inquiéter pour ça.
- Je ne m'inquiète pas. Et par d’autres hommes ?
- Oui !
- Qui par exemple ?
- Certains commerçants… des jeunes dans la rue… mon prof de violon…
- Le vieux de 60 ans ?
- La luxure n’a pas d’âge limite chez les hommes !
- Et euh… Il t’a dit quoi exactement, tu lui as répondu quoi ?
- Il a voulu m’inviter après le cours à boire un verre mais j’ai refusé poliment. Il a déjà tenté plus ou moins subtilement de me faire comprendre qu’il était un bon amant mais j’ai fait semblant de ne pas comprendre, dit-elle amusée.
Je ne sais pas pourquoi, mais ce qu’elle me racontait avait tendance à m'émoustiller. Étrangement, plus encore que la perspective que cela se concrétise avec un collègue. Peut-être justement parce qu’il était vieux. Je crois que j’avais quelque chose avec les vieux pervers, le genre un peu vicieux.
- Et si on l’invite à la maison pour le prochain cours et qu’on lui propose de rester pour l’apéro ?
Céline se mit à rire.
- Tu l’as dit, il est trop vieux ! Et pas très beau, limite bedonnant !
- Il faut que le mec soit beau pour que ça t’excite ?
Céline prit le temps de la réflexion.
- Je suppose que plus excitant encore que l’apparence physique est l’aspect “interdit” de la situation et l’intensité avec laquelle j’excite le mec.
- Est-ce que cela veut dire que tu pourrais le laisser te baiser ?
- Théoriquement, oui.
Je bandais.
- Mais c’est un bon prof. Je n’aimerai pas changer la relation qu’on a pour un coup.
Avec cette réponse, elle ferma cette porte des possibilités.
- Y’a-t-il eu un jour où tu as été draguée et où tu aurais bien failli me tromper ?
Elle me regarda avec un regard de réprimande.
- Et toi, tu m’as jamais trompée j’espère ? Parce que oui, certaines propositions indécentes m’ont déjà émoustillée mais j’ai toujours été correcte par respect envers toi et je n’aurais jamais envisagé ce qu’on a fait sans ton accord.
- Parce que j’ai donné mon accord ?
- Tu m’as mise les seins à l’air devant cet inconnu ! Je pense que le message était clair. Et puis tu aurais pu nous arrêter dès lors qu’il a commencé à me toucher…
- Ok, c’est fair. Et non, je ne t'ai jamais trompée. Mais je ne suis jamais dragué.
- Si tu l’étais, tu céderais ?
- Je ne crois pas. J’ai quand même tiré le gros lot avec toi, je vois pas pourquoi j’irai me tirer une balle dans le pied, répondis-je en souriant.
Elle me rendit le sourire.
- Espèce de beau parleur. Sors à droite, tu vas louper ta sortie, banane.
Depuis le début, je dois avouer que je conduisais plutôt mécaniquement. Il n’y avait pas grand trafic. Le chemin était simple, quasiment toujours tout droit. Je pris la sortie qui était une jonction d’autoroutes et m’engageai sur une nouvelle étape tranquille sur 50 kilomètres.
- Du coup, si ce n’est pas le prof de violon, ni un collègue, qui pourrait-on trouver pour te baiser ?
- Décidément, tu ne vas pas lâcher l’affaire ! s’exclama-t-elle. Tu as déjà envie de recommencer à ce que je vois !
- Pas toi ?
Elle sembla hésiter avant de me répondre puis me décrocha enfin :
- Je me suis pas mal touchée cette semaine en y pensant, donc je suppose que oui !
- Ah ah ! m’exclamai-je, je le savais, quelle salope !
- Attention à la route ! me réprimanda-t-elle. T’excites pas trop, tu fais des mouvements brusques.
- Désolé. Raconte-moi, ce que tu t’es imaginée en te touchant, lui demandai-je alléché.
Céline marqua une pause. Une reprise acoustique d’un tube récent se jouait.
- Bah tu sais, j’ai repensé au cinéma. A quand j’ai branlé ce mec en te regardant dans les yeux… Quand il m’a enculée en plein ciné devant toi, à quel point c’était surréaliste. Et quand il a recouvert mes fesses de son foutre…
- Humm… dis-je, j’aime bien quand tu parles crûment.
- Tu veux que je te raconte comment un inconnu m’a draguée une fois ?
- Vas-y…
- Je faisais mon jogging et je suis allée courir jusqu’au Bois de Boulogne.
- Tu es allée là-bas toi ? Tu cherches le grand frisson !
- Je n’y ai pas pensé, j’y suis allée en plein jour, en fin d’après-midi. Je ne savais pas que déjà à cette heure là, des hommes tournaient dans les bagnoles.
- Continue…
- L’un deux s’est arrêté à mon niveau en voiture et m’a demandé combien c’était.
- Je lui ai dit que je n’étais pas une prostituée, merci et bonne journée.
- Et ?
- Il m’a suivi pendant que je reprenais mon footing. J’ai fait semblant de ne pas l’entendre avec mes écouteurs mais en réalité, j’avais mis la musique en pause. Une partie de moi avait envie d’entendre ce qu’il allait dire pour me draguer mais en même temps, j’étais extrêmement stressée qu’il m’agresse.
Je ne savais pas quoi répondre, je ne pouvais qu’imaginer le stress mais cette histoire éveillait mon excitation. Je continuai de l’écouter.
- Il a été très graphique on va dire. Il m’a dit que ce n’était pas grave si je n’étais pas une pute, que j’allais tout autant apprécier sa queue. Il m’a dit qu’elle était grosse et qu’il pourrait me remplir bien comme il le fallait. Il m’a aussi décrit ses talents de lécheur et m’a promis de multiples orgasmes. Il m’a dit que j’étais vraiment bonne et que si j’avais peur qu’on nous aperçoive ou que mon mari l’apprenne, il saurait être extrêmement discret. Il m’a dit qu’il n’avait pas touché à sa queue depuis deux semaines et qu’il avait des couilles bien pleines pour moi.
En me racontant cette situation, je la voyais se caresser doucement la poitrine. Je bandais comme un âne.
- Et puis ?
- A une intersection, je me suis engagé dans un sentier où il y avait d’autres joggeurs, loin de la route, donc ça s’est arrêté là.
- C’est tout ?
- Bah écoute, c’est déjà pas mal ! Monsieur le cocu qui veut maintenant prêter sa copine à tout le monde ! Mais non, c’est pas tout. Un peu plus loin sur mon trajet, j’ai vu une vraie prostituée tirer un mec par la main et aller dans les arbres.
- Et alors ?
- Je me suis arrêtée pour ne pas passer devant eux et je me suis mise en retrait du chemin et ai tenté de les observer. J’ai vu le mec baisser son pantalon et sortir sa bite et la fille le sucer. Mais un joggeur est arrivé derrière moi et j’ai fait semblant de remettre mon lacet et suis repartie aussitôt, honteuse. Le soir en rentrant, je me suis masturbée devant quelques vidéos de putes au bois de Boulogne.
- J’étais pas là ? Pourquoi tu m’en as pas parlé ?
- Non tu finissais tard et j’avais un peu honte de moi. Le fait est que ce n’est pas vraiment jouer la voyeuse qui m’avait excitée. Je m’imaginais dans ma tête, céder aux avances du mec en voiture, l’emmener dans la forêt et le sucer lui aussi.
Elle dit ceci en se touchant le sexe.
- Continue, l’incitai-je.
- L’idée de faire la pute et qu’on puisse me voir le faire comme j’ai vu cette fille, cela m’excitait beaucoup. L’idée de m’exhiber en faisant quelque chose d’interdit, c’est grisant… me dit-elle en soufflant.
Je vis qu’elle massait son clitoris sous sa robe d’été.
- Tu te masturbes là ?
Elle se râcla la gorge et se redressa.
- Hum, désolée, je suis en train de me chauffer toute seule.
- Pas toute seule, tu me chauffes aussi.
- Je vois ça, dit-elle, en regardant la bosse sous mon pantalon.
- Si tu as chaud, peut-être devrais-tu retirer le haut de ta robe…
- Coquin ! me reprocha-t-elle. Tu sais que le soutien-gorge est inclus dedans. Si je la retire, je serai les seins à l’air.
- Justement ! insistai-je.
- D’accord, concéda-t-elle.
Elle tourna son dos vers moi.
- Si tu peux descendre la fermeture sans nous faire avoir un accident s’il te plaît, ajouta-t-elle.
Je finis de doubler un véhicule, me rabattis. Puis mes yeux quittèrent deux secondes la route pour repérer le fermoir. Puis je le saisis et le descendis en tentant de me concentrer à nouveau sur la route.
Elle se défit du haut et le descendit jusqu’au nombril. Elle avait maintenant la poitrine à l’air.
Ses seins me faisaient toujours un effet de taré et j’avoue que ce n’était pas évident pour conduire.
- Comme ça, monsieur ? me demanda-t-elle.
- Très bien ! Maintenant reprends ta masturbation.
Elle ne se fit pas prier, je la vis glisser ses doigts sous sa robe.
- Raconte-moi ce que tu aimerais que je fasse à un inconnu.
Je me lançai alors dans un monologue où je racontai la rencontre imaginaire entre un inconnu, vieux pervers vicelard se branlant dans sa voiture alors qu’elle, passante, passerait à côté de celle-ci. Je lui racontai que surprise par ce qu’elle voyait, elle s’arrêterait et que le mec continuerait à se donner en spectacle pour elle. Elle glisserait alors sa main dans la voiture et entreprendrait de le masturber. Puis le mec finirait par ouvrir la portière et la faire monter. Elle lui prodiguerait alors une belle branlette espagnole avec son énorme poitrine et prendrait le risque que d’autres passants la voient faire et s’arrêtent à leur tour.
Poursuivant mon histoire, je vis que Céline était très excitée. Elle se masturbait le clitoris sous sa jupe à côté de moi et je pouvais entendre les bruits de mouille. Moi-même, j’avais du mal à tenir en place. Je tentai de me concentrer sur la route. Un camion était devant nous et roulait clairement moins vite. Je décidai de le dépasser. Je réalisais à ce moment que cela signifierait que le conducteur du poids lourd aurait tout le loisir de mater la grosse poitrine à l’air de Céline pendant qu’elle se masturbe. En remontant le camion, je la briefai.
- Tiens, toi qui aimes qu’on te mate. Je vais passer à côté du camion. Continue de te toucher, je pense que ça pourrait plaire au routier !
Céline sourit. Elle semblait partante pour ce jeu. Je doublai le camion et quand j’arrivai au niveau de sa vitre, je ralentis légèrement pour faire durer la manœuvre et qu’il ait le temps de mater ma belle en train de se donner du plaisir, les seins à l’air.
Je ne pus voir si nous avions effectivement été vus ou si le conducteur n’y avait vu que du feu. Je terminai ma manœuvre et me rangeai plus loin devant lui. C’est alors que j’entendis des klaxons derrière moi. Je compris que ceux-ci étaient des klaxons enthousiastes d’un chauffeur content de ce qu’il avait vu.
Avec Céline nous rîmes.
- Je suis vraiment chaude, me signala-t-elle. Si tu ne t’arrêtes pas Julien, je vais me faire jouir là sur la route.
- Je n’ai rien contre !
- Si tu t’arrêtes, je te baises direct !
Je n’en pouvais plus et une aire de repos s’annonçait dans peu de kilomètres. J’annonçai à Céline que j’étais disposé à la remplir à la prochaine aire d’autoroute si elle pouvait encore attendre. Pendant ces quelques minutes longues comme ma queue, Céline retira sa culotte de sous sa robe et me la fit sentir ce qui me rendit particulièrement fou.


Je pris la sortie suivante. C’était une petite aire de repos sans station essence, sans boutique, juste des toilettes et des places de parking. Elle était très végétalisée tout autour et il n’y avait pas grand monde. La nuit était en train de tomber ce qui conférait à l’ensemble un côté un peu glauque mais néanmoins très excitant.
Je m’arrêtai n’importe comment dans le fond de l’aire puis ne perdis pas une seconde pour éteindre le moteur, me détacher et me précipiter sur Céline. Je l’embrassai fougueusement mélangeant ma langue à la sienne puis continuai les baisers dans le coup, sur sa poitrine et sur ses tétons. Puis j’entrepris de descendre plus bas en tentant de trouver la position la plus confortable pour lui prodiguer un cunilingus. Elle abaissa le dossier de son siège, je fis de même, elle souleva son bassin et me tendit son sexe trempé de mouille et j’y trempai ma langue avec désir.
J’entrepris également de défaire ma ceinture et de descendre mon pantalon et mon boxer pour libérer mon sexe très à l’étroit.
Céline gémissait sous mes coups de langues et en redemandait encore. Elle me tenait la tête appuyée sur son clito, pendant que je me branlais.
Soudain, nous entendîmes un gros klaxon de camion. Je me relevai surpris, Céline remontait sa robe sur ses seins par réflexe, se demandant d’où venait le bruit.
Nous vîmes alors le camion que nous avions doublé quelques minutes plus tôt sur l’autoroute. Le hasard (ou peut-être qu’il comptait se faire toutes les aires avec une idée en tête) l’a amené sur cette aire de repos. Il se gara juste à côté de nous en prenant plusieurs places de parking voiture sur sa longueur.
Céline m’interrogea du regard.
- C’est le mec à qui tu t’es exhibée tout à l’heure ! lui confirmai-je.
Elle sourit.
- En voilà, un cochon…
- Tu veux qu’on parte ? Il te fait peur ?
- Attends je veux voir à quoi il ressemble, dit-elle, tout en se tenant la robe au-dessus de sa poitrine pour ne pas qu’elle tombe d’elle-même.
Le chauffeur routier était descendu de sa voiture et marchait l’air de rien en notre direction. Quant à moi, je rangeai mon outillage dans mon pantalon. Quand il vint suffisamment prêt, nous pûmes le détailler un peu. Il ressemblait tout à fait au stéréotype que je me faisais d’un vieux camionneur : plutôt vieux, avec un peu d’embonpoint mais des bras assez costaud tout de même, quelques tatouages sur les bras, une barbe tirant sur le gris. Il avait un regard vitreux, avide, comme s’il était depuis trop longtemps dans la misère sexuelle.
Avant qu’il n’arrive jusqu’à notre voiture, je demandai à Céline :
- un vieux cochon, voilà de quoi il a l’air, dis-je en rigolant. Tu veux qu’on parte maintenant ?
- Attends, eut-elle à peine le temps de me dire quand elle fut interrompue par trois coups de doigts au carreau de son côté.
Sans me consulter, elle baissa la vitre.
- Oui ? demanda-t-elle
- Bonjour Madame ! Et bonjour Monsieur ! ajouta-t-il en s’abaissant devant la fenêtre pour que je puisse voir son visage.
- Bonjour, répondit-elle sèchement. Il y a quelque chose qui ne va pas ? Nous avons un phare arrière en panne ? demanda-t-elle en toute innocence.
Le chauffeur parut un peu décontenancé, ne s’attendant pas à ce qu’elle nie ce qu’il s’était passé avant. Mais il prit rapidement sur soi en voyant la culotte de Céline sur le tableau de bord et moi complètement débraillé. Il entra directement dans le vif du sujet qui l’intéressait.
- Vous sembliez occupée tout à l’heure sur la route. Je n’ai malheureusement pas pu voir la suite du spectacle !
Céline pouvait simplement continuer de nier, lui demander de partir et mettre fin à l’échange mais au lieu de ça, elle lui répondit du tac-o-tac :
- D’accord ! Vous pouvez regarder.
Le chauffeur parut satisfait de sa réponse et Céline me lança un regard en ma direction me sommant de ressortir ma bite illico, ce que je fis sans protester.
Elle était mi-dur, mi-molle, mais Céline, la prenant en bouche, sut lui redonner rapidement de la vigueur.
Le chauffeur routier avait descendu son short, il portait une espèce de slip blanc dont dépassait ses poils et sa grosse queue ne semblait pas vouloir y tenir puisqu’elle dépassait sur le côté. Il descendit son slip et se saisit de son sexe. Il était déjà tout visqueux et très poilu à la base. La vue de ce gros sexe turgescent un peu dégueu m’excita terriblement. J’imaginais ma Céline satisfaire les envies de ce vieux pervers négligé et je ne pouvais m’empêcher de gémir à cette idée pendant que Céline s’occupait de mon sexe.
Puis le mec commença à s’astiquer devant la fenêtre baissée de Céline en l’encourageant.
- Hum, c’est ça sale pute, t’es une bonne salope toi, tu aimes ça sucer des queues…
Céline qui était concentrée sur sa fellation, ne tenait plus le haut de sa robe mais avec le bassin allongé sur moi, elle tenait seule. Je décidai d’aider un peu la gravité, en tirant sur sa robe pour remettre sa poitrine à l’air.
- Hummm, oui, elle a l’air d’avoir une belle paire de nibards ta petite femme ! Tu aimes bien les montrer hein ! encouragea le chauffeur routier.
Ces encouragements nous excitèrent tous deux car Céline accéléra sa fellation en gémissant et moi je me sentais venir dans sa bouche. Je m’aggripai à la tête de Céline et elle comprit que j’allais jouir. Elle poursuivit sa fellation jusqu’au bout pour recueillir mon jus dans sa bouche. C’était quelque chose qu’elle faisait rarement d’habitude mais je voyais bien qu’elle avait envie de montrer au chauffeur de quoi elle était capable.
C’est en entendant le chauffeur s’astiquer le poireau et émettre des grognements dégueulasses que je jouis dans la bouche de Céline.
Celle-ci se redressa et laissa apparaître sa poitrine nue et apparente au chauffeur routier. Puis elle recracha mon sperme doucement en dehors de sa bouche qui s’écoula le long de son menton et tomba sur ses seins.
Même en ayant déjà joui, je trouvais cela terriblement excitant.
- Hummm, mais quelle salope, commenta-t-il. Je peux ?
Céline ne répondit rien.
Qui ne dit mot consent, dut penser le chauffeur car il se permit ensuite de glisser sa main gauche pleine de son liquide pré-séminal et de toucher les seins de ma copine et d’y étaler le sperme dessus. Il joua également avec ses tétons et Céline se laissait faire presque fascinée par la bite du chauffeur routier.
- T’aimes ça le foutre, salope, dit-il en l’étalant. Tu en veux encore ? Tu veux me sucer ?
Céline me lança un regard qui en disait long. Mon sperme coulait encore de son menton. Puis elle se retourna vers le vieux à sa fenêtre et fit timidement “oui” de la tête.
Le vieux tenta d’ouvrir la portière. Elle était fermée à clé. Céline déverrouilla les portes, puis il ouvrit la portière et vint se positionner devant elle. Céline engloutit alors cette autre bite, bien visqueuse et poilue. Je commençais déjà à rebander.
Elle suça ce vieil homme avec application pendant que lui l’insultait. Plusieurs fois, il lui saisit la tête et tenta des gorges profondes et Céline, qui se touchait en même temps, semblait beaucoup apprécier le traitement.
- Sors ! je vais te prendre, ordonna-t-il.
Céline ouvrit la boîte à gant où se trouvait une ancienne boîte de préservatifs. Je l’avais oublié celle-là, nous les utilisions avant qu’elle ne soit sous pilule. Le message était, on ne peut plus clair.
Elle sortit de la voiture et le chauffeur routier la prit par le poignet et lui fit faire un demi-tour sur elle-même pour la coucher en avant sur le capot. De mon côté, je descendis de la voiture pour mieux voir la scène et remarquai que nous n’étions pas seul avec ce chauffeur. Deux autres hommes observaient la scène à une distance polie et l’un avait la main dans le pantalon.
- Mon dieu ! pensai-je, dans quel traquenard sommes-nous tombés ? Pouvons-nous seulement faire marche arrière ? Et Céline le voudrait-elle vraiment ?
En faisant le tour, tout en tenant mon pantalon pour ne pas qu’il dégringole sur mes genoux, je vis Céline cambrée les seins sur notre capot, tendre docilement son cul nu en arrière, la robe relevée. Le vieux était en train d’enfiler la capote qu’elle lui avait tendue. Puis il s’engouffra dans sa chatte et lui arracha de gros gémissements. Quand elle en était là en général, c’est qu’elle prenait vraiment son pied et était au summum de l’excitation.
Les deux autres hommes autour, probablement aussi deux chauffeurs routiers au look de camionneur également, se firent moins timides et se rapprochèrent en se masturbant ostensiblement.
Du coup, je ne me gênai pas pour en faire autant. J’étais très excité de la voir se faire prendre par un inconnu et contrairement à la fois dans le cinéma où je ne pouvais pas voir la pénétration, j’avais ici une vue parfaite sur la grosse queue du vieux enfonçant les lèvres de la chatte de ma Céline qui mouillait abondamment. Celui-ci tenait sa jupe en l’air et lui écartait les fesses pour bien faire profiter à tout le monde du spectacle de cette pénétration hors norme.
- Hum, la bonne salope, quel gros cul de pute ! Tu la sens ma grosse queue ?
- Oh ouii, oh oui ! se contentait de répéter Céline.
- Humm, avec un cul pareil, je suis sûr que ton anus est capable aussi de gober une queue comme la mienne, tu ne penses pas ?
- Oh ouii ! s’exclama Céline, je la veux dans mon cul, supplia-t-elle.
Je prenais un plaisir incroyable à voir Céline s’abandonner à ce vieux pervers alors même que la sodomie n’était pas une pratique qu’elle réclamait d’habitude. Je devais ralentir la cadence de branlette au risque de jouir trop tôt pour voir cela.
Il ne fallut pas grande préparation pour y arriver. Le cul de Céline était déjà bien dilaté à l’idée de se faire prendre et l’homme l’avait lubrifié avec de la salive en abondance. Cela dit, je vis que la pénétration n’était pas aussi simple que dans la chatte et que quelques gémissements de douleur s’étaient mélangés à ceux de plaisir. Puis la facilité vint avec les vas-et-vient répétés dans son fion. En même temps, il lui touchait le clitoris et elle semblait apprécier cela car elle se remit à crier de plaisir, toujours les seins couchés sur le capot de la voiture.
- Hum oui, un vrai cul de pute, il doit en voir passer du monde celui-là, il y a la place là-dedans ! s’exclama le vieux.
- Oh oui ! Je suis une pute ! répéta Céline qui semblait apprécier cette dénomination.
- Qu’est-ce que fait une pute ? demanda le vieux, hein ?
- Je sais pas ! dit-elle en gémissant.
- Elle soulage tous les mecs, sans distinction ! Ce serait dommage qu’ils en profitent pas d’un cul si accueillant ! dit le vieux chauffeur routier en désignant ses collègues qui se masturbaient à une distance raisonnable (mais tout de même plus proche qu’au début).
Céline répondit par des gémissements.
- Tu sais que tu veux tous les soulager ! Pense à ton mari qui se branle pendant que tous les mecs passeront un à un dans ton cul !
- Oh oui !!! cria-t-elle en jouissant.
- Ca t’excites salope ! Dis que tu veux toutes les queues dans ton cul, dis-le !
- Je veux toutes les queues dans mon cul ! répondit-elle en se pliant à ses ordres.
Le camionneur encouragea ses collègues à prendre un préservatif dans la boîte à gants et à les enfiler. Tous les deux avancèrent sans tenir compte de moi. Je ne comptais pas vraiment, c’était le chauffeur routier qui maîtrisait complètement la situation. Je me contentai de me branler et de mater la scène porno la plus excitante de ma vie.
Puis ils prirent leur tour un à un dans l’anus de Céline. L’un avait une bite de taille moyenne qui n’avait pas l’air de trop bousculer ma Céline après le passage du chauffeur mais l’autre en avait une plutôt longue et ne se gêna pas pour l’enfoncer jusqu’à la garde. Ce fut lui qui donna un second orgasme à Céline.
Enfin, quand chacun se fut suffisamment chauffé, le vieux chauffeur ordonna à Céline de se mettre à genou devant eux pour recueillir le sperme de ces inconnus sur sa grosse poitrine.
- Regardez-là cette pute, prête à prendre votre foutre ! Allez les gars ! les encouragea-t-il tout en se masturbant lui-même au-dessus de Céline.
Quand je vis le premier gicler, je sentis qu’il était temps pour moi de me laisser aller moi aussi. Je jouis alors, debout comme ça, sur l’aire d’autoroute, le pantalon à mes pieds, le foutre giclant sur le bitume. Par contre le leur à eux, finit sa course sur son visage et sur ses seins se mélangeant avec mon sperme étalé et séché quelques minutes auparavant.
Les chauffeurs disparurent alors en nous laissant en plan comme cela au milieu de l’aire d'autoroute, Céline toute souillée de leur semence. La nuit était tombée.
Céline et moi reprîmes la route en direction de l’hôtel dans l’optique de prendre une bonne douche en arrivant. Elle s’endormit avec le sourire aux lèvres, exténuée de cette expérience. Le débrief serait pour une autre fois alors !
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Re: Collection "Candaulisme non prémédité"

Messagepar Cocubelge6000 » Sam 11 Nov 2023 01:21




Génial ! Super excitant ! Une grosse salope comme je les aime. :)
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Re: Collection "Candaulisme non prémédité"

Messagepar alexetflo » Sam 11 Nov 2023 08:34

très beau récit, l'excitation de Céline grimpe au max quand elle se sent pute !
tout compte fait elle apprécie de se faire enculer par des inconnus.
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Re: Collection "Candaulisme non prémédité"

Messagepar CaroChris » Sam 11 Nov 2023 17:02

On adore.
Une histoire qui aurait pu nous arriver l'année dernière, après une séance d'exhib aux routiers sur une autoroute...
Vivement la suite
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Re: Collection "Candaulisme non prémédité"

Messagepar baboun67 » Mar 14 Nov 2023 00:34

ca y est je bande !!
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Re: Collection "Candaulisme non prémédité"

Messagepar jerem4444 » Mer 15 Nov 2023 22:17

Voici la 5e nouvelle de la série ;)

05 - LE AIRBnB
Ma copine a surpris l’hôte en pleine branlette et voilà ce qu’il s’est passé…

https://www.candauliste.com/ma-copine-a-surpris-l-hote-airbnb-en-pleine-branlette-t48646.html
Dernière édition par jerem4444 le Mer 29 Nov 2023 11:59, édité 1 fois.
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Re: Collection "Candaulisme non prémédité"

Messagepar CaroChris » Jeu 16 Nov 2023 10:52

On adore! Merci pour cette histoire, qui nous à bien excité.
Je m'imagine à la place de cette fille et mon mari également.
Vivement la prochaine.
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Re: Collection "Candaulisme non prémédité"

Messagepar Guigoz34 » Mer 22 Nov 2023 12:11

excellents tes récits, tous plus bandants les uns que les autres!
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Re: Collection "Candaulisme non prémédité"

Messagepar jerem4444 » Mer 29 Nov 2023 12:03

Merci ! et merci d'avoir fait remonter le sujet :)
Pour la peine, voilà la 6e nouvelle. Je rappelle que chaque récit est plutôt indépendant (même si parfois il y a des liens). Si vous tombez sur celui-ci, vous pouvez commencer par celui-ci, vous n'êtes pas obligés de lire les autres ;)

06 - LE TAXI
Nous n’avions pas le cash pour payer un chauffeur de taxi peu professionnel

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Re: Collection "Candaulisme non prémédité"

Messagepar jerem4444 » Ven 29 Déc 2023 00:03

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Re: Collection "Candaulisme non prémédité"

Messagepar jerem4444 » Ven 29 Déc 2023 00:05

Et voici la dernière de la série. N'hésitez pas à me dire votre préférée et si vous avez tout lu ou pas. Cela m'aidera à m'améliorer. ;)
Je remercie ceux qui m'ont suivi.

-

12 - LE VIEUX VOISIN VICIEUX
J’ai commis l'irréparable après avoir découvert la vérité sur mon mari…


Mon aventure commença réellement quand je cherchai à mettre la main sur un courrier afin de compléter une démarche administrative.
En fouillant un tiroir du bureau où je ne mettais habituellement pas mon nez (car c’était plutôt mon mari qui s’occupait des comptes et de suivre les remboursements de la sécu), ma main s’accrocha à quelque chose et en y regardant de plus près, je fis l’étonnante découverte d’une petite clé USB scotchée au-dessous du tiroir du dessus.
Elle était positionnée de sorte qu’il ne soit pas possible de la voir en ouvrant le tiroir.
Vraiment avide d’en savoir plus sur le secret que pouvait renfermer cette clé, je la détachai et l’insérai dans le port usb de notre PC de bureau.
Ce que j’y trouvai m’abasourdit.
Il y avait sur cette clé, quelques vidéos porno et des histoires érotiques, ce que je devinais être donc la cachette secrète et intime de mon mari Jérémy, mais j’étais loin d’imaginer la teneur de ses fantasmes…
Voyez-vous, Jérémy et moi, nous étions ensemble depuis plus de 15 ans. Nous nous étions rencontrés à la fac, je devais avoir à peu près 20 ans. Et depuis que je le connaissais, il avait toujours été d’une jalousie maladive. A l’époque, il s’était mis en tête qu’il était mon premier petit ami (et je n’avais pas cherché à le contredire là-dessus vu ses réactions). Quand nous étions jeunes, j’étais jolie et très souvent draguée et chaque fois qu’il s’en rendait compte, il me faisait des crises. Quand un homme posait les yeux sur moi, il me faisait une scène. J’étais très amoureuse et je prenais cela comme un signe d’amour et d’attachement à moi. Au lit, le sexe était génial avant qu’il ne devienne répétitif (comme dans tous les couples j’imagine). Mais quand j’avais essayé de pimenter un peu notre vie sexuelle, toutes mes tentatives s’étaient soldées par un échec. Jérémy était assez réfractaire à ce qui sortait du conventionnel et sa jalousie pouvait même intervenir pendant un roleplay (professeur-étudiante) juste parce que je l’appelais “Professeur” et non Jérémy.
Vous comprendrez donc l’étendue de ma confusion quand j’eus découvert que Jérémy avait un fantasme candaulisme.
J’examinai la clé en me demandant si elle appartenait bien à mon mari (mais à qui d’autre sinon ? nous ne vivions qu’à deux, nous n’avions pas d’ados à la maison). Je jetai un œil sur les histoires érotiques et allant de surprises en surprises, je découvris qu’il en était l’auteur : elles étaient signées de son nom, et la dernière histoire en date (le covoiturage) était encore en chantier. Je lus quelques extraits de ces nouvelles : elles mettaient en scène différents couples découvrant, toujours par accident, le candaulisme pour la première fois dans des lieux de vie traditionnel de couple. Vraiment, je ne savais plus quoi penser de cette découverte.


Ce jour-là, j’étais en télétravail et je peux vous assurer que j’eus beaucoup de mal à me concentrer lors de mes réunions de l’après-midi. Je ne pouvais parler de cette découverte à personne et j’étais loin d’imaginer à quel point cela me boufferait de l’intérieur.
Le soir, Jérémy rentra du boulot (lui n’avait pas le droit au télétravail comme moi), et je décidai de ne pas mentionner ce que j’avais trouvé (j’avais repositionné la clé au bon endroit) mais passai la soirée à l’observer. Avait-il changé de comportement ? Se pourrait-il qu’il n’était plus du tout jaloux ?
Je l’écoutais à peine raconter sa journée tant j’étais dans mes pensées à essayer de me rappeler quand était-ce la dernière fois qu’il m’avait fait une crise de jalousie. Quand il me demanda comment s’était passé la mienne, je me contentai de répondre :
- Comme d’habitude, des réunions toute la journée et pas le temps d’avancer sur les sujets de fond.
Ne l’invitant pas vraiment à la discussion, il trouva un autre sujet en regardant la pile de courrier sur la table que j’avais remontée de ma petite course du matin.
- Encore une lettre pour le voisin du dessus ?! s’étonna-t-il en regardant les courriers.
- Oui, encore, confirmai-je.
- Tu ne t’es jamais dit que cela pouvait être lui qui les met dans ta boîte aux lettres pour que tu lui rapportes ? Le vieux en pince peut-être pour toi !
Il ne croyait pas si bien dire.
Jérémy parlait de notre voisin du dessus, un sexagénaire que je n’avais rencontré qu’à une seule occasion : un jour, le facteur s’était trompé. Du fait de la proximité de nos noms de famille, il avait mis un courrier de ce vieil homme dans notre boîte aux lettres et j’avais été assez polie pour le lui rapporter en main propre. Quand je lui avais remis le courrier, le vieil homme m’avait remercié et avait ajouté, sans aucune honte :
- Madame, vous êtes vraiment ravissante, pour ne pas dire bonne. Si d’aventure vous vous ennuyez avec votre mari, sachez que je pratique les meilleurs cunis de la région ! En échange d’une bonne fellation, bien entendu, avait-il ajouté avec culot.
J’avais alors composé mon air le plus choqué, j’avais tourné les talons et m’étais enfuie au plus vite.
- Je ne vois pas l’intérêt, répondis-je à mon mari, puisque je ne lui porte pas en personne. Je remets directement le courrier dans sa boîte aux lettres…
… ce que je faisais effectivement depuis ce jour.
Je ne l’avais jamais raconté à mon mari car c’était certain qu’il en aurait fait un scandale et serait allé taper le vieil homme, ce qui n’aurait pas été particulièrement bien vu dans la copro. Bizarrement, Jérémy, ce soir-là, avait plutôt l’air amusé de sa théorie.
- C’est bizarre que ça t’amuse. En temps normal, tu m’aurais plutôt fait une crise de jalousie en m’accusant d’aller le voir à chaque courrier et de chercher à le séduire ou je ne sais quoi.
- Tu m’as demandé de travailler sur ma jalousie, je travaille sur ma jalousie ! rétorqua mon mari.


Les jours qui suivirent, ce que j’avais appris sur mon mari n’arrêtait pas de me travailler. Une nuit, je me réveillai même dans une suée nocturne après avoir fait un rêve torride dans lequel je couchais avec mon dentiste devant mon mari. Celui-ci n’arrêtait pas de me répéter d’ouvrir grand la bouche afin qu’il puisse y insérer son sexe. J’avais la chatte humide et une furieuse envie de sexe. Le lendemain, quand mon mari fut parti au travail, je ne sus pas ce qu’il me prit, mais je m’emparai de sa clé USB secrète et me décidai à lire l’une de ses histoires érotiques (le cinéma). J’ai honte de l’admettre, mais je réussis à atteindre un orgasme puissant comme je n’en avais pas eu depuis longtemps en me touchant pendant la lecture.


Le lendemain, il se passa un autre événement. Alors que je rentrais d’une petite balade de fin de journée, je relevai le courrier et tombai à nouveau sur une lettre destinée à mon voisin vicieux du sixième. Je repensai à la théorie de mon mari et décidai que c’en était trop. Si le facteur avait pu se tromper la première fois, il était évident que les autres fois avaient été intentionnelles et j’étais bien décidée à faire arrêter ce spam.
Je sonnai à la porte de mon voisin et quand il ouvrit, je lui tendis le courrier. Il me sourit. Il avait cet air fier de lui, confiant et je me demandais comment il pouvait l’être autant alors qu’il n’était plus très frais, les cheveux blancs, une petite bedaine et en repensant à ce qu’il m’avait dit ici même la première fois que nous nous étions rencontrés, je me rendis compte qu’il me révulsait.
- Vous voulez bien arrêter de faire ça ? lui dis-je sans un bonjour et sur le ton de la colère.
- Bonjour madame, dit-il en insistant sur le “bonjour”.
- Bonjour, répondis-je agacée.
- Faire quoi donc ? demanda-t-il
- Mettre votre courrier dans ma boîte aux lettres. Je sais que c’est vous et ça ne sert à rien de le faire puisque je ne viens pas vous voir pour vous le rendre, je le remets directement dans votre boîte aux lettres.
- Vous êtes venue là, c’est que ça fonctionne, me répondit-il éhonté et triomphant.
Je pris un air choqué et lui répondis :
- Écoutez, je me fiche de savoir que vous faîtes une fixette sur moi, la prochaine fois que je trouve un courrier qui vous est destiné dans ma boîte aux lettres, je le mets à la poubelle. Purement et simplement.
- Est-ce que je vous ai dit que j’avais une grosse queue ? Probablement la plus grosse que vous n’ayez jamais connue, répondit-il avec insolence. Vous devriez reconsidérer ma proposition !
Hors de moi, je lui arrachai le courrier des mains et me dirigeai vers l’ascenseur.
- Celui-ci aussi ira à la poubelle, dis-je en partant.
Le vieux sortit alors de chez lui et ferma sa porte à clé pendant que j’appelai l’ascenseur.
- Vous faîtes quoi là ? Vous n’allez pas me suivre ?
- Non ! s’exclama-t-il, j’ai le droit de sortir de chez moi ? Je vais rendre visite à ma fille.
Il y eut un moment de gêne pendant lequel nous attendions tous les deux l’ascenseur et je ne croyais pas une seconde à son histoire.
- Je vais prendre l’escalier, dis-je.
- Non laissez, je vais le prendre, moi. Visiblement je vous mets mal à l’aise.
“Quel culot !” pensai-je. Il me faisait des avances sans détour et s’étonnait que je sois mal à l’aise. D’un autre côté, j’avais quelques remords à laisser un sexagénaire prendre l’escalier pour descendre 6 étages alors que moi-même n’en avait qu’un à descendre pour retourner chez moi. Mais je trouvais cette cage d’escalier plutôt glauque et il m’avait énervée alors je le laissai y aller. Il ne s’était même pas intéressé à récupérer son courrier !
L’ascenseur finit par s’arrêter et une jeune femme, d’à peu près mon âge en descendit. Elle passa devant moi en me saluant poliment. Il y avait d’autres gens dans l’ascenseur qui m’annoncèrent qu’ils montaient. Je décidai donc d’attendre encore un peu qu’il revienne en descente.
Pendant que j’attendais, la jeune femme se dirigeait vers la porte que mon offenseur avait fermée quelques minutes plus tôt. Je crus alors qu’il s’agissait de sa fille. J’hésitai pendant quelques secondes à l’aborder puis je me décidai.
Venant vers elle et lui tendant le courrier, je lui dis :
- Tenez, c’est le courrier de votre père. S’il vous plaît, faîtes qu’il arrête de mettre ses lettres dans ma boîte et qu’il arrête de me draguer. Il vient de partir vous rendre visite, vous vous êtes manqués de peu.
Elle eut alors une réaction inattendue : elle se mit à rire. Elle prit le courrier et consentit à me donner une explication me voyant étonnée de la voir rire.
- Ce n’est pas mon père, c’est mon mari.
J’étais doublement gênée. D’abord j’avais jugé sans le savoir leur écart d’âge mais en plus je venais de lui dire que son mari s’amusait à draguer d’autres femmes. Et elle, elle avait ri.
- Je ne comprends pas en quoi c’est drôle, lui dis-je.
- Non rien, oubliez, me répondit-elle. Merci pour le courrier, je tâcherai de lui dire de calmer ses ardeurs, ajouta-t-elle en me souriant.
Elle était très belle, de longs cheveux roux et quelques tâches de rousseur sur le nez, elle faisait vraiment très jeune, trop jeune pour lui !
- Je ne suis pas avec lui pour l’argent, me dit-elle soudain, comme si elle avait lu dans mes pensées.
Peut-être que mon regard avait trahi une forme de jugement.
- Je… je, baffouillai-je. Je ne voulais pas insinuer cela, tentai-je de me justifier.
- Je suis avec lui pour le sexe, ajouta-t-elle. Il est très bon, vous devriez considérer sa proposition !
Et voyant mon visage se décomposer.
- Je plaisante, ma belle. Bonne journée à vous.
Elle entrait dans son appartement et fit un geste pour en fermer la porte mais je la stoppai en l’interpellant :
- Attendez !
Elle ressortit la tête et m’interrogea du regard.
- Je suis désolée si j’ai paru vous juger. Je suis juste étonnée, de la différence d’âge, oui c’est vrai, mais pas seulement. Je suis étonnée que vous preniez les écarts de votre mari autant à la légère.
Elle me toisa quelques secondes avant de se décider à me répondre.
- Comment vous appelez-vous ?
- Caroline, lui répondis-je.
- Enchantée Caroline, moi c’est Christelle. Dîtes Caroline, je peux vous tutoyer ?
- Oui bien sûr, nous devons avoir le même âge…
- Caroline, c’est moi qui suis désolée pour mon mari s’il t’a contrariée. Mon mari et moi sommes plutôt ouverts et je trouve ce genre de situation plutôt amusante. J’en oublie parfois que d’autres personnes prennent le sexe bien plus au sérieux que moi et pour cela je m’en excuse. On ne te dérangera plus, c’est promis.
Et de nouveau, quand elle allait prendre congé de moi, je répondis :
- Mais comment vous faîtes… pardon, comment tu fais pour être aussi détachée ?
Cela faisait plusieurs nuits que je dormais mal à cause de ce que j’avais appris sur mon mari et j’avais le sentiment que cette Christelle pourrait m’aider à prendre du recul.
- Tu veux venir prendre le thé ? ou un café ? m’invita-t-elle. Ne t’inquiètes pas, si mon mari est parti chez sa fille, il en a pour un moment.
J’acceptai alors la proposition et entrai dans leur appartement. Il était très joliment décoré à l’image de cette belle jeune femme.
- C’est mon mari qui a fait la déco, il est architecte d’intérieur, me déclara-t-elle, comme si elle avait lu une nouvelle fois dans mes pensées.
- Décidément, je dois être pleine de préjugés.
- Sûrement parce qu’il est âgé ou parce qu’il a été rustre avec toi, tu ne l’imaginais pas avoir une sensibilité artistique…
J’acquiesçai. Elle lisait en moi comme dans un livre ouvert. Nous nous installâmes à la table et elle me prépara un thé.
- J’ai moi aussi mon petit lot de relous, de stalkers et de remarques salaces à mon égard et je sais à quel point ça peut être crispant. J’ai conscience que mon mari est comme ça et je suis vraiment désolée de ne pas t’avoir prise au sérieux…
Elle me répétait ses excuses, je sentais qu’elle essayait de me ménager et qu’il y avait un “mais”.
- Mais ?
- Mais, j’avoue que ça ne me fait plus grand chose depuis des années. Je ne sais pas si je trahis la gente féminine en disant ça, mais à vrai dire je m’en fous, j’ai toujours aimé le sexe, j’ai toujours adoré me sentir désirée et j’ai toujours eu une vie sexuelle épanouie. Si un homme me plaît et que j’ai envie de coucher avec, je le fais. S’il m’importune, je préfère en rire, tant, bien sûr, qu’il ne devient pas physiquement violent. Mon mari et moi avons fréquenté les clubs, nous avons couché avec d’autres personnes. C’est un partenaire aimant pour moi qui a un fort appétit sexuel, même encore à son âge et qui me rend heureuse au lit et me laisse aussi une certaine liberté.
- Mais tu n’es pas jalouse de le voir avec une autre ? demandai-je, pensant au fantasme de mon mari.
- Pas le moins du monde, je suis heureuse quand il est heureux et inversement. Pour moi les sentiments et le sexe sont deux choses bien distinctes. Je sais que mon mari m’aime et il n’y a pas de raison qu’il parte vivre avec une autre et lui n’a pas à s’inquiéter non plus. Tant qu’on continue à se donner de l’amour, mon mari ou moi-même pouvons bien aller chercher du sexe ailleurs, ce n’est rien de plus que du sexe.
Je me composai une moue dubitative.
- Écoute Caroline, je ne dis pas ça pour te convaincre, chacun a sa propre conception du couple, c’est juste que je suis heureuse comme ça et tu semblais vouloir en savoir plus…
- Oui, je me pose pas mal de questions en ce moment…
- Parce que tu n’es pas heureuse dans ton couple ?
- Si… Non… C’est pas ça…
- Quand est-ce la dernière fois que ton mari t’a faite monter au septième ciel ?
- Euh… y’a pas si longtemps… baragouinai-je. On a eu un rapport il y a 3 semaines environ…
- Écoute-toi parler Caroline ! “On a eu un rapport”... Moi je te parle de passion, de sexe, d’excitation, de puissant orgasme. On dirait que tu me parles d’une réunion mensuelle marquée dans ton calendrier !
Je baissai les yeux, un peu honteuse d’avoir laissé aller mon couple dans cette direction.
- Caroline, est-ce que tu te sens belle ? désirée ?
- Bah, euh… oui…
- Tu n’as pas l’air très sûre de toi ! insistait Christelle. Tu es belle ! Tu es magnifique. Tes formes sont juste parfaites. Quand on voit ce décolleté, on meurt d’envie de voir ce qu’il y a dessous. Ce n’est pas étonnant que mon mari t’ait fait des propositions indécentes !
Je rougissais. Ces compliments, dans la bouche d’une femme, me paraissaient plus facile à recevoir que si c’était un homme pervers qui me les assénaient.
- Tu es belle mais par contre, qu’est-ce que tu as l’air tendue, comme si tout était grave, comme si mon mari t’avait annoncé la fin du monde. Ou… comme si ton mari t’avait trompée ?
- Non, ce n’est pas ça… Je suis tombée sur sa cachette secrète de… tu sais… porno (dis-je à voix basse comme si c’était un mot interdit). Et je crois qu’il est… candauliste, avouai-je à cette inconnue.
J’avais besoin de me libérer d’un poids. Christelle rit à nouveau de bon cœur.
- Ah, c’est donc cela, c’est pour ça que tu me demandes comment être détachée ? Je pensais qu’il t’avait trompée !
- Mon mari a toujours été extrêmement jaloux, ça ne lui ressemble pas cette explication de détacher les sentiments et le sexe…
- Ah… et pourtant, c’est très fréquent que des hommes qui ont une jalousie maladive finissent par devenir candaulistes !
- Comment cela ?
- Tu sais ce que c’est le candaulisme ?
- J’ai lu un peu dessus après avoir découvert le truc…
- La jalousie est souvent un moteur pour le candaulisme. Vois ça un peu comme le sadomasochisme, on apprend à aimer ce qui fait mal. Le candaulisme, c’est une manière de transformer un sentiment émotionnel fort et douloureux en quelque chose de positif et excitant. C’est un mécanisme de défense. En plus la jalousie, en général, vient d’un manque de confiance en soi, ou d’une peur de l’abandon. Si l’homme prend plaisir à voir sa femme épanouie sexuellement et concentre son attention sur l’excitation que cela lui procure plutôt que le sentiment négatif de la perdre, il a toute les chances de la rendre heureuse et de lui offrir moins de raisons de l’abandonner.
Ce monologue me laissa songeuse.
- Allez, donne-moi des infos croustillantes, il y avait quoi dans sa “secret stash” de porno ? demanda Christelle pour détendre l’atmosphère qui était sûrement devenue trop sérieuse à son goût.
- Oh… des vidéos candaulistes et des histoires érotiques écrites par lui-même…
- Ah ! Ton homme aussi est un artiste ! me félicita-t-elle. Tu les as lues ?
- Oui, quelques-unes…
- Et alors, c’était bien ?
- Moyen, répondis-je en riant. Mais excitant, confessai-je.
- Ah, tu vois ! Tu commences à te débrider !
Nous rîmes ensemble de bon cœur.
- Je ne lui en ai pas encore parlé, avouai-je en reprenant mon sérieux.
- Peut-être que tu devrais chercher un amant sur internet, lui demander de filmer vos ébats et le montrer directement à ton mari, je suis sûre que ça serait un bon brise-glace, s’amusa-t-elle.
Je ris encore avec ma nouvelle confidente. Au bout de quelques minutes de discussion plus détendue, j’entendis la porte d’entrée s’ouvrir. C’était le mari de Christelle qui était rentré.
- Céline n’était pas chez elle, annonça-t-il à voix haute avant de nous surprendre toutes les deux dans la cuisine.
Je ne savais plus où me mettre.
- Tiens, tiens, dit-il. Si ce n’est pas notre très jolie voisine du cinquième. Aurait-elle reconsidéré ma proposition ?
Gênée, je me refermai comme une coquille et annonçai à Christelle mon intention de rentrer.
Christelle, comprenant que je n’étais pas à l’aise en présence de son mari, me raccompagna jusqu’à la porte :
- Tu peux revenir prendre un verre ou un thé quand tu veux, ma belle. Je te sens un peu isolée et perdue, je sens que tu aurais bien besoin d’une amie.
Depuis la cuisine, j’entendis alors son mari crier :
- Dis-lui que la prochaine fois qu’elle revient avec mon courrier, je la baise sur la table de la cuisine !
Christelle leva les yeux aux ciels.
- Ne l’écoute pas. Pour son courrier, tu n’as qu’à le jeter à la poubelle, il finira par se lasser de ne plus le recevoir, dit-elle en rigolant.
Décidément, même les courriers, Christelle les prenaient à la légère. Remarquez, je n’avais jamais eu de lettres entre les mains avec son nom à elle dessus, je croyais même qu’il vivait seul comme un ermite. Peut-être ne faisait-il cela qu’avec ses courriers à lui qu’il savait non importants.
Je pris congé de Christelle et rentrai chez moi.
Que croyez-vous ? Que j’allais céder aux désirs de ce vieux vicelard ?


En fait… Vous n’avez pas tord…


Cela arriva deux semaines après. Je n’avais pas trouvé le courage d’en parler à mon mari, mais un soir, alors qu’il devait sortir avec des collègues pour un pot de départ, je me sentais seule et un peu excitée à force de ressasser les histoires de mon mari dans ma tête. Je repris sa clé USB et retournai dans son répertoire d’histoire érotique quand je constatai l’existence d’une nouvelle histoire “La chambre communicante”.
Cette histoire me bouleversa plus que les autres car elle me mentionnait moi et mon mari lors d’un voyage que nous avions fait à Nice, un soir dont je me rappelais très bien, où un couple dans la chambre d’à côté faisait bruyamment l’amour.
J’appris dans ce récit, que mon mari m’avait trompée avec une jeune fille prénommée Alice et que c’était suite à son expérience que son fantasme s’était développé (j’apprendrai bien plus tard que ceci n’avait été qu’une fiction imaginée par mon mari et qu’il avait ce fantasme depuis plus longtemps que je le pensais). J’étais en colère contre lui. Je tentai de l’appeler mais il ne répondait pas. Au lieu de faire les 100 pas chez nous comme une lionne en cage, je sortis marcher dans la rue. En revenant, je prélevai le courrier comme à mon habitude et tombai à nouveau sur une lettre du voisin du 6ème. Mon premier réflexe fut l’agacement et je fis quelques pas vers la corbeille à prospectus pour la jeter quand me vint soudain une deuxième idée, plus légère, moins prise de tête, agréable à penser et digne de ce que ferait Christelle.
Je suis alors montée au sixième et ai sonné à la porte de ce vicieux voisin.
- Tiens tiens tiens, on dirait que faire la cour à cette jeune demoiselle a porté ses fruits ! s’exclama-t-il. C’est ton amie Caroline, cria-t-il à sa femme.
Je décidai de lui répondre avec les gestes. Je posai son courrier, mon sac et mon portable sur la petite console à l’entrée. Je dézippai la fermeture éclair de ma robe au niveau de mon dos, me débarassai de mes bretelles et la fis tomber sur le sol. J’avais une culotte mais pas de soutien-gorge, j’étais moitié nue devant ce pervers. Il me répugnait par son apparence de vieil homme et je ne pouvais m’empêcher de me sentir excitée par le fait que cela ne rendait que plus forte la transgression que je m’apprêtai à faire.
Christelle débarqua dans la cuisine et loin d’être choquée de ce qu’elle voyait à la porte, me lança un sourire.
- Ouais girl ! mâte-moi ces seins !
Je lui montrai mon portable sur la console et lui demanda :
- Tu devras me filmer !
Son mari ferma la porte derrière moi et me prit alors en main. Il me demanda d’abord de m’agenouiller dans l’entrée et m’ordonna de le sucer.
Je baissai son jogging dégueulasse et révélai une vieille culotte blanche de grand-père de laquelle se dégageait une forte odeur. Il n’avait pas menti sur la taille de son engin. Il était tellement gros qu’il dépassait de la culotte et son âge avancé ne gênait en rien sa vigueur. Elle était déjà dure comme du bois. Pendant que Christelle me filmait avec mon portable, je baissai sa culotte et libérai la bête. J’entrepris alors de l’embrasser du bout des lèvres, y allant progressivement pour m’accoutumer à son odeur forte et à son goût qui me mettaient dans un état d’excitation second.
Impatient, il me répéta l’ordre d’ouvrir la bouche et de le prendre pleinement. Quand il vit que je faisais la moue, il me donna une bifle sur la joue. Je me sentis alors humiliée et pris un air choqué.
- Ah voilà, cet air de bourgeoise coincée qui me fait tant bander. Je vais te dévergonder moi, tu vas voir !
Puis il me donna deux autres biffles et m’ordonna de tirer la langue, ce que je fis.
Il posa sa queue dessus.
- Si tu t’appliques bien, je te ferai le meilleur cuni de ta vie.
Je mouillais de la chatte comme une chienne. Je ne m’étais pas sentie si en vie depuis la fac. Je me demandais ce que je faisais là. Ce n’était pas moi, je ne me reconnaissais plus.
Je le suçai en m’appliquant, crachai sur sa bite comme dans les bons films porno et j’allai même jusqu’à lécher ses couilles. Le vieil homme était imberbe (contrairement à mon mari) et je pris plaisir à lécher toute son anatomie génitale sans retrouver quelques poils gênant sur la langue. La taille de sa queue représentait un exercice difficile pour ma mâchoire qui n’était pas sans me rappeler mon rêve érotique.
Pendant cette fellation, je vis que Christelle s’était brièvement interrompue de filmer pour se défaire de quelques vêtements trop encombrants. Elle était maintenant en sous-vêtements et reprenait le tournage de son film avec la main gauche, pendant qu’elle se massait le minou avec la main droite. Je gageai que le cadrage ne serait pas de la plus excellente des qualités.
Ensuite, son mari m’ordonna de me relever, de le suivre puis de me retourner et de me cambrer contre la table de la cuisine où j’avais pris le thé avec Christelle. Il baissa alors ma culotte et je sentis sa langue visqueuse et son visage tout entier, s’immiscer entre mes fesses. Il commença son traitement par un anulingus qui me rendit toute humide. Puis, il me retourna et me demanda de m’asseoir sur la table et d’écarter les jambes.
Je me débarassai de ma culotte qui trainait par terre et m’exécutai. J’offris ainsi ma vulve à ce voisin qui était encore un inconnu pour moi. Il y plongea la tête et débuta ce qui s’avéra effectivement être le meilleur cuni de ma vie.
Au début, je gémissais un peu, peinant à prendre du plaisir, me rappelai que j’étais dans une position inconfortable sur cette table et filmée. Mais le vieux savait clairement y faire. Il trouva mon clito très rapidement et savait manier la langue et les doigts. Je commençai à me laisser à aller, à lâcher prise. Je dois avouer que j’étais venue là sur un coup de tête pour me faire baiser la chatte, pas juste pour un cuni mais après quinze minutes de ce traitement et deux organsmes plus tard, j’avais l’impression d’être complètement rassasiée.
Mais le vieux n’en était qu’aux préliminaires.
Il me demanda de l’accompagner jusqu’au canapé. Christelle, qui s’était bien masturbée pendant mon cuni, nous suivit avec la caméra. Il me demanda de me mettre à quatre pattes sur le canapé. De la mouille coulait le long de mes jambes.
Il inséra quelques doigts dans ma chatte dans cette position pour me tenir excitée puis vint porter ses mains à ma bouche et m’ordonna de les lécher, ce que je fis sans broncher. Ce geste, en apparence tout con, c’était la première fois que je le faisais. Je n’avais jamais pensé à me lécher les doigts après m’être masturbée et jamais Jérémy ne m’avait fait faire cela. Il y avait un petit côté salope que j’avais envie d’assumer alors j’y allais goulûment pendant qu’il me complimentait et me traitait de salope.
Il s’adressa à mon mari par l’intermédiaire de la caméra et annonça que c’est ce qu’il se passait quand on délaissait une déesse comme moi, juste avant de me fourrer son énorme queue dans la chatte sans aucune protection.
- J’espère que tu prends la pilule salope, je suis trop vieux pour avoir d’autres gamins.
- Oui, l’assurai-je
Il me demanda si j’aimais cela, être une salope qui trompe son mari et me fessa jusqu’à ce que je réponde par l’affirmative et répète de mon plein gré que oui, j’étais une sale chienne qui aime tromper son mari. Il me fit même parler à Jérémy par l’intermédiaire de la caméra.
- Dis à ton homme que tu n’as jamais pris autant ton pied !
Je déclarai alors à la caméra, ou plutôt à Jérémy que je l’aimais mais que je n’avais jamais autant pris de plaisir en baisant, que sa queue était immense, que je me sentais enfin remplie.
Au bout d’un moment, comme je criai trop fort sous les coups de reins vigoureux de ce vieil homme (j’étais étonnée moi-même d’un tel déhanché pour son âge), il voulut me faire taire. Il demanda à sa femme de s’allonger sur le canapé devant moi. Elle répondit tout de suite à son invitation. Christelle retira sa culotte et vint s’allonger devant moi, toujours à quatre pattes, les seins se balançant sous les coups de pénétration de son mari. Elle écarta ses jambes et m’attrapa la tête. Elle la plongea ensuite entre ses cuisses. Je compris alors ce que je devais faire, je sortis ma langue et me mis à lécher Christelle. Une nouvelle fois, ce qui aurait pu m’écoeurer en temps normal m’apparut comme une transgression terriblement excitante. Christelle était tout l’inverse de son mari. C’était une belle femme, séduisante et je pris beaucoup de plaisir à voir son magnifique visage déformé par le plaisir que je lui procurais en lui bouffant la chatte.
J’eus mon troisième orgasme en même temps que Christelle eut son premier. Quand je sentis ses contractions se rapprocher, mon excitation devint plus forte et je jouis sous les coups de bite de son mari.
Enfin, celui-ci, fatigué d’avoir fourni autant d’énergie à son âge, s’assit sur le canapé et nous somma de le faire gicler. Nous étions à genou devant lui et il avait pris la caméra pour libérer les mains de sa femme (qui de toutes façons n’arrivait plus à tenir le cadrage pendant qu’elle se faisait lécher). Il nous filmait toutes les deux et nous nous partagions sa queue en le suçant à tour de rôle. Je lui fis même une branlette espagnole avec mes seins qu’il aimait tant. A un moment, il signala qu’il allait jouir. Christelle tira la langue pour recueillir le sperme dans sa bouche. Par mimétisme, je la suivis en en faisant autant.
Il éjacula alors d’étonnantes quantité de sperme sur nos langues, bouches et joues. Christelle me gratifia ensuite d’un baiser très humide avec la langue. C’était la première fois pour moi que je me livrai à un baiser lesbien et qui plus est, plein de sperme (c’est elle qui avala cependant). J’adorai, je me sentais tellement pute et en même temps tellement soulagée de toute la colère que j’avais renfermée contre Jérémy pour m’avoir trompée. Je me fichais presque des conséquences. S’il aimait ma surprise, je recommencerai et fini la petite Caroline coincée qui n’était pas épanouie dans sa vie sexuelle. S’il me quittait, j’étais décidée à reprendre en main ma vie sexuelle.


Quand je quittai finalement l’appartement de mes voisins, le mari de Christelle me dit :
- Si tu reviens avec un courrier, moi je viendrai avec quelques copains.


Toujours la petite remarque salace dérangeante !
Quand mon mari rentra de son pot. Je lui demandai de m’accorder un peu de temps pour parler. Il se posta devant la télé, devant une émission qui ne demande qu’à débrancher le cerveau et me demanda alors :
- Ca ne peut pas attendre demain ? Je suis un peu fatigué.
- Non, je préférerai qu’on parle ce soir.
Il y eut quelques secondes de blanc.
- Oui, oui d’accord, répondit-il, sans que son attention soit vraiment portée sur ma réponse.
- Chérie, tu te souviens du courrier du voisin ?
- Ha dégueu ! réagit-il à une scène où un chef étoilé découvrait les cuisines dégueulasses d’un restaurant quelconque.
- Chérie ! l’appelai-je. J’ai trouvé ta clé… Et comme il n’écoutait pas plus, je pris mon téléphone, actionna la vidéo où je suçais le voisin et la mit devant son nez.
Il me regarda avec un air ahuri.
- Est-ce que j’ai ton attention maintenant ?
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Re: Collection "Candaulisme non prémédité"

Messagepar alexetflo » Ven 29 Déc 2023 10:52

le dernier récit du vieux voisin est de loin mon préféré. D'abord il est très réaliste, ça sonne vrai.
c'est très bien écrit, on est bien immergé dans cet immeuble et ses copropriétaires, on perçoit bien que Caroline peut tout aussi bien verser côté colère envers Jérémy, mais elle comprend le penchant candauliste de son chéri et fini par oser au départ par défi, mais très vite pour le plaisir qu'elle reçoit, tout en se doutant de la forte excitation va en retiré son chéri en visionnant la vidéo... le jeune couple vient de plonger dans le candaulisme pour un long moment !

alors jerem, au vu de la qualité de tes récits et particulièrement de ce dernier, il faut continuer dans les aventures de ce jeune couple Caro et Jérémy.
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Re: Collection "Candaulisme non prémédité"

Messagepar jerem4444 » Mar 2 Jan 2024 17:43

Merci alexetflo, j'y songerai :)
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Re: Collection "Candaulisme non prémédité"

Messagepar pascaljean_fr » Ven 2 Fév 2024 17:10

Quelle belle collection de récits, à publier d'urgence !
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Re: Collection "Candaulisme non prémédité"

Messagepar Clahire » Ven 23 Fév 2024 08:24

excellents récits !
Merci beaucoup de nous faire ainsi rêver...
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