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claralacocufieuse a écrit : C’était fait... je l’avais dit !!!

Romuald ne pourrait pas éviter une réponse puisque l’occasion lui était donné de s’exprimer librement sur les événements passés. Le décor était planté, pas de retour en arrière.
Il essaya d’expliquer les circonstances mais manquait d’arguments.

Yann, lui, tentait désespérément de minimiser les conséquences du baiser pour inviter son copain à oser se libérer et qu'il avoue enfin peut-être son attirance pour moi, mais je pouvais voir qu'il ajustait constamment sa posture pour tenter de cacher son état d’excitation évident, compris que l’impensable pouvait avoir lieu : une énorme bosse à l'endroit de sa braguette.

Toujours hésitant, j’essayais d’aider Romuald en reparlant de l’intense plaisir que j’avais ressenti par la voracité douce de ses baisers et, n’y tenant plus, j’explique à notre futur complice qu’il se- rait plus simple si nous montrions à mon mari la formidable manière qu’il a eut de fouiller goulûment ma bouche en profitant de cet instant d’égarement.

Je lui ai pris la main et je l’ai conduit dans la cuisine pour mimer la scène interdite;
Yann nous suivait, avide de détails.

Je me suis penché vers le réfrigérateur et j’ai dit :

- « Tu vois amour, j’étais chez Eric en train de chercher quelque chose de frais à boire quand soudain j’ai senti une caresse sur mes fesses. »
(Cette fois, je porte une robe noire très courte qui, penchée en avant que j’étais, révélait le haut de mes cuisses et la naissance de ma minette déjà trempée).

J’ai poursuivi en expliquant :

- « Bien sûr, je pensais que c’était toi mon Chéri. Puis, ne reconnaissant pas ton odeur, je j’ai tourné la tête et j’ai découvert que le type qui profitait des fesses de ta femme n’était autre que ton copain ! Je t’ai traité de cochon... mais, devant la somptuosité de ses gestes, et m’assurant que personne n’arrivait dans le couloir, je lui ai dit qu'il devrait mieux se concentrer.
Puis, tu vois, comme çà, ton copain Romuald a commencé à frotter sa braguette contre mon cul; Tu peux imaginer à quel point j’étais pompette... mais excitée à mort, mon Chéri, »

En disant cela, je me suis levée, je me suis lentement retournée, j’ai regardé Romuald dans les yeux et j’ai dit :

« C’est comme ça que ça a commencé, n’est-ce pas Romu ?. »

Je me suis approché de la table, me fis servir un énième verre par mon cocu d'Amour et approchais mes lèvres de celle de Romuald.

Yann se tenait là comme lorsque qu’il nous a surpris.
J’ai regardé mon mari droit dans les yeux et rajoute :

- « Puis ton pote m’a pris la tête entre ses mains et m’a légèrement maintenu à sa disposition pour me rouler un patin d’enfer. »

Pendant que je disais cela, Yann m’a pris la main comme pour faire comprendre à son copain que cette fois, il ne stopperait pas la scène dans son déroulement à venir.
Mais Romuald suivrait-il ?

Approchant encore plus près de la bouche de Romuald, j’ajoute d’une voix douce :

- « Quand nos lèvres se sont rencontré, elle se sont ouvertes librement et Romuald à commencer à glisser sa langue contre la mienne sans frein. N’est-ce pas Romu ? »
Rien.

Romuald restait impassible tandis que je venais de déposer un vrai baiser sur sa bouche suave devant mon cocu voyeur.

Peut-être qu’il n’avait rien pour moi après tout.
Prenant une dernière fois mon courage, je répète mon baiser et ma phrase :

- « Quand nos lèvres se sont rencontré, elle se sont ouvertes librement et Romuald à commencer à glisser sa langue contre la mienne sans frein. N’est-ce pas Romu ?»

Un moment de silence, et puis, enfin, je pouvais sentir les mains de Romuald dans mes cheveux et sa langue me fouiller avec délice et timidité.
Il était maintenant sur la même longueur d’onde que notre couple mais resterait-il dessus te osera t-il surtout aller plus loin pour raconter l’autre partie fantasmée de cette nuit ?
Ses mains étaient belles alors qu’il massait doucement mon cuir chevelu tout en enrobant sa langue autour de la mienne.
Je bougeais mon corps et collais mes seins contre sa poitrine pour montrer aux deux mâles le plaisir que je prenais.
J’étais vraiment excité et mes pensées perverses en imaginant la suite de ce qui risquait d’arriver mirent ma petite chatte dans un état apocalyptique, détrempée et gonflée.

Il a glissé ses mains jusqu’à mes épaules et mon cou. J’ai commencé à pousser de petits soupirs tandis qu’il gémissait de désir, regardant tout le temps Yann dans les yeux.
Je pouvais voir qu’il était lui aussi vraiment excité et cela me rendait plus humide encore.
J’ai fait un sourire coquin à mon mari en disant :

- « Puis Romuald a commencé à me masser mes seins. »

À peine l’ai-je dis qu’il empoignait sauvagement ma poitrine et j’ai commencé à devenir assez bruyante ne cachant plus rien de mon envie du mâle.
Je n’ai pas eu à lui demander de défaire mon chemisier, Romu étant désormais pleinement engagé dans notre marché lubrique.

Alors qu’il déplaçait ses mains vers mes boutons, je pouvais sentir la dureté et la chaleur de son excitation presser contre ma cuisse.

Yann avait raison : elle semblait énorme, épaisse et lourde.
J’ai déplacé mes fesses d’un côté puis de l’autre en appuyant en arrière.
Lorsque le dernier bouton a été défait et que les mains de mon amant sont revenues sur mes seins, j’ai commencé à ressentir déjà les prémices d’une jouissance rapide.

Contrairement au copain de Yann, j’avais le contrôle.
J’allais en tirer le meilleur parti.
Oui, j’étais devenue une véritable petite salope affamée, mais j’en avais tellement rêvé et besoin.
Yann ne me touchait plus depuis plusieurs mois et ce soir allaient sans doute être l’occasion pour moi d’avoir autant d’orgasmes que je pouvais supporter.
Je ne le savais pas encore précisément mais, jusqu’au copain de Yann, je n’avais jamais eu qu’un seul sexe hors norme en moi, maintenant j’étais sur le point de goûter au deuxième et je profitais de chaque seconde.