Petite bite à humilier
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Petite bite à humilier
Bonjour,
Voila tout est dans le titre, j'ai une petite bite et j'aime être rabaissé et humilié, même en cage ma bite ne remplit pas la cage.
Ma femme est jolie et je pense qu'elle mérite une tres grosse queue, donc lachez vous sans retenue.
Voila tout est dans le titre, j'ai une petite bite et j'aime être rabaissé et humilié, même en cage ma bite ne remplit pas la cage.
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Re: Petite bite à humilier
Ramene ta femme je vais bien lui remplir ses orifices à cette grosse chienneLola60 a écrit : Bonjour,
Voila tout est dans le titre, j'ai une petite bite et j'aime être rabaissé et humilié, même en cage ma bite ne remplit pas la cage.
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Re: Petite bite à humilier
Ta nouille lui sers à rien soumis elle mérite de véritables queues toi juste bon à lécherLola60 a écrit : Bonjour,
Voila tout est dans le titre, j'ai une petite bite et j'aime être rabaissé et humilié, même en cage ma bite ne remplit pas la cage.
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Re: Petite bite à humilier
Ton clito est juste bon a pisser, meme un gosse de 3 ans en a une plus grosse que toi, je me demande comment tu peux encore te regarder dans le miroir.Lola60 a écrit : Bonjour,
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Ta femme merite de se faire baiser par un vrai homme et de connaitre enfin le plaisir
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Re: Petite bite à humilier
Petit pénis,
Vous ne pouvez pas me duper, cher petit pénis, vous pensez exister par le martèlement que vous me faites subir comme un marteau piqueur. En fait, quand vous le faites, je finis par vous oublier en moi. Je n'entends plus que les bruits de sucions de votre peau laborieuse en sueur, je n'entends plus que le battement flasque de vos testicules contre mes cuisses.
Cette agitation n'empêche en rien le fait que vous ne pouvez pas pousser plus loin votre petit doigt dans mon intimité et votre agitation à chaque coup désespéré martèle en moi l'idée que vous êtes bien trop court.
Petit pénis,
Vous vous dites que la taille ne compte pas, ce qui compte c'est la manière, ne le croyez pas, ce sont là de basses réassurances, pour preuve, vos doigts gauches et rugueux me caressent pour compenser, mais jamais ils ne comblent votre petite taille en s'enfonçant, en manipulant, et en étirant mon vagin sans sensibilité et sans manière !
Petits pénis,
Arrêtez tout de suite la simulation, arrêtez de vouloir faire comme les grands et de nous soumettre à des pénétrations monotones, contentez-vous de ce que vous êtes ! Jamais vous ne créerez en nous les spasmes d'un gros phallus nous emplissant le ventre et nous plongeant dans l'allégresse d'un orgasme complet !
Petit pénis,
Arrêtez vite de jouer au mâle, les mâles sont ceux qui sont bien membrés, les autres sont destinés à être conformes à leur taille, c'est-à-dire pas grand-chose, tout juste bon pour nous distraire avec leur langue et leurs doigts ! Jamais vous ne devez être sur nous, mais toujours en dessous pour nous servir de petit gode vivant bien sympathique !
Petit pénis,
Il est temps pour vous de cesser de feindre d'être ce que vous n'êtes pas ! Ce que vous êtes, c'est des sous-hommes jamais à la hauteur et vous devez donc nous servir comme tel, suivez bien nos remarques, acceptez et assumez enfin le rôle que la nature vous a donné, vous en serez plus heureux !
Petit pénis,
Regardez enfin au fond de vous si la nature vous a doté d'un si petit accessoire, ce n’est certainement pas pour vous en servir, c'est pour être le dominé afin que le dominant subsiste. La société a brouillé les cartes mais au fond de vous, vous n'êtes pas dupe !
Petit pénis,
Tolérez nos écarts avec les vrais mâles, notre devoir est de vous écarter...Votre devoir, que l'on soit des femelles comblées et heureuses, en tous les cas pour la reproduction, n'y comptez guère ! Il ne serait pas juste de transmettre votre infirmité à notre descendance !
Elevez donc avec bon esprit les enfants que l'on se doit de faire avec d'autres et réjouissez-vous de pouvoir rester à nos côtés !
Vous ne pouvez pas me duper, cher petit pénis, vous pensez exister par le martèlement que vous me faites subir comme un marteau piqueur. En fait, quand vous le faites, je finis par vous oublier en moi. Je n'entends plus que les bruits de sucions de votre peau laborieuse en sueur, je n'entends plus que le battement flasque de vos testicules contre mes cuisses.
Cette agitation n'empêche en rien le fait que vous ne pouvez pas pousser plus loin votre petit doigt dans mon intimité et votre agitation à chaque coup désespéré martèle en moi l'idée que vous êtes bien trop court.
Petit pénis,
Vous vous dites que la taille ne compte pas, ce qui compte c'est la manière, ne le croyez pas, ce sont là de basses réassurances, pour preuve, vos doigts gauches et rugueux me caressent pour compenser, mais jamais ils ne comblent votre petite taille en s'enfonçant, en manipulant, et en étirant mon vagin sans sensibilité et sans manière !
Petits pénis,
Arrêtez tout de suite la simulation, arrêtez de vouloir faire comme les grands et de nous soumettre à des pénétrations monotones, contentez-vous de ce que vous êtes ! Jamais vous ne créerez en nous les spasmes d'un gros phallus nous emplissant le ventre et nous plongeant dans l'allégresse d'un orgasme complet !
Petit pénis,
Arrêtez vite de jouer au mâle, les mâles sont ceux qui sont bien membrés, les autres sont destinés à être conformes à leur taille, c'est-à-dire pas grand-chose, tout juste bon pour nous distraire avec leur langue et leurs doigts ! Jamais vous ne devez être sur nous, mais toujours en dessous pour nous servir de petit gode vivant bien sympathique !
Petit pénis,
Il est temps pour vous de cesser de feindre d'être ce que vous n'êtes pas ! Ce que vous êtes, c'est des sous-hommes jamais à la hauteur et vous devez donc nous servir comme tel, suivez bien nos remarques, acceptez et assumez enfin le rôle que la nature vous a donné, vous en serez plus heureux !
Petit pénis,
Regardez enfin au fond de vous si la nature vous a doté d'un si petit accessoire, ce n’est certainement pas pour vous en servir, c'est pour être le dominé afin que le dominant subsiste. La société a brouillé les cartes mais au fond de vous, vous n'êtes pas dupe !
Petit pénis,
Tolérez nos écarts avec les vrais mâles, notre devoir est de vous écarter...Votre devoir, que l'on soit des femelles comblées et heureuses, en tous les cas pour la reproduction, n'y comptez guère ! Il ne serait pas juste de transmettre votre infirmité à notre descendance !
Elevez donc avec bon esprit les enfants que l'on se doit de faire avec d'autres et réjouissez-vous de pouvoir rester à nos côtés !
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Re: Petite bite à humilier
Donne un rdv et je vais m’occuper de ta femme et lui defoncer la chatteLola60 a écrit : Bonjour,
Voila tout est dans le titre, j'ai une petite bite et j'aime être rabaissé et humilié, même en cage ma bite ne remplit pas la cage.
Ma femme est jolie et je pense qu'elle mérite une tres grosse queue, donc lachez vous sans retenue.
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Ma ceinture de chasteté
Deux semaines ! Deux semaines que ma femme Nadia avait fermé la clef du cadenas de ma ceinture de chasteté. Sans doute les deux semaines les plus longues de ma vie !
Certes, je l’avais bien cherché. J’avais choisi et acheté une cage de chasteté. Je l’avais essayée, portée chaque jour un peu plus longtemps pour m’habituer. Enfermant ce petit pénis dans cette boite qui le rendait encore plus minuscule. Elle regardait tout cela d’un air amusé, un peu indifférente à cette lubie toute masculine, à ce fantasme qu’elle ne comprenait pas.
Puis un jour, je me suis senti prêt. J’avais acheté un collier, un joli collier en or, au bout duquel j’avais mis la clef en pendentif. Dans la boite, il y avait également le cadenas, celui qui fermerait la cage et qui allait avec la clef. Je lui avais offert le tout un soir, à la fin d’un dîner aux chandelles dans un de ces restaurants chics de la ville.
Une heure plus tard, nous faisions l’amour, un peu comme d’habitude finalement. Un petit peu comme si c’était une soirée normale. Excepté à l’instant où, finalement, elle m’annonça : « Et si on enfermait finalement la petite bestiole ! ». On a beau s’y attendre, on a beau l’avoir voulu, l’avoir cherché, ce moment où l’on perd pied, où l’on donne la main à l’autre, où faire l’amour ne se finira pas par un orgasme parce que l’autre en a décidé ainsi. Cela vous coupe le souffle, un sentiment très fort de frustration vous envahit.
« Mais sans jouir, là, maintenant ? »
Je regardais mon zizi tendu. Le mettre dans la cage de chasteté allait être très dur. J’avais beaucoup de mal à croire qu’il n’allait rien se passer d’autre.
« C’est l’intérêt, non ? » répondit-elle les yeux brillants.
C’était il y a deux semaines ! Depuis, il ne s’est rien passé de plus que cette fois-là. Certes, nous avons fait l’amour plusieurs fois, enfin, je l’ai fait jouir plusieurs fois. Mais en dehors des opérations d’hygiène, je n’ai pas quitté ma cage de chasteté.
Jusqu’à ce soir, peut-être, où Nadia m’a promis le grand jeu. Elle venait de jouir entre mes mains, convulsant sous mes coups de langue. Elle rigolait de mes yeux de chien battu, regardant mon zizi compressé dans la cage de chasteté. Je crois qu’elle m’a pris en pitié lorsqu’elle m’a dit :
« Ok, ça commence à faire longtemps que la petite bestiole n’a pas pris l’air ! Samedi prochain, on fera quelque chose pour elle ! ».
Ma femme m’attendait là, allongée sur le lit, langoureuse, aguichante, attirante et follement excitante. Elle portait un petit ensemble noir composé d’un string, d’une petite musette transparente et de bas. Je sentais mon zizi gonfler dans la cage de chasteté, restreint et compressé, il ne pouvait prendre sa pleine érection. Mes testicules, tirés par la cage, étaient douloureux, délicieusement douloureux !
Autour de son cou, le collier avec la clef pendait. J’étais fou de désir et d’espoir qu’elle utilise la clef maintenant, là ce soir, tout de suite ! La voici maintenant verrouillée dans sa petite cage de chasteté
Poussé par l’excitation, je me dirigeais vers elle. C’était comme une force irrésistible. En deux semaines de chasteté, je l’avais déjà fait jouir de nombreuses fois tout en restant chaste. Mais ce soir, c’était différent, elle m’avait promis quelque chose de spécial et j’espérais bien qu’elle allait tout simplement me libérer et m’offrir cet orgasme tant attendu.
« On commence par moi » dit-elle.
Je la fis jouir en quelques minutes, c’était comme si elle faisait sienne mon excitation. Ma frustration devenait la sève de ses orgasmes, moins je jouissais et plus elle jouissait ! À peine nous finissions qu’elle voulait que nous recommencions, encore et encore…Ma mâchoire me faisait mal à force de m’activer entre ses cuisses qu’elle comprimait très fort, oppressant ma tête à chaque orgasme. Mais j’y mettais tout mon cœur sachant la récompense.
Puis elle prit enfin la clef, celle en pendentif au bout de son collier, elle la glissa dans le cadenas de ma ceinture de chasteté. Elle fit tourner la clef et ouvrit la cage. Je geignais d’impatience, comme un enfant. Libéré, mon sexe semblait s’étendre en prenant son temps. Il semblait chercher les limites, il n’avait plus connu cette liberté depuis longtemps et il semblait hésiter.
Elle mit mon sexe dans sa bouche. Je l’avais rêvé, c’était une sensation indescriptible après deux semaines de chasteté ! Elle allait doucement, très doucement, j’aurais voulu jouir dans sa bouche, mais elle faisait durer le plaisir et se contentait de bouger sa langue en faisant des mouvements très lents.
Après quelques minutes, elle arrêta et me dit : « C’est fini pour aujourd’hui, ton petit pisseux retourne en cage ! Je ne veux pas que tu jouisses aujourd’hui ! ». C’en était trop, cette simple phrase, juste après une fellation, eut raison de moi et sans que ni elle ni moi ne touchions mon sexe, j’éjaculais ! La jouissance en soi n’était pas très forte, mon sexe avait décidé seul qu’il ne retournerait pas en cage sans en avoir profité, il se débrouillait seul.
Elle riait, elle trouvait que ce sexe qui reprenait ses libertés avait quelque chose d’amusant. Quand j’eus fini, elle se contenta de dire : « Allez, on remet la nouille en cage. Elle en a bien profité, maintenant elle va sagement attendre la prochaine fois…s’il y a une prochaine fois ! ».
Depuis mon éjaculation accidentelle lors de nos derniers ébats sexuels, je n’avais plus quitté un seul instant ma ceinture de chasteté. A chaque fois que nous avions fait l’amour, j’avais pu user de mes doigts ou de ma langue mais, à aucun moment, je n’avais pu utiliser mon sexe pour faire jouir ma compagne.
Une fois, prise par le plaisir, elle avait attrapé mes testicules, tripotant la cage à la recherche de mon pénis. Puis elle s’était reprise et cela n’avait pu aller plus loin. Depuis qu’elle avait découvert les avantages d’un homme chaste, elle tenait particulièrement à ce que je ne jouisse pas. Et bien que je sente que mon sexe en elle lui manquait, elle se contentait de mes attouchements et préférait me laisser à mes tourments plutôt que de risquer encore une fois une éjaculation involontaire, un incident.
Un soir, avant que je ne commence à la toucher, elle sortit une boite et me la tendit. Dans la boite se trouvait un gode assez réaliste, d’une taille bien plus grosse que mon sexe en érection et une sorte de harnais. Elle m’expliqua : « Voilà le harnais, tu le portes. De cette façon, tu pourras me faire l’amour tout comme avant, tout en restant dans ta cage de chasteté ! ».
J’étais sidéré, mon sexe ne servait plus à rien ! J’allais me tromper moi-même avec un simple gode attaché là où devrait normalement se trouver mon pénis ! Mais dans sa cage, ce dernier avait beau tenter une érection, il se retrouvait bloqué, compressé. Ce n’est pas ce soir qu’il allait sortir !
Je mis donc le harnais de ce gode-ceinture comme il se fallait et je fis l’amour à mon épouse, aidé par cet appendice artificiel. Je le regardais entrer en elle, la faire jouir de plaisir pendant qu’il me volait le mien. C’était une sensation étrange que de voir disparaitre ce gros pénis de latex à l’intérieur de son sexe et de ne rien sentir, une sorte de frustration et l’impression qu’un autre faisait l’amour à ma femme !
Je la fis jouir plusieurs fois. La pénétration lui avait manqué et elle se rattrapait. Jamais je n’aurais tenu aussi longtemps moi-même, jamais je n’aurais pu la faire jouir aussi fort et aussi longtemps ! Mon pénis pressuré dans la cage coulait doucement. Puis doucement, la pression cessa, comme s’il avait compris que cela ne servait plus à rien. Je continuais alors mon devoir avec application. « Oh mon chéri, je jouis tellement plus à savoir que tu ne jouies pas ! ».
Après que nous eûmes fini, elle s’endormit comme une masse, lessivée, fatiguée, éreintée. Je restais là, j’avais retiré ce faux sexe. Bien que n’ayant pas eu d’orgasme, j’étais fatigué également et je m’endormis bientôt de ce sommeil lourd du sous-homme qui a rempli sa tâche.
Certes, je l’avais bien cherché. J’avais choisi et acheté une cage de chasteté. Je l’avais essayée, portée chaque jour un peu plus longtemps pour m’habituer. Enfermant ce petit pénis dans cette boite qui le rendait encore plus minuscule. Elle regardait tout cela d’un air amusé, un peu indifférente à cette lubie toute masculine, à ce fantasme qu’elle ne comprenait pas.
Puis un jour, je me suis senti prêt. J’avais acheté un collier, un joli collier en or, au bout duquel j’avais mis la clef en pendentif. Dans la boite, il y avait également le cadenas, celui qui fermerait la cage et qui allait avec la clef. Je lui avais offert le tout un soir, à la fin d’un dîner aux chandelles dans un de ces restaurants chics de la ville.
Une heure plus tard, nous faisions l’amour, un peu comme d’habitude finalement. Un petit peu comme si c’était une soirée normale. Excepté à l’instant où, finalement, elle m’annonça : « Et si on enfermait finalement la petite bestiole ! ». On a beau s’y attendre, on a beau l’avoir voulu, l’avoir cherché, ce moment où l’on perd pied, où l’on donne la main à l’autre, où faire l’amour ne se finira pas par un orgasme parce que l’autre en a décidé ainsi. Cela vous coupe le souffle, un sentiment très fort de frustration vous envahit.
« Mais sans jouir, là, maintenant ? »
Je regardais mon zizi tendu. Le mettre dans la cage de chasteté allait être très dur. J’avais beaucoup de mal à croire qu’il n’allait rien se passer d’autre.
« C’est l’intérêt, non ? » répondit-elle les yeux brillants.
C’était il y a deux semaines ! Depuis, il ne s’est rien passé de plus que cette fois-là. Certes, nous avons fait l’amour plusieurs fois, enfin, je l’ai fait jouir plusieurs fois. Mais en dehors des opérations d’hygiène, je n’ai pas quitté ma cage de chasteté.
Jusqu’à ce soir, peut-être, où Nadia m’a promis le grand jeu. Elle venait de jouir entre mes mains, convulsant sous mes coups de langue. Elle rigolait de mes yeux de chien battu, regardant mon zizi compressé dans la cage de chasteté. Je crois qu’elle m’a pris en pitié lorsqu’elle m’a dit :
« Ok, ça commence à faire longtemps que la petite bestiole n’a pas pris l’air ! Samedi prochain, on fera quelque chose pour elle ! ».
Ma femme m’attendait là, allongée sur le lit, langoureuse, aguichante, attirante et follement excitante. Elle portait un petit ensemble noir composé d’un string, d’une petite musette transparente et de bas. Je sentais mon zizi gonfler dans la cage de chasteté, restreint et compressé, il ne pouvait prendre sa pleine érection. Mes testicules, tirés par la cage, étaient douloureux, délicieusement douloureux !
Autour de son cou, le collier avec la clef pendait. J’étais fou de désir et d’espoir qu’elle utilise la clef maintenant, là ce soir, tout de suite ! La voici maintenant verrouillée dans sa petite cage de chasteté
Poussé par l’excitation, je me dirigeais vers elle. C’était comme une force irrésistible. En deux semaines de chasteté, je l’avais déjà fait jouir de nombreuses fois tout en restant chaste. Mais ce soir, c’était différent, elle m’avait promis quelque chose de spécial et j’espérais bien qu’elle allait tout simplement me libérer et m’offrir cet orgasme tant attendu.
« On commence par moi » dit-elle.
Je la fis jouir en quelques minutes, c’était comme si elle faisait sienne mon excitation. Ma frustration devenait la sève de ses orgasmes, moins je jouissais et plus elle jouissait ! À peine nous finissions qu’elle voulait que nous recommencions, encore et encore…Ma mâchoire me faisait mal à force de m’activer entre ses cuisses qu’elle comprimait très fort, oppressant ma tête à chaque orgasme. Mais j’y mettais tout mon cœur sachant la récompense.
Puis elle prit enfin la clef, celle en pendentif au bout de son collier, elle la glissa dans le cadenas de ma ceinture de chasteté. Elle fit tourner la clef et ouvrit la cage. Je geignais d’impatience, comme un enfant. Libéré, mon sexe semblait s’étendre en prenant son temps. Il semblait chercher les limites, il n’avait plus connu cette liberté depuis longtemps et il semblait hésiter.
Elle mit mon sexe dans sa bouche. Je l’avais rêvé, c’était une sensation indescriptible après deux semaines de chasteté ! Elle allait doucement, très doucement, j’aurais voulu jouir dans sa bouche, mais elle faisait durer le plaisir et se contentait de bouger sa langue en faisant des mouvements très lents.
Après quelques minutes, elle arrêta et me dit : « C’est fini pour aujourd’hui, ton petit pisseux retourne en cage ! Je ne veux pas que tu jouisses aujourd’hui ! ». C’en était trop, cette simple phrase, juste après une fellation, eut raison de moi et sans que ni elle ni moi ne touchions mon sexe, j’éjaculais ! La jouissance en soi n’était pas très forte, mon sexe avait décidé seul qu’il ne retournerait pas en cage sans en avoir profité, il se débrouillait seul.
Elle riait, elle trouvait que ce sexe qui reprenait ses libertés avait quelque chose d’amusant. Quand j’eus fini, elle se contenta de dire : « Allez, on remet la nouille en cage. Elle en a bien profité, maintenant elle va sagement attendre la prochaine fois…s’il y a une prochaine fois ! ».
Depuis mon éjaculation accidentelle lors de nos derniers ébats sexuels, je n’avais plus quitté un seul instant ma ceinture de chasteté. A chaque fois que nous avions fait l’amour, j’avais pu user de mes doigts ou de ma langue mais, à aucun moment, je n’avais pu utiliser mon sexe pour faire jouir ma compagne.
Une fois, prise par le plaisir, elle avait attrapé mes testicules, tripotant la cage à la recherche de mon pénis. Puis elle s’était reprise et cela n’avait pu aller plus loin. Depuis qu’elle avait découvert les avantages d’un homme chaste, elle tenait particulièrement à ce que je ne jouisse pas. Et bien que je sente que mon sexe en elle lui manquait, elle se contentait de mes attouchements et préférait me laisser à mes tourments plutôt que de risquer encore une fois une éjaculation involontaire, un incident.
Un soir, avant que je ne commence à la toucher, elle sortit une boite et me la tendit. Dans la boite se trouvait un gode assez réaliste, d’une taille bien plus grosse que mon sexe en érection et une sorte de harnais. Elle m’expliqua : « Voilà le harnais, tu le portes. De cette façon, tu pourras me faire l’amour tout comme avant, tout en restant dans ta cage de chasteté ! ».
J’étais sidéré, mon sexe ne servait plus à rien ! J’allais me tromper moi-même avec un simple gode attaché là où devrait normalement se trouver mon pénis ! Mais dans sa cage, ce dernier avait beau tenter une érection, il se retrouvait bloqué, compressé. Ce n’est pas ce soir qu’il allait sortir !
Je mis donc le harnais de ce gode-ceinture comme il se fallait et je fis l’amour à mon épouse, aidé par cet appendice artificiel. Je le regardais entrer en elle, la faire jouir de plaisir pendant qu’il me volait le mien. C’était une sensation étrange que de voir disparaitre ce gros pénis de latex à l’intérieur de son sexe et de ne rien sentir, une sorte de frustration et l’impression qu’un autre faisait l’amour à ma femme !
Je la fis jouir plusieurs fois. La pénétration lui avait manqué et elle se rattrapait. Jamais je n’aurais tenu aussi longtemps moi-même, jamais je n’aurais pu la faire jouir aussi fort et aussi longtemps ! Mon pénis pressuré dans la cage coulait doucement. Puis doucement, la pression cessa, comme s’il avait compris que cela ne servait plus à rien. Je continuais alors mon devoir avec application. « Oh mon chéri, je jouis tellement plus à savoir que tu ne jouies pas ! ».
Après que nous eûmes fini, elle s’endormit comme une masse, lessivée, fatiguée, éreintée. Je restais là, j’avais retiré ce faux sexe. Bien que n’ayant pas eu d’orgasme, j’étais fatigué également et je m’endormis bientôt de ce sommeil lourd du sous-homme qui a rempli sa tâche.
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Re: Petite bite à humilier
Bonjour lailatvx007,
Merci pour cet excellent récit jubilatoire et plein de connivence entre votre maitresse d'épouse (joueuse) et vous le soumis.
J'espère que vos jeux évoluent encore, dans l'attente de vous lire
Merci pour cet excellent récit jubilatoire et plein de connivence entre votre maitresse d'épouse (joueuse) et vous le soumis.
J'espère que vos jeux évoluent encore, dans l'attente de vous lire