par Recaro611 » Ven 3 Mar 2023 00:01
Elle se montrait de plus en plus coquine. Je me faisais donc plaisir d'imaginer des coquineries qui sortaient toujours un peu plus de l'ordinaire. Des accessoires, pour l'amener finalement un peu vers la domination (soft). Yeux bandés (ça l'aide à se libérer), mains et pieds attachés.. Avec le temps, je prends plaisir à faire un peu de shopping en ligne et lui offrir qques petits jouets pour alterner avec ma queue. J'aime lui metttre un gode pendant qu'elle me suce.
Vient ensuite le fameux déclic, d'un concours de circonstances, et qui a été un signal de départ pour moi. En week-end d'escapade dans un petit logement en location dans un petit "village de vacances", nous sommes occupés à baiser, quand soudainement on entends un bruit au rez de chaussée suffisamment assez fort que pour nous interrompre. Je lui dis donc que je vais voir ce que c'est, si j'ai bien fermé la porte, et là, elle me dit cette phrase "et qu'est ce que je fais moi maintenant?". Il faut savoir que je ne l'ai jamais trouvée branchée cul niveau discussion. Pas de sexto, pas de dialogue particulier sur le sexe, pas de partage sur d'éventuelles attouchements que toutes les femmes doivent faire. Ce n'est donc pas le genre de phrase auquel je m'attendais. Surpris, je rentre dans son jeu gentiment, et j'ai dans un premier temps voulu la provoquer un peu : "ben tu t'occupes toute seule en m'attendant". Sa réponse: "je ne sais pas faire ça" (pudique, j'vous dis). Et instinctivement, j'ai sorti cette phrase, qui m'a peut être marqué plus moi même qu'elle: "Tu veux que je t'envoye qqu'un pour s'occuper de toi en attendant ?" lui dis je tout amusé/excité pr avoir osé lancer ça du tac au tac, sans retenue. Et à mon grand étonnement, sa réponse ne bottait pas en touche "ah bon, qui ça?". Cette réponse à résonné en moi comme une brèche, une ouverture, un aveu de fantasme.
Cette brève pause passée, nous avons réattaqué les hostilités, et j'en ai profité pour pendant l'action, relancer brièvement le sujet, mais elle était revenue dans la retenue "ben je sais pas". A ce moment, je n'insistais plus trop, ça m'excitait de toute façon bien trop que pour pouvoir prolonger le plaisir.
Ayant été par le passé complice d'un couple adepte de triolisme, il n'en fallait pas plus pour me lancer dans l'idée que partager ma femme n'était en fait pas inaccessible. Comme je le disais, ça a toujours été source d'excitation (inavouée) pour moi pendant l'action. Imaginer mes partenaires baisées sauvagement, les imaginer chiennes, usées, abusées, par des grosses bites, toujours dans des positions dominées donc.
A la fin du week end, je saisissais l'opportunité du trajet retour pour lancer la discussion la proposition, d'une manière totalement naturelle, avec pour stratégie de banaliser cette expérience. J'étais très stratégique dans mon approche. Faisant semblant d'être sûr de moi, parlant de ça comme si l'on organisait nos prochaines vacances. De manière totalement décomplexée, comme si c'était une étape normale. Sa réaction, intimidée mais curieuse est flagrante (elle sourit/rougit comme une ado qd des propositions indécentes l'émoustillent malgré elle, malgré sa pudeur). Avec le temps, ça deviendra un jeu, quand je fais une proposition indécente, sa bouche dis non mais son sourire nerveux, ses rougeurs parlent pour elle. Son visage la trahit, elle n'est pas insensible à la proposition mais son discours tourne autour de "ça ne se fait pas". Je ne me remémore plus des arguments exacts, mais j'avance directement des propositions, lui laissant un choix vis à vis de 2 personnes, que je sais être ouverte au libertinage. Tactiquement bien joué (avec le recul), ma proposition n'est finalement plus sur "oui ou non", mais sur lequel, et ça permet à la discussion de continuer, sans qu'elle prenne position, sans qu'elle s'engage. A ce moment là, un autre argument sort, c'est qu'ils sont en couple. Signal positif, le problème ce n'est donc pas elle, mais eux, la bien séance, l'exclusivité sexuelle qu'ils devraient s'imposer. Je suis un cérébral, et consciement ou inconsciemment, je sens bien que je ne suis pas lourd, mais que sa curiosité est un feu vert pour continuer à creuser. Elle finit par donner son choix ("si ça devait se faire"), mais toujours sans s'engager à le faire... Dans ma tête, le fait qu'elle avoue timidement que si il fallait choisir, ce serait G. me fait comprendre que physiquement, il est attirant. Bingo, pour moi, ce n'est plus une brèche, c'est une voie royale. En précisant son nom, elle ne pouvait émettre ce choix qu'en s'imaginant le passage à l'acte. Je me mets à sa place, si on me proposait 2 physiques/personnes que je trouve repoussante, je l'exprime, naturellement. Son choix, que je demande d'expliquer ("il a son charme" ?) sonnait comme un aveu de faiblesse.
Dans les jours qui suivaient, de retour à la maison, sa libido était boostée comme jamais elle ne l'avait été auparavant. Le sujet revenait systématiquement dans le feu de l'action, avec des petites phrases pour la "challenger", lui faire imaginer. C'était d'une efficacité redoutable, et ce fantasme avait le don de l'exciter comme jamais (je vous laisse imaginer pour moi). On avait jamais eu un tel rythme de baise. Pour moi, la machine était lancée, ce n'était plus qu'une question d'organisation, une question de jours...