Mon ami est cocu, dois-je le lui dire ?

En rentrant, un jour, chez mon ami Farid en douce dans son appartement, je voulais le surprendre et lui donner cette montre sur laquelle il bavait depuis des semaines.

J'étais entré avec l'aide de la concierge qui m'avait laissé rentrer quand mon portable vibra :

« Alors, t'es où vieux filou ? On est tous sur la terrasse du café à t'attendre ! ».

C’était mon ami Farid : ma surprise était plus que ratée !

« Quoi, t'es chez moi ? (Rires). Mais il n’y a personne ! Ma femme Nabila est chez sa copine et moi, je t’attends avec les autres potes comme un con depuis 1 heure ! ».

Je raccrochais quand un bruit venant de son appartement me glaça : un voleur ?!


Je me baissai d'instinct quand j'entendis un cri, ou plutôt, une sorte de gémissement. Je me dirigeais à pas feutrées vers la source qui m'emmena à la chambre de mon copain Farid et me rapprochant, les cris étaient décidément des gémissements. Et oh surprise : je découvris Nabila sa femme couchée sur le lit, les jambes écartées, se faisant dévorer l'entrecuisse par un jeune et bel maghrébin très musclé !

Incroyable ! Elle se faisait bouffer la chatte par ce jeune qui en profitait pour lui parler plus que sèchement.

Alors qu'elle gémissait de plaisir par les caresses buccales reçues du jeune, celui-ci marmonnait :

« Hum…Nabila, tu aimes ça hein, petite salope ? Ça te plait que je te bouffe ta chatte dégoulinante ? Ma parole, t'es une vraie fontaine ! ».

Elle serrait les dents et balançait sa tête en arrière totalement sous le contrôle du plaisir :

« Attends, prends ça dans ton cul et ta chatte de pute ! Ah alors, sale pute, tu aimes te faire bien embrocher par les jeunes ? ».

« Oh oui Omar, oui, j’aime les bites de jeunes ! » Répondit-elle en grimaçant, ne cachant pas son plaisir et sa servitude.

« Je vais te défoncer le fion salope, je vais te prendre ton petit cul d’épouse salope et tu vas en redemander, n'est-ce pas ? ».

« Oui, oui, prends-moi comme une salope, Omar ! » Répondit-elle dans un souffle court et à ma grande surprise.

L’homme se redressa alors et ôta son maillot moulant, se mettant à genoux sur le lit devant l’épouse ouverte.

Elle se redressa et sortant le zob du jeune de son pantalon, une belle queue bien large et longue ! Elle se mit à le sucer avidement avec envie et entrain, caressant ses couilles et aspirant.

Cette attitude de salope sembla surprendre et plaire à son jeune étalon qui, sans ménagement, lui tint les cheveux et se mis à lui baiser la bouche à coups de reins puissants dans la gueule soumise.

Elle gémissait et semblait souffrir de cette violente pipe qu'elle subissait, il lui forçait sa bouche à coups de queue et lui baisait même la gorge, elle semblait vouloir le repousser, mais il continuait…Le bruit était obscène. Elle gémissait ou râlait en plus de cela et lui, grognait en lui baisant ainsi sa délicate bouche.

Puis se calmant, il dit :

« Espèce de salope, tu aurais aimé que je t'envoie tout dans la gorge, hein ? Mais je veux te remplir le cul, je veux te prendre ton fion de salope et bien sentir mon zob te dilater salope ! ».

Disant cela, il cessa de lui défoncer la bouche et elle, toute seule, se tourna à 4 pattes sur le lit, appuyant sa tête sur ce même lit, lui présentant son cul, l'écartant même, me semble-t-il.

Mais quelle salope ! Me dis-je en moi même alors que ma queue se raidissait : en effet, j'en avais parfois rêvé de son cul, qu'elle serrait toujours dans des leggings bien moulantes ou des jeans à souhait ! Et cette garce offrait ce bijou à ce type, ce jeune qui la rudoyait et l'insultait ! J’en étais comme fou !

« Omar mon chéri, encule-moi, prends-moi comme une pute, fais de moi ce que tu veux ! ». Dit-elle d'une voix douce et ferme, remplie d'un désir que je ne lui connaissais pas.

« Prends mon cul de chienne affamée, il est à toi, défonce-moi bien fort ! » rajouta-t-elle en frottant sa tête contre le drap comme une chatte trop excitée.

Le jeune enchaina une paire de claques sur son cul blanc et offert qui la fit crier de surprise.

« JE décide sale pute ! Et tu vas en prendre plein le cul, salope ! » Dit-il en pointant sa queue à l'orifice qu'elle lui offrait, sur lequel il venait de cracher, et d'un coup sec, il la prit ainsi dans son anus, entrant en elle de tout son long, lâchant un râle de plaisir.

Elle poussa un gémissement et s'accrocha aux draps. Le zob de ce type était dans le cul de Nabila.

« Allez salope infidèle, ce n’est pas ta première queue dans ton cul…mais putain qu'il est bon et serré ! Ecarte bien tes fesses que je te le rentre à fond ! ».

Disant cela, il envoya un coup de reins qui n'était que le premier d'une longue série dans le cul de Nabila qui se faisait ainsi défoncer le cul avec force par cet amant qui l'abreuvait d'insultes :

« Touche-toi sale épouse infidèle ! Touche ton petit abricot pendant que je te casse ton cul, je vais te défroisser ton anus comme une chienne ! Dis-moi que t'aimes ça, sentir mon gros zob au fond de ton cul ! Dis-le-moi ! ».

« Oui, oui, oui j'aime ton gros zob dans mon cul, tout au fond… ».

« Redresse-toi sale enculée, je veux que tu te voies dans la glace alors que ton coursier te casse le cul ! ».

Disant cela, il la redressa et continuait de lui défoncer le cul, la secouant et la faisant visiblement jouir comme rarement !

Il se saisit de ses seins ballottant qu'il retira du pull qui les tenait et les exhibant, il en pressait le bout adroitement, ce qui fit faire à Nabila une grimace de jouissance. Elle n'en pouvait visiblement plus ! Ce jeune amant lui faisait vivre une expérience folle et jouissait de cette sodomie violente bien plus que de raison !

Mais ainsi redressée, elle me faisait presque face par le miroir et nos regards se croisèrent pendant l'espace de 2 à 3 secondes alors que secouée par les coups de reins dans son cul, elle tentait de reprendre son souffle, le jeune étalon lui susurrant toujours un flot d'insanités à l'oreille, vrillant ses seins.

Je me plaquais au mur, interdit. Elle m'avait vu !

Que faire ? Je quittai l'appartement en 5ème vitesse et rejoignis mon ami cocu à ce bar où la fête fut si belle !