Monique a Djerba

Nous étions en vacances a Djerba. Tous les matins nous allions à la piscine. Monique avait l habitude de ne pas utiliser les toilettes communes , et elle montait faire pipi en chambre.
Elle rencontra Farid un homme de chambre qui travaillait a l hotel. Ma femme, charmée par sa beauté et son charisme, commença à lui adresser des sourires complices à chaque passage dans les couloirs. L'homme de chambre, flatté par l'attention de cette femme beaucoup plus agée, répondit avec respect et politesse à ses demandes.Au fil des jours, leur relation prit un tournant plus intime. Ce matin la il était en train de faire notre chambre et Monique entra pour faire pipi. Elle se mit a faire son besoin. Soudain il n y avait plus que le bruit de l urine s écoulant dans les toilettes , c était sur il écoutait ce que ma femme faisait.Elle demanda :  « Farid j’ai plus de papier »il entrouvrit la porte de la salle de bain lui glissant un rouleau. Elle tira la porte de son pied. Farid était debout tout étonné la regardant assise sur les toilettes.Elle vit la bosse sur son pantalon ,elle prit l'initiative d’aller vers lui , elle s agenouilla , ouvrit sa braguette du pantalon et elle le suça. Il se laissa emporté par la situation et se laissa faire. Elle sentit du liquide pré séminal sortir de la bite de Farid ,il grognaitde plus en plus fort , elle le branla sachant qu’il allait jouir. Elle prit la giclée sur son maillot une pièce. Elle changea sa tenue de bain toute spermer . Il la regardait se réajuster et elle dit a Farid de la rejoindre dans la chambre le soir après le spectacle de l hôtel.
De retour a la piscine j avais vu qu’elle avait changé de maillot, et je lui demandais pourquoi . Elle me raconta , je bandais rien que a l idée. Je cachais mon chapiteau avec ma serviette. J’avais hâte qu’il soit 23 h.
Monique allait réaliser mon fantasme la voir se faire sauter par un maghrébin.
À l'heure convenue, il frappa à la porte. Il était surpris que je lui ouvre. Je l'ai rassuré en lui disant que j'étais candauliste et que je voulais les regarder faire l'amour. Il accepta et entra dans la chambre.
Monique l’attendait sur le lit en culotte soutif avec des bas noirs assortis.Sans perdre de temps, elle se mit a quatre pattes écartant son string culotte sur le coté. Il avait maintenant une belle vue sur sa fente et qui était encore bien humide du jus de nos ébats un peu plus tôt.
Il se mit à lui caresser la chatte avec le pouce de haut en bas en insistant un peu plus sur le clitoris. Elle bougeait discrètement les fesses de haut en bas comme pour accompagner se caresses et sa respiration se modifiait, elle devait être bien excitée de se faire caresser par Farid. Elle ne s'était toujours par retournée et ne voyait donc pas l homme qui avait ouvert son pantalon et sorti sa bite. Il avait une bite assez courte , une quinzaine de centimètres, mais très large avec un gros gland qui ressemblait un peu au chapeau d'un gros champignon. Elle avait maintenant la tête dans les coussins, en position de levrette. Elle avait aussi davantage écarté les cuisses et il introduit directement l'intégralité d'un de ses gros doigts au fond de la chatte de ma femme qui sursauta de surprise devant ce geste peu délicat. Avec un plaisir difficilement dissimulé, il entrait et il sortait doucement de la chatte toute mouillée de Monique. Il respirait fort et sa trique était sans doute déjà maximale. Il ne devait pas avoir eu souvent l'occasion de baiser une quinquagénaire ,blanche toute fraiche.
Il avait lâché sa queue et de l'autre main il écartait une fesse de ma femme, pour regarder son petit trou qui avait l'air de lui faire de l'œil. Je savais les arabes très portés sur l'anal.
Il enleva sa chemise pour se retrouver en marcel blanc assez transparent.
Il vint se placer derrière Monique le pantalon aux chevilles et je l'arrêtais juste à temps avant qu'il n'enfonce sa queue dans la chatte de ma femme sans autre forme de procès.
Je mis une main sur les fesses de ma Monique pour faire barrage et il me regarda surpris. Je lui dis "comme ça sans préliminaires ? Et sans capote ?".
Il me regarda surpris comme s'il ne comprenait pas et il me répondit "j en peux plus et de toute façon elle est déjà trempée".
Monique tourna la tête et me jeta un air interrogatif. Je sortis un préservatif de ma poche et le lui donna. Il marmonna un truc dans sa moustache. Monique retira sa culotte et son soutien gorges. Elle était nue avec ses bas noirs sur les draps blancs. La scène était un peu surréaliste. Le gars ne quitta pas son marcel et retira tout de même le reste de ses affaires.

Monique se mit sur le dos, écarta les cuisses, lui enfila
le préservatif sur sa bite. La scène était très excitante, Monique les jambes écartées ouvrant ses lèvres avec ses deux mains, l’homme de chambre tout près ,bien raide , son chibre tellement tendu qu’il se courbait vers le haut. Il présenta sa bite au bord de la chatte de mon épouse et entra méticuleusement en elle en missionnaire. Il l’embrassait à pleine bouche et faisant des va et viens pas trop rapide mais à cadence constante. Elle le suppliait de cogner plus fort.
Elle se remit à quatre pattes, et sans perdre de temps, Farid posa ses deux grosses mains de chaque côté de ses fesses et s'enfonça d'un coup sec, comme il l'avait fait avec ses doigts. A nouveau, Monique se crispa mais il l'attira vers lui pour rester bien au fond. Elle avait bien dû sentir passer son gros gland, et ça lui plaisait.
Il se mit à la limer avec plus de ferveur, s'appliquant à bien aller au fond à chaque mouvement. Il était relativement baraqué et je voyais ses abdominaux se contracter lorsqu'il était bien enfoncé dans son minou. Curieusement je trouvais ça très excitant, la belle et la bête.
Elle se mit assez rapidement à soupirer, ce qui avait dû encourager Farid qui se mit à la ramoner avec plus de vigueur. Le lit se mit à grincer avec la régularité d'un métronome.
J'étais resté devant le lit et je voyais simplement le cul de Farid aller et venir et ses couilles pendantes qui venaient claquer sur le clito de ma salope, ce qui devait surement lui plaire car elle est plutôt clitoridienne.
Il marmonnait de temps en temps des choses à voix basse dans sa langue, sûrement des insultes ou des trucs dégueulasses.
De mon côté je ne pus pas faire grand-chose car Monique avait la tête à proximité de la tête de lit, ce qui m'empêchait de me placer devant elle. De toute manière je préférais profiter du spectacle. J'avais sorti ma bite et me caressais doucement pour ne pas jouir trop vite.
Farid suait à grosses gouttes, les poils de ses fesses et de son torse perlaient.
La chatte de Monique faisait des bruits de succion sur la queue de son amant, de la caprine coulait abondamment mouillant les couilles de l’étalon arabe ,c'était très excitant.
Après un bon quart d'heure de limage dans cette position et sans prévenir, Farid se retira et fit basculer ma chérie sur le dos de façon assez brutale.
Elle parut assez surprise mais elle écarta les cuisses en grand à nouveau pour recevoir la queue de Farid.
Celui-ci s'introduit à nouveau à fond et ses couilles venaient frotter sur les draps avec les va et viens. Il se coucha presque entièrement sur elle, pour la baiser quelques minutes avec le corps quasiment immobile, juste en bougeant les fesses d'avant en arrière comme un pendule. Il frottait son gros corps contre elle et l'enduisait de sa sueur.
Soudain, Il glissa ses avant-bras sous les mollets de Monique et ramena ses jambes vers le milieu quasiment à la verticale, et il plaça ses chevilles sur ses épaules.
Il reprit son affaire à grands coups de bite, ce qui faisait grincer le lit assez fortement.Monique gémissait bruyamment et cela dû accentuer l’excitation de Farid et il jouit bruyamment quelques minutes plus tard au fond de Monique en se penchant sur elle et en l'écrasant de son poids, dans un mélange de gros râles et d'expression en langue étrangère.Monique hurla «  putain je jouie »
Il resta allongé quelques minutes sur elle, lui roulant des pelles et faisant encore de temps en temps des allés et retours. Elle le retenait en l’encerclant avec ses jambes. L’excitation des deux amants descendit progressivement. Il se retira d'un coup et enleva sa capote pendante de jus blanchâtre. Celle ci claqua projetant le sperme sur le lit. Farid se rhabilla.
Monique était restée allongée les cuisses grandes ouvertes avec la chatte dilatée et le clito gonflé.
Sans savoir ce qui m'a pris, je vins placer la tête entre ses cuisses pour lui lécher le clito, ça sentait fort, un mélange de mouille, de capote et de sueur.
J'étais fou d'excitation et elle vraisemblablement également car elle avait joui très fort, sa cyprine me coulait dans la gorge .
Quelques aller retour sur ma queue avec la main entière suffirent à me faire éjaculer à grosses giclées, mélangeant ma semence a celle de Farid sur les draps.
Monique pris les draps plein de foutre et s’essuya la chatte a l’endroit où nous avions laisser nos spermes mélangés. C était comme si elle avait eu envie d avoir nos semences en elle. Farid alla chercher des draps propres, et il nous souhaita bonne nuit. Il ne restait plus que un jour, Monique avait le vagin nostalgique et mouillait encore en s’endormant. Elle espérait encore se faire limer par son beau maghrébin, car rarement un homme lui avait procurer une jouissance vaginale aussi intense…