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Chaque fois que je suis chez ma fiancée Amina et que son beau-père Majid est là, j’ai toujours envie de lui. Parfois, lorsqu’il passe derrière moi, il me caresse les fesses ou me fait de petits sourires en se touchant le zob sur son pantalon.

Enfin samedi, il fait chaud. J’appelle ma fiancée pour aller chez elle et elle me dit de venir vers midi pour manger. J’espère que son beau-père sera à la maison. Je prends l’autobus et j’arrive vers 12h15.

J’arrive, je sonne à la porte et c’est Majid qui m’ouvre.

— Salut Karim, entre, tu arrives juste à temps pour manger !

— Bonjour, parfait, merci beaucoup.

Aussitôt qu’il referme la porte, il se colle à moi et me dit :

— Amina vient juste de partir faire une course, elle en a pour une quinzaine de minutes, suis-moi !

Il me tient par la main et m’amène dans un coin de la cuisine et commence à m’embrasser. Je lui défais sa chemise, son torse hyper poilu me rend fou ! C’est alors qu’il me dit :

— Karim, on a juste le temps, mets-toi à genoux, j’ai trop envie que tu me suces ! Je n’ai pas baisé de la semaine, j’ai les couilles pleines, j’espère que t’as soif. Et ta petite bouche de pédé me manque !


Je me mets à genoux devant mon beau mâle et, sans perdre de temps, je baisse son short et son boxer. Sa grosse queue est bien dure. Elle m’a l’air plus grosse que la dernière fois. Je la prends aussitôt en bouche, je tète le gland. Il me prend la tête à deux mains, m’enfonce son gros zob au fond de la gorge et me tient quelques secondes, j’ai le nez dans sa grosse touffe de poils. Il sent l’homme propre avec une odeur très subtile de transpiration, ça m’excite à fond ! Il commence un va et vient, on doit faire vite ! Je lui fais une bonne succion et avec ma main, je lui masse les testicules, je le suce à fond, je veux son jus ! Il commence à gémir, me baise la bouche de plus en plus fort. Je le sens se contracter et, dans un grand râle, il me remplit abondamment la bouche de son délicieux sperme ! Je sens les jets au fond de ma gorge. J’avale tout sans perdre une goutte. Je lui pince le gland pour lécher les dernières gouttelettes.

Il me relève et me roule une pelle. Il me branle mon petit zizi avec sa grosse main, j’éjacule en moins de deux sur le plancher ! On se rhabille en vitesse et on essuie le plancher. Amina arrive cinq minutes plus tard.


Pendant qu’on est à table, elle me raconte que, dans deux semaines, elle voyagera avec sa mère pour le week-end afin de rendre visite à sa tante. Elle me dit que s’il fait chaud, je pourrai quand même venir me baigner. Son beau-père me dit alors de ne pas me gêner et que lui, il reste à la maison car il a trop de choses à faire.


Après le repas, nous passons tout l’après-midi au bord de la piscine. J’entends son beau-père l’appeler de la fenêtre du sous-sol. En revenant, elle me dit :

— Majid a besoin d’aide pour déplacer des boîtes au sous-sol, peux-tu y aller ? C’est trop lourd pour moi.

— Ok, j’y vais, pas de problème.


Arrivé au sous-sol, Majid est là, short aux genoux, le zob à la main et me dit :

— Viens me sucer petite lopette, ta bouche est trop bonne !


Je me jette sur sa queue et je le suce à fond et en quelques minutes, il me remplit encore la bouche de son sperme chaud et épais. Je me relève et il me dit :

— Dans deux semaines, si tu veux, tu pourras dormir ici. Tu seras mon vide couilles pour le week-end. Je m’occuperai de ton cul pour te mettre mon gros zob. Ça te dit ?

— Oh oui, c’est sûr ! Depuis le temps que je rêve d’avoir ton zob dans mon cul ! Avec un beau corps et une belle matraque comme ça, je fais tout ce que tu veux !

— Tout ce que je veux ? Intéressant, comme une bonne petite femelle soumise ! C’est bon, tu peux remonter. Les boîtes, c’était un prétexte pour que tu me suces. Et crois-moi, tu vas me sucer souvent !

— A ton service mon beau mâle. Je suis tout à toi !


Je retourne à la piscine. Ma fiancée Amina me dit.

— Ça va ? Ce n’était pas trop lourd ?

— Non, non, Majid a pris les plus lourdes. Tu sais, avec mon poids plume, je ne suis pas très fort. Dis, sans être trop musclé, il est quand même baraqué ton beau-père !

— Oui, il essaie de se garder en forme. Il est très fort.

Dans ma tête, je me dis « ça, pour être en forme, il l’est de partout, si tu savais ! ».


On est au bord de la piscine tout l’après-midi à écouter de la musique. Parfois, je me rince l’œil en regardant Majid venir dans la piscine. Il est tellement sexy quand il sort de l’eau avec son corps velu mouillé et son maillot qui lui moule le paquet !


Il est presque 17h et j’ai promis à ma mère d’être à la maison pour le dîner. Je demande à Amina si je peux prendre une douche avant de m’habiller car, avec cette chaleur et la crème solaire, je me sens tout collé. Bien sûr, pas de problème, qu’elle me dit. Je monte à l’étage pour me doucher.

Tout propre et habillé de mon bermuda et t-shirt, je descends. Amina et son beau-père sont dans la cuisine.

— Bon et bien, je vais y aller si je ne veux pas rentrer trop tard.

Le temps de finir ma phrase et prendre mon sac, Majid me dit :

— Laisse tomber l’autobus. Si tu veux, je vais te reconduire. Amina, tu t’occupes de préparer le reste du dîner ? Ta mère ne va pas tarder.

— Oui Majid, pas de problème. Karim, on se voit le week-end prochain ?

— Oui c’est sûr, bonne semaine !


Une fois dans la fourgonnette, je remarque que les sièges ne sont pas remontés et la couverture est toujours sur le sol comme la dernière fois. Je dis à Majid.

— A ce que je vois, t’as tout laissé tel quel à l’arrière !

— C’est pour ça que je vais te reconduire. J’ai encore envie de remplir ta petite gueule de sperme.

— Vieux pervers !

— Et toi, petite salope accrochée à mon zob !


Pendant le trajet, j’ai ma main sur sa cuisse et je remonte. Je la passe sous l’élastique de son jogging pour caresser son zob et ses grosses couilles. Il commence à grossir.

— Je t’ai fait venir deux fois et tu bandes encore ? T’es un étalon ou un obsédé ?
— Un peu des deux. Juste à penser à ta bouche, ça me fait bander !

Je me penche et commence à le sucer pendant qu’il conduit et je l’entends faire un petit gémissement. Il tourne sur la même ruelle que la dernière fois, coupe le moteur et dit :

— Karim, viens à l’arrière. Tu m’as fait jouir deux fois aujourd’hui. Là, j’ai envie de manger ton cul !


On passe à l’arrière et nous nous déshabillons. Il me fait coucher sur le ventre. Il s’étend sur moi. Je sens toute la chaleur de son corps velu contre mon dos et sa queue bien dure qu’il frotte contre mes fesses. Il passe sa langue sur mon oreille avant de me dire :

— Karim mon chéri, t’as un beau cul. On te l’a déjà mangé ou je suis le premier ?

— Non, je te l’ai dit l’autre jour. A part me doigter moi-même ou me goder, tu vas être le premier.

— Mets-toi à quatre pattes. Je vais te manger le cul. Après, tu vas me sucer. Ça va te donner une idée de ce qui t’attend quand tu vas dormir chez moi !


Je fais ce qu’il me dit. Il se place derrière moi et avec ses mains, il commence à me caresser les fesses. Il passe ses doigts dans ma raie. Il me lèche en commençant par le bas de mon dos en se dirigeant vers mon anus. Je sens le frottement de sa barbe naissante contre mes fesses, ça me rend dingue ! Il écarte mes fesses et me lèche l’anus. Le contact de sa grosse langue chaude sur mon anus me fait gémir comme une femelle ! C’est la première fois qu’un homme me touche à cet endroit ! Ça l’excite de m’entendre couiner, il se met à me manger le cul à fond. Je sens sa langue forcer mon anus et entrer. Il rentre un de ses gros doigts doucement et le fait tourner et coulisser dans mon cul, il alterne avec sa langue. Je jouis du cul ! Avec son autre main, il me masturbe. Je ne peux plus me retenir et j’éjacule une énorme quantité de sperme ! Il me dit :

— T’as aimé ma cochonne ? Humm, ton petit cul vierge tout serré. J’ai hâte de te mettre mon zob ! Couche-toi sur le dos, je vais te baiser la gueule !


Je viens de jouir mais cet homme me fait tellement d’effet que je ne débande pas ! Je me couche sur le dos, la tête sur un coussin. Mon homme se couche sur moi et on s’embrasse à pleine bouche. Il frotte sa queue sur mon petit zizi. Il se relève un peu et dit :

— Je veux te baiser la bouche, te le mettre au fond de la gorge et te jouir sur la figure !

— Oui, donne-moi ton zob !


Je le serre dans mes bras et commence à passer ma langue dans son cou. Il remonte doucement, ce qui me permet de lécher son torse velu, il sait que j’adore ça. Il se met en position et caresse mon visage avec son zob. Il pose son gros gland sur mes lèvres, je sors la langue et lèche sa queue. Doucement, il la fait entrer dans ma bouche en faisant de petits va et vient.

Il commence à aller plus vite et plus profondément. En me tenant la tête d’une main pour me la relever un peu, il se met à me baiser la bouche. Je sens son gland au fond de ma gorge. Ses testicules frappent mon menton.

Etre comme ça sur le dos, d’avoir sa grosse queue bien dure en bouche, je peux admirer mon homme. La toison épaisse de son torse qui s’étend partout, sa largeur d’épaules, ses avant-bras tout aussi poilus et puissants et si virils, je me sens soumis à lui, je suis sa femelle et son objet sexuel !


Sa respiration s’accélère, il commence à gémir. Je sens qu’il va jouir. Il sort de ma bouche et se masturbe au-dessus de mon visage. Il est beau à regarder, sa main branlant sa grosse matraque ! Je gobe alors ses testicules, je les lèche, il râle. Il se recule un peu en disant que ça vient. J’ouvre la bouche, sors la langue et il me largue son sperme partout sur la figure et sur la langue. Il y en a moins que cet après midi mais une bonne dose quand même ! Avec sa queue et ses doigts, il ramasse son sperme sur mon visage et me fait lécher et nettoyer son zob. Il se couche sur le dos et dit :

— Je ne te pensais pas aussi cochonne ! Tu m’as fait jouir trois fois aujourd’hui. T’aimes bien mon zob on dirait ?

— Je ne me pensais pas comme ça non plus ! Tu es mon premier homme, en plus, tu as tout ce sur quoi je fantasme. Hyper poilu, grand, viril, beau et tu as une grosse queue ! As-tu toujours autant de sperme ? Même après trois fois, tu en avais encore beaucoup ! Ça me fait bizarre de dire ça mais le fait que je sois beaucoup plus petit que toi et imberbe me fait sentir un peu femelle et j’aime ça !

— Bien, moi non plus mais sexuellement, je suis assez demandant. Avec ma femme, oui on baise mais pas assez à mon goût. Avec toi, c’est du bon sexe cochon, pas de préliminaires, c’est direct ! Je viens dans ta bouche et tu aimes ça. Je peux te faire ce que je ne ferai jamais avec ma femme. Je te traite de petite salope, de lopette et ça ne te dérange pas. Et oui, j’ai toujours eu des éjaculations assez abondantes. Mais tu me suces tellement bien ! Tu vas être ma petite femelle si c’est ça que tu veux. Tu vas bien t’occuper de ton mâle !

— Oui mon mâle adoré, tout ce que tu veux ! Je veux réaliser tous tes fantasmes ! Et oui, j’aime quand tu me traites de salope ! Ça m’excite encore plus !

On s’embrasse encore et nous nous rhabillions.