Monique et sa rencontre d internet

L'inconvénient lorsqu'on est une femme sur un site de rencontre, c'est de recevoir des dizaines de demandes dès que l'on se connecte. Dans 90% des cas, ce sont des images de sexe masculin, comme si les hommes pensaient que les femmes ne savent pas à quoi cela ressemble. Ou bien, vous avez droit à des approches ringardes du genre : « Bonjour, vous ! »
Monique ne voulait pas succomber à ce genre de facilité pour sa première rencontre . Elle voulait prendre le temps avant de choisir celui qui pourrait poser son petit oiseau dans son nid. Après tout, malgré ses formes rondes, elle avait le choix du prétendant.
Puis vint Robert, un retraité bien plus âgé qu'elle. Son approche était différente : il ne cherchait pas à la séduire immédiatement, mais souhaitait simplement discuter de sexualité. Au fil du temps, il apprit tout sur les désirs de Monique, ce qu'elle aimait, n'aimait pas, et que j étais candau.
Il réussissait son coup, car elle ne parlait plus qu'avec lui. Elle finit par lui donner son Skype. Ils se parlaient en visio, et jamais il ne dérapait, se contentant de faire quelques blagues suggérant qu'il aimerait bien coucher avec elle. Il était courtois et attentionné. Je voyais très bien son manège de vieux séducteur galant et, amusé, je le laissais faire pour voir comment il parviendrait à ses fins.
Ce soir-là, pendant la visio, Monique portait une chemise de nuit. Après quelques flatteries sur sa tenue, il lui demanda si elle permettait , de se lever pour lui montrer ses jambes. Elle se leva et releva sa chemise de nuit à mi-cuisse. Il la flatta davantage, lui disant qu'elle était splendide. Puis, elle ouvrit les boutons de son col et se pencha devant la caméra, laissant voir bien plus que ce qu'il avait demandé. Sa poitrine opulente et pendante était exposée.Le vieux bavait, mais restait presque impassible, lui disant qu'il n'en demandait pas tant. Toutefois, il avoua qu'il éprouvait le désir de les toucher s'il en avait l'opportunité.
Elle lui dit : "Eh bien, cela ne dépend que de vous." Il répondit : "Alors, soit, rencontrons-nous."Ils convinrent d'un premier rendez-vous, mais celui-ci fut très surprenant : dans un jardin public de la ville de Nancy. Méfiant, je décidai de rester à distance pour surveiller le vieux briscard. Le jardin, avec ses allées bordées de fleurs et ses bancs ombragés, offrait un cadre paisible et discret.Je les observai de loin. Monique était vêtue d'une robe légère, sa démarche pleine d'assurance. Robert, élégant malgré son âge, arborait un sourire aimable . Ils s'assirent sur un banc près d'un étang, où des canards nageaient tranquillement.La conversation semblait légère, ponctuée de rires et de gestes courtois. Robert, fidèle à son personnage, ne fit aucun geste déplacé, se contentant de quelques compliments subtils. Monique paraissait à l'aise, parfois même enjôleuse.Tout en les surveillant, je me demandais quand allait il passer à l’action.
Soudain je la vit se relever et se tournant vers lui les rayons du soleil faisait voir par transparence ses formes à travers la robe. il restait assis presque stoïque.
Il la regardait faire des allers et venues devant lui, appréciant chaque mouvement de sa démarche assurée. Puis, soudain, il se leva et lui prit la main, l'attirant doucement derrière un bosquet. Monique le suivit sans hésitation apparente, un sourire intrigué sur les lèvres.Je tentais de m'approcher discrètement. Le feuillage dense du bosquet me permettait de rester caché tout en observant la scène. Robert murmura quelque chose à Monique, qui éclata de rire, et elle leva sa robe. Robert, avec une habilité surprenante, s’agenouilla devant ma femme avant de lui baisser sa culotte.Je ne pouvais pas voir exactement ce qu'il lui faisait , mais le regard de Monique, à la fois lumineux et songeur, trahissait une certain plaisir. Il se délectait du jus de moule de sa chatte charnue. Il se releva s’essuya d un geste indélicat la bouche avec le revers de la manche de son costume.
Robert avec une tendresse surprenante effleura la joue de Monique avant de lui murmurer quelques mots.
Ils sortirent du bosquet, marchant doucement vers le parking. Je filai vers ma voiture. Monique m'envoya un SMS, m'informant qu'elle l'amenait à la maison. Je roulai comme un fou pour rentrer et faire semblant de les attendre. Je pris une grande inspiration pour calmer mes nerfs et m'installai dans le canapé, essayant d'adopter une attitude détendue.Quelques minutes plus tard, la porte d'entrée s'ouvrit. Monique entra, suivie de Robert. Elle me présenta avec un sourire, et je me levai pour lui serrer la main. Robert me salua courtoisement. Nous nous assîmes tous les trois, entamant une conversation polie. Robert se montrait charmant et respectueux mais je ne pouvais penser : putain Robert attaque! Monique, quand à elle s impatientait et commençait à trouver le temps long. Elle était assise en face de lui , elle décida d’écarter lui laissant voir sa culotte encore mouillée du cunilingus de tout à l heure.
Il lui dit : « cachez moi cet abricot que je ne saurai déguster que avec ma bouche.
Elle répondit : « il n en tient qu’a vous d’y regoûter ».
Robert un peu rouge s’agenouilla devant elle. Il prit sa jambe ,enleva les escarpins a Monique et se mit a lui et lécher et sucer les orteils a travers ses dim-up de couleur chair. Je pensait , en moi
: putain c’est un fétichiste. Il remonta progressivement le long de sa jambe vers son sexe , en la caressant et en lui embrassant les mollets puis les cuisses tout en relevant sa robe. il lui ôta sa culotte blanche en dentelle et il renifla sa chatte et il la brouta. j’entendais les bruits de succion et de mouille. Monique fermais les yeux , la tête en arrière et gémissait. Elle bascula mieux son bassin vers lui écartant en a fond. Elle lui appuyait la tête a Robert de ses deux mains sur la chatte. Ses gémissements devenaient de plus en plus intenses. Les bruits humides devenaient de plus en plus fort, sa chatte était ruisselante de mouille. le corps de Monique se crispa , elle jouissait lâchant de petit cris. Elle le repoussa le flanquant à terre. Elle ouvrit la braguettes du pantalon , a Robert qui se trouvait sur le dos. Elle lui déballa son chibre. Je vis alors une grosse limace qui n’étais pas en érection, et je ne comprenais pas pourquoi.Je me demandais comment un tel engin ne pouvait encore pas fonctionner. Lors de leur promenade, il lui avait avoué qu'il était devenu impuissant après le décès de son épouse, et qu’il ne pouvait pas prendre les petites pilules bleues à cause de son cœur. Malgré cela, elle le suça quand même, Robert fermait les yeux et semblait apprécier. Pleine d'espoir, elle parvint à obtenir de lui une demi-molle. Elle continua à le stimuler, cherchant à raviver son désir, mais en vain. Malgré ses efforts, il restait impuissant, son corps refusant de répondre pleinement.Robert, pourtant, ne semblait pas découragé. Il la regardait avec une tendresse sincère, appréciant ce moment passé avec elle. Monique, quant à elle, cachait sa déception derrière un sourire, déterminée à ne pas laisser cette difficulté affecter l’instant elle eu une idée de génie.
Elle s'assit face à Robert, toujours allongé sur le tapis, et prit sa bite entre ses deux pieds. Surpris par ce geste, il la regarda faire, intrigué. Monique, avec douceur, commença à le branler avec ses pieds, avec des mouvements lents et apaisants.Robert observait chaque mouvement, son expression passant de l'étonnement à un certain bien être . Monique, concentrée, espérait que cette approche différente pourrait raviver quelque chose en lui. Elle sentait la texture de sa peau sous ses bas, tentant de raviver cette chandelle éteinte.Il la laissa faire, ses yeux ne quittant pas son visage. Cette proximité, bien que non conventionnelle, créait un lien unique entre eux, il se mit à bander.
Surprise d'avoir ranimé ce membre inerte, elle saisit l'occasion et grimpa à califourchon sur lui. Robert, bien que stupéfait par cette tournure des événements, ne put s'empêcher de sourire face à l'audace et la détermination de Monique.Elle le regarda dans les yeux, cherchant une approbation silencieuse. Elle s’empala sur sa bite,ses mouvements étaient à la fois assurés et délicats, comme si elle craignait de briser ce moment fragile. Robert, sentant son désir se raviver, posa doucement ses mains sur ses hanches, lui montrant qu'il était prêt à suivre son initiative.
Ça y est, il était en elle. Monique sentait qu'il devenait de plus en plus dur, chaque mouvement frappant au fond. J'observais la scène avec stupéfaction, mes émotions se mêlant à la fascination et à l'incrédulité.Je laissai faire, malgré l'absence de protection, car je ne voulais pas briser l'instant. Monique semblait complètement absorbée par l'acte, ses yeux fermés, son visage marqué par l'intensité du moment. Robert, quant à lui, paraissait revitalisé, comme s'il retrouvait une part de lui-même qu'il pensait perdue à jamais. La complicité qui se dégageaient d'eux étaient palpables, transformant cette scène en une expérience presque transcendante pour tous les trois.Cela faisait maintenant dix minutes qu'ils étaient ainsi, leurs corps s'accordant dans un rythme intime. Monique, sentant que le moment nécessitait plus de confort, proposa à Robert de s'installer sur le lit."Viens, allons nous installer plus confortablement sur le lit," murmura-t-elle doucement à son oreille, tout en se levant délicatement. Robert acquiesça, un sourire reconnaissant sur les lèvres.Ils se levèrent, se dirigeant lentement vers la chambre. Une fois sur le lit, Monique s allongea écartant bien les cuisses et montrant sa chatte toute humide et encore dilatée. Il se plaça sur elle en missionnaire, il la pénétra délicatement .J’étais impressionné de voir le gourdin bien raide de Robert qui devais faire pas loin de 18 à 20 cm au moins. Chacun de ses mouvements devenaient plus fluide et assurés, le papi revivait , c’était certain.
Il l invita a se positionner en levrette. Il reprit de plus belle , accélérant même la cadence. Monique, aux anges, gémissait et poussait de petits cris de plaisir. Je voyais des gouttes de cyprine couler de son bas-ventre, témoignant de l'intensité de leur étreinte.Leur passion était palpable, chaque mouvement synchronisé dans une danse intime. Monique, complètement emportée par l'instant, répondait à chaque poussée avec une intensité croissante, ses mains agrippant les draps pour se stabiliser.Robert, malgré son âge et ses précédentes appréhensions, semblait retrouver une vigueur inattendue. Son visage était marqué par la concentration et le plaisir, et ses mouvements devenaient de plus en plus assurés.
Inquiet, vu son âge, je ne pensais pas qu'il allait éjaculer. Cependant, l'intensité du moment semblait transcender ses limitations physiques.Monique, attentive à chaque réaction de Robert, continuait avec une délicatesse mêlée de passion. À ma grande surprise, je vis Robert atteindre un point culminant. Son corps se tendit, et il émit un profond soupir de plaisir. L'expression sur son visage révélait une satisfaction que je n'avais pas anticipée. Pour Robert, c'était une victoire sur les limites de son corps.
Il se retira,s essuya, laissant Monique haletante et satisfaite. Elle se coucha sur le dos, son corps encore tremblant de plaisir. D'un regard complice et audacieux, elle m'invita, en bon cocu, à lécher le sperme qui coulait d'elle.Hésitant un instant, je m'approchai, submergé par une combinaison de curiosité, désir et soumission. Monique me regardait avec une lueur de défi dans les yeux, et je me penchai pour obéir à son invitation. Le goût de leurs ébats mêlé à la chaleur de son corps créait une expérience à la fois intime et transgressive Robert observait la scène avec un sourire satisfait, savourant l'accomplissement de son désir et l'intensité du moment partagé. Cette situation, bien que inattendue et complexe, semblait renforcer les liens entre nous, chacun trouvant une forme de gratification dans ce triangle singulier.