Une femme pas simple

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.

Une femme pas simple

Messagepar hsmur » Dim 26 Mai 2024 07:10

Une femme pas simple : la rencontre

C'est en boîte que Mickaël fait la connaissance de cette drôle de femme qu'est Brigitte. Un soir, alors qu'il est en chasse, comme d'habitude, mais pense bien, ce soir-là, retrouver une petite très sympathique, qui lui avait montré quelques signes d’intérêts.
Et, très vite, en arrivant au bar du club, après avoir salué quelques copains présents, il se rend compte qu'une femme, entre deux ages, pas mal foutu, mais pas souriante, assez jolie, lui jette des regards éperdus.
Le jeu des regards va en s'accentuant, mais d'un coup, Mickaël voit une alliance à l’annulaire gauche de la femme, alors, ne cherchant pas vraiment une rencontre trop compliquée, il se désintéresse de la belle et va danser sur la piste, avec la jeune copine.
Bientôt, il voit la femme danser juste à côté de lui, elle se trémousse lascivement, elle semble avoir un peu bu avec ses yeux qui pétillent. En affichant, maintenant, un large sourire bienveillant, il se penche vers elle et lui dit à l'oreille :
- Vous êtes fort charmante, mais j'ai vu que vous étiez mariée, et j'ai peur des maris...
- Non, non, ce n'est pas une alliance, je suis divorcée depuis un an.
- Ah bon ! Et ils continuent à danser sans se quitter des yeux. Yeux dans lesquels passent, d'ailleurs, bien des messages canailles.
Après quelques bons morceaux de rock, ils reviennent tous deux vers le bar et commencent à discuter en buvant leur consommation respective.
Le temps file, la musique forte oblige les deux personnages à être le plus proche possible l'un de l'autre pour se comprendre. Vers la fin de soirée, alors que Brigitte doit repartir avec ses amis, Mickaël lui donne son numéro de téléphone, puis, profite de la proximité pour l'embrasser avidement. Aucun mouvement de recul n'est perceptible de la part de la personne, bien au contraire, elle se laisse aller à ce baiser fougueux. Il semble même, qu'elle n'est plus vraiment envie de partir, et c'est alors, à elle de serrer fort cet homme charmant, qui l'a fait rire avec ses histoires drôles et son humour, durant la soirée.
Mais la patronne de l’établissement veille, et comme il est déjà quatre heures du matin, elle pousse les clients à se retirer. Cette fois, il est temps de partir, et c'est un rien triste que Mickaël rentre chez lui, triste, mais aussi plein d'espoir, bien sûr, il aurait préféré que Brigitte vienne chez lui ce matin, mais se faisant une raison, il rentre se coucher dans son petit deux pièces.


Dans l'après-midi du samedi, le téléphone sonne chez Mickaël, il décroche et entend la douce voix de Brigitte au bout du fil. Après quelques minutes de dialogue, ils conviennent de se voir pour aller se balader sur les bords de la Loire.
C'est à peine un quart d'heure plus tard qu’elle arrive. En ouvrant la porte, l'homme détail du regard cette grande femme mince de quarante-sept ans. Près de dix ans son ainée, mais ça ne lui pose aucun souci, au contraire, il aime les femmes plus âgées que lui.
Elle est mignonne dans l'ensemble, malgré des traits un peu tirés par la fatigue, visiblement. Elle affiche un sourire un rien ambigu, et ses cheveux court lui confère un air quelque peu étrange. Elle mesure à vue d’œil un mètre soixante-dix ou un peu plus, a une jolie poitrine, ni trop volumineuse ni trop petite, un petit ventre rond qu'elle masque par un pantalon un peu ample, et des fesses un peu plates.
Dès qu'elle est entrée, Mickaël la prend dans ses grands bras et l'embrasse longuement. Très vite, il sent que ce baiser provoque un certain émoi chez la femme. Ne voulant rien précipiter, car il sait que l'attente met les femmes dans le même état d'excitation, que les hommes, il se dégage un peu, l'invite à venir s'asseoir sur le canapé et lui offre un café.
Quelques baisers plus tard, ils décident d'aller, finalement, faire cette promenade sur les bords de Loire, qui sont si beaux en cette fin d'été. La balade se déroule très gentiment, ponctuée, de temps à autre, par un arrêt pour permettre aux deux personnes de s'embrasser tendrement. De retour en fin de journée, Mickaël propose de dîner chez lui, tranquillement.
Mais Brigitte refuse poliment, assurant qu’elle doit rentrer pour le repas, de son jeune fils, qu’elle doit encore aller chercher chez sa propre mère. Mais elle assure qu’elle reviendra dès quatorze heures, le lendemain.

En bon célibataire, Mickaël sort ce samedi soir, encore deux contacts, et par deux fois, son numéro de téléphone, donnés.
Grasse matinée jusqu’à onze heures, puis, Mickaël remet son appartement en ordre, du moins dans un ordre de célibataire. Il retape le lit, qui n’est en fait qu’un bon matelas posé au sol, en réajustant la couette.
Un repas léger, devant la télé, et il attend tranquillement la venue de Brigitte. Si elle arrive en avance, il se dit qu’elle a vraiment un gros besoin de sexe, sinon ça restera à jouer.

Vers treize heures quarante-cinq, la sonnette retenti. L’homme se lève et va ouvrir la porte.
Brigitte est là, un sourire accroché à son visage, mais un sourire qui fait plus salope, que femme du monde. Elle entre, cette fois, elle arbore un tailleur un peu strict, une veste unie bleue marine, mais pas de jupe, un pantalon.
Mickaël lui offre un café, et les deux personnes se retrouvent sur le canapé à discuter.
Lors de la discussion, Mickaël se rend compte que la belle est pleine de préjugés, notamment sur le sexe. Mais pour le moment, il n’en tient pas compte, et dès le café avalé, il entreprend d’embrasser fougueusement sa visiteuse.
Brigitte se laisse embrasser, et même plus, puisque des mains parcourent son corps, et commencent même à ouvrir son chemisier.
En la déshabillant, Mickaël remarque que la belle, a un goût prononcé pour la lingerie et la dentelle. Ce qui ne lui paraissait pas être en accord, avec le discourt qu'elle avait tenu la veille. En effet, elle lui avait laissé entendre, qu'elle était une femme très sage, elle avait été mariée pendant dix ans, pratiquement sans rapports sexuels, et que depuis sa séparation, un an plus tôt, elle n'avait pas eu beaucoup de relations. Toutefois, l’homme se demandait à quoi pouvait donc bien servir un string en dentelle, si elle ne le montrait jamais.
Puis, les choses s’accélèrent, Mickaël prend la main de sa visiteuse et la conduit, dans la pénombre, dans la chambre limitrophe. Lui, retire prestement son sweat-shirt et fait glisser son pantalon pour se retrouver nu comme un ver.
Brigitte se laisse embrasser et retirer son pantalon à son tour, puis, sa culotte en dentelle, et finalement, le soutien-gorge tombe.
Mickaël guide alors sa partenaire, nue, sur le matelas. Après avoir honoré ses deux tétons l’un après l’autre, l’homme se glisse entre les cuisses menues, pour commencer un long cunnilingus.
Brigitte commence par refuser, en prétextant que ce n'était pas hygiénique, mais comme l’homme avait remarqué, qu'elle était tout de même très clitoridienne, il ne teint pas compte de cette remarque. Très vite, il la sent jouir sous ses coups de langue.
Il en profite alors, pour aller plus loin et lui donnant de temps à autre de petites claques, sur le clitoris.
À chaque petite claque, Brigitte pousse de petits cris aigus.
Mickaël n’en reste pas là. Il en profite aussi pour passer ma langue sur l’anus, qui lui paraît plutôt souple, pour le trou du cul d'une vierge effarouchée, que se voulait la belle dans ses paroles. L’homme la travaille au corps et attend qu’elle ait son premier orgasme. C'est alors qu’il la met à quatre pattes sur le lit et il la prend en levrette. Sans capote, directement.
La femme ne réclame pas, non plus, la capote, et tout à son plaisir, elle se laisse faire.
Très rapidement ensuite, Mickaël lui dit :
- Caresse-toi le clito...
- Ça va pas, non, répond-elle, d'un air mauvais.
- Branle-toi le clito, salope, que l’homme ordonne ensuite, car il n'avait pas envie de laisser cette pétasse faire sa mijaurée, alors qu'elle venait de jouir de mes caresses sur son clitoris. Et comme après dix secondes, elle ne s'exécutait toujours pas, il poursuivit :
- Mais branle-toi pétasse ! Tu aimes ça, alors ne fais pas de cinéma.
- Je ne suis pas une pétasse... Commença-t-elle alors à dire, mais tout de suite, Mickaël la coupe et continue d'un ton sec :
- Ta gueule, branle-toi et c'est tout !
Brigitte commence alors timidement à se masturber, tout en prenant la queue dans sa moule. Bientôt, elle recommence à râler de plaisir.
L’homme profite de cet instant pour lui glisser son pouce doucement dans le cul. Le sphincter est souple, il doit être habitué à laisser passer des bites. Mickaël ramone donc, de plus en plus vite, cette salope qui commence à bien se masturber et est au bord d’un nouvel orgasme, tout ne lui ramonant l’anus avec son pouce, de plus en plus fort.
Quand il la sent prête à jouir, il ressort d’elle d’un coup sec, lui agrippe la main droite dont elle se servait, et il lui dit :
- Pas si vite, d’abord, je veux t’enculer… Salope !
Cette fois, la cochonne ne fait pas de commentaire.
Mickaël crache sur son anus, enduit le sphincter de salive et amène sa queue, gluante de cyprine, devant l’œil de bronze. Il pousse doucement et fait entrer sa bite, sans qu'il n'y ait aucune résistance. Quand il a introduit toute la longueur de sa queue dans le boyau, il dit encore :
- T'aimes ça, te faire enculer ma salope, hein ?
- Oui, répond-elle dans un souffle.
Il la sent très excitée. Elle est nerveuse pour ne pas avoir joui quelques instants auparavant, aussi ordonne-t-il à nouveau :
- Recommence à te branler, salope, tu aimes tant ça...
Cette fois, elle ne se fait pas prier, pour s'astiquer le bouton, très vite, elle recommence à gémir.
Mickaël lui lime maintenant le cul sans vergogne, il profite même, de temps à autre, pour lui donner une bonne claque, sur la fesse droite.
Brigitte ne se défend pas, ni ne proteste, contre les claques qu'elle se prend.
L’homme en rajoute encore en lui disant :
- Qu'il est bon, ton cul de pétasse ! T'aimes ça, hein, te faire défoncer le cul, comme une pute...
Et comme elle continue à gémir, sans répondre, il ajoute encore, d'un ton autoritaire :
- Réponds salope, t'aimes ça te faire enculer, hein...
- Oui, lâche-t-elle à nouveau, dans un souffle.
- Tu te branles en même temps, hein ma pute…
- Oui...
Les réponses sont de plus en plus faibles, Mickaël sent qu’elle va jouir à nouveau. Il décide donc, de la faire crier, en lui limant le cul, comme un démon. Quand il sent qu'elle est prête à exploser, il lui demande encore :
- Dis-moi que tu aimes ma bite dans ton cul, pétasse.
- J'aime ta bite, lâche-t-elle d'une voix hachée.
- Tu aimes te faire enculer, hein !
- Oh oui, j'aime ça...
- Parfait, tu es une bonne pute, vas-y, laisse-toi aller, jouis pétasse.
Quand elle commence à crier son plaisir, il prend ses cheveux en main et, en tirant en arrière, ajoute, en essayant de couvrir sa voix :
- Putain que t'es bonne... Gueule plus fort pétasse, que les voisins se rendent compte, à quel point tu es une salope.
Brigitte s’écroule alors sur le lit dans un râle,
La bite de l’homme est ressorti de son cul et il voit son corps parcouru de soubresauts. Il est très content de voir avec quelle force elle venait de jouir, et, pensant qu'il faut battre le fer tant qu'il est chaud, il lui demande :
- C'était bon ma salope ?
Après quelques instants de silence, où elle reprend son souffle et que l’homme met à profit, pour s’asseoir à côté d'elle, elle finit par répondre :
- Mais, je ne suis pas une salope, tu es malade ou quoi ?
- Ha bon, fait-il faussement étonné, parce qu'enculer une nana, dès le premier soir, tu ne trouves pas que ça fait, tout de même, très salope ?
- Mais non, je ne suis pas une salope, j'ai du plaisir, c'est tout, c'est normal.
- Bien sûr, et le string en dentelle, c'est pas une culotte de salope peut-être ?
- Mais non, j'aime les beaux dessous, c'est tout...
- T'as raison, tu portes des dessous affriolants, pour ne pas les montrer, coupe-t-il tout de suite, brutalement… Puis, après quelques secondes de silence, il reprend : Les pétasses qui portent ce genre de truc, en disant que c'est seulement pour leur propre plaisir, ce sont des salopes qui s'ignorent. De toute façon, à crier comme tu as crié, je me rends bien compte que tu aimes ça, te faire piner, comme une salope.
Là, Brigitte, commence à pleurer en disant encore, mais de façon moins véhémente :
- Je ne suis pas une salope...
- Bien sûr que si, tu te branlais le clito, pendant que je t'enculais, à ton avis, ce ne sont pas les salopes qui font des trucs pareils ?
- Mais non... Commence-t-elle à se défendre, dans un sanglot.
- Mais si, tu es une bonne salope qui s'ignore, c'est tout, tu es une folle de bites, mais tu ne veux pas l'admettre.
L’homme sent qu'il fallait qu’il marque des points, ce soir même. Aussi commence-t-il à la retourner doucement et à caresser ses nichons, très vite, il plaque sa bouche sur le sein gauche et il joue avec son téton.
La respiration de Brigitte redevient celle d'une femme excitée, il en profite alors, pour lui caresser le ventre, en lui disant encore !
- Hum ! T'es bonne, ma salope...
Brigitte ne dit plus rien, elle se laisse aller à ce nouveau plaisir, qui commence à l'envahir.
S'étant aperçu qu'elle est clitoridienne, l’homme laisse mon index gauche flatter et cajoler, le bouton d'amour. Pendant de longues minutes, il lui masse le clitoris.
Et, quand elle donne à nouveau des signes de la proximité de sa jouissance, il lui administre une bonne claque sur le clito. Puis, il reprend la caresse en douceur. À chaque fois, que l’homme sent qu'elle est proche de l'orgasme, il donne une claque, de plus en plus fort d'ailleurs, sur la vulve.
Bientôt, sentant que ce petit jeu ne pourrait pas continuer indéfiniment, il lui dit, tout en appuyant encore plus ses caresses :
- Non seulement tu es une bonne salope, habillée en petite pute, mais en plus, tu es une maso, j'adore ça !
Il prend le soin de l'embrasser tendrement, sans relâcher son attention sur les caresses qu’il prodigue. Puis, pour enfoncer le clou, il poursuit :
- Maintenant, tu es ma salope, vas-y, laisse-toi aller et jouis…
Ne voulant finalement pas qu'elle jouisse trop vite, malgré ce qu’il lui dit, il cherche à attraper un pantalon, qui est près du lit, pour récupérer la ceinture. Tout en masturbant la salope, il défait la ceinture du pantalon, puis, quand il sent qu'elle commence à atteindre l'orgasme, il donne trois coups secs de ceinture sur son clitoris.
La femme ne sait plus où elle en est.
Il en profite pour lui dire encore :
- Suce-moi salope, pendant que je m'occupe de ta chatte, de pute en chaleur.
Il s’assoit sur les genoux et porte sa queue à la bouche de la belle. Intérieurement, il se régale en pensant, qu'elle va sucer cette queue, qui sort de son trou du cul. Et qui doit même encore avoir le goût de sa moule.
Il continue à la branler, de façon de plus en plus énergique, pour l'amener à nouveau aux bords de l’orgasme. Il enfonce alors sa bite dans la bouche de la pauvre femme, en lui disant :
- Suce-moi, comme une bonne pute, que tu es.
Cette fois, l’homme la laisse jouir, dès qu'elle donne les signes de son orgasme, il reprend la ceinture et lui donne encore deux coups sur la vulve.
Le pauvre femme se recroqueville sous la douleur fulgurante. Et ne suce plus son compagnon.
Mickaël, voulant tout de même jouir aussi, et alors que sa bite est toujours dans la bouche de la femme, lui dit pour finir :
- Elle est bonne cette bite, qui t'a bien enculé, tout à l'heure, hein ?
Là encore, Brigitte prend son pied. Il serait difficile de dire si ce sont les caresses sur son bouton d’amour, les coups de ceinture sur sa vulve ou les mots crus qu’elle entend, qui la font jouir, cependant, une chose est sûre, elle a un orgasme ravageur, comme jamais, elle n’aurait imaginé avoir.
C'est après un long et profond voyage dans les étoiles, que la femme revient enfin sur Terre, elle regarde bizarrement son amant, puis tombe dans un sommeil profond.
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Re: Une femme pas simple

Messagepar hsmur » Lun 27 Mai 2024 02:31

Une femme pas simple : le clash

Brigitte, comme beaucoup de femmes, avait très envie de présenter son nouvel amant à ses copines. Pour ce faire, elle organise une soirée, et propose à Mickaël qu’il invite, lui aussi, ses copains les plus proches.
Le début de soirée se passe bien, mais on sent que les deux populations sont fortes éloignées. D’un côté, des femmes volubiles, mais très axées sur leur vie, les enfants et le travail. De l’autre, des mecs qui aiment s’amuser, sortir, rire, et ressemblent plus à des bad-boys qu’à des messieurs très "comme il faut".
L’apéritif dînatoire est bien plus composé de liquide que de solide, aussi l’ambiance s’échauffe de plus en plus. Et les garçons commencent à aller sur des sujets plus gras, voire, parfois, carrément sexuels.
Brigitte commence à faire la gueule, parce qu’elle voulait d’une soirée plus classique, BCBG, et là, les grosses balourdises bien grasses ne lui plaisent pas du tout. Elle essaye de recadrer la soirée, mais en vain. Surtout que son nouveau compagnon s’y met aussi. Alors, finalement, elle se laisse aller à ses habitudes, et s’alcoolise, là aussi, de plus en plus !
Ce qui devait arriver, arrive, à plus de minuit, une main aux fesses trop appuyée, met le feu aux poudres, et la soirée se termine en pugilat verbal. Tant et si bien que les amis de Mickaël décident de partir, et finissent même à le persuader d’aller avec eux.

Le lendemain matin, le téléphone de Mickaël sonne :
- Tu es content de toi ? Connard, tu m'as pourri ma soirée !
- Comment tu me parles ? C'est toi qui faisais la gueule, pas moi !
- Tu es un connard, je ne veux plus te voir !
Brigitte à la langue qui colle au palais, ce qui donne cette voix si particulière. Il semble qu'elle ait continué la soirée à picoler et que ce matin, il lui reste encore pas mal d'alcool dans le sang.
Une de perdue, dix de retrouvée, se dit Mickaël, et finalement, cette femme était un peu trop prout-prout à son goût, aussi ne s'en occupe-t-il plus, raccroche et va vaquer à ses occupations avec ses potes.

Toute la semaine, Mickaël a le téléphone qui sonne, mais il ne répond pas. Il reçoit moult messages de Brigitte, un coup le message est insultant, elle crie et traite son ex comme du poisson pourri. Une autre fois, un message le suppliant, pour lui dire qu'elle ne pouvait pas se passer de lui et qu'elle l'aimait comme une folle, bref du gros pénible. À la limite de relever de la psychiatrie.
Au bout de trois ou quatre jours, les messages insultants sont devenus de moins en moins nombreux et les pleurnicheries d'une femme amoureuse de plus en plus conséquentes.
Il arrive même, que le samedi suivant, sur le coup de quatre heures trente du matin, Brigitte vienne pleurer à la porte de l'appartement, gratter, supplier, pleurnicher. Ce qui finit par réveiller l’homme qui, ayant reconnu la femelle, ne s'en soucie pas plus que ça, remet son oreiller sur sa tête et se rendort du sommeil du juste.

Le dimanche matin, sur le coup de dix heures, toujours avec la langue qui colle au palais, deux appels. Une fois de plus, son ex-copine veut pouvoir discuter, pour recoller les morceaux.
Finalement, au troisième appel, il décroche en espérant convaincre cette femme de le laisser tranquille.
Mais Brigitte passe son temps à essayer de parlementer, pour que son bel amant revienne la voir. Un peu à bout d'arguments, l'homme finit par lui dire :
- Écoute, viens à quatorze heures, tu t'habilles en salope, pas de culotte, pas de soutif, des bas, une jupe, un chemisier et une petite veste. Tu viens, la porte sera déverrouillée.
À son arrivée dans l’appartement, la brune se jette au cou de l'homme, qui lui roule une pelle, puis, ensuite, la repousse au milieu de la pièce, lui dit de rester debout, et lui s'assoit sur le canapé.
Il commence à lui expliquer :
- Ton problème n’est pas simplement l'alcool, ton problème est, que tu es masochiste et que tu as besoin de souffrir, dans tes sentiments, pour te sentir femme. Or moi, souffrir dans les sentiments, c'est NON. Ça ne m'intéresse pas du tout d'avoir une guerre larvée, avec une femme et vivre ça, tous les jours. Donc si tu veux qu'on explore ton côté masochiste, ça ne me pose aucun souci, mais dans ce cas-là, on va en jouer à ma façon ! Là, tu te mets à poil. Pour commencer, tu vires ta jupe et ton chemisier. Moi, je sors ma cravache.
Sitôt dit, sitôt fait, la femme se retrouve en escarpins, bas, porte-jarretelle, au milieu de la pièce. Debout, les mains le long du corps.
L'homme la regarde et commence par lui ordonner :
- Les mains sur la tête, vite !
Puis, il tourne autour d'elle, avec sa cravache. Caressant les seins, les flancs, le ventre, les fesses, les cuisses, les bras, avec le cuir de l’extrémité de l’objet. Quand tout d'un coup, alors qu'il est derrière elle, elle sent une vive douleur, sur sa fesse droite. Un coup de cavage vient de tomber.
La douleur arrache un sanglot à Brigitte qui commence à vouloir se rebiffer.
Mais l'homme, tout de suite, l'arête. Il lui dit :
- Tu n’as pas compris ce que je t'ai dit ! Tu veux retourner chez toi tout de suite ? et puis, tu arrêtes de me harceler, au téléphone.
Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, la pauvre femme se reprend et essaie d'arrêter ses sanglots. Et là, c'est une série de quatre coups cinglants qui lui tombe sur le cul. Cette fois, elle pleure pour de bon.
- Puisque tu aimes la douleur, en voici, par contre plus question de me faire chier, d'emmerder le monde, de faire la gueule pour un oui ou pour un non ! Quand tu en sentiras le besoin, quand tu te sentiras mal ou que quelque chose ne va pas bien, c'est pas compliqué, tu demandes à ce que je sorte ma cravache, ou un autre objet du même acabit, pour te donner cette douleur qui te manque tant.
Brigitte pleure à chaudes larmes. Elle danse d'une jambe sur l'autre, tant les fesses lui brûlent.
L'homme tourne autour d'elle, vient se placer devant et lui assène quelques petits coups de cravache, sur le haut de la vulve et sur le clitoris. Là encore, la belle cherche à se rebiffer.
Ça va pas, non ? Qu'est-ce qui te prend ?
Mais tais-toi ! Tu aimes ça les coups, tu aimes ça la douleur, donc en voilà, de la douleur !
- Ah mais là, c'est pas du jeu, je prends des coups sur le clitoris !
- Ne me dis pas que ça fait mal !
- Si, un peu tout de même !
- Bien, j’en prends note.
La femme est toujours debout, les mains sur la tête. Elle a cessé sa danse de saint Guy depuis, que son clitoris a été la cible de toutes les attentions.
Lui retourne derrière la femelle, prend de l’élan et lui file une série de dix coups de cravache. Cette fois, non plus avec l'extrémité en cuir, mais bien avec toute la longueur de l'outil, qui vient zébrer les fesses. Puis, alors qu'elle pleure à chaude larme, en ayant repris sa drôle de danse. Il se tourne vers son bureau, prends son téléphone portable et fais quelques photos. Ensuite, il vient se planter devant la femme et lui montre son cul zébré, que l’on peut parfaitement voir, sur les photos, qu'il vient de faire.
Entre deux gros sanglots, la pauvre femme, aux yeux noyés de larmes, hoquette :
- Oh mon chéri, je t'en prie, ne me donne plus de coup, j’ai compris la leçon, fais-moi l'amour, mais ne me donne plus de coup.
Bien, tu peux retirer tes mains de la tête, maintenant.
Sur ce, l'homme emmène sa copine dans la chambre. Une fois dans la pièce, d’une petite voix, la brune demande :
- Puis-je enlever mes bas et le porte-jarretelles, ils me gênent ?
- Non, tu restes habillé comme une pute, c'est comme ça que je t'aime.
L'homme ouvre le lit et pousse sa compagne dedans. Là, il commence à lui lécher la chatte en lui mettant un doigt dans l’anus, jusqu'à ce que cette dernière, commence à donner des signes d'orgasme. Il s'arrête net et ordonne :
- Tourne-toi.
Puis, il recommence. Mais cette fois, il lui fait une feuille de rose en glissant deux doigts dans le vagin, doigts qui gesticulent à toute vitesse, à l’intérieur, dans tous les sens, sans oublier les petits coins.
- J'en peux plus, s’exclame la femme entre deux cris de plaisir.
- Mets-toi à quatre pattes, je veux usiner ton trou du dimanche.
La belle ne se fait pas plus prier que ça, se met à quatre pattes, attendant que le sexe de son amant, vienne fouiller ses entrailles.
On ne se prive de rien, il retire prestement son pantalon, en gardant son t-shirt et, déjà en érection, vient plaquer son gland contre l’œil de bronze. Puis, d'un coup sec, enfonce tout son chibre, dans l'ampoule rectale de la brune.
Il lime rapidement et attend que sa compagne s'envoie vraiment en l'air, avant de jouir dans son cul. Puis, il s'écroule un peu sur le côté, regarde par en dessous la femme, toujours à quatre pattes et lui ordonne encore :
- Vas-y, branle-toi, que tu fasses ressortir tout le bon foutre, que je t'ai mis dans le fion.
Brigitte, excitée comme elle est, malgré l'orgasme qu’elle vient d’avoir, se masturbe frénétiquement et commence à jouir, une fois, deux fois, trois fois...
- Parfait, ça suffit pour aujourd'hui, maintenant, tu t'habilles et tu rentres chez toi.
- Mais comment ça ? je voulais rester avec toi !
- Non, tu rentres chez toi, tu m'as dit que tu avais ton gamin à faire manger, donc tu rentres chez toi. Tu lui donnes à manger et tu vas te coucher après. Une fois que tu seras au lit, tu m'appelles. Et pas trop tard, moi, ce soir, j'ai une sortie en boîte, avec mes potes.
Tout de même fâché d'être ainsi congédiée, Brigitte retourne dans le salon s'habiller et revient faire un bisou à son homme, avant de partir.
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Re: Une femme pas simple

Messagepar hsmur » Mar 28 Mai 2024 01:02

Une femme pas simple : la révélation

En ce samedi matin, Mickaël, se réveille sur le coup de dix heures après une soirée en boîte, bien énergique.
Il se souvient que sa compagne, Brigitte, doit passer sur le coup de midi, avant d'aller déjeuner chez sa mère.
Peu de temps après onze heures, la sonnette retentit, c'est la brune qui arrive, dans une belle robe mauve, qui fait très sérieuse, peut-être même, un peu stricte.
L'homme embrasse la femme, puis l'attire dans le salon. Et là, après lui avoir remonté la robe et vu que la belle portait des bas. L'assied sur le coin de son grand bureau noir, met la culotte sur le côté et la baise, sans autre forme de procès.
Très vite, la brune s'envoie en l'air et jouit bruyamment. Est-ce le fait d'aller chez sa mère, l'excitation de porter des bas ou le fait d'être piné comme une secrétaire, sur le coin du bureau de son patron, toujours est-il, qu'elle prend un pied phénoménal.
Une fois que l'homme s'est vidé dans le vagin bouillant, il lui dit :
- Retire ta culotte, tu n’as pas besoin de ça, pour aller chez ta mère.
- Oh ! Mais, tu ne te rends pas compte...
- Mais si ! Ta mère ne va pas vérifier si tu portes une culotte ou non ! Donc arrête de me raconter des conneries, retire ta culotte et va manger chez ta mère, maintenant.
- Je pourrais revenir plus tard ?
- Oui, reviens vers seize heures, pas avant s'il te plaît, je risque d'avoir du monde.
Sur ce, Brigitte vient embrasser encore fougueusement son amant, et s’apprête à partir sans culotte, quand elle entend :
- Allez, va, ma soumise, va.

Ce soir-là, Brigitte arrive vers vingt heures. Elle est passée chez elle avant de venir et est vêtue d'un long manteau en daim, elle porte des escarpins, une jupe noire, assez moulante et des bas noirs épais, de chez Chantal Thomas.
Il est prévu un petit repas sympathique et une soirée calme, car Brigitte doit aller chercher son fils à la gare vers minuit trente.
Dès l'apéritif dans le salon, Mickaël se rend compte, que son amie a fait un gros effort en mettant des bas autofixants, mais il ne fait pas voir, qu'il s'en est aperçu, pour voir où veut en venir cette sacrée coquine. Néanmoins, le moins qu'on puisse dire, c'est que cet effort le touche, et mème l'excite.
Après deux verres, ils passent à table. Mickaël a préparé une petite salade en entrée et du poisson pour le plat de résistance, le tout arrosé d'un petit Mercurey.
Pour prendre le café, Mickaël invite son amie à revenir sur le canapé, du salon.
Il la laisse s'installer, pendant qu'il prépare les deux expressos. Il apporte bientôt les cafés et s’assoit très près de la belle. Dès qu'il est assis, il laisse ses mains se promener, sur les cuisses de la femme, qui semble s'offrir. Il a bien sûr remarqué, tout au long de la soirée, toutes les manières que faisait Brigitte, pour redescendre sa jupe, comme si cette dernière remontait toute seule, le long des fines cuisses. Pensant qu'il est temps, il commence à dire :
- C'est bien, tu as mis des bas sans que je sois obligé de te le réclamer, tu fais des progrès.
- Tu sais, je me sens très mal à l'aise avec.
- Ah bon ! Et qu'est-ce qui te rend donc, si mal à l'aise ?
- Eh bien, j'ai l'impression que tout le monde se rend compte que je porte des bas. Et ça ne me plaît pas du tout.
- Mais pourtant, c'est bien toi qui les as mis, sans que je te le demande
expressément, non ?
- Mais, c'était juste pour te faire plaisir !
- Ça me fait plaisir, ne t'inquiète pas, mais ne viens pas me dire que tu n'aimes pas porter, ce genre de chose, là, je ne te croirai pas.
- Non, je n'aime pas, je suis vraiment mal à l'aise...
- Une soumise se doit de porter ce que son maître désir, sans s’occuper de ce qu’elle ressent, elle !
Sur cette dernière parole, Mickaël est venu tout contre la femme et commence à l'embrasser voracement, en laissant sa main droite traîner sur l'intérieur des cuisses, en remontant. Puis, dégageant un instant sa bouche de celle de sa partenaire, il lui susurre à l'oreille :
- Laisse-toi aller et ne cherche pas à te voir dans le regard des autres… Cherche seulement à ME faire plaisir.
Ses caresses deviennent de plus en plus précises. Ses doigts se faufilent sous la culotte de soie, pour venir goûter le velouté de cette peau tendre. Il prend bien garde à ne pas toucher le clitoris pour que ses caresses soient plus agaçantes qu'autres choses.
Brigitte commence à se pâmer, tout en faisant de petits mouvements de hanches pour inciter son compagnon à être plus direct et à venir lui donner ce plaisir qu'elle cherche à cet instant.
- Tu veux jouir, non.
- Oui...
- Alors tu le demandes, comme une bonne soumise doit le demander.
- Pardon ?
- Oui, tu deviens tous les jours plus soumise, aussi, je commence à t’apprendre les us et coutumes.
- Mais !
- Pas de "mais", demande-moi à avoir d plaisir.
- S'il te plaît, Mickaël, tu peux me faire jouir ?
- Voilà qui est mieux, maintenant, tu m’appelleras "maître"...
- S'il te plaît, maître, tu peux me faire jouir ?
- Parfait.
À ces mots, l’homme plonge ses doigts dans la chatte, d’abord un, puis deux, puis trois, et enfin quatre. Ses doigts commencent alors une sarabande, dans l’antre humide et chaud, qui devient bientôt dégoulinant.
Il ne faut pas plus de quelques secondes, pour que la brune prenne un pied formidable. Elle crie son bonheur et ça résonne dans tout l’appartement. Et, quand elle commence à revenir sur terre, elle entend :
- Bien, laisse-moi ta culotte.
Espérant une suite, à ce premier voyage dans les étoiles, elle retire prestement le fin vêtement de soie, puis vient câliner son homme.
- Tu as ton fils à aller chercher, chez la copine de ton ex, alors vas-y.
- Mais ! Tu n’as pas eu de plaisir !
- Je me viderai peut-être dans une salope, ce soir, je sors en boîte.
- Ha ben non !
- Stop ! Une soumise n’est pas jalouse, c'est la leçon de ce soir, allez, file, va chercher ton fils.
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Re: Une femme pas simple

Messagepar Floben57 » Mar 28 Mai 2024 08:24

Bonne histoire de soumission
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Re: Une femme pas simple

Messagepar hsmur » Mar 28 Mai 2024 11:07

Une femme pas simple : l’explication

Ce samedi soir, Mickaël a préparé un dîner fin et attend sa soumise, qui semble un rien en retard.
Brigitte, prise dans les embouteillages, dû à un gros match de foot, arrive avec une petite demi-heure de retard. Elle sonne à l’interphone et entend :
- Tu es en retard !
- Oui, excuse-moi, les bouchons...
- Oui, qui ?
- Je ne peux pas chéri, il y a du monde dans la rue…
- Oui, QUI ?
- Oui, maître.
- Bien, tu montes, la porte est ouverte, tu te déshabilles et te mets à genoux au milieu du salon, juste en bas et escarpins.
- Pfeuh...
- Ça ne te convient pas ?
- Si, si je monte…
- Si QUI !
- Si maître.
Et la femme pousse la lourde porte en fer vitrée, pour entrer dans la cour, qui donne sur l’escalier. Une fois sur le palier du deuxième étage, elle pousse la porte d’entrée de l’appartement, et, ne voyant pas son amant, entre dans le salon et se déshabille, comme demandé.
Elle reste quelques instants comme ça, à genoux par terre, assise sur ses mollets, presque nue. Elle a un léger frisson, quand la porte du couloir, qui donne sur la chambre, s’ouvre.
- Bien… Les mains sur la tête.
La brune obéit.
- Bien… la circulation ! Et tu as toujours eu, des excuses à la con, comme ça ?
- C'est vrai que chez mes parents, quand je rentrais trop tard de boîte…
- Parle-moi de ton adolescence.
Et, pour pouvoir bien écouter ce que sa soumise a à dire, l’homme va s’installer confortablement dans le canapé.
- Mes parents bossaient beaucoup, ils avaient un restaurant dans le vieux Tours, et n’avaient pas beaucoup de temps à consacrer à leurs trois enfants, donc très tôt, je suis sortie les soirs, d’abord à traîner dans les rues avec mes copines, puis en allant en boîte.
- Tes parents laissaient faire ?
- Mon père était en cuisine jusqu’à une heure, voire deux. Ma mère au service, puis elle s’occupait du linge de table, et ils finissaient crevés, en sachant que, dés le lendemain midi, ça repartait ! La semaine par les menus ouvriers, le week-end par les touristes.
- Alors tu étais livrée à toi-même !
- En quelque sorte, oui.
- À quel âge as-tu perdu ta virginité ?
- Pas tout à fait quinze ans.
- Comment ?
- Avec un beau garçon rencontré grâce aux copines, j’en suis tombée amoureuse, et j’ai tout accepté de lui.
- Ha ! Déjà… Bien… Et donc ?
- Nous étions allés nous promener sur les bords de Loire, et il m’a défloré là, comme ça, en écartant ma culotte !
- Tu as joui ?
- Oui, mais une fois son affaire faite, le mec s’est barré, comme un voleur. Mais je suis resté très attirée, par les petits bruns.
- Bien… Et avec tes parents, tu parlais de sexe ?
- Surtout pas ! Ma mère ne voulait jamais aborder le sujet même quand j’ai eu mes premières règles. Mon père était un "bouffeur d’énergie", si je prenais les crudités de la veille, il gueulait en me traitant de conne, parce qu’il ne faisait pas des crudités fraîches pour les chiens. Si je prenais les crudités fraîches, il gueulait que c’était pour les clients, et qu’il fallait finir les crudités de la veille, qui étaient encore bonnes. C'est un exemple, mais j’en ai plein de cet acabit.
- D’accord… Donc, tu ne t’entendais pas avec ton père, si ?
- Non, c’était toujours la guerre avec lui, en plus, il picolait tout le temps ! Donc toujours entre deux vins. Et il était raciste comme un pou, donc on s’engueulait aussi sur ce sujet-là.
- D’accord. Et toi, tu vivais ta vie de jeune salope tranquillement, alors ?
- Oui, je sortais beaucoup, on avait des copains qui avaient des voitures et on allait souvent en boîte, en dehors de Tours.
- Et tu te faisais tirer en boîte ?
- Ben, parfois dans les toilettes, plus souvent dans les voitures…
- Et jamais tombé enceinte ?
- Non, mais j’ai attrapé plusieurs fois des blennorragies, mais moi, je n’en souffrais pas, après, les mecs n’avaient qu’à mettre une capote, ça existait déjà, à cette époque.
- Et ta mère ?
- Elle travaillait tout le temps.
- Tu m’as dit que ton père était mort assez jeune, tu n’avais pas dix-hit ans, c'est ça ?
- Oui, il tombait de plus en plus dans la cuisine, était de plus en plus difficile à vivre, et un soir, les pompiers sont venus et l’ont emmené à l’hôpital.
- Tu les as suivi ?
- Non, comme une conne égoïste, je suis sortie avec les copines, en boîte. Le lendemain, mon frère m’a appris que notre père était mort, dans la nuit.
- Et toi, tu te faisais sauter, comme une grosse salope, pendant ce temps-là, non ?
- Si...
- Tu n’as pas eu honte de ta conduite ?
- Si, et je me le reproche encore aujourd'hui !
- Il y a de quoi !
- Oui…
- Tu te rends compte, si ton fils te faisait quelque chose de similaire, aujourd’hui ?
- Oui, je sais, j’ai vraiment été une sale gamine…
- Et personne ne t’a jamais corrigé pour tes frasques ?
- Non… Pourtant, je l’aurais bien mérité.
La brune a les yeux dans le vague, qui commencent à se mouiller. Elle se retrouve comme dans ses cauchemars, quand le fantôme de son père vient la désigner du doigt. Qu’elle se sent honteuse, qu’elle se sent vraiment vilaine, un poison, une saloperie.
Voyant sa soumise au bord des larmes, Mickaël comprend qu’il n’en faut pas plus pour aujourd’hui, et ordonne alors :
- Allez, viens près de moi...
La pauvre femme vient se blottir contre son amant et maître, et commence à sangloter dans ses bras.
Après l’avoir laissé pleurer en lui caressant les cheveux, au bout d’une dizaine de minutes, Mickaël demande :
- Ça va mieux ?
- Oui… Je te demande pardon.
- Rien de grave, pleure quand tu en as besoin.
Et, en faisant descendre ce visage, encore tout mouillé de larme, vers son sexe, il ouvre sa braguette, s’arque-boute sur le canapé, et descend son pantalon à mi-cuisses.
- Tiens, tu vois, moi non plus, je ne porte pas de caleçon, comme ça, je suis toujours prêt, pour te donner du plaisir.
La femme voit le sexe, pas encore totalement en érection, se rapprocher de plus en plus de sa bouche, quand elle entend :
- Suce-moi, ma belle.
Quand il jouit, en longs jets, elle s’en régale et avale tout au fur et à mesure. Puis, elle entend encore :
- Super, ma salope, viens, on va se coucher et se reposer un peu.
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Re: Une femme pas simple

Messagepar hsmur » Mer 29 Mai 2024 03:05

Une femme pas simple : la pute

En ce dimanche midi, Brigitte arrive chez son amour, de compagnon.
Tout de suite, l'homme la fait mettre pratiquement nue, ne gardant que ses bas et son porte-jarretelles, ainsi que ses escarpins.
Après un repas fin, juste après le café, l'homme la prend par la main et l'emmène dans la chambre. Là, il l'a fait mettre à quatre pattes et commence par lui lécher la rondelle. En même temps, il défait sa ceinture, retire son jean et son T-shirt.
Brigitte, très vite, se pique au truc et se laisse partir pour un voyage dans les étoiles.
- T’aimes ça, te faire bouffer le fion, hein, ma salope…
Un léger oui, étouffé, confirme l’affirmation.
- Je vais te donner ta friandise, je vais t’enculer ma salope soumise.
- Oui… J’ai très envie…
Et il vient alors positionner son gland contre la rondelle, qui commence déjà à frétiller. En effet, l’œil de bronze s’ouvre et se ferme doucement au rythme de la respiration de la femelle. On dirait un lent clin d’œil.
Brigitte sent cette queue, qui lui donne tant de plaisir, aux portes de ses entrailles, elle attend avec impatience le moment, où ce membre prendra possession de son corps.
L’homme prend une profonde aspiration, puis, dans un geste lent et doux, envahit le corps de sa soumise, par l’arrière.
- Branle-toi, touche-toi le clito, fais-toi du bien.
Obéissante, la brune s’astique le clitoris comme elle le fait quand elle est seule dans son lit, et très vite, elle part et pousse des cris aigus qui donnent l’intensité de son orgasme. La belle prend un tel pied, qu'elle s'endort dès que son orgasme lui en donne le loisir, s’écroulant sur le lit, faisant ressortir, de ce fait, la pine de son amant.
L’homme se relève et retourne au salon.

Une heure trente après, elle se réveille et elle est seule dans la chambre. Elle se lève, vient dans le salon. Là, elle a un mouvement de recul, son maître est avec un de ses amis, Denis.
- Entre, ne sois pas timide.
- Mais je suis nue !
- Mais non, tu es vêtue comme une pute, des bas et un joli porte-jarretelles.
- Mais…
- Rassure-toi, Denis a vu beaucoup de mes copines, tu n’es pas la première. Allez, viens, ne fais pas l’enfant.
- Finalement, la femme entre dans la pièce, un bras pour cacher sa poitrine, une main pour son sexe.
- Nous parlions de toi, j'expliquais à Denis, quelle bonne suceuse tu étais
- Non ! Faut pas dire ça aux gens !
- Mais non, Denis est mon ami, très fidèle. Il m'explique bien ce qui se passe avec ses copines, je lui ouvre aussi, tout ce que je fais avec les miennes.
- Oh non, j'ai honte !
- Ça va ! Le ton est devenu autoritaire. Puis, l’homme poursuit : Quand tu es sur la plage, tu te fous bien à poil, non ?
- Oui… Mais…
- Bon, alors pas de cinéma, une soumise doit pouvoir se mettre à nu devant tous les gens, que lui indiquera son maître !
Denis affiche un grand sourire, alors que Mickaël a le visage fermé, puis il termine :
- Au milieu de la pièce, mains sur la tête.
Cette fois, la brune exécute la directive et vient se placer au milieu du salon, les mains sur la tête, faisant face aux deux hommes, assis sur le canapé.
Les deux mecs sont confortablement installés dans le sofa, leurs yeux scrutent le corps de la femme. Denis par curiosité et envie, Mickaël par intérêt et tests.
- Tourne sur toi. Demande alors le maître.
La brune commence une lente rotation, finalement, être ainsi exhibée devant un homme, qu’elle en connaît que très peu, pour ne l’avoir vu qu’une fois, lors de sa soirée, est une expérience plutôt excitante.
- Pas mal pour une mémé ! s’exclame Denis.
- Oui, de jolies mamelles, mais des fesses un peu plates.
- Les fesses plates, ça fait de bonnes enculées, tu n’as pas l’impression de perdre ta bite dans un tas de gélatine !
- Je t’avouerai franchement, que son anus est la porte du paradis ! Et elle a toujours le boyau propre, quelle que soit l’heure à laquelle tu l’encules.
- Ça c'est top ! Ça évite d’utiliser l’aiguille anti-bague de bronze.
- Et sa chatte lisse, tu en penses quoi ? Demande alors le maître des lieux.
- J’aime les salopes qui s’épilent, ainsi, elles n’ont plus rien à cacher.
- Mais le plus intéressant, c'est sa soumission, elle commence à être bien obéissante, plus grand-chose à voir, avec la mégère de l’autre soir. D’ailleurs, tu vas voir par toi-même.
- Brigitte, viens sucer mon pote.
- Ha non ! Je ne suis pas une pute tout de même ! Proteste la pauvre femme.
- Non, tu es ma soumise, et telle une chienne, je te ferais couvrir par qui bon me semble, allez, viens.
- Non !
- Tout de suite !
Finalement, Brigitte s’approche du canapé très doucement et à tout petits pas.
Denis Profite de ce temps-là pour descendre son pantalon et son caleçon, à mi-cuisses. Il a une belle pine, pas encore en érection, mais qu’on imagine aisément grosse et longue, bien plus que la moyenne.
- Allez, au boulot, ma grande !
- Mais, chéri… je ne connais pas ton copain…
- Rappelle-toi en boîte, quand tu suçais des mecs inconnus dans les chiottes ! Là c'est un inconnu, mais c'est moins glauque et plus confortable, allez, hop !
- Tu me feras vraiment tout faire !
Elle vient, finalement, se mettre à quatre pattes entre les jambes des deux hommes, puis, dans un geste lent, se penche sur le sexe nu, le prend en main, et finalement le porte à sa bouche.
Denis se laisse faire, habitué qu’il est des plans assez bizarres de son pote, et toujours gourmand de plaisir.
Brigitte s’active sur ce sexe goûteux, doux et qui grossit sans cesse.
Le jeune homme se laisse totalement aller, ayant compris à quoi voulait arriver son ami. Et donc, très vite, il plaque la tête sur sa queue des deux mains, et jouit dans un râle d’ours.
- Avale, ma salope, pas de gâchis et pas de tache.
Le brun apprécie cette pipe de milieu d’après-midi à sa juste valeur. Il affiche, alors, un large sourire de félicité.
La brune se redresse, et regarde son maître avec un air mi-courroucé, mi-fière d’elle.
- C'est bien, tu es une bonne salope, tu vois, c'est pas si difficile à assumer !
- Salaud !
- Bon, moi je vous laisse, j’ai encore quelques fers au feu…
- Ha ! Elles sont en fer ? Fait gaffe de ne pas chopper le tétanos !
Et tout le monde rigole un coup.
Denis se lève et aide la brunette à s’asseoir à la place qu’il vient de quitter, puis, salut son ami d’une franche poignée de main, et flatte encore un sein de la belle, lui arrachant, par là même, un frisson.
- À bientôt les amoureux, lance-t-il en sortant par la cuisine.

Dès qu’ils sont seuls, Mickaël, en prenant sa soumise contre lui tendrement, annonce :
- Je suis très fière de toi, tu es une bonne soumise, tu progresses bien et vite, allons prendre un café, tu veux ?
Oui… On ne sait si c'est pour le café, qu’elle accepte, ou pour ce que vient de lui dire son homme.
Mickaël se lève du sofa et aide sa compagne, à se remettre debout. Il lui fait un chaste baiser sur la bouche, et lui dit alors :
- Tu sens bon ! Tu sens la pute !
- Salaud ! s’écrie encore la femme, mais cette fois, en souriant.
Dans la cuisine, et alors que l’homme se dirige vers la cafetière expresso, Brigitte s’assoit à table, et découvre un billet de cent euros.
- Tiens ! Tu as laissé traîner un billet sur la table, heureusement qu’il n’y a pas de voleur !
- Non, ça c'est ton salaire de pute pour la pipe de tout à l’heure.
- QUOI ?
- C'est Denis qui a laissé le prix de sa pipe.
- Non mais ! Ça ne va pas ! Je ne suis pas une pute !
- Maintenant, si, et tu viens de faire ton premier client.
- Mais ! Tu m’as dit que je le faisais, parce que j’étais ta soumise !
- Oui, tu es ma pute soumise.
- Je ne suis pas une pute !
- Maintenant, si, et tu auras d’autres clients, et autant de plaisir que possible dans une vie.
- T’es fou ! J’ai un bon boulot !
- Oui, tu seras une occasionnelle, je ne veux pas te faire perdre ton job !
- Salaud, salaud ! Je m’en vais et ne veux plus jamais te revoir…
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Re: Une femme pas simple

Messagepar hsmur » Jeu 30 Mai 2024 04:26

Une femme pas simple : la faute des autres

Finalement, la séparation n’aura pas duré plus d’une semaine, semaine chargée d’appels de la pauvre Brigitte, en pleurant, promettant d’être une bonne soumise, si son maître ne la prostituait plus. Et acceptant finalement que ce dernier ne s’engage pas sur ce point précis.
Au téléphone, Mickaël se montre inflexible :
- J’accepte de te reprendre comme soumise, MAIS ! Je veux, que tu viennes avec ta jupe fendue, des bas, qu’on puisse voir tes bas, quand tu marcheras dans la rue. Je veux, que tu te gares sur le boulevard, et que tu viennes ensuite à pied. Bien entendu, ni soutien-gorge ni culotte.
- Il faut vraiment que je t’aime pour faire tout ça !
- Encore heureux que tu m’aimes ! Sinon, ça voudrait dire que tu es encore bien plus perverse, que tu ne veux bien te l’avouer…
- Et à quelle heure dois-je venir ?
- Vers cinq heures, ce sera très bien.

Il est environ dix-sept heures, quand la sonnette retentit. L'homme, au deuxième, demande à sa soumise de retourner dans la rue, qu'il puisse la voir, depuis sa fenêtre.
La brune va donc sur le trottoir d'en face. Là, elle voit son compagnon lui faire des signes, et elle comprend bientôt, que l’homme lui demande de relever sa jupe, pour montrer ses bas. Alors après avoir regardé à droite et à gauche, elle s’exécute et remonte sa jupe. En passant en voiture, on peut voir que la femme ne porte pas de culotte.
Entre-temps la porte s'est reverrouillée donc Brigitte est obligée de rappuyer sur la sonnette pour que son maître lui ouvre. Elle monte les escaliers rapidement et se retrouve sur le palier.
L'homme lui ouvre.
- C'est bien, tu as suivi mes directives, ta tenue me convient, entre.
- Mais ! Si la tenue ne t’avait pas convenu, qu’aurais-tu fait ?
- Je t'aurais laissé dehors...
Sentant que ce n'était pas le moment de plaisanter, elle rentre et pose sa veste sur le dos d'une chaise de la cuisine.
- C'est bien, tu vas venir avec moi, au salon, au milieu de la pièce. Mais sans jupe, ni chemisier.
Brigitte, se souvenant de la séance qu’elle a vécue quelques semaines auparavant, obéit sans sourciller, se disant bien, qu’elle pourrait intervenir sur le déroulé de la soirée.
- Les mains sur la tête. Je vais te prendre en photo.
- Oui, d'accord, mais pas de photos sur Internet.
- C'est encore moi, qui décide, il me semble.
Après une séance de photos des plus osée, durant laquelle l'homme n'a pas arrêté de demander, à sa soumise, des poses les plus extravagantes les unes que les autres. Il repose son appareil photo et décide qu'il est l'heure de l'apéritif.
L'apéritif se passe à discutailler, à parler de tout et n'importe quoi, mais pas de soumission. Jusqu'à l'heure du dîner, où les deux personnes se rendent dans la cuisine. Un repas chinois est prêt dans le frigo, il n'y a qu'à le faire réchauffer
Bien que nue, Brigitte a vite trop chaud ! Il faut dire que le rosé de Provence est exquis, et qu'elle lui a jeté un sacré sort.
Sortant de table, en laissant tout en vrac dessus. Mickaël prend sa soumise par la main et l'emmène dans la chambre, en lui disant
- J'ai envie d'une pute, tu as intérêt à assurer.
Dans la chambre, Mickaël jette la femme sur le lit, négligemment. Il défait très vite son pantalon et chemisette et vient se coller à la brune.
- Suce-moi la bite, comme une bonne pute, que tu es.
Sans faire d'histoire, Brigitte se jette sur le membre, déjà un peu raide et le fait grossir, dans sa bouche chaude.
Sachant pertinemment ce qu'il veut, l'homme laisse la brune faire, jusqu'au moment où il annonce :
- À quatre pattes, que je t'encule, comme une vraie putain.
Bien entendu, cette enculée de Brigitte, qui adore la sodomie, ne se fait pas prier pour se mettre à quatre pattes et attendre, qu'un sexe viril vienne lui pourfendre l'anus.
Il s’en donne à cœur joie, Mickaël. Il sodomise sa soumise à grands coups de bite, pendant de très longues minutes. Mais il ne veut pas jouir, dans ce cul bouillant.
- Viens me sucer. Ordonne-t-il, en sortant son sexe des boyaux féminins.
En même temps, il se déplace, de manière à offrir son membre, tout gluant des effluves féminines, à la bouche de la salope.
- Suce cette pine, ma salope.
Très vite, il jouit, en tenant la tête brune entre les mains. Une fois qu'il a joui, il poursuit :
- Nettoie-moi bien la queue, et je ne veux pas qu'elle sente ton cul, je veux qu'elle soit toute propre, qu’elle brille !
Là encore, la brune obéit. Elle prend tout d’abord tout le membre, qui s’assouplit, en bouche. Puis le ressort et le lèche sous toutes les coutures. Finalement, elle commence à bien apprécier cet exercice, de pipe après la sodo, surtout que le sexe n’a pas d’odeur, ni de goût désagréable ou trop fort.
- Parfait, maintenant tu te mets sur le dos, je vais m'occuper de ton clitoris.
Mickaël se relève et va dans la salle de bain. Quelques secondes plus tard, il revient avec la brosse à dents électrique, dans la main. Il se cale entre les cuisses de sa partenaire, met en route l’engin, applique la tête vibrante et tournante, sur le clitoris.
En quelques instants, la brune s’envoie en l'air. Elle prend un pied magistral. Ça dure jusqu'au bout des trois minutes programmées dans la brosse, moment où l’appareil s'arrête avant de repartir deux secondes plus tard, et recommencer ce cycle, trois fois. Ensuite, l'homme relance la brosse et l’applique sur clitoris.
Brigitte se tortille dans tous les sens et son amant a un mal fou à rester en place et à continuer, ce qu’il est en train de faire.
- C'est trop bon !
- Belle découverte, non ?
- Oui… Mais, je vais mourir, tellement c'est bon…
- Laisse-toi aller à l’orgasme.
Et pour ajouter encore à l’instant, Mickaël joint son index et son majeur de sa main libre, et les enfonce le plus loin possible dans l’anus de la brune.
- C'est trop ! C'est trop !
- Oui, vas-y !
La femme se tortille de plus en plus et rue comme un cheval fou.
- J’en peux plus ! Pitié.
- On attend que la brosse s’arrête…
Et le supplice, vicieux et délicieux, continue encore une petite minute, puis l’appareil stoppe.
Brigitte a un mal fou à reprendre son calme, elle souffle comme une baleine, se tortille encore, mais de moins en mois.
L'homme contemple sa soumise gigoter et respirer très fort. Ensuite, il se lève et va ranger la brosse à dents. Il en profite pour aller dans la cuisine et boire un verre d'eau. Quand il revient, la belle s’est endormie.
Sur le coup de trois heures trente du matin, elle se réveille, regarde l'heure et d'un seul coup, se souvient qu'elle devait aller chercher son fils, au train, à minuit. Il rentrait de chez son père, et le pauvre garçon, d'une quinzaine d'années, devait se trouver bien seul, à la gare.
- Salaud ! Je t'avais demandé de me réveiller, je t'avais dit que je devais aller chercher mon gamin ! Maintenant, je fais comment ? Tu es vraiment salaud, tu ne penses qu'à ton plaisir !
- Comme d’hab, c'est toujours la faute des autres...
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    Mar 19 Nov 2013 21:06
  • L ex de ma femme
    par Grand Voyeur !! » Mer 18 Avr 2012 00:20
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    Mer 17 Juil 2019 09:27

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