Une femme pas simple : la rencontre
C'est en boîte que Mickaël fait la connaissance de cette drôle de femme qu'est Brigitte. Un soir, alors qu'il est en chasse, comme d'habitude, mais pense bien, ce soir-là, retrouver une petite très sympathique, qui lui avait montré quelques signes d’intérêts.
Et, très vite, en arrivant au bar du club, après avoir salué quelques copains présents, il se rend compte qu'une femme, entre deux ages, pas mal foutu, mais pas souriante, assez jolie, lui jette des regards éperdus.
Le jeu des regards va en s'accentuant, mais d'un coup, Mickaël voit une alliance à l’annulaire gauche de la femme, alors, ne cherchant pas vraiment une rencontre trop compliquée, il se désintéresse de la belle et va danser sur la piste, avec la jeune copine.
Bientôt, il voit la femme danser juste à côté de lui, elle se trémousse lascivement, elle semble avoir un peu bu avec ses yeux qui pétillent. En affichant, maintenant, un large sourire bienveillant, il se penche vers elle et lui dit à l'oreille :
- Vous êtes fort charmante, mais j'ai vu que vous étiez mariée, et j'ai peur des maris...
- Non, non, ce n'est pas une alliance, je suis divorcée depuis un an.
- Ah bon ! Et ils continuent à danser sans se quitter des yeux. Yeux dans lesquels passent, d'ailleurs, bien des messages canailles.
Après quelques bons morceaux de rock, ils reviennent tous deux vers le bar et commencent à discuter en buvant leur consommation respective.
Le temps file, la musique forte oblige les deux personnages à être le plus proche possible l'un de l'autre pour se comprendre. Vers la fin de soirée, alors que Brigitte doit repartir avec ses amis, Mickaël lui donne son numéro de téléphone, puis, profite de la proximité pour l'embrasser avidement. Aucun mouvement de recul n'est perceptible de la part de la personne, bien au contraire, elle se laisse aller à ce baiser fougueux. Il semble même, qu'elle n'est plus vraiment envie de partir, et c'est alors, à elle de serrer fort cet homme charmant, qui l'a fait rire avec ses histoires drôles et son humour, durant la soirée.
Mais la patronne de l’établissement veille, et comme il est déjà quatre heures du matin, elle pousse les clients à se retirer. Cette fois, il est temps de partir, et c'est un rien triste que Mickaël rentre chez lui, triste, mais aussi plein d'espoir, bien sûr, il aurait préféré que Brigitte vienne chez lui ce matin, mais se faisant une raison, il rentre se coucher dans son petit deux pièces.
Dans l'après-midi du samedi, le téléphone sonne chez Mickaël, il décroche et entend la douce voix de Brigitte au bout du fil. Après quelques minutes de dialogue, ils conviennent de se voir pour aller se balader sur les bords de la Loire.
C'est à peine un quart d'heure plus tard qu’elle arrive. En ouvrant la porte, l'homme détail du regard cette grande femme mince de quarante-sept ans. Près de dix ans son ainée, mais ça ne lui pose aucun souci, au contraire, il aime les femmes plus âgées que lui.
Elle est mignonne dans l'ensemble, malgré des traits un peu tirés par la fatigue, visiblement. Elle affiche un sourire un rien ambigu, et ses cheveux court lui confère un air quelque peu étrange. Elle mesure à vue d’œil un mètre soixante-dix ou un peu plus, a une jolie poitrine, ni trop volumineuse ni trop petite, un petit ventre rond qu'elle masque par un pantalon un peu ample, et des fesses un peu plates.
Dès qu'elle est entrée, Mickaël la prend dans ses grands bras et l'embrasse longuement. Très vite, il sent que ce baiser provoque un certain émoi chez la femme. Ne voulant rien précipiter, car il sait que l'attente met les femmes dans le même état d'excitation, que les hommes, il se dégage un peu, l'invite à venir s'asseoir sur le canapé et lui offre un café.
Quelques baisers plus tard, ils décident d'aller, finalement, faire cette promenade sur les bords de Loire, qui sont si beaux en cette fin d'été. La balade se déroule très gentiment, ponctuée, de temps à autre, par un arrêt pour permettre aux deux personnes de s'embrasser tendrement. De retour en fin de journée, Mickaël propose de dîner chez lui, tranquillement.
Mais Brigitte refuse poliment, assurant qu’elle doit rentrer pour le repas, de son jeune fils, qu’elle doit encore aller chercher chez sa propre mère. Mais elle assure qu’elle reviendra dès quatorze heures, le lendemain.
En bon célibataire, Mickaël sort ce samedi soir, encore deux contacts, et par deux fois, son numéro de téléphone, donnés.
Grasse matinée jusqu’à onze heures, puis, Mickaël remet son appartement en ordre, du moins dans un ordre de célibataire. Il retape le lit, qui n’est en fait qu’un bon matelas posé au sol, en réajustant la couette.
Un repas léger, devant la télé, et il attend tranquillement la venue de Brigitte. Si elle arrive en avance, il se dit qu’elle a vraiment un gros besoin de sexe, sinon ça restera à jouer.
Vers treize heures quarante-cinq, la sonnette retenti. L’homme se lève et va ouvrir la porte.
Brigitte est là, un sourire accroché à son visage, mais un sourire qui fait plus salope, que femme du monde. Elle entre, cette fois, elle arbore un tailleur un peu strict, une veste unie bleue marine, mais pas de jupe, un pantalon.
Mickaël lui offre un café, et les deux personnes se retrouvent sur le canapé à discuter.
Lors de la discussion, Mickaël se rend compte que la belle est pleine de préjugés, notamment sur le sexe. Mais pour le moment, il n’en tient pas compte, et dès le café avalé, il entreprend d’embrasser fougueusement sa visiteuse.
Brigitte se laisse embrasser, et même plus, puisque des mains parcourent son corps, et commencent même à ouvrir son chemisier.
En la déshabillant, Mickaël remarque que la belle, a un goût prononcé pour la lingerie et la dentelle. Ce qui ne lui paraissait pas être en accord, avec le discourt qu'elle avait tenu la veille. En effet, elle lui avait laissé entendre, qu'elle était une femme très sage, elle avait été mariée pendant dix ans, pratiquement sans rapports sexuels, et que depuis sa séparation, un an plus tôt, elle n'avait pas eu beaucoup de relations. Toutefois, l’homme se demandait à quoi pouvait donc bien servir un string en dentelle, si elle ne le montrait jamais.
Puis, les choses s’accélèrent, Mickaël prend la main de sa visiteuse et la conduit, dans la pénombre, dans la chambre limitrophe. Lui, retire prestement son sweat-shirt et fait glisser son pantalon pour se retrouver nu comme un ver.
Brigitte se laisse embrasser et retirer son pantalon à son tour, puis, sa culotte en dentelle, et finalement, le soutien-gorge tombe.
Mickaël guide alors sa partenaire, nue, sur le matelas. Après avoir honoré ses deux tétons l’un après l’autre, l’homme se glisse entre les cuisses menues, pour commencer un long cunnilingus.
Brigitte commence par refuser, en prétextant que ce n'était pas hygiénique, mais comme l’homme avait remarqué, qu'elle était tout de même très clitoridienne, il ne teint pas compte de cette remarque. Très vite, il la sent jouir sous ses coups de langue.
Il en profite alors, pour aller plus loin et lui donnant de temps à autre de petites claques, sur le clitoris.
À chaque petite claque, Brigitte pousse de petits cris aigus.
Mickaël n’en reste pas là. Il en profite aussi pour passer ma langue sur l’anus, qui lui paraît plutôt souple, pour le trou du cul d'une vierge effarouchée, que se voulait la belle dans ses paroles. L’homme la travaille au corps et attend qu’elle ait son premier orgasme. C'est alors qu’il la met à quatre pattes sur le lit et il la prend en levrette. Sans capote, directement.
La femme ne réclame pas, non plus, la capote, et tout à son plaisir, elle se laisse faire.
Très rapidement ensuite, Mickaël lui dit :
- Caresse-toi le clito...
- Ça va pas, non, répond-elle, d'un air mauvais.
- Branle-toi le clito, salope, que l’homme ordonne ensuite, car il n'avait pas envie de laisser cette pétasse faire sa mijaurée, alors qu'elle venait de jouir de mes caresses sur son clitoris. Et comme après dix secondes, elle ne s'exécutait toujours pas, il poursuivit :
- Mais branle-toi pétasse ! Tu aimes ça, alors ne fais pas de cinéma.
- Je ne suis pas une pétasse... Commença-t-elle alors à dire, mais tout de suite, Mickaël la coupe et continue d'un ton sec :
- Ta gueule, branle-toi et c'est tout !
Brigitte commence alors timidement à se masturber, tout en prenant la queue dans sa moule. Bientôt, elle recommence à râler de plaisir.
L’homme profite de cet instant pour lui glisser son pouce doucement dans le cul. Le sphincter est souple, il doit être habitué à laisser passer des bites. Mickaël ramone donc, de plus en plus vite, cette salope qui commence à bien se masturber et est au bord d’un nouvel orgasme, tout ne lui ramonant l’anus avec son pouce, de plus en plus fort.
Quand il la sent prête à jouir, il ressort d’elle d’un coup sec, lui agrippe la main droite dont elle se servait, et il lui dit :
- Pas si vite, d’abord, je veux t’enculer… Salope !
Cette fois, la cochonne ne fait pas de commentaire.
Mickaël crache sur son anus, enduit le sphincter de salive et amène sa queue, gluante de cyprine, devant l’œil de bronze. Il pousse doucement et fait entrer sa bite, sans qu'il n'y ait aucune résistance. Quand il a introduit toute la longueur de sa queue dans le boyau, il dit encore :
- T'aimes ça, te faire enculer ma salope, hein ?
- Oui, répond-elle dans un souffle.
Il la sent très excitée. Elle est nerveuse pour ne pas avoir joui quelques instants auparavant, aussi ordonne-t-il à nouveau :
- Recommence à te branler, salope, tu aimes tant ça...
Cette fois, elle ne se fait pas prier, pour s'astiquer le bouton, très vite, elle recommence à gémir.
Mickaël lui lime maintenant le cul sans vergogne, il profite même, de temps à autre, pour lui donner une bonne claque, sur la fesse droite.
Brigitte ne se défend pas, ni ne proteste, contre les claques qu'elle se prend.
L’homme en rajoute encore en lui disant :
- Qu'il est bon, ton cul de pétasse ! T'aimes ça, hein, te faire défoncer le cul, comme une pute...
Et comme elle continue à gémir, sans répondre, il ajoute encore, d'un ton autoritaire :
- Réponds salope, t'aimes ça te faire enculer, hein...
- Oui, lâche-t-elle à nouveau, dans un souffle.
- Tu te branles en même temps, hein ma pute…
- Oui...
Les réponses sont de plus en plus faibles, Mickaël sent qu’elle va jouir à nouveau. Il décide donc, de la faire crier, en lui limant le cul, comme un démon. Quand il sent qu'elle est prête à exploser, il lui demande encore :
- Dis-moi que tu aimes ma bite dans ton cul, pétasse.
- J'aime ta bite, lâche-t-elle d'une voix hachée.
- Tu aimes te faire enculer, hein !
- Oh oui, j'aime ça...
- Parfait, tu es une bonne pute, vas-y, laisse-toi aller, jouis pétasse.
Quand elle commence à crier son plaisir, il prend ses cheveux en main et, en tirant en arrière, ajoute, en essayant de couvrir sa voix :
- Putain que t'es bonne... Gueule plus fort pétasse, que les voisins se rendent compte, à quel point tu es une salope.
Brigitte s’écroule alors sur le lit dans un râle,
La bite de l’homme est ressorti de son cul et il voit son corps parcouru de soubresauts. Il est très content de voir avec quelle force elle venait de jouir, et, pensant qu'il faut battre le fer tant qu'il est chaud, il lui demande :
- C'était bon ma salope ?
Après quelques instants de silence, où elle reprend son souffle et que l’homme met à profit, pour s’asseoir à côté d'elle, elle finit par répondre :
- Mais, je ne suis pas une salope, tu es malade ou quoi ?
- Ha bon, fait-il faussement étonné, parce qu'enculer une nana, dès le premier soir, tu ne trouves pas que ça fait, tout de même, très salope ?
- Mais non, je ne suis pas une salope, j'ai du plaisir, c'est tout, c'est normal.
- Bien sûr, et le string en dentelle, c'est pas une culotte de salope peut-être ?
- Mais non, j'aime les beaux dessous, c'est tout...
- T'as raison, tu portes des dessous affriolants, pour ne pas les montrer, coupe-t-il tout de suite, brutalement… Puis, après quelques secondes de silence, il reprend : Les pétasses qui portent ce genre de truc, en disant que c'est seulement pour leur propre plaisir, ce sont des salopes qui s'ignorent. De toute façon, à crier comme tu as crié, je me rends bien compte que tu aimes ça, te faire piner, comme une salope.
Là, Brigitte, commence à pleurer en disant encore, mais de façon moins véhémente :
- Je ne suis pas une salope...
- Bien sûr que si, tu te branlais le clito, pendant que je t'enculais, à ton avis, ce ne sont pas les salopes qui font des trucs pareils ?
- Mais non... Commence-t-elle à se défendre, dans un sanglot.
- Mais si, tu es une bonne salope qui s'ignore, c'est tout, tu es une folle de bites, mais tu ne veux pas l'admettre.
L’homme sent qu'il fallait qu’il marque des points, ce soir même. Aussi commence-t-il à la retourner doucement et à caresser ses nichons, très vite, il plaque sa bouche sur le sein gauche et il joue avec son téton.
La respiration de Brigitte redevient celle d'une femme excitée, il en profite alors, pour lui caresser le ventre, en lui disant encore !
- Hum ! T'es bonne, ma salope...
Brigitte ne dit plus rien, elle se laisse aller à ce nouveau plaisir, qui commence à l'envahir.
S'étant aperçu qu'elle est clitoridienne, l’homme laisse mon index gauche flatter et cajoler, le bouton d'amour. Pendant de longues minutes, il lui masse le clitoris.
Et, quand elle donne à nouveau des signes de la proximité de sa jouissance, il lui administre une bonne claque sur le clito. Puis, il reprend la caresse en douceur. À chaque fois, que l’homme sent qu'elle est proche de l'orgasme, il donne une claque, de plus en plus fort d'ailleurs, sur la vulve.
Bientôt, sentant que ce petit jeu ne pourrait pas continuer indéfiniment, il lui dit, tout en appuyant encore plus ses caresses :
- Non seulement tu es une bonne salope, habillée en petite pute, mais en plus, tu es une maso, j'adore ça !
Il prend le soin de l'embrasser tendrement, sans relâcher son attention sur les caresses qu’il prodigue. Puis, pour enfoncer le clou, il poursuit :
- Maintenant, tu es ma salope, vas-y, laisse-toi aller et jouis…
Ne voulant finalement pas qu'elle jouisse trop vite, malgré ce qu’il lui dit, il cherche à attraper un pantalon, qui est près du lit, pour récupérer la ceinture. Tout en masturbant la salope, il défait la ceinture du pantalon, puis, quand il sent qu'elle commence à atteindre l'orgasme, il donne trois coups secs de ceinture sur son clitoris.
La femme ne sait plus où elle en est.
Il en profite pour lui dire encore :
- Suce-moi salope, pendant que je m'occupe de ta chatte, de pute en chaleur.
Il s’assoit sur les genoux et porte sa queue à la bouche de la belle. Intérieurement, il se régale en pensant, qu'elle va sucer cette queue, qui sort de son trou du cul. Et qui doit même encore avoir le goût de sa moule.
Il continue à la branler, de façon de plus en plus énergique, pour l'amener à nouveau aux bords de l’orgasme. Il enfonce alors sa bite dans la bouche de la pauvre femme, en lui disant :
- Suce-moi, comme une bonne pute, que tu es.
Cette fois, l’homme la laisse jouir, dès qu'elle donne les signes de son orgasme, il reprend la ceinture et lui donne encore deux coups sur la vulve.
Le pauvre femme se recroqueville sous la douleur fulgurante. Et ne suce plus son compagnon.
Mickaël, voulant tout de même jouir aussi, et alors que sa bite est toujours dans la bouche de la femme, lui dit pour finir :
- Elle est bonne cette bite, qui t'a bien enculé, tout à l'heure, hein ?
Là encore, Brigitte prend son pied. Il serait difficile de dire si ce sont les caresses sur son bouton d’amour, les coups de ceinture sur sa vulve ou les mots crus qu’elle entend, qui la font jouir, cependant, une chose est sûre, elle a un orgasme ravageur, comme jamais, elle n’aurait imaginé avoir.
C'est après un long et profond voyage dans les étoiles, que la femme revient enfin sur Terre, elle regarde bizarrement son amant, puis tombe dans un sommeil profond.