Une journée de travail fort chargée

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.
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Utilisateur supprimé 66970

Une journée de travail fort chargée

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Une journée de travail fort chargée : la surprise

En cette belle journée de début d'été, Julie arrive au travail, comme à l'accoutumée, à l'heure, vêtue d'un tailleur bleu marine, d'escarpins. En entrant dans son bureau, elle est étonnée de trouver la porte ouverte, et plus encore, quand elle voit celle de son directeur financier, ouverte, elle aussi. Bien qu'étant sa secrétaire, elle ne comprend pas vraiment pourquoi, ce matin, son chef est là de si bonne heure, surtout qu'il devrait se trouver encore à Paris, où il avait une très importante réunion de prévue. Mais comme d'habitude, elle va le saluer.
Quel choc en entrant, elle voit un homme, grand, mince, plutôt bel homme, un costume croisé strict, qui occupe le siège de son patron. En le saluant, elle se permet, tout de même, de lui demander qui il est et ce qu'il fait dans ce bureau, sans qu'elle en ait été avertie.
L'homme lui répond très sèchement, il lui explique qu'à partir de maintenant, le nouveau directeur financier, c'est lui. Que son prédécesseur a été remercié hier soir, liquidé sur le champ, évincé instantanément pour manquement à son devoir de réserve par rapport à la concurrence, qu'il risque aussi la prison et qu'il se trouve aujourd'hui en garde à vue, car il est mis en examen, dans le cadre d'une affaire judiciaire.
La pauvre Julie n'en croit pas ses oreilles. À la fin des explications de l'homme, elle fond en larmes.
Le nouveau directeur prend alors, un ton fort désagréable, pour lui dire :
- C'est bon maintenant, Madame Marte. Je vous signale que vous êtes payée pour effectuer un travail, pas pour vous appesantir, sur le cas d'un malfrat !
- Mais comment pouvez-vous dire ça Monsieur, répond alors la belle, dont les yeux sont passés du vert au rouge, toujours en sanglotant, elle continue, Monsieur Raguet est vraiment le meilleur des patrons, et un homme charmant de plus.
- Écoutez, vos relations amoureuses n'ont pas à entrer en considération pour votre travail. Et je ne suis pas là, moi, pour entendre vos gémissements, parce que votre amant vient d'être arrêté. Et que Monsieur Raguet vous fasse frissonner les ovaires, c'est votre problème, pas le mien. Si vous n'y tenez plus, allez vous tremper le cul dans une bassine d'eau froide et reprenez votre boulot, nous vous payons pour ça !
Sur le coup, la pauvre Julie devient blême, elle sent qu'elle va défaillir. Elle se met alors à pleurer, vraiment cette fois, en enfouissant son visage dans ses mains et en balbutiant :
- Vous n'avez pas le droit de...
- Suffit ! Tonne alors l'homme, sans ménagement pour la brave femme.

C'est plus que la brune ne peut en supporter, elle tombe à ce moment au sol, en perdant connaissance.
Quand elle revient à elle, elle est toujours allongée par terre, sur l'épaisse moquette, dans le bureau directorial. Le directeur est à côté d'elle, debout qui la toise. À peine a-t-elle ouvert les yeux, qu'elle entend :
- Bon, votre cinéma est fini ?
Elle met quelques secondes à se souvenir où elle est, pourquoi elle est allongée sur le sol, et ce qu'il vient donc de se passer. Puis, ayant retrouvé la mémoire, elle relève la tête et se redresse en s'appuyant sur le coude. L'homme, un air sévère affiché sur le visage dur, reprend alors d'une voix, encore plus dure que précédemment :
- Je vais être très clair, j'ai besoin d'une secrétaire efficace, je dirai même toute dévouée, pas d'une pétasse qui se pâme à tout bout de champ. Je n'ai donc plus besoin de vous, vous allez rentrer chez vous, je vous payerai votre préavis, il vous sera envoyé à votre domicile, ainsi que votre solde pour tout compte. Maintenant, relevez-vous et disparaissez !
- Mais Monsieur..., dit encore la belle, en gémissant à nouveau.
- Quoi Monsieur, coupe le directeur, de façon fort impolie, vous ne comprenez pas le français, en plus !
- Mais si, Monsieur ! Mais pourquoi me renvoyer ? Vous ne connaissez même pas mes qualités professionnelles ! se plaint encore la pauvre fille, à qui il semble que le ciel vienne de tomber sur la tête.
- Bien, vous voulez garder votre place. Ah tiens ! Dit-il, en la toisant du haut de son mètre quatre-vingt-cinq. Nous allons voir de quoi vous êtes capable alors, essayez de faire la meilleure impression possible, si vous tenez à votre job, pour le moment, je n'ai que de très mauvais à priori sur vous. Relevez-vous, c'est indécent, votre position !
La belle Julie se relève donc, elle est complètement abasourdie. Elle voit l'homme tourner les talons et aller s'asseoir à sa place, derrière le grand et imposant bureau. Elle parvient à se mettre debout, encore toute retournée par ce qu'elle vient d'apprendre, elle s'approche du bureau pour entendre :
- Et regardez-vous ! Mais qui voudrait d'une secrétaire de direction telle que vous ? Les yeux rouges, le Rimmel qui coule, les cheveux en vrac ! Et que dire de votre jupe remontée ! On voit vos bas, vous faites vraiment pute, tiens !
- Oh Monsieur ! S'exclame la pauvrette, estimant que ces reproches sont par trop injustes.
- Eh bien quoi ! Ce n'est pas vrai peut-être ?
- Mais...
- Il n'y a pas de mais qui soit !, vous avez l'air d'une vieille pute sur le retour, usée par des années de trottoir, mais regardez-vous bon sang !
Julie recommence à pleurer, en se cachant le visage.
- Bon ça suffit, dehors pétasse ! Crie alors le directeur sans ménagement.
- Mais, pitié, Monsieur, vous ne voyez pas que je suis sous le choc, de ce que vous venez de m'apprendre ?
- C'est pas une raison ! Dehors, ou alors, cessez de pleurer et reprenez-vous tout de suite.
La belle femme fait alors un effort terrible, pour se reprendre. Elle cesse doucement de pleurer, lisse sa jupe, passe sa main dans ses cheveux. Une fois cette petite remise à niveau terminée, elle essaye de soutenir le regard de son nouveau patron, par son regard franc et clair. Mais elle est vraiment mal à l'aise, face à cet homme au regard d'acier.
Luc ne parle pas, il a la mâchoire serrée, qui contracte les muscles de ses joues. Il fixe durement sa secrétaire, jusqu'à ce qu'elle baisse les yeux. À ce moment-là, il la détaille de bas en haut, en prenant son temps, puis, il dit :
- Alors, de quoi êtes-vous capable à part gémir comme une truie ?
La brune n'en croit pas ses oreilles, elle n'a jamais eu à faire auparavant, à un tel être. Ni le ton employé, ni les mots prononcés, ni les propos tenus ne lui plaisent, bien au contraire. Et pour montrer que ce type lui déplaît au plus haut point, elle ne le regarde même pas, pour répondre :
- Mais j'ai quinze ans de bons et loyaux services, dans cet établissement, au cas où vous ne le sauriez pas, Monsieur !
- Oui ! Dit-il sur un ton narquois. Puis, après quelques secondes, au service d'un voyou. Mais cela ne me dit pas, ce que je vais pouvoir faire de vous !
- Mais Monsieur… Essaye alors de placer Julie.
- Il n'y a pas de Monsieur qui tienne. Je cherche une collaboratrice efficace, qui me soit entièrement dévouée, corps et âme, sans préjugé ni à priori. Une femme qui me comprenne au millième de seconde, pas une greluche stupide.
- Mais Monsieur… Essaye encore la pauvre fille.
- Attendez, je vais être très précis puisque vous ne semblez pas comprendre mon discours. Je reçois des clients importants et je veux une secrétaire agréable à regarder ! C'est pas difficile à comprendre, je pense, ça ! Si ?
- Eh bien, pour quelqu'un qui ne veut pas une jolie plante d'appartement...
- Ça va ! crie alors le directeur, puis il enchaîne : vos sarcasmes, vous pouvez vous les coller au cul. Je veux une femme, belle à regarder, qui fasse chienne même. Que les clients que je reçois aient plus les yeux dans son décolleté, que sur les petites lignes des contrats. Et si ça ne suffit pas, qu'ils regardent alors sous la jupe, qu'ils touchent s’il faut, mais qu'ils signent. Avez-vous compris, Julie ?
Á son prénom, elle sursaute et porte alors instantanément son regard, dans les yeux fixes de son patron. Mais, ne pouvant soutenir un pareil regard, elle rebaisse les yeux, et même la tête à ce moment. Puis, fixant le sol juste devant ses pieds, elle dit, assez bas :
- Mais, pour qui me prenez-vous donc, Monsieur ?
- Mais, pour une salope, comme les autres, pour une chienne. Vous n'êtes là que pour le décor. Votre boulot, n'importe quel ordinateur peut le faire, je peux très bien me passer de vos services à l'instant même.
- Mais Monsieur... Proteste encore la jolie brune mais avec si peu de conviction...
- Maintenant, c'est très simple. Ou vous me dites oui, et on passe à un examen plus approfondi, ou vous sortez sur le champ et la société vous réglera votre dû, rubis sur ongle. Vous avez trente secondes pour vous décider.
Pendant que les secondes s'égrainent inlassablement, le cerveau de Julie fonctionne à plein régime. Bien sûr, elle est choquée d'un pareil langage, de tels propos, d'une telle désinvolture. Par ailleurs, elle sait pertinemment qu'à trente-huit ans, elle risque d'avoir un mal fou, à retrouver une place pareille, ici, elle gagne confortablement sa vie. Elle n'a de soucis pécuniaires, que ses placements en bourse. Elle a aussi le crédit de son appartement à terminer dans dix ans, celui de sa superbe voiture décapotable. Et puis, et puis, il y a toutes ces petites choses qu'elle s'offre si souvent, tous ces petits plaisirs qu'elle s'octroie sans compter. Et tout ça envolé parce qu'elle refuserait de montrer un peu ses cuisses, alors que sur la plage, elle est souvent nue. Non, et même si ce bonhomme l'effraie, s'il la répugne même, tout cela, vaut-il le coup de se priver de ces petits caprices, d'enfant gâtée. Elle en est là dans ses raisonnements, quand le patron la surprend encore, en disant :
- Trente ! Votre réponse maintenant.
La belle brune relève les yeux et tente encore de soutenir le froid regard, qui la transperce presque et balbutie en perdant, tout contrôle d'elle-même, sous le terrible coup, qu'elle vient aujourd'hui de recevoir :
- Je reste Monsieur.
- Parfait, allez fermer la porte de mon bureau alors.
Elle tourne les talons et commence à sortir de la pièce en la refermant quand elle entend distinctement :
- Non : Je ne vous dis pas de fuir, mais de fermer la porte. Nous n'en avons pas fini tous les deux.
Alors, bien à regret, elle ferme la porte et revient se placer devant son nouveau directeur, qu'elle apprécie si peu. Puis, elle enchaîne d'un ton badin et un petit sourire en coin :
- Auriez-vous besoin de quelque chose, finalement, Monsieur ?
- Mais vous n'êtes réellement qu'une stupide boite à bites ou quoi ? Je vous ai dit que si vous acceptiez il y aurait un examen de passage, que croyez-vous donc ? Que ce petit entretien, qui vous a fait tant pleurer, était un test à lui seul ? Non Mais !
Avant de poursuivre, Luc vérifie que ses paroles ont porté. Il se régale à voir la mine déconfite de sa pauvre collaboratrice.
Elle est secouée à nouveau par cet étrange pressentiment, que rien de bon ne peut arriver, avec un tel tyran. Bien sûr, son confort est primordial, mais que va encore inventer, ce monstre, pour la torturer. Et finalement, elle se dit qu'elle va peut-être le payer bien cher, cet appartement, mais que bon, n'est-ce pas primordial, d'avoir un toit ?
Et au patron de poursuivre :
- Bien, nous allons passer en revue quelques détails, qui me tiennent particulièrement à cœur. Tout d'abord, retirez votre veste de tailleur.
- Mais Monsieur, vous n'avez pas le...
- Taisez-vous ! Coupe, plus que sèchement, le directeur, puis, poursuivant son idée, continue, retirez donc cette foutue veste, je veux voir votre corps, c'est ça ou la porte, je vous rappelle !
- Mais... Commence encore Julie, en laissant ses yeux hagards se perdre dans le froid regard, qui la toise.
Puis, s'étant fait une raison, retire sa veste rapidement et la garde à la main.
L'homme se lève alors de son confortable fauteuil et vient se placer juste sur le côté de sa secrétaire, se cambre un peu en arrière et lance :
- Oui, votre poitrine semble convenir, à première vue.
Puis il se déplace et se positionne juste devant la femme, et d'un geste précis et très rapide, s'empare des deux côtés du col du chemisier, tire fortement de part et d'autre, en faisant sauter les trois premiers boutons.
Julie se rebiffe immédiatement, en essayant de bloquer le mouvement, en prenant les poignets de son patron. Puis, elle commence à l'insulter :
- Espèce de salaud...
Mais, une gifle vient la faire taire. Luc s'est tout de suite dégagé, d'un mouvement brusque, des petites étreintes sur ses poignets.
- Suffit chienne ! Lance alors le directeur d'un ton, ne laissant aucune place à la réplique. Puis, sur sa lancée : vous allez me montrer vos nichons sans votre soutif maintenant.
La pauvre femme se remet alors à pleurer en croisant ses bras sur sa poitrine. Elle baisse la tête, sans répondre, en se disant qu'elle doit faire un véritable cauchemar.
Voyant que ses ordres ne sont pas suivis d'effets, le patron despotique, sort alors un couteau suisse de sa poche, ouvre la petite lame.
Julie tremble en voyant le couteau, elle ne sait plus quoi penser et redouble ses pleurs, craignant pour sa vie, maintenant.
- Retire tes mains pétasse ! crie simplement le cadre lubrique.
Après quelques très courtes secondes, ne voyant toujours pas de réaction de sa collaboratrice, il s'empare, de sa main libre, du fin poignet droit de la belle brune et le repousse le long du corps. Ensuite, il fait de même avec l'autre poignet.
La pauvre femme n'a toujours pas de réaction, elle semble être déconnectée de la réalité.
Puis, et sans ménagement, il s'empare du fin tissu entre les deux seins, avec sa main gauche. Il glisse la lame sous le tissu et coupe aussitôt le soutien-gorge qui tombe au sol, car il ne comporte pas de bretelles.
- Voilà qui est mieux, salope.
À ce moment, il la prend par l'épaule et la fait tourner d'un quart de tour vers la droite. Il range son couteau en regardant sans cesse la belle poitrine ferme, qui se soulève au rythme des pleurs de la pauvrette. Et, enfin, il prend le sein droit dans sa main droite et le palpe, le malaxe, teste son élasticité, son velouté. Sans pudeur, ni excitation particulière d'ailleurs, le directeur finit par pincer le téton de plus en plus fort jusqu'à obtenir une réaction.
Elle crie alors, sous la douleur, en sortant de son état second. Tout de suite, elle veut se dégager, en attrapant de ses deux mains, celle de l'homme pervers.
Il cesse donc de lui torturer les seins, puis, s'étant reculé d'un pas, ordonne d'une voix terrible :
- Retirez votre jupe maintenant.
Reprenant un peu de poil de la bête, elle redresse la tête, fixe son patron, et lui répond méchamment :
- Et quoi encore !
Une nouvelle gifle, bien plus cinglante que la précédente, vient la rappeler à l'ordre. Sous le coup, elle éclate en sanglots, en mettant ses mains devant ses yeux.
Luc en profite alors pour s'accroupir, prendre à pleine main l'étoffe de la jupe, et d'un geste violent, fait glisser le vêtement sur les longues jambes, découvrant ainsi le pubis, presque glabre, et les bas blancs autofixants.
- Espèce de pute ! S'écrie-t-il alors, et vous ne portez pas de culotte pour venir au boulot !
Julie entend cette remarque incongrue. Instantanément, elle regarde ses jambes, pensant que sa culotte a dû glisser, en même temps que sa jupe, mais elle ne voit rien.
- Mais... balbutie-t-elle, d'un air de plus en plus hagard.
- Attendez là ! Ne me dites pas que vous êtes étonnée de ne plus retrouver votre culotte, tout de même.
- Mais je vous assure... Essaye-t-elle encore d'expliquer, quand elle est coupée.
- Et ça vous faisait mouiller, de venir comme ça au bureau ? et que faisiez-vous donc au juste, avec votre cher patron ?
Le directeur se régale du trouble de la femme, en cet instant. Il sait bien où elle est cette fameuse culotte, puisque c'est lui, quand Julie était évanouie, qui lui a retiré. Et pour l'heure, cette culotte est au fond de la poche droite de son pantalon.
La pauvre secrétaire ne comprend vraiment plus rien. Quelle journée, mais quelle journée ! Elle ne se rend même plus trop compte, qu'elle est presque nue, devant cet homme, qu'elle ne connaissait pas, il y a encore une heure.
Luc ne laisse pas sa proie se reprendre, aussi, en se relevant, il continue :
- Et c'est combien la passe ?
- Mais Monsieur... Essaye encore, vainement, la collaboratrice éberluée.
- Après tout, c'est vous qui avez raison, pour ce que j'ai à vous faire faire, c'est mieux ainsi, la culotte n'est pas obligatoire, après tout.
- Mais franchement, Monsieur, je suis persuadée d'en avoir mis une, ce matin !
- Et elle s'est évaporée, peut-être ! Allons donc. En fait, moi, je comprends bien que vous êtes une grosse cochonne en chaleur. Une femelle toujours prête à se faire défoncer le cul, comme une bête.
- Non, non, non Monsieur, je…
- Mais si ! et je suis sûr que vous mouillez toute la journée, et même sûrement plus, que vous ne pissez.
- Je ne vous permets pas...
- Ça suffit maintenant, vous me faites perdre mon temps. Je veux une secrétaire, pour exciter les clients, accepter tout ce qui peut les amener à signer les contrats, point barre.
- Mais ça ne va pas...
- Attendez, c'est moi ou c'est vous, qui venez travailler sans culotte ?
- Heu... C'est moi, répond alors benoîtement Julie, ne sachant vraiment plus du tout ce qui lui arrive et ne sentant pas, un instant, le piège qui lui est tendu.
- Parfait, donc c'est vous la putain de service. Il n'y a pas à en faire un drame, c'est comme ça, et c'est tout.
Pour la énième fois, elle éclate en sanglots, en enfouissant sa tête entre ses mains.
Luc en profite alors pour lui ordonner :
- C'est bon, allez-vous asseoir sur le bureau, maintenant.
Et, sans attendre une quelconque réaction, il la prend par la main et lui fait faire les deux pas, qui les séparaient du bureau. Là, le directeur la prend sous les bras et l'assoit sur le bord du bureau.
Julie est comme une poupée gonflable. Elle n'a maintenant plus de réaction. Ses yeux sont fixes et semblent morts.
Voyant que toutes ses manigances machiavéliques ont porté leurs fruits, l'homme ne se gêne plus pour écarter les cuisses de cette belle brune dont il ferait bien un petit tour de manège. Il voit avec plaisir que cette petite moule est absolument sans poils, seule, une toute petite touffe décore le pubis, mais la chatte est lisse, toute lisse.
Toujours aucune réaction de la belle collaboratrice. Elle semble être dans un autre monde.
Luc avance sa main droite vers le sexe ainsi offert. Il entrouvre les grandes lèvres à l'aide de son pouce et de son index. Il s'aperçoit que la zone est sèche, aussi, il remonte son index sur le clito et s'en empare entre ses deux doigts pour le serrer.
Sortant un peu de sa transe, la secrétaire se rend compte qu'elle est en train de se faire mettre un doigt et elle s'offusque :
- Non mais dites donc !
- Ah vous, taisez-vous ! Je vérifie vos capacités de boite à bites. Et vous savez très bien, que vous ne servirez plus qu'à ça, désormais, non !
- Mais Monsieur... Pleurniche encore la pauvre Julie sans, pour autant, faire un geste quelconque, pour protéger son intégrité.
Luc pince alors le clito, tout sec, et tire violemment dessus.
- Aïe ! crie la collaboratrice, en essayant de resserrer ses genoux.
Mais, le puissant directeur s'est installé entre les jambes écartées et empêche celles-ci de se refermer. L'effet recherché se produit alors, la chatte commence à s'humidifier, il s'en aperçoit, et alors, d'une voix terrible, il porte l'estocade :
- Et vous êtes soumise avec ça !
- Mais non Monsieur, je vous assure que non !
- Vous rigolez ou quoi, vous mouillez quand on vous pince le clito, si vous ne considérez pas ça comme être maso, que vous faut-il d'autre, alors ?
- Heu...
- Je suis certain que vous jouissez, quand on vous donne la fessée !
- Mais...
- Taratata, je n'ai pas de martinet ici, mais j'ai ma ceinture, nous allons voir ça !
Et Luc commence à défaire sa ceinture, en se reculant d'un pas. Quand la bande de cuir est sortie des passants du pantalon, il ordonne encore :
- Retournez-vous, pour me montrer votre cul de pouffiasse, vite !
- Mais vous n'avez pas le droit de...
- Taisez-vous, chienne !
Et le patron lubrique l'attrape par le bras et l'oblige à descendre, puis à se retourner. Quand elle est face au bureau, d'un geste violent, il la plaque sur le meuble. D'un coup de pied, il lui fait écarter les jambes.
- Ne bougez plus. Lâche-t-il d'un ton impérieux.
Il se déplace encore d'un pas, mais sur le côté, cette fois.
Julie ne bouge plus du tout. Elle est allongée sur le bureau, les fesses en l'air, les jambes écartées, elle ne sait plus du tout où elle est, ni ce qu'elle est censée faire.
Il lève sa ceinture très haut, puis l'abat le plus violemment possible, sur le cul rebondi de la brune.
Elle pousse un hurlement et porte ses mains sur ses fesses, comme pour les soulager.
L'homme, lui, envoie son majeur gauche dans la moule entrouverte pour vérifier l'humidité de la grotte féminine. S'apercevant que l'endroit est encore plus mouillé, que tout à l'heure, il ajoute, d'un ton salace :
- Gagné ! Vous mouillez dès que l'on vous bat. C'était pas difficile à voir, vous me direz, j'avais remarqué cela au premier coup d'œil. Vous n'êtes qu'une chienne soumise et maso, vous êtes une traînée, toujours prête, pour servir à un homme. Vous n'êtes vraiment, qu'une boite à bites !
À ces derniers mots, la pauvre brune croit défaillir. Serait-il possible que ce monstre ait raison, qu'elle ne soit qu'une femme perverse, qu'une vicieuse. C'est vrai qu'elle adore le sexe, c'est vrai qu'elle est assez chienne avec les hommes, qui lui plaisent, mais tout de même. Et, plus terrible encore, elle se rend maintenant compte que, d'être ainsi offerte à ce tyran, qu'elle ne connaît pas, l'excite d'une certaine façon.
Luc prend une main de la belle et la ramène dans le dos, puis prend la deuxième, les croise et les bloque de sa puissante dextre. Il relève alors encore sa ceinture et redonne un grand coup de fouet.
Un nouveau cri déchire la pièce, cette fois, la douleur s'ajoutant à la douleur existante, elle se débat en resserrant ses jambes et en se tortillant dans tous les sens.
Mais le patron veille au grain, il a une force phénoménale, qui lui permet de retenir cette faible femme, sans trop d'efforts. Puis, devenant de plus en plus salace, il lâche :
- Voyez, esclave, votre cyprine coule sur vos cuisses.
- Mais non ! Essaye encore de se défendre, Julie, d'une voix plaintive.
- Non ! Ah bon ! ne me dites pas que vous avez eu des escargots sur les cuisses, cette nuit, tout de même !
- Des escargots !
- Eh bien, si ce n'est pas de la bave d'escargot, c'est donc que ça vient de vous, alors. C'est bien ce que je disais !
Tout en parlant, il a passé son pouce sur la vulve qui suinte maintenant abondamment, du jus de femelle, pour l'enduire le mieux possible. Puis, sans crier gare, il enfonce son pouce dans le rectum de la pauvre femme.
Elle serre les fesses le plus possible, mais ce diable d'homme a enfoncé son pouce, aussi loin dans les boyaux, qu'il lui était permis par la nature. Elle essaye encore de se défendre, avec ses pieds.
Mais Luc, prévoyant, vient de lâcher les mains, qu'il tenait fermement et s'est emparé du joli cou. Et dans une étreinte terriblement douloureuse, pour la soumise, il plaque le visage sur le bois dur, bouche contre bureau, empêchant tout mouvement des lèvres.
- Et en plus, vous aimez vous faire enculer, comme une grosse truie ! Remarquez, je comprends, avec le nombre de bites, que vous avez dû prendre dans le con, celui-ci doit être si large, qu'on doit pouvoir y aller à plusieurs !
Il entend à peine, quelques sons étouffés, provenant de la femme docile. Elle sanglote, gémit, mais rien ne vient le détourner des buts qu'il s'est fixé. Il tourne alors le pouce, dans l'anus mis à rude épreuve, plie le doigt à l'intérieur du conduit, pour en gratter les parois, le ressort, le rentre à nouveau à toute vitesse, élargit l'entrée, par un ample mouvement de rotation.
- Salaud ! Salaud ! Réussit finalement à crier Julie, car l'homme a relâché un peu son étreinte, trop occupé qu'il est à préparer le trou du cul.
- Arrêtez votre cinoche ! Je vous en prie, prenez donc conscience que vous n'êtes sur terre, que pour servir de boite à bites, et vous vivrez mieux !
- Enfoiré... Et la collaboratrice éclate, une fois de plus, en sanglot
- Allez pétasse, vous allez venir me sucer, pour que je bande à vous faire exploser le cul après, finit par dire le patron, en relâchant le cou de sa proie.
Elle se relève lentement, ce qui a pour effet d'agacer encore son directeur, qui s’écrie alors :
- Plus vite, chienne ! Dépêchez-vous de venir me sucer, grosse truie en chaleur.
Et pour son plus grand malheur, Julie, ne sachant plus du tout quelle attitude adopter, ni que faire pour arrêter les tortures, vient s'accroupir, un genou à terre, devant son tortionnaire, qui a ouvert sa braguette et exhibe maintenant, un dard de belle taille, alors qu'il ne bande pas encore.
- Aller, sucez cette queue, qui vous fait sûrement envie.
- Mais non ! Je n'en veux pas...
- Allons donc ! S'écrie-t-il encore, en attrapant à nouveau le cou, pour faire entrer sa bite dans la bouche entrouverte. Puis, il ajoute, tout en forçant l'entrée buccale : Mais si, vous en avez envie, regardez-vous ! Vous vous êtes accroupie toute seule, sans que j'aie eu à vous le demander ! Ne me dites pas que c'est pour faire de la couture !
Julie ne peut empêcher cette grosse queue, bien propre, de rentrer dans sa bouche. Elle est même étonnée de n'avoir pas un haut le cœur, à cette introduction. C'est vrai qu'elle est bonne, cette queue, aussi commence-t-elle à prendre un tout petit plaisir à l'avoir en bouche.
Luc est ravi ! Il sent que son diabolique piège a fonctionné, à merveille. Il est heureux de voir sa secrétaire, soumise et docile, elle semble enfin prête, à satisfaire tous ses caprices, même les plus osés. Il lâche un instant le cou, pour s'emparer d'une poignée de cheveux et imprime, lui-même, le rythme de la pipe, qu'il entend qu'elle lui fasse.
Maintenant, elle pompe. Elle suce presque goulûment ce pieu de chair. Il semble même, qu'elle commence à prendre plaisir à l'opération.
- Vous voyez bien que vous aimez ça, bouffer de la queue, comme une grosse goulue que vous êtes.
L'homme, vicieux au possible, fait faire oui de la tête, à la jolie collaboratrice, qui ne peut que suivre le mouvement, puis, il enchaîne, à nouveau :
- Voilà qui est mieux, ma chère. Je dois avouer que vous passez brillamment ce premier test.
À ces mots, Julie, devient très anxieuse. Mais que va encore inventer ce satanique bonhomme ? Il n'en a pas encore assez, mais quelle nature a-t-il donc, pour être si dur, si cruel.
- Maintenant, je vais vous piner, comme une bonne putain, que vous êtes, finalement.
Là, la jolie brune s'imagine qu'elle va pouvoir faire en sorte, que son épreuve finisse, le plus vite possible. Elle s'attend à prendre cette belle queue, tout de même, dans la chatte, elle mouille d'ailleurs, à cette idée, mais elle ne veut pas faire plaisir à ce tortionnaire. Dommage, qu'il ait pratiqué de la sorte, car sinon, elle aurait bien aimé, qu'il lui fasse la cour, il n'est pas mal, tout compte fait, ce type.
Luc se remet debout sans lâcher les cheveux, qu'il a capturé. Il relève sa proie, lui fait faire demi-tour, la penche sur le bureau. De sa main libre, il prend la cuisse gauche de Julie, la plie et dépose le genou, également, sur le bureau.
Mais quelle position est-elle donc obligée d'accepter ! Enfin, elle est sûre de pouvoir le faire jouir, très vite et d'être débarrassée de l'infâme.
Il s'empare de sa queue dans sa main gauche, la guide entre les grandes lèvres, l'humidifie en la passant dans la vulve inondée. Puis, d'un geste sûr, il applique son gros gland sur le sphincter, et, avant que la pauvre femme n'ait eu le temps de réagir, enfonce toute sa grosse queue, dans les entrailles féminines.
Elle pousse un cri terrible. Elle a l'impression qu'elle vient de se faire brûler l'anus, et que son ventre va éclater, car la longue bite est venue tout au fond et bouscule tous les organes, à commencer par les reins.
- Vous sentez que je vous encule, au moins !
L'horrible patron commence, tout de suite, à limer avec un rythme très soutenu et en allant toujours, le plus loin possible.
Julie crie à plein poumon, elle sent sa tête, tiré par les cheveux en arrière et son trou du cul la brûle, comme si on lui avait mis un fer rouge dedans !
Assez vite, Luc se lasse de limer ainsi ce cul si serré, il sait qu'à ce jeu-là, il ne tiendra pas longtemps, aussi ressort-il sa queue.
La femme reprend alors son souffle en pensant qu'elle vient de passer les pires moments, de son existence, mais, combien elle se trompe !
Il reprend alors sa queue en main, et l'enfourne à nouveau, puis la ressort, et l'enfourne encore. Il joue à ce petit jeu, pendant un bon moment.
À chaque introduction, la pauvre brune, pousse un nouveau cri de douleur et de désespoir. Mais quand tout cela va-t-il prendre fin ?
- Ah oui, au fait, je n'essaye pas votre chatte, car avec tout ce qu'elle a dû voir, elle doit être bien trop détendue, pour moi.
Et il continue à faire pénétrer son gros pieu de viande, dans le petit cul, qui commence, tout de même, à être bien dilaté.
Julie a, maintenant, bien moins mal à chaque introduction. Elle se surprend même, à aimer ce jeu pervers.
- Vous aimez ça, vous faire enculer, sale pute, hein ?
La secrétaire ne veut pas répondre, et surtout, elle ne veut absolument pas avouer, qu'effectivement, elle commence vraiment à prendre goût, à ces grands coups de queue, dans le cul.
Voyant qu'aucune réponse n'arrive, il enfonce à nouveau sa bite, tout au fond des boyaux et crie :
- Allez, dites-le que vous êtes une belle enculée, allez ! Et à ce moment-là, de sa main libre, il frappe la fesse gauche, de toutes ses forces, et tire encore plus fort, sur les cheveux.
Elle crie de plus belle, mais comprenant que ses plaintes n'aboutiront à rien, avec ce tyran, elle dit, tout doucement :
- Oui...
- Non, je veux vous entendre dire, que vous êtes une enculée, allez, plus vite que ça !
- Oui...
Le monstre frappe à nouveau et tire encore plus les cheveux, en arrière.
Elle crie encore plus fort, mais voyant que vraiment, elle n'arrive qu'à avoir plus mal ainsi, elle se décide à murmurer :
- Oui, j'aime me faire enculer.
- Non, je suis Une Enculée, allez, plus vite.
- Je suis une enculée, dit-elle alors, tout doucement.
- Plus fort, je ne vous entends presque pas.
Et le démon frappe encore, la pauvre fesse déjà bien rougie, des coups précédents.
- Oui Monsieur, je suis une enculée, finit-elle par dire, assez fort cette fois.
- Encore plus fort, criez-le.
Et cette fois, elle le crie. Et finalement, elle commence à sentir, des vagues de plaisir, embrumer son esprit et envahir son corps.
Content de lui, Luc se remet à limer comme un fou. Il laboure littéralement ce petit cul. Il s'en donne à cœur joie. Mais il se dit, que cette chienne pourrait bien y mettre aussi du sien.
Effectivement, Julie est complètement passive, elle couine tout doucement de plaisir, mais se retient tout de même.
- Allez-y, lâchez-vous, criez, ne vous retenez surtout pas, laisse-t-il tomber d'une voix un peu moins dure, semble-t-il.
Néanmoins, la brune ne veut pas donner cette joie à son tortionnaire, aussi fait-elle très attention, à ne pas crier.
- Criez ! déclare à son tour le tyran, puis il ajoute en continuant son va-et-vient infernal, d'une façon ou d'une autre, vous crierez.
Et il claque encore la fesse gauche, sans retenue, tant il est mécontent à ce moment-là, puis il ordonne, d'une voix redevenue, on ne peut plus dure :
- Allez-y, gueulez, pétasse !
Et maintenant, il redouble de fureur, dans ses assauts de sodomite.
Et au bout de quelques secondes, autant soumise à l'ordre, qu'elle vient de recevoir, qu'à ses propres sens, Julie commence à chanter, de plus en plus fort.
Enfin, content d'entendre, que cette docile femelle l'écoute complètement, le directeur se laisse aller à son propre plaisir. Il lime, se déplace de quelques centimètres, à droite, puis à gauche, comme s'il voulait atteindre tous les recoins du sombre réduit. Il s'éclate, autant par les cris de plaisirs qu'elle pousse maintenant, que par son propre plaisir. Et quelle jouissance d'avoir soumis cette femelle, en si peu de temps, il est tout fier de lui.
La brune ne sait plus où elle est, elle est entièrement dévouée à son corps, à sa jouissance, elle crie de plaisir, de bonheur, maintenant, son anus étant bien rodé, elle s'envoie en l'air.
Mais, au bout de dix bonnes minutes de ce régime, Luc, sentant qu'il va jouir incessamment, se retire alors prestement et, tenant toujours fermement les cheveux de sa proie, la tire sur le côté. Il s'aide de sa main gauche, pour empoigner le bras gauche, de la malheureuse et la fait tomber du bureau, tout en disant :
- Vous allez me sucer, maintenant.
- Oh non...
- Mais si, de toute façon, si ma bite est sale, c'est de votre faute, alors...
Puis sans plus de précaution que ça, il guide sa queue dans la bouche encore entrouverte, car Julie cherche toujours son souffle, et ordonne, après l'avoir introduit sans ménagement :
- Sucez salope, aller, mieux que ça !
Et maintenant complètement soumise, la pauvre femme exécute l'ordre qu'elle vient de recevoir en suçant ce monstre, qui détient les clés de son avenir.
À peine a-t-il ressenti la bouche se refermer sur sa bite que Luc, ivre de stupre, éjacule violemment en plusieurs saccades, qui vont directement au fond de la bouche accueillante. Pour éviter toute surprise de dernière minute, il avait pris soin, de tenir fermement la tête de sa collaboratrice, avant de jouir sans vergogne.
Julie essaye d'éviter les jets tièdes de sperme, mais maintenue comme elle est, cela lui est impossible et elle se retrouve très vite avec la bouche pleine de sperme et une grosse queue en plus.
- Avalez tout, hein, pas de perte, je me donne du mal pour vous contenter, alors dégustez putain.
Elle voudrait bien faire autrement, mais coincée comme elle l'est, rien n'est possible, aussi, faisant contre mauvaise fortune, bon cœur, elle déglutit.
Son chibre devenant un peu moins rigide, l'homme vérifie, en le sortant doucement, qu'il est propre et bien net.
- Alors, grosse pute, ne me dites pas maintenant que vous n'aimez pas vous faire enculer !
- Monsieur, franchement, je ne sais...
- Allons, allons, pas de chichis, je vous prie. Vous venez de prendre un pied gigantesque, ne le niez donc pas !
- Oui, c'est vrai, mais…
- Il n'y a pas de mais qui tienne ! Vous êtes une vraie salope, toujours en chaleur, et c'est de cette capacité dont j'ai besoin, comme je vous l'ai expliqué, tout à l'heure.
- Oui, mais tout de même ! comprenez-moi, si...
- Stop ! C'est bon là ! Je le connais votre discours, mais non, vous n'êtes pas une salope, vous avez fait tout ça, par amour pour moi, etc... Non, là, je ne vous crois pas, votre véritable nature, croyez mon expérience en ce domaine, c'est d'être une folle de quéquette, une chienne, une vraie pute, un sac à foutre, Un vide-couilles, une boite à bite.
- Mais comment pouvez...
- Ne me coupez pas sans arrêt, c'est pour vous que je vous dis ça, pas pour moi !
Elle fait alors un effort pour écouter ce monstre. De toute manière, il semble bien qu'il détienne une partie des explications, qu'elle cherche tant sur elle-même.
- Vous aimez vous faire prendre, sucer, lécher. J'ai remarqué également que vous aimiez être contrainte, être obligée de faire ce que l'on vous ordonne. Tout ça n'est pas problématique en soi, la seule chose pour que vous puissiez bien le vivre, est d'en prendre conscience et d'accepter cette partie de vous-même.
- Je vous assure, Monsieur, que je ne comprends pas pourquoi, je me suis si facilement laissé faire ce matin, je ne suis vraiment pas ce genre de femme, et...
- Et patati, et patata. Mais oui, vous ai-je violée ?
- Heu... Non, mais...
- Non, bon ! Alors c'est que vous étiez consentante, et comment appelez-vous une femme, qui couche avec un homme qu'elle ne connaît pas depuis plus d'un quart d'heure, vous ?
- Eh bien... Une salope, je crois, mais Monsieur...
- Une salope, nous sommes d'accord. Alors ne me contredisez pas, quand je vous dis que votre véritable nature, est celle d'une salope, tout de même !
- Mais...
- Et que dire des cris de plaisir, que vous poussiez, quand je vous donnais la fessée ? Hum ?
- Ah non ! alors là, non !
- Non ? Ah bon, mes oreilles me trahissent maintenant !
- Non Monsieur.
- Eh bien, nous allons donc recommencer. Et sur ces derniers mots, il s'empare de la pauvre femme et la penche, en la faisant basculer sur sa jambe droite, qu'il vient d'avancer.
- Non, pitié, pitié, dit-elle en se débattant et se démenant comme une diablesse.
- Mais si ! nous verrons bien si vous avez raison, ou pas, laissez vous faire.
- Non, non, vous avez raison, j'aime ça. Mais pitié, laissez-moi maintenant, s'il vous plaît, Monsieur, gémit encore la soumise, tout en se débattant.
Le directeur la lâche alors et lui dit, en la fixant d'un regard dur :
- Donc, comment appelez-vous une femme qui jouit sous les coups ? Hein ?
- Une masochiste Monsieur, avoue finalement la belle brune, complètement perdue dans ses idées.
- Pitié Monsieur, ne faites pas ça, pitié !
- Bon, nous verrons cela une autre fois, pour le moment, j'ai un rendez-vous en ville, tâchez de ranger mon bureau, vous avez jusqu'à demain Julie.
Sur ce, Luc sort de la pièce après s'être correctement rhabillé, sans un seul regard pour sa collaboratrice.
L'atmosphère reste empreinte des cris et chuchotements de la matinée. Le soleil filtre maintenant à travers les stores. La journée s'annonce belle et chaude.
Dès qu'elle s'aperçoit de sa vraie liberté, la pauvre Julie se remet à pleurer. Mais que lui arrive-t-il donc ? Quelle est cette force qui la contraint d'une si vilaine manière ? Pourquoi tant de haine de la part de cet homme qu'elle ne demandait qu'à aider après tout ? Pourquoi a-t-elle donc joui autant à se faire sodomiser sans aucune douceur ? Pourquoi son monde semble-t-il l'abandonner ? Et surtout, surtout, qu'est-ce qui fait qu'elle prenne autant de plaisir à être traitée de la sorte ?
Elle reste prostrée pendant un long moment, sûrement une bonne heure. Au bout de ce laps de temps, toujours plongée dans ses réflexions et ayant l'impression d'avoir froid, la jolie brune attrape sa veste et la jette sur ses épaules.
Utilisateur supprimé 66970

Re: Une journée de travail fort chargée

Message par Utilisateur supprimé 66970 »

Une journée de travail fort chargée : l’erreur

Il est près de treize heures, quand la porte d'entrée du bâtiment s'ouvre en faisant tinter le carillon électronique. La femme toujours nue, ou presque, sort alors de son cauchemar éveillé, comme si la foudre venait de la frapper. Elle se dresse sur ses longues jambes et, sans réfléchir, par un réflexe automatique, se dirige vers son bureau, pour accueillir le visiteur.
En sortant machinalement du bureau du directeur, elle croit mourir en voyant Monsieur Raguet, qui est là, debout devant l'accueil, stoïque, comme à l'accoutumée.
- Mais que faites-vous donc dans cette tenue, grands dieux ! Couvrez-vous, c'est indécent !
À ce moment seulement, Julie s'aperçoit de sa tenue. Elle est là, les bras ballants, la veste ouverte, qui ne cache rien de sa poitrine, les fesses à l'air, uniquement vêtue de ses bas. Elle se remet encore à pleurer, en enfouissant sa tête entre ses mains, et a bien du mal à balbutier :
- Mais, je vous croyais en prison, Monsieur !
- En prison ! Et pourquoi donc ?
- Mais, c'est votre remplaçant qui...
- Un remplaçant ? Expliquez-vous, je ne comprends rien. Mais, que vous arrive-t-il, tout d'un coup, Julie ?
- Mais, un homme est venu, ce matin en m'expliquant, que vous aviez perdu votre travail, et que, pire encore, vous aviez été arrêté, pour malversation !
- Comment ! Mais qu'est-ce que c'est que cette histoire ? J'étais simplement en réunion à Paris, comme prévu, mais cette réunion a été annulée au dernier moment !
- Mais alors, vous faites toujours partie de la maison ?
- Mais bien sûr ! Pourquoi en serait-il autrement, je vous prie ?

Il est intéressant de noter que, bien que la secrétaire ne s'en rende pas compte, vu l'état dans lequel elle est, l'homme ne semble pas si surpris que ça, de trouver sa collaboratrice nue et en pleurs. Et que tout en discutant, il la détaille, d'un regard avide et envieux.

- C'est comme je vous le dis, Monsieur, ce matin, il y avait un nouveau directeur, dans votre bureau, Monsieur !
- Et vous avez le nom de ce type ?
- Heu... Non ! Tiens, c'est vrai, je ne lui ai pas demandé !
- Votre histoire est assez bizarre, convenez-en. Et que croyez-vous que je puisse penser quand, rentrant à l'improviste, je vous vois nue, décoiffée, visiblement vous ne vous êtes pas embêtée, ce matin !
C'en est trop pour la pauvre femme brune, elle sent bien que son vrai patron ne la croit pas, et elle comprend surtout, qu'elle s'est fait berner, par cet imposteur. C'en est vraiment trop cette fois, elle se jette aux pieds de son chef, en lui demandant pardon.
- Oui ! Et si ce fameux homme a subtilisé des documents ? hum... Je fais comment moi, dans ce cas ?
- Pardon, pardon Monsieur...
- Pardon ! C'est bien beau tout ça ! Mais vous méritez vraiment une punition ! Vous vous rendez compte, qu'il a pu voler des documents terriblement importants, voir des documents, qui peuvent mettre notre entreprise en péril ? Hein...
La pauvre secrétaire ne sait plus rien faire que de pleurer, à chaudes larmes, sur les chaussures de son responsable, en balbutiant tout le temps :
- Pardon...
- Et tout ça parce que vous n'êtes qu'une femelle en chaleur, peu vous importe notre société, du moment que vous jouissez comme une truie, tout va bien ! Hein...
Il marque une pause dans son discours pour regarder encore ce superbe corps à ses pieds, puis reprend d'un ton monstrueux :
- Venez avec moi, vous méritez une bonne correction, et je vais vous la donner, tout de suite.
Disant cela, il se baisse, l'attrape par le bras et la relève. Ensuite, Jean-Pierre la conduit dans son bureau, où sont encore restées, la jupe et le chemisier qui traînent par terre.
- Putain ! Vous avez dû en prendre un sacré coup, pour en oublier vos vêtements dans mon bureau. Mais vous ne pouvez donc pas vous retenir quelques heures ?
- Pardon Monsieur... Mais vous savez...
- Aller stop ! plus de simagrées, vous n'êtes qu'une chienne, je vais donc vous dresser. Mais je vous préviens, que cette histoire s'ébruite et je vous mène devant les tribunaux, croyez-moi, je ne plaisante pas.
- Mais je n'y suis pour rien, vraiment, je peux...
- Stop, taisez-vous ! Ça suffit ! Et si vous faites de la prison, imaginez-vous que ce sera fini, les coups de bites à tort et à travers, ça risque d'être dur pour vous... À cette dernière phrase, il a affiché un sourire sadique.
Julie rêve, ça ne peut être que ça, c'est un cauchemar et elle va finir par se réveiller, c'est pas possible autrement. Et d'ailleurs, son patron ne lui a jamais montré autant de méchanceté, ce ne peut être qu'un cauchemar, c'est sûr.
Mais, ce n'est pas du tout en rêve, que l'homme la place sur son fauteuil directorial, derrière son bureau. Il la fait se mettre à genoux sur le siège, les coudes sur le dossier.
Elle pleure toujours. Elle a les yeux fermés et essaye de penser plus calmement, mais elle n'y parvient pas.
Jean-Pierre défait sa ceinture dans un geste nerveux. C'est la première fois qu'il agit ainsi, de toute sa, déjà longue, carrière. Et finalement, il semble aussi mal à l'aise ; que sa secrétaire. Une fois la ceinture retirée, il en fait deux tourS autour de sa main et se prépare à battre sa collègue.
En ce moment, Julie, préférerait être morte. Elle est déjà presque morte de honte, elle est nue devant son vrai patron, elle s'est fait sodomiser et battre plus tôt par un inconnu, mais que lui arrive-t-il donc ?
- Prends ça salope, crie alors l'homme en abattant le cuir de toute sa force.
Ça claque sec. Tout de suite, une traînée rouge est inscrite sur les deux fesses rebondies.
Julie gueule alors comme une truie, qu'on égorge.
- Je vais te soigner, moi, tu vas voir, grosse pute en chaleur.
Et le deuxième coup s'abat, avec encore plus de violence. Une deuxième marque vient se superposer à la première.
La femme porte ses mains sur ses fesses, pour éviter de prendre d'autres coups.
- Retirez vos mains, vite.
- Pitié...
Un troisième coup s'abat alors sur le dos des mains qu'avait placées la jolie brune. Elle gueule encore plus fort, cette fois, elle a des grandes brûlures sur les fesses, mais aussi sur les mains. Dans un mauvais réflexe, elle retire ses mains et se redresse.
Le quatrième coup arrive très vite, mais comme elle a bougé, il touche le bas du dos.
- Bouge pas, pétasse !
À chaque coup de fouet, elle crie encore plus fort. Julie a déjà son postérieur sensibilisé, par le traitement qu'elle a reçu dans la matinée, là, c'est intenable.
Le directeur, y prenant vraiment goût, donne une bonne trentaine de coups de ceinture. Puis, ayant une nouvelle idée, ordonne :
- Debout connasse.
Enfin, c'est fini, arrive-t-elle encore à penser, malgré toutes les douleurs qu'elle ressent. Donc, elle se met debout de bonne grâce et se retourne vers son chef.
Celui-ci à un regard bien étrange. Il ordonne à nouveau, d'une voix complètement différente de celle qu'elle connaissait :
- Les mains dans le dos.
Julie exécute l'ordre assez rapidement, elle s'attend à d'autres réprimandes et est maintenant, prête à les accepter, car elle accepte le fait, qu'elle soit coupable.
Jean-Pierre donne une superbe impulsion, à sa ceinture, qui vient fouetter les seins, par en dessous.
Elle crie à nouveau et ramène ses mains sur sa poitrine.
- T'aimes ça hein ! Espèce de raclure.
Et voyant qu'elle a de nouveau ses mains en protection, il s'empare de son dévidoir de scotch, sur son bureau. Il laisse tomber sa ceinture et ordonne encore :
- Les mains derrière le dos, j'ai dit... Je vais te montrer qui est le maître, pouffiasse !
Sans cesser de pleurer, elle remet ses mains dans le dos.
Il joint les deux mains et entoure les poignets de ruban adhésif. Il prend cinq bonnes minutes pour faire cela, car il fait bien plus de cent tours. Ensuite, il repose l'objet, ramasse sa ceinture, la reprend comme auparavant et vient se replacer sur le côté de sa collaboratrice.
- Pensez donc que ce pourrait être les flics, qui vous infligent ce traitement...
Puis il relève le ruban de cuir et fouette, sans s'arrêter, la poitrine de la pauvre femme, pendant au moins cinq nouvelles minutes.
Heureusement que le bâtiment est désert, en se samedi, car c'est un chant tragique, fait de cris et de pleurs, que l'on peut entendre, depuis ce matin.
- Maintenant, vous allez me racontez dans le détail, tout ce qui s'est passé ce matin, dit finalement Jean-Pierre, fatigué par son exercice.
Et Julie, après encore cinq bonnes minutes passées à se calmer un peu, raconte, elle raconte en pleurant toute son aventure, tout, dans le détail. Elle a honte de tout raconter, mais le fait néanmoins. Elle ne néglige aucun détail, elle donne même ses impressions personnelles, avoue avoir joui quand elle se faisait sodomiser, avoir pris du plaisir à boire le foutre. Dans l'état où elle est, elle dit tout, sans se soucier des conséquences, tant elle est déboussolée et heureuse de pouvoir se libérer en parlant.
Jean-Pierre écoute attentivement le récit qui lui est fait. Il apprécie particulièrement les passages salaces, et surtout, les moments où sa secrétaire s'ouvre à lui, en lui dévoilant ce qu'elle a ressenti, comment elle a vécu tout ça, ce qui lui passait par la tête à ces moments-là.
Quand elle finit son histoire, l'homme se lève et annonce :
- C'est pas croyable ! Vous voulez vraiment que j'avale cette couleuvre ? tâchez de trouver mieux, la prochaine fois.
- Mais je vous jure, que ce n'est que la vérité.
- Allons, allons, un peu de sérieux. Moi, ce que je crois c'est que vous vous êtes fait prendre, comme une chienne, par un mec que vous avez rencontré il y a peu, et que ce dernier a eu envie de vous piner, dans mon bureau, oui !
- Mais non, Monsieur, je vous...
- Ça va... En attendant, c'est une très grave faute. Remerciez-moi plutôt de ne pas porter plainte, tout de suite, ça oui !
- Merci Monsieur, finit par dire Julie en baissant les yeux. Puis, toujours à demi en pleurs, elle poursuit, merci de votre gentillesse.
- Vous ressentez bien votre faute, j'espère ?
- Oui Monsieur, je suis fautive, c'est moi la seule fautive, vous avez raison.
- Parfait, alors imaginez-vous comment vous pouvez me remercier, de ne pas porter plainte.
- Heu... Je ne sais pas, Monsieur !
- Allons, un petit effort d'imagination ! Avec ce que vous venez d'inventer, comment voulez-vous que je n'ai pas le feu en ce moment ? hum...
- Oh non... Pas vous...
- Comment ça pas moi ? Là, le directeur se met vraiment en colère et poursuit : Je ne suis pas assez bien pour une pute telle que vous, peut-être ?
- Mais...
- Une pute fait ce qu'on lui demande, du moment qu'on la paye, et là, j'ai l'impression de payer fort cher, alors à vous d'être très docile, à mes caprices.
- Mais non...
- Allez, hop ! pas de mièvrerie, à quatre pattes.
- Vous n'avez pas le...
- Tais-toi chienne puante, à quatre pattes, que je t'encule comme tu aimes, en plus là, je te fais un cadeau en t'enculant, car tu viens de m'avouer, aimer ça plus que tout.
Julie éclate une fois de plus en sanglots, elle se cache la tête dans ses mains comme à l'accoutumée, une véritable autruche.
Voyant qu'elle est complètement perdue, le monstre la prend par le bras sans aucun ménagement, lui tirant encore un cri de douleur, et la jette sur le bureau.
- Serre tes cuisses, salope, allez plus vite que ça.
La femme, devenue très docile, obéit à l'instant.
- Écarte-toi les fesses !
Encore une fois, complètement soumise, elle s'exécute en prenant à pleines mains ses belles fesses rebondies et les écarte bien en grand.
- T'impatiente pas, tu vas la prendre dans ton trou du cul, ma queue, précise encore l'homme lubrique, qui a sorti son engin et bande déjà comme un âne.
Julie se dit, à cet instant, que de toute façon, après ce qu'elle a déjà subi, ce n'est plus qu'une toute petite formalité. Et c'est dans cet état d'esprit, qu'elle attend, les fesses écartées, de se faire encore défoncer le cul.
C'est sans ménagement que Jean-Pierre introduit son sexe dans l'étroit conduit. Il n'a pas lubrifié l'endroit, mais sa queue passe sans encombre, car l'anus est encore bien dilaté, par le traitement qu'il a subi, quelques heures auparavant.
Les premiers assauts de ce sexe, tout de même plus peut-être, que celui de Luc, brûlent à nouveau le sphincter. Mais cette fois, ayant subi bien d'autres outrages, la pauvre secrétaire, perdue dans ses pensées, ne se plaint même pas.
Jean-Pierre se contente de limer ce petit cul, sans trop d'originalité. De temps à autre, il ahane. Puis, sentant sa semence monter, il s'exclame :
- Oh putain, quel trou du cul tu as ! Salope va...
Maintenant la jolie et docile collaboratrice jouit à nouveau en gémissant sans arrêt. Elle s'abandonne complètement au plaisir, ce qui lui permet d'oublier ses misères.
Le pervers patron s'empare à ce moment de la pauvre femme brune, toujours par le même bras. Et, tirant de toutes ses forces sur le côté, lui fait perdre l'équilibre et la fait tomber sur le sol. La bite à la main, il vient se mettre au-dessus du visage, où se lit la stupeur, et dit, sur un ton, encore plus méchant :
- Tiens morue, je vais te doucher avec mon foutre. Regarde salope !
Et il jouit. Le foutre coule de sa queue et vient tomber, un mètre plus bas, sur le visage.
Elle en a plein partout, au bout de quinze secondes, elle a du sperme dans les yeux, qu'elle avait heureusement fermés, dans les cheveux et il y en a même, qui s'infiltre dans ses narines.
- Allez grosse truie, ramasse tout ce bon jus de couilles, avec tes doigts et suce-les ensuite.
Et encore une fois, totalement soumise, Julie exécute l'ordre qui vient de lui être intimé. Elle se sert de ses doigts, comme de petites raclettes, et ramène le foutre à sa bouche, où elle l'englouti.
Le démoniaque directeur la regarde faire et se régale du spectacle salace. Puis, ayant envie d'aller se vanter chez son ami Luc, avec qui il a monté toute l'opération, il décide de se rhabiller et dit alors, très brusquement :
- Allez, casse-toi maintenant, rentre chez toi.
- Mes vêtements, Monsieur ?
- Non, t'es qu'une pute, tu vas rentrer chez toi en pute, à poils, en espérant que tu te feras enculer encore, sur le chemin ! Et il éclate d'un grand rire sadique.
Julie va, dans cette tenue, s'asseoir à son bureau. Une fois assise, pour changer, elle se met à pleurer.
Jean-Pierre, ivre de stupre et heureux d'avoir, enfin, dressé sa jolie collaboratrice, dont il avait envie d'abuser depuis bien longtemps, sort de son antre, traverse le bureau d'accueil, sans jeter le moindre regard sur son employée et sort du bâtiment.
Utilisateur supprimé 66970

Re: Une journée de travail fort chargée

Message par Utilisateur supprimé 66970 »

Une journée de travail fort chargée : fin de service

Désolé pour la compréhension du texte, j'ai utilisé 3 points de suspension pour donner plus de vie au texte, mais l'Intelligence Artificielle (à moins que ce ne soit la Connerie Naturelle) estime que ce sont des faute d'orthographe!

La malheureuse secrétaire pleure encore un bon quart d'heure. Puis, commençant à se calmer un peu tout de même, elle recommence à cogiter sur cette folle journée, sur ce qu'elle a vécu, ce que lui a dit le fameux imposteur. Et elle se rend compte que c'est vrai, son corps aime cette violence, son cul accueille les outrages, qui lui sont faits, elle jouit dans cette ambiance plus que bizarre, où elle n'est plus qu'un objet sexuel. Et, comme on lui avait si durement fait remarquer, elle mouille, quand elle est ainsi avilie, souillée, contrainte. Et même les coups sur les fesses, bien que la brûlant sur le coup, se transforme vite en quelque chose de très agréable. Et surtout, elle tire une certaine fierté, la fierté des soumises, d’avoir enduré des choses, de plus en plus dures.
Elle pense aussi que finalement, ce monstre, mais est-ce bien un monstre, ou un homme averti qui la guide ? Ce personnage donc, a sûrement raison, qu'en fait, elle est bien plus vicieuse et esclave de ses sens, qu'elle ne voulait l'admettre jusqu'à présent. Qu'elle est folle de sexe, de perversion, d'insolite, de hard. Qu'elle aime aussi, tout compte fait, être maltraitée, être forcée à faire ce qu'elle, aime mais que la morale réprouve, elle sent que là, elle a trouvé une excuse, pour s'assumer. Ce n'est plus elle qui est vicieuse et perverse, elle est obligée de faire des choses horribles, et elle y prend un plaisir sans nom.
C'est, perdue dans toutes ses contradictions et pensées, que Julie s'aperçoit d'un coup, qu'il se fait assez tard dans l'après-midi et qu'elle n'a toujours pas déjeuné. Elle se rappelle subitement, que sa jupe et son chemisier sont restés dans le bureau du patron. Elle y va.
Elle ramasse son soutien-gorge, qui n'est plus utilisable maintenant, aussi le met-elle de côté pour le jeter chez elle. Ensuite, elle ramasse son chemisier, mais ne peut pas vraiment le fermer, car il manque les trois premiers boutons du haut. Quelle touche elle va avoir, dans les transports en communs, pas de soutif, et un décolleté digne d'une vamp d'Hollywood. Ensuite, elle met sa jupe et finit par ramasser sa veste qui, heureusement encore, lui permet de masquer un peu, le fabuleux décolleté.
Après, elle va aux toilettes, pour se passer de l'eau sur le visage, refaire son maquillage tout de même, finalement, elle quitte l'établissement, en prenant bien soin de tout fermer à clefs.

À l'arrêt de bus, elle est toujours perdue dans ses pensées et ne remarque même pas cet homme, qui est venu se coller à elle, sur sa droite.
L'homme, assez grand, bien bâti, laisse ses yeux se promener dans le décolleté, qu'il peut apercevoir. Étant plus grand que Julie, la vue en plongée, lui semble bien sympathique.
Elle est debout, droite, solidement campée sur ses belles jambes, les bras croisés comme à son habitude, quand elle attend le bus à cet endroit. Son sac à main sur l'épaule droite, tire encore un peu plus de ce côté, la veste. Si elle était moins absorbée, par ses états d'âmes, elle se rendrait bien compte que ce type louche, effrontément, sur sa poitrine.
Lui, dénué visiblement de toute gène, fixe un bon moment la naissance des seins. Il admire le velouté de la peau, il hume le parfum de cette belle créature.
Bientôt le bus arrive. Il stoppe et les deux personnes montent à l'arrière, comme tout bon abonné.
Julie s'installe sur la banquette du fond, qui est libre, à droite, près de la fenêtre. Elle regarde, les yeux dans le vague, à travers la vitre, le paysage défiler. Elle ne sent même pas, cette nouvelle présence, à ses côtés.
Bruno trouve, que cette jolie femme brune, est bien à son goût. Il la regarde, elle a les mains croisées, sur le haut de ses cuisses, cachés par la jupe du tailleur. Mais lui, en amateur éclairé, a remarqué qu'elle avait des bas, aux très légers bourrelets, qui impriment la jupe. De plus, les jarretelles marquent aussi, très légèrement, le vêtement.
La pauvre secrétaire laisse son esprit vagabonder. Elle ne sait pas si elle est bien ou mal, si elle doit s'assumer, dans le rôle qu'on lui a dévoilé ce matin, ou si elle doit se battre, contre elle-même et sa propre nature. En ce moment, elle ne fait plus attention à l'image, qu'elle donne d'elle, et est pratiquement avachie, sur le siège de Skaï. Son sac est négligemment coincé entre elle et la vitre, dénudant presque son épaule.
Le type s'enhardit un peu, au bout de quelques minutes de voyage, en se tournant vers sa voisine. Ne voyant aucune réaction, il décide alors de voir de plus près cette si jolie poitrine, qui semble bien libre de toute entrave. De sa main gauche, il s'empare du revers de la veste et le décolle de la peau, en regardant franchement, à cet endroit.
Une autre fois, Julie aurait giflé cet individu, sans autre forme de procès. Mais cet après-midi, dans l'état où elle se trouve, avec toutes les idées qui lui encombrent le cerveau, et tous ces concepts nouveaux, qu'elle vient d'apercevoir sur elle-même, elle ne réagit pas vraiment. C'est tout juste si elle a un petit mouvement d'épaule gauche, qui voudrait décourager son voisin. Mais elle laisse son regard filer, sur le paysage.
Bruno écarte alors, encore un peu plus, le tissu de la peau et dit très doucement :
- Magnifiques vos seins, vraiment, de toute beauté !
Ces paroles semblent la faire tout de même sortir de sa léthargie. Elle se retourne vers l'homme et bafouille, très surprise tout de même :
- Je ne vous permets pas, Monsieur !
- Mais c'est un compliment, Madame, dit-il encore en affichant un large sourire.
Et Julie se retourne vers l'extérieur, sans avoir repoussé cette main, qui maintient toujours le revers de la veste.
Bruno comprend à ce moment, que cette jolie brunette est une cochonne de première, aussi continue-t-il encore, toujours d'une voix douce et avec un grand sourire :
- J'ai remarqué que vous aviez des bas, ils ont l'air très jolis aussi d'ailleurs. (3 points de suspension que le système considère comme une erreur !)
La femme n'a toujours pas de réaction, apparemment.
- Je suis prêt à parier que vous êtes une sacrée coquine, non ?
- Monsieur, s'il vous plaît. (3 points de suspension que le système considère comme une erreur !) Dit-elle d'une petite voix, sans se retourner.
Bruno lâche un instant le revers, mais c'est pour mieux continuer, en plaçant sa main sur la cuisse, près de lui. Après quelques secondes comme ça, estimant qu'il est en bonne voie, il ajoute :
- Dites, vous me donnez votre culotte ?
- Je n'en porte pas. (3 points de suspension que le système considère comme une erreur !)
- Super ! J'adore les femmes coquines, qui poussent le jeu en dehors du domicile, comme vous le faites.
Le ton enjoué employé, apaise un peu les tourments de Julie. Elle se tourne vers son voisin, et dans un élan, assez difficile à décrire, lui sourit gentiment, sans arrière-pensée.
Ce beau sourire met le feu à l'homme. Se sentant compris, il se penche et glisse à l'oreille, tout doucement :
- J'adore les femmes très vicieuses. (3 points de suspension que le système considère comme une erreur !) Puis, prenant du poil de la bête, il glisse sa main sous la jupe et la relève, tout en caressant la cuisse, doucement. Il murmure encore : Ne m'en voulez pas, mais c'est plus fort que moi, il faut que j'aille vérifier, que vous n'avez vraiment pas de culotte. (3 points de suspension que le système considère comme une erreur !)
La caresse est agréable, surtout que, juste avant de ressentir la main de son voisin, elle revivait les cuisants souvenirs de la ceinture sur ses seins, encore un peu douloureux. Sans pour autant montrer une véritable envie, que tout cela cesse, elle articule difficilement :
- En voilà des manières.(3 points de suspension que le système considère comme une erreur !)
- Chut. (3 points de suspension que le système considère comme une erreur !) laissez-vous faire, je ne veux que votre bien. (3 points de suspension que le système considère comme une erreur !)
La main arrive maintenant, tout en haut des cuisses et Bruno peut donc vérifier, que cette salope ne ment absolument pas, elle ne porte pas de culotte, pas le moindre petit string, rien.
La présence de cette chaude main, la réconforte à cet instant. Quelle différence, avec ce qu'elle vient de vivre, elle se laisse aller aux caresses.
- Pas désagréable n'est-ce pas. (3 points de suspension que le système considère comme une erreur !) Poursuis encore le type aux mains agiles en flattant les grandes lèvres d'un doigt inquisiteur, mais doux.
Elle ne répond pas, mais son corps répond pour elle. Elle écarte ses belles cuisses pour laisser plus de place à cette main visiteuse et gracieuse. Elle se cambre même, tout doucement, dans un long mouvement lent.
- Ça vous plaît, hein. (3 points de suspension que le système considère comme une erreur !)
Julie ne fait que soupirer légèrement, pour acquiescer.
Bruno laisse maintenant son doigt s'insinuer entre les petites lèvres et découvrir toute l'intimité de cette femelle en chaleur, qui mouille comme une fontaine.
- J'ai les doigts emplis de votre cyprine, que c'est bon. (3 points de suspension que le système considère comme une erreur !) Dit-il encore, très tendrement.
Et ce coquin d'homme continue de plus belle. Son index est maintenant dans la grotte féminine, à en faire le tour, et son majeur est sur l'anus dilaté où, à plat dessus, il exerce une pression, comme pour le faire entrer perpendiculairement aux intestins.
Visiblement, cet individu sait y faire dans les caresses. Le bus est presque désert, mais le chauffeur, dans son rétroviseur, fait un immense effort pour voir ce qui se passe à l'arrière, sans, toutefois, pouvoir voir réellement quelque chose.
Maintenant, la jolie brune a les jambes bien écartées, le dos cambré, elle s'offre impudiquement aux doigts, quasiment magiques, de cet inconnu. Son souffle est court, elle miaule doucement, comme une chatte heureuse.
- T'aimes ça belle cochonne, hein !
Julie parvient tout juste à minauder un petit "oui" du bout des lèvres. Elle a maintenant, un doigt dans la chatte et un dans le cul, et elle se rend compte qu'elle adore ça. Elle repense aussi à ce matin, quand cet homme, dur et bizarre, lui disait qu'elle n'était qu'une femelle faite pour le sexe. Que sa véritable nature était, d'être une vraie chienne en chaleur, qui se fait prendre par tous les mâles qui passent. Et si c'était vrai finalement ? Et si, après tout, cet imposteur brutal, n'avait pas fini par découvrir ce, qu'elle-même, n'avait encore pas vraiment voulu accepter ? Les questions recommencent à se bousculer dans sa tête, mais les vagues de plaisir l'envahissent et elle articule encore :
- Oh salaud ! Continue. (3 points de suspension que le système considère comme une erreur !)
Elle fond littéralement, sous la douceur, que lui prodigue ce diable d'homme.
- Oui. (3 points de suspension que le système considère comme une erreur !) Tu es une bonne salope, vas-y, laisse-toi aller au plaisir.
Et sur ces dernières paroles, Bruno vient plaquer sa bouche sur la bouche entrouverte, de la jolie femme, et y fait pénétrer sa langue, dans un long et délicieux baiser. De sa main gauche, il va tripoter les seins gonflés, à la peau soyeuse.
Julie à l'impression qu'elle monte au paradis, surtout après cette horrible et infernale matinée. Le contraste est tel, entre ses deux bourreaux et ce délicieux coquin, qu'elle accepte de se livrer corps et âme.
- Tu me fais bander. (3 points de suspension que le système considère comme une erreur !) Murmure encore, ce mutin.
Elle ne répond même pas, elle est au septième ciel, sous les doigts magiques, qui s'occupe de ses deux trous en feu.
- J'ai envie de toi tout de suite. (3 points de suspension que le système considère comme une erreur !)
De toute manière, la belle brunette ne sait, maintenant, plus où elle se trouve. Elle a les yeux fermés et est parvenue à tout oublier, même qu'elle n'était que dans un bus.
- Viens sur moi. (3 points de suspension que le système considère comme une erreur !)(3 points de suspension que le système considère comme une erreur !)
Et Bruno relâche un peu sa nouvelle conquête, pour défaire sa braguette en un clin d'œil et sortir sa queue, toute gonflée d'envie. Puis, la prenant par les hanches, après l'avoir penchée en avant, enchaîne :
- Viens t'asseoir sur moi. (3 points de suspension que le système considère comme une erreur !)
Julie se laisse guider par cet inconnu si gentil. Elle se lève un peu du siège, sent des mains lui remonter, sa jupe sur les reins, passe sa jambe gauche par-dessus les genoux de l'homme, et vient s'installer, tranquillement, sur le vit dressé.
La bite entre et le gland va directement au fond de la matrice. La moule est bouillante et pleine de jus de femelle.
Le type ne fait aucun effort pour l'introduction, ça rentre comme dans du beurre. Dès qu'il sent sa queue tout au fond, il lâche les hanches et passe ses mains sous la veste, pour venir attraper les nichons, tout gonflé du désir, de cette belle brune en chaleur. Puis, il murmure, après quelques allers et retours :
- J'aime ce côté insolite. (3 points de suspension que le système considère comme une erreur !)
Mais, dans l'état où est la secrétaire, rien ne vient plus la choquer. Elle est à nouveau entièrement soumise, à ses pulsions sexuelles.
Cette fois, le chauffeur s'aperçoit du manège au fond de son bus et en oublie, presque, de s'arrêter à l'arrêt prévu. Un homme, entre deux âges, monte dans le bus.
Deux jeunes filles, dehors, attendant un autre bus, n'en croient pas leurs yeux, à la vue de ce spectacle, qui se déroule dans le fond du bus. L'arrière de l'engin étant surélevé, elles comprennent tout de suite, que le mec est en train de baiser cette femme, qui semble un peu plus âgée, que lui.
Le nouveau voyageur, l'instant de surprise passé, se dirige vers l'arrière du véhicule, tout doucement.
Bruno continue à encourager Julie, de ses caresses sur les seins.
Elle est penchée en avant, elle a posé ses bras, sur le dossier, devant elle et s'aide ainsi, pour lever et baisser son cul, à un rythme assez rapide. Elle a la jupe relevée, la veste entrouverte, qui laisse apparaître ses deux beaux gros seins, qui sont en train d'être malaxés de belle manière.
Il se livre, sans pudeur, à une partie de cul, digne d'un film porno.
Le nouvel arrivant est venu, pendant ce temps-là, se placer de l'autre côté de la banquette arrière et ne perd rien du spectacle.
Bruno s'est aperçu de sa présence et lance, pas trop fort tout de même :
- Ça c'est de la salope ! Hein. (3 points de suspension que le système considère comme une erreur !)
Julie, quant à elle, n'entend plus rien. Elle jouit sans vergogne, de la présence, dans sa chatte, de cette grosse bite. Elle a les yeux fermés.
Son amant lâche à nouveau les seins et vient prendre les hanches pour imprimer son propre rythme, plus soutenu cette fois.
Le voisin s'est encore approché pour mieux voir.
- Vous pouvez toucher. (3 points de suspension que le système considère comme une erreur !)
Le nouveau passager laisse alors, sa main passer sous le sein gauche, de la belle brune, et, coinçant le téton entre son pouce et son index, le pince durement.
La femme râle maintenant de bonheur. Le temps semble s'être arrêté, elle a enfin l'esprit libre, et est toute dévouée au vice.
- Je vais jouir. (3 points de suspension que le système considère comme une erreur !) Avoue alors Bruno d'une voix qui prouve la véracité de ses dires.
- Oui. Vas-y. Donne-moi ton sperme. (3 points de suspension que le système considère comme une erreur !)
- Oui. C'est ça. Viens boire mon jus de couilles. (3 points de suspension que le système considère comme une erreur !)
Et il aide la belle Julie à revenir s'asseoir à côté de lui. Ensuite, il la prend par la nuque et lui baisse la tête sur sa queue.
Elle avale le gros mandrin et se met aussitôt à le sucer, en ahanant.
Le voisin, dont les ébats lui sont montés à la tête, a sorti, pendant ce temps, sa bite et se masturbe en regardant.
Bruno fini par jouir. Il lâche la purée dans la bouche accueillante, dans un râle qui en dit long, sur le plaisir qu'il ressent. Il maintient toujours fermement la tête de sa voisine, sur son ventre. Puis, s'apercevant du manège de son voisin, annonce :
- Attendez, elle va vous sucer aussi. (3 points de suspension que le système considère comme une erreur !) Puis il guide la tête, qu'il tient toujours solidement, vers le sexe de ce nouvel arrivant, qui n'en croit pas ses oreilles. Et il ordonne gentiment : Vas-y, suce-le aussi, ma belle.
Elle est devenue complètement excitée par toute sa journée et par le foutre délicieux qu'elle vient d'avaler. Elle se laisse encore faire, passe au-dessus de son amant, les seins contre cette bite qui vient de la faire jouir, et prend cette nouvelle queue en bouche.
- Putain, qu'elle suce bien, cette salope, lâche l'homme, très excité aussi.
- M'en parlez pas, je ne la connais pas, mais pour une bonne chienne, c'est une bonne chienne !
Et pendant ce temps-là, Julie suce, suce, et suce encore. Elle aspire, caresse la pine avec sa langue, pelote les couilles en même temps, tant et si bien, que moins de trois minutes après qu'elle ait commencé, le voyageur lui déverse sa semence en bouche.
Bruno est très content de ce qui vient de se passer, il aide la belle brune à reprendre sa place et commence à remonter sa braguette.
L'inconnue rentre très vite sa bite dans son pantalon et se lève, pour aller vers la sortie du bus.
Julie est prête à recracher le sperme qu'elle a encore en bouche quand elle entend :
- Non, avale, ne recrache pas !
Soumise comme elle est maintenant, elle exécute l'ordre sans broncher en avalant tout l'épais liquide. Puis, elle essaye de se rhabiller un peu, tout de même. Et elle entend à nouveau :
- Toi, je t'emmène chez moi ! Tu viens dîner tout de suite, car tu me plais vraiment.
- Mais. (3 points de suspension que le système considère comme une erreur !) Commence-t-elle à protester, quand elle est coupée.
- Pas de mais. (3 points de suspension que le système considère comme une erreur !) Tu viens, je veux te connaître plus.
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