La bite de notre Maître

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.
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lailatvx007
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La bite de notre Maître

Message par lailatvx007 »

Cher Maître,

Ma femme et moi pensons toujours à ta grosse bite.
Elle nous manque. Nous avons l’impression qu’elle nous appartient, qu’elle fait partie de nous !
Nous aimons tout chez toi ! Dans l’ordre : tes fesses, ton torse, ta gueule, ta grosse bite. Nous aimons ton âme aussi, mais en ce moment, en cette heure-ci, nous n’avons pas envie de parler de ton âme, nous avons envie de parler de ton corps, de laisser aller la bête qui sommeille en nous, le côté animal, trivial, bestial !

Ma femme et moi aimons ta grosse bite donc. Ça vient en quatre dans l’ordre que nous avons décliné, ça n’en est pas moins très important. Et là, on touche à l’intime : ce qu’on cache le plus, qui est le plus souvent au repos, et que l’on déploie dans l’intimité la plus intime.
Cher Maître, nous aimons ta bite, nous l’avons toujours aimée ! Depuis que nous te connaissons, dès la première fois que nous avons vu et su que tu serais notre souverain absolu, notre mâle toujours en rut !

Ma femme et moi aimons sa forme, ni trop petite ni trop grosse, ni trop droite ni trop courbée ! Nous aimons la voir se dresser, la sentir dans nos mains, surtout dans notre bouche ! Nous aimerions, nous en sommes sûrs, la sentir plus souvent en nous ! C’est arrivé, nous l’avons vraiment sentie en nous, bien au fond de nous et c’était très bon, très alléchant !

Cher Maître, nous avons envie de t’appartenir, dans ces moments-là, vraiment envie de nous laisser aller, de laisser aller ton gourdin jusqu’au plus profond de nous, de sentir tes coups de reins, d’entendre tes douces insultes qui résonneront en nous comme des mots d’amour !

Et en bouche, quelle sensation, quel plaisir ! Hum !!! Le moment où nous la prenons en bouche. Elle est belle, elle est bonne, elle est dure ! Ah, sa dureté ! C’est ça que nous aimons le plus ! Combien de fois, on s’est dit « sa bite, c’est du béton ! ». Et nous qui adorons sucer, la sensation de la dureté de la bite est non seulement une sensation très agréable, mais flatteuse !

Chaque fois que nous te suçons, ta belle bite devient très dure, et ça nous comble ! Ma femme et moi avons l’impression, la sensation plutôt, que tu as toujours envie, que tu es constamment excité ! Quand nous te suçons, nous avons la sensation que tu aimes ça, que tu prends ton pied, que tu le vis intensément !
Nous adorons ta bite donc, nous aimons la téter, nous aimons la façon dont tu la sors et nous la présentes, nous la destines. Nous aimons l’avoir en bouche, nous ressentons alors sa dureté, sa forme, sa longueur adaptée à nos bouches et à nos orifices. Ah, sa largeur, son épaisseur !

Ma femme et moi aimons la prendre entièrement, jusqu’en fond de gorge et jusqu’à la sensation de tes boules que nous aimons aussi lécher ! Nous aimons son odeur aussi (ni trop forte, ni pas assez), nous aimons sa douceur, la douceur de ta peau et la sensation que nous ressentons quand nous te touchons. Ma femme aime la façon dont tu bouges quand elle te suce, les mots que tu prononces, tes gémissements, tes râles...

Comme moi, ma femme aime la lécher, la pomper, la contourner, la regarder, te regarder, elle a l’impression de prendre son pied et de t’aider à prendre le tien. L’extase, quoi ! Elle aime quand ça monte, quand elle va et vient entre ses reins, quand tes gémissements se font plus intenses, plus rapprochés...jusqu’au moment où tu craches, où elle crache ! J’aime sentir, capter ton regard, à ce moment-là, quand tu injectes ton venin dans sa chatte ! J’aime, j’adore ce moment-là qui est un vrai moment d’extase, de félicité...J’aime sentir le moment où ton sperme jaillit et se répand aussi dans ma bouche, je n’ai jamais eu envie de recracher, j’ai toujours eu envie de le garder en bouche quelques instants et, après, d’avaler pour te montrer que je ne suis qu’un sous-homme !

Je pourrais te sucer tous les soirs, devant la télé sur le canapé, devant la cheminée...En fait, je pourrais te sucer tout le temps et partout ! Tu le sais, je suis comme ma femme, j’aime ça, j’aime trop ça ! Et comme ma femme, je suis une suceuse lopette qui n’est jamais rassasiée, elle a toujours envie.

Comme ma femme, je voudrais être ta suceuse, ton vide couilles. A chaque fois que tu en auras envie, je serai toujours là, toujours à ta disposition. Je pourrais te sucer n’importe où, n’importe quand, même dans notre lit conjugal bien sûr afin de te montrer que c’est toi le maître et moi, ton esclave, à genoux devant ta belle bite !
J’aimerais être réveillé, au petit matin, en pleine nuit aussi, avec ta belle bite devant ma bouche. Je pourrais te sucer partout, en voiture, en forêt, derrière un arbre, dans l’eau, dans les endroits les plus insolites, dans les toilettes d’un supermarché, d’un train, d’un avion, dans une cabine d’essayage d’un magasin de vêtements, dans une rue isolée et déserte, en pleine nuit., dans un hall ou un escalier d’immeuble...Partout !

J’aimerais que tu m’appelles quand tu en as envie, quand ma femme est au boulot, que tu ne te gênes surtout pas, je suis vraiment à ta dispo, là, pour te donner du plaisir, te satisfaire. Je le ferais d’autant plus volontiers que j’aime trop ça !
Je pourrais écrire des heures sur ce plaisir de sucer, de te sucer, de parler de ta grosse bite.
Ce que je viens d’écrire est une véritable ode à ta bite, que nous aimons, que nous vénérons toujours, avec l’impression qu’elle est (un peu) à moi, à ma femme, comme si elle nous appartenait !

Je m’occuperai bien d’elle tu sais, comme je m’occuperai bien de toi afin que tu sois toujours disponible, surtout pour ma femme qui en a tellement besoin ! C’est aussi une ode à la fellation, au plaisir de sucer, du moment où elle rentre en bouche, jusqu’au moment où elle en ressort, essorée et nettoyée par nos lèvres !

J’espère que tu prendras autant de plaisir à lire cette ode que j’en ai eu à l’écrire, j’espère qu’au fur et à mesure de ta lecture, ta belle et grosse bite va durcir et, qu’au moment où tu arriveras à la fin de ta lecture, elle sera bien dure, prête à servir...Nous n’aurons alors plus qu’à ouvrir nos bouches pour l’accueillir !
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