Découverte du bar à entraîneuses

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.
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Découverte du bar à entraîneuses

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Découverte du bar à entraîneuses

Ce jour-là, un bel après-midi de printemps, Michel emmène Sophie, sa compagne soumise, dans un endroit inconnu d’elle. Il lui a demandé de lui faire entièrement confiance, et elle, en bonne soumise, fait effectivement confiance à cet homme, qu’elle sait pervers et vicieux, mais qu’elle sait aussi, très amoureux et donc sait, qu’il ne la mettra pas en péril.
Sophie est vêtue d’une robe assez longues, sous laquelle seuls les bas sont présents, aucune culotte, comme bien souvent, ne vient ternir ce joli et délicieux tableau.

Dans la voiture, la discussion tourne autour des salopes, qui aiment se faire prendre n’importe où, et qui sont toujours prêtes à se faire prendre, par exemple, comme Sophie, en ne portant pas de culotte. Les joyeux compères discourent donc gaiement, quand Michel fini par garer la voiture, dans une ruelle du vieux Tours.
Sortant de la voiture assez rapidement, il vient ouvrir la portière de sa soumise et la prend par la main, pour l’aider à sortir, elle aussi, du véhicule. Après avoir verrouillé les portières, l’homme prend la main de sa compagne et part, en marchant d’un bon pas.
- Mais où allons-nous donc ?
- Pour le moment, c’est encore une surprise, aussi attend un peu que nous soyons arrivés, cela ne tardera plus maintenant.
Sophie n’est pas particulièrement heureuse de la réponse, toutefois, elle accepte cela et se laisse guider par son maître. Quelques pas plus loin à peine, au tournant de la ruelle, avec la rue un rien plus importante, elle sent sa main être plus serrée.
L’homme stoppe devant une grande porte, avec une poignée imposante, qui couvre presque la moitié de la hauteur de l’ouverture, il pousse alors la lourde porte et entre dans une pièce assez sombre, où une ambiance musicale douce règne.
Sophie a fait bien attention en entrant, car le sol est glissant, et lorsqu’elle a soulevé sa bottine, pour mettre son premier pied dans l’établissement, elle a tout de suite senti, qu’elle aurait du mal à se tenir bien droite, tant l’adhérence était faible. Cependant, s’accrochant encore un peu plus à son homme, elle avance à petits pas rapides, dans la pièce, où elle a un peu de mal à voir le décor, tant le changement de luminosité vient de l’aveugler.
Michel s’arrête au comptoir en zingue, toujours tenant fermement sa soumise, et, après un bref salue à la barmaid, lui demande d’une voix assurée :
- Votre patron, Guy, n’est pas là aujourd’hui ?
- Vous connaissez Guy ? demande la jeune femme, en s’approchant du couple et en laissant là, ses deux copines qui discutent, elle aussi, dans le fond de la pièce, tout au bout du bar, et qui dévisagent ce curieux couple, qui vient se perdre dans cet établissement.
- Oui, et il m’a assuré qu’il serait là cet après-midi, pouvez-vous l’appeler, s’il vous plaît, c’est Michel qui le demande.
- Bien Monsieur, il est dans le logement juste au-dessus, je vais le chercher…
Michel, se tournant alors vers sa compagne, lui demande tout de go :
- Sais-tu où nous sommes maintenant ?
- Non….
- Dans un bar à putes en fait, on dit plutôt un bar à entraîneuses, mais moi, je préfère dire un bar à putes, c’est plus proche de la réalité…
Sophie se met à trembler doucement, elle est terrorisée mais n’ose pas le dire tout de suite à son maitre, trop peur que celui-ci pense alors qu’elle ne lui ferait pas assez confiance. Cependant, l’angoisse montant au bruit de pas venant de l’escalier, qui descend de l’appartement dont parlait, juste à l’instant, la barmaid, la pauvre femme ne peut s’empêcher d’avouer, tout doucement, à son homme :
- J’ai peu mon amour…
- Tu me fais confiance, non ?
- Oui, mais j’avoue que j’ai peur de ce que tu as pu imaginer pour moi…
- C’est ta punition pour ne pas m’avoir avoué tout de suite, que tu t’étais fait prendre dans le bar de la galerie marchande, par ce beau et séduisant jeune homme… Tu as bien des droits, mais aussi le devoir de m’avertir de toutes tes turpitudes…
Mais sur ces mots, entrent dans la pièce, la barmaid, suivi de Guy, le patron de l’établissement, un grand homme dans la force de sa quarantaine, habillé d’un complet veston de bonne facture, et de chaussure en cuir fin, donnant plus l’image d’un gentleman de la City que d’un tenancier de bar à putes ! D’une voix puissante, il lance à Michel, qu’il reconnaît instantanément :
- Bonjour cher ami ! Te voici donc avec ta salope, pour voir si cette pétasse peut trouver un emploi, dans ma maison, non ?
- Oui tout à fait Guy, bonjour…. Je sais que le gros du boulot est d’accompagner et de faire boire les clients… Et à ça je n’y tiens pas, car ma salope ne boit pas et je ne veux pas mettre sa santé en jeu.
- Ha ! Au mieux, je peux la faire bosser, dans l’arrière salle du haut, en deuxième main, pour les clients très vicieux et prêt à aller plus loin que les autres…
Sophie tremble de plus en plus, certes, elle fait confiance à son homme, certes, elle sait que l’amour qui lui porte est immense, mais là, entre les propos étranges de cet homme peu engageant, les mots durs qu’elle entend sur elle et la côté lugubre des lieux, elle s’inquiète tout de même.
- Tu sais Guy, elle ne boit pas et ne tient pas l’alcool, ça, c’est évident, mais je peux t’assurer qu’elle suce divinement bien, sait vraiment y faire dans la pipe, et a une chatte agréable et un trou du cul très accueillant…
- Montre-nous un peu ça alors, s’il te plaît, répond du tac au tac le vicieux patron.
Se tournant alors vers sa soumise, dont il sent les tremblements, Michel dit alors, en lâchant la main de la femme, alors que celle-ci lui sert les doigts de plus en plus fort, d’une voix ferme :
- Va vers Monsieur Guy et montre-lui ton trou d’enculée…
- Mais… Commence à dire la pauvre femme, n’osant pas lâcher la main de son homme, pour aller vers cet inconnu étrange.
- Tu es bien Mon Enculée n’est-ce pas ? Quand je t’encule et que je t’ouvre le cul, tu aimes bien à avouer que tu es mon enculée, n’est-ce pas ?
- Oui… Mais…
- Hé bien alors, Mon Enculée chérie, tu vas devant Guy, tu te retournes, te penches en avant, tu relèves ta robe et tu lui montres ton trou du dimanche, comment on l’a encore bien ouvert, de ce matin même !
Ne sachant que répondre, comme dans un rêve, la belle se déplace et vient devant l’homme. Là, elle se retourne, se penche en avant doucement, et relève sa robe, en soumise bien obéissante.
- Joli trou du cul effectivement ! Elle est bien ouverte et semble bien pouvoir accueillir du gros, j’avoue qu’elle paraît être une bonne enculée… Et tu dis qu’elle suce bien ?
Guy a commencé de devenir un peu rouge, sous l’excitation de ce joli cul sous son nez, il en mettrait bien un bon coup pour le tester, mais il préfère jouer son rôle de patron et marquer ainsi, à Sophie, mais aussi aux trois autres filles, présentent dans la pièce, qu’il assure en toutes circonstances ! Toutefois, il a très envie de se faire sucer par cette jolie femme mûre qui semble être bien vicieuse malgré ses petits airs de sainte-nitouche.
- Ma salope, retourne-toi et suce Monsieur Guy, pour montrer que tu es une bonne salope soumise, bien experte en pipe, comme je lui ai dit par téléphone…
Cette fois Sophie ne rechigne pas et se remet debout en laissant sa robe retombée. Elle se tourne doucement, puis s’accroupit devant la braguette de l’inconnu, qui est en train, justement, de sortir sa queue, qu’elle devine déjà fort imposante, une vraie pine de macro !
- Tu vas me faire voir tes talents de suceuse de bites… Parait que les vieilles salopes, sucent mieux encore avec l’âge… Puis l’homme prend doucement la tête de la soumise et la guide vers son gros sexe, qui commence déjà à bien durcir.
Sophie ouvre sa bouche et happe le membre gonflé et qui a un peu de mal déjà à entrer dans sa bouche. Elle commence à sucer le pieu de chair, en faisant bien attention, à ce que ces dents n’égratignent en rien, la douce peau de cette pine, qui sent bon le frais.
La douceur de la bouche de Sophie, fait tout de suite effet à la queue de Guy, déjà en discutant sur internet avec Michel, les petites photos qu’il avait vues de la belle, lui avait donné envie de ce la taper. Mais maintenant, alors qu’il vient de voir son cul ouvert, comme Michel lui avait dit, et qu’il a aperçu cette petite moule, dont les petites lèvres dépassent de façon si délicieusement obscène, il commence à avoir une grosse envie de la bourrer, comme une de ces pseudo-putes, qu’il emploie généralement. Il sent sa queue durcir et durcir encore, dans cette bouche effectivement experte.
Sophie commence à oublier le lieu et le moment tant cette queue lui paraît grosse. Sa chatte devenant de plus en plus mouillée, elle sent même la doucereuse odeur de son excitation, emplir ses narines. Presque machinalement, elle porte sa main droite à sa chatte.
Michel ne perd rien du spectacle. Il est venu se placer derrière sa salope et l’observe avec minutie. Quand il voit que sa soumise porte sa main droite à sa chatte, il se relève et ordonne d’une voix claire :
- Vas-y… Branle-toi comme la bonne salope que tu es…
- Ha ! Elle se branle en plus, quand elle suce, ça c’est un bon point, lâche laconiquement Guy, tout en prenant son téléphone portable dans la poche de son veston.
- Oui, je lui ai appris à se branler parce que ça excite les mecs, une salope qui se branle quand ils l’enculent, ou quand elle suce…. Mais je veille tout de même, car parfois, elle se rebelle !
- Avec leurs maîtres, souvent les femelles se rebiffent, pour essayer de voir jusqu’où elles peuvent aller, avant la punition, mais avec moi, t’inquiète pas, elle ne se rebiffera pas, si nous faisons affaire !
Sophie n’écoute plus la conversation des deux hommes, tant cette grosse queue, qui lui remplie la bouche, lui donne une furieuse envie de se faire prendre, là, tout de suite, maintenant, et peu importe, s’il y a des gens qui la voient. En ce moment, sa chatte coule de plaisir et elle veut se faire remplir, comme une vulgaire chienne en chaleur.
- J’appelle mon associé Marc, c’est lui qui teste toutes les pétasses qui me sont amenées…. Il est encore jeune et a toute la vigueur pour ce genre de job !
Les deux hommes se regardent d’un œil complice. Michel très fièr de sa salope qui se comporte vraiment très bien, Guy par cette pipe délicieuse et par la qualité de cette recrue, même s’il sait que la femme ne sera pas à son entière disposition, mais qu’elle ne sera qu’en prêt.
- Allô… Oui… Comme prévu…. Oui la salope est là… Oui comme tu aimes, mûres, le trou du cul bien ouvert… Cinq minutes, le temps de descendre et de traverser la rue, ok, nous t’attendons Marc.
Sophie se branle le clitoris avec de plus en plus de plaisir, elle sent bien cette grosse masse, dans sa bouche, toute dure, donner quelques signes de plaisir prochain, mais elle est maintenant tellement prise par l’ambiance. Sucer cette énorme queue, d’un inconnu qui plus est… S’entendre traiter de salope, de chienne, il ne lui manque plus qu’une bonne pince, sur les tétons et elle va jouir, sans autre forme de procès.
- Ho putain, elle va me faire jouir cette pétasse ! S’écrie bien tôt Guy, sentant le foutre, monter en pression dans ses couilles. Il laisse son portable de côté et s’empare de la tête de la femme, à deux mains.
- Te gêne pas, elle sait qu’elle doit tout boire et ne pas en perdre une goutte… De toute façon, elle aime ça, boire le foutre tout chaud ! Précise Michel, en venant derrière sa soumise, pour lui pincer fortement le téton droit, celui de la salope en chaleur. Il sait que le mélange de douleur et d’excitation, va faire que Sophie va arriver au bord de l’orgasme, ceci dit, il se réserve le droit, de la laisser jouir ou non.
Dans un grand râle, Guy jouit en grosses saccades, bien copieuses, de foutre chaud, qui vient remplir la bouche de Sophie. Elle s’astique, de plus bel, son clitoris. Elle est au bord de l’orgasme, quand elle entend, la voix de son maître, lui ordonner :
- Tu ne jouis pas ma salope… Tu donnes du plaisir aux hommes, tu es une bonne boite à bites, mais tu ne jouiras, que quand je te le permettrai…
Quand Guy commence à reprendre ses esprits et fini par lâcher la tète de la femme mûre, qui vient de le sucer divinement, il se tourne vers Michel, le fixe un instant, comme ébahie, puis il laisse tomber, tout de go :
- Ta pute est vraiment une experte en pipe !
- Je te l’avais bien dit, répond le maître de la salope, tout fièr que sa compagne vienne de passer, haut la main, le premier test.
- On va boire une coupe pour arroser ça, dit alors le patron, tout en repoussant la femme, accroupie devant lui, qui semble en transe, elle aussi.
Puis, se tournant vers la barmaid, en train de discuter avec ses deux copines, au fond du bar, il ordonne :
- Sonia, viens nous servir deux coupes, et du bon, tu prends le mien, pas celui des clients…
Quand la jeune femme vient apporter les deux coupes, Michel se tourne vers sa compagne et lui ordonne alors :
- Bien, ma pute, relève-toi et reste debout au coin du bar ; tu vas avoir un autre test, d’ici peu…
Sans rien dire, Sophie se met debout, ajuste quelque peu sa tenue, sa robe de soumise retombe sur ses cuisses, alors que le pan arrière, lui, reste bien relevé, laissant toujours la femme accessible, par l’arrière. Elle ne sait plus quoi penser, elle est excitée au possible, par cette ambiance si bizarre, aimerait pouvoir jouir, car sa chatte devient presque douloureuse, à ne pas avoir eut le droit de se laisser aller à l’orgasme, quand elle suçait cette grosse bite, si agréable. Et en même temps, elle s’étonne de ce qu’elle est en train de faire, pour son homme, son maître lui demande de faire la pute, et elle se laisse faire et mieux encore, va au-delà des espérances de ce dernier. Elle ne se comprend pas vraiment, mais tout compte fait, elle aime ce moment pervers et vicieux, durant lequel elle s’abandonne totalement. Et puis, si on regarde bien, elle ne fait que subir les tourments de son maître, d’elle-même, jamais, pense-t-elle, elle n’aurait fait pareille chose !
La grande porte d’entrée s’ouvre alors. Un homme de près de deux mètres, blond aux cheveux longs, les yeux d’un bleu profond, portant un jean taille basse, qui lui donne encore l’air plus jeune, et une chemisette bleue, dont les tons rappellent ses yeux. Dès la porte franchie, et tout en la refermant, l’homme lance un joyeux :
- Salut les pétasses…
Puis se dirige, d’un pas décidé, vers l’entrée du bar, où se trouve Guy et Michel, qui viennent de suspendre leur conversation. Et où aussi, Sophie se tient debout. Sans un regard, ni aucune attention à cette femme, dans cette tenue pourtant très parlante, Marc, tout en donnant la main, d’abord à son associé Guy, puis à Michel, demande à son ami :
- Alors, il y a une nouvelle pouffiasse à tester ?
- Oui, elle vient de me vider, correctement, les couilles, avec sa bouche. Mais je veux savoir, si côté chatte et côté cul, elle vaut aussi le coup… Et, prenant Sophie par la main, confie la femme à son associé, en ajoutant encore :
- Tu lui fais la moule et le fion, et tu me dis quoi après, ok ?
- Pas de soucis, cher associé… Sans un mot pour la pauvre femme, l’homme s’empare fermement de la main, qu’on lui confie et tire sa proie à sa suite.
Il tourne tout de suite à l’angle du bar, passe par une porte, qui donne sur les toilettes. Là, à gauche, il y a les toilettes fermées par une autre porte, et sur la droite, un escalier de cinq marches qui donne sur une salle, peu éclairée. Une salle avec des alcôves, qui ferment avec des rideaux rouges, des banquettes très basses et des tables tout aussi basses. L’homme emmène sa proie, directement, dans l’alcôve en face de l’escalier. Puis, sans ménagement, d’un geste sûr, fait glisser les bretelles de la robe, le long des bras, et met la femme torse nu, ses seins lourds tombants harmonieusement. Il se penche ensuite, s’empare du bas de la robe et le remonte, haut sur les hanches. Puis, d’une main toujours aussi sûre, attrape la nuque de la femme, qui se laisse faire et entraîne sa proie, pour l’allonger sur la table basse, les seins directement en contact, avec le meuble, qui semble un peu froid.
Sophie n’ose pas dire un mot, son esprit est totalement embrumé, certes, elle rêvait de ce genre de choses, et est heureuse, d’une certaine façon, que cela se produise, toutefois elle a aussi une certaine peur, car elle sent surtout que cet homme n’est pas là pour jouer, mais que c’est vraiment son job que « d’essayer » des filles. Elle comprend, qu’elle a là, affaire à un véritable maquereau
- Pas de culotte, pas de soutif… Bien… Je vois que ton mec a bien commencé ton dressage. Allez, branle-toi un peu la chatte. Montre-moi un peu si tu es mouillée, sinon tu restes comme ça.
La pauvre Sophie ne sait plus trop où elle est, c’est comme dans un rêve.
Marc, le testeur, défait sa braguette. Il ne porte pas de sous-vêtements. Il s’empare d’un cousin d’un fauteuil à côté, le pose juste sous le cul de la femme, et s’agenouille derrière le cul offert.
Après s’être astiqué le manche d’une main experte pour le faire bien durcir, il sort un préservatif de sa poche, en arrache un coin avec les dents, et enfile la protection « King-size » sur son énorme membre. Puis, une fois sa queue emballée, il la place juste à l’entrée du vagin, agrippe les hanches de la femme, de ses mains puissantes et pénètre le sexe offert, sans autre forme de procès.
Il commence à limer la belle sans aucune fioriture, sans aucun sentiment, sans aucune marque d’attention, quant au plaisir de la pauvre femelle, qui néanmoins, se met à ahaner.
Pendant plus de dix minutes, Marc lime consciencieusement, un coup rapidement, puis plus doucement, puis à nouveau énergiquement, sa queue entre et sort, se faufile dans les petits coins, arrachant toujours plus de cris à Sophie. La tenant toujours de la même façon par les hanches.
La femme prend un grand plaisir, à cette partie fine, si spéciale. À chaque poussée en avant de l’énorme pieu de chair, elle pousse un cri rauque, et prend une grande goulée d’air frais, quand l’homme recul son membre de son ventre. Est-ce l’endroit, le moment, le fait d’avoir sucé le patron du bar devant d’autres femmes ou encore le fait d’être prise comme une pute. Bref, elle ne sait plus trop ce qui l’excite le plus, toutefois, elle sent sa cyprine s’échapper de son sexe à gros flots, et, elle s’étonne elle-même de ne pas en avoir honte. Elle jouit de plus en plus fort
Michel entend sa compagne couiner dans la pièce à côté. Il en fait la remarque à Guy, le patron :
- Tu l’entends gueuler l’autre morue ?
- Faudrait être sourd ou être en panne de piles dans le sonotone !
Les deux hommes rient de bon cœur, puis Michel ajoute, en se dirigeant vers la porte, qui donne accès à la pièce, où se trouve Sophie et Marc :
- Je veux voir comment ton poulain s’y prend, pour la faire couiner de la sorte !
Dans l’embrasure de la porte, donnant accès aux toilettes et à la petite pièce du haut, les deux compères regardent le jeune homme, en train de besogner copieusement, une femme allongée sur une table basse, devant lui. D’où ils sont, ils ne voient que le dos et les fesses du jeune homme et très peu de la femme, mais ils profitent, maintenant, encore mieux, des cris de la belle.
Puis, s’enhardissant encore, Michel lance à Marc :
- Essaye-lui aussi le trou du cul, pour que nous puissions avoir ton avis de spécialiste.
Comme Marc se retourne légèrement, tout en continuant de limer copieusement la femme, il demande :
- Tu as du gel pas loin ?
- Non, lubrifié avec sa cyprine suffira, de toute façon, tu dois bien te rendre compte, qu’elle mouille comme si elle pissait, non ?
- Oui… OK… Dit simplement le jeune homme.
Comme si tout ça n’était, finalement, qu’un boulot, sans aucun plaisir, machinalement, Marc lâche la hanche droite de la femme et se sert de son pouce droit, devenu libre, pour l’insérer dans le trou du cul, testant ainsi le sphincter.
Le pouce pénètre aisément l’anus, non sans que la belle femme mûre, ne fasse un petit mouvement de retrait, en serrant un peu ses fesses rebondies. Mais dès que le pouce est entièrement entré, elle se relâche à nouveau et continue d’apprécier les coups de boutoirs, qui lui vrillent le ventre. Elle gueule son plaisir, de plus en plus fort.
Tout de suite après, Marc retire prestement son pouce, retire sa grosse queue du vagin en feu, place son gland contre le sphincter en appuyant légèrement et ordonne à Sophie, d’une voix grave et puissante :
- Astique-toi bien le clito, je vais t’enculer, à t’en faire péter les yeux…
D’un coup sec, il fait entrer son membre gonflé dans l’anus, qui n’oppose que très peu de résistance.
La belle pousse un cri, plus de surprise, que de douleur véritable.
Marc enfonce sa queue le plus loin possible, jusqu’à ce qu’il la sente buter, au fond du ventre et que la femme fasse un mouvement, comme pour se défaire de cette emprise anale.
Sophie est étonnée d’elle-même, d’abord, elle ne pensait pas, qu’une telle bite puisse rentrer dans son cul, et surtout, que cela se passe aussi bien, sans douleur insupportable, tout au plus a-t-elle une petite impression que quelque chose pousse ses organes internes et déplace tout ça de façon anarchique, mais aucune douleur ne vient de son sphincter.
L’homme commence ses grands et amples coups de lime, les premiers sont lents, puis il accélère, faisant crier de plus en plus fort, la femme allongée devant lui. Il ordonne encore :
- Branle-toi le clito salope…
Sophie ne se fait pas prier, elle avait déjà un doigt sur son clitoris, qui tournait de plus en plus vite, maintenant, c’est toute sa main gauche, qu’elle laisse frotter le bouton d’amour turgescent. Le mélange des plaisirs lui arrache de plus en plus de cris.
Après quelques minutes de ce traitement, durant lequel l’homme, à nouveau, alterne les aller-retours lents et rapides, pour ne pas laisser la femme s’habituer, à ce qui se passe ou pouvoir prévoir, ce qui va se passer, et quand il se rend compte que la femme ne maîtrise, plus du tout, ses sensations, il ordonne, une fois encore :
- Allez, branle-toi fermement, maintenant, je vais te défoncer ton cul de pute…
La femelle obéit presque machinalement, sans plus se soucier où elle se trouve et comment elle est prise, ni par qui. Entre ses doigts et son anus, elle commence à devenir une machine à jouir.
Marc accélère la cadence, en faisant aussi en sorte, que ses mouvements soient les plus amples possible. On a l’impression que sa queue ressort entièrement de l’anus, avant de rentrer à nouveau totalement.
Sophie, n’ayant toujours aucune douleur annale, a toutefois, maintenant, l’impression que son ventre va éclater, à chaque fois que le pieu de chair est tout au fond de son cul. Cette sensation fugace, est néanmoins très intense et lui arrache des cris brefs, de bête blessée, qui ne lui permettent plus, de reprendre son souffle entre deux.
Le jeune homme pilonne de la sorte, pendant presque dix minutes, et, quand il sent que la femelle est presque asphyxiée, ralentie pour lui laisser reprendre son souffle, quelques secondes, puis passe à un nouveau jeu, un coup dans le chat, un coup dans le pot, chapeau !
Sophie a les jambes qui tremblent, elle s’astique toujours le clitoris, mais de façon totalement mécanique maintenant, comme si sa main était automatisée et avait son fonctionnement propre.
Marc sort sa queue bouillante de l’anus, laissant le sphincter grand ouvert, et plonge sa queue dans la chatte, qui suinte de plus en plus abondamment. Il va jusqu’au fond du sexe, d’un coup sec, puis ressort tout aussi prestement, pour remettre sa grosse bite, dans l’anus toujours ouvert. Une fois au fond, il ressort, retourne dans le vagin en se décalant sur sa droite, pour aller dans les petits coins, du sexe féminin. Puis ; il ressort encore sa queue ; pour enculer la femelle devant lui.
La pauvre femme ne sait plus où se trouve cette queue magique. Elle a un plaisir fou qui l’envahie. À ce moment précis, elle se rend compte, que l’homme pourrait lui demander n’importe quoi et qu’elle le ferait, pourvu qu’il continue à lui donner tout ce plaisir, si intense.
Michel et Guy ne perdent pas une miette du spectacle, bien que depuis l’embrasure de la porte, ils ne peuvent voir, essentiellement, que le dos du jeune homme. Mais, en connaisseurs, entre les mouvements, les paroles de l’homme, et les cris, soubresauts et autres bruits de respiration de la femme mûre, ils se rendent comptent du travail, que le jeune associé est en train de faire.
Guy, se retournant vers les trois pétasses, toujours en train de jacasser au fond du bar, leur ordonne alors :
- Venez-ici, venez voir ce que c’est qu’une bonne pute… Venez prendre des leçons, comment donner du plaisir au client, pour le fidéliser…
Michel, tout de suite suivi par Guy, monte les quelques marches et vient se placer sur la gauche de l’homme, derrière un fauteuil auquel il manque un cousin, ce dernier étant sous les genoux de la femme. Guy se place à côté de lui et fait un clin d’œil à son complice Marc.
Les trois jeunes femmes arrivent aussi dans la foulée et viennent, elles, se mettre sur la droite, de l’homme à genoux, qui besogne toujours copieusement la femme mûre. Maintenant, son petit jeu pervers, de l’anus et de la moule, alterné, a fait place à une série toujours aussi décousue, côté cadence, mais plus longue tout de même, d’allers-venus dans la chatte, puis dans le cul, avant de revenir dans la chatte, et ainsi de suite.
La barmaid, qui a un pincement au cœur de voir Marc s’occuper d’une autre femme, est toujours un peu amoureuses de ce beau jeune homme à la quéquette magique qui lui donne, de temps à autre, tant de joies et de plaisirs. Mais elle sait aussi que, sous son aspect d’ange, se cache le pire démon.
Les deux autres pétasses ne disent mot, elles savent trop bien que, un mot mal placé, et paf, une claque tombe, ou pire, une punition. Aussi, devant leur patron, font-elles profiles bas. Et puis, elles aussi sont un peu amoureuse de ce beau jeune homme, que la nature à si bien pourvu, et du plaisir qu’il leur procure, quand Marc vient les visiter. Rien à voir avec les petites queues flasques des mecs pressés ou bourrés, qu’elles épongent parfois, en toute fin de nuit.
Bientôt Marc, qui vient de remettre sa grosse queue, dans le cul de la pauvre femme, qui donne de sérieux signes d’abandons d’elle-même, donne de furieux coups de reins, amples, de plus en plus rapides. Fini de jouer à « j’accélère - je freine », maintenant c’est à toute vapeur, qu’il lime le cul, arrachant des cris de folie de la belle brune.
Sophie n’en peut plus, elle perd pied, ne sait plus si elle veut encore jouir ou si ça devient de trop. Pourtant, toujours aussi machinalement, elle astique son bouton d’amour, ce qui lui donne de violentes décharges de frissons, dans tout son corps. La position allongée sur cette table basse, qui est maintenant chaude, a fini par ankyloser son cou, à force d’avoir la tête tournée vers sa droite, cependant, bien qu’elle ait les yeux ouverts, elle ne voit pas les trois jeunes femmes, qui la contemplent. Ses seins aussi lui font un peu mal, à force de frotter sur la table lisse, ils sont comme échauffés. Son anus et sa chatte, par contre, lui procurent des plaisirs, qu’elle n’a jamais osé rêver ! Seule l’arrivée du bout de la queue, tout au fond de son ventre, qui vient buter lourdement contre le fond de son ampoule rectale, lui donne quelques sensations bizarres, dont elle ne sait dire si elle aime ou si elle hait ! À chaque fois, elle a l’impression que son ventre va éclater, mais c’est une sensation qui n’est pas si douloureuse, mais étrange.
- Alors, tu en penses quoi ? Questionne insidieusement Guy.
- Une sacrée bonne vieille garce, ça c’est sûr !
- Ouais ! mais je ne te demande pas de t’amuser avec ! Pour les clients, tu en penses quoi ?
- Pour des jeunes bien montés, ça devrait leur plaire… Le ton du jeune homme trahit son état proche de la jouissance. Il poursuit, d’une voix devenant rauque : Attends, laisse-moi me finir, dans cette marmite à foutre…
- Vas-y ! Vide-toi là-dedans, mon ami, dit encore Guy, en tournant les talons et se dirigeant vers l’escalier, qui donne sur le bar
La femelle brune entend tous les dialogues, les capte, mais ne comprend pas vraiment, le sens de tout ça. Ceci dit, les mots et les appellations comme « marmite à foutre » l’excitent au plus haut point. Il n’est pas sûr que d’entendre son amant dire : « je me finis dans une marmite à foutre » lui plairait, mais à cet instant, tout l’excite, et elle est heureuse d’entendre ces mots grossiers, et dont elle devrait avoir honte. Il n’est plus question de honte, elle jouit, c’est tout ce qui compte désormais !
Ce plaisir interdit, d’un jeune mâle, qui pourrait être un de ses enfants, et qui la prend par tous ses trous de femelle, qui l’encule sans aucune douceur, devant des hommes, devant des femmes, elle qui crie sans vergogne son plaisir, l’intensité de tout ça fait, qu’elle perd totalement pied maintenant, son esprit est ailleurs, elle n’est plus qu’une bête de sexe.
Cette fois c’est le bouquet final, le jeune jouit les dents serrées en marmonnant :
- Ah l’enculée... Putain que c’est bon…
De longs jets chauds de foutre viennent s’écraser contre le fond de l’ampoule rectale à travers la fine barrière de la capote, puisque l’homme a fini son mouvement en se cabrant et en plantant son gros sexe tout au fond, du cul de la femelle.
Sophie, qui sent l’homme jouir, a une folle envie de recevoir, tout ce foutre chaud dans son corps. Au point où elle en est, elle ne sait plus si l’homme porte un préservatif ou non, mais là, à ce moment bien précis, elle aimerait que non, peu importe les risques, les maladies, peu importe même sa propre vie, son compagnon, là, elle est dans une autre dimension.
Michel demande à marc d’une voix ferme :
- Donne-moi ta capote s’il te plaît. Puis, il se tourne vers Guy, pas encore sorti de la pièce, et lui demande à son tour : Tu as de la ficelle, quelque chose ? Je boirais bien un coup, toutes ces émotions m’ont données soif, poursuit encore Michel.
- Oui, on va aller boire un coup tient ! dit Guy en se tournant vers la serveuse, lui dit : Tu vas aider la pétasse à reprendre ses esprits et tu nous l’amènes.
Et pendant que la serveuse s’occupe de caresser un peu les cheveux de Sophie en lui disant doucement : Ne t’inquiète pas, ils ne sont pas méchants ! Ils sont parfois brutaux, parfois nerveux, mais pas méchants. Puis après quelques secondes de silence, elle reprend : Ceci dit, Marc à une quéquette magique ! Tu t’en es rendu compte, à la manière dont tu criais ! On t’a entendu dans toute la maison.
Sophie ne répond pas, elle est complètement anéantie.
Pendant ce temps, les trois hommes au bar se congratulent. Guy sort une bouteille de champagne de son frigo, prend trois flûtes derrière lui, et sert le vin. Les trois hommes trinquent en s’écriant :
- À nos femmes, à nos chevaux ! Et à ceux qui les montent !
Après avoir bu quelques gorgées, Guy pose son verre et part un peu plus loin derrière le bar, pour chercher une petite pelote de ficelle de cuisine, qui rapporte ensuite et tend à Michel.
Ce dernier, tout en remerciant le patron du bar, sort un couteau suisse de sa poche, ouvre la petite lame et fait un petit trou dans la base de la capote pleine du foutre de Marc. Puis, il déroule un demi mètre de ficelle, coupe le morceau, le passe dans le petit trou et fini son collier improvisé, en faisant un nœud, avec les deux bouts de la ficelle.
Fier de sa réalisation, il la montre à ses deux acolytes comme un trophée en précisant encore :
- Hé bien voilà, Sophie va avoir un joli petit collier, pour sortir tout à l’heure !
Les trois hommes discutent, en détail, des caractéristiques de la pauvre compagne de Michel. Marc explique, que la chatte de la femme qu’il vient d’essayer est bien souple, ample, accueillante, chaude, mais peu serrée. Il pense qu’elle devrait plaire aux clients tardifs, ceux qui ont déjà laissé beaucoup d’argent, dans le champagne, avec les jeunettes, et qui ont envie de se « finir ». Il surenchérit en parlant, avec emphase, de la poitrine opulente et douce de la femme qui, pense-t-il, devrait plaire énormément, cette fois aux hommes plus jeunes, tout comme les bas et les porte-jarretelles, qui enflamment les jeunes imaginations.
Pendant ce temps-là, les trois gagneuses de Guy s’occupent de Sophie. Elles l’ont remise debout, l’entourent, la barmaid va même jusqu’à passer ses mains douces, dans les cheveux de la femme, qui tremble encore un peu, toujours sous le coup de cet orgasme dévastateur. La jeune femme dit doucement, à sa nouvelle amie :
- Ça va aller maintenant, je pense que c’est fini… Pour aujourd’hui.
À ce moment, les filles entendent, venant de la salle du bar à côté :
- Vient voir, ma chérie… C’est la voix de Michel.
Sophie, toujours soutenue par la barmaid, descende les quelques marches de l’escalier et se retrouvent dans l’encadrement de la porte, la femme mûre totalement défaite, les cheveux en bataille.
Les deux autres pétasses sont, elles, restées en haut en se disant que, loin des yeux, loin du cœur, elles seraient aussi bien ici à se faire un peu oublier que de courir dans l’arène, des fois que les mecs auraient encore quelques idées vicieuses en réserve.
Michel se déplace et va prendre sa compagne par la main, lui fait un gentil petit bisou sur les lèvres, et l’attire à sa suite, pour qu’elle soit à nouveau, devant les deux autres hommes, qui suivent toute l’opération des yeux. Puis, lâchant la main de sa compagne, l’homme dit alors :
- Tiens ! pour tes débuts, prometteurs d’ailleurs, je vais te faire un petit cadeau. Et l’homme passe le collier qu’il vient de faire, par la tête de la femme, qui ne bouge pas.
Sophie est toujours dépoitraillée, seule sa robe est retombée sur ses jambes. Michel repousse la femme, qui fait trois pas en arrière, puis il ordonne :
- Mets tes mains sur la tête, comme je t’ai appris, pour mettre en valeur tes mamelles.
La femme mûre se place, les jambes écartées, met lentement les mains sur sa tête, doigts croisés et pousse ses coudes le plus en arrière qu’elle peut, de manière à faire ressortir sa poitrine.
La barmaid, qui s’est approchée discrètement de sa nouvelle amie, prend délicatement le sein droit, dans sa main droite, en se tournant légèrement vers la femme exhibée. Elle lui fait un sourire complice. Elle le malaxe tout doucement et le soupèse toujours avec une extrême douceur, puis elle glisse discrètement à l’oreille, de la femme aux mains sur la tête :
- Si tu savais comme tes seins me font envies… Rien que de l’avoir dans la main ça me fait mouiller… Tu as des nichons à damner un saint !
Guy, qui ne perd pas un instant les femmes des yeux, s’adresse à Michel sur le ton de la confidence :
- En plus, elle serait un peu gouine ta femme ! Ça, ça plaît aux clients…
- Oui, un peu, elle découvre sur le tard, les plaisirs entre femmes, oui…
- Bien ça ! Avec certains bons clients, on finit la nuit dans les appartements privés au-dessus, et que deux salopes se gouinent, pour nous redonner vigueur est du meilleur augure qu’il soit.
- Oui, j’imagine, mais si je te confie ma salope, il va sans dire que, sauf à la blesser bien sûr, tu as carte blanche, pour lui faire faire les pires cochonneries, pour la pervertir à outrance.
- Parlons affaires, toi, tu en tires quoi de tout ça ? Que demandes-tu en retour ?
- Son dressage, je la veux en retour, plus obéissante, plus soumise… Et je demande juste, que tu me racontes par le menu, les soirées durant lesquelles je te la confierai.
Sophie écoute le discourt de son homme, tout en appréciant l’agréable main, qui lui malaxe tendrement son sein.
La barmaid aussi, écoute le discourt des hommes au bar. D’un coup, elle croise le regard dur de Marc, qui écoute plus qu’il ne parle, aussi lâche-t-elle le sein, vient embrasser, d’un petit baiser sur les lèvres, la belle femme mûre, puis tourne les talons, pour aller dans la pièce à côté, en se disant que, un peu éloignée de ce trois mecs, elle ne serait que mieux. En partant, elle glisse encore un mot tout doucement :
- À bientôt ma chatte…
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