Le bonheur d’être mère

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.
Répondre
Utilisateur supprimé 66970

Le bonheur d’être mère

Message par Utilisateur supprimé 66970 »

Le bonheur d’être mère
Betty est une femme encore jeune et désirable à quarante ans. Sa vie passe doucement depuis deux ans, qu'elle a divorcé. Seul son fils, Arthur, lui procure de nombreux soucis, à dix-sept ans tout juste, il accumule bêtises sur bêtises, n'en fait qu'à sa tête. La pauvre femme se demande, bien souvent, ce qu'elle fera d'un fils pareil. Et que ne donnerait-elle pas, pour que son fils se comporte, enfin, comme un être responsable ?
Ce vendredi, en fin de matinée, journée de congé, elle prépare le repas pour eux deux, quand le téléphone retentit. Elle décroche et entend une voix dure lui demander :
- Madame Lefèvre ?
- Oui !
- Je vous appelle, car j'ai un grave souci, avec votre fils.
La pauvre femme a l'impression, que le sol se dérobe sous ses pieds. Elle se demande quelle connerie, son imbécile de fils, a pu encore commettre. D'une voix trahissant son angoisse, elle articule :
- Qu'a-t-il encore fait, Monsieur ?
- Il me doit dix mille euros !
- Pardon ! Bredouille Betty, en ne comprenant vraiment pas, comment son fils pourrait avoir une telle dette,t espérant avoir mal compris, les propos de son interlocuteur.
- Il me doit dix mille euros, dix fois mille euros, si vous préférez.
- Mais... Comment peut-il vous devoir pareille somme, Monsieur, et qui êtes-vous ?
- Écoutes bien nénette, ton gamin me doit du fric, beaucoup de fric, tu veux des détails ?
- Mais Monsieur, commence à balbutier la femme interloquée.
- Écoute-bien, ton branleur est un petit camé, et il me doit pratiquement, six mois d'arriérés, tu piges pétasse ?
- Mais...
- Tu veux un dessin, à ton avis, comment il fait pour se payer son petit paradis ?
- Je ne comprends pas, commence à articuler la femme, d'une voix chevrotante.
- Attends connasse, que tu ne veuilles pas voir que ton gosse se défonce, c'est ton problème, mais pour mon pognon, je te jure que je ferai tout ce qui est nécessaire pour l'avoir, je suis clair là ?
Betty reste sans voix. Elle refuse de croire que son fils puisse se droguer. Quelques secondes passent, puis elle entend encore :
- Si tu ne me crois pas, pétasse, rendez-vous au bar des amis, place de la victoire, à seize heures aujourd'hui, tu demandes Maurice. Et l'homme raccroche.
La pauvre femme se laisse tomber sur la chaise à proximité. Elle ne veut pas croire que son petit chéri, l'amour de sa vie, comme elle l'appelle avec ses amies, que cet enfant, qu'elle revoit encore bébé, le tenant dans ses bras, que l'être le plus cher, qui lui soit, puisse être un drogué. Elle reste prostrée toute une heure avec une tonne d'idées qui se bousculent dans sa tête.
Si elle voulait voir la vérité en face, elle se rendrait compte que l'attitude de son fils, ces derniers mois, a totalement changée, qu'il la fuit, le plus possible, mais elle préfère se rassurer en pensant, que c'est une attitude d'adolescent. Pourtant, quelque part, tout au fond d'elle, une petite voix lui ordonne d'aller à ce rendez-vous bizarre et d'éclaircir cette situation.
Vers quinze heures trente, Betty arrive place de la victoire. Elle n'a aucun mal à se garer et se rend au bar des amis. Dès qu'elle entre dans l'établissement, elle est prise à la gorge par l'ambiance enfumée, des yeux l'auscultent et la déshabillent. Elle va directement au comptoir et demande d'une voix angoissée :
- Monsieur Maurice, s'il vous plaît.
- Désolé, il n'est pas encore arrivé, mais je peux vous faire attendre, dans l'arrière salle, si vous voulez ?
- Oui, s'il vous plaît, Monsieur.
L'homme la guide alors dans l'arrière salle, il lui tend une chaise à une table écartée, dans l'angle opposé à l'entrée. La femme se retrouve alors le dos tourné à la salle. Sans un mot de plus, le barman repart.
Quelques instants plus tard, la pauvre Betty, entend des pas derrière elle, qui semblent se rapprocher. Elle fait un effort surhumain pour ne pas se retourner et attend, passivement, la suite des événements, avec une peur qui lui tenaille le ventre.
- Tenez, dit le serveur en lui tendant un verre de whisky. Puis, ayant déposé le verre sur la table, il ajoute : Vous en aurez besoin.
Restée seule, la pauvre mère est submergée par des idées les plus terrifiantes les unes que les autres. Elle se remémore le dialogue téléphonique, et essaye de comprendre, ce que cherche ce sinistre individu, elle se sent forte, pour défendre son fils, contre vents et marées.
À nouveau, un bruit de pas se fait entendre, dans la pièce. Betty voudrait se retourner, mais elle se sent comme figée, pétrifiée. Bientôt, elle sent la présence d’un homme, qui est venu se planter à côté d'elle, mais elle ne peut toujours pas bouger.
- Bien, voyons cette pétasse, qui s'imagine être la mère d'un brave petit. Puis, agrippant l'épaule de la femme, la fait pivoter sur sa chaise.
Betty voit alors un grand type, châtain, de plus d'un mètre quatre-vingts, la fixer durement. Elle ne sait quoi penser, et, est toujours paralysée, par la peur de ce qu'elle pourrait apprendre, sur son fils chéri.
Maurice, après avoir fixé, d'un regard froid, la mère de son dealer, commence à la détailler. Son regard se porte d'abord sur la poitrine que cache un épais pull et qu'il aperçoit, grâce à l'ouverture du manteau. Puis son regard descend et se fixe sur le bas du ventre. L'homme s’aperçoit que cette femme est plutôt bien faite et qu'elle n'a pas le ventre arrondi de beaucoup de femme de son âge.
La mère se sent très mal à l'aise d'être ainsi examinée, par cet homme plus jeune qu'elle. Rassemblant toutes ses forces, elle finit par articuler :
- Que voulez-vous exactement, à mon fils, Monsieur ?
- Il me doit une petite fortune, néanmoins, étant un humaniste, je ne voudrais pas que ce soit mon patron, qui s'occupe de lui, vous me comprenez ?
- Pas du tout, Monsieur, bredouille encore la pauvre maman en mentant et en s'imaginant les pires sévices, que pourrait endurer son rejeton.
- C'est très simple connasse, si ton branleur ne me paye pas mes dix mille balles, c'est à toi de me les payer, sinon c'est de sa vie, qu'il payera, c'est plus clair là ?
Pour toute réponse, la pauvre femme se met à pleurer.
Maurice en profite alors pour dégager les épaules, du lourd manteau qu'elle porte et voir de plus près cette grosse poitrine, dont il a eu un léger aperçu, juste auparavant. Puis, semblant se désintéresser du corps de la femme, il poursuit d'une voix terrible :
- As-tu cette somme, connasse ?
- Non Monsieur, dit Betty entre deux sanglots, et son père m'a laissé, l'année dernière, avec plein de dettes.
- Ça, c'est pas mon problème !
- Mais j'essaye de vous expliquer...
- Ta gueule pétasse, coupe durement l'homme, puis il enchaîne, que tu te fasses baiser par ton mec, par ton fils, par ton patron ou qui que ce soit, ce n'est pas mon problème. Ce que je veux moi, ce sont mes dix mille boules.
- Mais, où voulez-vous que je trouve une pareille somme ?
- Je m'en fous, comme de ma première liquette.
- Mais...
- Fais le tapin s’il le faut, j'm'en fous j'te dis !
- Non mais, ça ne va pas...
Maurice, qui perd patience, donne alors une claque retentissante à la pauvre femme. Le bruit résonne dans l'arrière salle, mais dans le bar, le brouhaha habituel semble continuer, comme si de rien n'était. L'homme, affichant, cette fois, un visage dur et sans compassion, poursuit alors :
- Tu commences à faire vieille peau, mais tu dois encore pouvoir servir pour les arabes.
Ces derniers mots résonnent dans la tête de Betty. La trahison de son ex-mari, l'avait déjà bien détruite, l'année passée. Mais aujourd'hui, entre la nouvelle de son fils qui se drogue, la claque qu'elle a reçue et qui l'infantilise, et d'entendre se faire traiter de vieille peau, elle qui se sent déjà diminuée, la coupe est pleine. Elle essaye alors de se lever, pour se rebeller.
L'homme, comprenant instantanément l'attitude de la femme, l'empêche de se lever de sa chaise d'une main puissante.
Se sentant impuissante d'un seul coup, Betty s'effondre en larmes. Sa colère vient de se transformer en une douleur incroyable, un sentiment d'avoir gâché toute sa vie, un sentiment que tout lui échappe.
Maurice, sentant sa proie décontenancée, s'empare, à deux mains, du col du manteau, le rabat violemment jusqu'aux coudes, immobilisant ainsi, encore plus, sa victime, puis lance dune voix terrible :
- J'espère que tes nichons de vieille, ne sont pas trop mous...
La pauvre femme pleure de plus belle, elle ne réagit plus et ne pense plus qu'à son satané fils.
De la main droite, Maurice s'empare du bas du pull. D'un coup sec, il le retire du jean et le remonte jusqu'au cou, découvrant ainsi un soutien-gorge blanc, qui renferme une poitrine généreuse. Sans ménagement, il s'empare, toujours de la main droite, du sein gauche de la femme en pleure, et à l'aide de sa main gauche, le sort de la gangue de tissu. Il fait de même pour le sein droit.
Betty, sent effectivement ce que fait l'homme, mais elle est perdue dans sa détresse et ne réagit toujours pas.
L'homme fait alors un petit pas en arrière, contemple, deux secondes, les seins qu'il vient de dégager, puis dit, toujours avec la même voix :
- Bof, des nibards de vieille... Mais ça devrait aller pour faire les arabes !
Sans ménagement, à deux mains, il vient malaxer les deux mamelles. Puis, après quelques secondes de ce traitement, il ajoute encore :
- T'as de la chance, que tes nichons ne soient pas trop mous.
Betty, toujours sans réaction, a l'impression d'être dans un cauchemar. La douleur qu'elle vit, par rapport à son fils chéri, est telle, que la réalité passe au deuxième plan.
- Fais voir ta moule de radasse, maintenant, ordonne brutalement le macro d'une voix qui ne laisse pas la place à une quelconque remarque.
Comme la mère est toujours sans aucune réactions, Maurice la prend par les poignets, la contraint à se lever, puis la lâche pour la gifler brutalement en exigeant à nouveau :
- Baisse ton froc connasse !
Le corps de la femme semble être une coquille vide. Elle se tient debout, le manteau descendu sur ses coudes, le pull remonté sous sa gorge, ses gros seins exhibés, les bras ballants le long du corps.
Maurice, voyant parfaitement que la femme est à sa merci, attrape le jean par la ceinture, défait le bouton, puis fait glisser la fermeture éclair. D'un geste précis, il fait descendre le pantalon avec la culotte jusqu'aux genoux de la pauvre femme en pleure. Puis, se reculant d'un pas et regardant le sexe peu poilu offert à sa vision, il remarque !
- Bof ! Une chatte de vieille, mais pas trop poilu, ça peut encore aller.
Puis après quelques instants d'observation complémentaires, il poursuit :
- Tourne-toi, que je puisse voir si on peut se servir de ta rondelle.
La malheureuse Betty, ne réagit toujours pas plus. Elle n'a même pas un geste, pour cacher sa vulve, au regard inquisiteur, de cet homme si méchant.
L'homme, la prend brutalement par le bras de sa main droite, de la gauche, il s'empare de la chaise devant la table et la recule vivement, puis il place la pauvre femme juste devant la table et la contraint à s'allonger sur le bois dur et froid. Là, il prend les fesses à deux mains et les écarte pour admirer l'anus brun. Tout en fixant la rondelle, il interpelle sa proie :
- Tu ne dois pas être un super coup ! J'suis sûr que tu ne t'es même jamais fait enculer !
La pauvrette entend ces mots comme à travers un voile sonore. Elle ne réalise même pas totalement, qu'elle est allongée sur une table d'un bistrot, qu'elle ne connaissait pas, quelques heures auparavant, qu'elle a ses seins dénudés à même le bois, et que cet homme, ce salaud, lui écarte les fesses pour lui dire des cochonneries. Elle s'entend tout de même dire dans un souffle :
- Mais je ne vous permets pas...
La réponse ne se fait pas attendre, elle prend la forme d'une grande claque, encore plus sonore que la première, et cette fois, sur le cul rebondit de la femme offerte.
Maurice, ne voulant absolument pas que cette femme se rebelle, en profite pour lui mettre son majeur dans le rectum en disant d'une voix méchante :
- Ta gueule connasse, je vais te roder le trou du cul, par là, tu gagneras plus vite mon fric !
En essayant de serrer les fesses et de se redresser, la pauvre mère répond :
- Mais vous vous prenez pour qui vous ?
- C'est simple connasse, tu fais le tapin pour me rembourser, ou ton rejeton se fait buter, tu vas finir par comprendre ou merde ! Puis, l'homme pervers en profite pour redonner une autre claque sur le cul, à l'endroit même de la précédente.
La pauvre femme ressent une vive brûlure à l'anus. Elle voudrait bouger et se sauver, mais elle sent qu'elle n'en a absolument pas la force, de plus, ses craintes quant à son fils, lui tenaillent les entrailles, aussi se laisse-t-elle faire, non sans rechigner, ni se plaindre, mais en gémissant.
- Mais ferme ta gueule, connasse ! Dit encore l'homme en lui vrillant le cul de son doigt expert. Il finit par enfoncer son majeur entièrement, puis annonce encore :
- Tu vois, que ce trou peut servir tout autant !
Betty n'a même pas honte, en fait, elle ne se rend pas vraiment compte de la situation et de l'obscénité du moment. Elle reste offerte à ce diable d'homme, qu'elle craint tellement.
- Tu vas t'en prendre deux maintenant, dit encore Maurice, en introduisant, tout à coup, son index dans l'anus déjà malmené. Il ne prend aucune précaution et enfonce son deuxième doigt, aussi loin que le premier.
Betty sent son anus s'ouvrir, pour laisser passer le nouvel envahisseur. La douleur est certes forte, mais encore supportable, et ce n'est pas cette douleur, qui occupe l'esprit de la pauvre femme.
- Très bien ma pute, un troisième maintenant, s'exclame encore le vicieux mac, en lui glissant l'annulaire dans le rectum. Dès que le doigt est en place, il force et écarte les chairs, en éloignant ses trois doigts les uns des autres.
Cette fois, c'est une vraie brûlure douloureuse, qui réveille la femme. Elle commence à bouger sur la table, fait des efforts désespérés, pour échapper à son tortionnaire, mais rien n'y fait, elle sent une lourde et puissante main, venir se coller sur son dos et la bloquer.
- Arrête connasse ! Sinon, je t'encule à sec, et là tu auras de quoi pleurer comme une madeleine, lance l'homme qui s'énerve.
Maintenant, Betty pleure à chaudes larmes, bien sûr, la douleur y est pour beaucoup, mais les idées noires, qui envahissent son esprit, participent amplement à sa déchéance.
Sans la prévenir, et tout en la gardant toujours fermement collé à la table, Maurice retire ses doigts de l'anus déjà bien agrandi. Tranquillement, sans se presser le moins du monde, il commence à ouvrir sa braguette tout en prévenant la femme d'une voix dure :
- Maintenant, tu vas te prendre une bonne bite salope, tu vas voir putasse, tu vas aimer...
La blonde respire un peu, son anus enfin libéré, ne lui fait plus vraiment mal, seul subsiste une petite brûlure, mais rien que de très supportable.
Le mac sort sa pine de son pantalon. C'est une grosse queue, pas encore en érection totale, mais déjà bien avancé. Il se masturbe quelques secondes, en tenant toujours fermement sa proie, puis écarte les fesses de la femme pour venir placer son gland sur le sphincter, là, il lâche :
- Respire un grand coup...
Puis, il introduit son membre, dans un grand coup de rein net et précis.
L'introduction de la grosse queue fait pousser un grand cri à Betty. D'un seul coup, elle a l'impression qu'un fer rouge vient de lui être enfoncé dans le cul. Elle reprend un peu ses esprits et commence à crier à l'aide, mais c'est peine perdue, une main vient lui bâillonner la bouche.
Le pervers personnage se met à limer ce cul, encore vierge de sexe, sans ménagement.
- Tout va bien pour toi Maurice ? C'est le patron du bar, qui vient de faire irruption, dans l'arrière salle.
- Ouais René, t'inquiète pas, j'explique juste à cette connasse comment arrondir ses fins de mois qui vont devenir de plus en plus difficiles.
- Hé hé... Je l'ai vu, tout à l'heure, faudra que tu penses à me la prêter, un de ces quatre...
- Tu me connais mon ami, je ne suis pas un ingrat...
Betty sent la honte monter en elle, non seulement elle est à moitié nue sur une table de bistrot, non content de se faire violer par un être abject et repoussant, qui lui fait le plus odieux chantage qui soit, mais en plus, on parle d'elle comme si elle n'était, désormais, plus qu'une marchandise. Et, bien que son anus la brûle toujours affreusement, de honte, elle éclate en sanglot.
Maurice, lui, ne se laisse pas déconcentrer. Il laboure le cul de sa proie de plus en plus vite. Le fait que son pote soit venu, l'excite encore plus, et il sent sa queue gonfler de plus bel. Et d'entendre la femme pleurer, ajoute encore à son excitation. Il en profite pour dire dans un souffle :
- Alors, l'enculée, elle est bonne ma bite, non ?
La blonde ne fait que pleurer. Maintenant, elle commence à ne plus sentir la douleur, elle se surprend même à mouiller.
Comme la réponse se fait attendre, le vicieux mac s'empare des cheveux de la femme, tire dessus violemment, et répète encore :
- Alors pétasse, tu réponds, oui ou merde ?
- Oui... S'entend répondre d'une toute petite voix, la pauvre Betty, entre deux sanglots.
- Parfait, j'savais bien qu'étais une morue...
Maurice redouble de violence dans ses coups de reins. Il sait parfaitement se retenir et tient avant tout à ce que la pauvre femme émette les premiers signes du plaisir.
Au bout d'une bonne dizaine de minutes, et bien qu'elle pleure toujours sur son compte, la pauvre blonde se surprend, à gémir de plaisir, et cela lui donne encore plus honte. Elle sent sa chatte totalement détrempée, et des vagues de plaisirs remontent le long de son dos. Elle voudrait se retenir, mais n'y arrive pas du tout.
Cette fois ça y est, Maurice se rend compte que la femme commence à jouir, il en profite alors pour sortir sa queue totalement de son écrin, la laisse une seconde dehors, puis, d'un élan parfait, l'enfourne à nouveau dans le cul bien ouvert.
La deuxième entrée du sexe en elle, a fait crier Betty de plaisir, mêlé à une nouvelle douleur, mais bien moins violente, celle-ci.
L'homme pervers jubile, il sent que cette fois, sa proie est à sa merci, il s'amuse donc à sortir et entrer sa bite dans le boyau, et se réjouit qu'à chaque fois la femme soumise, pousse un cri.
La blonde ne pourrait dire, combien de temps dure ce petit jeu, elle se sent submerger par des vagues de plaisirs de plus en plus intenses, mais en même temps, elle a honte de ce délice. Honte de jouir alors que son fils est en grand danger, honte aussi, que ce soit cet homme, ce violeur, qui lui donne ce plaisir.
Voyant que sa victime est au bord de l'orgasme, et ne voulant surtout pas qu'elle s'abandonne, Maurice se met à crier :
- Putain, mais t'as sali ma bite... Et, en se plaçant sur le côté de la table, la queue à la main, empoignant, une nouvelle fois, les cheveux de la blonde et les tirant vers sa pine raide, il poursuit, d'un ton des plus autoritaire :
- Tiens, regarde, c'est ta merde, qui m'a sali, regarde, je te dis !
Betty est frustrée, elle était vraiment au bord de l'orgasme, mais ce diable d'homme, la prive de ce plaisir, qu'elle sentait pourtant intensément venir à grands pas. Elle ouvre les yeux une seconde.
- Nettoie, enculée va...
Et le mac pousse son membre vers la bouche de la blonde.
La pauvre femme ne peut rien faire d'autre, que d'accueillir cette queue souillée dans sa bouche, elle a un haut de cœur, des larmes coulent à nouveau sur ses joues.
- Tu gerbes et je te défonce ta gueule de pute... Nettoie ma queue, putasse...
Maurice tient maintenant, fermement, à deux mains, la tête blonde et la force à aller et venir sur son sexe raide.
La malheureuse Betty, fait des gestes incontrôlés et brusques, dans tous les sens, pour se défaire de la prise dont elle est l'objet. Malgré sa bouche envahie par l'énorme queue, elle râle, produits des sons incompréhensibles, mais rien n'y fait, elle est obligée de subir les tourments, de ce salaud.
- Suce bien, maintenant qu'elle est toute propre... Tu vas avoir l'honneur de recevoir mon foutre, dit encore l'homme, avec un sourire sadique aux coins des lèvres.
Un peu apaisée, la pauvre femme exécute, une fois encore, ce que lui impose le mac. Elle trouve que le sexe qu'elle a en bouche a un drôle de goût, un peu un goût d'oignon, elle lutte contre les nausées, qui montent parfois et suce le membre, du mieux qu'elle peut, espérant, en cela, pouvoir se sauver, dès que l'homme aura éjaculé.
Maintenant, qu'il sent cette femme plus obéissante, Maurice relâche un peu sa prise. Il se laisse aller, son but étant de répandre son sperme dans la bouche de sa victime, il sourit tranquillement. Quand il sent que sa semence monte, il reprend sa prise, bloque la tête et enfuit sa queue le plus loin possible, dans la douce bouche et dit :
- Tiens... Prends mon jus de couille…
Betty est surprise par les deux premières saccades, qui vont directement au fond de sa gorge. Elle est obligée de déglutir et d'avaler, ce vil liquide épais et chaud, un nouvel haut le cœur vient lui chavirer l'esprit.
- Vas-y, régale-toi... Dit encore, d'une voix forte, le mac.
Le sperme se répand, dans toute la bouche de la blonde. Elle essaye de ne plus en avaler, mais elle est toujours tenue, par les cheveux, et n'ose pas bouger, pour le moment.
- Tu es une bonne putain, j'apprécie tu sais, finit par dire Maurice. Puis, toujours en la tenant par les cheveux, il l'oblige à se relever de la table et lui fait pencher la tête vers le sol.
Elle qui s'imaginait, que lorsque l'homme aurait eu son plaisir, elle serait tranquille, elle n'en croit pas ses sens. Ce salaud vient d'éjaculer dans sa bouche, et au lieu de partir tranquillement, le voilà maintenant qui tente de la faire mettre à genoux au sol !
- Allez, à genoux... Comme une bonne pute doit savoir le faire, devant son mac !
Betty exécute, une fois de plus, l'ordre qu'elle vient de recevoir. Malgré l'entrave de son jean descendu, il s'agenouille et attend, les yeux rivés au sol.
Parfait, tu restes là, jusqu'à ce que je revienne, et si tu bouges, je te jure que tu le regretteras amèrement !
Et l'homme sort de la pièce, en laissant la blonde agenouillée, en pleure.
Maurice, tout en refermant sa braguette, vient au bar, fait un clin d'œil complice à son ami René, et lui demande :
- Tiens, sers-moi donc un demi, elle m'a donné soif, cette salope.
En servant son client, le patron demande d'un air rigolard :
- Alors, une bonne recrue ?
- Ouais, pas mal, un dépucelage du cul, mais pas mal, à suivre... Tu veux que je te la fasse essayer ?
- Non merci, pas pour le moment, j'ai encore pas mal de travail...
C'est alors qu'un autre client s'adresse à Maurice :
- Je vous ai entendu, tout à l'heure.
- Oui, tu es client pour une petite pute, toute neuve, presque pas servi, ça te tente ?
- Heu...
- Décide-toi ! Tu sais, de se taper une nouvelle, n'est pas si courant, dans une vie, crois-moi je suis bien placé pour le dire !
- Et... C'est combien ?
- Allez, va pour 60 euros, mais c'est un prix d'ami, c'est bien parce que tu es client ici.
- C'est un peu cher non ?
- Attends ! c'est une nouvelle, tu ne crois pas que cela mérite tout de même un petit effort de ta part ?
- Bon, OK.
- Viens, suis-moi, je vais te la présenter.
Et les deux hommes se rendent dans l'arrière salle, où est toujours la pauvre Betty, agenouillée et en train de pleurer. Ils s'approchent, puis Maurice ordonne, durement, à sa nouvelle recrue :
- Debout salope.
La blonde se lève comme dans un rêve, dans un cauchemar serait d'ailleurs bien plus approprié. Une fois debout, elle entend encore :
- À poils ! Ton tout premier client t'attend, et moi, j'attends tout ton premier remboursement, connasse !
La femme ne bouge pas d'un pouce, le client reste interdit, il ne sait pas s’il doit partir, en courant ou rester et devenir aussi dur, que le mac.
Maurice ne laisse pas son auditoire réfléchir, il s'empare de la manche du manteau, que porte toujours la femme, et tire dessus en disant :
- Allez, à poils salope, ne commence pas à faire ta mijaurée, avec ce que tu viens de prendre dans le cul, il n'y a pas de quoi faire sa timide !
André reste debout, les bras le long du corps. Excité par ce qu'il peut apercevoir, de la femme blonde, mais aussi interloqué, par cet étrange atmosphère, qui règne à présent. Mais le fait que cette prostituée soit nouvelle dans le métier, l'attire énormément.
Betty, toujours comme si elle vivait un rêve, se déshabille. Elle pose son manteau, puis son pull sur la table, elle enlève ensuite son jean et sa petite culotte, en même temps, ainsi que ses baskets, au passage. Puis, pour finir, elle détache son soutien-gorge, et le pose aussi sur le tas de vêtements, sur la table. Elle est, maintenant, totalement nue.
- Alors, qu'en dis-tu, ça vaut les soixante euros, non, une pouliche comme ça ?
André est très excité, il plonge la main dans sa poche, en ressort son portefeuille et donne trois billets de vingt euros, au mac.
- OK, et en prime, tu as droit à une bonne pipe, ça elle est experte, et tu la prends comme tu veux ensuite, par-devant ou par-derrière, de toute façon, elle est rodée des deux trous.
Betty est horrifiée par ce qu'elle entend, on a l'impression, qu'elle ne comprend pas, que l'on parle d'elle. Elle a les yeux toujours rivés au sol, et se laisse aller, comme une bête que l'on conduirait à l'abattoir.
Le mac s'empare du sein droit de la blonde et le malaxe durement. Il fait un clin d'œil au client attentif à la scène, puis dit, à l'attention de sa putain :
- Allez, à genoux et suce ton premier client, et bien encore ! Je veux qu'il soit ravi de ta prestation, c'est compris ma pute ?
- Oui... Dit très timidement la femme dans un souffle. Elle semble, à ce moment, complètement soumise à son mac.
Elle se met sur les genoux, dans un geste doux et qui semble tranquille.
André vient se placer devant la femme, défait sa braguette, sa ceinture, et descend son pantalon sur ses genoux, il ôte très vite son caleçon et reste ainsi, la queue à l'air, devant la bouche de la putain.
- Allez, prend sa bite et suce-le comme il faut, ordonne encore Maurice. Puis, s'adressant au client, il poursuit :
Ça ne te dérange pas que je reste, je ne voudrais pas que tu sois mal servi ou roulé, par cette pute.
- Non, pas de problème, au contraire, ça me botte de me faire sucer devant quelqu'un.
André commence à perdre de sa timidité maintenant, il empoigne les cheveux de la blonde et lui dit :
- Allez, suce, toi salope, et fais-moi bien bander que je puisse te faire le cul après...
- T'inquiètes pas, camarade, elle doit avoir encore plein de sperme, dans la gueule, mais elle suce vraiment bien, cette blondasse.
Betty ne se rebiffe même plus. Les bras le long du corps, elle suce du mieux qu'elle peut, cette queue encore molle. Elle la sent gonfler dans sa bouche. À ce moment, elle ne sait même plus, si elle doit se battre pour sa dignité perdue ou si elle doit se laisser faire, pour abréger cette épouvantable épreuve du destin. Le côté sexuel de ce qu'elle vie, est finalement ce qui la choque le moins, elle a surtout une peur panique, des menaces de cet homme pervers.
André bande de plus en plus. De voir cette femme blonde, qui sans être jeune, est tout de même encore assez jolie, le sucer, en étant à ses pieds l'excite terriblement. Et, comme il a toujours été très fier de la taille de son sexe, il est heureux de pouvoir se montrer, sous son meilleur jour.
Le mac observe, attentivement, sa nouvelle recrue. Il sait qu'il vient de gagner une bataille aujourd'hui, et une grande bataille même, mais il sait aussi que son travail, est loin d'être terminé. Cherchant à déstabiliser encore davantage la blonde, il dit d'une voix bienveillante :
- C'est bien ma chérie, si tu continues à bien travailler comme ça, et tu auras ta petite récompense.
Betty hallucine totalement, voilà que ce salaud, ce violeur, qui n'a eu aucun geste bienveillant pour elle, depuis leur rencontre, vient de l'appeler "ma chérie" ! Elle ressent un sentiment trouble fait d'une peur encore augmentée, mais aussi, très paradoxalement, d'une certaine attirance pour cet homme, cela fait si longtemps, que plus personne ne l'a appelée "ma chérie".
- Hum... Tu suces vraiment bien toi... Tu sens comme tu me fais bander là ? Demande le client d'une voix chavirée, trahissant son excitation grandissante.
Quelques borborygmes sortent de la bouche pleine de la femme. Elle ne sait pas ce qui se passe en elle, mais il s'aperçoit, qu'elle vient de prendre la queue dans sa main droite, pour la branler en plus. La bite est maintenant trop volumineuse, pour qu'elle puisse la tenir en bouche, entièrement.
Hum... Oui... C'est bon ça... grogne le client ravi.
- Te laisse pas aller, camarade, dis le mac en se tournant vers André avec un grand sourire, T'as pas envie de sa chatte ou de son cul ?
- Ha que si ! J'ai une furieuse envie de l'enculer, j'te raconte pas !
Et, tout en fouillant dans sa poche à la recherche d'un préservatif, Maurice s'empare du bras droit de la blonde et la force à se relever. Dès qu'elle est debout, il l'approche de la table libre, à côté de celle où sont posés les vêtements et dit, d'une voix redevenue très autoritaire :
- Toi, en position, comme tout à l'heure, jambes bien écartées.
La malheureuse se laisse conduire sans mot dire. Elle s'allonge sur la table désignée et écarte ses jambes, comme il lui a été ordonné.
- Écarte tes fesses avec tes mains... Putain... La voix du mac est devenue traînante, comme si elle ne faisait pas bien, ce qu'elle a l'habitude de faire.
Une fois encore, la femme blonde obéit docilement.
- Quel beau cul !
- Tiens, dit Maurice, en tendant une capote à l'homme en pleine érection, cette fois.
André ouvre la pochette en aluminium, sort le préservatif et l'enfile prestement. Il crache dans sa main gauche et s'enduit le gland de salive, puis il vient positionner son membre sur la rondelle brune et dit :
- Tu vas prendre toute ma grosse bite, dans ton petit cul, toi, salope...
L'introduction du pieu de chair réveille une vive douleur chez la pauvre Betty. Elle pousse un petit cri, mais très vite, les allés et venus dans son cul, recommencent à lui procurer du plaisir. D'abord un plaisir lointain, puis de plus en plus présent.
André se régale de ce petit cul encore serré. Il commence à limer tranquillement, sûr qu'il est, du bien qu'il sait faire aux femmes, par cette voie. Très fier de sa prestation, il regarde le mac et dit d'une voix assurée :
- T'as vu, je lui fais bien le cul, non ?
- Ouais ! Impec ! Vas-y, bourres lui bien le cul, fais-moi gueuler cette chienne en chaleur...
À nouveau, la pauvre blonde se sent totalement humiliée, elle a l'impression que ces deux hommes, ne voient en elle, que son cul, qu'elle n'est qu'un objet sexuel, qu'une machine, dont ils se servent, sans y prêter plus d'attention. Elle recommence à pleurer, doucement, sur son sort.
Maurice, voyant son client s'éclater, sourit. Très professionnel, il demande alors à l'homme :
- Tu veux que je te laisse seul avec elle ?
- Non, non, reste si tu veux... J'aimerais même, qu'elle te suce pendant, que je l'encule bien à fond, t'es d'accord ?
- Ouais, pas de problème...
Et, joignant le geste à la parole, le mac défait sa braguette et sort sa queue toute molle. Il vient se placer devant la table, à quelques centimètres du visage de la blonde, puis ordonne :
- Allez-toi, suce-moi bien la queue.
Betty happe le membre flasque dans sa bouche, puis très vite, sans que personne ne lui demande rien, elle amène sa main droite et branle la bite en même temps. Les assauts de la queue qu'elle a entre ses reins, lui procurent de plus en plus de plaisir, elle gémit doucement, et ne pleure plus à présent.
- C'est vrai, que c'est une super suceuse cette enculée, déclare, goguenard, Maurice.
- Moi, j'adore les petits culs bien serrés, là, je dois avouer que je me régale, dit, quant à lui, le client, avec un visage visiblement ravi.
Cette fois, la femme blonde joui vraiment. Malgré le pénis qu'elle a en bouche et qui grossit terriblement, elle émet des sons qui trahissent le plaisir qu'elle prend. Dans sa tête, tout se mélange à nouveau, ses fantasmes, d'avoir deux hommes en elle, peut-être même de faire la prostituée, les ondes de plaisirs, il lui semble que même les mots crus, qu'elle entend parfois, amplifient encore sa félicité. Néanmoins, elle n'en a pas moins honte, mais ne comprend pas pourquoi, alors qu'elle est ici contre son gré, elle jouit d'une grosse queue dans son anus, alors qu'elle était vierge, de ce côté-là.
Le mac se laisse aller, lui aussi, au plaisir de cette sucette délicieuse. Il fait un clin d’œil complice au client, quand il prend la tête blonde dans ses mains puissantes et active le rythme des allés et venus de la bouche sur son sexe en total érection.
André s'applique à faire jouir cette femme, dont le sexe est la profession, il se donne beaucoup de mal, pour faire au mieux, mais il sent aussi, qu'il va jouir très bientôt.
Betty jouit, elle ne sait plus, ni où elle est, ni ce qu'elle fait au juste, elle jouit, et, malgré sa bouche pleine, elle arrive à crier tout son plaisir à la cantonade.
Le client, ivre de plaisir, ne peut plus se retenir, dans un dernier effort, il plante son gros sexe tout au fond du boyau de la blonde, et éjacule en longues saccades, qui lui donnent des frissons sur tout le corps. Durant toute son explosion, il pousse des cris gutturaux.
L'impression est gigantesque, pour la blonde. Non seulement, elle a un orgasme formidable, mais en plus, elle l'a en même temps que son partenaire, et ça c'est une chose totalement inconnue, pour elle.
- Vas-y, régale-toi, mon gars, dit le mac, pour accompagner le client dans son orgasme. Puis il attend tranquillement quelques instants, que l'homme s'en remette.
- Putain ! quel panard ! L'homme a encore les jambes toutes tremblantes.
- T'as l'air d'être un sacré coup, en tout cas, toi, flatte encore le mac.
- On fait s'qu'on peut ! Et l'homme part dans un rire communicatif.
- Toi, tu me plais, je vais te faire un petit supplément gratuit, pour avoir fait bien jouir ma nouvelle pute.
- Ha ! S'étonne André.
- Donne-moi ta capote s'il te plaît, demande Maurice, avec un sourire spécial en coin.
Le client se défait du petit sac de caoutchouc et le tend à l'homme, qui est toujours en train de se faire sucer.
- Debout la pétasse, ordonne alors Maurice, en retirant prestement sa queue de la douce bouche, et en attrapant le bras de la pauvre femme, pour qu'elle se rétablisse, plus vite encore.
Betty est encore sous le choc de l'orgasme, il lui semble bien qu'elle n'avait jamais joui aussi fort auparavant, elle exécute donc docilement l'ordre et se met debout devant la table.
- À genoux chienne !
Toujours aider, dans sa manœuvre, par la main qui entraîne son bras, la blonde se met à genoux rapidement.
- Ferme les yeux et ouvre ta grande gueule, salope !
Sans chercher à comprendre ce qui arrive, car là, c'en est vraiment de trop, pour l'après-midi qu'elle vient de passer, toute combativité abandonnée, elle ferme ses grands yeux et ouvre sa bouche. Puis, elle attend la suite des événements.
Maurice amène le préservatif, plein de foutre au-dessus de la bouche ouverte, puis s'empare du petit réservoir, retourne la capote, et laisse couler le sperme, dans la bouche de la pauvre femme.
Alors qu'elle a un mouvement de recul en ouvrant les yeux, Betty entend encore :
- Pas bouger ! Avale tout ce bon foutre chaud... Et en souriant au client encore ! Tu dois le remercier, de t'avoir fait si bien jouir, salope !
Le client regarde la scène d'un air amusé, tout en remontant son pantalon et en le refermant.
Le mac presse le préservatif, pour que tout le foutre contenu soit bien expulsé, dans la bouche ouverte de la pauvre femme. Il est ravi de voir que, malgré la grimace, qu'affiche la blonde, elle obéit très docilement. Il se rend compte à quel point, il vient de trouver la perle rare, et commence à imaginer tous les bénéfices, qu'il pourra tirer d'une pareille femme soumise.
Bien qu'elle soit écœurée, Betty reçoit tout le jus de couilles, jusqu'à la dernière goutte, dans sa bouche grande ouverte. L'orgasme qu'elle vient de vivre l'a vidé, du peu d'énergie qu'elle avait encore, aussi, ne pourrait-elle même plus se rebeller, si elle en avait eu la volonté. Elle ne sait même plus ce qu'elle fait ici, ni ne comprend ce qui lui arrive vraiment.
- Je t'offre un pot, va commander un demi pour moi, je te rejoins dans quelques minutes, dit généreusement Maurice, à son client.
L'homme sort de la pièce, sans jeter le moindre regard compatissant, à la pauvre femme, qui se sent encore plus humiliée.
- Parfait, tu viens de sauver la vie de ton branleur, et gagner tes 60 premiers euros. Comme tu me dois beaucoup de fric, tu comprends, que je garde ce tout petit acompte.
La blonde ne répond pas. Elle baisse les yeux et prie en elle-même, que ce soit fini maintenant. Elle est toujours à genoux, devant la table où elle vient de se faire enculer, pour la deuxième fois de sa vie et elle n'ose pas bouger.
- Ce soir, tu viens en voiture, devant le bar, à vingt-deux heures. Tu te débrouilles pour porter un tailleur, jupe pas trop longue et chemisier fin. Pas de sous-vêtement, seulement des bas. T'as compris ?
- Oui... Bredouille doucement, la pauvre Betty.
- Bien ! Maintenant tu me débarrasses le plancher, connasse.
- Merci... Se surprend-elle à dire, en se relevant doucement.
- Et t'oublie pas, pétasse, si tu parles de tout ça, à qui que ce soit, ton fils se fait buter, c'est compris ? La voix est redevenue dure et incisive.
- Oui...
L'homme pervers remonte la fermeture éclair de son pantalon, et laisse la femme nue au milieu de la pièce, pour aller boire un coup.
Betty reste interdite, nue, souillée, humiliée, une bonne dizaine de secondes. Puis, elle se met à pleurer doucement et commence à se rhabiller.
Une fois qu'elle a enfilé ses vêtements, elle tourne les talons, sort rapidement de l'arrière salle et se dirige vers la porte d'entrée, les yeux rivés au sol, ne voulant surtout pas croiser un quelconque regard. A deux pas de la porte, elle entend :
- Dites donc, faudrait peut-être payer votre whisky tout de même !
Docilement, elle va au bar et demande, toujours en pleure, d'une toute petite voix :
- Je vous dois combien Monsieur ?
- Trois euros cinquante.
Elle ouvre son sac et sort son porte-monnaie Elle règle le prix sans jamais regarder le patron, puis, se sauve du bar. Dès qu'elle est assise dans sa voiture, elle explose en larme et pleure à gros sanglots, pendant près d'une heure, avant de rentrer chez elle.
Avatar du membre
lailatvx007
Messages : 78
Enregistré le : lun. 6 mai 2024 07:39
Situation : Homme
Département : Autre
Ville :

Re: Le bonheur d’être mère

Message par lailatvx007 »

Très excitant ! J'imagine ma femme à la place de Betty !
Utilisateur supprimé 66970

Re: Le bonheur d’être mère

Message par Utilisateur supprimé 66970 »

lailatvx007 a écrit : Très excitant ! J'imagine ma femme à la place de Betty !
En tout cas, je ne te souhaite surtout pas d'avoir un gamin qui déjauge grave et se tourne vers les paradis artificiels !
Répondre

Retourner vers « Récits candaulistes »