La prof examinée 01
Marie-Claire est une jeune femme de trente-deux ans, une grande blonde, charmante et gracieuse, qui, après avoir passé quelques années dans des petits boulots, vient de trouver un emploi de professeur de musique dans une institution pour jeune fille. Elle aurait préféré trouver dans un lycée non religieux, car la discipline de la directrice, lui semble aussi dure qu'inappropriée, mais depuis quatre mois qu'elle officie, elle commence à s'habituer aux sautes d'humeurs de sa patronne. Ce qui la gêne encore pour le moment, c'est qu'elle a toujours l'impression d'être une petite fille, lorsqu'elle se retrouve en présence de cette femme autoritaire de cinquante-cinq ans. Elle ne comprend pas vraiment le pourquoi des choses, mais toujours est-il que, lorsqu'elle se trouve en présence de sa patronne, elle perd ses moyens et s'exprime souvent, avec un léger bégaiement.
C'est en réfléchissant à tout ça, que la belle Marie-Claire arrive tranquillement à pied, devant les grilles monumentales de l'institut. En traversant la cour, elle aperçoit sa patronne, qui lui fait signe de venir vers elle. Quand elle n'est plus qu'à quelques mètres de la vieille femme, debout sur le perron de son bureau, elle entend :
- Bonjour Marie-Claire, à dix heures, entre vos deux cours, je vous prierai de passer à l'infirmerie voir Docteur Klein.
- Bonjour Madame, c'est entendu, je passerai le voir.
La directrice tourne les talons et entre dans son bureau sans autre explication, laissant la jeune professeur avec ses interrogations.
Vers dix heures quinze, alors qu'elle est en salle des professeurs, à préparer son cours suivant, Marie-Claire se souvient de la demande de sa directrice, range ses affaires, les pose délicatement dans son casier, remet sa tenue en ordre, en passant devant la glace et sort pour se diriger vers l'infirmerie.
Elle frappe à la porte et attend l'invitation à entrer, qui tarde quelque peu à venir. Quand elle entre enfin dans le bureau, elle trouve le Docteur Klein en train de classer des papiers, dans la partie basse de la grande armoire, qui lui ordonne, sans lever les yeux :
- Asseyez-vous, je suis à vous tout de suite.
Sans répondre, la belle blonde va s'asseoir à l'endroit indiqué, puis elle attend que l'homme finisse, ce qu'il est encore en train de faire.
Après quatre ou cinq minutes d'attente, l'homme décide enfin de s'occuper de sa patiente. Il se relève et vient s'asseoir à son tour à son bureau. Puis, sans préambule, il commence à dire d'une voix grave :
- J'ai eu la désagréable constatation d'une recrudescence de maladies vénériennes chez nos pensionnaires, ces deux derniers mois. J'ai fait part à Madame la Directrice, que certaines de nos pensionnaires ressemblaient plus à de jeunes catins, qu'à des jeunes filles de bonnes familles, et nous avons décidé ensemble de faire subir des dépistages précis, aux personnes qui nous paraissaient les plus dangereuses, de ce côté-là.
- Bien... Mais je ne vois pas en quoi tout cela me concerne ; Docteur.
- Madame la Directrice m'a fait remarquer ; que sous vos airs de sainte-nitouche, à la façon dont vous regardez vos collègues masculins, vous aviez, vous aussi, certaines caractéristiques...
- Mais ! Je ne vous permets pas...
- Métriez-vous en doute le jugement de votre patronne ?
- Il ne s'agit pas de ça, mais...
- Suffit ! J'ai ordre de vous examiner, je vais donc le faire et tout de suite encore ! Commencer par vous déshabiller.
- Mais...
- Il n'y a pas de "mais" qui tiennent, faites ce que je vous demande, un point c'est tout. De toute façon, puisque vous semblez si outragée de notre décision, vous ne devriez pas avoir à craindre quoi que ce soit, si ?
- Non, bien sur, mais…
- Stop, j'ai dit ! On se déshabille, sans faire sa mijaurée et on se tait, que je puisse me concentrer sur mon métier, Mademoiselle Marie-Claire.
Totalement estomaquée par ce qu’elle vient d'entendre, la jeune femme se déshabille, en pensant surtout à ce discours inouï. Il lui parait incroyable que sa patronne, même si elle ressent peu d'atomes crochus avec elle, puisse penser pareille chose sur elle. Bientôt, son chemisier et sa jupe se retrouve pliés sur la chaise. En dégrafant son soutien-gorge, elle ne peut s'empêcher de penser à ce qui, chez elle, dans ses attitudes, pourrait bien donner l'idée qu'elle est une femme légère. Certes, elle a déjà eu beaucoup d'amants, mais depuis deux ans, qu'elle est avec Philippe, l'homme avec qui elle vie, elle trouve qu'elle a tout de même beaucoup changée, et de look, et d'attitudes d'ailleurs.
Ernest voit parfaitement que ses paroles ont porté. Il contemple la jeune femme qui s'effeuille et qui semble bel et bien être perdue dans ses pensées. Il admire ce ventre plat, ces longues jambes gainées de nylon. Il adore les femmes qui, comme Marie-Claire, ne néglige pas de s'habiller pour travailler, et là, il est comblé. La jolie blonde porte un ensemble soutien-gorge, slip et porte-jarretelles rose pâle en dentelle, qui est magnifique et qui va à ravir avec sa jupe blanche et son chemisier d'un rose plus soutenu. Il attend patiemment qu'elle pose son soutien-gorge, pour, sans lui laisser le temps de souffler, lui ordonner encore d'une voix sèche :
- La culotte aussi bien sur !
La blonde s'exécute docilement, bien que le ton employé par le médecin, ne lui plaise pas du tout. Elle aimerait se rebiffer contre l'attitude odieuse de cet homme assez laid, grisonnant et moustachu qui ne lui plairait pas du tout, en dehors du contexte, néanmoins, elle sent sa volonté faillir et n'arrive pas à formuler quoi que ce soit pour se défendre, ou, du moins, se faire un peu respecter.
L'homme pervers se régale du spectacle, et dès que la jeune femme est nue, à l'exception de ses bas et de ses escarpins, il enchaîne :
- Bien, on va commencer par un petit questionnaire, avez-vous plusieurs partenaires sexuels ?
- Non, je vis avec le même homme, depuis deux ans, environs.
- Attention, que vous viviez en couple ne veut pas dire que vous n'avez pas des partenaires multiples, les partouzes ça existe que je sache !
- Non mais !
- Doucement Mademoiselle, vous semblez oublier mon titre et mon rôle ici, alors un peu de calme et répondez franchement aux questions. Pratiquez-vous la sodomie ?
Marie-Claire est déconcertée par l'attitude, très directive de l'homme, elle réfléchit quelques secondes à savoir si elle doit dire la vérité ou si elle peut se permettre de mentir. Mais quelque chose, tout au fond d'elle, lui intime de dire la vérité, aussi répond-elle d'une voix timide :
- Oui, parfois cela nous arrive...
- Oui quoi ? Vous êtes une partouzeuse invétérée ou vous vous faites sodomiser régulièrement ?
- Non, non, je n'ai jamais participé à une partouze, comme vous dites, mais oui, il arrive que mon ami me sodomise parfois.
- Bien, je le note. Et tout en se penchant pour commencer à écrire, le médecin continue son interrogatoire :
- Avez-vous des relations bucco-génitales ?
- Pardon ? Cette fois, Marie-Claire est outrée, même sa gynécologue ne lui a jamais posé de telles questions, aussi indiscrètes.
- Vous ne m'avez pas l'air d'être très futée pour un professeur...
L'homme marque une pose en observant, discrètement, l'effet que produisent ses paroles lourdes sur la jolie blonde, puis, il enchaîne d'un ton encore plus dur :
- Sucez-vous la verge de votre ami, puisqu'il faut vous mettre les points sur le "i".
La jeune femme ne sait maintenant plus quelle attitude adopter, devant ce vieux vicieux de médecin scolaire. De plus, dans sa posture, les bras le long du corps, debout presque nue, elle se sent ridicule, elle a l'impression de redevenir une petite fille, prise en faute. Elle se perd dans ses pensées, quand elle entend la voix dure du docteur, qui la rappelle à l'ordre :
- Alors ! vous sucez sa bite ou pas ? On ne va pas y passer toute la journée tout de même !
- Oui... Le mot est sorti machinalement de sa bouche, et elle a l'impression de vivre un mauvais cauchemar, c'est un peu comme si elle s'entendait parler alors qu'elle serait ailleurs.
- Parfait... Puisque vous êtes un peu nunuche, je vais vous poser des questions plus faciles... Vous avalez son foutre ?
- Oui, j'aime bien... Là encore, Marie-Claire a l'impression de rêver et que c'est une autre personne, qui répond à sa place. Tout de suite, elle s'en veut d'avoir dit qu'elle aimait boire la semence de son homme, comme elle aimerait qu'il soit là, en ce moment !
- Je me disais bien que vous aviez une tête d'avaleuse de foutre... Bien, pas de déviance sexuelle, du type photos ou vidéos ?
- Heuuu...
- Ha ! En plus vous êtes exhibitionniste ! Je me disais aussi en voyant vos sous-vêtements de pute...
- Mais...
- C'est bon, c'est tout de même pas une petite grue exhibitionniste, avaleuse de foutre, une petite enculée, qui va m'apprendre ma science !
- Mais Docteur...
- Bon, ferme-la maintenant et contente-toi de répondre précisément à mes questions, ou je fais un rapport salé à notre directrice, en disant qu'il y a des risques avec toi, pour nos pauvres petites élèves...
La pauvre jolie blonde ne peut retenir plus longtemps ses larmes, elle enfouit son visage dans ses mains, en balbutiant encore :
- Je vous assure Docteur, je ne...
- Ta gueule salope, tu réponds à mon questionnaire ou sinon, plus de boulot, c'est compris ça ?
- Oui Docteur...
- Parfait, je vais alors enfin pouvoir travailler comme il se doit. As-tu déjà eu des rapports homosexuels ?
- Mais Docteur !
- Bon, c'est pas grave, de toute façon une dépravée comme toi, doit se gouiner régulièrement. J'espère au moins, que tu ne t'es pas permis ce genre de sport, avec nos pensionnaires, tout de même !
- Non, Docteur...
- Ouf, voilà qui me rassure un peu. As-tu des animaux chez toi ?
- Oui, un chien.
- Quelle race, s'il te plaît ?
- Un berger allemand, c'est le chien de mon ami...
- Bien, je note donc : "tendance zoophile"...
- Mais ce n'est pas vrai...
- Tu n'es pas trop mal foutue, mais tu as vraiment un pois chiche dans la tête, tu ne te rappelles déjà plus, ce que je t'ai dit au sujet d'un certain rapport, à notre directrice ?
- Pardon, Docteur, excusez-moi...
- Bon, continuons tout de même... Tu bois ?
- Rarement Docteur, parfois un cocktail lors de sorties.
- Et tu prends aussi des drogues illicites, parfois comme tu dis si bien ?
- Non, non, je vous assure...
- Méfie-toi, un simple examen sanguin, que je peux ordonner dès à présent, nous révélera tout. Ne serait-ce que d'avoir fumé du cannabis, alors attention à ta réponse, je recommence, prends-tu des drogues illicites ?
- Il m'est arrivé de fumer quelques joints.
- Bien sûr... J'imagine aisément, qu'il doit être plus simple, d'être dans un état second, pour aller lécher la chatte d'une autre salope... Bref, et la cocaïne ?
- J'en ai pris, mais juste une fois, Docteur, je vous assure que cela n'a été qu'une expérience et que je n'en ai jamais repris, depuis.
- Ben voyons... Et à la fac, j'imagine, non ?
- Si, pourquoi ?
- Parce que tu me sembles être une parfaite dépravée, si jamais j'entends parler de cocaïne dans notre établissement, je ferai tout de suite le lien avec toi et en informerai, qui de droit. Tâche de te tenir à carreau, je ne te prends pas en traître, mais méfie-toi bien de ma colère.
Marie-Claire se remet à pleurer en enfouissant, une fois de plus, son visage dans ses mains. Elle se demande bien comment, elle en est arrivée là, avec ce toubib vicieux qui la piège à chaque question, et elle qui, bêtement, tombe à chaque fois aussi dans ses pièges. Elle voudrait que son calvaire finisse le plus vite possible, pour aller pleurer dans les bras de son ami, si doux.
Un sourire sadique, s'affiche sur le visage méchant de l'homme. Il est très content de son résultat, cette jolie blonde qui pleure à chaudes larmes, il lui semble qu'elle est prête à aller plus loin. Mais, bien qu’assez sûr de lui, il fait très attention de ne pas sortir de son rôle de médecin. Il poursuit donc encore son questionnaire indiscret en demandant, toujours d'une voix dure et autoritaire :
- Et des démêlés avec la justice, pour prostitution, exhibition, drogues ou autre ?
- Non Docteur, vous pouvez vérifier mon casier judiciaire, je n'ai jamais eu maille à partir, avec la justice.
- Je vérifierai plus tard, car avec le genre de petite pute que tu es, il vaut mieux se méfier. Madame Grasset a eu le nez creux, quand elle m'a demandé cet examen... Bon, maintenant, tu vas aller te mettre sur mon siège de travail, que j'examine ta moule de pute, plus en détail.
Sans poser de question, la belle Marie-Claire se dirige vers le grand fauteuil d'examens, qui est installé dans le coin de la grande pièce, près de la fenêtre en verre dépoli. Arrivé à un mètre du fauteuil, elle marque un temps d'arrêt.
Le vicieux médecin s'en aperçoit et dit alors d'une voix encore plus dure, que lors de l'interrogatoire :
- T'attends quoi pétasse, tu es trop conne pour t’asseoir sur un fauteuil ?
La jolie blonde aimerait pouvoir dire ses quatre vérités, à ce vieux vicieux, qui ne lui inspire que du dégoût, toutefois, elle sait parfaitement que le pouvoir, est entre les mains de l'homme, et elle ne veut pas prendre le risque de perdre son travail, simplement pour avoir la fierté de remettre ce monsieur à sa place. Elle commence à se dire qu'après tout, si l'interrogatoire a fait fantasmer ce vieux vicelard, il ne lui a rien enlever à elle, et elle essaye de se persuader, que l'homme n'a rien écrit dans son dossier, qui puisse lui nuire.
- Allez pétasse, va te mettre sur le dos comme toutes les putes de ton espèce.
Tranquillement, Marie-Claire monte sur le fauteuil et s'allonge sur le dossier, les jambes serrées. Elle essaye encore de se persuader, que l'examen sera rapide et qu'elle sortira bientôt de ce lieu sordide.
- Écarte tes jambes salope, ça au moins, tu devrais savoir le faire, non ?
- Dites, ça vous amuse vraiment, d'essayer de m'humilier ?
- Ah ! Tu crois que je m'amuse, toi... Tes pieds dans les étriers, et plus vite que ça. La voix de l'homme est devenue, cette fois, non pas seulement dure, mais il y perse quelque chose de menaçant.
Marie-Claire n'est pas trop rassurée, mais elle essaye de se montrer fière et place ses pieds dans les étriers, comme il lui a été demandé, avec un sourire forcé aux coins des lèvres.
Le médecin se rend compte, que la jeune femme n'est pas encore totalement, sous son emprise, tout en s'emparant discrètement de deux lanières de cuir, munis d'attaches rapides, il répète une fois de plus à la jeune femme :
- Écoute, si tu veux perdre ton boulot, tu descends de là tout de suite, l'examen est terminé et toi, tu retournes à la pêche...
Voulant se persuader que l'homme bluff, la jolie blonde affiche un beau sourire et se vante :
- Mais non, vous allez m'ausculter et nous nous quitterons bons amis, cher collègue.
Ernest, parfaitement entraîné à la manœuvre, fixe très vite, la cheville droite à l'étrier au moyen de la première lanière de cuir. Puis, de façon extrêmement leste, pour un homme de sa corpulence, il emprisonne l'autre cheville et lui fait subir le même traitement.
La jolie blonde ne comprend pas tout de suite ce qui se passe, donc elle ne cherche pas à défaire les liens. Mais quand le médecin lui prend violemment le bras gauche, près du mur, pour placer son poignet dans une sorte de menotte de cuir, elle commence à se rebiffer :
- Non mais, ça ne va pas ! Où avez-vous donc bien pu faire vos études de médecine ?
Sans répondre, Ernest fait très vite le tour du fauteuil, se jette sur le bras droit, dont la belle se sert pour essayer de défaire la menotte, qui lui emprisonne déjà le poignet gauche. De toute sa force, il ramène le bras droit sur le côté du fauteuil, attache à son tour le deuxième poignet, de la même façon que précédemment. Puis, quand toute l'opération est terminée, il s'adresse à la jeune professeur, en la fixant d'un regard noir :
- Pauvre petite conne, tu n'as pas voulu de mes largesses, à ton égard, je pense que tu vas, amèrement, le regretter...
- Si vous ne me détachez pas tout de suite, je hurle et ameute tout l'établissement !
- Tu peux crier tout ton saoul, si le cœur t'en dit, moi, j'appelle Madame Grasset...
L'homme va à son bureau et décroche son téléphone. Il fait le numéro de poste de la directrice.
Marie-Claire se demande si c'est du lard ou du cochon. Elle essaye encore de se persuader, que tout ceci n'est que bluff, mais elle y a de plus en plus de mal.
- Monique... c'est Ernest...
- Oui, elle est là...
- Arrivée avec un bon quart d'heure de retard, mais ce n'est pas pour cela que je vous appelle...
- Un dossier médical édifiant, vous aviez raison de vouloir cette expertise...
- Oui... J'aimerais que vous passiez...
- Oui, tout de suite...
En raccrochant le combiné, l'homme se tourne vers la jeune femme, lui lance un regard courroucé, puis laisse tomber froidement :
- Madame la directrice arrive, vous lui demanderez de vive voix, où j'ai obtenu mon diplôme de médecine.
La pauvre femme est atterrée. Cette fois, le doute n'est plus permis, non seulement, ce n'est pas du bluff, mais en plus, ce docteur Folamour va raconter un tas d'insanités, sur son compte ! Elle essaye alors une autre ruse en disant :
- Mais... Et le secret médical, alors ?
- Il n'y a pas de secret médical ; pour une pute comme toi, connasse, de plus, aux vues de tes réactions, je pense qu'il y a une incompatibilité, avec le métier d'enseignant.
Trois coups secs à la porte de l'infirmerie font se diriger le médecin vers l'entrée. Il demande d'une voix forte :
- Qui est là ?
- Madame Grasset, puis-je entrer Ernest ?
- Entrez, c'est ouvert.
Pendant que la porte s'ouvre, le docteur prend le dossier médical qu'il vient de remplir, se retourne, et va à la rencontre de la directrice, avec un large sourire, que ne peut pas apercevoir la pauvre Marie-Claire.
La femme qui entre est âgée d'environs cinquante-cinq ans. De longs cheveux gris entourent son visage, dont on ne voit pratiquement que les yeux clairs perçants. Malgré son âge, Monique est encore assez jolie, pas très grande mais bien proportionnée. Elle est vêtue d'un tailleur strict gris clair, et elle donne l'impression de faire un peu plus, que son mètre soixante-cinq, sur ses escarpins à talons aiguilles. En serrant la main de l'homme, d'une voix soucieuse, elle annonce :
- Je suis venue immédiatement. Je connais votre professionnalisme et suis sûre qu'il ne peut s'agir, que d'une affaire extrêmement importante, pour que vous m'appeliez de la sorte, mon cher Ernest.
- Tenez, plutôt qu'un long discourt, je préfère que vous lisiez ce dossier... Il tend le document à sa patronne puis, enchaîne, dès que cette dernière s'en est emparée :
- L'examen médical, à proprement parler, n'a pas encore commencé, mais les réponses de votre jeune recrue, me laisse sans voix, jugez vous-même.
De longues minutes s'écoulent, pendant que la directrice lit silencieusement le document. De temps à autre, elle se racle la gorge, pour montrer son mécontentement.
La pauvre jeune femme reste interdite. Elle suit la scène avec attention et commence, maintenant, à craindre sérieusement, pour son poste.
Monique tend le dossier à son ami et, en affichant une mine décomposée, avoue d'une voix méprisante :
- Je vous remercie, Ernest, effectivement, vous avez raison, comment garder pareille traînée, dans le corps enseignant ?
- Je peux vous assurer, Monique, que lors de l'entretien, j'ai été moi-même effaré, par les propos de cette salope en chaleur !
- Vous me connaissez, Ernest, j'ai toujours tout fait pour donner une chance à de pauvres âmes perdues, comme cette... Pute, car il n'y a pas d'autre mot pour la qualifier, malheureusement...
La jeune femme n'en croit pas ses oreilles, c'est pourtant bien d'elle dont il s'agit, une nouvelle fois, elle éclate en sanglots.
Prenant le bras du médecin, la directrice se dirige maintenant vers le fauteuil en ajoutant encore :
- Vous êtes certain qu'il n'y a pas d'autre solution, que le renvoi, mon cher Ernest ?
- Sérieusement, vu son passé, et notamment au sujet de la drogue, je crains fort, que nous ne prenions de très gros risques, en la gardant dans notre corps, qui a, ne l'oublions pas, une grande et belle mission...
- Vous me disiez qu'elle n'avait pas encore subi, votre examen médical, non ?
- Tout à fait, ma chère Directrice, mais cela en vaut-il encore la peine ?
- Oui, je veux avoir toutes les informations, concernant cette petite grue, et un avis médical éclairé, me sera d'un grand secours. Je vous laisse officier mais je reste auprès de vous, pour parer à toutes éventualités.
Se penchant pour attraper un tabouret et le tendre à sa patronne, le docteur précise encore :
- Si vous souhaitez un approfondissement quelconque, n'hésitez surtout pas à demander, ma chère Monique.
Ernest commence alors, à apporter une petite table basse, sur laquelle sont posés les outils nécessaires à son examen. Puis, il va dans l'autre coin de la pièce, et en rapporte un autre tabouret, qu'il place entre les étriers.
La pauvre jeune femme pleure toujours à chaudes larmes. En plus, maintenant, elle se sent ridicule dans cette position si personnelle, devant sa patronne, nue et entravée. Elle essaye de se calmer un peu et fini par dire, entre deux gros sanglots :
- S'il vous plaît, Madame...
- Taisez-vous... Avec ce que je viens de lire, votre confession en somme, vous me dégoûtez. Alors n'aggravez pas encore votre cas, en gémissant comme une petite fille, un peu de tenue, que diable, même si vous en manquez singulièrement !
La pauvre jeune femme se rend compte, qu'elle n'a rien à attendre de bon de cette femme cruelle. Elle essaye de se calmer, encore un peu, et ferme ses grands yeux bleus.
Le médecin vient s'asseoir sur le tabouret, qu'il a mis en place quelques instants plus tôt. D'un geste précis et sûr, il s'empare du spéculum, le place devant ses yeux et inspecte, une fois encore, son état, l'enduit de vaseline consciencieusement. Puis il pose sa grosse main chaude, sur le pubis rasé, où juste une petite touffe de poils courts, remonte de quelques centimètres vers le nombril, et introduit, vivement, l'ustensile dans le vagin.
Marie-Claire pousse un cri lors de cette indélicate introduction.
- Ta gueule, petite pute, je suis sûr que tu ne cries pas tant, quand tu te prends un coup de bite ! S'exclame le médecin.
Monique tient à montrer qu'elle est totalement solidaire de son médecin, en s'adressant à la blonde d'une voix sévère :
- Avec ce que je viens d'apprendre, tu me parais bien mal placée pour venir maintenant te plaindre... Puis, s'adressant au docteur, elle poursuit :
- Mon cher Ernest, ne prenez pas de gant, autant qu'elle souffre, par là où elle a beaucoup péché, non ?
- Bien sûr, et foi de médecin, je peux vous dire que ce vagin est fort dilaté, pour une jeune femme, qui n'a pourtant pas encore enfanté !
L'homme tourne la molette du spéculum, pour écarter les deux parties mobiles et ouvrir ainsi le vagin, à son inspection.
Marie-Claire souffre, de ce douloureux traitement. Elle sent sa chatte s'ouvrir, sous la pression et se demande, en serrant les dents, quand l'homme arrêtera enfin, de l'écarteler de la sorte.
- Mais c'est pas croyable ! Venez jeter un coup d'œil, ma chère... Quand je vous dis que ce n'est qu'une pute, toujours pleine de foutre... venez, je vous en prie.
La directrice se lève alors et vient aux côtés du médecin.
- Là, vous voyez... Ceux sont des traces de sperme. Elle a dû se faire prendre, ce matin même ! Avant un examen gynécologique qui plus est !
La directrice furieuse, retourne auprès de la pauvre jeune femme, qui ne pouvait pas savoir, le matin même, qu'elle serait examinée de la sorte, et, la regardant férocement, lui demande :
- T’es tu fait prendre ce matin, salope ?
- Mais Madame...
Pour toute réponse, la pauvre jeune femme reçoit une violente gifle sur la joue gauche, qui lui tire un nouveau cri et de nouveaux sanglots.
- Voyez-vous, ma chère, l'examen médical corrobore l'entretien préalable, cette garce est une vraie furie sexuelle, comme j'en ai rarement vu, et je peux vous assurer, que j'en ai vu, pourtant, des vertes et des pas mûres !
- Continuez Ernest, je statuerai avec vos commentaires définitifs.
La directrice s'assoit à nouveau sur son tabouret et contemple les magnifiques seins, de la pauvre femme.
Le médecin continue d'ouvrir le spéculum, jusqu'à ce que, dans un mouvement d'autodéfense, la jeune femme ressert ses cuisses. À ce moment, il annonce :
- Écartes tes cuisses, tu n'as qu'à imaginer que c'est ton gros chien qui vient te lécher... D'ailleurs tu pues ! Ici, ça sent vraiment la moule pas fraîche !
Marie-Claire se sent vraiment totalement humiliée. Un examen gynécologique n'est certes, jamais, une partie de plaisir pour elle, mais d'être ainsi traitée et exhibée, devant sa patronne, ça, elle n'avait jamais vécu.
Le docteur se penche vers sa tablette et s'empare, maintenant, d'une petite fiole prolongée d'un long bec recourbé et marqué "alcool à 90". Il revient entre les jambes toujours serrées, les écarte sans douceur, place l'embouchure du bec à quelques millimètres du clitoris, bien dégagé du fait de la présence du spéculum, et en verse quelques gouttes.
La pauvre femme commence par ressentir un liquide, extrêmement froid, sur son bouton d'amour, puis le froid fait place à une douce chaleur, mais très vite cette douce chaleur devient un feu qui la consume, elle commence à gémir en se plaignant :
- Arrêtez ! Ça me brûle atrocement ! Par pitié, arrêtez ça tout de suite !
D'un bond, la directrice se lève de son tabouret, vient placer son visage à quelques centimètres de celui, grimaçant, de la pauvre blonde, puis hurle :
- Fermes ta gueule, salope, tu ne vas pas nous emmerder, sans arrêt ! Puis, elle attrape les tétons entre ses pouces et ses index et les pince sauvagement, tout en les tirant vers le haut.
Souffrant maintenant de deux endroits différents, la pauvre jeune femme grimace de plus bel. Une longue plainte s'échappe de sa gorge nouée et de grosses larmes coulent, le long de ses joues.
La méchante directrice se recule un peu, en pinçant toujours aussi fort les tétons et en tirant fermement sur les seins. Puis, elle laisse tomber, de sa voix sévère :
- Si tu ne fermes pas ta grande gueule, je te bâillonne, c'est compris pouffiasse ?
Mais Marie-Claire souffre bien trop, pour pouvoir comprendre et répondre. Elle continue à gémir, puis d'un coup, commence à hurler.
La vieille femme lâche les tétons, se recule encore un peu, puis assène une violente claque, toujours sur la joue droite de la malheureuse et réitère sa question :
- Alors, tu veux réellement être bâillonnée, pour le reste de l'examen ?
- Non Madame, mais par pitié, ne me faites plus de mal...
- Alors pétasse, tu fermes ta grande gueule et subis cet examen, sans pleurnicher !
Pendant ce temps, le médecin vient de préparer une fine pince avec un coton stérile à son extrémité. Il s'approche de la chatte, toujours maintenue ouverte par le spéculum, puis annonce à l'attention de sa patronne :
- Je vais lui faire un prélèvement de flore vaginale, j'espère simplement, que tout le foutre, qu'elle a en elle, ne nuira pas à l'analyse.
Maintenant la jeune femme ne dit plus rien, elle se contente de pleurer en silence, en se demandant ce qui va bien pouvoir lui arriver encore. Elle commence à avoir très peur, de ces deux malades.
- Vous avez raison, mon cher Ernest, je trouve aussi que l'odeur commence à être très désagréable, vous ne pourriez pas faire quelque chose, pour ça ?
- Si, vous avez raison, je vais lui nettoyer sa moule puante au Mercryl, que l'on puisse y voir un peu plus clair.
Monique s'empresse de plaquer sa main, sur la bouche de la jeune femme. Elle appuie de toutes ses forces, la fixe froidement dans les yeux et lui annonce :
- Nous allons t'apprendre l'hygiène, tu vas voir...
Marie-Claire est totalement effrayée, cette fois. Déjà l'alcool sur son pauvre petit clitoris, l'a fait atrocement souffrir, maintenant, que la douleur s'estompe un peu, elle craint une douleur encore plus vive avec le désinfectant. Son regard devient suppliant.
Le docteur s'est retourné une fois de plus vers sa tablette. Il ouvre doucement un flacon de Mercryl, pose le bouchon, s'empare d'une grande seringue, sans aiguille, qu'il glisse par l'ouverture. Il pompe dix centilitres de désinfectant et pose la seringue sur la tablette. Consciencieusement, il referme le flacon, puis, en prenant la seringue, se replace entre les cuisses, de la jeune femme, qu'elle tente désespérément de refermer. Il avance le bout de la seringue, la fait pénétrer entre les mâchoires du spéculum, puis, avant de faire couler le liquide, laisse tomber froidement :
- Je vais t'apprendre, moi, à aller consulter, avec la moule pleine de foutre...
Le liquide tiède commence à couler, dans la matrice de la jeune femme. Au début, la sensation serait presque agréable, dans d'autres conditions, mais très vite, c'est une chaleur de plus en plus intense qui lui envahit le ventre.
- Voilà, dit fièrement le médecin, quand il en a fini avec la seringue et que le désinfectant remplit le vagin.
Marie-Claire recommence à gémir, de plus en plus fort maintenant. Sans la main de sa directrice sur sa bouche, elle hurlerait. Elle tourne sa tête dans tous les sens, pour essayer de se dégager et d'appeler au secours, mais la vieille femme ne se laisse pas, si facilement, avoir.
Sans rétracter les mâchoires du spéculum, qui dilate les chairs, le docteur retire, sans ménagement, l'ustensile qui laisse la vulve largement ouverte. Puis, il pose sa main gauche sur le ventre et cajole, d'un pouce expert, le clitoris de la blonde. Il ajoute encore :
- Ça va te faire du bien ça, ma salope...
À cause de l'alcool, le clitoris de la pauvre femme est devenu hypersensible. Et, le doux massage est si inattendu, si déplacé en quelque sorte, qu'il procure très vite des ondes de plaisirs qui parcourent le corps attaché. Marie-Claire sent sa chatte se refermer doucement, et cette sensation est tellement agréable, surtout comparé à ce qu'elle vient de subir, qu'elle commence à oublier le feu, qui la brûle.
Le docteur, vicieux à souhait, s'applique à procurer le maximum de plaisir possible à la jeune femme, qui est totalement à sa merci. De connivence avec sa directrice, il lui fait un clin d'œil et un petit signe de tête pour qu'elle relâche la bouche de la blonde. Puis, quand il s'aperçoit que, maintenant, la jeune femme respire fort et commencerait même à gémir de plaisir, il annonce fièrement :
- Mais ! Je ne rêve pas ! Ma parole cette salope commence à jouir ! Vous vous rendez compte Monique, c'est un comble tout de même, non ?
- Effectivement, on dirait qu'elle commence à se pâmer, et sous mes yeux encore ! Quelle femme vicieuse tout de même !
- T'aimes ça, hein salope, qu'on te touche la moule... Avoue que tu es une vraie salope...
La vive tension nerveuse des moments passés, à être ainsi torturée mentalement, la pauvre Marie-Claire ne sait, à présent, plus où elle en est dans tout ça. Et ce diable d'homme qui lui bricole le clito, ne fait rien pour l'aider à retrouver ses esprits, au contraire, en ce moment, elle ne sait plus si elle doit rire ou pleurer, elle sent les prémices d'un puissant orgasme, monter au creux de ses reins, et elle commence à perdre tout contrôle, d'elle-même.
La perverse directrice se régale à voir cette jeune beauté, prendre son pied, tout comme elle s'est beaucoup amusée, lorsque son complice et ami de toujours, a pratiqué ses petits jeux sadiques.
Tout en continuant à prodiguer ses divines caresses, qui font un tel effet, le médecin affiche un drôle de sourire et demande à sa patronne, d'une voix forte :
- Vous ai-je parlé de la méthode de désinfection électrolytique, que j'ai mis au point, récemment ?
- Ah non Docteur, dites-m'en plus, s'il vous plaît, vous savez bien que je suis toujours très intéressée, par vos recherches.
- Eh bien, il s'agit de détruire les germes par l'action du courant électrique. plus exactement grâce à l'électrolyse. Mais je vais vous montrer.
Cette fois, la jolie Marie-Claire gémit effectivement de plaisir, le doute n'est plus permis.
Monique approche son visage de celui de la captive, elle fixe les yeux clos de la blonde, tout en s'emparant des tétons, comme elle l'a déjà fait tout à l'heure. Elle pince violemment l'extrémité des deux tétons en même temps, mais cette fois, moins fort. Puis, en plongeant son regard froid dans les beaux yeux de Marie-Claire qui viennent de s'ouvrir sous la douleur, lui dit :
- Mais tu jouis, petite traînée ! Et devant ta patronne, cela ne semble pas vraiment te mettre mal à l'aise !
Ernest arrête ses caresses sur le clitoris instantanément, puis, il se tourne vers sa tablette et commence quelques mystérieux préparatifs.
La pauvre blonde grimace sous la douleur, que lui font ses seins à nouveau. D'une voix plaintive, elle commence à dire :
- Pitié Madame, vous me faites horriblement mal !
- Pas de pitié, pour les putes de ton espèce... Et tes nichons sont comme toi, beaucoup trop fiers. Tu vas voir, quand j'en aurai fini avec eux, ils deviendront tout mous et tomberont, tu feras encore plus pute, ainsi...
La pauvre blonde, recommence à s'agiter pour essayer d'échapper à l'emprise de ces pinces de chairs, qui lui torture les tétons, mais rien n'y fait, et, attachée comme elle est, elle ne fait que s'épuiser.
Ernest, quant à lui, vient de brancher deux fils sur une boite munie d'un bouton gradué. Il fixe maintenant le premier fils sur une petite pince métallique, puis le deuxième sur une sorte de longue tige isolée, d'une bonne dizaine de centimètres, se terminant par une boule d'environs quatre centimètres de diamètre. Ses préparatifs bizarres enfin terminés, il se place, une fois de plus, entre les jambes de la jolie blonde, puis dit à sa patronne :
- Venez, ma chère, je vais vous expliquer le fonctionnement de ce mystérieux matériel.
Monique lâche les seins, qu'elle tenait si férocement, et, sans se soucier de la jeune femme, se dirige vers son collaborateur. Elle se cale entre le mur et la droite de l'homme et demande :
- Alors, expliquez-moi tout, mon cher Docteur.
L'homme attrape la grande lèvre droite, de la jeune femme, entre son pouce et son index gauche et tire dessus, il Avance la petite pince qu'il tient dans sa main droite et vient la fixer sur la lèvre distendue. En relâchant la pince et, pendant que la belle crie sous la morsure de la mâchoire métallique, mais il ne s'en préoccupe pas du tout, commence à expliquer :
- Je commence par placer l'anode sur la lèvre, comme vous le voyez.
La pauvre Marie-Claire reprend un peu son souffle après le cri déchirant qu'elle vient de pousser sous la douleur. Elle a l'impression qu'il lui manque une partie de sa lèvre, mais très vite, elle commence à s'habituer à la présence insolite de la pince.
Le médecin vient de prendre, maintenant, en main la tige surmonter de la boule métallique. En commençant à l'introduire très doucement, il continue d'expliquer :
- Maintenant, je vais aller placer la cathode à l'intérieur du vagin, et là, je mettrai l'appareil en route.
Monique ne perd pas une miette du spectacle, de cette chatte rasée, équipée d'une pince sur la lèvre droite, qui s'entrouvre pour laisser pénétrer la boule de métal argentée. Puis, se referme doucement, sur la tige gainée de plastique isolant.
Ernest, toujours très précautionneusement, fait avancer la boule dans le vagin, il veut qu'elle aille en butée, contre le col de l'utérus. Il n'en continue pas moins de dire :
- Une fois la cathode bien en place donc, le champ électrique détruira les bactéries, qui se trouve dans les sécrétions vaginales. Et avec cette catin, je ne doute pas, qu'elles soient fort nombreuses !
La boule, qui se déplace doucement dans son vagin, procure une sensation assez agréable à la belle blonde, ainsi la morsure de la mâchoire est là, pour lui rappeler, si elle en avait encore besoin, que ce vicieux bonhomme ne cherche pas vraiment à lui donner du plaisir. Pourtant, c'est une sensation plus qu'étrange qui l'envahit, elle en viendrait presque à aimer ce moment bizarre.
Lorsque Ernest s'aperçoit que son ustensile est au fond du vagin, malicieusement, il donne quelques accoups sur la tige, pour que la boule vienne buter contre le col, arrachant ainsi quelques petits cris de surprise à la femme attachée. Puis, il continue de commenter :
- Voilà, maintenant la cathode est bien au fond du vagin, je vais pouvoir faire passer le courant.
Monique est toujours très attentive à ce qui se passe, sous ses yeux.
L'homme recule un peu la tige en se tournant vers sa tablette, il appuie sur le bouton de la boite, sur laquelle sont reliés les fils, puis commence à tourner, doucement, la molette graduée.
La circulation du courant provoque, d'abord, des chatouillis à la jolie blonde, qui se demande bien, ce que ce diable d'homme va encore chercher, pour la faire souffrir.
- J'augmente le courant maintenant, dit Ernest, en s'adressant autant à sa patronne, qu'à la jeune femme livrée à ses tortures.
Cette fois, les chatouillis deviennent plus forts et finissent en picotements, de plus en plus désagréables. Marie-Claire aspire alors, fortement, par la bouche entrouverte, les dents serrées.
- Quel est le courant à appliquer, Docteur, pour que le traitement soit efficace ?
- Tout dépend des sujets en fait, mais en l'occurrence, sachant que cette femme est tout de même très portée sur la chose et qu'elle a visiblement des rapports très fréquents, donc des risques de contaminations et des germes bien plus nombreux, que la majorité, je pense qu'un quart d'heure, à courant maximum, ne sera pas de trop.
Malgré sa crispation, la belle Marie-Claire commence à avoir très peur, car elle ne sait absolument pas, quel est ce courant maximum, par rapport à ce qu'elle endure, pour le moment. Aussi, implore-t-elle, une fois encore :
- Je vous en supplie, arrêtez de me torturer, laissez-moi partir, pitié !
- Ne vous occupez pas de ses jérémiades, je vais aller la calmer, continuez votre travail, Docteur, dit alors Monique, avec un sourire sadique au coin des lèvres. Puis, elle contourne l'homme et s'approche d'un air menaçant de la jeune femme.
Marie-Claire fait un mouvement de recul de la tête et pleurniche encore :
- Ne me faites pas de mal, s'il vous plaît, Madame, je ferai...
Mais elle n'a pas le temps de finir sa phrase, car la perverse directrice vient de lui donner, une grande claque sonore et dit :
- Vas-tu fermer ta gueule, petite pute, nous travaillons, nous !
- Pitié...
Une deuxième claque vient la convaincre, définitivement, qu'il vaut mieux, en effet, qu'elle subisse en silence, plutôt que de se plaindre comme elle le fait actuellement, car il semble que ses plaintes attisent, plus qu'elles ne calment, ses tortionnaires.
Ernest annonce alors tranquillement, comme s'il ne s'agissait que d'un acte médical :
- Je mets le courant maximum Monique, veillez bien sur notre patiente. Puis il se tourne une fois encore vers sa tablette et tourne le bouton au maximum.
Marie-Claire se met immédiatement à crier et à gesticuler dans tous les sens, autant qu'il lui est possible.
La folle patronne devient d'un coup complaisante, en s'emparant des frêles épaules, de la blonde et en la secouant gentiment, en lui disant d'une voix douce, à présent :
- Ce n'est rien, juste un mauvais moment à passer, mais je suis là, et je compatis à vos souffrances.
Le médecin se débat comme il peut, avec les jambes de la pauvresse, qu'elle secoue aussi dans tous les sens. Et pour finir, il se lève et vient placer son corps massif, entre les jolies cuisses, plaque sa main droite, toujours aussi chaude, sur le ventre tendu, et se remet à masser délicatement le clitoris. Il plonge alors son regard dans les yeux qui s'ouvrent et se ferment de la jeune femme et annonce :
- Voilà, tranquillise-toi, ça va devenir agréable, maintenant que le plus dur est passé.
Monique, qui sent le corps de la blonde se décontracte un peu, lâche les épaules et laisse sa main droite courir sur le cou et le haut de la poitrine de la belle en lui disant encore :
- Alors comme ça tu aimes les femmes...
- Humm... Ne réussit qu'à faire entendre la malheureuse, dont le vagin lui brûle toujours atrocement.
Le vicieux médecin, quant à lui, commence à faire bouger la tige, qu'il tient toujours de sa main gauche. Il fait aller et venir la boule dans le vagin, touchant à chaque fois, une autre partie de la paroi vaginale, tout en continuant à masser, très délicatement, le clitoris.
À chaque fois que la boule touche sa chair, Marie-Claire a un sursaut. Elle est bien trop occupée, à attendre la prochaine douleur, pour se rendre compte que sa patronne, est maintenant en train de lui caresser, doucement, les seins.
- Je vois avec plaisir, que tu deviens plus docile, ma jolie, dit alors la directrice, toujours avec une voix douce. Tu as raison, si tu es une bonne fille, bien que tu sois une vraie traînée, je pourrais, à mon tour, être gentille avec toi et te garder à mon service.
- Que pensez-vous de ma petite invention, ma chère ? Demande le docteur, avec un sourire narquois.
- Cela m'a l'air d'un très bon outil, pour mettre au pas, des petites récalcitrantes, comme notre nouvelle amie...
- Et, de plus, ça fait mouiller cette salope, si vous voulez venir vous rendre compte par vous-même.
Monique se penche en avant et vient déposer un chaste baiser sur les lèvres desséchées de la pauvre Marie-Claire qui respire lourdement par la bouche. Puis, en se relevant, elle lui annonce :
- Ne t'inquiète pas, ma toute belle, je reviens m'occuper de toi tout de suite... Elle se tourne alors vers le sexe, que le médecin caresse, toujours de manière aussi efficace, se penche à nouveau en avant et amène son visage à quelques centimètres de la vulve, juste au-dessus de la main du docteur. Contemple un instant la vulve détrempée, puis annonce, en faisant doucement marche arrière :
- Vous avez raison Ernest, cette salope mouille, comme j'ai rarement vu ! Votre appareil me semble, décidément, génial !
- Je dois avouer, que je suis assez fier de cette petite trouvaille...
La perverse directrice se redresse et revient se pencher sur sa jeune collaboratrice, dans un souffle, elle lui dit :
- Vas-y ma chérie, prends ton pied... Je veux te voir jouir, comme une bonne salope soumise à sa maîtresse... Puis, elle vient plaquer sa bouche sur la bouche, toujours entrouverte, et vient pénétrer de sa langue, la cavité buccale de la femme, qui ne réagit plus beaucoup.
Marie-Claire ne comprend plus rien. Tout à l'heure, elle avait affaire à un médecin austère, qui lui posait des questions insensées, puis, lui a fait plusieurs fois très mal, maintenant le même homme la caresse de telle façon, qu'elle perd le contrôle d'elle-même ! Et que penser de sa patronne, un discours digne d'une bonne sœur, puis maintenant, la voilà qui l'embrasse comme rarement, elle a été embrassée, avec une langue, qui semble vouloir prendre possession de toute sa bouche. Et ces brûlures que lui procuraient, tout à l'heure, la boule, qui deviennent maintenant, vraiment agréable. Dans quel rêve est-elle donc, car ce ne peut être qu'un rêve, tout de même !
- Voilà, je pense que le traitement est maintenant suffisant, dit tout à coup l'homme, en lâchant la tige et relevant sa main droite, pour se tourner à nouveau vers sa tablette et couper le courant de l'appareil.
Monique Stoppe son baiser fougueux, laisse traîner sa langue sur la peau du coup, puis de la poitrine, pour finir par venir embrasser le sein droit, de la jeune femme.
Le docteur revient une fois encore entre les jambes qui sont maintenant calmes et ne bougent plus, mais restent grandes ouvertes, comme si cette femme attendait un amant, puis, délicatement, il ouvre la vulve et retire doucement la tige en arrière, jusqu'à ce que la boule apparaisse, en écartant l'entrée du vagin. Il annonce :
- Je ressors la boule...
Entendant ces mots, la directrice emprisonne le téton du sein, qu'elle vient d'embrasser si gentiment, entre ses dents, et mord un bon coup dans la muqueuse, déjà bien sensibilisée.
- Aie... La pauvre Marie-Claire crie, sous le coup de dent, qui vient d'effacer instantanément tout le bonheur, qu'elle vient de vivre, même si ce bonheur est très controversé.
L'homme à profiter de ce cri pour retirer d'un coup sec, la boule du vagin. Maintenant, il se recule et va poser la tige sur la tablette. Puis il revient dans sa position initiale et annonce à nouveau :
- Je retire la pince...
Nouveau coup de dent, de la directrice, sur le téton déjà douloureux.
Nouveau cri de la jolie blonde.
Et à nouveau, le docteur profite du cri pour défaire la pince de la lèvre toute rouge et endolorie.
Lors de la pose, cette pince avait déjà été douloureuse ; pour la pauvre Marie-Claire, mais maintenant, le fait de la retirer, donne une douleur encore bien pire. Une douleur telle, que la jeune femme, se remet tout de suite à pleurer.
Monique, abandonnant le téton qu'elle vient de mordre, vient déposer un baiser sur les lèvres de la jolie blonde, en s'emparant de ses seins à pleines mains pour les presser fortement, sans aller jusqu'à la douleur, puis elle lui dit d'un ton compatissant :
- Ça fait mal, ma pauvre chérie, attends, je vais demander, à ce que l'on te fasse du bien... Puis, elle embrasse de nouveau la jeune femme à pleine bouche.
Cette femme est folle, pense d'un coup la jolie blonde, qui souffre toujours de sa grande lèvre endolorie.
Se relevant d'un geste brusque, tout en continuant à presser les seins, la directrice lubrique laisse tomber, à l'attention de son acolyte :
- Et l'examen rectal Ernest ?
- Nous y arrivons ma chère... Surtout que cette salope m'a avoué fièrement, tout à l'heure, qu'elle aimait se faire enculer régulièrement, je pense que je n'aurai donc aucun problème...
Serrant encore un peu plus les mamelles, Monique, plongeant son regard froid et dur, dans les beaux yeux bleus délavés par les larmes, et dit, d'une voix redevenue terrible !
- C'est vrai que tu es une enculée... Je suis sûre que cet examen-là, te plaira beaucoup...
Mais ça ne finira donc jamais, commence à penser Marie-Claire, tristement. Elle aimerait bien comprendre ce que ces deux malades cherchent réellement, car en ce moment, elle ne sait vraiment pas quoi penser, de ces deux personnes, à part le fait qu'elles lui paraissent totalement désaxées. Une peur indicible se lit dans ses yeux.
Le médecin s'affaire, une fois de plus, sur sa tablette. Il prend en main un tube de vaseline, réfléchit une seconde, puis, en reposant le tube sans l'ouvrir, s'adresse à sa patronne :
- Finalement, vu comment elle mouille, autant utiliser le lubrifiant naturel...
- Comme vous voulez, mon cher... En ce lieu, c'est vous le maître...
Le docteur s'empare d'un nouveau spéculum, vient se placer entre les cuisses de la blonde, pose l'outil froid sur son ventre et lui prend le haut des cuisses à pleine main. Il tire à lui la jeune femme, qui se laisse faire. Il la place de telle manière, qu'elle arrive tout au bord du fauteuil, avec l'anus accessible. Puis, il lâche sa prise et s'assoit sur son tabouret.
- Avez-vous besoin d'une aide quelconque, Docteur ? Demande Monique d'un air détachée.
- Oui... Venez à côté de moi, s'il vous plaît.
La femme s'exécute et vient se placer à nouveau entre le mur et l'homme. Là, elle attend sagement, les mains dans le dos.
- Si cela ne vous dérange pas, vous allez branler le clitoris de cette petite pute, pour la faire mouiller, le plus abondamment possible.
- Bien Docteur. Et elle avance sa main gauche vers le pubis qu'elle commence à flatter doucement avant de laisser son pouce venir jouer avec le bouton ériger.
Le contact de cette main féminine et douce, fait tressaillir la jeune femme. Se rappelant qu'il vaut mieux, pour elle, qu'elle obtempère, plutôt que de se rebiffer, elle se laisse aller aux ondes de plaisirs qui commencent à inonder son bas ventre.
Le médecin ne reste pas inactif. Il fait courir délicatement le spéculum froid sur la vulve, pour l'enduire des sécrétions de la jeune femme.
Le contraste entre la main chaude sur son pubis et le froid de l'ustensile qui s'égare sur sa vulve, donne des frissons à la jeune femme. La sensation n'est pas vraiment désagréable, surtout par rapport à ce qu'elle a déjà subi ce matin. Le pouce habile qui lui titille le clitoris est, quant à lui, totalement jouissif, et Marie-Claire est obligée de faire de terribles efforts, pour ne pas se laisser aller au plaisir. Malgré tout, son corps la trahit, car elle sent son vagin s'inonder de cyprine qui, vu le traitement précédent, s'échappe de son antre et vient détremper toute la vulve.
La perverse directrice ressent, elle aussi, l'excitation de la jolie blonde. D'une voix douce à nouveau, elle s'adresse à la jeune femme :
- Tu mouilles ma chérie... Tu aimes ce que je te fais, n'est-ce pas ?
- Oui... S'entend dire Marie-Claire, dans un souffle et presque malgré elle.
- Oui qui ? Salope... Cri alors la patronne, changeant instantanément de ton et arrêtant son doux massage.
- Oui Madame... Dit la jeune femme, très surprise du soudain changement de l'attitude de sa patronne.
Reprenant son massage et affichant un large sourire de satisfaction, Monique précise encore :
- C'est mieux ainsi, et bientôt tu auras même le droit de m'appeler Maîtresse...
Le médecin estime qu'il est temps de passer à cet examen anal, qui l'amuse tant habituellement. Sans crier gare, il introduit le spéculum dans le rectum, et, d'un mouvement lent mais constant, pousse l'objet le plus loin possible. Il se redresse et commente :
- Ça rentre tout seul, on voit parfaitement qu'elle a l'habitude d'en prendre plein le cul, cette salope...
- Oui, j'en ai bien l'impression, moi aussi...
L'introduction du spéculum dans son anus, vient de faire perdre la tête à cette pauvre Marie-Claire. Maintenant, elle commence à gémir et le plaisir l'envahit totalement.
- Je vais lui dilater l'anus au maximum, mais je crains d'être obligé de changer d'outil, à ce que je constate. Et sans s'occuper d'autre chose, le médecin tourne la molette de l'appareil, tout doucement, mais en faisant bien attention que l'ouverture soit constante.
La jolie blonde se met à râler, de plus en plus fort, au fur et à mesure que son anus est dilaté. La sensation, mêlée au plaisir que lui procure son clitoris, est telle, qu'elle maintenant vraiment envie, que l'on s'occupe d'elle et que quelqu'un, presque n'importe qui à ce moment, vienne lui faire l'amour et la ravage le plus possible.
- Vas-y ma petite chérie, prends ton pied... Je veux que tu me montres comment tu jouis... Et, tout en prononçant ces paroles, la vieille femme appuie encore un peu plus ses caresses, qu'elle prodigue avec un art consommé.
Assez vite, le médecin arrive en butée avec son instrument. Il tourne son visage vers celui de sa complice, puis, avec un sourire malicieux, lui dit doucement ;
- Et si nous la laissions dilatée ainsi, jusqu'à son prochain cours ?
La prof examinée
Re: La prof examinée
La prof examinée 02
En regardant sa montre, la directrice s'aperçoit qu'il est déjà plus de onze heures. Arrêtant ses caresses savantes, elle réfléchit un instant, puis finit par dire :
- Vous avez raison mon cher Ernest, j'ai encore quelques papiers à signer avant le déjeuner, nous reprendrons donc cet après-midi, avec cette salope en chaleur
- Je vais laisser le spéculum en place, de toute manière, elle a sans doute bien l'habitude d'avoir l'anus ouvert, ça ne devrait donc pas la gêner, outre mesure.
Instantanément dégrisée par les paroles qu'elle vient d'entendre, malgré le brouillard de son plaisir, Marie-Claire comprend que ses deux tortionnaires veulent la laisser attachée. D'une voix pâteuse, dû à sa bouche sèche, elle implore encore, mais sans grande conviction, quant à l'issue de la matinée :
- Mais ! Vous n'allez pas me laisser là, pendant tout ce temps !
- Ernest, Faites-moi taire cette garce !
Sans répondre, l'homme se relève et se dirige vers l'armoire à pharmacie près de son bureau.
- Mais ça ne va pas ! Vous êtes des malades ! Détachez-moi tout de suite ou sinon...
- Sinon quoi, connasse ? Tonne d'un coup la voix dure de la directrice
- Sinon je hurle !
- Essaye seulement une seconde, ma petite garce, et tu verras alors ce qu'il en coûte de se rebiffer, contre sa maîtresse...
- Au secours... Commence à crier la jolie blonde.
Très vite, la vieille femme fait le tour du fauteuil, vient asséner une terrible gifle, qui résonne dans toute la pièce, à tel point que le docteur se retourne, pour voir ce qu'il se passe. En attrapant l'extrémité du sein droit, entre son pouce et son index gauche et en vrillant le téton avec force, Monique poursuit de sa voix féroce :
- Tu vas me payer ta petite rébellion minable, pauvre salope soumise, que tu es...
- Aie... C'est maintenant un grand cri de douleur, qui déchire l'atmosphère de la pièce.
- Prends déjà ça en acompte, petite putain en rut... Et avec les paroles, la directrice donne une grande claque de sa main droite, sur la vulve, en visant spécialement le clitoris.
Marie-Claire pousse un nouveau cri de douleur, tant son bouton d'amour, sensibilisé par les différents traitements, qu'il a déjà subi dans la matinée, est devenu un centre de douleur intense.
- Et si tu ne t'assagis pas, nous t'enfermerons à la cave, avec les rats...
Pendant ce temps, Ernest a pris une petite fiole d'opiacé et un verre. Il ouvre le flacon et verse un peu d'un liquide épais et brun, dans le récipient, puis, referme la fiole pour la ranger. Avant de revenir vers le fauteuil, il passe par le lavabo, tire un peu d'eau fraîche au robinet, en verse dans le verre et referme le robinet.
À nouveau, la jolie blonde pleure à chaudes larmes. La douleur, la peur, un fort sentiment d'injustice, tout se mélange dans sa tête.
Le médecin vient vers le fauteuil, en remuant le verre. Il soulève la tête de la jeune femelle, doucement, et porte le bord du verre, à ses lèvres.
Marie-Claire boit le contenu du verre d'un trait, tant sa soif est grande et sa bouche desséchée. Malgré le goût étrange du breuvage, elle apprécie la fraîcheur du liquide et se calme quelque peu.
- Voilà une bonne salope qui va être mignonne et attendre, bien sagement, notre retour, n'est-ce pas ma petite pute ? Cette fois, la voix de la directrice est douce et une pointe de tendresse pourrait même, y être décelée.
- Par pitié Madame, détachez-moi, je ferais tout ce que vous voulez, mais détachez-moi, je vous en conjure.
- Première leçon ma salope, une bonne soumise doit savoir endurer sans se plaindre. Tu resteras donc attachée, tant que je n'en aurais pas décidé autrement.
- Mais madame, qu'ai-je donc fait, pour mériter ça ?
- Tu vas avoir tout le temps de réfléchir à la question... Puis, se tournant vers le médecin, la directrice lubrique ordonne :
Ernest, Mettez quelque chose sur elle, je ne voudrai pas d'une pute grippée.
L'homme retourne vers son armoire, pour chercher une couverture.
Le produit commence déjà à faire effet, sur la pauvre blonde, en calmant son esprit torturé. Elle se sent maintenant plus détendue, plus tranquille, les douleurs qu'elle a ressenties plus tôt, lui paraissent soudainement bien loin, comme si elle entrait dans un nuage de coton.
Monique surveille de près les réactions de la jeune femme. Elle voit son visage se décrisper et le teint changer, presque imperceptiblement, de coloration. Elle en profite pour se pencher en avant et lui susurrer, d'une voix douce :
- Voilà, calme-toi, tu vas te reposer et penser à moi…
Marie-Claire se sent bien, à présent. Le produit qu'elle vient d'ingurgiter, lui brouille totalement l'esprit, mais l'apaise également.
La directrice vient plaquer sa bouche, sur celle de la jeune femme, qui s'offre maintenant, totalement, au baiser fougueux de sa patronne. La femme âgée en profite pour caresser, fermement, et malaxer le sein droit sous elle, de sa main gauche, et de l'autre main, elle cherche le clitoris, pour aller le titiller.
Cette fois, la jolie blonde apprécie entièrement, ce baiser et ces caresses. Entre cette main qui lui presse le sein droit et cette autre qui lui envahit la vulve, elle ne sait plus, d'où vient au juste, les ondes de plaisirs qui traversent son corps, mais elle sent monter en elle, un orgasme puissant. Sa chatte se trouve de nouveau, totalement humidifiée.
Le docteur revient avec la couverture et ne perd pas une miette du spectacle, qui lui est offert, à présent. Il en profite même pour glisser une main experte, sous la jupe du tailleur de sa patronne, pour lui flatter le haut des cuisses, à la lisière des bas, et constater qu'une fois de plus, elle ne porte pas de culotte.
Monique, tout en appuyant encore son baiser, en fouillant de sa langue experte la cavité buccale, astique frénétiquement le clitoris de la captive. Au souffle court de la jeune femme, elle sent que l'orgasme n'est pas loin.
Très habilement, le pervers médecin caresse la rondelle brune du sphincter, sachant parfaitement, que sa patronne est des plus sensible, au niveau de l'anus, et que, ce faisant, ajouté à l'excitation dans laquelle elle est déjà, grâce à la petite séance, avec cette jolie jeune femme, il va très vite la faire mouiller et l'amener au bord de l'extase.
Marie-Claire se laisse totalement faire, son ravissement monte à grande vitesse, elle sent qu'elle est prête à exploser de plaisir. Sans réussir à se contrôler, elle essaye de rendre le baiser à cette femme, qui lui procure un tel bien être, mais ce qui monte en elle, est bien trop intense, pour qu'elle puisse assurer, la cohésion de ses gestes.
Très experte, la folle directrice amène la belle juste au bord de l'orgasme, puis, d'un geste brusque, se relève et cesse, immédiatement, toute caresse.
- Oh... Non... Ne me laissez pas comme ça... J'ai besoin de jouir maintenant...
- Ernest, occupez-vous de calmer cette petite pute en chaleur, avant que nous allions déjeuner, voulez-vous.
Le terrible médecin, retirant à son tour son index qui venait d'investir l'anus de la directrice, vient se placer entre les cuisses de la jeune femme, puis, d'un geste précis, déboutonne le bas de sa blouse, en remonte les pans, et défait sa ceinture.
Marie-Claire est toujours dans une sorte de transe. Elle se trémousse et remue ses fesses, comme pour mieux s'offrir et recevoir à nouveau les hommages, qui l'ont tant excitée. Elle jette un regard éperdu à sa patronne et implore encore :
- S'il vous plaît, ne me laissez pas dans cet état... Faites-moi jouir, je vous en prie...
Maintenant, Ernest, tient sa ceinture enroulée autour de sa main droite, ne laissant qu'une vingtaine de centimètres de cuir libre. Il lève la lanière de cuir et l'abat violemment, sur la vulve exposée devant lui.
Un cri strident déchire la pièce. La pauvre blonde vient de hurler sous la morsure, de ses chairs intimes, par le cuir. Après avoir fermé vivement ses yeux sous la douleur, elle essaye de les ouvrir à nouveau, mais déjà une deuxième douleur vient la faire hurler de plus bel.
L'homme lève une fois de plus son bras menaçant, arrête son mouvement, fixe le visage fermé de la jolie blonde, puis s'écrit :
- Tu as encore besoin, que je te fasse jouir ou tu vas te tenir tranquille, maintenant ?
- Laissez mon cher, intervient alors la directrice, d'un ton sans appel. Nous allons aller déjeuner et verrons tout à l'heure, ce que cette petite pute a dans le ventre.
Ernest, bien que déçu, laisse retomber son bras le long de son corps. Puis, après deux ou trois secondes de réflexion, il s'écarte du fauteuil et remet sa ceinture dans ses passants.
La folle directrice lance un regard mauvais sur la pauvre jeune femme, puis se tourne vers son collaborateur et ordonne encore :
- Tout compte fait, bâillonnez-la, s'il vous plaît, Ernest, on ne sait jamais qui peut passer dans le couloir.
Une fois de plus, l'homme se dirige vers la grande armoire, fouille dedans pendant quelques secondes, puis revient muni d'un bâillon en cuir avec une boule en caoutchouc. Il se poste devant la jeune femme, qui l'implore de son regard triste, puis, d'un geste précis et sûr, il applique le bâillon. À la fin de l'opération, il se tourne vers sa patronne et annonce fièrement :
- Voilà qui est fait, nous pouvons aller déjeuner, me semble-t-il.
Le déjeuner à la cantine de l’établissement est frugal, de plus nos deux compères n’ont qu’une idée en tête, retourner auprès de leur captive, et continuer cette gentille petite séance.
Les voici de retour dans le labo du docteur. Ils s'aperçoivent que la blonde s'est endormie. Son sommeil est tranquille, elle respire profondément, son corps se soulève au rythme de sa respiration.
Bien qu’elle soit à l’origine de l’état de profonde somnolence, dans lequel se trouve la jeune femme, cela ne plaît guère, à la maîtresse des lieux.
- Allez, on se réveille, fini de dormir maintenant, tu n'es pas là pour dormir ! Où te crois-tu ?
Avec les opiacés qu'on lui a administrés, Marie-Claire a beaucoup de mal à sortir de sa léthargie. Et surtout, elle ne comprend plus du tout, ni où elle est, ni ce qu’elle y fait.
- Une telle attitude demande correction, annonce fièrement le toubib.
Oui, vous avez raison ! Il semble que cette petite grue n'en fasse qu'à sa tête ! Et ça ne me plaît pas du tout. La patronne ici, c'est moi !
- Et la république, alors, c'est qui ? Demande le médecin en riant.
Elle s’empare alors de la cravache, qui est sur la tablette, qui sert de desserte, à son collègue médecin. Elle vient l’agiter sous le nez de la blonde.
- Alors comme ça on se tape une petite sieste pendant que ses collègues sont en plein labeur. Et elle claque un grand coup de cravache sur les deux seins en même temps.
La pauvre Marie-Claire pousse un cri effroyable...
Pendant ce temps, le bon docteur prépare sa potion magique. Il a repris sa fiole d’opiacé, en verse une bonne rasade dans le verre, fait couler de l'eau du robinet, jusqu’à ce qu’elle soit bien fraîche, et il remplit un demi-verre.
La folle patronne profite de ce temps-là, pour se déplacer et vient entre les cuisses de la blonde. Elle assène quelques sérieux coups de cravache sur la vulve, en visant, à chaque fois, le clitoris.
Marie-Claire pousse des cris d’orfraie à chaque fois que le cuir frappe sa vulve. À nouveau, son clitoris la brûle terriblement. Elle pleure à chaudes larmes, elle ne comprend pas pourquoi, tant de haine à son égard.
- Je vais t'apprendre moi, salope, à dormir pendant les heures de cours !
Le regard lubrique parcourt le joli corps de la jeune femme. Elle aimerait que cette jolie plante devienne, d’elle-même, sa complice, mais elle sait qu’avec son visage de mamie, elle a bien peu de chance que cela n’arrive, aussi échafaude-t-elle un plan, pour l’avoir à sa merci, dans sa tête.
En attendant que les opiacés ne fassent leur effet, Ernest se rapproche de la directrice. Il l’enlace avec ses bras. Ils s'embrassent passionnément et Ernest commence à avoir les mains qui se promènent sur le corps de la femme mûre.
Après ce moment de détente tendre, ayant envie d'aller plus loin, le vicieux toubib commence à déboutonner le chemisier de sa patronne.
Mais, celle-ci le stoppe :
- Pas tout de suite, Chéri. Attends un peu, nous prendrons du bon temps en fin de journée, comme d’habitude. Regarde plutôt dans quel état se trouve notre petite protégée.
Suite à un examen minutieux, le médecin se redresse et annonce :
- Ça y est, elle est complètement dans le schwarz.
- Elle ne peut plus nous entendre ni rien comprendre ?
- Non… Là, elle est vraiment dans les vapes
Parfait, si elle ne peut plus nous entendre, détache-moi cette salope et allonge-la-moi par terre, que je me fasse lécher, elle m'excite trop cette petite connasse.
L'homme commence par retirer la couverture, qu'il avait placée par-dessus la femme. Place cette couverture sur le sol dur et froid de son labo. Après, il détache consciencieusement la blonde et la prend dans ses bras musclés, pour aller la déposer sur la couverture, par terre.
L'abominable directrice défait sa jupe. Le sexe et les fesses à l'air, vient encadrer la tête de sa collaboratrice, avec ses pieds. Puis, elle s’accroupit
- Allez ma salope, tu vas lécher la chatte de ta patronne, toute façon tu es une broute minou, non ?
La jeune femme, comme dans un rêve, ne peut faire autre chose, que de sortir sa langue et l’introduire dans le vagin à sa portée. Elle lèche, sans en avoir réellement conscience, ce fruit mûr et juteux.
- C'est ça, ma pétasse, la prochaine fois, je n'aurais peut-être pas besoin de te droguer. Sur ce, elle bouge son bassin de telle façon à ce que ce soit son anus qui soit en face de la bouche gourmande.
- Lèche-moi le cul.
Une fois de plus, Marie-Claire, sort sa langue, lèche l'anus et finit par introduire son membre dans le trou étoilé.
Très étonnant, elle adore ça ! Souvent, c'est son ami et amant, le bon docteur, qui s'occupe de lui faire une feuille de rose. Mais là, cette jolie blonde, qui lui vrille la rondelle de belles manières, l’emmène aux portes de la félicité. C'est un plaisir dont elle se délecte.
- Alors, que penses-tu de cette petite grue ? Demande la femme à son ami.
- Elle devrait être très douée, quand elle ne sera plus dans son paradis artificiel.
- Mais rassure-toi mon chéri, elle n'est pas aussi douée que toi, et de toute façon, il lui manque l’outil qui fait rêver les femmes, que tu es seul, à posséder.
Ernest, flatté, sourit, c'est vrai qu’il est équipé de matériel peu commun.
- Je te propose qu'on la laisse rentrer chez elle. On va la rhabiller un petit peu mais pas totalement, et on la laisse à l'arrêt de bus, qu'en penses-tu ?
- Très bonne idée, admet Ernest, j'aimerais une petite souris, pour voir comment ça va se passer, quand elle rentrera !
Aussitôt dit, aussitôt fait, voici le couple pervers qui aide la blonde à se remettre assise sur une chaise. Puis, l'équipe de ses vêtements, mais la jupe mal fermée et son chemisier bien entrouvert.
Monique attrape la blonde par les cheveux. Elle colle son visage à quelques centimètres et lui dit :
- Demain, petite pute, tu viens sans culotte, sans soutif, un chemisier fin, une jupe au-dessus du genou et des escarpins. Tu porteras des bas jarretières, pas de porte-jarretelles… Tu m'as bien compris, conasse ?
La blonde acquiesce.
Ernest prend le soutien-gorge et la culotte pour les mettre dans la poubelle. Ensuite, il lui passe son imperméable sur les épaules.
Et alors que la perfide patronne sort et retourne à son bureau, pour gérer son institut. Le libidineux docteur prend Marie-Claire par le bras et la guide jusqu'à l'arrêt de bus. Là, il l’assoit sur le banc et lui dit :
- Tu peux rentrer chez toi maintenant ta journée est terminée, ma chérie.
Dans le bus qui arrive, toujours à moitié dans les vapes, la jeune femme titube et va s'asseoir à l’arrière. Trois jeunes viennent s'asseoir à côté d’elle. Les sales gosses de cité se moquent d'elle et la pelote.
Marie-Claire ne semble pas s’en rendre compte et se laisse faire docilement.
Arrivée en bas de chez elle, elle descend du bus, toujours en titubant, et monte à son appartement. Un voisin la rencontre, se demande bien ce que peut avoir, cette jolie voisine, aujourd'hui.
Elle déverrouille la porte, l'ouvre, entre, la claque derrière elle. Elle va s'écrouler sur le sofa dans le salon, juste à côté.
Sur le coup de vingt-trois heures, la pauvre femme sort d eson coma et des brumes éthérées. Elle se lève et se fait, tout de suite, un café très serré. En passant, sur la table de la cuisine, elle voit un petit billet.
À la lecture du petit mot, Marie-Claire, se rend compte que, le feu qui couvait entre elle et son compagnon, depuis déjà quelques semaines, vient de s'embraser ! En effet, l'homme lui annonce qu'il la quitte et qu'il va vivre, en attendant un nouveau logement, chez sa meilleure amie.
Marie-Claire court aux toilettes et vomit. Elle revient, avale le café qu'elle a fait. Puis, elle va s'allonger sur son lit pour pleurer. Ce n’est que vers une heure du matin, qu’elle finit par s'endormir.
Le lendemain matin, la pauvre blonde se demande si elle a vraiment vécu tout ça ou si ce n'est qu'un affreux cauchemar ? Entre sa journée à l'Institut et le mot de son copain, c'est beaucoup ! Elle se souvient, toutefois, des mots de sa directrice qui lui intime l'ordre de venir sans soutien-gorge, sans culotte, avec des bas, mais pas de porte-jarretelles. Ainsi qu’un chemisier assez fin.
Mu par une énergie qu'elle ne connaît pas, elle prend une douche, s'habille comme ordonné. Ensuite, elle descend et va prendre le bus pour être à l'école vers neuf heures, comme habituellement.
En arrivant dans la salle des profs, deux de ses collègues la regardent d'une façon étonnante, inhabituelle. Puis, ouvrant son placard, elle voit le petit mot qu'il lui enjoint de rejoindre le bureau de la directrice, dans les plus brefs délais.
Tout affaire cessante, la pauvre jeune femme, se demande bien quels tourments elle va pouvoir vivre encore, aujourd'hui. Cependant, quelque chose à changer. Le départ de son conjoint, fait qu’elle a besoin, bien plus qu'avant encore, de ce boulot, pour payer ce cher appartement, et sa vie qui, sans être luxueuse, est tout de même fort confortable.
Elle traverse la cour d'un bon pas, entre dans les locaux administratifs et se plante devant la porte de la direction. Là, elle frappe deux coups et entend :
- Entrez.
Elle n'a pas le temps de dire grand-chose, à part bonjour, que déjà sa patronne s'est mise debout et vient à sa hauteur. Là, d'une main experte, elle dégage l’imperméable de la blonde et tâte les seins, à travers le tissu du chemisier. Puis, de l’autre main inquisitrice, descend au niveau des genoux, passe la main sous la jupe, remonte le long des cuisses et vérifie qu'il n’y a pas la présence d’une culotte. C'est alors qu'elle s'écrit :
- C'est très bien, ma petite salope. Tu as fait exactement ce que je t'ai demandé, nous allons pouvoir passer à la phase deux, de ton éducation.
- Mais ! Et mes élèves ? Et mes cours ? Je ne peux pas les assumer comme ça !
- Nous avons prévu une remplaçante, ne t'inquiète donc pas de tes élèves, aujourd'hui, tu as autre chose à faire.
Marie-Claire reste interloquée.
- Assieds-toi sur ce prie-Dieu.
En effet, un tableau représentant le Christ est accroché au mur, sous lequel est installée cette sorte de siège à l’assise basse, comme dans les églises.
Se demandant bien à quelle sauce elle va être mangée, la jeune femme, va s'asseoir sur l’objet désigné.
La folle directrice vient se planter devant la jeune blonde. Pose un pied, enfermé dans un très bel escarpin, sur la chaise, juste à côté. Elle remonte sa robe, découvrant ainsi sa chatte lisse au-dessus de ses jolies jambes gainées de soie. Puis, elle ordonne :
- Lèche-moi la chatte… De toute façon, tu aimes ça, lécher les chattes.
- Mais madame…
- Il n'y a pas de : mais madame ! Tu me lèches, c'est tout.
- Mais non, madame, ça va pas…
- Écoute, c'est ou ça, ou la porte. Tu choisis !
Se souvenant de ses besoins financiers, la pauvre s'exécute et s’applique à bien lécher la chatte odorante de sa patronne.
- Mieux que ça, applique-toi.
La jeune femme passe sa langue sur toute la vulve, s'arrête quelques instants sur le clitoris, puis titille les petites lèvres. Cette chatte sent bon le parfum.
- Je veux ta langue dans mon vagin, allez, dépêche-toi un peu.
À nouveau, Marie-Claire obéit et introduit sa langue dans le vagin chaud. Elle fait des ronds, un peu comme si elle cherchait une langue, lors d’un baiser lascif.
Monique se laisse aller à ces agapes sexuelles. Très vite, excitée comme elle est, elle se met à gémir.
La blonde prend les hanches en main et appuie encore plus sa pénétration. Sentant sa partenaire forcée, qui ondule du basin, elle souffle dans l’organe féminin. Cela provoque ainsi de longs frissons qui parcourent le corps de Monique.
À ce moment, la grise patronne a un orgasme fulgurant, qui la tétanise totalement.
Marie-Claire en profite pour retirer sa langue et reprendre son souffle.
- Encore, salope…
La séance de léchouille dure un bon quart d'heure, puis, sans crier gare, la femme mûre se retire, baisse sa robe, se réajuste un peu, et ordonne encore :
- Maintenant tu vas aller voir le docteur. Il a une folle envie de t’enculer et je lui ai dit qu’aujourd'hui, il y aurait droit.
Non pas le toubib ! Oh non !
Mais si ! En plus c'est un spécialiste de la sodomie, allez file.
En traversant la cour pour se rendre à l’infirmerie, bien des idées traversent l’esprit de la pauvre blonde. Pourquoi accepte-t-elle tout ça ? Bien sûr, elle a, comme tout le monde, besoin d’argent pour vivre, mais tout de même, cette soumission, lui ressemble-t-elle réellement ?
Bientôt la jolie blonde arrive devant la porte du laboratoire.
Elle frappe à la lourde porte et entend :
- Entrez
L'homme bourru, est assis à son bureau où il trône tel un potentat de l'ancien temps. Il daigne lever les yeux sur sa visiteuse, après quelques secondes. Il annonce alors :
- Nous savons tous deux, qui vous envoie et pourquoi vous êtes là.
L'homme désigne le siège à examen gynécologique, sur lequel, la veille, la pauvre blonde avait passé des heures de supplice. Mais là, il semble que le fauteuil ait changé de configuration et soit un tantinet plus accueillant.
- Enlève ta jupe et va t'asseoir sur le fauteuil.
Il ouvre sa blouse blanche, défait sa ceinture, ouvre sa braguette et descend son pantalon et son caleçon. Il retire l'ensemble, tout en gardant ses chaussures. Il arbore un fier sexe, épais et long, qui effraie tout de suite, la pauvre blondinette.
- Mais je ne vais jamais pouvoir prendre ça !
- T'inquiète pas ma petite Chérie, plus c'est gros, mieux ça passe. Tu vas voir.
Ernest est déjà à moitié en érection. il se tripote l’engin tout en venant entre les cuisses roses et dodues, juste ce qu’il faut, de la jeune femme. Là, il l'aide à poser ses jambes sur les supports, prévus à cet effet. Puis, il attrape rapidement son tabouret, le positionne de manière à pouvoir avoir le visage au niveau du sexe blond et commence à lécher la jeune chatte. Quand il se rend compte, que la jeune femme mouille abondamment, attrapant les cuisses, il les repousse un peu vers le haut et se met à lécher l'anus, jusqu'à y enfoncer sa langue.
- Oh, s'exclame la belle
En même temps qu'il lèche cet anus qui sent légèrement l’oignon, il s'astique le manche de façon à être bien en érection. Quand il estime que l'anus est suffisamment assoupli, il s'empare d'un tube de crème hydratante sur la desserte. L’ouvre et en met une noix sur son index gauche. Ensuite, il vient finir de travailler l'anus avec la crème.
- Je vous en prie Monsieur, j'ai vraiment très peur ! Votre sexe est beaucoup trop gros.
- Mais non ma belle, ça force un tout petit peu à l'entrée, mais très vite, tu en deviendras folle, comme ta patronne.
On se rend compte, alors, que le drôle de médecin et sa folle directrice, sont en fait très, très complices.
- Préfères-tu que je te pose un bandeau sur les yeux ?
- Oh non je préfère voir ce qui va se passer.
- Bien, alors tiens-toi bien au bord du siège, je vais prendre possession de ton joli petit trou.
La pauvre blonde serre les dents. Elle s’agrippe de toutes ses forces aux parties métalliques du fauteuil. Elle est crispée au possible
L'homme s'en aperçoit et lui dit :
- Non, non, décontracte-toi, ça ne fera pas mal, je te l'assure
- Peut-être, mais ça n'empêche pas, que j'ai très très, peur et que je n'arrive pas du tout à me détendre.
- Attends, je vais te donner un verre, ça ira beaucoup mieux après.
Le fabuleux toubib retourne à son bureau, ouvre un tiroir, sort un verre et une bouteille de whisky. Il revient auprès de sa desserte, se sert de la petite fiole au liquide brunâtre, en verse un petit peu dans le verre, puis, verse du whisky. Ensuite, il se retourne vers le fauteuil et très gentiment, il tend le récipient à la jolie femme.
- Bois ça, ça va te détendre.
Bien que Marie-Claire sache pertinemment qu'elle est en train de se faire droguer, elle se redresse et boit le verre d’un trait. Puis, se laissant retomber en arrière doucement, comme pour gagner du temps et rend le récipient au docteur.
L'homme lui reprend et le repose sur la desserte.
- Voilà, maintenant tu comptes jusqu'à trois.
La jeune femme compte doucement jusqu'à trois. Elle commence à sentir son cerveau se déconnecter du corps, et se sent de plus en plus décontractée.
Le toubib se rend compte de l'état de la belle et il revient entre les douces cuisses. Il guide le gland de son sexe contre la pastille brune et appuie progressivement de manière à dilater le muscle, jusqu'à ce que ce qu'il avale tout le gland. Là, il s'adresse à la jeune blonde :
- Voilà c'est rentré, tu vois, c'est pas douloureux !
Elle s’étonne, elle-même, que son sphincter ait pu laisser passer, une si grosse pine !
Bien entendu, l’opiacé qu’elle a ingurgité, arrange bien les choses. Un, elle est détendue, deux, elle est anesthésiée, et trois, elle commence à voyager dans ce paradis dit artificiel.
L’homme continu sa pression sur son membre viril et le fait progresser dans le boyau féminin. Même si la progression est lente, il arrive un moment où l’énorme pine est tout au fond de l’anus.
Marie-Claire couine doucement, elle ne saurait dire qui, de la drogue ou du sexe, lui procure le plus de plaisir.
Ernest profite de l’instant pour sortir son appareil photos de sa poche, et faire quelques clichés. Ensuite, toujours très doucement, il recule sa queue jusqu’à la faire ressortir. Là encore, il en profite pour photographier cet anus grand ouvert.
Les yeux mi-clos, la jeune blonde attend, sans impatience, la suite des évènements.
L’homme plonge à nouveau son énorme pieu de chair dans les entrailles offert à sa concupiscence.
La pénétration arrache un cri de surprise à Marie-Claire.
- Oui, si tu réclames, je vais t’en donner !
Et l’homme se met à limer copieusement et de plus en plus vite ce petit cul serré, si appétissant.
Malgré son voyage dans les limbes, elle ressent maintenant des sensations toujours plus agréables. Elle se laisse aller au plaisir, d’abord en gémissant doucement, puis, allant crescendo, en criant, de plus en plus fort, son plaisir.
Ernest ne se retient plus et donne alors de sérieux coups de rein. Mais l’homme avait trop envie de cette jeune et belle femme, et, la nature aidant, il ne peut réfréner son propre orgasme, et fini par juter en plantant sa queue le plus loin possible.
Il reste la pine au fond du fourreau de chair, un bon moment. Ses jambes, tout comme celles de la femme, tremblent. Et c'est un coup de téléphone qui le fait revenir à la réalité. Il retourne à son bureau et décroche le combiné.
- Oui ?
- Alors, Ernest, tu nous as ouvert les chakras de cette petite conne ?
- Oui, elle est encore un peu dans les nuages, mais oui, c'est fait.
- Merci de ta précieuse aide.
- De rien, ce fut un plaisir
- Bien, tu me renvoies mon esclave, j’ai quelques petites choses encore à faire, pour son éducation.
- D’accord. Et il raccroche.
- Allez, ma belle, tu es attendue chez notre patronne. Il aide Marie-Claire à descendre du fauteuil, lui ramasse sa jupe et l’aide encore à se rhabiller, puis la met gentiment à la porte.
Titubant, dans un état de semi-conscience, Marie-Claire traverse la grande cour, quand elle tombe sur un de ses collègues, qui lui dit :
- Ha ! Tu as eu droit à la potion de notre bon toubib ? Puis, ayant poussé le vice jusqu’à glisser sa main sous la jupe, en inspectant l’anus, encore béant, de ses doigts, il ajoute :
- Ha ! Il t’a aussi ouvert l’esprit sur les choses de la vie !
En regardant sa montre, la directrice s'aperçoit qu'il est déjà plus de onze heures. Arrêtant ses caresses savantes, elle réfléchit un instant, puis finit par dire :
- Vous avez raison mon cher Ernest, j'ai encore quelques papiers à signer avant le déjeuner, nous reprendrons donc cet après-midi, avec cette salope en chaleur
- Je vais laisser le spéculum en place, de toute manière, elle a sans doute bien l'habitude d'avoir l'anus ouvert, ça ne devrait donc pas la gêner, outre mesure.
Instantanément dégrisée par les paroles qu'elle vient d'entendre, malgré le brouillard de son plaisir, Marie-Claire comprend que ses deux tortionnaires veulent la laisser attachée. D'une voix pâteuse, dû à sa bouche sèche, elle implore encore, mais sans grande conviction, quant à l'issue de la matinée :
- Mais ! Vous n'allez pas me laisser là, pendant tout ce temps !
- Ernest, Faites-moi taire cette garce !
Sans répondre, l'homme se relève et se dirige vers l'armoire à pharmacie près de son bureau.
- Mais ça ne va pas ! Vous êtes des malades ! Détachez-moi tout de suite ou sinon...
- Sinon quoi, connasse ? Tonne d'un coup la voix dure de la directrice
- Sinon je hurle !
- Essaye seulement une seconde, ma petite garce, et tu verras alors ce qu'il en coûte de se rebiffer, contre sa maîtresse...
- Au secours... Commence à crier la jolie blonde.
Très vite, la vieille femme fait le tour du fauteuil, vient asséner une terrible gifle, qui résonne dans toute la pièce, à tel point que le docteur se retourne, pour voir ce qu'il se passe. En attrapant l'extrémité du sein droit, entre son pouce et son index gauche et en vrillant le téton avec force, Monique poursuit de sa voix féroce :
- Tu vas me payer ta petite rébellion minable, pauvre salope soumise, que tu es...
- Aie... C'est maintenant un grand cri de douleur, qui déchire l'atmosphère de la pièce.
- Prends déjà ça en acompte, petite putain en rut... Et avec les paroles, la directrice donne une grande claque de sa main droite, sur la vulve, en visant spécialement le clitoris.
Marie-Claire pousse un nouveau cri de douleur, tant son bouton d'amour, sensibilisé par les différents traitements, qu'il a déjà subi dans la matinée, est devenu un centre de douleur intense.
- Et si tu ne t'assagis pas, nous t'enfermerons à la cave, avec les rats...
Pendant ce temps, Ernest a pris une petite fiole d'opiacé et un verre. Il ouvre le flacon et verse un peu d'un liquide épais et brun, dans le récipient, puis, referme la fiole pour la ranger. Avant de revenir vers le fauteuil, il passe par le lavabo, tire un peu d'eau fraîche au robinet, en verse dans le verre et referme le robinet.
À nouveau, la jolie blonde pleure à chaudes larmes. La douleur, la peur, un fort sentiment d'injustice, tout se mélange dans sa tête.
Le médecin vient vers le fauteuil, en remuant le verre. Il soulève la tête de la jeune femelle, doucement, et porte le bord du verre, à ses lèvres.
Marie-Claire boit le contenu du verre d'un trait, tant sa soif est grande et sa bouche desséchée. Malgré le goût étrange du breuvage, elle apprécie la fraîcheur du liquide et se calme quelque peu.
- Voilà une bonne salope qui va être mignonne et attendre, bien sagement, notre retour, n'est-ce pas ma petite pute ? Cette fois, la voix de la directrice est douce et une pointe de tendresse pourrait même, y être décelée.
- Par pitié Madame, détachez-moi, je ferais tout ce que vous voulez, mais détachez-moi, je vous en conjure.
- Première leçon ma salope, une bonne soumise doit savoir endurer sans se plaindre. Tu resteras donc attachée, tant que je n'en aurais pas décidé autrement.
- Mais madame, qu'ai-je donc fait, pour mériter ça ?
- Tu vas avoir tout le temps de réfléchir à la question... Puis, se tournant vers le médecin, la directrice lubrique ordonne :
Ernest, Mettez quelque chose sur elle, je ne voudrai pas d'une pute grippée.
L'homme retourne vers son armoire, pour chercher une couverture.
Le produit commence déjà à faire effet, sur la pauvre blonde, en calmant son esprit torturé. Elle se sent maintenant plus détendue, plus tranquille, les douleurs qu'elle a ressenties plus tôt, lui paraissent soudainement bien loin, comme si elle entrait dans un nuage de coton.
Monique surveille de près les réactions de la jeune femme. Elle voit son visage se décrisper et le teint changer, presque imperceptiblement, de coloration. Elle en profite pour se pencher en avant et lui susurrer, d'une voix douce :
- Voilà, calme-toi, tu vas te reposer et penser à moi…
Marie-Claire se sent bien, à présent. Le produit qu'elle vient d'ingurgiter, lui brouille totalement l'esprit, mais l'apaise également.
La directrice vient plaquer sa bouche, sur celle de la jeune femme, qui s'offre maintenant, totalement, au baiser fougueux de sa patronne. La femme âgée en profite pour caresser, fermement, et malaxer le sein droit sous elle, de sa main gauche, et de l'autre main, elle cherche le clitoris, pour aller le titiller.
Cette fois, la jolie blonde apprécie entièrement, ce baiser et ces caresses. Entre cette main qui lui presse le sein droit et cette autre qui lui envahit la vulve, elle ne sait plus, d'où vient au juste, les ondes de plaisirs qui traversent son corps, mais elle sent monter en elle, un orgasme puissant. Sa chatte se trouve de nouveau, totalement humidifiée.
Le docteur revient avec la couverture et ne perd pas une miette du spectacle, qui lui est offert, à présent. Il en profite même pour glisser une main experte, sous la jupe du tailleur de sa patronne, pour lui flatter le haut des cuisses, à la lisière des bas, et constater qu'une fois de plus, elle ne porte pas de culotte.
Monique, tout en appuyant encore son baiser, en fouillant de sa langue experte la cavité buccale, astique frénétiquement le clitoris de la captive. Au souffle court de la jeune femme, elle sent que l'orgasme n'est pas loin.
Très habilement, le pervers médecin caresse la rondelle brune du sphincter, sachant parfaitement, que sa patronne est des plus sensible, au niveau de l'anus, et que, ce faisant, ajouté à l'excitation dans laquelle elle est déjà, grâce à la petite séance, avec cette jolie jeune femme, il va très vite la faire mouiller et l'amener au bord de l'extase.
Marie-Claire se laisse totalement faire, son ravissement monte à grande vitesse, elle sent qu'elle est prête à exploser de plaisir. Sans réussir à se contrôler, elle essaye de rendre le baiser à cette femme, qui lui procure un tel bien être, mais ce qui monte en elle, est bien trop intense, pour qu'elle puisse assurer, la cohésion de ses gestes.
Très experte, la folle directrice amène la belle juste au bord de l'orgasme, puis, d'un geste brusque, se relève et cesse, immédiatement, toute caresse.
- Oh... Non... Ne me laissez pas comme ça... J'ai besoin de jouir maintenant...
- Ernest, occupez-vous de calmer cette petite pute en chaleur, avant que nous allions déjeuner, voulez-vous.
Le terrible médecin, retirant à son tour son index qui venait d'investir l'anus de la directrice, vient se placer entre les cuisses de la jeune femme, puis, d'un geste précis, déboutonne le bas de sa blouse, en remonte les pans, et défait sa ceinture.
Marie-Claire est toujours dans une sorte de transe. Elle se trémousse et remue ses fesses, comme pour mieux s'offrir et recevoir à nouveau les hommages, qui l'ont tant excitée. Elle jette un regard éperdu à sa patronne et implore encore :
- S'il vous plaît, ne me laissez pas dans cet état... Faites-moi jouir, je vous en prie...
Maintenant, Ernest, tient sa ceinture enroulée autour de sa main droite, ne laissant qu'une vingtaine de centimètres de cuir libre. Il lève la lanière de cuir et l'abat violemment, sur la vulve exposée devant lui.
Un cri strident déchire la pièce. La pauvre blonde vient de hurler sous la morsure, de ses chairs intimes, par le cuir. Après avoir fermé vivement ses yeux sous la douleur, elle essaye de les ouvrir à nouveau, mais déjà une deuxième douleur vient la faire hurler de plus bel.
L'homme lève une fois de plus son bras menaçant, arrête son mouvement, fixe le visage fermé de la jolie blonde, puis s'écrit :
- Tu as encore besoin, que je te fasse jouir ou tu vas te tenir tranquille, maintenant ?
- Laissez mon cher, intervient alors la directrice, d'un ton sans appel. Nous allons aller déjeuner et verrons tout à l'heure, ce que cette petite pute a dans le ventre.
Ernest, bien que déçu, laisse retomber son bras le long de son corps. Puis, après deux ou trois secondes de réflexion, il s'écarte du fauteuil et remet sa ceinture dans ses passants.
La folle directrice lance un regard mauvais sur la pauvre jeune femme, puis se tourne vers son collaborateur et ordonne encore :
- Tout compte fait, bâillonnez-la, s'il vous plaît, Ernest, on ne sait jamais qui peut passer dans le couloir.
Une fois de plus, l'homme se dirige vers la grande armoire, fouille dedans pendant quelques secondes, puis revient muni d'un bâillon en cuir avec une boule en caoutchouc. Il se poste devant la jeune femme, qui l'implore de son regard triste, puis, d'un geste précis et sûr, il applique le bâillon. À la fin de l'opération, il se tourne vers sa patronne et annonce fièrement :
- Voilà qui est fait, nous pouvons aller déjeuner, me semble-t-il.
Le déjeuner à la cantine de l’établissement est frugal, de plus nos deux compères n’ont qu’une idée en tête, retourner auprès de leur captive, et continuer cette gentille petite séance.
Les voici de retour dans le labo du docteur. Ils s'aperçoivent que la blonde s'est endormie. Son sommeil est tranquille, elle respire profondément, son corps se soulève au rythme de sa respiration.
Bien qu’elle soit à l’origine de l’état de profonde somnolence, dans lequel se trouve la jeune femme, cela ne plaît guère, à la maîtresse des lieux.
- Allez, on se réveille, fini de dormir maintenant, tu n'es pas là pour dormir ! Où te crois-tu ?
Avec les opiacés qu'on lui a administrés, Marie-Claire a beaucoup de mal à sortir de sa léthargie. Et surtout, elle ne comprend plus du tout, ni où elle est, ni ce qu’elle y fait.
- Une telle attitude demande correction, annonce fièrement le toubib.
Oui, vous avez raison ! Il semble que cette petite grue n'en fasse qu'à sa tête ! Et ça ne me plaît pas du tout. La patronne ici, c'est moi !
- Et la république, alors, c'est qui ? Demande le médecin en riant.
Elle s’empare alors de la cravache, qui est sur la tablette, qui sert de desserte, à son collègue médecin. Elle vient l’agiter sous le nez de la blonde.
- Alors comme ça on se tape une petite sieste pendant que ses collègues sont en plein labeur. Et elle claque un grand coup de cravache sur les deux seins en même temps.
La pauvre Marie-Claire pousse un cri effroyable...
Pendant ce temps, le bon docteur prépare sa potion magique. Il a repris sa fiole d’opiacé, en verse une bonne rasade dans le verre, fait couler de l'eau du robinet, jusqu’à ce qu’elle soit bien fraîche, et il remplit un demi-verre.
La folle patronne profite de ce temps-là, pour se déplacer et vient entre les cuisses de la blonde. Elle assène quelques sérieux coups de cravache sur la vulve, en visant, à chaque fois, le clitoris.
Marie-Claire pousse des cris d’orfraie à chaque fois que le cuir frappe sa vulve. À nouveau, son clitoris la brûle terriblement. Elle pleure à chaudes larmes, elle ne comprend pas pourquoi, tant de haine à son égard.
- Je vais t'apprendre moi, salope, à dormir pendant les heures de cours !
Le regard lubrique parcourt le joli corps de la jeune femme. Elle aimerait que cette jolie plante devienne, d’elle-même, sa complice, mais elle sait qu’avec son visage de mamie, elle a bien peu de chance que cela n’arrive, aussi échafaude-t-elle un plan, pour l’avoir à sa merci, dans sa tête.
En attendant que les opiacés ne fassent leur effet, Ernest se rapproche de la directrice. Il l’enlace avec ses bras. Ils s'embrassent passionnément et Ernest commence à avoir les mains qui se promènent sur le corps de la femme mûre.
Après ce moment de détente tendre, ayant envie d'aller plus loin, le vicieux toubib commence à déboutonner le chemisier de sa patronne.
Mais, celle-ci le stoppe :
- Pas tout de suite, Chéri. Attends un peu, nous prendrons du bon temps en fin de journée, comme d’habitude. Regarde plutôt dans quel état se trouve notre petite protégée.
Suite à un examen minutieux, le médecin se redresse et annonce :
- Ça y est, elle est complètement dans le schwarz.
- Elle ne peut plus nous entendre ni rien comprendre ?
- Non… Là, elle est vraiment dans les vapes
Parfait, si elle ne peut plus nous entendre, détache-moi cette salope et allonge-la-moi par terre, que je me fasse lécher, elle m'excite trop cette petite connasse.
L'homme commence par retirer la couverture, qu'il avait placée par-dessus la femme. Place cette couverture sur le sol dur et froid de son labo. Après, il détache consciencieusement la blonde et la prend dans ses bras musclés, pour aller la déposer sur la couverture, par terre.
L'abominable directrice défait sa jupe. Le sexe et les fesses à l'air, vient encadrer la tête de sa collaboratrice, avec ses pieds. Puis, elle s’accroupit
- Allez ma salope, tu vas lécher la chatte de ta patronne, toute façon tu es une broute minou, non ?
La jeune femme, comme dans un rêve, ne peut faire autre chose, que de sortir sa langue et l’introduire dans le vagin à sa portée. Elle lèche, sans en avoir réellement conscience, ce fruit mûr et juteux.
- C'est ça, ma pétasse, la prochaine fois, je n'aurais peut-être pas besoin de te droguer. Sur ce, elle bouge son bassin de telle façon à ce que ce soit son anus qui soit en face de la bouche gourmande.
- Lèche-moi le cul.
Une fois de plus, Marie-Claire, sort sa langue, lèche l'anus et finit par introduire son membre dans le trou étoilé.
Très étonnant, elle adore ça ! Souvent, c'est son ami et amant, le bon docteur, qui s'occupe de lui faire une feuille de rose. Mais là, cette jolie blonde, qui lui vrille la rondelle de belles manières, l’emmène aux portes de la félicité. C'est un plaisir dont elle se délecte.
- Alors, que penses-tu de cette petite grue ? Demande la femme à son ami.
- Elle devrait être très douée, quand elle ne sera plus dans son paradis artificiel.
- Mais rassure-toi mon chéri, elle n'est pas aussi douée que toi, et de toute façon, il lui manque l’outil qui fait rêver les femmes, que tu es seul, à posséder.
Ernest, flatté, sourit, c'est vrai qu’il est équipé de matériel peu commun.
- Je te propose qu'on la laisse rentrer chez elle. On va la rhabiller un petit peu mais pas totalement, et on la laisse à l'arrêt de bus, qu'en penses-tu ?
- Très bonne idée, admet Ernest, j'aimerais une petite souris, pour voir comment ça va se passer, quand elle rentrera !
Aussitôt dit, aussitôt fait, voici le couple pervers qui aide la blonde à se remettre assise sur une chaise. Puis, l'équipe de ses vêtements, mais la jupe mal fermée et son chemisier bien entrouvert.
Monique attrape la blonde par les cheveux. Elle colle son visage à quelques centimètres et lui dit :
- Demain, petite pute, tu viens sans culotte, sans soutif, un chemisier fin, une jupe au-dessus du genou et des escarpins. Tu porteras des bas jarretières, pas de porte-jarretelles… Tu m'as bien compris, conasse ?
La blonde acquiesce.
Ernest prend le soutien-gorge et la culotte pour les mettre dans la poubelle. Ensuite, il lui passe son imperméable sur les épaules.
Et alors que la perfide patronne sort et retourne à son bureau, pour gérer son institut. Le libidineux docteur prend Marie-Claire par le bras et la guide jusqu'à l'arrêt de bus. Là, il l’assoit sur le banc et lui dit :
- Tu peux rentrer chez toi maintenant ta journée est terminée, ma chérie.
Dans le bus qui arrive, toujours à moitié dans les vapes, la jeune femme titube et va s'asseoir à l’arrière. Trois jeunes viennent s'asseoir à côté d’elle. Les sales gosses de cité se moquent d'elle et la pelote.
Marie-Claire ne semble pas s’en rendre compte et se laisse faire docilement.
Arrivée en bas de chez elle, elle descend du bus, toujours en titubant, et monte à son appartement. Un voisin la rencontre, se demande bien ce que peut avoir, cette jolie voisine, aujourd'hui.
Elle déverrouille la porte, l'ouvre, entre, la claque derrière elle. Elle va s'écrouler sur le sofa dans le salon, juste à côté.
Sur le coup de vingt-trois heures, la pauvre femme sort d eson coma et des brumes éthérées. Elle se lève et se fait, tout de suite, un café très serré. En passant, sur la table de la cuisine, elle voit un petit billet.
À la lecture du petit mot, Marie-Claire, se rend compte que, le feu qui couvait entre elle et son compagnon, depuis déjà quelques semaines, vient de s'embraser ! En effet, l'homme lui annonce qu'il la quitte et qu'il va vivre, en attendant un nouveau logement, chez sa meilleure amie.
Marie-Claire court aux toilettes et vomit. Elle revient, avale le café qu'elle a fait. Puis, elle va s'allonger sur son lit pour pleurer. Ce n’est que vers une heure du matin, qu’elle finit par s'endormir.
Le lendemain matin, la pauvre blonde se demande si elle a vraiment vécu tout ça ou si ce n'est qu'un affreux cauchemar ? Entre sa journée à l'Institut et le mot de son copain, c'est beaucoup ! Elle se souvient, toutefois, des mots de sa directrice qui lui intime l'ordre de venir sans soutien-gorge, sans culotte, avec des bas, mais pas de porte-jarretelles. Ainsi qu’un chemisier assez fin.
Mu par une énergie qu'elle ne connaît pas, elle prend une douche, s'habille comme ordonné. Ensuite, elle descend et va prendre le bus pour être à l'école vers neuf heures, comme habituellement.
En arrivant dans la salle des profs, deux de ses collègues la regardent d'une façon étonnante, inhabituelle. Puis, ouvrant son placard, elle voit le petit mot qu'il lui enjoint de rejoindre le bureau de la directrice, dans les plus brefs délais.
Tout affaire cessante, la pauvre jeune femme, se demande bien quels tourments elle va pouvoir vivre encore, aujourd'hui. Cependant, quelque chose à changer. Le départ de son conjoint, fait qu’elle a besoin, bien plus qu'avant encore, de ce boulot, pour payer ce cher appartement, et sa vie qui, sans être luxueuse, est tout de même fort confortable.
Elle traverse la cour d'un bon pas, entre dans les locaux administratifs et se plante devant la porte de la direction. Là, elle frappe deux coups et entend :
- Entrez.
Elle n'a pas le temps de dire grand-chose, à part bonjour, que déjà sa patronne s'est mise debout et vient à sa hauteur. Là, d'une main experte, elle dégage l’imperméable de la blonde et tâte les seins, à travers le tissu du chemisier. Puis, de l’autre main inquisitrice, descend au niveau des genoux, passe la main sous la jupe, remonte le long des cuisses et vérifie qu'il n’y a pas la présence d’une culotte. C'est alors qu'elle s'écrit :
- C'est très bien, ma petite salope. Tu as fait exactement ce que je t'ai demandé, nous allons pouvoir passer à la phase deux, de ton éducation.
- Mais ! Et mes élèves ? Et mes cours ? Je ne peux pas les assumer comme ça !
- Nous avons prévu une remplaçante, ne t'inquiète donc pas de tes élèves, aujourd'hui, tu as autre chose à faire.
Marie-Claire reste interloquée.
- Assieds-toi sur ce prie-Dieu.
En effet, un tableau représentant le Christ est accroché au mur, sous lequel est installée cette sorte de siège à l’assise basse, comme dans les églises.
Se demandant bien à quelle sauce elle va être mangée, la jeune femme, va s'asseoir sur l’objet désigné.
La folle directrice vient se planter devant la jeune blonde. Pose un pied, enfermé dans un très bel escarpin, sur la chaise, juste à côté. Elle remonte sa robe, découvrant ainsi sa chatte lisse au-dessus de ses jolies jambes gainées de soie. Puis, elle ordonne :
- Lèche-moi la chatte… De toute façon, tu aimes ça, lécher les chattes.
- Mais madame…
- Il n'y a pas de : mais madame ! Tu me lèches, c'est tout.
- Mais non, madame, ça va pas…
- Écoute, c'est ou ça, ou la porte. Tu choisis !
Se souvenant de ses besoins financiers, la pauvre s'exécute et s’applique à bien lécher la chatte odorante de sa patronne.
- Mieux que ça, applique-toi.
La jeune femme passe sa langue sur toute la vulve, s'arrête quelques instants sur le clitoris, puis titille les petites lèvres. Cette chatte sent bon le parfum.
- Je veux ta langue dans mon vagin, allez, dépêche-toi un peu.
À nouveau, Marie-Claire obéit et introduit sa langue dans le vagin chaud. Elle fait des ronds, un peu comme si elle cherchait une langue, lors d’un baiser lascif.
Monique se laisse aller à ces agapes sexuelles. Très vite, excitée comme elle est, elle se met à gémir.
La blonde prend les hanches en main et appuie encore plus sa pénétration. Sentant sa partenaire forcée, qui ondule du basin, elle souffle dans l’organe féminin. Cela provoque ainsi de longs frissons qui parcourent le corps de Monique.
À ce moment, la grise patronne a un orgasme fulgurant, qui la tétanise totalement.
Marie-Claire en profite pour retirer sa langue et reprendre son souffle.
- Encore, salope…
La séance de léchouille dure un bon quart d'heure, puis, sans crier gare, la femme mûre se retire, baisse sa robe, se réajuste un peu, et ordonne encore :
- Maintenant tu vas aller voir le docteur. Il a une folle envie de t’enculer et je lui ai dit qu’aujourd'hui, il y aurait droit.
Non pas le toubib ! Oh non !
Mais si ! En plus c'est un spécialiste de la sodomie, allez file.
En traversant la cour pour se rendre à l’infirmerie, bien des idées traversent l’esprit de la pauvre blonde. Pourquoi accepte-t-elle tout ça ? Bien sûr, elle a, comme tout le monde, besoin d’argent pour vivre, mais tout de même, cette soumission, lui ressemble-t-elle réellement ?
Bientôt la jolie blonde arrive devant la porte du laboratoire.
Elle frappe à la lourde porte et entend :
- Entrez
L'homme bourru, est assis à son bureau où il trône tel un potentat de l'ancien temps. Il daigne lever les yeux sur sa visiteuse, après quelques secondes. Il annonce alors :
- Nous savons tous deux, qui vous envoie et pourquoi vous êtes là.
L'homme désigne le siège à examen gynécologique, sur lequel, la veille, la pauvre blonde avait passé des heures de supplice. Mais là, il semble que le fauteuil ait changé de configuration et soit un tantinet plus accueillant.
- Enlève ta jupe et va t'asseoir sur le fauteuil.
Il ouvre sa blouse blanche, défait sa ceinture, ouvre sa braguette et descend son pantalon et son caleçon. Il retire l'ensemble, tout en gardant ses chaussures. Il arbore un fier sexe, épais et long, qui effraie tout de suite, la pauvre blondinette.
- Mais je ne vais jamais pouvoir prendre ça !
- T'inquiète pas ma petite Chérie, plus c'est gros, mieux ça passe. Tu vas voir.
Ernest est déjà à moitié en érection. il se tripote l’engin tout en venant entre les cuisses roses et dodues, juste ce qu’il faut, de la jeune femme. Là, il l'aide à poser ses jambes sur les supports, prévus à cet effet. Puis, il attrape rapidement son tabouret, le positionne de manière à pouvoir avoir le visage au niveau du sexe blond et commence à lécher la jeune chatte. Quand il se rend compte, que la jeune femme mouille abondamment, attrapant les cuisses, il les repousse un peu vers le haut et se met à lécher l'anus, jusqu'à y enfoncer sa langue.
- Oh, s'exclame la belle
En même temps qu'il lèche cet anus qui sent légèrement l’oignon, il s'astique le manche de façon à être bien en érection. Quand il estime que l'anus est suffisamment assoupli, il s'empare d'un tube de crème hydratante sur la desserte. L’ouvre et en met une noix sur son index gauche. Ensuite, il vient finir de travailler l'anus avec la crème.
- Je vous en prie Monsieur, j'ai vraiment très peur ! Votre sexe est beaucoup trop gros.
- Mais non ma belle, ça force un tout petit peu à l'entrée, mais très vite, tu en deviendras folle, comme ta patronne.
On se rend compte, alors, que le drôle de médecin et sa folle directrice, sont en fait très, très complices.
- Préfères-tu que je te pose un bandeau sur les yeux ?
- Oh non je préfère voir ce qui va se passer.
- Bien, alors tiens-toi bien au bord du siège, je vais prendre possession de ton joli petit trou.
La pauvre blonde serre les dents. Elle s’agrippe de toutes ses forces aux parties métalliques du fauteuil. Elle est crispée au possible
L'homme s'en aperçoit et lui dit :
- Non, non, décontracte-toi, ça ne fera pas mal, je te l'assure
- Peut-être, mais ça n'empêche pas, que j'ai très très, peur et que je n'arrive pas du tout à me détendre.
- Attends, je vais te donner un verre, ça ira beaucoup mieux après.
Le fabuleux toubib retourne à son bureau, ouvre un tiroir, sort un verre et une bouteille de whisky. Il revient auprès de sa desserte, se sert de la petite fiole au liquide brunâtre, en verse un petit peu dans le verre, puis, verse du whisky. Ensuite, il se retourne vers le fauteuil et très gentiment, il tend le récipient à la jolie femme.
- Bois ça, ça va te détendre.
Bien que Marie-Claire sache pertinemment qu'elle est en train de se faire droguer, elle se redresse et boit le verre d’un trait. Puis, se laissant retomber en arrière doucement, comme pour gagner du temps et rend le récipient au docteur.
L'homme lui reprend et le repose sur la desserte.
- Voilà, maintenant tu comptes jusqu'à trois.
La jeune femme compte doucement jusqu'à trois. Elle commence à sentir son cerveau se déconnecter du corps, et se sent de plus en plus décontractée.
Le toubib se rend compte de l'état de la belle et il revient entre les douces cuisses. Il guide le gland de son sexe contre la pastille brune et appuie progressivement de manière à dilater le muscle, jusqu'à ce que ce qu'il avale tout le gland. Là, il s'adresse à la jeune blonde :
- Voilà c'est rentré, tu vois, c'est pas douloureux !
Elle s’étonne, elle-même, que son sphincter ait pu laisser passer, une si grosse pine !
Bien entendu, l’opiacé qu’elle a ingurgité, arrange bien les choses. Un, elle est détendue, deux, elle est anesthésiée, et trois, elle commence à voyager dans ce paradis dit artificiel.
L’homme continu sa pression sur son membre viril et le fait progresser dans le boyau féminin. Même si la progression est lente, il arrive un moment où l’énorme pine est tout au fond de l’anus.
Marie-Claire couine doucement, elle ne saurait dire qui, de la drogue ou du sexe, lui procure le plus de plaisir.
Ernest profite de l’instant pour sortir son appareil photos de sa poche, et faire quelques clichés. Ensuite, toujours très doucement, il recule sa queue jusqu’à la faire ressortir. Là encore, il en profite pour photographier cet anus grand ouvert.
Les yeux mi-clos, la jeune blonde attend, sans impatience, la suite des évènements.
L’homme plonge à nouveau son énorme pieu de chair dans les entrailles offert à sa concupiscence.
La pénétration arrache un cri de surprise à Marie-Claire.
- Oui, si tu réclames, je vais t’en donner !
Et l’homme se met à limer copieusement et de plus en plus vite ce petit cul serré, si appétissant.
Malgré son voyage dans les limbes, elle ressent maintenant des sensations toujours plus agréables. Elle se laisse aller au plaisir, d’abord en gémissant doucement, puis, allant crescendo, en criant, de plus en plus fort, son plaisir.
Ernest ne se retient plus et donne alors de sérieux coups de rein. Mais l’homme avait trop envie de cette jeune et belle femme, et, la nature aidant, il ne peut réfréner son propre orgasme, et fini par juter en plantant sa queue le plus loin possible.
Il reste la pine au fond du fourreau de chair, un bon moment. Ses jambes, tout comme celles de la femme, tremblent. Et c'est un coup de téléphone qui le fait revenir à la réalité. Il retourne à son bureau et décroche le combiné.
- Oui ?
- Alors, Ernest, tu nous as ouvert les chakras de cette petite conne ?
- Oui, elle est encore un peu dans les nuages, mais oui, c'est fait.
- Merci de ta précieuse aide.
- De rien, ce fut un plaisir
- Bien, tu me renvoies mon esclave, j’ai quelques petites choses encore à faire, pour son éducation.
- D’accord. Et il raccroche.
- Allez, ma belle, tu es attendue chez notre patronne. Il aide Marie-Claire à descendre du fauteuil, lui ramasse sa jupe et l’aide encore à se rhabiller, puis la met gentiment à la porte.
Titubant, dans un état de semi-conscience, Marie-Claire traverse la grande cour, quand elle tombe sur un de ses collègues, qui lui dit :
- Ha ! Tu as eu droit à la potion de notre bon toubib ? Puis, ayant poussé le vice jusqu’à glisser sa main sous la jupe, en inspectant l’anus, encore béant, de ses doigts, il ajoute :
- Ha ! Il t’a aussi ouvert l’esprit sur les choses de la vie !