L’appartement
Après un sérieux revers de fortune, perte de mon emploi et divorce combiné, je me retrouve en fin de droits au chômage, avec de lourdes charges que sont maison et chauffage. Je décide de revenir dans ma ville natale et de chercher là, un appartement. Bien qu’ayant expliqué ma situation à un propriétaire, lorsque j’arrive dans cette belle ville du centre, pour signer le contrat de location, le propriétaire m’annonce qu’il ne peut pas me louer vu ma situation précaire, à cause de son assurance.
Ce premier coup derrière les oreilles passé, n’ayant déjà plus la maison, une grande crainte de finir sous les ponts s’empare de moi, je me retourne alors vers mes amis.
Les semaines passent, je suis hébergé par des amis, change régulièrement de maison, pour ne pas être trop pesant, mais je me rends compte tout de suite que, à chômeur, personne ne veut louer, ni les agences, ni les particuliers, je passe alors des annonces, mais sans plus de résultat probant. Je finis par passer des annonces sur les sites de rencontres, en disant que je suis prêt à accepter des compromis sexuels, en échange d’un logement, même relativement précaire.
J’ai déjà plus de chance, la première réponse est un monsieur d’âge avancé, dans les soixante-dix ans qui me propose une caravane sur un terrain attenant à sa maison, je m’y rends, je vois d’ailleurs en passant une grande caravane assez cossue.
Après les civilités d’usages, le monsieur s’adresse à moi d’une voix compatissante et me dit :
- Si j’ai bien compris ton annonce, tu te retrouves dans le besoin avec un risque de finir SDF, non ?
- Oui, on peut tout à fait résumer les choses de la sorte.
- Bien, alors je te propose une caravane, c’est pas le grand luxe, mais ça dépanne dans ta situation me semble-t-il.
- Difficile de vous dire que je n’en aurai pas besoin, effectivement.
- Bien… Mais dans ton annonce, tu dis accepter les fantaisies sexuelles du propriétaire, pour avoir un petit loyer, c’est bien cela, je ne me trompe pas d’annonce ?
Le vieux cochon sait parfaitement ce que contient mon annonce, effectivement, j’ai noté que j’étais prêt à tout service, y comprit d’ordre sexuel, pour montrer ma bonne foi dans ma recherche, de plus, comme mon annonce passait sur des sites libertins, et que j’annonçais très directement être totalement bisexuel, il n’y a aucune interprétation possible. Donc, ce vieux saligaud veut quelque chose de sexuel maintenant. Je dois montrer ma bonne foi sur ce sujet, si je veux qu’il me fasse confiance sur mes capacités de règlements des loyers.
- Oui monsieur, je suis assez souple coté sexuel, y a-t-il quelque chose qui vous ferez plaisir, pour tester ma bonne foi ?
- On va voir si tu es capable de me faire bander ! Et sur ces bonnes paroles, l’homme déboutonne la braguette de son jeans et fais glisser le pantalon jusqu’à ses chevilles.
Je m’accroupis puis pose un genou à terre, là, je descends son slip vert sur ses cuisses et prends sa queue flasque en bouche. Au moins le vieux saligaud est propre, sa queue ne sent rien, peu de poils à la base du membre, m’évite d’être gêné, aussi, je le suce consciencieusement, son membre réagit et durcit relativement vite dans ma bouche.
- Tu suces bien petite salope, que finit par marmonner l’homme entre deux râles
Je le suce de mon mieux, le fait bander de plus en plus, mais très vite, le vieux monsieur vicieux, me joui dans la bouche. Je suis tout habillé, pas envie d’avoir des traces de foutre sur mon sweat noir, aussi, j’avale toute la semence sans demander mon reste.
- Ho que c’est bon ça, nom de Dieu ! grogne encore le bonhomme, alors que j’avale les dernières gouttes de son sperme.
Qu’à cela ne tienne, je me dis qu’une pipe vaut bien une location de caravane, à un prix qui ne me parait pas excessif, mais comme je dois payer de ma personne, le tout me parait plutôt raisonnable.
Le monsieur, sans me remercier, ni même m’adresser le moindre regard, remonte son slip puis son jeans et m’annonce, toujours sans me regarder :
- Je vais te montrer, là où tu pourrais dormir au chaud, cet hiver.
Je suis l’homme sans poser d’autre question, me disant benoîtement que, la caravane, je l’ai bien vu en arrivant, et donc je me prépare à accepter le deal, en espérant surtout, que le prix ne soit pas trop élevé.
Lorsque nous sommes dehors, au lieu d’aller à droite, nous contournons la maison par la gauche, et, en guise de caravane, je tombe sur un truc qui doit servir de poulailler régulièrement, rien à voir avec la grande caravane dans le terrain à côté.
- C’est ça votre caravane ?!
- Oui, elle demande un bon petit nettoyage…
- Non merci !
- Mais je vous assure…
- NON ! Là, cette ruine, vous a juste servi d’excuse pour que je vienne vous faire une pipe, oui !
- Non jeune homme…
Bon, au revoir monsieur, merci de m’avoir englué les amygdales pour rien… Vous auriez pu me baiser ou vous faire sucer au miroir sans passer par cette excuse bidon.
- Ha oui ! je vous ai déjà vu au miroir ! Mais vous n’êtes jamais disponible, vous êtes nu dans une des petites salles de l’entrée. Il y a toujours des mecs qui viennent et vous choisissez toujours les mecs plus jeunes…
- Je suis suffisamment longtemps seul à attendre que ces messieurs viennent se servir de moi, et je ne crois pas avoir refusé à un mec, même âgé, s’il est propre, de venir se faire sucer ou me prendre !
Discuter avec le bonhomme ne m’apportera rien, j’en suis convaincu, cette première expérience me laisse toutefois un goût amer sur la bassesse humaine et je me dis que là, n’est que le commencement de mes ennuis.
Quelques jours plus tard, après une réponse à mon annonce, je rentre en contact avec un homme m’assurant avoir une pièce aménagée dans une grange.
La discussion est courte, il me donne son adresse, là encore à la campagne, et nous convenons d’un rendez-vous pour la soirée.
En arrivant, je vérifie déjà que la grange existe, c’est le cas, je n’ai pas envie de me faire avoir comme la fois précédente, avec la caravane pourrie. La longère est assez cossue, bien entretenue, ce qui est de bon augure. Je sonne, un homme de trente-cinq ans environs vient m’ouvrir :
- Marc ?
- Oui, tout à fait.
- Bien, entre…
Je suis le jeune homme, qui marche d’un pas rapide, et me retrouve dans une grande pièce lumineuse, décorée dans un style résolument moderne, un homme d’une bonne quarantaine est assis dans un profond fauteuil, en peignoir, dont les pans ouverts ne cachent pas son gros sexe flasque. Dans un coin, une immense télé diffuse un porno gay.
- Voici Jean, mon compagnon, m’annonce le jeune homme.
- Bonjour, dis-je en avançant une main tendue vers l’homme qui vient de me fixer du regard.
- Salut, c’est toi qui viens pour un logement, c’est bien ça ?
- Oui, j’ai passé une annonce…
- Oui, Luc m’en a parlé, tu te dis prêt à payer de ta personne sexuellement, hé bien, on va voir ça tout de suite…
Je ne me fais aucune illusion sur la suite des événements. Le porno, l’homme presque nu, celui qui est allé me chercher retire prestement sa chemise et vient câliner son ami.
- Bon, t’es pas un canon ! C’est sûr, mais on va voir ce que tu vaux, fous-toi à poils…
- Heu ! Attendez…
- Tu veux qu’on te loue la grange ou non ?
- Oui, mais tout de même…
- Bon, nous, on veut voir de quoi tu es capable, avant de nous engager, alors à poils connard !
Je bous intérieurement, mais que faire d’autre que d’obéir, si je veux pouvoir trouver un logement. Et puis, me mettre à poils c’est pas si difficile que ça, et même sucer ou me faire enculer, ce sera de toute façon moins pénible que de vivre en SDF sous les ponts ! Aussi, sans aucune grâce ni fioriture, je retire mon sweat-shirt. Je le laisse tomber sur le sol puis m’occupe d’ouvrir ma braguette dans une geste ample. Les boutons sautent, et je fais glisser mon jeans le long de mes cuisses, je ne porte pas de caleçon, comme presque tout le temps. Ensuite, en me baissant, je dégage un pied, puis l’autre, et ce faisant, je retire mes mocassins.
- Tourne-toi un peu que je vois ton cul…
Une fois de plus, je suis les directives docilement. Quand j’ai le dos tourné, j’entends l’homme se lever de son fauteuil. Ses mains chaudes se posent sur mes reins, puis il ordonne encore :
- Penche-toi bien en avant, les mains sur les chevilles.
Je me penche et m’empare à pleines mains de mes chevilles, je sens mon anus ouvert, je le sais propre puisque avant de venir, j’ai encore fait un lavement. Des doigts testent l’élasticité de mon sphincter, puis me fouillent plus profondément, d’abord deux, puis trois, et enfin quatre doigts s’agitent dans mon anus.
- Tu as l’habitude de te faire enculer à ce que je vois…
Ben tient ! c’est une grande trouvaille ! encore un intellectuel du sexe celui-là ! Si j’accepte de me faire baiser, de sucer, et me faire tirer comme la pire lopette, c’est que déjà, je sais ce que ça fait ! J’imagine bien un mec vierge du cul, accepter, d’entrée de jeu, de se faire sodomiser à outrance ! Il y en a vraiment qui ont abusé des films X et des idées bidons qu’ils véhiculent ! J’en suis là dans mes réflexions quand je sens une main s’emparer de mes testicules.
Luc, le jeune homme, vient devant moi, ouvre sa braguette et m’ordonne à son tour :
- Suce, pétasse.
L’homme bande déjà, sa queue n’est pas très grande, mais elle est assez jolie, bien droite, déjà décalottée, et elle sent bon le savon frais. Je pompe l’engin avec plaisir en me disant que, plus vite, je vide ces messieurs, plus vite, je sors de là et passe à ce qui m’amène réellement, à savoir cette grange aménagée. Les doigts qui s’agitent dans mon cul, et une main est venue me triturer les seins, me pinçant copieusement le téton droit au passage.
Jean me lâche et m’annonce d’un coup :
- Je vais t’exploser ton cul de salope en chaleur…
L’homme sort une capote de sa poche, déchire l’enveloppe plastique et enfile la protection sur son sexe dressé.
Je suis l’opération tout en continuant à sucer cette jolie queue droite, que j’ai en bouche, je bave de manière à pouvoir branler ensuite, la bite bien lubrifiée, plus énergiquement, toujours dans l’optique de finir rapidement ces messieurs, dont je suis le jouet. Je sens des pouces appuyer sur mes fesses, des mains se poser et mon cul être ouvert par le grand écart que l’on impose à mes fesses.
Jean se penche et crache sur le trou du cul, puis il demande encore :
- À force de te faire trouducuter, tu dois être contaminé, non ?
Là, bêtement, plutôt que de réfléchir au sens caché de la question, je réponds du tac au tac :
- Non, je suis clean ! Ça fait peu de temps que je me fais mettre, depuis que je recherche une solution de logement, dans l’urgence, en fait.
- Ha, tu es clean alors…
Après cette réponse qui m’a contraint à laisser quelques instants de côté cette bite, je reprends ma pipe avec application. Je ne m’aperçois pas, de ce que fait ce vicelard de Jean.
L’homme me lâche les fesses et retire prestement le préservatif, puis il s’empare à nouveau de mes fesses, les écarte, et introduit son sexe long et dur dans mon cul. Les grands coups de boutoirs me font perdre l’équilibre et je suis obligé de m’agripper aux cuisses puissantes de Luc pour ne pas tomber et pour continuer à pomper correctement.
Je me fais défoncer le cul copieusement par cette grosse queue véloce, tout en suçant de mon mieux, le plus jeune des deux mecs. Mon cul est lubrifié à la salive et la queue de mon amant me provoque des frissons de plaisirs qui me secouent.
L’homme se rend compte que je prends mon pied, il en profite alors pour me claquer le cul et m’insulter encore plus :
- Vas-y pétasse, tu aimes ça, te faire mettre… Vieille fiote, va !
Bien que ma position soit inconfortable, cette grosse queue qui me remplit le ventre, me procure un plaisir dingue, et le jeune homme que je suce, donne lui aussi quelques signes de plaisir. J’ai l’impression qu’il ne va pas tarder à jouir, j’astique alors encore plus son chibre
Bientôt un goût âcre m’envahit la bouche. Luc joui sans mot dire, seules ses jambes tremblotent légèrement. Par contre, j’entends les râles de Jean, qui s’agrippe maintenant à mes hanches et donne des coups de boutoir de plus en plus fort.
Luc éjacule en longues saccades puissantes. À présent, toujours sans rien dire, il s’est emparé de ma tête et la bloque, pour que je le finisse, pour que je m’occupe de son plaisir jusqu’au bout.
Jean jouit à son tour. Les derniers coups de boutoir sont encore plus forts, que tout ce qui a précédé, et l’homme prend son pied dans mon cul, sans s’occuper le moins du monde, de ce que moi, je peux ressentir.
Quand Luc me lâche enfin la tête, je laisse sa queue, toute molle maintenant, sortir de ma bouche. J’ai avalé au fur et à mesure tout son foutre, ainsi, je ne garde pas le goût du sperme en bouche. Le jeune homme décide visiblement d’aller s’asseoir et je me retrouve sans rien pour me tenir.
Luc se vide totalement dans mon cul, à ce moment-là, j’imagine encore que c’est dans une capote, puis, quand il se retire finalement, et comme je suis trop penché en avant pour avoir un bon équilibre, il lui suffit d’un petit mouvement brusque, pour que je m’écroule sur le sol.
Les deux mecs se mettent à rigoler.
- Alors vieux machin, tu ne tiens plus debout ?
- Salaud !
- Allez, vieil enculé, relève-toi et va, à quatre pattes, jusqu’à mon fauteuil.
- Non mais, ça va pas, dis-je en commençant à me lever.
Une poussée avec son pied sur mon flanc droit, me fait retomber. Là, je me rebiffe pour de bon et d’un bond, je suis debout, prêt à lui coller un grand coup de poing dans le nez.
Sans se démonter, l’homme reprend d’une voix lourde et précise :
- Ferme ta grande gueule, tu es ici, suite à une annonce pour te loger, alors ou tu nous écoutes ou tu te barres et tu vas te faire mettre ailleurs.
Je le toise, à ce moment précis, je ne sais pas s’il va prendre mon poing dans la figure, pour sa façon de faire, et de profiter de gens dans la merde, comme je le suis présentement, ou si je vais m’écraser pour pouvoir, finalement, voir cette pièce, qui me permettrait d’avoir un toit.
- Allez, à quatre pattes, suce bites, ordonne une nouvelle fois Jean, d’une voix terrible et forte.
Je me dis que c'est vrai que je ne suis qu’un suce bites. Les mecs me convoquent, alors je suce, je vais dans les back-rooms, je suce, certes avec l’espoir de me prendre une bite dans le cul et de jouir, mais je suce toujours en premier, sans de réelles assurances de plaisir. Il faut bien que j’admette, que je suis une pédale qui suce et avale du foutre en quantité, servile au possible, comme si je n’étais sur terre que pour donner du plaisir aux hommes !
Finalement, j’exécute l’ordre et me remets à quatre pattes sur le sol, ensuite, doucement, je me dirige vers le profond fauteuil, dans lequel, quand je suis arrivé, était installé l’homme.
En me dandinant à quatre pattes comme un pauvre vieux clébard, j’ai une sensation assez étrange au niveau de mon anus et je me demande quel type de gel, Jean a bien pu me mettre dans le cul. Puis, je m’aperçois d’une capote propre par terre, visiblement, il n’a pas joui dedans, là, je ne comprends pas, je pose la question :
- Ben ! tu n’as pas joui finalement ?
- Si, mais je t’ai pris à cru, sans préservatif, puisque tu me dis ne pas être contaminé, et que moi par ailleurs, je suis clean aussi…
Je suis sidéré ! ce salaud m’a giclé dans le cul sans me demander la permission, et c’est maintenant son foutre, que je dois sentir s’écouler de mon cul !
- Mets-toi sur les genoux et viens me sucer la bite pédale.
- Non, non, ça ne va pas là, que je commence à dire, mais très vite l’homme directif me coupe la parole et dit brutalement :
- Ce serait con pour toi, de t’être fait enculer, remplir de foutre, et, finalement, de ne pas avoir ton logement ! Puis, après une courte pause, il enchaîne :
- En outre, ce n’est pas une pipe qui va te faire peur ! vu comment tu as pompé mon chéri à l’instant ! j’ai bien envie que tu me redonnes de la vigueur.
C’est aussi ce que je me dis, ce connard m’a englué les intestins, mais si j’ai la grange, je saurai lui faire payer ce tour-là ! Donc jouant à être bien docile, je m’approche de lui et enfourne sa queue dans ma bouche, j’ai peur du goût, mais, le lavement ayant été des plus efficaces, la queue ne sent pas le cul et je peux la pomper sans avoir des hauts le cœur.
- Viens Luc, viens mon chéri, viens voir comment il suce ce vieux pédé…
Je suce et branle Jean de mon mieux, toujours dans l’optique d’en finir au plus tôt, en regardant vers le haut, je vois les deux mecs s’embrasser à pleine bouche.
Je sens que le jeune homme se recule un peu, là deux mains puissantes m’entourent la tête comme pour me guider dans ma fellation, j’imagine, mais à tort, que tout ça va bientôt finir.
- Je veux que tu encules cette lope dans mon jus de couilles qui lui remplit déjà le fion, Chéri. Ça, c’est Jean qui s’adresse à son jeune amant, je tente de grogner pour montrer mon désaccord, mais rien n’y fait, je vais donc recevoir cette bite dans le cul.
- Debout vieille tantouze. Et en donnant cet ordre, l’homme tire aussi sur ma tête.
Je me mets debout, mais la tête toujours prisonnière, je suis contraint à me pencher fortement en avant.
Luc bande à nouveau copieusement, certes, il n’est pas monté comme un âne, mais sa queue, quand elle me perfore, ne me laisse pas indifférent. La tête toujours prisonnière des mains puissantes de Jean, je sens la queue de Luc aller et venir, à un rythme en perpétuelle accélération.
Le jeune homme se régale visiblement à limer ce cul offert, gluant du foutre de son amant.
Jean, sans lâcher prise, se penche en avant par-dessus mon dos et doit certainement embrasser son amant à nouveau.
Bientôt, je sens Jean se vider dans ma bouche, une fois encore, j’avale le foutre tiède pour ne pas avoir en bouche le goût du sperme.
Dans la foulée, le jeune homme ahane de plus en plus et lime de plus en plus fort, jusqu’à se répandre dans mes intestins dans un concert de grognements. Cette fois, il jouit bruyamment, en me remplissant de sa semence tiède, et il est encouragé en cela, par son amant régulier, qui dit encore :
- Vas-y Chéri, remplis-moi bien cette fiote, ce sac à foutre…
Les deux hommes reprennent leur souffle pendant que moi, courbatu, je me remets droit. Je sens mon anus encore tout ouvert, du traitement qu’il vient de subir, puis je sens que mon anus suinte, sûrement de foutre, bientôt l’odeur particulière du sperme dans le cul, monte à mes narines, je serre les fesses et tâche de maîtriser mon sphincter, mais le suintement continu tout de même.
- Reste debout et écarte les cuisses, pour voir si tu fuies, salope…
La voix de Jean est de nouveau dure, il n’a pas eu besoin de beaucoup de temps pour reprendre ses esprits, celui-là ! Mais, pensant qu’il vaut mieux, pour moi, être très docile que rebelle, j’exécute une fois encore l’ordre qui m’est donné. Je me retrouve au milieu de la pièce, jambes écartées, mon anus qui suinte le jus de couilles, celui-ci coule le long de mes cuisses, tout doucement, me laissant une étrange sensation, une sorte de caresse perverse et vicieuse.
- Tourne-toi…
Une fois de plus, j’obtempère.
- Penche-toi en avant et écarte tes fesses…
Je me penche en avant, le plus possible, et de mes deux mains, j’écarte mes miches, je pense que mon anus doit être bien visible, pour ces deux salauds.
- On l’a bien rempli !
- Oui comme tu dis ! Là, il est plein de foutre ce vieux pédé…
- Bon, vieille fiote, rhabille-toi et barre-toi, nous t’appellerons, si ta candidature est retenue…
- Comment ça ?
- Nous avons d’autres tarlouzes comme toi qui cherchent un baisodrome à la campagne, à recevoir et à essayer.
Je me rhabille rapidement, mes chaussettes, mon jeans puis mon sweat-shirt. Sans caleçon, j’imagine très vite, que je vais salir l’intérieur de mon pantalon, lors de mon retour.
Suite à une annonce, que j’ai passé la veille, au miroir des hommes, je reçois un coup de fils en début d’après midi, d’un homme qui dit avoir des appartements à louer sur Tours nord. Après lui avoir expliqué ma situation et mon retour au chômage. L’homme me donne rendez-vous chez lui, aussi à Tours nord, dans un petit pavillon.
En arrivant, je tombe sur un type de quarante-cinq ans environs, qui me toise d’entrée et ne me sert pas la main que je lui tends. Je me trouve un peu stupide. L’homme est assez grand, plutôt impressionnant, non pas par sa carrure, mais par son aspect strict et son visage fermé. Il engage directement la conversation d’une voix rude :
- Comment ça se fait-il que vous n’ayez pas de logement ?
Je raconte alors mes péripéties qui m’ont conduit à passer l’annonce dans laquelle je disais effectivement être prêt à payer de ma personne pour obtenir un appartement à petit prix.
- Alors comme ça, n’importe quel enculeur te dit avoir un appartement et toi, tu viens comme un toutou au premier rencart venu !
- Non mais ! Attendez !
En guise de réponse, je reçois une violente gifle qui me sonne pendant quelques secondes, le temps que l’homme m’annonce d’une voix très dure, mais sans élever le ton, ce qui porte encore plus :
- Dis donc petite pute, tu passes une annonce dans un sex-shop, dans le coin gay du magasin, tu dis être prêt à tout pour avoir un logement, parce que tu es dans l’urgence, tu viens sans poser de question chez un homme, et tu me ferais croire que tu es une petite oie blanche !
Je n’ai pas le temps de répondre, ni même de reprendre mon souffle, sans compter que si je suis honnête, il faut bien reconnaître que ma démarche porte le flanc à ce genre de rendez-vous, d’ailleurs, j’en ai déjà connu quelques-uns de copieux dans le genre. L’homme poursuit alors, toujours d’une voix martiale :
- Je loue des studios aux étudiants, mais il faut bien dire, que tu fais plus vieille fiote qu’étudiants ! En plus, tu es chômeur, alors si tu veux pas te retrouver à la soupe populaire, ferme ta grande gueule et écoute bien mes conditions !
Là, c’est psychologiquement, que je me prends une grande claque ! C’est vrai que ce type d’annonce m’a déjà apporté des expériences peu glorieuses, entre le vieux dégueulasse, qui m’a fait le sucer, pour finir par m’offrir une caravane, qui était plus un poulailler qu’une caravane digne de ce nom, ou les deux enfoirés, qui m’ont défoncés le cul à tour de rôle, toute la soirée en me promettant un coin de grange, qui malheureusement n’avait plus de toiture, en passant par ce commerçant arabe, qui me promettait un petit studio à Saint-Pierre Des Corps, qui m’a baisé trois fois de suite en se finissant dans ma bouche et encore quelques enfoirés qui ont vite compris, que je pouvais être à leur merci.
- Bon, quatre cents euros, charges comprises, mais, comme tu le dis si bien, dans tes annonces de pédale en chaleur, ma condition, je t’appelle quand j’ai envie, et toi, tu as une heure, pour te laver le cul et les dents, c’est compris ?
- Heuu…
- Tu préfères aller à la soupe ?
- Non, mais…
- Bon, j’ai pas toute la journée moi, c’est oui ou non, mais réfléchis tout de même bien pauvre tarlouze, tu ne ressembles à rien, je ne pense pas que tu auras une meilleure offre !
Perdu dans mes pensées, je suis déstabilisé, sur le moment, je ne sais plus quoi faire, et très vite, comme par impulsion, je réponds :
- Bon, d’accord…
- D’accord qui ? pédale ! Cette fois, je réponds automatiquement avec toute mon éducation, qui remonte à ma rescousse :
- D’accord Monsieur.
- Parfait, alors baisse ton froc, que je vois ton cul d’enculé.
Une fois encore, je suis déstabilisé par la demande incongrue, je tente de me soustraire à cet examen, en balbutiant un vague « mais… », mais l’homme, lui, reprend tout de suite, en augmentant encore un peu la force de sa voix dure :
- Baisse ton froc ! Sinon, tu vas te faire mettre ailleurs…
Je finis donc par remonter mon sweat-shirt sur mon ventre et ouvrir mon jean noir à bouton. Comme d’habitude, je n’ai pas de caleçon, je me retrouve donc très vite le pantalon à mi-cuisse, les yeux baissés, la bite à l’air et mon pubis sans poils à la vue de cet homme, à qui je regrette déjà d’obéir, mais ai-je un autre choix ?
- Ha ! vieux saligot ! vieux vicelard, en plus tu ne portes pas de slip, sûrement pour te faire enculer, plus facilement et plus vite, dans les sex-shops !
Je suis abasourdi, on m’aurait mis un coup de masse derrière les oreilles que cela n’aurait pas été autrement.
- Tourne-toi et penche-toi en avant, que je vois ce cul de vieux pédé.
En essayant de me motiver en pensant à un studio, bien que je me sois fait avoir plusieurs fois déjà, par d’autres mecs, j’exécute l’ordre et écarte mes fesses à pleines main.
- T’as l’habitude d’offrir ton cul, vieil enculé… Et après quelques instants de silence, j’entends le bruit d’une braguette qui s’ouvre et de tissu comme celui d’un pantalon qui se baisse, puis l’ordre arrive aussi sec :
- Retourne-toi.
Je me retourne en me redressant et en lâchant mes fesses, mais dès que je commence à me redresser, j’entends encore :
- À genoux, tu vas me montrer comment tu suces, vieux débris…
J’en prends pour mon grade ! Je n’ai pas souvenir de m’être jamais fait insulter de cette façon, de plus, j’ai une furieuse envie de lui coller mon poing dans le museau, mais tout de suite, je me dis, qu’il faut que je me calme, je ne sais pas de quoi sera fait demain, et j’ai bien des craintes quant à ma situation à venir. Aussi, je m’agenouille en posant un genou à terre, l’autre jambe pliée, et je prends en main cette bite qui me parait bien grosse alors qu’encore molle.
- Suce, pédale…
Je prends cette queue en bouche, elle ne gonfle pas trop, mais se durcit, j’essaie de m’appliquer pour sucer au mieux. Je branle en même temps, car je ne peux avaler qu’à peine la moitié de cette grosse bite qui, finalement, sent bon. Soucieux de ne pas décevoir, je pompe bien, joue avec ma langue sur la partie en bouche, tout en bavant pour bien lubrifier le reste de la queue, que je branle en serrant et desserrant ma prise. Parfois, je sors ma langue quand la queue est au plus profond dans ma bouche, comme si j’essayais de lécher les couilles. Bientôt, je sens deux mains puissantes qui me serrent la tète, puis de longues saccades de foutre m’envahissent la bouche. j’avale tout de suite le foutre, relativement insipide de l’homme, qui grogne de plaisir, je vais bien l’avoir ce petit studio !
L’homme me repousse si violemment que je me retrouve sur le dos, il me fixe et ordonne :
- Debout vieille tantouze.
Pendant que je me remets debout, l’homme me regarde avec un air dédaigneux et me crache au visage :
- T’es gras du bide et tu as des nichons mous, on dirait une vieille truie immonde et dépravée !
J’ai les yeux qui me piquent, j’ai envie de réagir, mais je ne sais pas comment, soit j’agresse ce monstre et j’ai fait une pipe à ce salaud pour rien, soit je râle, mais là encore, si c’est mal perçu, je perds le bénéfice de ma fellation… Je n’ai pas le temps d’aller plus loin dans mon raisonnement, l’homme me regarde et laisse tomber :
- Bon, t’es une bonne pompeuse, connasse… Demain, dix-huit heures, place Coty, je te montre le studio. C'est quatre cents euros, en liquide, tous les cinq du mois. Quand je te sonne, tu te laves les dents et le cul, tu m’accueilles nu, bouche et trou du cul propres, que je puisse t’enculer ou pour une pipe, et pas d’excuses pour te défiler, grosse truie, c’est compris ?
- Oui monsieur, que je bafouille sans trop réfléchir aux conditions, la seule chose que je viens de capter, c’est que mes soucis de logement sont peut-être terminés.
- Tu oublies le loyer, tu me suces mal ou tu n’es pas dispo, quand je le veux, et je te refous dans la rue, tu comprends connard ?
- Oui monsieur, que je bredouille encore.
- Alors barre-toi, demain dix-huit heures place Coty.
Et comme visiblement, encore ensuqué et abasourdi, par ce qui vient de se passer, je ne sors pas assez vite, l’homme tonne encore :
- Dégage vieille tapette, hors de ma vue, tu pues le foutre…
Je sors prestement de la maison et remonte en voiture en croisant les doigts, pour que le lendemain, il soit effectivement là à dix-huit heures.
L’appartement
La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.
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