Une vieille chienne : premier repas découverte
Marc est un homme dans la force de l’âge, 48 ans, grand et costaud, dont la vie est assez douce malgré sa séparation il y a deux ans d’avec sa compagne. Celle-ci, petit à petit, en était venue à boire et à être alcoolique, et la vie avec une alcoolique est difficile.
Pour son job, Marc, se déplace beaucoup, directeur de la sous-traitance dans son entreprise, il est souvent chez les fournisseurs pour vérifier les fournitures, et est souvent aussi invité.
Cette semaine, il se doit d’aller près de Nantes pour visiter un fournisseur, et se dit que, pendant qu’il est dans le coin, il irait bien saluer son ex-belle-mère avec qui il avait gardé de bons rapports, et ce, même après sa séparation.
Au téléphone, il apprend avec stupeur que l’ex-beau-père est décédé quelques mois plus tôt, laissant la vieille femme dans une solitude assez grande puisqu’elle n’a plus de contacte avec sa fille qui, à priori, continue de s’enfoncer dans son alcoolisme à vitesse accrue.
Jeannette propose à son ex-gendre de passer dîner et de rester dormir, lui offrant la chambre d’amis où il a déjà dormi par le passé.
Et comme dans les deux semaines suivantes, il y aura un salon important à Nantes, les hôtels seront pris d’assaut, son déplacement n’ayant pas été prévu suffisamment tôt, Marc se doute des difficultés à trouver un hôtel convenable. Il accepte donc de bon cœur la proposition de la vieille dame.
C’est donc en ce début d’avril que l’homme, après une bonne journée, fort chargée chez son fournisseur, se dirige vers l’immeuble de la résidence, où se situe l’appartement de Jeannette. Se servant de son GPS, il ne perd pas de temps et se retrouve bientôt, sa valise à la main, devant la porte de l’immeuble à appuyer sur le bouton de l’interphone.
- Bonjour Jeannette, c’est Marc.
- Entrez Marc, c’est au quatrième, vous vous souvenez ?
Mais avant que l’homme ait pu répondre, la porte s’entrouvre en coupant net la communication. Il se dirige vers l’ascenseur, tire sur la poignée, l’appareil est là à attendre. À la sortie de l’ascenseur, se fiant toujours à sa mémoire, le visiteur se dirige, sans coup férir, vers la porte de son ex-belle-mère. Il appuie sur la sonnette, la porte s’ouvre.
- Entrez Marc, invite la femme en ouvrant en grand la porte et en s’effaçant discrètement.
Dès qu’il est dans l’entrée, vaste et joliment décorée, l’homme pose sa valise et embrasse la dame. Faisant un pas en arrière, il la détaille de la tête aux pieds, puis, après quelques secondes d’analyse visuelle, laisse tomber de sa voix douce :
- Hé bien ma chère ! Vous avez fait quelque chose ? Vous êtes encore plus jolie que dans mon souvenir, et Dieu sait si les souvenirs embellissent souvent les choses.
- Merci Marc ! balbutie doucement la vielle femme, puis elle enchaîne, après avoir laissé, elle aussi, son regard parcourir la silhouette de l’homme :
- Vous aussi, vous avez changé en mieux, vous avez drôlement maigri, non ?
- Oui, en fait je n’ai pas fait grand-chose, j’ai décidé de gérer mon stress au boulot et à la maison. Vous savez, seul le soir, il n’y a personne pour s’entraîner mutuellement dans l’apéritif, les vins ou les digestifs, comme ça se passait avant, un peu de sport, et le poids chute rapidement.
- Et j’imagine que le fait de ne plus avoir de stress à la maison vous a bien aid’, finalement…
- Je vous avoue que, franchement, je suis soulagé de son départ… Maintenant, je n’ai plus la hantise d’arriver à la maison en me posant la question de comment vais-je être reçu, comment va se passer la soirée, ce genre de choses.
- Ou allez la rechercher à l’hôpital psychiatrique comme vous avez déjà fait !
- Oui par exemple.
- Mais entrez donc, je vous débarrasse de votre veste
Marc tend sa veste de costume à la dame et entre dans la grande pièce, qui sert de salle à manger. Il jette un œil par la baie vitrée, la vue sur le petit square en bas est sympathique, mais sans plus. La pièce est meublée d’une grande table en chêne massif, dont les pieds sont travaillés, recouverte d’un Bulgomme beige avec des motifs de fleurs. Un bahut bas est placé à droite de l’entrée, bahut dans le même style breton visiblement que la table, avec des bibelots et une coupe à fruits posée dessus.
Sur la gauche, au mur derrière la table, un autre bahut, mais bien plus haut celui-là, toujours dans le même style. Et sur le pan de mur restant au fond de la pièce, mur dans lequel il y a aussi une grande découpe qui donne sur le petit salon, un meuble tout en hauteur servant de vitrine à toute une collection de bibelots aussi divers que variés. Là encore, de style breton rappelant les autres meubles.
Jeannette revient par le salon et invite son visiteur à s’installer sur une chaise. Elle est habillée d’une grande robe verte dont le bas semble comme déchiré. Une robe déstructurée comme disent les couturiers, des mules noires avec un petit pompon en plume dessus, des bas blancs. Elle porte plusieurs bagues à ses doigts, un collier de perles blanches autour de son cou fragile, et des boucles d’oreilles assorties au collier.
A soixante-sept ans, cette femme d’un mètre soixante-cinq pour soixante-cinq kilos a encore une silhouette assez agréable. Certes, on imagine assez facilement que ses seins ne sont plus aussi fiers qu’à vingt ans, que son cul est assez flasque, mais dans l’ensemble, elle est encore utilisable.
La femme propose à son invité de prendre l’apéritif, ce qu’il accepte bien volontiers, et très vite, voici nos deux compères assis à la table de la salle à manger, à déguster un pineau des Charentes succulent.
Un verre, puis deux, puis trois, avant de passer à table à proprement parler et d’éponger tout ça avec un bon steak et des pommes de terre sautées. Mais le tout encore arrosé de vin de bordeaux, reliques de la cave de feu l’ex-beau-père. À la fin du repas, c’est encore fromage, donnant soif de bordeaux ! et puis gâteau venant de la pâtisserie du coin, qui lui aussi donne une bonne raison de finir la deuxième bouteille de bordeaux.
Après avoir discuté essentiellement de l’enterrement du défunt, de la cérémonie, et du repas qui suivit, Jeannette, ramenant les cafés, demande à son invité :
- Marc, voulez-vous un peu de cognac, pour finir ce petit repas qui fut bien sympathique et dont je vous remercie.
- Écoutez, je ne suis pas sûr que ce soit sérieux, mais comme je n’ai pas de route à faire, je vais me laisser tenter… Pourquoi me remerciez-vous ? c’est moi qui vous suis reconnaissant pour ce repas.
- Non, non, j’y tiens… Vous m’avez fait oublier ma solitude et ça fait du bien de pouvoir parler un peu, dommage que vous n’ayez pas l’occasion de venir plus souvent dans la région.
- Oui dommage… Et puis, bien moins d’occasions encore, puisque…
- Oui, je ne la vois plus, d’ailleurs, elle n’est même pas venue à l’enterrement de son père, c’est incroyable d’avoir une fille comme ça !
- Oui, je vous plains… Et puis, son alcoolisme n’explique pas tout !
- Oui, on se demandait, avec Pierre, si elle ne buvait pas pour se donner une excuse, en quelque sorte !
- Franchement, et sans être psy, j’avoue que je lui ai plusieurs fois dit, que l’alcool était uniquement une forme d’excuse, pour ses frasques.
- Mais maintenant, vous pouvez bien me le dire, quelles étaient ses turpitudes ?
- Quand je l’ai connue, elle sortait souvent en night-club, et elle m’a avoué qu’elle se faisait payer des pots par des tas de mecs, et qu’au bout d’un moment, elle ne savait plus où elle était…
- Et ? Bien que le ton de l’homme ne laisse rien de bon à attendre dans la suite de son discourt, la vieille dame semble très intéressée à savoir ce genre de détails. Elle finit de boire son café et remplis les deux petits verres de ce vieux cognac, qu’elle a rapporté avec elle, lors de son dernier voyage à la cuisine.
- Hé bien, elle m’a avoué que souvent, elle reprenait ses esprits dans des voitures, parfois dans un champ, à côté de la boite, vous savez, cette boite est à la sortie de la ville, dans un petit hameau…
- Oui, oui, je sais où elle se trouve.
- Parfois à l’hôtel… Parfois même avec plusieurs hommes…
- Oui… Je vois…
- Je lui ai même dit à l’époque que, saoule n’était pas le plus gros problème, au pire, elle ne goûtait pas aux joies sexuelles, mais le plus grave, c’est qu’elle ne pouvait pas gérer les mecs, ni vérifier s’ils mettaient bien une capote.
Le mot fait tressaillir la dame. Elle porte le petit verre de cognac à ses lèvres et bois une toute petite gorgée, du divin nectar.
L’homme attend quelques secondes que son hôtesse repose son verre, puis il poursuit :
- En fait, et il doit y avoir un bon-dieu pour les pochetrons ! elle a une chance inouïe de n’avoir jamais attrapé le sida ! Car avec de telles pratiques ! Cela dit, dès le début de notre relation, nous avons fait les tests d’usages.
- Vous avez bien fait ! avec une telle… grue !
- Je vous avouerai même que, son meilleur ami, vous savez, le petit homo…
- Oui, comment il s’appelle…
- Mickaël, tout le monde l’appel Mimi…
- Oui, c’est ça. Oui, je le connais, je l’ai déjà vu.
- Eh bien son meilleur ami m’a dit une fois qu’il la voyait parfois partir avec des mecs sales, voire glauques. Sans parler qu’il l’a déjà vu faire le spectacle, sur le parking de la boite, à se faire baiser sur le capot d’une voiture, par trois mecs et un petit attroupement, pour regarder autour.
À cette évocation, la vieille femme commence à se trémousser sur sa chaise comme si elle était assise sur un nid de fourmis rouges. Elle reprend son verre en main, et tout en le portant à ses lèvres, laisse tomber :
- Eh bien ! C’est encore pire que ce que nous pensions avec son père.
- J’ai bien essayé de l’aider à se comprendre, lui ai conseillé d’aller voir un psy pour comprendre ses frasques et trouver le moyen de vivre heureuse sans se mettre totalement en danger, mais vous la connaissez mieux que moi, elle sait toujours tout mieux que tout le monde, n’a besoin d’aucune aide…
- Oui ! Ça, c’est sûr ! Elle a toujours raison et ne se laisse rien dire. Si vous saviez Marc, depuis toute petite, nous avons ce problème avec elle, et ce n’est pas faute d’avoir, son père et moi, essayé toutes les méthodes ! Mais rien n’y faisait.
- Oui, j’en ai entendu aussi de drôles, sur sa jeunesse…
- Ah bon ! Racontez-moi ça s’il vous plaît.
- C’est assez délicat parce que comme on ne sait jamais où est le vrai et où elle commence à fabuler…
- N’ayez crainte, je vous dirai, racontez-moi ce qu’elle disait, sur sa jeunesse.
- Eh bien voilà, une de ses grandes excuses, quand on lui parle de ses frasques, c’est… Et là, l’homme plonge son regard dans les yeux de la dame avant de poursuivre : les frasques de sa mère !
Jeannette manque de s’étouffer. D’un seul coup, elle est devenue toute rouge, le front, les joues, mais aussi le cou et toute la poitrine dénudée, qu’on peut voir, par le décolleté.
- Pardon ? Finit-elle par balbutier plus qu’articuler.
- Je suis désolé, c’est ainsi qu’elle parle de vous, son excuse serait les frasques de sa mère !
- Mais de quoi parlait-elle donc ? La femme semble choquée, mais est-elle choquée parce que sa fille pouvait penser, voir colporter des insanités mensongères sur son compte, ou est-ce le fait que sa fille soit réellement au courant de sa vie à elle et qu’elle en parle un peu à tout le monde qui gêne le plus la vieille dame, personne ne saurait le dire à cet instant.
- Elle était explicite, sur le fait que vous ayez eu des amants
- Ah bon ! Une fois encore, la mère est outragée, mais de quoi au juste ? que sa vie passée soit étalée, ou que sa fille mente copieusement sur une vie sans faille ?
- Oui… C’est d’ailleurs ce qui la poussait à avoir des amants elle-même alors qu’elle n’était qu’une jeune mariée, car votre fille m’a avouée avoir très tôt trompé son mari.
- Ça ! Ça ne m’étonne pas vraiment…
- D’ailleurs votre fille en voulait aussi beaucoup à son père, de s’être laissé aller à ce rôle, de cocu compatissant.
- Mais ! Je n’ai jamais… Les yeux de la femme s’embrument alors, et elle reprend une petite gorgée de cognac.
L’homme voit parfaitement le malaise de la femme, il la voit rougir et fronce imperceptiblement les sourcils pour accentuer encore le malaise de la vieille. Puis, son ton devenant encore un peu plus dur, il poursuit :
- Votre fille associe d’ailleurs son état de nymphomane à, dit-elle, votre propre nymphomanie.
- Mais comment ose-t-elle…
- Elle assure pourtant que, il y a une trentaine d’années, vous étiez une vraie nymphomane…
Marc laisse les mots en suspens dans la pièce et prend délicatement son verre pour le porter à ses lèvres, à son tour. Le breuvage est réellement merveilleux, mais il n’y prête qu’une attention très secondaire, il surveille de très près l’état de son ex-belle-mère, pour essayer de comprendre la réalité, à travers ce trouble terrible, qui la torture.
La vieille femme ne sait plus trop où elle en est. Elle savait sa diablesse de fille aînée prête à bien des bassesses, mais qu’elle puisse raconter tout cela sur elle, et puis, comment était-elle au courant pour les amants, plus jeune, Jeannette a toujours fait très attention à rester discrète, du moins veut-elle le croire.
Ce diable d’homme qui assène ainsi des vérités que bien des gens auraient aimé laisser cacher, a toute son attention braquée vers la vieille femme et analyse en temps réel, le moindre mouvement, la moindre marque, le moindre changement de couleur de la peau. Puis, il continue, d’une voix encore un peu plus dure, toute en étant encore assez chaude :
- Eh bien, d’après elle, les chiens ne font pas des chats, et elle vous aurait surprise, quand elle était petite, plusieurs fois en train de vous masturber…
La femme sursaute cette fois-ci, ses yeux fuient alors et un petit tremblement s’empare alors de sa tête, dénotant ainsi la vive tempête qui s’installe sous sa crinière grise. Elle finit par dire, avec un tremblement dans les lèvres :
- Elle ne raconte pas ça, tout de même…
- Si !
- Mais, c’est monstrueux de parler de sa mère, comme ça…
- Oui ! Mais de sa part, rien ne m’étonne plus, vous savez !
- Mais comment peut-elle…
- Elle peut ! n’en doutez pas, ma chère !
- C’est pas possible…
- Si ! Elle explique, surtout les soirs quand elle est bourrée, qu’adolescente, elle vous a surprise plusieurs fois en train de vous branler dans votre lit !
À ces mots, la pauvre femme sursaute à nouveau, rougit encore plus, et d’une main tremblante, cette fois, attrape le verre de cognac et le vide d’un trait. Elle bredouille encore, mais plus pour se rassurer elle-même, que pour son interlocuteur :
- C’est pas possible…
- Malheureusement si ! Comment saurais-je sinon, que vous aimiez vous caresser dans la salle de bain ?
- Mais comment…
- Elle vous épiait très souvent, et, plutôt que de lire comme elle vous le faisait croire, elle épiait vos faits et gestes, poursuit encore l’homme, d’une voix de plus en plus dure ; menant aux reproches.
- Ne me dites pas qu’elle a raconté ça à d’autres personnes qu’à vous ? les larmes sont aux bords des yeux fatigués. D’un coup, la femme a pris dix ans et semble être bien abattue.
- Moi, je n’ai été que témoin de ses récits, ses ragots, je ne sais pas ! Mais le fait est que votre fille racontait ça, à ses amis, certes souvent quand elle commençait à être bourrée, mais je l’ai même entendu raconter ça à vos cousins, Patrick et Claire.
- Oh non…
- Je vous propose de leur demander franchement, quand vous les aurez au téléphone, pour vous rendre compte que je n’affabule pas.
- Elle raconte que j’avais des amants ? La voix est tremblante, pleurnicharde.
- Oui, et elle leur a même raconté qu’elle vous a surprise plusieurs fois à vous masturber assise sur les toilettes…
- Oh non ! Cette fois, la vieille dame se met à pleurer.
- Que voulez-vous que je vous dise…
- C’est pas possible… D’un coup, les souvenirs lui reviennent en force. Elle se remémore ce fabuleux godemiché à la forme si bizarre, que lui avait offert Gérard, un de ces amants et collègues, et combien elle aimait se servir de ce jouet, quand elle était seule, et oui, c’est vrai que, même aux toilettes parfois, elle se laissait aller à jouir, comme une dévergondée.
- Votre fille racontait, avec force détail, comment, à travers la petite lucarne haute, elle vous voyait vous agiter et prendre votre pied.
- Oh la la…
- Et elle avoue, parfois même, que pendant ce temps-là, elle en profitait pour se masturber, elle aussi.
- C’est pas possible !
- Elle a même dit une fois que, quand vous étiez au boulot, les mercredis, il lui arrivait de prendre le godemiché, que vous rangiez dans le petit tiroir de l’armoire de votre chambre, et de s’en servir !
- C’est pas vrai !
Là encore, la pauvre femme cherche surtout à se persuader, elle-même, qu’elle rêve et que tout cela n’est jamais arrivé. Mais ses souvenirs sont très présents, elle se revoit sur les toilettes, avec le jouet, à se donner du plaisir en le faisant aller et venir dans sa chatte, allant dans les petits coins, sortant luisant de cyprine, glissant merveilleusement au fond de son vagin, elle a l’impression de retrouver l’odeur douceâtre de sa mouille, quand elle se donnait du plaisir.
Et d’un coup, elle revoit aussi la pièce, les cabinets juxtaposés avec la salle de bain, et les deux petites lucarnes en partie haute, une qui donnait dans les toilettes, l’autre dans la salle de bain, et le radiateur placé juste en dessous des deux lucarnes, dans le couloir, oui ! Ce que raconte cet homme, qu’elle trouve habituellement plutôt aimable, sympathique, pour ne pas dire séduisant, est tout à fait plausible. Et tous ces détails, comment aurait-il fait pour les inventer ? comment aurait-il fait pour connaître cette maison, qu’elle et son mari ont revendu, avant que sa fille ne connaisse Marc ?
L’homme observe attentivement la vieille dame indigne. Il sait depuis longtemps, que la mère et la fille se ressemble pas mal, et éprouve un plaisir pervers à voir maintenant, cette femme tout de même assez snob, être aussi mal à l’aise. Sentant bien qu’il a touché un point encore plus sensible avec le god, il poursuit, sa voix devenant crescendo, plus dure :
- Visiblement, vous ne saviez pas que votre jouet fétiche, qui vous donnait autant de plaisir, allait aussi dans le vagin de votre fille…
- Taisez-vous… C’est dans un souffle que la vielle laisse tomber ces quelques mots.
- Vous imaginez ! Cet objet, bien qu’inanimé qui allait et venait dans votre sexe, qui vous donnait du plaisir, qui vous faisait jouir… et qui allait aussi dans la chatte de votre fille, faisait jouir aussi votre fille… C’est presque incestueux tout ça !
Jeannette tremble, les yeux dans la vague, elle imagine des images incestueuses où elle est en train de se branler avec sa fille, qui fait de même à côté d’elle. Elle sent la chaleur du corps de sa fille, elle sent sa transpiration, elle entend ses râles de bonheurs, toutes ces sensations lui font perdre la tête.
L’homme se rend compte, maintenant, que tout ce que racontait son ex, n’était pas que de la pure fiction d’une pauvre alcoolique, qui cherche à se rendre intéressante, mais avait bel et bien un fondement véridique. Tenant à garder l’avantage sur la vieille femme, il enfonce encore le clou, en disant :
- Sous vos grands airs, vous êtes tout de même, une sacrée salope !
La vieille cochonne ne répond plus, elle avance sa main vers la bouteille de cognac, tout doucement comme dans un rêve.
Marc s’aperçoit que son hôtesse veut boire un coup et que son verre est vide, alors, très vite, il pose sa main sur le bras de la dame et lui dit :
- Attends, je vais te servir…
Et de l’autre main, il remplit les deux verres, repose la bouteille et seulement à ce moment-là, lâche le bras de la vieille. Puis, il poursuit avec sa voix toujours dure, mais chaude :
- À la tienne, vieille salope !
- Mais je ne suis…
- Quoi ! Soixante-sept ans, c’est plus toute jeune, si ?
- Non, mais…
- Bon alors quoi ? Une nana qui se branle devant sa propre fille, t’appelles pas ça une salope ?
- C’est pas ce que je voulais dire…
- Fais pas tant de cinéma Jeannette ! Je sais que tu es une salope, et je t’affirme que tu es une salope ! D’ailleurs, je suis sûr que, encore aujourd’hui, tu te branles, quand tu commences à avoir trop chaud au ventre…
La vielle dame est estomaquée. Elle ne sait plus quoi dire, le ton, les mots, l’attitude ni hostile ni amie, de cet homme qu’elle croyait connaître, tout la déroute.
L’homme ne laisse aucun répit et recommence à questionner, en montant encore le ton :
- Alors ? À ton âge, tu continues à te tripoter la moule ? non ?
- Mais Marc…
- Pas de « mais » qui tienne, réponds vieille morue, tu te bricoles combien de fois par semaine, salope ?
- Je ne sais pas, s’entend répondre bêtement Jeannette.
- Si tu ne peux pas compter combien de fois, te branles-tu par semaine, c’est que cela doit être souvent ! Quelle morue tu fais !
C’en est trop pour ce soir, la vieille dame choquée se met à pleurer, elle pose ses coudes sur la table et enfuit son visage dans ses mains.
L’homme en profite pour se lever de sa chaise et venir s’asseoir au bout de la table, de manière à être plus près de la femme grise. Dès qu’il est installé, il passe sa main droite entre les avant-bras de son hôtesse, qui pleure toujours à chaudes larmes et prend le sein gauche en main à travers le tissu de la robe. Et il annonce :
- Sacrés nichons que tu as ! Et, tout en malaxant le sein, sans que la dame ne fasse quoi que ce soit pour retirer la main, il poursuit encore :
- Tu as dû te faire tripoter les mamelles souvent, pour qu’elles soient aussi molles, aujourd’hui…
Jeannette pleure de plus en plus et se laisse tripoter indignement, sans montrer le moindre plaisir, mais sans montrer non plus, la moindre gène. En fait, elle ne se rend plus compte, de ce qui se passe en ce moment. Elle est dans ses pensées, revoit sa fille en train de s’enfoncer son beau jouet, dans la chatte, allongée impudiquement sur le lit conjugal, lit dans lequel, il y a bien des années, elle a conçu sa maudite fille.
- Arrête de pleurnicher et bois plutôt un coup.
Comme un automate, la femme lâche son visage et, de sa main droite, vient s’emparer de son verre, qu’elle porte à ses lèvres et vide d’un trait. Une petite toux, et, les yeux rougis de larmes, se tourne vers cet homme étrange, qui lui malaxe toujours le sein gauche, pour lui demander d’une voix anxieuse :
- Mais qu’allez-vous penser de moi, Marc ?
- La même chose que tous les gens, qui connaissent tes frasques, pensent ! Que tu es une vieille salope dévergondée dont le mari est mort cocu, comme peu d’hommes l’ont été.
- Oh non…
- Comment ça non ? Tu n’as pas eu d’amants peut-être ?
- Si, mais…
- Alors salope ! coupe sèchement l’homme tout en pressant fortement le sein gauche qu’il a toujours en main. Puis, il continue :
- Et, pour une femme qui a des amants, on ne dit pas que le mari est cocu peut-être ?
- Si…
- Bon, alors arrête de faire ta mijaurée ! Regarde-toi, tu as vu comment tu t’es habillée pour m’accueillir ce soir, salope ?
- Mais…
- Suffit ! Et ce décolleté, c’est pas pour montrer tes mamelles de vieille salope, non ?
Et, tout en disant cela, le vicieux personnage plonge sa main dans le décolleté et vient prendre possessions du sein gauche, mais cette fois non plus à travers les différentes couches de tissus, mais directement en écartant et la robe et le soutien-gorge.
- Oh non…
- Mais si ! Les chiens ne font pas des chats ! Et avec ce que j’ai vu de ta fille, ce qu’elle pouvait se mettre dans la moule et le temps qu’elle passait à se branler ! J’imagine le temps qu’une vieille vicelarde comme toi a dû passer à s’astiquer la chatte, et les kilomètres de bites que tu as pris, dedans !
Est-ce le ton de la voix, les tourments qu’elle a avec sa fille, son veuvage, ou les souvenirs honteux qui resurgissent à cet instant, Jeannette ne saurait le dire, toutefois elle éclate en sanglots et enfuit à nouveau son visage dans ses mains.
L’homme s’enhardit encore et pousse la plaisanterie à lui ordonner :
- Tu vas te mettre torse nu, pour me montrer tes mamelles de vieille salope.
La vieille femme, perdant définitivement tout sens de la réalité, et un peu comme dans un rêve, sent des mains expertes s’occuper de la fermeture de sa robe se trouvant dans son dos. Bientôt, elle sent que l’homme la débraille et fait glisser le haut de sa robe, sur ses bras ronds. Puis, elle se rend compte que les mêmes mains s’occupent de la fermeture de son soutien-gorge. Ensuite, et avec soulagement, elle sent le vêtement s’ouvrir et ses seins devenir lourds. Toutefois, le sous-vêtement ne lui enserrant plus le torse, elle éprouve du plaisir à être ainsi mise à nu.
De plus, sentir maintenant ses seins bien pris en main et tripotés, comme elle aime tant, et comme durant toute sa vie, elle a aimé. Elle se laisse aller, et l’alcool qu’elle a consommé durant la soirée n’est pas pour rien dans cette excitation, qui monte de plus en plus, à mesure que ses mamelles sont malaxées. Elle sent maintenant cette chaleur lourde, qui monte de son ventre et commence à lui inonder le vagin.
Tout en détaillant du regard les lourds seins, les auréoles larges, les tétons encore assez droits, et la peau légèrement fripée qui attache le tout à la gorge, Marc, toujours entreprenant, mais manifestement de plus en plus excité, poursuit :
- Oui… Les mecs ont dû se régaler avec de telles mamelles !
Jeannette se laisse faire sans résistance. Toutefois, un léger tremblement de ses mains trahit la tempête, qui explose sous sa crinière grise.
L’homme, bien plus jeune et bien plus aguerrit, que la vieille dame, sait qu’il faut rapidement prendre possession de sa proie et lui imposer sa volonté, pendant qu’elle se perd dans ses pensées. Aussi, d’un geste sûr, quoi qu’un peu brusque, il se lève et vient aider la femme à se lever à son tour en lui ordonnant d’une voix qui devient de plus en plus dure :
- Debout salope, tu vas me montrer cette chatte, qui a tant miaulé…
Et, joignant le geste à la parole, il défait totalement, la fermeture du dos de la robe et fait glisser le fin tissu, sur le sol. Très vite ensuite, il entreprend de faire glisser, à son tour le jupon, puis la grosse culotte en coton blanc. Il prend soin à laisser en place, les bas autofixants qui marquent le haut des cuisses, de la vieille. Puis, la faisant se tourner vers lui, il enchaîne :
- T’es une vraie grise à ce que je vois…. Mais tu ferais plus jeune avec la motte rasée… Bouge pas d’un pouce, ma salope !
L’homme recul de trois pas, s’immobilise et détaille du regard de haut en bas la vieille femme, nue devant lui.
Jeannette a les yeux baissés, elle pleure toujours, mais maintenant par petits hoquets, qui lui soulèvent la poitrine, dans un mouvement obscène et fait trembler, à chaque fois, quelques instants, ses seins gélatineux.
- Ne bouge pas… Où as-tu mis ma veste ?
- Dans l’entrée… Répond mécaniquement la femme, entre deux sanglots.
Marc sort rapidement de la pièce, pour aller dans le couloir, qui sert de vestibule, cherche sa veste quelques secondes, et, tout en prenant dans celle-ci son téléphone portable, ordonne d’une voix toujours aussi forte et dure :
- Tu ne bouges surtout pas, ma salope !
Puis il revient dans la salle à manger, cherche la meilleure place, se positionne, déverrouille son téléphone et choisie la fonction « appareil photo », prend tout de suite deux clichés.
La vieille semble sortir de sa léthargie, au bruit caractéristique de la prise de vue, mais avant qu’elle n’ait eu le temps de dire, quoi que ce soit, elle entend :
- Très bien, tu fais bonne vieille pute comme ça, tu vas maintenant mettre tes mains sur ta tête.
Sans un mot, comme subjuguée par les ordres, la femme grise porte ses mains à sa tête et croise les doigts avant de venir reposer, sur le haut du crâne, ses mains.
- Les coudes bien en arrière, que ça fasse bien ressortir tes mamelles… Allez… Mieux que ça !
Une fois de plus, Jeannette exécute l’ordre et fait de son mieux pour mettre ses bras vers l’arrière, de son corps. Dans cette position, la peau flasque de ses bras est un peu plus tendue, toutefois, le mouvement ne remonte que très peu ses seins.
Un... Deux… Trois flashs avec ce bruit si caractéristique, Marc s’applique à prendre les meilleures photos possibles, car il a une petite idée derrière la tête. Il ordonne à nouveau :
- Écarte tes jambes, que l’on puisse bien voir ta moule, de vieille salope.
Une fois de plus, la pauvre vieille dame se remet à pleurer, toutefois elle garde la pause avec ses mains sur la tête, mais n’écarte pas ses jambes assez vite, aussi, elle entend à nouveau :
- Alors, tu t’écartes, pouffiasse !
Ses pleurs redoublent, mais elle écarte ses jambes et offre ainsi sa chatte aux poils gris et longs, à la vue de son ex-gendre et à l’objectif de l’appareil.
Un… Deux… Trois… Quatre… Cinq flashs, sans que la femme ne bouge, à part ses hoquets de sanglots, qui font toujours trembler cette poitrine visqueuse et obscène.
- Bien… Caresse-toi la chatte…
Comme la dame ne réagit pas assez vite à son goût, le pervers bonhomme ajoute, avec encore plus de force dans la voix :
- Branle-toi, pouffiasse ! Tu ne comprends pas le français ?
Toujours d’une façon un peu mécanique, la dame baisse ses bras le long du corps et commence à porter sa main droite à son sexe.
- La main gauche sur la tête, je ne t’ai pas dit de l’enlever…
Le ton est toujours aussi directif et la femme grise obtempère aussitôt.
- Allez ! Branle ta vieille moule, fait la couler de plaisir…
Et Jeannette commence alors à se caresser doucement le clitoris sans entrouvrir son sexe. Elle appuie peu, mais commence une douce rotation de ses index et majeur joint sur le bouton d’amour.
Marc fait encore un pas en arrière, et recommence à prendre des photos, trois… Quatre… Puis, il se déplace doucement, pour changer le point de vue, cinq... Six…
- C’est bien, tu es une bonne salope docile, continue et n’hésite pas à te donner du plaisir… Et, alors qu’il continue à prendre des photos, il poursuit encore, mais cette fois d’une voix plus douce, plus câline :
- Retrouve les sensations que tu avais, avec ton jouet, sur les toilettes…
La vieille dame, ne pleurant plus pour le moment, prend plaisir à se masturber ainsi, devant cet homme étrange, qu’elle pensait connaître. Il doit bien s’avouer que le compagnon de sa fille lui plaisait, mais, si parfois, elle fantasmait un peu sur cet homme, dans la force de l’âge, elle s’interdisait d’aller trop loin et éviter que quoi que ce soit, ne transparaisse dans ses actes et propos, or, si l’homme agit de la sorte, c’est tout de même bien parce qu’il a compris quelques chose de profond, chez elle !
Les flashs continuent. Puis, sans crier gare, l’homme pose son téléphone sur la table, vient prendre la vielle femme par la taille, et la guide pour qu’elle finisse par s’asseoir, sur le bord de la table. Là, il reprend l’appareil, fait quelques pas en arrière, et ordonne à nouveau, mais d’une voix bien plus douce que tout à l’heure :
- Vas-y, branle-toi bien…
La vieille femelle ferme maintenant les yeux et, autant ivre d’alcool que de stupre, se donne entièrement à son plaisir. Entre les moments difficiles de tout à l’heure, et le plaisir de se masturber qu’elle a toujours ressenti, et qu’elle ressent encore, malgré l’âge, le fossé est si grand que, maintenant, c’est avec autant d’intensité, qu’elle sent le plaisir monté, que tout à l’heure la honte l’envahissait.
L’homme conscient de ce qu’il réussit à faire faire à son ex-belle-mère, ou considérée comme telle, monte encore le niveau de perversité d’un cran, en disant :
- Vas-y ma salope, fais-toi jouir, comme jadis sur tes chiottes… Et il laisse alors tomber très sèchement, comme quand ta fille te regardait faire…
À cette évocation, la femme est coupée dans son élan, elle ouvre les yeux en grand, et fixe d’un regard noir ce diable d’homme.
- Allez ! Branle-toi, ça t’excite qu’on te regarde, en train de te branler, hein ! Vieille pétasse !
Cette fois, Jeannette ne sait plus quoi faire et reste pétrifiée.
- Allez, te fait pas prier, morue, bricole-toi le clito, tu aimes ça…
La femme reprend alors doucement sa masturbation, mais cette fois, comme si elle voulait se sauver à travers ce geste, comme si elle voulait fuir et que, de se donner du plaisir, lui procurer cette fuite. Bientôt, l’alcool, le lieu, la présence de cet homme, ses gestes, tout l’excite à nouveau.
L’homme prend encore trois photos, puis, estimant qu’il est temps de passer à ce que lui a envie de vivre avec la vielle dame, il glisse son appareil dans sa poche, très vite se rapproche de la femme, la prend sous les bras, et l’aide à s’allonger sur la table de la salle à manger, tout en lui disant :
- Ça doit faire un moment qu’on ne t’a pas monté sur la table, non ?
Jeannette suit le mouvement sans répondre, toute perdue dans ses pensées, qu’elle est maintenant. L’alcool aussi commence à faire effet, comme on peut le voir à ses yeux, de plus en plus vitreux. Très vite, elle se retrouve allongée impudiquement sur la lourde table en bois, directement à même le bois lisse, puisque l’homme vient de retirer, d’un geste ample, la nappe qui était souillée du repas, de ce soir.
- Vas-y mémé, branle-toi pendant que je me prépare…
Et l’homme installe une chaise devant les jambes de la femme, qui dépassent de la table et pendent dans le vide. Puis, alors que la vieille s’est remise à se caresser doucement, il s’installe sur la chaise, s’empare des jambes à la peau flétrie, et tire à lui le corps, jusqu’à avoir les fesses au bord de la table.
Jeannette a les yeux écarquillés. Cette position allongée sur la table lui rappelle sa jeunesse et des souvenirs agréables lui remontent à la mémoire. De plus, se sentir tirer ainsi, bien que la peau glissant difficilement sur le bois n’est pas une sensation agréable, le côté prise à la hussarde sur la table ne fait qu’augmenter encore son excitation. Elle a stoppé sa branlette et attend maintenant, sagement, la suite des événements.
Très doucement, ce qui tranche avec ses ordres précédents, Marc porte sa bouche vers le sexe orné de poils gris, aucune odeur désagréable, seules les effluves, d’une femme qui vient de se caresser, persistent. Il sort sa langue et commence à titiller le clitoris, de son appendice, de façon experte.
La femme gémit très vite et commence même, à se tortiller doucement, comme pour mieux s’offrir à ces caresses, qu’elle aime tant.
S’apercevant que ses coups de langue sont bien appréciés, l’homme s’enhardit et, en ouvrant le vagin à l’aide de ses pouces. Il fait descendre sa langue sur le sexe vers l’entrée de la grotte féminine, en prenant soin de lécher toute la zone érogène, dans son ensemble.
Bientôt, il sort sa langue le plus possible et vient prendre possession du vagin, en enfouissant sa langue et faisant comme s’il roulait une pelle.
La mémé se pâme. Cette fois, elle se laisse totalement aller à son plaisir, en sentant sa chatte, délicieusement envahie.
Marc ressort sa langue et revient titiller le clitoris, maintenant que la grotte est détrempée, il peut passer à ce dont il avait envie, depuis tout à l’heure, et, tout en suçant et mordillant le clitoris pour tirer le maximum d’effet sur la vieille femme, il commence à introduire dans la chatte trois doigts joins.
Jeannette bouge son cul de plus en plus, elle exprime son plaisir en gémissant, de plus en plus fort.
L’homme fait maintenant entrer le quatrième doigt, tout en continuant à faire entrer et sortir l’ensemble des doigts joins, dans cette moule qui s’ouvre toujours plus.
Bientôt, estimant la chose possible, il sort ses doigts doucement, puis, en ayant fait un cône de ses cinq doigts joins, il enfonce doucement les doigts dans ce vagin, qui suinte le plaisir à gros flot, tout en continuant à s’occuper du clitoris, avec sa langue certes, mais de plus en plus avec ses dents par petites morsures, savamment dosées.
Sa chatte s’ouvre sous les assauts de ces doigts malicieux, Jeannette pousse de petits cris, à chaque douce morsure, qui vient agacer son clitoris, quel plaisir !
Doucement, mais fermement, Marc pousse sa main dans la chatte, qui s’ouvre à son passage, si le geste est doux et précautionneux, il n’en est pas moins persistant et volontaire. L’homme surveille les réactions de la vieille dame, d’un œil expert.
Bientôt la chatte abandonne le combat et s’ouvre pour engloutir totalement, la main jusqu’au poignet.
Le diable d’homme prend possession de l’intérieur du sexe, en fermant son poing. Puis, doucement, il commence à l’ouvrir et le refermer, dans un rythme lent. Il n’arrête pas pour autant son activité, au niveau du bouton d’amour et suis des yeux l’évolution, du plaisir de la dame.
Jeannette, qui après avoir poussé un cri plus intense, au moment où la main est entrée dans sa chatte, recommence ses petits cris, au rythme des à-coups sur son clitoris. Elle ne sait pas ce qu’elle reçoit comme traitement, mais les ondes de plaisirs qui parcourent son corps, lui font oublier tout le reste.
C’est maintenant, qu’il a sa main totalement dans la moule de la vieille, qu’il en profite pour stopper son traitement avec ses dents, reculer un peu. Et, tout en continuant à ouvrir et fermer son poing, emprisonné dans la matrice féminine, il annonce fièrement :
- Eh bien ma salope ! pour avoir une chatte aussi large encore à ton âge, c’est que tu as dû prendre du gros calibre !
Et comme la femme continue à gémir, signe de l’arrivée prochaine d’un orgasme, l’homme se lève de la chaise, la main toujours au chaud dans le ventre de la dame, et, de sa main libre, s’empare d’une touffe de cheveux pour tirer à lui la vieille tête. Quand la femme ouvre enfin les yeux, il lui dit :
- Regarde salope, tu as toute ma main dans ta chatte de morue !
Jeannette voit sans regarder, elle prend du plaisir, et halète de plus en plus fort. Très vite, elle referme les yeux et retourne à son plaisir, qui monte et dont elle sent le point d’orgue arriver, à grands pas.
Ce diable d’homme lâche la tête de la vieille femme, revient s’asseoir, et décide alors de faire jouir sa proie. Tout en continuant à ouvrir et fermer sa main dans la moule dilatée, il produit un mouvement de va-et-vient, et, de sa main à l’air libre, vient s’emparer du clitoris pour le branler, de plus en plus énergiquement.
La vieille n’en peut plus maintenant, elle commence à crier doucement, puis très vite, elle crie de plus en plus fort.
L’homme n’a plus qu’une idée en tête, faire jouir cette vieille femme. Puis, une idée lui vient et il se dit que, si elle jouit maintenant, il aura peut-être du mal à l’exciter encore, un peu plus tard, s’il a envie de quelque chose, aussi, il décide alors que la femme est au bord du gouffre, de tout arrêter pour le moment.
Il stoppe son massage obscène du clito, et retire prestement sa main de la chaude chatte dégoulinante.
Jeannette tremble de tout son corps, maintenant que toutes les caresses ont cessées, elle est presque arrivée à jouir, mais visiblement, ce diable d’ex-gendre ne l’entend pas de cette oreille. Elle est toute ensuquée, allongée sur sa table de salle à manger, ses seins et son sexe offert à la vue, de cet homme, qui pourrait être son fils, bref, elle ne peut pas recoller les morceaux de la soirée, pour le moment.
- Alors vieille salope, c’était bon de se faire fister, comme une reine du porno, non ?
- Oui…. S’entend répondre la femme d’une voix quasiment inaudible.
- Réponds plus fort, que tes voisins l’entendent que tu es une morue !
- Oui, dit encore la femme, mais toujours assez doucement
- Plus fort !
- Oui !
Cette fois la voix est audible dans tout l’appartement, mais il semble que ça ne suffise encore pas, aussi l’homme répète mieux, à la limite de crier :
- Plus fort, salope !
- Oui…
- Encore plus fort, crie-le, que tu aimes te faire mettre, comme une chienne !
- OUI ! fini par crier la pauvre femme. Cette fois, les voisins ont dû entendre, ce qui se passe dans l’appartement
Le vicieux homme ne compte pas en rester là, il revient sur le clitoris qu’il masse à nouveau, d’abord très lentement, puis il accélère tout doucement jusqu’à voir la vieille femme devenir rouge et commencer à haleter, donnant tous les signes d’une jouissance, à venir rapidement.
Jeannette perd, à nouveau, tout sens des réalités et se laisse aller à ce massage de son bouton d’amour, qui lui procure tellement d’ondes de plaisir, dans tout son bas ventre.
Marc, de sa main libre, soulève les vieilles fesses flasques et glisse son majeur et son index, dans l’anus ainsi offert. Il lime doucement ce trou rugueux et continue à masser le clitoris de plus en plus rapidement, toujours très attentif, aux râles de la femme.
Cette fois, c’est son cul qui subit les assauts, de cet homme pervers et vicieux. La femme offre, toutefois, son cul à ces caresses obscènes, qu’elle aime aussi énormément.
Marc joint maintenant son annulaire aux deux autres doigts. Puis entre à nouveau dans le cul, le sphincter ne fait aucune difficulté à laisser passer les doigts.
- Tu as l’habitude de te faire enculer, hein, vieille salope !
Comme la femme ne répond pas, perdue qu’elle est dans son plaisir montant, de plus en plus intensément, il poursuit :
- Alors ! Dis-le, que tu es une enculée !
Jeannette ne dit toujours rien, elle n’entend presque pas les mots de son ex-gendre, elle se laisse juste aller à ces caresses, qui lui rappellent sa jeunesse, et qui lui montrent, combien le temps perdu est précieux.
- Alors ! Vas-tu m’avouer que tu es une enculée ! Vielle morue ! Cette fois l’homme parle très fort, si des voisins étaient dans le couloir, nul doute qu’ils entendraient le message de cet homme.
- Je suis une enculée, dit doucement, la voix troublée par le plaisir, la femelle au bord de la jouissance.
L’homme retire encore ses trois doigts, puis pose les cinq doigts joints contre le sphincter, et pousse fermement, pour faire entrer l’ensemble, le plus loin possible dans l’anus. Il stoppe le massage du clitoris, et se sert maintenant de sa main libre pour remonter la jambe gauche de la femme le plus haut possible, ce faisant, il ouvre encore plus l’anus, déjà bien distendu.
Jeannette grogne, autant pour montrer son mécontentement que l’homme ne l’ait pas laissé jouir, et autant pour dire que la position devient inconfortable.
Marc se remet à lui bricoler le clitoris en relâchant la jambe qu’il tenait. Cette fois, il décide d’emmener mémé au bout de son plaisir, et en quelque trois ou quatre minutes, il amène la vieille à l’orgasme.
Maintenant, Jeannette se laisse aller et jouit bruyamment. Ses râles aigus, son souffle court, feraient davantage penser à une souffrance intense, qu’à la manifestation d’un plaisir indicible, tel qu’elle est en train de le vivre.
- C’est bon ça, hein vieille morue, que demande Marc, d’une voix ne masquant plus sa propre excitation.
- Oui, souffle, entre deux râles, la vieille femelle.
- Dis-moi que tu es une vielle salope, ajoute encore l’homme, alors qu’il arrête brutalement ses caresses, laissant ainsi Jeannette en manque de la fin de son orgasme.
- Oui… Souffle encore doucement la femme grise.
- Dis-le que tu es une vieille salope ! Ordonne encore, avec force, le vicieux personnage.
- Je suis une salope, finit enfin, par laisser échapper la femme.
- Non, tu es UNE VIEILLE SALOPE, répète-le…
- Je suis une vieille salope, mais une fois de plus, la voix est feutrée, le son, peu audible.
- Plus fort morue ! JE-SUIS-UNE-VIELLE-SA-LO-PE ! Je veux que toute la maison l’entente. Cette fois, Marc crie et il ponctue la fin de son message, par une grande claque sur le clitoris.
- AIE !
- Allez, crie-le-moi, que tu es une vieille salope ! Et cette fois, jouant du feu et de la glace, le gendre pervers reprend son malaxage du clitoris, il s’applique pour réussir très vite à replacer son ex-belle-mère dans un état proche de l’orgasme, il ordonne une fois encore :
- Allez, crie-moi que tu es une vielle salope.
- Je suis une vieille salope, cette fois la femelle en chaleur l’a dit clairement, avec une certaine force dans sa voix, toutefois encore très aiguë, qui dénote son état d’excitation intense.
- Plus fort morue ! Ordonne encore le vicieux homme, en redoublant de vitesse dans ses caresses clitoridiennes.
- JE SUIS UNE VIEILLE SALOPE ! Cette fois la pauvre femme a vraiment crié. Dans son plaisir, elle en oublie qu’elle est chez elle, dans une tour, avec de nombreux voisins alentour qui, sauf à être totalement sourds, ne pourront pas faire autrement, que d’entendre ses confessions perverses.
Marc s'applique maintenant à faire jouir la vieille femme.
Jeannette s'éclate dans un concert de grognements. Puis, après quelques minutes, à avoir des soubresauts et autres signes de l'intensité de son plaisir, la femme place ses deux mains sur son sexe, comme pour le protéger. Elle ne sait plus où elle en est, avec ce diable d'homme et cherche son souffle, mais elle est heureuse d'avoir eut un tel orgasme. Elle se perd dans ses pensées et ne sait plus du tout comment réagir, vis-à-vis de son ex-gendre.
L'homme ne compte pas en rester là, si cette vieille chienne vient de jouir en gueulant, il estime avoir, lui aussi, le droit à son plaisir, aussi, il se déplace et vient se mettre à la hauteur de la tête de la femelle aux yeux clos maintenant. Il ouvre sa braguette et sort son sexe en pleine érection. Empoigne les cheveux gris et tire la tête à lui, jusqu'à ce que la bouche soit en contact avec son pieu de chair, là, il lance d'un ton décidé :
- Ouvre la bouche et suce-moi, vieille truie.
La pauvre femme exécute l'ordre et happe ainsi une bonne partie de la tige de chair dressée à sa portée.
- Pompe-moi ! Pompe et donne-moi autant de plaisir, que je t'en ai donné, vieille salope.
Jeannette suce au mieux cette queue, mais il semble que ça ne suffise pas, car elle sent l'emprise de cette main, qui lui tient toujours les cheveux, devenir de plus en plus ferme.
- T'es comme ta connasse de fille, toujours prête à se faire remplir la marmite à foutre, mais pas capable de faire une vraie bonne pipe, je vais me branler dans ta bouche, mémé !
Et, joignant le geste à la parole, Marc, guide la tête, de manière à ce que la bouche puisse être bien envahie, par son sexe, et il se met à limer cette vieille bouche, sans aucune considération pour la femme, en soufflant de plus en plus rapidement et de plus en plus fort.
Jeannette se laisse aller, elle respire par le nez, ne pouvant pas, par la bouche ainsi occupée, elle porte toujours les mains à son sexe et la tête lui tourne, de tout ce qui arrive ce soir.
Dans un grognement à la limite de l'humain, Marc éjacule dans la bouche de la vieille dame, sans lui permettre de pouvoir se reculer, pour mieux respirer. Les longs jets de foutre tièdes vont s'écraser contre le fond de la gorge abusée. Il se laisse aller à son plaisir, totalement ivre de stupre.
Les mains toujours sur sa vieille chatte endolorie, Jeannette, avale machinalement le sperme, de son nouvel amant, pour pouvoir mieux respirer ensuite. Ivre, elle aussi, de stupre et d'alcool, elle reste là, allongée sur la table en bois, inerte, à attendre sa délivrance sans impatience.
L’homme reprend doucement son souffle et, sa queue devenant molle et se recroquevillant, ressort son membre tout en conservant machinalement la tête de la vieille entre ses mains.
- Ah ! Ça fait du bien de se vider les couilles dans un vieux pot comme toi !
En remballant le matériel dans son pantalon et refermant sa braguette, Marc, d'une voix grave, mais détendue, annonce encore à la vieille dame :
- Bon, tu vas m'attendre pour aller au lit, maintenant, je vais mettre les photos sur internet.
Il relève sa belle-mère, la place au milieu de la pièce, lui fait mettre les mains sur la tête, comme tout à l'heure, puis ajoute encore d'un ton vicieux :
- Les coudes bien en arrière, que ça remonte un peu tes vieilles mamelles ! Là, on dirait une vieille vache pour l’abattoir ! Et, en lui passant une main dans le dos, ajoute encore :
- Redresse-toi, salope !
Jeannette se laisse faire, elle pousse comme elle peut sur ses bras décharnés, pour faire venir ses coudes sur l'arrière de son corps, et tâche de se redresser au mieux. Obéir à son gendre, lui paraît la meilleure des choses à faire pour le moment. Son esprit est encore ensuqué par le plaisir intense, qu'elle vient de vivre et qui lui laisse de longs frissons, qui parcourent tout son corps.
L'homme, qui vient de sortir de la pièce, revient avec son ordinateur et son téléphone. Il pose ses deux appareils sur la table, qui est encore chaude du corps de la mémé. Branche son téléphone et récupère les photos sur son ordinateur, puis, se sert du téléphone pour aller déposer quelques-unes des photos sur un site de mémés vicieuses. À chaque fois qu'il attend qu'une page se charge, il regarde la vieille et vérifie sa pose qu'il corrige au besoin.
Après un bon quart d'heure, et alors que la vieille dame commence à avoir mal aux bras et s'en plaint, Marc referme son ordinateur et lui annonce très sérieusement :
- Voilà, tu vas devenir une reine d'internet ! Je vais tâcher de faire de toi, la vieille la plus salope du net, tu vas voir chérie...
Une vieille chienne
Re: Une vieille chienne
Une vieille chienne : Nuit d'ivresse
L'homme passe un certain temps devant son ordinateur, sur le net, à mettre en ligne des photos de la vieille et surtout, à les commenter de façon salace.
Pendant cette opération, Jeannette, totalement soumise, ne dit rien. Est-ce un consentement tacite ou une grande fatigue, elle-même ne pourrait le dire, tant cette soirée fut intense, en tout domaine.
L'homme attrape la vieille femme par les cheveux et guide sa tête pour que la vieille bouche vienne au contact de la sienne, sans faire trop d'effort, ni de mouvement, puis il embrasse fougueusement la femme.
- J'ai des potes qui aimeraient bien se taper une vieille folle de bite comme toi, je pense que je vais passer quelques jours ici et monter un petit gang-bang, pour toi.
Il embrasse à nouveau la femme, lui pelote les seins de sa main libre. Puis, descend vers la grotte intime, de la dame et reprend des caresses obscènes sur le vieux clito, encore tout dur.
Jeannette recommence à respirer fortement, ensuite de plus en plus rapidement. Les caresses sur son bouton d'amour, lui procurent de longs frissons qui parcourent tout son corps.
Sentant que la femme accepte, à nouveau, ses caresses vicieuses et impudiques, l'homme, qui a compris que le baiser était aussi un puissant aphrodisiaque, pour la dame, reprend possession de la bouche de sa proie.
Après un tel déferlement de sensations, presque oubliées, ce baiser fougueux, mais attentionné, revigore quelque peu cette femme, qui perd pied de plus en plus. Mais le bonheur est de courte durée, bientôt, comme dans un rêve, elle entend :
- Tu m'as bien excitée, vieille chienne, il faut que je me vide encore les couilles, dans ton ventre de vieille salope…
À nouveau, le pervers personnage embrasse fougueusement la femme, en l'emmenant doucement, mais sûrement, vers le coin salon. Là, d'un geste sûr du pied, il pousse les revues qui encombraient la table basse, puis, il contraint la vieille à s’asseoir sur cette table.
Elle se laisse guider, sans chercher à comprendre, l'alcool faisant son chemin et embrumant totalement son cerveau. Elle ne sait bientôt plus ce qu'elle fait chez elle, ni pourquoi elle le fait, c’est agréable de se faire embrasser, comme bien des années au paravent, et ça devient la seule chose qui compte, à cet instant.
Il commence par se pencher en avant, pour faire asseoir la vieille femelle sur la table basse et en tester la solidité, puis, se dégageant de la bouche avide, l'allonge doucement de tout son long, les fesses au bord du petit côté, de la petite table.
Le contact frais, du bois sous sa peau, donne un léger frisson, mais toujours dans un état second, elle se laisse manœuvrer, par son ancien gendre.
Marc recule, allume la lumière, et, voyant les poils gris et clairsemés de la vieille chatte, décide de prendre quelques clichés de cette chatte, avant qu'il ne la remplisse de foutre. Il retourne à l'ordinateur prendre son appareil photo.
Jeannette a le dos et la tête sur la table basse. Ses jambes, en dehors du meuble, restent droites jusqu'aux genoux, et là, les jambes sont pliées à quatre-vingt-dix degrés, pour qu'elle ait les pieds au sol. Elle ne bouge pas, seule sa respiration, assez forte, se fait entendre et fait monter et descendre son buste.
Le pervers salaud revient et fait encore quelques photos de la chatte de la vieille femme, d'abord de loin, puis de plus en plus près, pour finir par quelques gros plans, quand soudain, il ordonne :
- Remonte-tes jambes et tiens tes cuisses.
Une fois encore, la vieille femme exécute l'ordre donné, relève doucement ses jambes et vient les maintenir, en passant ses mains sous ses genoux.
Marc en profite pour écarter les cuisses le plus possible et ouvrir la vulve, offerte au regard lubrique, de son objectif, puis ceux des internautes. Encore quelques prises de vues. Ensuite, il repose son appareil sur la table de la salle à manger et revient, en déboutonnant sa braguette et annonçant :
- Allez, je vais t'en mettre une cartouche, vieille toupie…
Et joignant le geste à la parole, il s'empare des cuisses offertes, se met à genoux devant la chatte ouverte, et pointe son sexe en érection à l'entrée de la grotte féminine. Il pousse, le gland entre d'un coup.
- Oh… Jeannette ouvre les yeux et fixe ce diable d'homme, qui prend possession de son corps.
L'homme enfonce son peu de chair en érection, le plus loin possible, mais doucement et lentement. Comme il voit que la vieille femelle sourit béatement, il lui dit :
- T'aimes ça, te faire piner, vieille morue… Et il accélère alors son mouvement, pour entamer un rapide va-et-vient.
Très vite, mamie commence à couiner, à se pâmer, entre l'alcool ingurgité, la soirée plus que déstabilisante, et cette "baise à la hussarde" dont elle subit les assauts, là, elle lâche totalement prise.
- Putain ! Que tu as la chatte large ! Je vais pouvoir faire mes trente minutes de sport à te limer, avant de te remplir vieux pot à foutre…
L'homme devient grossier et espère une réaction de la mémé, mais il ne semble pas que cette dernière, pourtant très "grande gueule" habituellement, ne dise mot, et, c'est bien connu, qui ne dit mot, consent !
Jeannette se laisse limer la chatte par ce bel étalon, la queue qui entre et sort en permanence à différents rythmes dans son corps lui donne un plaisir fou, qu'elle aurait presque oublié.
Pris par la tournure de la soirée, par l'alcool, même s’il en a moins bu que la vieille, commencent à faire sentir, des effets secondaires. L'homme, excité, se laisse aller à ses plus bas instincts et lime, cette vieille chatte, sans se poser aucune question, ni sur les conséquences, ni sur ce que la vieille pourrait ressentir ou même espérer.
La femme commence à jouir en poussant de longues plaintes, puis, ces plaintes se transforment en petits cris, de plus en plus aigus.
Marc se tape une mémé, rien que l'idée l'excite terriblement. Il est là, à genoux sur une petite carpette marocaine en laine, les chevilles de la femme sur ses épaules, ses mains tenant les chevilles, à limer une chatte plus vieille que lui de plus de vingt ans, aux poils gris, et il se régale des sensations et émotions qu'il en tire.
Maintenant Jeannette commence à vraiment faire du bruit, elle jouit en criant de plus en plus fort, peu lui importe, à cet instant, ce que les voisins pourraient entendre. Là, elle est juste à sa jouissance qu'elle sent tourner en orgasme, dans les instants à suivre.
Sentant pertinemment que sa partenaire du moment va jouir et atteindre l'orgasme, l'homme n'y met que plus d'énergie encore et de maîtrise de lui-même, du moins le, croit-il, car en guise de maîtrise, son plaisir monte inexorablement et va bientôt éclater, sans qu'il ne puisse, justement, plus rien contrôler ni maîtriser.
Jeannette jouit maintenant très bruyamment, non seulement elle jouit et pousse des sons incompréhensible, mais elle commence aussi maintenant à pousser des "oui", "vas-y", "continue"... Totalement intelligibles, eux !
- T'aimes ça… Elle est bonne ma bite ! Hein vieille salope, dis-le, que tu aimes te faire baiser… Dis-le, qu'à ton âge, tu aimes encore te faire ouvrir la moule, à coup de bites, vas-y morue, exprime-toi…
Marc aussi, crie à son tour, emporter par la puissance sexuelle du moment et par son excitation, à baiser son ex-belle-mère. De plus, c'est un peu comme s’il prenait une sorte de revanche sur son ex-compagne, ce qui ajoute encore à son excitation.
- Viens… Donne-moi tout… Cette fois, la vieille commence à exprimer son désir de façon claire.
Puis, elle part dans un long cri rauque et puissant, qui démontre son orgasme.
- Ha… Salope ! Tu me fais jouir morue…
Et l'homme, ne pouvant plus résister à son propre orgasme, lâche son foutre chaud, en agrippant les vieilles cuisses flasques et en collant son pubis contre la vieille moule. Sa bite est totalement entrée dans le corps de la femme et il décharge de longs jets puissants, qui vont s'écraser contre le fond de la matrice féminine. Puis, il s’écroule, et son ventre vient au contact du ventre de la grise.
Jeannette a bien du mal à reprendre son souffle, tant l'orgasme a été puissant et dévastateur. De plus, le poids de l'homme, sur son corps usé, l’empêche de respirer totalement librement. Mais, après un tel orage, rester un peu avec le contact d'une autre peau sur la sienne, est un plaisir, qui prolonge le plaisir.
Après de longues minutes ainsi assemblé, Marc décide de se reprendre et il se relève assez péniblement, il est ankylosé et donc son corps ne répond pas aussi vite, qu'il le voudrait. Il se rhabille à peu près et regarde de haut, cette vieille salope allongée, telle une baleine échouée sur une plage.
Il retourne dans la salle à manger et reprend son téléphone qui lui sert d'appareil photo, puis, revient faire deux photos, de Jeannette allongée et comblée.
- Allez ! Au lit mémé, il est grand temps pour toi, d'aller reprendre des forces ! Après ce que je t'ai mis !
Ensuite, il aide la vieille femme à se relever de la table basse, mais il s'aperçoit que sa chatte suinte. Lui vient alors une idée perverse et il décide de faire marcher la vieille, dans l'appartement, jusqu'à ce que le foutre coule, de sa chatte encore élargie.
- Allez mémé, on va faire un peu de marche, pour te dégriser, et qu'on puisse ensuite dormir, tranquillement.
Jeannette se laisse soutenir et guider. Là, elle ne comprend plus rien du tout, mais elle se laisse faire sans rechigner et suis du salon au vestibule, puis au couloir, puis à la salle à manger, la promenade de cette folle soirée.
Après trois tours d'appartement, Marc stoppe la grise devant la table basse du salon, lui fait mettre un pied sur cette petite table, et vérifie que la chatte suinte bien. En effet, on peut voir des coulures de foutre le long des cuisses de la vieille. Aussi, il s'empare de son téléphone pour faire des photos.
Pendant cette petite séance photos, qui dure cinq longues minutes, devant soit écarter les cuisses, soit se pencher en avant, soit se pencher en arrière, soit serrer les cuisses, et ainsi de suite, la pauvre Jeannette ne dit mot et obtempère docilement.
Le pervers personnage est excité à l'idée que, dès demain, il mettra des photos de cette vieille salope, qu'il vient de baiser sur internet. Il ne doute pas que ces photos auront un franc succès.
- Allez mémé, cette fois, au lit…
Et prenant Jeannette par la main, il l'emmène dans la chambre à coucher.
La vieille femme, déjà nue, se met au lit comme un automate.
L'homme se déshabille rapidement et s'empresse de se coucher, il prend la vieille femme dans ses bras, histoire d'avoir les seins bien en main.
- On dort un peu, et cette nuit, je vais commencer à te baiser pendant ton sommeil…
Il éteint la lumière et sombre dans un sommeil réparateur, aux rêves lubriques.
Sur le coup de trois heures du matin, Marc se réveille. Très vite, son cerveau se remet en route et ses souvenirs, de la folle soirée, reviennent. Sans bouger, il écoute la respiration de la vieille femme, qui dort toujours dans ses bras, tout va bien, elle dort profondément, semble-t-il.
Il prend quelques instants de réflexions. Difficile de croire, qu'il a pu aussi aisément baiser, son ex-belle-mère. Quelque part, lui-même n'en revient pas. Mais il se dit aussi, qu'il faut battre le fer tant qu'il est chaud, et que la situation de cette femme, soumise à ses caprices, pourrait ne pas durer éternellement.
Il se souvient avoir promis à la mémé, de la baiser pendant qu'elle dormirait, aussi, il se dit que, finalement, il aura prévenu et donc qu'il peut abuser d'elle, du moins commencer à abuser d'elle, pendant qu'elle dort encore.
Très doucement, il se défait du corps de la femme et se tourne pour prendre son téléphone cellulaire qui lui sert d'appareil photo. Il consulte les clichés qu'il a pris quelques heures auparavant, se régale des postures obscènes et humiliantes qu'il a fait prendre à la vieille, et tout cela lui redonne une érection, qu'il commence à développer avec sa main libre.
Jeannette est totalement nue, elle ronfle doucement, comme une vieille machine à vapeur bien entretenue, mais dont le poids des ans est tout de même visible.
Ses rêves sont dans le passé, ses anciens amants, ses frasques, ses turpitudes, tout se mélange dans une scène fantasmagorique effrénée.
Marc entretient une belle érection, maintenant, il repose le téléphone sur la table de chevet, se positionne contre le dos de la femelle, guide sa queue sous les draps, trouve le sphincter. De l'autre main, il mouille ses doigts de sa salive, en enduit le trou du cul qui s’entrouvre sans peine. Visiblement, la vieille se faisait enculer souvent.
Il écarte ensuite les fesses molles. Puis, d'un coup de rein doux, mais ferme, enfonce le gland directement dans l'anus de la mémé.
Aucune réaction de Jeannette.
Marc pousse le bouchon un peu plus loin et son sexe entre à moitié dans l'anus ridé.
La femme grise se réveille d'un coup, et pousse un petit cri, puis demande d'une voix, trahissant son inquiétude :
- Mais qu'est-ce que vous faites ?
- Comme promis ma salope, je te prends le cul, pendant ton sommeil, tu vas voir comme c'est bon…
- Mais ! Marc ! Je ne vous permets pas…
- Ta gueule connasse ! Après ce que tu m'as avoué et ce que tu as fait hier soir, tu ne vas pas commencer à faire la mijaurée !
Et sans attendre une réponse quelconque, l'homme se met à limer le vieux cul en commençant par entrer son membre tout au fond, puis le retirant brutalement, le faisant sortir de sa gangue de chair. Puis l'introduisant à nouveau en écartant, fermement, les fesses fripées.
La vieille femme se laisse finalement faire, les mots durs lui ont rappelé la soirée de la veille et son comportement, qu'elle ne comprend pas. Mais pour le moment, elle est heureuse de sentir des ondes de plaisir parcourir son corps, car elle a toujours adoré la sodomie, et là, ce diable d'homme, s'y entend !
- Une vieille enculée comme toi est un vrai bonheur, dit Marc, le souffle court, tout à sa sodomie et à son plaisir.
Jeannette commence à râler de plaisir, sous les assauts de cette queue presque magique et les sensations, que lui procurent son sphincter.
- Tu la sens bien dans ton pot, salope ?
- Hum, hum… Fait la femme en guise de réponse.
- Dis-le que tu es une enculée !
- Oui… gémit-elle doucement.
- Dis-le que tu es une vieille enculée, allez salope, dis-le !
- Je suis une enculée, pousse timidement Jeannette entre deux râles de plaisir.
- Mieux que ça ! Je suis UNE VIEILLE ENCULÉE ! Cette fois, l'homme crie son ordre.
- hum… Un grognement qui veut dire, sûrement, non.
- Dis-le que tu es UNE VIEILLE ENCULÉE. Et l'homme stoppe alors ses mouvements.
- Encore, gémit la perverse mamie...
- Alors dis-moi, que tu es une vieille enculée !
- Je suis une vieille enculée…
L'homme reprend alors ses mouvements de va-et-vient, puis il dit encore :
- Plus fort, crie-le, que tu es une vieille enculée…
- Je suis une vieille enculée, crie la femme, mais certainement, encore pas assez fort.
- Plus fort, te dis-je !
- Je suis une vieille enculée, cette fois Jeannette le crie à plein poumon, puis elle reprend ses râles de plaisirs.
- C'est bien connasse ! Ainsi tout l'immeuble va savoir, que tu es une vieille putain, qui se fait encore enculer, à passer soixante-dix ans.
La perverse mémé ne répond pas, elle commence à jouir et à ne plus rien vouloir savoir du monde extérieur.
- Tu es trop bonne mémé ! Attends, je vais te prendre autrement, sinon je vais encore jouir trop vite, dans ton vieux pot à foutre…
Et, sortant sa queue de l'anus outragé, il repousse le drap et la petite couverture qui les recouvraient jusqu'à présent, saute en bas du lit, fait le tour, attrape les poignets de la vieille femme et la tire en dehors du lit.
Elle se laisse faire docilement et se lève sans broncher.
- À genoux devant ton cierge, ma salope.
La femme s'agenouille doucement et attend la suite des événements, sans sourciller.
L'homme s'agenouille à son tour et vient plaquer sa queue raide contre l'anus, cette fois, sans écarter les fesses, il emmanche l'anus, sans autre forme de procès.
Un cri de stupeur et de douleur transperce la pièce, l'introduction de la sorte est douloureuse, et la vieille se rebiffe :
- Ça fait mal…
- Alors prends tes miches en main et écarte…
Sans demander son reste, la vieille femme pose sa tête sur le lit et prend ses fesses à pleines mains, puis les écarte, le mieux qu'elle peut.
L'homme lime ce vieux fion, sans s'occuper de sa partenaire. Pour s'exciter encore d'avantage, il commence à raconter :
- Je vais mettre tes photos sur le net, tu vas devenir une reine… Tes petits enfants pourront un jour dire, ma mémé était une vieille putain…
Seuls des râles répondent à ce monologue.
- Tu es large comme une bouche de métro, vieille salope que tu es… Tu dois encore te faire enculer souvent, pouffiasse… Ça m'excite à mort, d'enculer une mémé comme toi…
Les uniques réponses, que l'homme ne puisse recevoir, sont des râles et des grognements de femelle en chaleur. Jeannette est sur le point de jouir.
- Je vais te remplir le cul mémé, tu vas voir, tu vas te sentir pleine de foutre, comme au bon vieux temps.
D'un seul coup, sous la force de l'orgasme, c'est comme si Jeannette se réveillait, elle gueule :
- Oui… Vas-y… Remplis-moi, salaud…
- T'aimes ça la bite, hein morue…
- Oui…
- Alors prends ça… Encore ça… L'homme assène de grands coups de reins, qui bloque les hanches contre le lit en bois massif, qui lui ne bouge pas d'un millimètre.
- Oui… remplis-moi...
- Je vais t’inonder ton cul, de sperme, ma connasse !
L'orgasme est encore plus fort que celui de la veille. La femme pousse un énorme cri, qui se transforme petit à petit en râle puissant.
Marc Jouit aussi et laisse son foutre se répandre dans les intestins de la vieille femme. Il s'affale sur le dos de sa partenaire. Pendant de longues minutes, il reste là, sans bouger, son support vivant ne bougeant, d'ailleurs, pas plus. Quand il a repris son souffle, il annonce :
- Allez mémé, mets-toi debout et on va faire un petit tour d'appartement.
Sur ces mots, l'homme se redresse, puis se met debout et aide la femme à se mettre debout. Il lui prend la main avant qu'elle n'ait plus faire quoi que ce soit, et l’emmène, à sa suite pour sortir de la chambre. Vestibule, couloir, petit tour par la cuisine, pour prendre un verre d'eau pour Marc, retour dans le couloir, salle à manger, salon, vestibule…
Jeannette suit mécaniquement ce diable d'homme, qu’elle aurait pu croire, hier encore, connaître, et qui aujourd'hui, se révèle être un parfait salaud. « Mais que veut-il bien dire », pense-t-elle, « en disant que je vais être la reine du net ? ». Une certaine angoisse commence à monter à ce sujet, car hier soir, alors qu'elle était bourrée, elle se rappelle que son ancien gendre a bien pris des photos et a bien branché son ordinateur.
- Allez, un peu de gym mémé, saute sur place maintenant, ordonne Marc alors qu'il s'est arrêté dans le vestibule, assez spacieux pour ce genre d'activité. Et il commence lui-même à sautiller d'un pied sur l'autre, en entraînant la vieille femme.
Sans comprendre, et perdue dans ses pensées angoissantes, la femme grise se laisse faire et commence à sautiller sur place, d'une jambe sur l'autre.
Après une grosse minute de ce traitement, l’homme stoppe et interpelle sa partenaire :
- Stop ! Maintenant, tu te penches en avant, jambes écartées, tu essayes d’attraper tes chevilles avec tes mains.
La pauvre femme se plie aux exigences de cet odieux homme, et, encore assez souple, elle arrive à attraper ses chevilles avec ses mains.
L'homme passe derrière elle, et sans aucun ménagement, écarte les fesses de la vieille, et vérifie que, de son anus, coule bien le foutre, maintenant.
- Bouge pas… Et immédiatement Marc rentre dans la chambre et prend son téléphone. Il revient et fait encore quelques photos de ce vieil anus, qui suinte le sperme.
- Visiblement, je t'ai trop rempli ma salope… Ton cul déborde de foutre, tu n'es plus étanche à ton âge ?
Jeannette ne répond rien, elle n'entend même pas les remarques désobligeantes, qui lui sont faites. Elle reste dans la même position, à attendre, elle ne sait quoi.
- Alors ? C'est l'âge qui fait que tu n'es plus étanche, ou tu as toujours eu des fuites du cul, une fois bien enculée ?
- Je ne comprends pas…
- Plus jeune, tu étais étanche du cul ou pas ?
- Je… Je… Bafouille la vieille femme en se relevant.
- Bouge-pas, tu vas avoir du foutre plein les cuisses connasse ! Alors, plus jeune, tu avais déjà des fuites du cul ?
- Heuuu… Je ne sais pas !
- Comment ça tu ne sais pas ! Tu ne sais pas si après une bonne sodo, tu salissais tes culottes ou non ?
- Heuuu…
- Oui ou non ? Tempête Marc, commençant à s'impatienter des tergiversations de son ex-belle-mère.
- Oui... Enfin, je ne sais plus !
- Et ton cocu de mari, ne voyait pas les traces dans tes culottes ?
- Heuuu…
- Mais je te pose des questions simples, tout de même ! Ou alors l'alcool et la bite t'ont rendu, totalement conne ?
- Non mais dis donc… Un début de rébellion. Et en même temps, elle se redresse et se remet totalement debout.
- Commence pas à faire ta femme du monde ! Tu as trompé ton mari pendant des années, tu te fais enculer par ton gendre ! Tu es aussi pute que ta fille ! Si ça se trouve, tu as tapiné, comme elle d'ailleurs ?
- Non mais ça va pas…
- Avec la vieille folle de bites que je découvre, rien ne m'étonnera plus maintenant ! Alors ?
- Non mais…
- Pas de simagrées, tu as fait la pute ou pas ?
- NON ! Je ne te permets pas…
- Mais tu n'as rien à permettre ou à refuser ! Vieille truie en chaleur ! Je te demande si, comme ta grosse pute de fille, tu as fait le tapin jadis, ou pas ?
- Non… Et elle enfuit son visage dans ses mains et se met à pleurer. Non, je ne me suis jamais prostituée… Et elle pleure à chaudes larmes.
- Bon, allez, on retourne au lit. Et joignant le geste à la parole, Marc attrape le poignet de la vieille femme et la tire jusqu’au lit.
Une fois tous les deux allongés, et alors que la pauvre femme pense pouvoir dormir pour essayer d'oublier tout ça, le perfide ex-gendre, après s’être collé à la femelle et lui avoir pris un de ses nichons en main, reprend sur le ton de la confidence :
- Tu sais que ta fille a fait la putain ? Qu'elle recevait de vieux messieurs à la maison et qu'elle demandait du fric, pour ses services sexuels ?
- C'est ce que vous m’avez dit… Reprend-elle alors, et le vouvoiement revient naturellement.
- D’abord, elle a nié… Puis avec le témoignage des voisines et aussi celui de l'autre putain avec qui elle s'était lancée, elle a fini par avouer les faits, et avouer aussi que cela l'excitait terriblement de toucher, les billets avant de déshabiller les vieux messieurs.
- Oh, arrêtez s'il vous plaît…
- Non, non, tu vas entendre ça jusqu'au bout, après tout, tu es fautive de sa nymphomanie, tu l'as reconnu toi-même, tout à l'heure !
Jeannette se tait en se disant que, après tout, c'est la vie de sa folle de fille, et pas la sienne.
- Elle recevait ses clients sur le pas de la porte, pratiquement dans la rue donc, tu te souviens comment c'est fait, chez nous ?
- Oui…
- Eh bien, elle recevait les mecs dans le couloir, en bas et porte-jarretelles, nuisette transparente et mules aux pieds… Elle m'a même avouée, qu'elle leur demandait les sous quand ils étaient encore sur le trottoir et qu'elle glissait les billets dans ses bas, pour les faire entrer, et que le contact du papier avec sa cuisse, la faisait mouiller !
- Arrêtez, s'il vous plaît, pleurniche encore la pauvre femme, qui ne peut s’empêcher d’avoir les images de sa fille en putain, devant les yeux.
- Tu te rends compte, quand tu venais avec ton mari, les gens savaient que tu étais la mère, de la putain du quartier…
- Non… et Jeannette éclate en sanglots
- Si ! D'ailleurs une voisine m'a dit, après le départ de ta connasse de fille, qu'elle trouvait que la mère, avait aussi mauvais genre… Elle parlait de toi, là !
La pauvre vieille femme pleure doucement, sans cri ni gros sanglot, mais elle pleure vraiment, de là à savoir si elle pleure sur son malheur ou sur les malheurs et les frasques de sa fille, c'est plus difficile à savoir.
Marc, toujours avec un sein en main, écoute les pleurs de sa proie, il écoute aussi les réactions corporelles de cette femme pour voir comment et jusqu'où son discourt porte. Il la sait fatiguée, il l'imagine bien dans un état d'esprit complexe, entre les informations vraies, qu'il lui communique et ce qu'il lui a fait vivre, la veille au soir, il sait qu'elle est au bord du burn-out.
Avec la ferme intention de pervertir cette vieille salope, il poursuit :
- Ta fille, espérant certainement m'atteindre au moral, pauvre connasse qu'elle est, s'est amusée à me raconter par le menu, et par émail. Ainsi, j'ai des traces, ce qu'elle faisait avec ses clients, comment elle les mettait à l'aise, comment elle leur faisait une petite toilette avant de commencer, comment elle les suçait, commet ces vieux cochons la pelotaient ou lui mettaient des doigts partout, tous ces détails, tu veux que je te raconte un peu ?
- Non… Répond Jeannette dans une longue plainte.
- Mais si, tu vas voir, c'est rigolo et excitant à la fois…
Il comprime le vieux nichon qu'il a en main, puis, se collant comme pour glisser une confidence à l'oreille, il poursuit d'un ton feutré :
- Elle faisait entrer son client quand il avait payé, le faisait asseoir autour de la table du salon, là où elle vous a fait manger, quand tu es venu avec ton mari. Elle leur offrait un café ou une bière, et quand elle les avait servis, elle se mettait à genoux, pour leur ouvrir le pantalon, elle leur montrait ses lourdes mamelles et elle commençait souvent, à les sucer pendant qu'ils buvaient un coup.
- Vous êtes odieux…
- Oui… D'autre fois, elle commençait à se caresser pour leur montrer qu'elle avait très envie de sexe. Elle montrait ses mamelles, ensuite, exhibait impudiquement sa chatte et montrait qu'elle portait deux anneaux en or jaune, sur les petites lèvres. Ses anneaux sur les lèvres et son tatouage sur le sein gauche, au motif tribal, intriguaient bien les messieurs, qui lui posait des questions.
- Elle est tatouée, en plus !
- Oui et percée aussi, elle porte des anneaux en or sur les petites lèvres, comme une véritable esclave de la bite… Une vraie pute, quoi !
- Des anneaux aux lèvres !
- Oui, et quand elle était punie, je lui posais un petit cadenas sur les anneaux, de manière à ce qu'elle ne puisse pas se faire baiser, mais seulement enculer…
- C'est dégouttant… La pauvre femme essaye de se redresser dans le lit, mais elle est fermement maintenue par ce diable d'homme.
- Si t'es une bonne vieille salope, je t’en ferai porter, mémé…
- Mais vous êtes malade…
Mais non… Allez, écoute plutôt ce que ta putain de fille faisait, avec ses clients…
- Elle commençait à sucer ces messieurs, si le sexe sentait le frais, elle continuait, si la queue ne sentait pas bon, elle emmenait le client dans la salle de bain du premier étage, pour lui laver la bite et les fesses en même temps.
- Parfois, elle se faisait même prendre sur la table de la salle à manger en disant : « je suis aussi pute que ma mère, je me fais baiser n'importe où et n'importe comment ».
- Non, c'est pas possible, je ne vous crois pas…
- je te ferai lire les courriels, que ta morue de fille m'a envoyé, alors…
- Mais comment…
- Comment quoi vieille pétasse ? Le ton de l'homme est devenu dur, cassant, et il a encore resserré son étreinte sur la femme fatiguée.
- Mais comment ma file en est arrivée là ?
C'est très simple, je pense qu'elle a toujours eu un côté putain en elle, travailler le moins possible, faire le plus possible la fête, et elle aimait le fric, donc…
- Oui, mais ça ne correspond pas à l'éducation, que je lui ai donnée…
- Ben voyons ! En te branlant sous ses yeux ! Tu parles d'une éducation mémé !
- Non…
- Et puis ta connasse de fille a trouvé, aussi, une copine aussi putain, feignasse et menteuse qu'elle…
- Comment ça ?
- Nous avions rencontré Bruno et Véro sur un site de cul, ils étaient libertins et aimaient la baise sans capote. Lui était chauffeur routier et partis toute la semaine, sa femme seule à la maison. Les enfants étant pensionnaire. Elle était livrée à elle-même, dans la semaine.
Elle nous avait raconté avoir accepté des rapports sexuels avec son beau-père, pour que celui-ci leur donne de l'argent, pour acheter la maison, et, finalement, elle avait pris goût aux vieux messieurs. À quarante ans, elle aimait les messieurs de plus de soixante ans, jusqu'à quatre-vingt-dix ans, disait-elle. Et comme l'âge des messieurs était gage de bonne santé, elle les prenait sans préservatif, que ce soit dans la bouche, la chatte ou l'anus. Ce qui plaisait d'ailleurs beaucoup à ta pute de fille, qui n'a jamais demandé, à aucun mec, de mettre une capote.
- C'est pas possible… C'est pas possible, répète doucement Jeannette.
- Donc, les gosses en pension, le mari absent, elle faisait la pute pour vieux dans la semaine. Mais son beau-père l'ayant surpris avec un autre vieux monsieur, lui fit une crise de jalousie, et elle dut arrêter de recevoir chez elle, sous peine de voir la "source à fric", se tarir.
Aussi, elle allait à l’hôtel, mais le prix de l’hôtel en plus, faisait souvent trop cher pour ses clients. Alors, elle proposa à ta putasse de fille, de faire la pute chez nous !
- Non...
- Si, la fameuse Véro, avait aussi bien emballé ta fille qu'elle l'avait embobinée dans ses plans prostitution.
- Bientôt, tous les après-midi jusqu'à vingt heures, les deux putes recevaient à la maison, mais aussi les soirs et les nuits, durant lesquels j'étais en déplacement.
- C'est pas vrai !
- Ça, non seulement ta connasse de fille me l'a écrit, mais en plus, deux voisines et un voisin me l'ont confirmé, qu'ils voyaient des allées et venues chez moi !
- C'est pas possible… et elle recommence à sangloter.
- Elles ont donc « fait du vieux », puis, trouvant qu'elle n'avait pas assez de clients, donc pas assez de fric, ta fille a passé des annonces pour du "tout venant" !
La vieille femme pleure maintenant, déjà la veille au soir d'apprendre que sa fille aînée se prostituait, lui avait fait un choc, mais à d'apprendre les détails, lui devient franchement insupportable. Comme l'homme s'est tu quelques instants, elle chuchote, plus pour se persuader que pour discuter :
- Mais c'est pas possible, c'est un mauvais rêve, je vais me réveiller…
- Non non, reprend l'homme de sa voix cassante, puis il continue :
- Elle a donc eu des clients de tout âge, jeune comme vieux. Et bien entendu, beaucoup plus d'argent, argent qu'elle jetait d’ailleurs, par les fenêtres en boissons (un litre de whisky par jour, ça cube à la fin de la semaine), en fringues (qu'elle revendait à perte ensuite) et en restaurants avec ses copines, à qui elle voulait en mettre plein la vue et donc, qu'elle invitait régulièrement ! La grande vie quoi !
- L'argent, l'argent…
- Oui, comme tu dis, mais le pognon, c'est le moteur des putes ! Avec les petits jeunes, elle demandait cent euros pour passer un moment, et deux cents s’ils venaient la nuit. Les clients étaient fous de joie, car elle ne demandait pas de mettre la capote, comme presque toutes les putes, elle, elle se laissait remplir de foutre, à l'ancienne.
- Oh non…
- Et si !
Là, la vieille se rebiffe et recommence à pleurer, que ce n'est pas possible, que sa fille ne prendrait jamais de tels risques, avec sa santé…
- Ah ! Mais tu te rappelles tout de même, ce que je t'ai expliqué hier soir, que ta morue se faisait sauter dans les chiottes ou sur le parking des boîtes de nuit. Et quand tu sais que ses filles et son fils allaient aussi, dans la même boite…
Jeannette pleure à nouveau en pensant, non pas à la santé de sa fille, mais ne s'imaginant ses petites filles, tout juste vingt ans, voir leur mère se faire sauter, sur le capot d'une voiture, sur le parking de la boîte de nuit qu'elles fréquentent et où elles sont connues ! Et comme tout se sait dans les petites villes.
Marc relâche son emprise sur la vieille femelle allongée à ses côtés, puis il ordonne :
- Allez, maintenant, assez de bavardages, dors à présent.
L'homme ordonne à la vieille de s’endormir pendant que lui va chercher son ordinateur, son téléphone. Il reste assis dans le lit pour récupérer les photos du téléphone sur l'ordinateur et les diffuser à nouveau sur le net.
Puis, il commence à rédiger un petit texte pour créer un blog sur une vieille salope qui se nomme Jeannette. Ensuite, au bout d'une heure et demie, il referme son ordinateur et éteint la lumière pour essayer de dormir encore un peu.
Mais excité comme il est, dès qu'il se colle au dos de la vieille femme, sa queue contre les fesses fripées, il se remet à bander.
Il se relève alors, se masturbe, fait le tour du lit, et vient se placer devant le visage de la femme qui dort.
Quand il sent qu'il va jouir, il enfonce sa queue raide dans la bouche de la femelle, qui se réveille presque en sursaut, mais l'homme prévoyant lui maintient fermement la tête et il se laisse aller à jouir et à répandre son foutre, dans la douce et chaude bouche.
La vieille râle et se débat, mais elle se fait remettre en place sur un ton ferme et directif :
- Ta gueule morue, tu n'es utile qu'à ça, donner du plaisir aux mecs en rut.
Encore des pleurs de la vieille femme, mais elle a tout avalé le sperme de cet homme odieux, qui se permet tant avec elle. Cela dit, elle sait que comme l'homme dort avec elle, elle se trouve dans une position des plus délicates, comment dire ensuite qu'elle a invité cet odieux personnage, qu'elle a accepté ses avances parce qu'elle avait bu, et qu'elle l’a même, de fait certes, accepté dans son lit ! Elle se sent totalement piégée.
Marc retourne de son côté du lit pour se coucher. Une fois allongée, reprend dans ses bras la vieille femme et s'endort.
L'homme passe un certain temps devant son ordinateur, sur le net, à mettre en ligne des photos de la vieille et surtout, à les commenter de façon salace.
Pendant cette opération, Jeannette, totalement soumise, ne dit rien. Est-ce un consentement tacite ou une grande fatigue, elle-même ne pourrait le dire, tant cette soirée fut intense, en tout domaine.
L'homme attrape la vieille femme par les cheveux et guide sa tête pour que la vieille bouche vienne au contact de la sienne, sans faire trop d'effort, ni de mouvement, puis il embrasse fougueusement la femme.
- J'ai des potes qui aimeraient bien se taper une vieille folle de bite comme toi, je pense que je vais passer quelques jours ici et monter un petit gang-bang, pour toi.
Il embrasse à nouveau la femme, lui pelote les seins de sa main libre. Puis, descend vers la grotte intime, de la dame et reprend des caresses obscènes sur le vieux clito, encore tout dur.
Jeannette recommence à respirer fortement, ensuite de plus en plus rapidement. Les caresses sur son bouton d'amour, lui procurent de longs frissons qui parcourent tout son corps.
Sentant que la femme accepte, à nouveau, ses caresses vicieuses et impudiques, l'homme, qui a compris que le baiser était aussi un puissant aphrodisiaque, pour la dame, reprend possession de la bouche de sa proie.
Après un tel déferlement de sensations, presque oubliées, ce baiser fougueux, mais attentionné, revigore quelque peu cette femme, qui perd pied de plus en plus. Mais le bonheur est de courte durée, bientôt, comme dans un rêve, elle entend :
- Tu m'as bien excitée, vieille chienne, il faut que je me vide encore les couilles, dans ton ventre de vieille salope…
À nouveau, le pervers personnage embrasse fougueusement la femme, en l'emmenant doucement, mais sûrement, vers le coin salon. Là, d'un geste sûr du pied, il pousse les revues qui encombraient la table basse, puis, il contraint la vieille à s’asseoir sur cette table.
Elle se laisse guider, sans chercher à comprendre, l'alcool faisant son chemin et embrumant totalement son cerveau. Elle ne sait bientôt plus ce qu'elle fait chez elle, ni pourquoi elle le fait, c’est agréable de se faire embrasser, comme bien des années au paravent, et ça devient la seule chose qui compte, à cet instant.
Il commence par se pencher en avant, pour faire asseoir la vieille femelle sur la table basse et en tester la solidité, puis, se dégageant de la bouche avide, l'allonge doucement de tout son long, les fesses au bord du petit côté, de la petite table.
Le contact frais, du bois sous sa peau, donne un léger frisson, mais toujours dans un état second, elle se laisse manœuvrer, par son ancien gendre.
Marc recule, allume la lumière, et, voyant les poils gris et clairsemés de la vieille chatte, décide de prendre quelques clichés de cette chatte, avant qu'il ne la remplisse de foutre. Il retourne à l'ordinateur prendre son appareil photo.
Jeannette a le dos et la tête sur la table basse. Ses jambes, en dehors du meuble, restent droites jusqu'aux genoux, et là, les jambes sont pliées à quatre-vingt-dix degrés, pour qu'elle ait les pieds au sol. Elle ne bouge pas, seule sa respiration, assez forte, se fait entendre et fait monter et descendre son buste.
Le pervers salaud revient et fait encore quelques photos de la chatte de la vieille femme, d'abord de loin, puis de plus en plus près, pour finir par quelques gros plans, quand soudain, il ordonne :
- Remonte-tes jambes et tiens tes cuisses.
Une fois encore, la vieille femme exécute l'ordre donné, relève doucement ses jambes et vient les maintenir, en passant ses mains sous ses genoux.
Marc en profite pour écarter les cuisses le plus possible et ouvrir la vulve, offerte au regard lubrique, de son objectif, puis ceux des internautes. Encore quelques prises de vues. Ensuite, il repose son appareil sur la table de la salle à manger et revient, en déboutonnant sa braguette et annonçant :
- Allez, je vais t'en mettre une cartouche, vieille toupie…
Et joignant le geste à la parole, il s'empare des cuisses offertes, se met à genoux devant la chatte ouverte, et pointe son sexe en érection à l'entrée de la grotte féminine. Il pousse, le gland entre d'un coup.
- Oh… Jeannette ouvre les yeux et fixe ce diable d'homme, qui prend possession de son corps.
L'homme enfonce son peu de chair en érection, le plus loin possible, mais doucement et lentement. Comme il voit que la vieille femelle sourit béatement, il lui dit :
- T'aimes ça, te faire piner, vieille morue… Et il accélère alors son mouvement, pour entamer un rapide va-et-vient.
Très vite, mamie commence à couiner, à se pâmer, entre l'alcool ingurgité, la soirée plus que déstabilisante, et cette "baise à la hussarde" dont elle subit les assauts, là, elle lâche totalement prise.
- Putain ! Que tu as la chatte large ! Je vais pouvoir faire mes trente minutes de sport à te limer, avant de te remplir vieux pot à foutre…
L'homme devient grossier et espère une réaction de la mémé, mais il ne semble pas que cette dernière, pourtant très "grande gueule" habituellement, ne dise mot, et, c'est bien connu, qui ne dit mot, consent !
Jeannette se laisse limer la chatte par ce bel étalon, la queue qui entre et sort en permanence à différents rythmes dans son corps lui donne un plaisir fou, qu'elle aurait presque oublié.
Pris par la tournure de la soirée, par l'alcool, même s’il en a moins bu que la vieille, commencent à faire sentir, des effets secondaires. L'homme, excité, se laisse aller à ses plus bas instincts et lime, cette vieille chatte, sans se poser aucune question, ni sur les conséquences, ni sur ce que la vieille pourrait ressentir ou même espérer.
La femme commence à jouir en poussant de longues plaintes, puis, ces plaintes se transforment en petits cris, de plus en plus aigus.
Marc se tape une mémé, rien que l'idée l'excite terriblement. Il est là, à genoux sur une petite carpette marocaine en laine, les chevilles de la femme sur ses épaules, ses mains tenant les chevilles, à limer une chatte plus vieille que lui de plus de vingt ans, aux poils gris, et il se régale des sensations et émotions qu'il en tire.
Maintenant Jeannette commence à vraiment faire du bruit, elle jouit en criant de plus en plus fort, peu lui importe, à cet instant, ce que les voisins pourraient entendre. Là, elle est juste à sa jouissance qu'elle sent tourner en orgasme, dans les instants à suivre.
Sentant pertinemment que sa partenaire du moment va jouir et atteindre l'orgasme, l'homme n'y met que plus d'énergie encore et de maîtrise de lui-même, du moins le, croit-il, car en guise de maîtrise, son plaisir monte inexorablement et va bientôt éclater, sans qu'il ne puisse, justement, plus rien contrôler ni maîtriser.
Jeannette jouit maintenant très bruyamment, non seulement elle jouit et pousse des sons incompréhensible, mais elle commence aussi maintenant à pousser des "oui", "vas-y", "continue"... Totalement intelligibles, eux !
- T'aimes ça… Elle est bonne ma bite ! Hein vieille salope, dis-le, que tu aimes te faire baiser… Dis-le, qu'à ton âge, tu aimes encore te faire ouvrir la moule, à coup de bites, vas-y morue, exprime-toi…
Marc aussi, crie à son tour, emporter par la puissance sexuelle du moment et par son excitation, à baiser son ex-belle-mère. De plus, c'est un peu comme s’il prenait une sorte de revanche sur son ex-compagne, ce qui ajoute encore à son excitation.
- Viens… Donne-moi tout… Cette fois, la vieille commence à exprimer son désir de façon claire.
Puis, elle part dans un long cri rauque et puissant, qui démontre son orgasme.
- Ha… Salope ! Tu me fais jouir morue…
Et l'homme, ne pouvant plus résister à son propre orgasme, lâche son foutre chaud, en agrippant les vieilles cuisses flasques et en collant son pubis contre la vieille moule. Sa bite est totalement entrée dans le corps de la femme et il décharge de longs jets puissants, qui vont s'écraser contre le fond de la matrice féminine. Puis, il s’écroule, et son ventre vient au contact du ventre de la grise.
Jeannette a bien du mal à reprendre son souffle, tant l'orgasme a été puissant et dévastateur. De plus, le poids de l'homme, sur son corps usé, l’empêche de respirer totalement librement. Mais, après un tel orage, rester un peu avec le contact d'une autre peau sur la sienne, est un plaisir, qui prolonge le plaisir.
Après de longues minutes ainsi assemblé, Marc décide de se reprendre et il se relève assez péniblement, il est ankylosé et donc son corps ne répond pas aussi vite, qu'il le voudrait. Il se rhabille à peu près et regarde de haut, cette vieille salope allongée, telle une baleine échouée sur une plage.
Il retourne dans la salle à manger et reprend son téléphone qui lui sert d'appareil photo, puis, revient faire deux photos, de Jeannette allongée et comblée.
- Allez ! Au lit mémé, il est grand temps pour toi, d'aller reprendre des forces ! Après ce que je t'ai mis !
Ensuite, il aide la vieille femme à se relever de la table basse, mais il s'aperçoit que sa chatte suinte. Lui vient alors une idée perverse et il décide de faire marcher la vieille, dans l'appartement, jusqu'à ce que le foutre coule, de sa chatte encore élargie.
- Allez mémé, on va faire un peu de marche, pour te dégriser, et qu'on puisse ensuite dormir, tranquillement.
Jeannette se laisse soutenir et guider. Là, elle ne comprend plus rien du tout, mais elle se laisse faire sans rechigner et suis du salon au vestibule, puis au couloir, puis à la salle à manger, la promenade de cette folle soirée.
Après trois tours d'appartement, Marc stoppe la grise devant la table basse du salon, lui fait mettre un pied sur cette petite table, et vérifie que la chatte suinte bien. En effet, on peut voir des coulures de foutre le long des cuisses de la vieille. Aussi, il s'empare de son téléphone pour faire des photos.
Pendant cette petite séance photos, qui dure cinq longues minutes, devant soit écarter les cuisses, soit se pencher en avant, soit se pencher en arrière, soit serrer les cuisses, et ainsi de suite, la pauvre Jeannette ne dit mot et obtempère docilement.
Le pervers personnage est excité à l'idée que, dès demain, il mettra des photos de cette vieille salope, qu'il vient de baiser sur internet. Il ne doute pas que ces photos auront un franc succès.
- Allez mémé, cette fois, au lit…
Et prenant Jeannette par la main, il l'emmène dans la chambre à coucher.
La vieille femme, déjà nue, se met au lit comme un automate.
L'homme se déshabille rapidement et s'empresse de se coucher, il prend la vieille femme dans ses bras, histoire d'avoir les seins bien en main.
- On dort un peu, et cette nuit, je vais commencer à te baiser pendant ton sommeil…
Il éteint la lumière et sombre dans un sommeil réparateur, aux rêves lubriques.
Sur le coup de trois heures du matin, Marc se réveille. Très vite, son cerveau se remet en route et ses souvenirs, de la folle soirée, reviennent. Sans bouger, il écoute la respiration de la vieille femme, qui dort toujours dans ses bras, tout va bien, elle dort profondément, semble-t-il.
Il prend quelques instants de réflexions. Difficile de croire, qu'il a pu aussi aisément baiser, son ex-belle-mère. Quelque part, lui-même n'en revient pas. Mais il se dit aussi, qu'il faut battre le fer tant qu'il est chaud, et que la situation de cette femme, soumise à ses caprices, pourrait ne pas durer éternellement.
Il se souvient avoir promis à la mémé, de la baiser pendant qu'elle dormirait, aussi, il se dit que, finalement, il aura prévenu et donc qu'il peut abuser d'elle, du moins commencer à abuser d'elle, pendant qu'elle dort encore.
Très doucement, il se défait du corps de la femme et se tourne pour prendre son téléphone cellulaire qui lui sert d'appareil photo. Il consulte les clichés qu'il a pris quelques heures auparavant, se régale des postures obscènes et humiliantes qu'il a fait prendre à la vieille, et tout cela lui redonne une érection, qu'il commence à développer avec sa main libre.
Jeannette est totalement nue, elle ronfle doucement, comme une vieille machine à vapeur bien entretenue, mais dont le poids des ans est tout de même visible.
Ses rêves sont dans le passé, ses anciens amants, ses frasques, ses turpitudes, tout se mélange dans une scène fantasmagorique effrénée.
Marc entretient une belle érection, maintenant, il repose le téléphone sur la table de chevet, se positionne contre le dos de la femelle, guide sa queue sous les draps, trouve le sphincter. De l'autre main, il mouille ses doigts de sa salive, en enduit le trou du cul qui s’entrouvre sans peine. Visiblement, la vieille se faisait enculer souvent.
Il écarte ensuite les fesses molles. Puis, d'un coup de rein doux, mais ferme, enfonce le gland directement dans l'anus de la mémé.
Aucune réaction de Jeannette.
Marc pousse le bouchon un peu plus loin et son sexe entre à moitié dans l'anus ridé.
La femme grise se réveille d'un coup, et pousse un petit cri, puis demande d'une voix, trahissant son inquiétude :
- Mais qu'est-ce que vous faites ?
- Comme promis ma salope, je te prends le cul, pendant ton sommeil, tu vas voir comme c'est bon…
- Mais ! Marc ! Je ne vous permets pas…
- Ta gueule connasse ! Après ce que tu m'as avoué et ce que tu as fait hier soir, tu ne vas pas commencer à faire la mijaurée !
Et sans attendre une réponse quelconque, l'homme se met à limer le vieux cul en commençant par entrer son membre tout au fond, puis le retirant brutalement, le faisant sortir de sa gangue de chair. Puis l'introduisant à nouveau en écartant, fermement, les fesses fripées.
La vieille femme se laisse finalement faire, les mots durs lui ont rappelé la soirée de la veille et son comportement, qu'elle ne comprend pas. Mais pour le moment, elle est heureuse de sentir des ondes de plaisir parcourir son corps, car elle a toujours adoré la sodomie, et là, ce diable d'homme, s'y entend !
- Une vieille enculée comme toi est un vrai bonheur, dit Marc, le souffle court, tout à sa sodomie et à son plaisir.
Jeannette commence à râler de plaisir, sous les assauts de cette queue presque magique et les sensations, que lui procurent son sphincter.
- Tu la sens bien dans ton pot, salope ?
- Hum, hum… Fait la femme en guise de réponse.
- Dis-le que tu es une enculée !
- Oui… gémit-elle doucement.
- Dis-le que tu es une vieille enculée, allez salope, dis-le !
- Je suis une enculée, pousse timidement Jeannette entre deux râles de plaisir.
- Mieux que ça ! Je suis UNE VIEILLE ENCULÉE ! Cette fois, l'homme crie son ordre.
- hum… Un grognement qui veut dire, sûrement, non.
- Dis-le que tu es UNE VIEILLE ENCULÉE. Et l'homme stoppe alors ses mouvements.
- Encore, gémit la perverse mamie...
- Alors dis-moi, que tu es une vieille enculée !
- Je suis une vieille enculée…
L'homme reprend alors ses mouvements de va-et-vient, puis il dit encore :
- Plus fort, crie-le, que tu es une vieille enculée…
- Je suis une vieille enculée, crie la femme, mais certainement, encore pas assez fort.
- Plus fort, te dis-je !
- Je suis une vieille enculée, cette fois Jeannette le crie à plein poumon, puis elle reprend ses râles de plaisirs.
- C'est bien connasse ! Ainsi tout l'immeuble va savoir, que tu es une vieille putain, qui se fait encore enculer, à passer soixante-dix ans.
La perverse mémé ne répond pas, elle commence à jouir et à ne plus rien vouloir savoir du monde extérieur.
- Tu es trop bonne mémé ! Attends, je vais te prendre autrement, sinon je vais encore jouir trop vite, dans ton vieux pot à foutre…
Et, sortant sa queue de l'anus outragé, il repousse le drap et la petite couverture qui les recouvraient jusqu'à présent, saute en bas du lit, fait le tour, attrape les poignets de la vieille femme et la tire en dehors du lit.
Elle se laisse faire docilement et se lève sans broncher.
- À genoux devant ton cierge, ma salope.
La femme s'agenouille doucement et attend la suite des événements, sans sourciller.
L'homme s'agenouille à son tour et vient plaquer sa queue raide contre l'anus, cette fois, sans écarter les fesses, il emmanche l'anus, sans autre forme de procès.
Un cri de stupeur et de douleur transperce la pièce, l'introduction de la sorte est douloureuse, et la vieille se rebiffe :
- Ça fait mal…
- Alors prends tes miches en main et écarte…
Sans demander son reste, la vieille femme pose sa tête sur le lit et prend ses fesses à pleines mains, puis les écarte, le mieux qu'elle peut.
L'homme lime ce vieux fion, sans s'occuper de sa partenaire. Pour s'exciter encore d'avantage, il commence à raconter :
- Je vais mettre tes photos sur le net, tu vas devenir une reine… Tes petits enfants pourront un jour dire, ma mémé était une vieille putain…
Seuls des râles répondent à ce monologue.
- Tu es large comme une bouche de métro, vieille salope que tu es… Tu dois encore te faire enculer souvent, pouffiasse… Ça m'excite à mort, d'enculer une mémé comme toi…
Les uniques réponses, que l'homme ne puisse recevoir, sont des râles et des grognements de femelle en chaleur. Jeannette est sur le point de jouir.
- Je vais te remplir le cul mémé, tu vas voir, tu vas te sentir pleine de foutre, comme au bon vieux temps.
D'un seul coup, sous la force de l'orgasme, c'est comme si Jeannette se réveillait, elle gueule :
- Oui… Vas-y… Remplis-moi, salaud…
- T'aimes ça la bite, hein morue…
- Oui…
- Alors prends ça… Encore ça… L'homme assène de grands coups de reins, qui bloque les hanches contre le lit en bois massif, qui lui ne bouge pas d'un millimètre.
- Oui… remplis-moi...
- Je vais t’inonder ton cul, de sperme, ma connasse !
L'orgasme est encore plus fort que celui de la veille. La femme pousse un énorme cri, qui se transforme petit à petit en râle puissant.
Marc Jouit aussi et laisse son foutre se répandre dans les intestins de la vieille femme. Il s'affale sur le dos de sa partenaire. Pendant de longues minutes, il reste là, sans bouger, son support vivant ne bougeant, d'ailleurs, pas plus. Quand il a repris son souffle, il annonce :
- Allez mémé, mets-toi debout et on va faire un petit tour d'appartement.
Sur ces mots, l'homme se redresse, puis se met debout et aide la femme à se mettre debout. Il lui prend la main avant qu'elle n'ait plus faire quoi que ce soit, et l’emmène, à sa suite pour sortir de la chambre. Vestibule, couloir, petit tour par la cuisine, pour prendre un verre d'eau pour Marc, retour dans le couloir, salle à manger, salon, vestibule…
Jeannette suit mécaniquement ce diable d'homme, qu’elle aurait pu croire, hier encore, connaître, et qui aujourd'hui, se révèle être un parfait salaud. « Mais que veut-il bien dire », pense-t-elle, « en disant que je vais être la reine du net ? ». Une certaine angoisse commence à monter à ce sujet, car hier soir, alors qu'elle était bourrée, elle se rappelle que son ancien gendre a bien pris des photos et a bien branché son ordinateur.
- Allez, un peu de gym mémé, saute sur place maintenant, ordonne Marc alors qu'il s'est arrêté dans le vestibule, assez spacieux pour ce genre d'activité. Et il commence lui-même à sautiller d'un pied sur l'autre, en entraînant la vieille femme.
Sans comprendre, et perdue dans ses pensées angoissantes, la femme grise se laisse faire et commence à sautiller sur place, d'une jambe sur l'autre.
Après une grosse minute de ce traitement, l’homme stoppe et interpelle sa partenaire :
- Stop ! Maintenant, tu te penches en avant, jambes écartées, tu essayes d’attraper tes chevilles avec tes mains.
La pauvre femme se plie aux exigences de cet odieux homme, et, encore assez souple, elle arrive à attraper ses chevilles avec ses mains.
L'homme passe derrière elle, et sans aucun ménagement, écarte les fesses de la vieille, et vérifie que, de son anus, coule bien le foutre, maintenant.
- Bouge pas… Et immédiatement Marc rentre dans la chambre et prend son téléphone. Il revient et fait encore quelques photos de ce vieil anus, qui suinte le sperme.
- Visiblement, je t'ai trop rempli ma salope… Ton cul déborde de foutre, tu n'es plus étanche à ton âge ?
Jeannette ne répond rien, elle n'entend même pas les remarques désobligeantes, qui lui sont faites. Elle reste dans la même position, à attendre, elle ne sait quoi.
- Alors ? C'est l'âge qui fait que tu n'es plus étanche, ou tu as toujours eu des fuites du cul, une fois bien enculée ?
- Je ne comprends pas…
- Plus jeune, tu étais étanche du cul ou pas ?
- Je… Je… Bafouille la vieille femme en se relevant.
- Bouge-pas, tu vas avoir du foutre plein les cuisses connasse ! Alors, plus jeune, tu avais déjà des fuites du cul ?
- Heuuu… Je ne sais pas !
- Comment ça tu ne sais pas ! Tu ne sais pas si après une bonne sodo, tu salissais tes culottes ou non ?
- Heuuu…
- Oui ou non ? Tempête Marc, commençant à s'impatienter des tergiversations de son ex-belle-mère.
- Oui... Enfin, je ne sais plus !
- Et ton cocu de mari, ne voyait pas les traces dans tes culottes ?
- Heuuu…
- Mais je te pose des questions simples, tout de même ! Ou alors l'alcool et la bite t'ont rendu, totalement conne ?
- Non mais dis donc… Un début de rébellion. Et en même temps, elle se redresse et se remet totalement debout.
- Commence pas à faire ta femme du monde ! Tu as trompé ton mari pendant des années, tu te fais enculer par ton gendre ! Tu es aussi pute que ta fille ! Si ça se trouve, tu as tapiné, comme elle d'ailleurs ?
- Non mais ça va pas…
- Avec la vieille folle de bites que je découvre, rien ne m'étonnera plus maintenant ! Alors ?
- Non mais…
- Pas de simagrées, tu as fait la pute ou pas ?
- NON ! Je ne te permets pas…
- Mais tu n'as rien à permettre ou à refuser ! Vieille truie en chaleur ! Je te demande si, comme ta grosse pute de fille, tu as fait le tapin jadis, ou pas ?
- Non… Et elle enfuit son visage dans ses mains et se met à pleurer. Non, je ne me suis jamais prostituée… Et elle pleure à chaudes larmes.
- Bon, allez, on retourne au lit. Et joignant le geste à la parole, Marc attrape le poignet de la vieille femme et la tire jusqu’au lit.
Une fois tous les deux allongés, et alors que la pauvre femme pense pouvoir dormir pour essayer d'oublier tout ça, le perfide ex-gendre, après s’être collé à la femelle et lui avoir pris un de ses nichons en main, reprend sur le ton de la confidence :
- Tu sais que ta fille a fait la putain ? Qu'elle recevait de vieux messieurs à la maison et qu'elle demandait du fric, pour ses services sexuels ?
- C'est ce que vous m’avez dit… Reprend-elle alors, et le vouvoiement revient naturellement.
- D’abord, elle a nié… Puis avec le témoignage des voisines et aussi celui de l'autre putain avec qui elle s'était lancée, elle a fini par avouer les faits, et avouer aussi que cela l'excitait terriblement de toucher, les billets avant de déshabiller les vieux messieurs.
- Oh, arrêtez s'il vous plaît…
- Non, non, tu vas entendre ça jusqu'au bout, après tout, tu es fautive de sa nymphomanie, tu l'as reconnu toi-même, tout à l'heure !
Jeannette se tait en se disant que, après tout, c'est la vie de sa folle de fille, et pas la sienne.
- Elle recevait ses clients sur le pas de la porte, pratiquement dans la rue donc, tu te souviens comment c'est fait, chez nous ?
- Oui…
- Eh bien, elle recevait les mecs dans le couloir, en bas et porte-jarretelles, nuisette transparente et mules aux pieds… Elle m'a même avouée, qu'elle leur demandait les sous quand ils étaient encore sur le trottoir et qu'elle glissait les billets dans ses bas, pour les faire entrer, et que le contact du papier avec sa cuisse, la faisait mouiller !
- Arrêtez, s'il vous plaît, pleurniche encore la pauvre femme, qui ne peut s’empêcher d’avoir les images de sa fille en putain, devant les yeux.
- Tu te rends compte, quand tu venais avec ton mari, les gens savaient que tu étais la mère, de la putain du quartier…
- Non… et Jeannette éclate en sanglots
- Si ! D'ailleurs une voisine m'a dit, après le départ de ta connasse de fille, qu'elle trouvait que la mère, avait aussi mauvais genre… Elle parlait de toi, là !
La pauvre vieille femme pleure doucement, sans cri ni gros sanglot, mais elle pleure vraiment, de là à savoir si elle pleure sur son malheur ou sur les malheurs et les frasques de sa fille, c'est plus difficile à savoir.
Marc, toujours avec un sein en main, écoute les pleurs de sa proie, il écoute aussi les réactions corporelles de cette femme pour voir comment et jusqu'où son discourt porte. Il la sait fatiguée, il l'imagine bien dans un état d'esprit complexe, entre les informations vraies, qu'il lui communique et ce qu'il lui a fait vivre, la veille au soir, il sait qu'elle est au bord du burn-out.
Avec la ferme intention de pervertir cette vieille salope, il poursuit :
- Ta fille, espérant certainement m'atteindre au moral, pauvre connasse qu'elle est, s'est amusée à me raconter par le menu, et par émail. Ainsi, j'ai des traces, ce qu'elle faisait avec ses clients, comment elle les mettait à l'aise, comment elle leur faisait une petite toilette avant de commencer, comment elle les suçait, commet ces vieux cochons la pelotaient ou lui mettaient des doigts partout, tous ces détails, tu veux que je te raconte un peu ?
- Non… Répond Jeannette dans une longue plainte.
- Mais si, tu vas voir, c'est rigolo et excitant à la fois…
Il comprime le vieux nichon qu'il a en main, puis, se collant comme pour glisser une confidence à l'oreille, il poursuit d'un ton feutré :
- Elle faisait entrer son client quand il avait payé, le faisait asseoir autour de la table du salon, là où elle vous a fait manger, quand tu es venu avec ton mari. Elle leur offrait un café ou une bière, et quand elle les avait servis, elle se mettait à genoux, pour leur ouvrir le pantalon, elle leur montrait ses lourdes mamelles et elle commençait souvent, à les sucer pendant qu'ils buvaient un coup.
- Vous êtes odieux…
- Oui… D'autre fois, elle commençait à se caresser pour leur montrer qu'elle avait très envie de sexe. Elle montrait ses mamelles, ensuite, exhibait impudiquement sa chatte et montrait qu'elle portait deux anneaux en or jaune, sur les petites lèvres. Ses anneaux sur les lèvres et son tatouage sur le sein gauche, au motif tribal, intriguaient bien les messieurs, qui lui posait des questions.
- Elle est tatouée, en plus !
- Oui et percée aussi, elle porte des anneaux en or sur les petites lèvres, comme une véritable esclave de la bite… Une vraie pute, quoi !
- Des anneaux aux lèvres !
- Oui, et quand elle était punie, je lui posais un petit cadenas sur les anneaux, de manière à ce qu'elle ne puisse pas se faire baiser, mais seulement enculer…
- C'est dégouttant… La pauvre femme essaye de se redresser dans le lit, mais elle est fermement maintenue par ce diable d'homme.
- Si t'es une bonne vieille salope, je t’en ferai porter, mémé…
- Mais vous êtes malade…
Mais non… Allez, écoute plutôt ce que ta putain de fille faisait, avec ses clients…
- Elle commençait à sucer ces messieurs, si le sexe sentait le frais, elle continuait, si la queue ne sentait pas bon, elle emmenait le client dans la salle de bain du premier étage, pour lui laver la bite et les fesses en même temps.
- Parfois, elle se faisait même prendre sur la table de la salle à manger en disant : « je suis aussi pute que ma mère, je me fais baiser n'importe où et n'importe comment ».
- Non, c'est pas possible, je ne vous crois pas…
- je te ferai lire les courriels, que ta morue de fille m'a envoyé, alors…
- Mais comment…
- Comment quoi vieille pétasse ? Le ton de l'homme est devenu dur, cassant, et il a encore resserré son étreinte sur la femme fatiguée.
- Mais comment ma file en est arrivée là ?
C'est très simple, je pense qu'elle a toujours eu un côté putain en elle, travailler le moins possible, faire le plus possible la fête, et elle aimait le fric, donc…
- Oui, mais ça ne correspond pas à l'éducation, que je lui ai donnée…
- Ben voyons ! En te branlant sous ses yeux ! Tu parles d'une éducation mémé !
- Non…
- Et puis ta connasse de fille a trouvé, aussi, une copine aussi putain, feignasse et menteuse qu'elle…
- Comment ça ?
- Nous avions rencontré Bruno et Véro sur un site de cul, ils étaient libertins et aimaient la baise sans capote. Lui était chauffeur routier et partis toute la semaine, sa femme seule à la maison. Les enfants étant pensionnaire. Elle était livrée à elle-même, dans la semaine.
Elle nous avait raconté avoir accepté des rapports sexuels avec son beau-père, pour que celui-ci leur donne de l'argent, pour acheter la maison, et, finalement, elle avait pris goût aux vieux messieurs. À quarante ans, elle aimait les messieurs de plus de soixante ans, jusqu'à quatre-vingt-dix ans, disait-elle. Et comme l'âge des messieurs était gage de bonne santé, elle les prenait sans préservatif, que ce soit dans la bouche, la chatte ou l'anus. Ce qui plaisait d'ailleurs beaucoup à ta pute de fille, qui n'a jamais demandé, à aucun mec, de mettre une capote.
- C'est pas possible… C'est pas possible, répète doucement Jeannette.
- Donc, les gosses en pension, le mari absent, elle faisait la pute pour vieux dans la semaine. Mais son beau-père l'ayant surpris avec un autre vieux monsieur, lui fit une crise de jalousie, et elle dut arrêter de recevoir chez elle, sous peine de voir la "source à fric", se tarir.
Aussi, elle allait à l’hôtel, mais le prix de l’hôtel en plus, faisait souvent trop cher pour ses clients. Alors, elle proposa à ta putasse de fille, de faire la pute chez nous !
- Non...
- Si, la fameuse Véro, avait aussi bien emballé ta fille qu'elle l'avait embobinée dans ses plans prostitution.
- Bientôt, tous les après-midi jusqu'à vingt heures, les deux putes recevaient à la maison, mais aussi les soirs et les nuits, durant lesquels j'étais en déplacement.
- C'est pas vrai !
- Ça, non seulement ta connasse de fille me l'a écrit, mais en plus, deux voisines et un voisin me l'ont confirmé, qu'ils voyaient des allées et venues chez moi !
- C'est pas possible… et elle recommence à sangloter.
- Elles ont donc « fait du vieux », puis, trouvant qu'elle n'avait pas assez de clients, donc pas assez de fric, ta fille a passé des annonces pour du "tout venant" !
La vieille femme pleure maintenant, déjà la veille au soir d'apprendre que sa fille aînée se prostituait, lui avait fait un choc, mais à d'apprendre les détails, lui devient franchement insupportable. Comme l'homme s'est tu quelques instants, elle chuchote, plus pour se persuader que pour discuter :
- Mais c'est pas possible, c'est un mauvais rêve, je vais me réveiller…
- Non non, reprend l'homme de sa voix cassante, puis il continue :
- Elle a donc eu des clients de tout âge, jeune comme vieux. Et bien entendu, beaucoup plus d'argent, argent qu'elle jetait d’ailleurs, par les fenêtres en boissons (un litre de whisky par jour, ça cube à la fin de la semaine), en fringues (qu'elle revendait à perte ensuite) et en restaurants avec ses copines, à qui elle voulait en mettre plein la vue et donc, qu'elle invitait régulièrement ! La grande vie quoi !
- L'argent, l'argent…
- Oui, comme tu dis, mais le pognon, c'est le moteur des putes ! Avec les petits jeunes, elle demandait cent euros pour passer un moment, et deux cents s’ils venaient la nuit. Les clients étaient fous de joie, car elle ne demandait pas de mettre la capote, comme presque toutes les putes, elle, elle se laissait remplir de foutre, à l'ancienne.
- Oh non…
- Et si !
Là, la vieille se rebiffe et recommence à pleurer, que ce n'est pas possible, que sa fille ne prendrait jamais de tels risques, avec sa santé…
- Ah ! Mais tu te rappelles tout de même, ce que je t'ai expliqué hier soir, que ta morue se faisait sauter dans les chiottes ou sur le parking des boîtes de nuit. Et quand tu sais que ses filles et son fils allaient aussi, dans la même boite…
Jeannette pleure à nouveau en pensant, non pas à la santé de sa fille, mais ne s'imaginant ses petites filles, tout juste vingt ans, voir leur mère se faire sauter, sur le capot d'une voiture, sur le parking de la boîte de nuit qu'elles fréquentent et où elles sont connues ! Et comme tout se sait dans les petites villes.
Marc relâche son emprise sur la vieille femelle allongée à ses côtés, puis il ordonne :
- Allez, maintenant, assez de bavardages, dors à présent.
L'homme ordonne à la vieille de s’endormir pendant que lui va chercher son ordinateur, son téléphone. Il reste assis dans le lit pour récupérer les photos du téléphone sur l'ordinateur et les diffuser à nouveau sur le net.
Puis, il commence à rédiger un petit texte pour créer un blog sur une vieille salope qui se nomme Jeannette. Ensuite, au bout d'une heure et demie, il referme son ordinateur et éteint la lumière pour essayer de dormir encore un peu.
Mais excité comme il est, dès qu'il se colle au dos de la vieille femme, sa queue contre les fesses fripées, il se remet à bander.
Il se relève alors, se masturbe, fait le tour du lit, et vient se placer devant le visage de la femme qui dort.
Quand il sent qu'il va jouir, il enfonce sa queue raide dans la bouche de la femelle, qui se réveille presque en sursaut, mais l'homme prévoyant lui maintient fermement la tête et il se laisse aller à jouir et à répandre son foutre, dans la douce et chaude bouche.
La vieille râle et se débat, mais elle se fait remettre en place sur un ton ferme et directif :
- Ta gueule morue, tu n'es utile qu'à ça, donner du plaisir aux mecs en rut.
Encore des pleurs de la vieille femme, mais elle a tout avalé le sperme de cet homme odieux, qui se permet tant avec elle. Cela dit, elle sait que comme l'homme dort avec elle, elle se trouve dans une position des plus délicates, comment dire ensuite qu'elle a invité cet odieux personnage, qu'elle a accepté ses avances parce qu'elle avait bu, et qu'elle l’a même, de fait certes, accepté dans son lit ! Elle se sent totalement piégée.
Marc retourne de son côté du lit pour se coucher. Une fois allongée, reprend dans ses bras la vieille femme et s'endort.
Re: Une vieille chienne
Une vieille chienne : découverte de l'exhibition
Marc se réveille, comme à l'accoutumée, de bonne heure. Il se lève en faisant bien attention, de ne pas réveiller la vieille, qui dort à côté, puis, nu, sort de la chambre en emportant son ordinateur et son téléphone.
Dans la cuisine, la pendule annonce sept heures trente, pas très tôt pour Marc, qui se lève bien plus tôt habituellement, mais après la folle soirée, et la nuit démente, qui en suivie, émerger est un peu plus difficile.
Un café, une bonne douche, et l'homme se sent d'attaque, il passe rapidement un coup de fils à sa secrétaire, pour lui dire de repousser son rendez-vous de l'après-midi, prétextant être en pleine prospection, dans la région. Puis, il va dans la salle à manger, installe son ordinateur, branche son téléphone, et crée très rapidement un petit blog en envoyant les textes préparer dans la nuit.
Une heure et demie plus tard, il a esquissé un petit blog amateur, avec les photos humiliantes de son ex-belle-mère, content de lui, et voyant qu'il est déjà presque dix heures, il va réveiller la vieille femme.
- Debout vieille salope, réveille-toi…
La dame ouvre les yeux avec un air hagard, les cheveux en bataille, gris et clairsemés, l’œil rougi, une coulure de salive, à la commissure des lèvres.
- Allez, ma vieille putain ! Debout feignasse, il est déjà dix heures et tu as du pain sur la planche. Joignant le geste à la parole, l'homme repousse la couette et découvre le corps nu.
- Ho ! Ça va pas recommencer, essaye de se rebeller la femme grise.
- Mais si ma vieille ! Aujourd'hui, perverse mémère devient la reine du net !
- Qu'est-ce que c'est que ces conneries encore, cette fois Jeannette est réveillée et elle tient à stopper, tout de suite, une escalade dont elle ne connaît pas l'issue, mais dont elle sait parfaitement que cela ne sera pas bon pour elle.
- Doucement mémé ! Avant de monter sur tes grands chevaux et me sortir tes grands principes, viens déjà voir ce que j'ai fait pour toi, pour que tu deviennes une vraie vedette, sur internet… Et il attrape la main de la femme et l’entraîne dans la salle à manger, devant son ordinateur resté allumé, sur la page du blog, totalement explicite.
- Mais ! C'est quoi ça encore ?
- Ton passeport pour être la reine des vieilles salopes françaises, sur internet… Regarde, il y a déjà un commentaire !
Marc s'assied devant l'écran en poussant légèrement la femme, puis, après deux clics, lit à haute voix le commentaire d'une photo où l'on voit Jeannette penchée en avant, se tenant les chevilles, avec son anus ouvert d'où s'écoule un filet de foutre et d’excréments mêlés.
- Superbe cette vieille chienne ! Sur quel site as-tu trouvé la photo, de cette connasse ? On dirait vraiment une amatrice.
- Mais…
- Super ! En quelques minutes seulement, tu deviens déjà, une salope vue cinquante fois…
Jeannette enfouie alors, son visage dans ses mains et se met à pleurer, pour la énième fois, depuis la veille.
Mais le pervers Marc ne veut pas en rester là, sentant qu'il a toujours le dessus, il poursuit :
- Maintenant, si tu n'es pas sage, si tu me trompeS, ou si tu me casses les couilles, connasse, je diffuse l'adresse de ce blog à tes enfants et tes amis.
- NON… C'est un cri qui fini en plainte, le tout à travers les sanglots.
L'homme est très attentif aux réactions de la femme grise. Il scrute le moindre mouvement de ce corps secoué, pour le moment, par les sanglots. Il perçoit aussi un léger tremblement des jambes, qui lui fait penser que la vieille est dans un état de stress très important. Estimant que, pour le moment, il est temps de lui faire relâcher la pression, il ordonne, d'un ton plus conciliant :
- Va prendre une douche, tu pues le foutre et la sueur rance.
Et pour bien montrer qu'il prend la direction des opérations, il fait tourner la femme sur elle-même, pour la mettre dans le sens de la porte de la salle à manger, pour qu'elle aille vers la salle de bain. Une claque sur les fesses et la femme sort de la pièce.
Marc œuvre encore quelques minutes à son blog, puis, se rend à la salle de bain, entre dans la pièce embuée et contemple cette vieille femme, sous sa douche, sans se cacher de la propriétaire des lieux.
Quand elle s’aperçoit de la présence de son ex-gendre, la femme mouillée s'écrie :
- Mais, vous ne me laisserez donc jamais tranquille ! Sortez…
- Non, vieille connasse, avec ce que tu as fait cette nuit, ne commences pas à jouer les femmes effarouchées ! Et je ne parle même pas, de ce que tu m'as avoué, comme saloperies sexuelles. Je reste et je vérifie que tu te laves correctement.
De longues minutes s'écoulent avant que la vieille femme ne sorte, précautionneusement, de la douche, puis, se sèche, toujours sous le regard pervers, de son ex-gendre.
Une fois sèche, elle s’apprête à utiliser la brosse à dents, quand un ordre sec tombe :
- Non, tu pues le sperme, donc tu vas aller comme ça, faire les courses, je veux du pain frais et de la viande.
- Mais… Commence à ronchonner Jeannette.
- Pas de « mais » qui tienne, tu obéis, un point c'est tout.
Sentant qu'il n'est pas le moment de se rebeller, Jeannette se coiffe et passe devant l'homme pour aller dans sa chambre pour s'habiller. Elle est suivie de près.
Dans la chambre, elle tente encore de rester seule et apostrophe l'homme :
- Mais, vous n'allez pas me coller comme ça, tout le temps !
- Bien sûr que si, j'ai pas confiance dans une vieille morue comme toi, donc tu vas t'habiller comme je vais te le dire. Pour commencer, des bas et un porte-jarretelles. Et comme rien ne vient très vite, il ajoute encore :
- Allez on se dépêche un peu.
La grise fouille dans l'armoire, qu'elle vient d'ouvrir.
L'homme ne perd rien et surveille tous les faits et gestes de la vieille d'un regard froid.
De sur un rayonnage, elle sort un porte-jarretelles, noir qui fait également office de gaine et des bas noirs assez fins.
- Allez, assise sur le lit pour enfiler tes bas, salope…
Sur ce l'homme sort prestement de la pièce et va chercher son téléphone qui lui sert d'appareil photo. Tout en marchant vers la chambre, il le met sur la fonction vidéo et commence à enregistrer. Dans la chambre, il vient se placer devant la fenêtre et filme la vieille femme qui met son deuxième bas, en faisant bien attention de ne pas le filer.
- Bien, pour attacher tes bas, tu te mettras debout.
Là encore, la femme obéit, dès qu'elle en a fini avec son deuxième bas, elle se lève et attache les bas avec les jarretelles, d'un mouvement sûr.
Marc filme la scène sans faire de commentaire sur ce qu'il fait, puis, d'un ton sec, ne supportant pas l'opposition, il demande :
- Dis-moi, tu fais très vieille pute comme ça, tu aimes être fagotée comme une pute ?
- Non.
- Ah bon ! Alors pourquoi tu as dans tes affaires tout cet attirail de putain ?
- Mais…
- Suffit ! Après ce que tu m'as avoué cette nuit, combien tu as trompé ton mari, comment tu te branlais, en sachant pertinemment, quelque part, que ta salope de fille te regardait, combien tu aimes encore te faire enculer et bouffer au foutre, ne va pas jouer les innocentes, s'il te plaît ! Allez, une jupe maintenant.
Jeannette porte ses mains sur une autre étagère et ressort une culotte.
L'homme filme toujours, mais à la vue de la culotte, il s'exclame :
- Ah non ! Pas de culotte, une truie comme toi ne porte ni culotte ni soutien-gorge !
- Mais ma poitrine ne tiendra pas !
- C'est pas un souci ça, les mecs aiment les vieilles aux nichons mous qui dégueulent sur le bide.
- Mais je vais avoir l'air de quoi moi !
- Mais de ce que tu es ! Une vieille truie en chaleur, un vieux pot à foutre pour mâle en rut ! Ce que, de toute façon, tu as toujours été, connasse !
L'homme fait bien attention que la scène soit filmée en continu et au mieux.
- Tu es vraiment méchant… Commence à grommeler la pauvre femme grise entre ses dents.
- Allez, le chemisier le plus transparent que tu possèdes, vite !
Bien décidée à résister, au moins dans les détails, Jeannette se dit qu'il va être difficile pour son ex-gendre de trouver un chemisier comme il le décrit, bien entendu, elle a ce genre de vêtement, mais dans la penderie, pas avec ses chemisiers pliés, sur l’étagère du bas.
Comprenant le stratagème, Marc s'approche de l'armoire et ouvre la grande porte devant la penderie, là, il pousse, d'un geste sûr, les différents vêtements, jusqu'à trouver un chemisier, qui lui paraît assez fin.
- Tu mets celui-là !
- Mais il est trop fin…
- Tu mets celui-là, un point c'est tout !
Ensuite, l'homme replonge dans la penderie et fouille jusqu'à trouver une jupe, mi-longue, qui doit sûrement arriver aux genoux de la vieille, mais qui semble, elle aussi, assez transparente. Sauf que là, accrocher avec la jupe, il y a un fond de jupe noir pour éviter qu'elle ne soit trop transparente justement. L'homme se saisit du cintre, sur lequel est la jupe et tend, jupe et jupon, à la vieille, en lui disant :
- Je veux que tu mettes cette jupe-là.
Elle Prend le cintre et commence à défaire le jupon foncé, puis, à le détacher et à faire un geste pour l'enfiler.
- Non pétasse ! Pas le jupon ! La jupe de traînée ! Sans jupon, qu'on voit bien que tu portes des bas, connasse !
- Mais je ne sortirai jamais, habillée comme ça !
- Mais si ! Sinon, photos et vidéos directement chez tes enfants, je pense, les connaissant, et connaissant tes difficultés avec eux du fait de ton caractère acariâtre, que ces photos feront en sorte qu'ils pourront, enfin, ne plus te voir… Tu veux tenter l'expérience, pauvre conne ?
Jeannette sait que ce diable d'homme n'a pas complètement tort, elle a toujours eu des relations difficiles avec la famille, que ce soit de son côté ou du côté de feu son mari, mais aussi avec ses propres enfants et petits enfants, elle ne voudrait pas, que cette folle soirée, soit la mèche qui mette le feu aux poudres ! Aussi, elle se dit que, plutôt que de risquer une sale affaire, mieux vaut faire ce qu'ordonne de terrible bonhomme, de toute façon, il ne restera pas ici indéfiniment, puisqu'il habite fort loin de chez elle.
- Allez, magne-toi ta vieille rondelle flétrie, pétasse, je veux te voir aller en course, mais pas dans dix ans !
Une fois encore, la pauvre femme s'exécute et obéit aux ordres. Elle passe la jupe, puis enfile ses bras dans le fin chemisier et le boutonne jusqu'en haut.
- Attends, grosse pute ! On ne ferme jamais un chemisier aussi haut, puisque tu ne veux pas écouter et faire ce que je te demande, c'est moi qui vais décider du décolleté.
Et, joignant le geste à la parole, Marc ouvre plusieurs boutons de manière à créer un décolleté très provocant, limite outrageux.
- Regarde-toi dans la glace, tu ressembles bien à une vieille pute sur le retour, c'est comme ça que je veux, que tu sortes faire les courses…. Et pas question de refermer ton chemisier ou te cacher, je vais te suivre. Tout en disant ça, l'homme filme toujours tout ce qui se passe dans la chambre.
- Allez, ouste, file dans le salon, le temps que je m'habille.
Tel un automate, la femme sort de la pièce et se rend sur le canapé du salon, sur lequel elle se laisse lourdement tomber, perdue dans ses pensées, et ne sachant plus comment s'opposer, à ce sale type.
Marc s'habille aussi vite que possible et rejoint sa proie dans le salon.
- Allez mémé, on sort… Tu ne me connais pas, en dehors de chez toi, mais moi, je te suis et te prends en photo.
- Oh non ! Pas encore…
- Mais si, vieille pétasse, on va faire un super site avec tes lourdes mamelles et ton gros cul. Allez, on y va.
L'homme enfile sa veste pendant que la femme enfile un imperméable mi-long, qu'elle veut tout de suite fermer. Mais son ex-gendre n'est pas du tout de cet avis et d'un geste précis, il lui ouvre l'imperméable et lui jette un regard qui ordonne qu'elle reste ainsi.
Le couple sort de l'appartement, la femme referme doucement la porte à clef, pendant que Marc appuis sur le bouton d'appel de l'ascenseur. La porte métallique coulisse et les deux personnes entrent dans la cabine.
Il y a là, un jeune homme, d'une petite vingtaine d'années, qui se pousse poliment dans le coin de la cabine pour laisser le plus de place possible au couple.
Jeannette rougit presque instantanément, car elle s'aperçoit, qu'elle a ses seins, sous les yeux du jeune homme, très exposés, de façon tout à fait provocante.
Le jeune homme baisse les yeux et fixe cette poitrine, à portée de main, avec un regard avide, mais pas troublé le moins du monde.
Lorsque l'appareil ralentit, avant de stopper, Marc s'exclame :
- Putain, Jeannette, t'es encore en train de montrer tes mamelles, à tout le monde ! Ensuite, tu t'étonnes que les messieurs viennent sonner, chez toi.
La cabine se stabilise, les portes s'ouvrent, Marc, donne l'impulsion, au couple, pour sortir. Alors que la femme reste totalement muette, abasourdie qu'elle est, de cette réflexion incroyable.
Le jeune homme reste un peu perplexe, mais avec une information de première main, il connaît l'étage de la vielle, qui semble être une « pire salope », son prénom et avec un peu de chance, il va trouver le numéro de l'appartement, sur les boites aux lettres. Il se dit que, à l'occasion, il pourrait bien être, lui aussi un, de ces messieurs, qui viennent sonner chez la vieille.
Le couple vient de passer la porte extérieure et se retrouve sur le parvis, qui sert aussi de parking.
Alors que Marc prend de la distance, Jeannette voit son voisin du dessus. Elle lui fait un petit geste de la main, et, ce faisant, laisse son imperméable s’ouvrir en grand.
L’homme répond par un autre geste de la main, et, s’apercevant que sa voisine a presque les seins à l’air, fronce les sourcils, et lance un regard noir réprobateur.
Mamie referme son imperméable tout de suite. Elle a parfaitement reçu le message de ce voisin et elle rougit instantanément.
Le vieux, comme beaucoup, joue les offusqués, alors même, qu’il est très heureux d’avoir pu voir les gros nichons de sa salope de voisine. Voisine qui, à son goût, se prend habituellement, vraiment, pour la huitième merveille du monde.
En marchant vers la boulangerie, la vieille dame, qui ne fait pas attention, que ses grandes enjambées, font un peu remonter sa jupe, découvrant ainsi le liseré des bas.
Trois jeunes racailles, assis sur un banc sur le trottoir, sifflent la vieille en la voyant passer. L’un deux se permet même de l’apostropher :
- Hé bien mémé, tu cours chez ton mec ? s’il n’est pas là, reviens-nous voir, on te montrera que même jeune, on a déjà du savoir-faire !
Marc, qui suit à une vingtaine de mètres, se régale du spectacle, et il imagine bien la stupeur de sa proie.
Bientôt, Jeannette arrive à la boulangerie. Il y a six personnes devant elle, dont deux messieurs qui discutent, et comme ils ont tourné la tête à son entrée, ils ont pu voir la tenue débraillée, et ne se gênent pas pour mater de façon ostensible.
En ressortant, Marc l’apostrophe et lui intime l’ordre d’aller à la boucherie, chercher deux biftecks.
Elle prend le chemin du retour, puisque la boucherie se trouve à ‘opposé, par rapport à son appartement. Ce faisant, elle repasse devant les racailles de cité, qui, une nouvelle fois, la siffle et lui disent :
- Tu sais que t’es bonne, mémère ! Quand tu es en manque, tu nous appelles et on vient te faire le cul, comme à une reine.
Bien entendu, mamie fait la fière et ne répond pas. Mais on peut se demander si, de telles racailles, jeunes et bien foutus, ne lui plairaient pas un peu.
Marc se marre intérieurement. Il est heureux de voir que cette vieille donzelle, si hautaine bien souvent, commence à être la risée du quartier. Une mémé habillée comme une pute, bien vulgaire, les mecs adorent, même s’ils n’osent pas l’avouer.
À la boucherie, il se passe un peu la même chose, sauf que là, le boucher, un gros bonhomme jovial, se permet de s’adresser à sa cliente, en lui demandant si elle va bien.
Paniquée, Jeannette bafouille un peu pour répondre oui, et ensuite, pour commander les deux morceaux de viande.
Durant ce temps-là, un autre client est venu se frotter contre la vieille femme. Il a les mains baladeuses, et le boucher le voit, mais ne fait aucun commentaire.
- Vous avez vu, madame, nous faisons les livraisons maintenant, si vous êtes intéressée…
- Non merci, venir ici me fait sortir un peu.
La femme prend le paquet qui lui est tendu et passe à la caisse pour payer.
Le boucher, qui aurait bien aimé faire une livraison chez elle, retourne vers ses autres clients, non sans lui avoir fait un clin d’œil complice et quelque peu coquin.
Le retour est plus calme, peu de monde dans la rue, et en arrivant au pied de l’immeuble, alors que Jeannette est rejointe par son ex-gendre, elle se retrouve tout à côté, du couple du deuxième, qu’elle connaît vaguement. Elle se fend d’un grand bonjour, auquel les personnes qui ont pourtant à peu près son âge répondent, tout en la regardant bizarrement.
Quand l’ascenseur arrive, tous montent dans la cabine, et dès que les portes sont refermées, Marc ouvre l’imperméable de sa proie et dit assez bas, mais suffisamment fort pour que le couple puisse entendre :
- Tes seins sont réellement merveilleux.
Et tout de suite la femme referme son imper et toise celui qui pourrait passer pour son amant.
La porte de la cabine s’ouvre, sans parler le couple sort, en regardant méchamment leur voisine, puis, dès que la cabine repart, Jeannette gronde :
- Mais vous êtes fou ! Je suis connue ici !
- Justement, c'est ce qui m’amuse…
- Espèce de salaud !
Une fois rentré dans l'appartement, alors que Jeannette a été ranger les steaks dans le frigo, a posé le pain sur la table. Marc la prend par la main et l'emmène dans la salle de bain, en lui disant :
- Maintenant, tu prends ta douche.
La vieille, qui commence à être habitué aux imbécilités, de son ex-gendre, se déshabille devant lui. Une fois nue, entre sous la douche. Quand elle a fini, l'homme lui tend un peignoir, en lui disant :
- Suis-moi. Il la ramène dans la cuisine et là, sort une bouteille d'un litre et demi d'eau de source et lui ordonne :
- On va prendre deux minutes, mais tu vas me boire, toute la bouteille.
Ne comprenant pas, ce qui lui passe encore par la tête, la femme obtempère, et en un quart d'heure, avale le litre et demi d'eau.
L'homme devient affable et discute un petit peu avec elle, de ce qu'elle a vécu dans la rue devant les racailles :
- Tu vois ce que vivait ta fille, elle était toujours habillée comme une pute et à chaque fois, qu'elle passait devant des groupes de jeunes, ou des mecs, un peu louches, elle se faisait apostropher comme ça. mais elle, ça l'excitait ! Et toi ça t'a excité un peu ?
- Ben non, certainement pas !
- Allons, allons, même pas un petit peu ? De beaux jeunes hommes comme ça, bien bâtis, sûrement avec un gros kiki.
- Non mais, ça va pas, non !
- Et le boucher ? J'ai vu qu’il t'avait bien détaillé, je ne suis pas certain, qu'il avait envie de te découper, mais il t'emballerait bien.
- Tout ça, ce sont vos histoires. Ça vous fait plaisir de le croire, mais il n'en est rien pour moi, voilà.
- Très bien, et maintenant, tu n’as pas une petite envie de pisser ?
- Oui justement, j'allais dire que je dois aller aux toilettes. Et tout en disant cela, elle se commence à se lever.
- Non, non, tu vas te retenir. Je vais d'abord te raser la chatte. Ça la fout mal, une chatte avec des poils gris. Ça ne te rajeunit pas du tout, ma pauvre vieille.
Il attrape Jeannette par la main et va l'installer dans le fauteuil, qu'il a déjà occupé, la veille.
Ensuite, il va dans la salle de bain, récupère un rasoir jetable et une bombe de mousse à raser, qu'il avait vu traîner sur une étagère. Il revient, fait écarter les cuisses de la femme, pour avoir son sexe bien en évidence. Une fois qu’elle est installée comme il l’entend, il passe de la mousse à raser sur le pubis et sur les côtés des lèvres. Après, dans un geste précis, il rase toute la partie préparée. Quand il a terminé, il annonce :
- Attends-moi, je vais faire quelques photos de ta petite chatte rajeunie.
Il va prendre son téléphone et revient pour faire des photos. Mais il prend un temps infini, ce qui n'est pas pour arranger les affaires de mamie, qui commence à avoir sérieusement, envie d’uriner. Quand il termine enfin, sa séance photo, il lui indique :
- Bon, je vais mettre ces photos-là, maintenant, sur le net. Reste dans cette position-là.
Oui, mais j'ai envie d’uriner, moi !
- Tu restes dans cette position-là, c'est tout ! Tu te retiens un peu, tu es quand même une grande fille, non, à ton âge.
- Oui, mais je ne peux pas me retenir d'uriner, comme ça, tout le temps que vous bricolez sur Internet.
- C'est pas mon problème, tu restes assise à côté de moi, je veux te voir en permanence.
Et elle commence à bouger dans tous les sens, se livre à une espèce de danse de Saint-Guy, tout en restant vautrée sur le fauteuil.
L'homme prend tout son temps pour défaire son ordinateur, le relier à son téléphone, télécharger ses photos, aller sur internet. Tant et si bien, qu’à un moment, Jeannette se lève pour aller aux toilettes.
L'homme se lève d’un bond et vient l’attraper, tout de suite. Il l'oblige à se rasseoir sur le fauteuil. Il la toise du regard et lui ordonne à nouveau :
- Tu ne bouges pas tant, que je ne t'ai pas autorisé, à aller aux chiottes
Mais, ce qui devait arriver, arrive. La pauvre femme, ne maîtrisant plus aussi bien que jadis, son sphincter urinaire, d'un coup, un filet d'urine coule de son sexe lisse.
- Grosse salope, tu es en train de te pisser dessus ! Attends, je vais faire encore quelques photos.
Et l'homme prend tout son temps, pour déconnecter, son appareil de l'ordinateur, et venir prendre quelques photos. Surtout que le mince filet du début, est devenu un peu plus important, qui coule et qui mouille le bord du fauteuil en velours.
- C'est bien, laisse-toi aller, pisse-toi dessus, c'est pas grave, au contraire, ça fait de belles photos.
Finalement, la mémé se pisse dessus complètement, ne pouvant plus du tout se retenir. Elle se remet à pleurer.
L'homme prend tout ça en photo, bien entendu. Ensuite, il retourne sur son ordinateur, reconnecte son téléphone et diffuse de nouvelles photos, d'une mamie incontinente
Il prend un peu de temps pour créer une adresse email et mettre sur le site les photos, où il présente Jeannette. Un petit texte qui propose de faire une séance de webcam, avec un vrai amateur de vieilles salopes.
Mais il ne veut pas perdre trop de temps et en attendant, reprend mémé par la main, l'a fait s'asseoir sur une sorte de banc en bois, qui sert le plus souvent de repose-pied.
La vieille femme pleure toujours autant, mais ne se rebiffe pas et elle se laisse entraîner dans les délires de cet homme vicieux.
Là, il l'a fait se pencher en avant, attache les poignées avec une cordelette au pied avant du fauteuil. Il prend alors quelques photos des nichons mous, qui pendent en avant, de façon obscène.
Entre deux gros sanglots, la pauvre femme demande :
- Vous aimez me torturer !
- Oui…
L’homme défait la cordelette et l’aide à se rasseoir, plus conventionnellement. En attendant que l'annonce, qu'il a passé, produise son effet et qu'il reçoive un coup de fil, il commence à demander :
- Tu es croyante ?
- Oui, bien sûr, pas vous peut-être ?
- Si, si, mais moi, je sais que ton mari, qui est là-haut, te regarde. Et je ne suis pas sûr, qu'en apprenant aujourd'hui, combien tu l'as trompé, qu'il soit très heureux. Pas plus que de te voir en train de te faire tripoter, par ton ancien gendre, que tu allumais si souvent. Tu imagines ce qu'il doit penser de toi là-haut ?
- Vous êtes vraiment un salaud !
- Oui, bien sûr, et toi, tu es une vieille salope en chaleur, donc on est fait pour s'entendre, ma belle.
Une petite demi-heure se passe, quand le téléphone sonne enfin. Et, alors que Jeannette veut aller répondre, Marc la stoppe tout de suite et lui dit :
- Non, ça doit être pour moi.
Interloquée, mamie le regarde et demande :
- Comment ça ! Vous recevez vos coups de fil chez moi, maintenant !
- Eh oui, peut-être bien, et il décroche le téléphone. Effectivement, à l'autre bout du fil, un correspondant, d'un type intéressé, pour faire une webcam et voir la vieille femelle, en train de pisser.
Marc sort de la pièce et va dans le vestibule. Là, il annonce à son correspondant, que cette prestation sera payante, via PayPal. Et, il propose de faire un lavement à la bière devant la webcam.
Le correspondant est tout à fait d'accord, pour la somme de cinquante euros, l'affaire est conclue.
Un bon quart d'heure plus tard, le portable sonne cette fois. Marc a fini d'installer Jeannette sur le lit, les jambes relevées, les poignets et les chevilles attachés ensemble, ce qu'il n'a pas été sans mal, ni sans pleur, de la part de la vieille femme.
Il allume son ordinateur, lance le programme de la webcam. En face, son correspondant fait de même. C'est un monsieur d'une cinquantaine d'années, qui s'est foutu à poil et qui se tripote un peu la bite.
Je suis super excité de voir, une vieille salope, avoir un lavement en réel.
Marc sort, un instant, pour aller dans la cuisine chercher une bière et revient.
La bière, qui était dans la cuisine, sans être au frigo, n'est pas froide, mais plutôt à température ambiante, ce qui arrange, un peu, les affaires. Marc, après avoir dévissé le bouchon de la canette, de trente-trois centilitres, s'approche du lit, pousse sur les cuisses, pour remonter le plus possible l'anus de la vieille et lui enfonce le boulot dans le postérieur.
- Aïe ! Ça fait mal !
L’homme ne tient pas compte de ces lamentations. Une fois la bouteille bien en place, il la secoue dans tous les sens, pour que la bière mousse bien.
La vieille gémit, se plaint, pleurniche, mais rien n'y fait. Et quand Marc ressort le goulot de la grosse canette, la vieille commence à sentir des grenouilles, dans son ventre, et ça fait un bruit de tuyauterie.
Marque s'adresse à son correspondant en lui disant :
- T'inquiète-pas ça va prendre, cinq ou six minutes, mais tu vas voir, le résultat est fantastique
La vieille traite son ex-gendre de tous les noms ! De salaud, de vicieux, de pervers, bref, tous les noms d'oiseaux qu'elle connaît.
Mais rien n'y fait, le bonhomme ne bronche pas. Il sait très bien ce qui va se passer.
Effectivement, au bout de cinq minutes, elle commence à avoir quelques pets moussants, comme si la mousse ressortait de son anus. Elle se tortille, les boyaux la font un peu souffrir.
Mais là, il reste de marbre. Cependant, il ne reste pas non plus, devant l'anus, qui devrait bientôt exploser.
Ça ne dure pas des heures, effectivement d'un coup la pauvre femme éjecte la bière, mais également des crottes d'excrément et elle se remet à pleurer de plus belle.
- C'est super, dit le correspondant, j'avais jamais vu ça ! Mais c'est génial, tu as vraiment de super idées.
- Ouais, merci, mais il faut dire que la vieille salope se prête, à tout et a toutes ses saloperies là.
Le pervers homme détache la vieille femme qui retrouve ses poignets et chevilles libres, et qui s’écroule sur le lit, sur le dos. Elle reprend son souffle, quand elle entend :
- Tu vas me nettoyer ta merde, vieille dégueulasse.
Et Marc la tire sans ménagement, hors du lit.
Pendant que Jeannette sort de la pièce pour aller chercher la serpillière, il se retourne auprès de son correspondant, et lui dit encore :
- Maintenant, la vieille femme de ménage, va faire la chambre, mais à poils, sous tes yeux.
Quelques minutes plus tard, mamie revient avec un balai-serpillière et un seau. Elle s’est aussi arrêtée à la salle de bain, pour enfiler son peignoir.
Marc, pas content, commence par lui arracher le seau et le balai, puis lui empoigne le col du peignoir, et le retire, d’un geste brusque, pour le jeter dans le couloir.
- À poil pour faire le ménage, ma vieille, ton client paye aussi pour te voir, faire ta chambre, nue !
- Vous êtes vraiment un odieux personnage !
- Tu ne disais pas ça, cette nuit, quand je t’enculais !
- Je ne vois pas de quoi vous parlez.
- De t’enculer, vieille toupie, et tu couinais comme une truie.
- Je ne vous permets pas !
- Allons, mémé, tu nous fais la fière parce qu’il y a du monde qui te regarde ? Fais le ménage, nettoie le sol, parce que tu as chié partout !
- Non !
Jeannette lui fille une gifle, et lui ordonne :
- Tu nettoies ta merde !
Le correspondant commence à dire :
- Elle n'écoute pas vraiment !
- Ben non, il y a des fois, elle fait un peu sa rebelle… Mais bon, le tout, c'est que je lui promette que je vais lui mette un bon coup entre les pattes arrière. Après, elle est sage.
Marc affiche un grand sourire, puis, estimant que mémé ne va pas assez vite, se tourne vers elle, et d’un ton menaçant, lui ordonne encore :
- Allez, nettoie, et plus vite que ça !
La vieille fait contre mauvaise fortune, bon cœur. Elle ramasse toutes les cochonneries par terre et nettoie. Ensuite, elle ressort de la pièce, pour aller rincer son balai et jeter l’eau de son seau.
Quand elle revient, Marc l'attrape par le bras, la fout à genoux par terre, le corps sur le lit. Là, il s’adresse à son correspondant :
- Bon, pour te faire plaisir et pour te faire voir, je vais l'enculer devant la webcam.
Mamie ne bouge plus, est-elle paralysée par la peur ? Attend-elle sa friandise ? Le sait-elle, elle-même ?
Marc, lui, ne perd pas de temps, il prend son ordinateur et vient le placer au pied du lit. Puis il s’agenouille au cul de la mémé, et là, fier de sa bite tendue, il écarte les vieilles fesses, des doigts de ses deux mains, puis guide son sexe avec son pouce, pour le mettre contre le sphincter. Il fixe son écran qui est munie de la webcam, et annonce hardiment :
- Regarde comment on encule une vieille pouffiasse.
Et, joignant le geste à la parole, il donne un sérieux coup de rein et enfonce d’un coup sa queue au fond du boyau de Jeannette.
Elle pousse un cri rauque. Elle ressent une vive brûlure à l’anus, et pleurniche :
- Ça brûle, au secours !
Mais très vite, les allers et venues, dans son arrière-train, la font haleter. Puis assez vite encore, gémir.
L’homme ne s’économise pas, est-ce pour jouer les fiers-à-bras devant son correspondant, ou est-ce simplement parce qu’il veut jouir à nouveau, Dieu seul le sait.
Maintenant, la vieille jouit, elle aussi, elle n’aurait jamais cru possible de jouir autant par l’anus, combien même, ce passage fut souvent emprunté par ses amants. Elle serre les draps dans ses mains, rendant ses doigts légèrement bleus.
Marc, dans un ultime mouvement, s’enfonce le plus loin possible dans le corps de sa partenaire. Cette fois, le compte y est, et il décharge son foutre tout au fond du rectum. Il pousse un grognement, en articulant, assez mal, avec les dents serrées :
- T’es trop bonne, vieille truie.
Et il affale son corps massif sur le dos de la femme qui tremble de tout son être sous la violence de l’orgasme.
Elle met plus d’une minute à pouvoir arrêter ses tremblements désordonnés. Jeannette a le souffle court, et ce corps lourd, sur elle, ne la dérange pas, au contraire, elle trouve cela rassurant, à ce moment-là.
Marc prend tout son temps pour se redresser et ressortir sa queue, devenue molle, de l’anus martyrisé. Il se tourne vers son ordi et demande :
- Ça t’a plu ?
- Ouais ! Super ! Je me suis branlé, je m’imaginais à ta place dans son fion !
- Attends, je vais te montrer son trou du cul, en gros plan.
Il se recule un peu sur ses cuisses, attrape l’ordinateur, et vient le placer devant l’anus béant, qui frétille encore quelque peu.
Dans un autre monde, et ayant perdu la notion du temps, la femme ne sent pas vraiment monter, de ses entrailles, un bouillonnement. Bientôt un pet, accompagné d’une mousse marron clair, sort de ce cul malmené, quelques instants plus tôt.
- Oui, pète vieille chienne, c'est naturel, pour les grosses enculées comme toi.
Ensuite, reposant son ordinateur sur le lit, il empoigne la vieille femme par les cheveux, et, en l’aidant à se tourner, la fait se redresser. Lui-même se lève d’un bond, puis offre son sexe dégonflé à la bouche soumise.
- Gobe ça, mamie, une sucette goût bière foutre !
- Tu devrais faire un sketch et la passer à la radio bière foot ! (cf : Les Robins Des Bois - Radio Bière Foot).
Les deux mecs se marrent, pendant que la mémé suce énergiquement, comme si elle voulait refaire bander son amant, bien plus jeune qu’elle.
Le correspondant reprend la parole et dit :
- Elle est vraiment top, cette vioque ! Je rêve de pouvoir me taper une vieille folle de bites comme elle !
Marc, qui ne perd pas une seconde de vue, les turpitudes qu’il veut faire vivre à sa vieille ex-belle-mère, propose alors :
- Écoute, si tu n’es pas trop loin de la Roche-sur-Yon, je te propose, pour cent balles, de venir la piner. Tu pourras lui faire ce que tu veux…
Marc se réveille, comme à l'accoutumée, de bonne heure. Il se lève en faisant bien attention, de ne pas réveiller la vieille, qui dort à côté, puis, nu, sort de la chambre en emportant son ordinateur et son téléphone.
Dans la cuisine, la pendule annonce sept heures trente, pas très tôt pour Marc, qui se lève bien plus tôt habituellement, mais après la folle soirée, et la nuit démente, qui en suivie, émerger est un peu plus difficile.
Un café, une bonne douche, et l'homme se sent d'attaque, il passe rapidement un coup de fils à sa secrétaire, pour lui dire de repousser son rendez-vous de l'après-midi, prétextant être en pleine prospection, dans la région. Puis, il va dans la salle à manger, installe son ordinateur, branche son téléphone, et crée très rapidement un petit blog en envoyant les textes préparer dans la nuit.
Une heure et demie plus tard, il a esquissé un petit blog amateur, avec les photos humiliantes de son ex-belle-mère, content de lui, et voyant qu'il est déjà presque dix heures, il va réveiller la vieille femme.
- Debout vieille salope, réveille-toi…
La dame ouvre les yeux avec un air hagard, les cheveux en bataille, gris et clairsemés, l’œil rougi, une coulure de salive, à la commissure des lèvres.
- Allez, ma vieille putain ! Debout feignasse, il est déjà dix heures et tu as du pain sur la planche. Joignant le geste à la parole, l'homme repousse la couette et découvre le corps nu.
- Ho ! Ça va pas recommencer, essaye de se rebeller la femme grise.
- Mais si ma vieille ! Aujourd'hui, perverse mémère devient la reine du net !
- Qu'est-ce que c'est que ces conneries encore, cette fois Jeannette est réveillée et elle tient à stopper, tout de suite, une escalade dont elle ne connaît pas l'issue, mais dont elle sait parfaitement que cela ne sera pas bon pour elle.
- Doucement mémé ! Avant de monter sur tes grands chevaux et me sortir tes grands principes, viens déjà voir ce que j'ai fait pour toi, pour que tu deviennes une vraie vedette, sur internet… Et il attrape la main de la femme et l’entraîne dans la salle à manger, devant son ordinateur resté allumé, sur la page du blog, totalement explicite.
- Mais ! C'est quoi ça encore ?
- Ton passeport pour être la reine des vieilles salopes françaises, sur internet… Regarde, il y a déjà un commentaire !
Marc s'assied devant l'écran en poussant légèrement la femme, puis, après deux clics, lit à haute voix le commentaire d'une photo où l'on voit Jeannette penchée en avant, se tenant les chevilles, avec son anus ouvert d'où s'écoule un filet de foutre et d’excréments mêlés.
- Superbe cette vieille chienne ! Sur quel site as-tu trouvé la photo, de cette connasse ? On dirait vraiment une amatrice.
- Mais…
- Super ! En quelques minutes seulement, tu deviens déjà, une salope vue cinquante fois…
Jeannette enfouie alors, son visage dans ses mains et se met à pleurer, pour la énième fois, depuis la veille.
Mais le pervers Marc ne veut pas en rester là, sentant qu'il a toujours le dessus, il poursuit :
- Maintenant, si tu n'es pas sage, si tu me trompeS, ou si tu me casses les couilles, connasse, je diffuse l'adresse de ce blog à tes enfants et tes amis.
- NON… C'est un cri qui fini en plainte, le tout à travers les sanglots.
L'homme est très attentif aux réactions de la femme grise. Il scrute le moindre mouvement de ce corps secoué, pour le moment, par les sanglots. Il perçoit aussi un léger tremblement des jambes, qui lui fait penser que la vieille est dans un état de stress très important. Estimant que, pour le moment, il est temps de lui faire relâcher la pression, il ordonne, d'un ton plus conciliant :
- Va prendre une douche, tu pues le foutre et la sueur rance.
Et pour bien montrer qu'il prend la direction des opérations, il fait tourner la femme sur elle-même, pour la mettre dans le sens de la porte de la salle à manger, pour qu'elle aille vers la salle de bain. Une claque sur les fesses et la femme sort de la pièce.
Marc œuvre encore quelques minutes à son blog, puis, se rend à la salle de bain, entre dans la pièce embuée et contemple cette vieille femme, sous sa douche, sans se cacher de la propriétaire des lieux.
Quand elle s’aperçoit de la présence de son ex-gendre, la femme mouillée s'écrie :
- Mais, vous ne me laisserez donc jamais tranquille ! Sortez…
- Non, vieille connasse, avec ce que tu as fait cette nuit, ne commences pas à jouer les femmes effarouchées ! Et je ne parle même pas, de ce que tu m'as avoué, comme saloperies sexuelles. Je reste et je vérifie que tu te laves correctement.
De longues minutes s'écoulent avant que la vieille femme ne sorte, précautionneusement, de la douche, puis, se sèche, toujours sous le regard pervers, de son ex-gendre.
Une fois sèche, elle s’apprête à utiliser la brosse à dents, quand un ordre sec tombe :
- Non, tu pues le sperme, donc tu vas aller comme ça, faire les courses, je veux du pain frais et de la viande.
- Mais… Commence à ronchonner Jeannette.
- Pas de « mais » qui tienne, tu obéis, un point c'est tout.
Sentant qu'il n'est pas le moment de se rebeller, Jeannette se coiffe et passe devant l'homme pour aller dans sa chambre pour s'habiller. Elle est suivie de près.
Dans la chambre, elle tente encore de rester seule et apostrophe l'homme :
- Mais, vous n'allez pas me coller comme ça, tout le temps !
- Bien sûr que si, j'ai pas confiance dans une vieille morue comme toi, donc tu vas t'habiller comme je vais te le dire. Pour commencer, des bas et un porte-jarretelles. Et comme rien ne vient très vite, il ajoute encore :
- Allez on se dépêche un peu.
La grise fouille dans l'armoire, qu'elle vient d'ouvrir.
L'homme ne perd rien et surveille tous les faits et gestes de la vieille d'un regard froid.
De sur un rayonnage, elle sort un porte-jarretelles, noir qui fait également office de gaine et des bas noirs assez fins.
- Allez, assise sur le lit pour enfiler tes bas, salope…
Sur ce l'homme sort prestement de la pièce et va chercher son téléphone qui lui sert d'appareil photo. Tout en marchant vers la chambre, il le met sur la fonction vidéo et commence à enregistrer. Dans la chambre, il vient se placer devant la fenêtre et filme la vieille femme qui met son deuxième bas, en faisant bien attention de ne pas le filer.
- Bien, pour attacher tes bas, tu te mettras debout.
Là encore, la femme obéit, dès qu'elle en a fini avec son deuxième bas, elle se lève et attache les bas avec les jarretelles, d'un mouvement sûr.
Marc filme la scène sans faire de commentaire sur ce qu'il fait, puis, d'un ton sec, ne supportant pas l'opposition, il demande :
- Dis-moi, tu fais très vieille pute comme ça, tu aimes être fagotée comme une pute ?
- Non.
- Ah bon ! Alors pourquoi tu as dans tes affaires tout cet attirail de putain ?
- Mais…
- Suffit ! Après ce que tu m'as avoué cette nuit, combien tu as trompé ton mari, comment tu te branlais, en sachant pertinemment, quelque part, que ta salope de fille te regardait, combien tu aimes encore te faire enculer et bouffer au foutre, ne va pas jouer les innocentes, s'il te plaît ! Allez, une jupe maintenant.
Jeannette porte ses mains sur une autre étagère et ressort une culotte.
L'homme filme toujours, mais à la vue de la culotte, il s'exclame :
- Ah non ! Pas de culotte, une truie comme toi ne porte ni culotte ni soutien-gorge !
- Mais ma poitrine ne tiendra pas !
- C'est pas un souci ça, les mecs aiment les vieilles aux nichons mous qui dégueulent sur le bide.
- Mais je vais avoir l'air de quoi moi !
- Mais de ce que tu es ! Une vieille truie en chaleur, un vieux pot à foutre pour mâle en rut ! Ce que, de toute façon, tu as toujours été, connasse !
L'homme fait bien attention que la scène soit filmée en continu et au mieux.
- Tu es vraiment méchant… Commence à grommeler la pauvre femme grise entre ses dents.
- Allez, le chemisier le plus transparent que tu possèdes, vite !
Bien décidée à résister, au moins dans les détails, Jeannette se dit qu'il va être difficile pour son ex-gendre de trouver un chemisier comme il le décrit, bien entendu, elle a ce genre de vêtement, mais dans la penderie, pas avec ses chemisiers pliés, sur l’étagère du bas.
Comprenant le stratagème, Marc s'approche de l'armoire et ouvre la grande porte devant la penderie, là, il pousse, d'un geste sûr, les différents vêtements, jusqu'à trouver un chemisier, qui lui paraît assez fin.
- Tu mets celui-là !
- Mais il est trop fin…
- Tu mets celui-là, un point c'est tout !
Ensuite, l'homme replonge dans la penderie et fouille jusqu'à trouver une jupe, mi-longue, qui doit sûrement arriver aux genoux de la vieille, mais qui semble, elle aussi, assez transparente. Sauf que là, accrocher avec la jupe, il y a un fond de jupe noir pour éviter qu'elle ne soit trop transparente justement. L'homme se saisit du cintre, sur lequel est la jupe et tend, jupe et jupon, à la vieille, en lui disant :
- Je veux que tu mettes cette jupe-là.
Elle Prend le cintre et commence à défaire le jupon foncé, puis, à le détacher et à faire un geste pour l'enfiler.
- Non pétasse ! Pas le jupon ! La jupe de traînée ! Sans jupon, qu'on voit bien que tu portes des bas, connasse !
- Mais je ne sortirai jamais, habillée comme ça !
- Mais si ! Sinon, photos et vidéos directement chez tes enfants, je pense, les connaissant, et connaissant tes difficultés avec eux du fait de ton caractère acariâtre, que ces photos feront en sorte qu'ils pourront, enfin, ne plus te voir… Tu veux tenter l'expérience, pauvre conne ?
Jeannette sait que ce diable d'homme n'a pas complètement tort, elle a toujours eu des relations difficiles avec la famille, que ce soit de son côté ou du côté de feu son mari, mais aussi avec ses propres enfants et petits enfants, elle ne voudrait pas, que cette folle soirée, soit la mèche qui mette le feu aux poudres ! Aussi, elle se dit que, plutôt que de risquer une sale affaire, mieux vaut faire ce qu'ordonne de terrible bonhomme, de toute façon, il ne restera pas ici indéfiniment, puisqu'il habite fort loin de chez elle.
- Allez, magne-toi ta vieille rondelle flétrie, pétasse, je veux te voir aller en course, mais pas dans dix ans !
Une fois encore, la pauvre femme s'exécute et obéit aux ordres. Elle passe la jupe, puis enfile ses bras dans le fin chemisier et le boutonne jusqu'en haut.
- Attends, grosse pute ! On ne ferme jamais un chemisier aussi haut, puisque tu ne veux pas écouter et faire ce que je te demande, c'est moi qui vais décider du décolleté.
Et, joignant le geste à la parole, Marc ouvre plusieurs boutons de manière à créer un décolleté très provocant, limite outrageux.
- Regarde-toi dans la glace, tu ressembles bien à une vieille pute sur le retour, c'est comme ça que je veux, que tu sortes faire les courses…. Et pas question de refermer ton chemisier ou te cacher, je vais te suivre. Tout en disant ça, l'homme filme toujours tout ce qui se passe dans la chambre.
- Allez, ouste, file dans le salon, le temps que je m'habille.
Tel un automate, la femme sort de la pièce et se rend sur le canapé du salon, sur lequel elle se laisse lourdement tomber, perdue dans ses pensées, et ne sachant plus comment s'opposer, à ce sale type.
Marc s'habille aussi vite que possible et rejoint sa proie dans le salon.
- Allez mémé, on sort… Tu ne me connais pas, en dehors de chez toi, mais moi, je te suis et te prends en photo.
- Oh non ! Pas encore…
- Mais si, vieille pétasse, on va faire un super site avec tes lourdes mamelles et ton gros cul. Allez, on y va.
L'homme enfile sa veste pendant que la femme enfile un imperméable mi-long, qu'elle veut tout de suite fermer. Mais son ex-gendre n'est pas du tout de cet avis et d'un geste précis, il lui ouvre l'imperméable et lui jette un regard qui ordonne qu'elle reste ainsi.
Le couple sort de l'appartement, la femme referme doucement la porte à clef, pendant que Marc appuis sur le bouton d'appel de l'ascenseur. La porte métallique coulisse et les deux personnes entrent dans la cabine.
Il y a là, un jeune homme, d'une petite vingtaine d'années, qui se pousse poliment dans le coin de la cabine pour laisser le plus de place possible au couple.
Jeannette rougit presque instantanément, car elle s'aperçoit, qu'elle a ses seins, sous les yeux du jeune homme, très exposés, de façon tout à fait provocante.
Le jeune homme baisse les yeux et fixe cette poitrine, à portée de main, avec un regard avide, mais pas troublé le moins du monde.
Lorsque l'appareil ralentit, avant de stopper, Marc s'exclame :
- Putain, Jeannette, t'es encore en train de montrer tes mamelles, à tout le monde ! Ensuite, tu t'étonnes que les messieurs viennent sonner, chez toi.
La cabine se stabilise, les portes s'ouvrent, Marc, donne l'impulsion, au couple, pour sortir. Alors que la femme reste totalement muette, abasourdie qu'elle est, de cette réflexion incroyable.
Le jeune homme reste un peu perplexe, mais avec une information de première main, il connaît l'étage de la vielle, qui semble être une « pire salope », son prénom et avec un peu de chance, il va trouver le numéro de l'appartement, sur les boites aux lettres. Il se dit que, à l'occasion, il pourrait bien être, lui aussi un, de ces messieurs, qui viennent sonner chez la vieille.
Le couple vient de passer la porte extérieure et se retrouve sur le parvis, qui sert aussi de parking.
Alors que Marc prend de la distance, Jeannette voit son voisin du dessus. Elle lui fait un petit geste de la main, et, ce faisant, laisse son imperméable s’ouvrir en grand.
L’homme répond par un autre geste de la main, et, s’apercevant que sa voisine a presque les seins à l’air, fronce les sourcils, et lance un regard noir réprobateur.
Mamie referme son imperméable tout de suite. Elle a parfaitement reçu le message de ce voisin et elle rougit instantanément.
Le vieux, comme beaucoup, joue les offusqués, alors même, qu’il est très heureux d’avoir pu voir les gros nichons de sa salope de voisine. Voisine qui, à son goût, se prend habituellement, vraiment, pour la huitième merveille du monde.
En marchant vers la boulangerie, la vieille dame, qui ne fait pas attention, que ses grandes enjambées, font un peu remonter sa jupe, découvrant ainsi le liseré des bas.
Trois jeunes racailles, assis sur un banc sur le trottoir, sifflent la vieille en la voyant passer. L’un deux se permet même de l’apostropher :
- Hé bien mémé, tu cours chez ton mec ? s’il n’est pas là, reviens-nous voir, on te montrera que même jeune, on a déjà du savoir-faire !
Marc, qui suit à une vingtaine de mètres, se régale du spectacle, et il imagine bien la stupeur de sa proie.
Bientôt, Jeannette arrive à la boulangerie. Il y a six personnes devant elle, dont deux messieurs qui discutent, et comme ils ont tourné la tête à son entrée, ils ont pu voir la tenue débraillée, et ne se gênent pas pour mater de façon ostensible.
En ressortant, Marc l’apostrophe et lui intime l’ordre d’aller à la boucherie, chercher deux biftecks.
Elle prend le chemin du retour, puisque la boucherie se trouve à ‘opposé, par rapport à son appartement. Ce faisant, elle repasse devant les racailles de cité, qui, une nouvelle fois, la siffle et lui disent :
- Tu sais que t’es bonne, mémère ! Quand tu es en manque, tu nous appelles et on vient te faire le cul, comme à une reine.
Bien entendu, mamie fait la fière et ne répond pas. Mais on peut se demander si, de telles racailles, jeunes et bien foutus, ne lui plairaient pas un peu.
Marc se marre intérieurement. Il est heureux de voir que cette vieille donzelle, si hautaine bien souvent, commence à être la risée du quartier. Une mémé habillée comme une pute, bien vulgaire, les mecs adorent, même s’ils n’osent pas l’avouer.
À la boucherie, il se passe un peu la même chose, sauf que là, le boucher, un gros bonhomme jovial, se permet de s’adresser à sa cliente, en lui demandant si elle va bien.
Paniquée, Jeannette bafouille un peu pour répondre oui, et ensuite, pour commander les deux morceaux de viande.
Durant ce temps-là, un autre client est venu se frotter contre la vieille femme. Il a les mains baladeuses, et le boucher le voit, mais ne fait aucun commentaire.
- Vous avez vu, madame, nous faisons les livraisons maintenant, si vous êtes intéressée…
- Non merci, venir ici me fait sortir un peu.
La femme prend le paquet qui lui est tendu et passe à la caisse pour payer.
Le boucher, qui aurait bien aimé faire une livraison chez elle, retourne vers ses autres clients, non sans lui avoir fait un clin d’œil complice et quelque peu coquin.
Le retour est plus calme, peu de monde dans la rue, et en arrivant au pied de l’immeuble, alors que Jeannette est rejointe par son ex-gendre, elle se retrouve tout à côté, du couple du deuxième, qu’elle connaît vaguement. Elle se fend d’un grand bonjour, auquel les personnes qui ont pourtant à peu près son âge répondent, tout en la regardant bizarrement.
Quand l’ascenseur arrive, tous montent dans la cabine, et dès que les portes sont refermées, Marc ouvre l’imperméable de sa proie et dit assez bas, mais suffisamment fort pour que le couple puisse entendre :
- Tes seins sont réellement merveilleux.
Et tout de suite la femme referme son imper et toise celui qui pourrait passer pour son amant.
La porte de la cabine s’ouvre, sans parler le couple sort, en regardant méchamment leur voisine, puis, dès que la cabine repart, Jeannette gronde :
- Mais vous êtes fou ! Je suis connue ici !
- Justement, c'est ce qui m’amuse…
- Espèce de salaud !
Une fois rentré dans l'appartement, alors que Jeannette a été ranger les steaks dans le frigo, a posé le pain sur la table. Marc la prend par la main et l'emmène dans la salle de bain, en lui disant :
- Maintenant, tu prends ta douche.
La vieille, qui commence à être habitué aux imbécilités, de son ex-gendre, se déshabille devant lui. Une fois nue, entre sous la douche. Quand elle a fini, l'homme lui tend un peignoir, en lui disant :
- Suis-moi. Il la ramène dans la cuisine et là, sort une bouteille d'un litre et demi d'eau de source et lui ordonne :
- On va prendre deux minutes, mais tu vas me boire, toute la bouteille.
Ne comprenant pas, ce qui lui passe encore par la tête, la femme obtempère, et en un quart d'heure, avale le litre et demi d'eau.
L'homme devient affable et discute un petit peu avec elle, de ce qu'elle a vécu dans la rue devant les racailles :
- Tu vois ce que vivait ta fille, elle était toujours habillée comme une pute et à chaque fois, qu'elle passait devant des groupes de jeunes, ou des mecs, un peu louches, elle se faisait apostropher comme ça. mais elle, ça l'excitait ! Et toi ça t'a excité un peu ?
- Ben non, certainement pas !
- Allons, allons, même pas un petit peu ? De beaux jeunes hommes comme ça, bien bâtis, sûrement avec un gros kiki.
- Non mais, ça va pas, non !
- Et le boucher ? J'ai vu qu’il t'avait bien détaillé, je ne suis pas certain, qu'il avait envie de te découper, mais il t'emballerait bien.
- Tout ça, ce sont vos histoires. Ça vous fait plaisir de le croire, mais il n'en est rien pour moi, voilà.
- Très bien, et maintenant, tu n’as pas une petite envie de pisser ?
- Oui justement, j'allais dire que je dois aller aux toilettes. Et tout en disant cela, elle se commence à se lever.
- Non, non, tu vas te retenir. Je vais d'abord te raser la chatte. Ça la fout mal, une chatte avec des poils gris. Ça ne te rajeunit pas du tout, ma pauvre vieille.
Il attrape Jeannette par la main et va l'installer dans le fauteuil, qu'il a déjà occupé, la veille.
Ensuite, il va dans la salle de bain, récupère un rasoir jetable et une bombe de mousse à raser, qu'il avait vu traîner sur une étagère. Il revient, fait écarter les cuisses de la femme, pour avoir son sexe bien en évidence. Une fois qu’elle est installée comme il l’entend, il passe de la mousse à raser sur le pubis et sur les côtés des lèvres. Après, dans un geste précis, il rase toute la partie préparée. Quand il a terminé, il annonce :
- Attends-moi, je vais faire quelques photos de ta petite chatte rajeunie.
Il va prendre son téléphone et revient pour faire des photos. Mais il prend un temps infini, ce qui n'est pas pour arranger les affaires de mamie, qui commence à avoir sérieusement, envie d’uriner. Quand il termine enfin, sa séance photo, il lui indique :
- Bon, je vais mettre ces photos-là, maintenant, sur le net. Reste dans cette position-là.
Oui, mais j'ai envie d’uriner, moi !
- Tu restes dans cette position-là, c'est tout ! Tu te retiens un peu, tu es quand même une grande fille, non, à ton âge.
- Oui, mais je ne peux pas me retenir d'uriner, comme ça, tout le temps que vous bricolez sur Internet.
- C'est pas mon problème, tu restes assise à côté de moi, je veux te voir en permanence.
Et elle commence à bouger dans tous les sens, se livre à une espèce de danse de Saint-Guy, tout en restant vautrée sur le fauteuil.
L'homme prend tout son temps pour défaire son ordinateur, le relier à son téléphone, télécharger ses photos, aller sur internet. Tant et si bien, qu’à un moment, Jeannette se lève pour aller aux toilettes.
L'homme se lève d’un bond et vient l’attraper, tout de suite. Il l'oblige à se rasseoir sur le fauteuil. Il la toise du regard et lui ordonne à nouveau :
- Tu ne bouges pas tant, que je ne t'ai pas autorisé, à aller aux chiottes
Mais, ce qui devait arriver, arrive. La pauvre femme, ne maîtrisant plus aussi bien que jadis, son sphincter urinaire, d'un coup, un filet d'urine coule de son sexe lisse.
- Grosse salope, tu es en train de te pisser dessus ! Attends, je vais faire encore quelques photos.
Et l'homme prend tout son temps, pour déconnecter, son appareil de l'ordinateur, et venir prendre quelques photos. Surtout que le mince filet du début, est devenu un peu plus important, qui coule et qui mouille le bord du fauteuil en velours.
- C'est bien, laisse-toi aller, pisse-toi dessus, c'est pas grave, au contraire, ça fait de belles photos.
Finalement, la mémé se pisse dessus complètement, ne pouvant plus du tout se retenir. Elle se remet à pleurer.
L'homme prend tout ça en photo, bien entendu. Ensuite, il retourne sur son ordinateur, reconnecte son téléphone et diffuse de nouvelles photos, d'une mamie incontinente
Il prend un peu de temps pour créer une adresse email et mettre sur le site les photos, où il présente Jeannette. Un petit texte qui propose de faire une séance de webcam, avec un vrai amateur de vieilles salopes.
Mais il ne veut pas perdre trop de temps et en attendant, reprend mémé par la main, l'a fait s'asseoir sur une sorte de banc en bois, qui sert le plus souvent de repose-pied.
La vieille femme pleure toujours autant, mais ne se rebiffe pas et elle se laisse entraîner dans les délires de cet homme vicieux.
Là, il l'a fait se pencher en avant, attache les poignées avec une cordelette au pied avant du fauteuil. Il prend alors quelques photos des nichons mous, qui pendent en avant, de façon obscène.
Entre deux gros sanglots, la pauvre femme demande :
- Vous aimez me torturer !
- Oui…
L’homme défait la cordelette et l’aide à se rasseoir, plus conventionnellement. En attendant que l'annonce, qu'il a passé, produise son effet et qu'il reçoive un coup de fil, il commence à demander :
- Tu es croyante ?
- Oui, bien sûr, pas vous peut-être ?
- Si, si, mais moi, je sais que ton mari, qui est là-haut, te regarde. Et je ne suis pas sûr, qu'en apprenant aujourd'hui, combien tu l'as trompé, qu'il soit très heureux. Pas plus que de te voir en train de te faire tripoter, par ton ancien gendre, que tu allumais si souvent. Tu imagines ce qu'il doit penser de toi là-haut ?
- Vous êtes vraiment un salaud !
- Oui, bien sûr, et toi, tu es une vieille salope en chaleur, donc on est fait pour s'entendre, ma belle.
Une petite demi-heure se passe, quand le téléphone sonne enfin. Et, alors que Jeannette veut aller répondre, Marc la stoppe tout de suite et lui dit :
- Non, ça doit être pour moi.
Interloquée, mamie le regarde et demande :
- Comment ça ! Vous recevez vos coups de fil chez moi, maintenant !
- Eh oui, peut-être bien, et il décroche le téléphone. Effectivement, à l'autre bout du fil, un correspondant, d'un type intéressé, pour faire une webcam et voir la vieille femelle, en train de pisser.
Marc sort de la pièce et va dans le vestibule. Là, il annonce à son correspondant, que cette prestation sera payante, via PayPal. Et, il propose de faire un lavement à la bière devant la webcam.
Le correspondant est tout à fait d'accord, pour la somme de cinquante euros, l'affaire est conclue.
Un bon quart d'heure plus tard, le portable sonne cette fois. Marc a fini d'installer Jeannette sur le lit, les jambes relevées, les poignets et les chevilles attachés ensemble, ce qu'il n'a pas été sans mal, ni sans pleur, de la part de la vieille femme.
Il allume son ordinateur, lance le programme de la webcam. En face, son correspondant fait de même. C'est un monsieur d'une cinquantaine d'années, qui s'est foutu à poil et qui se tripote un peu la bite.
Je suis super excité de voir, une vieille salope, avoir un lavement en réel.
Marc sort, un instant, pour aller dans la cuisine chercher une bière et revient.
La bière, qui était dans la cuisine, sans être au frigo, n'est pas froide, mais plutôt à température ambiante, ce qui arrange, un peu, les affaires. Marc, après avoir dévissé le bouchon de la canette, de trente-trois centilitres, s'approche du lit, pousse sur les cuisses, pour remonter le plus possible l'anus de la vieille et lui enfonce le boulot dans le postérieur.
- Aïe ! Ça fait mal !
L’homme ne tient pas compte de ces lamentations. Une fois la bouteille bien en place, il la secoue dans tous les sens, pour que la bière mousse bien.
La vieille gémit, se plaint, pleurniche, mais rien n'y fait. Et quand Marc ressort le goulot de la grosse canette, la vieille commence à sentir des grenouilles, dans son ventre, et ça fait un bruit de tuyauterie.
Marque s'adresse à son correspondant en lui disant :
- T'inquiète-pas ça va prendre, cinq ou six minutes, mais tu vas voir, le résultat est fantastique
La vieille traite son ex-gendre de tous les noms ! De salaud, de vicieux, de pervers, bref, tous les noms d'oiseaux qu'elle connaît.
Mais rien n'y fait, le bonhomme ne bronche pas. Il sait très bien ce qui va se passer.
Effectivement, au bout de cinq minutes, elle commence à avoir quelques pets moussants, comme si la mousse ressortait de son anus. Elle se tortille, les boyaux la font un peu souffrir.
Mais là, il reste de marbre. Cependant, il ne reste pas non plus, devant l'anus, qui devrait bientôt exploser.
Ça ne dure pas des heures, effectivement d'un coup la pauvre femme éjecte la bière, mais également des crottes d'excrément et elle se remet à pleurer de plus belle.
- C'est super, dit le correspondant, j'avais jamais vu ça ! Mais c'est génial, tu as vraiment de super idées.
- Ouais, merci, mais il faut dire que la vieille salope se prête, à tout et a toutes ses saloperies là.
Le pervers homme détache la vieille femme qui retrouve ses poignets et chevilles libres, et qui s’écroule sur le lit, sur le dos. Elle reprend son souffle, quand elle entend :
- Tu vas me nettoyer ta merde, vieille dégueulasse.
Et Marc la tire sans ménagement, hors du lit.
Pendant que Jeannette sort de la pièce pour aller chercher la serpillière, il se retourne auprès de son correspondant, et lui dit encore :
- Maintenant, la vieille femme de ménage, va faire la chambre, mais à poils, sous tes yeux.
Quelques minutes plus tard, mamie revient avec un balai-serpillière et un seau. Elle s’est aussi arrêtée à la salle de bain, pour enfiler son peignoir.
Marc, pas content, commence par lui arracher le seau et le balai, puis lui empoigne le col du peignoir, et le retire, d’un geste brusque, pour le jeter dans le couloir.
- À poil pour faire le ménage, ma vieille, ton client paye aussi pour te voir, faire ta chambre, nue !
- Vous êtes vraiment un odieux personnage !
- Tu ne disais pas ça, cette nuit, quand je t’enculais !
- Je ne vois pas de quoi vous parlez.
- De t’enculer, vieille toupie, et tu couinais comme une truie.
- Je ne vous permets pas !
- Allons, mémé, tu nous fais la fière parce qu’il y a du monde qui te regarde ? Fais le ménage, nettoie le sol, parce que tu as chié partout !
- Non !
Jeannette lui fille une gifle, et lui ordonne :
- Tu nettoies ta merde !
Le correspondant commence à dire :
- Elle n'écoute pas vraiment !
- Ben non, il y a des fois, elle fait un peu sa rebelle… Mais bon, le tout, c'est que je lui promette que je vais lui mette un bon coup entre les pattes arrière. Après, elle est sage.
Marc affiche un grand sourire, puis, estimant que mémé ne va pas assez vite, se tourne vers elle, et d’un ton menaçant, lui ordonne encore :
- Allez, nettoie, et plus vite que ça !
La vieille fait contre mauvaise fortune, bon cœur. Elle ramasse toutes les cochonneries par terre et nettoie. Ensuite, elle ressort de la pièce, pour aller rincer son balai et jeter l’eau de son seau.
Quand elle revient, Marc l'attrape par le bras, la fout à genoux par terre, le corps sur le lit. Là, il s’adresse à son correspondant :
- Bon, pour te faire plaisir et pour te faire voir, je vais l'enculer devant la webcam.
Mamie ne bouge plus, est-elle paralysée par la peur ? Attend-elle sa friandise ? Le sait-elle, elle-même ?
Marc, lui, ne perd pas de temps, il prend son ordinateur et vient le placer au pied du lit. Puis il s’agenouille au cul de la mémé, et là, fier de sa bite tendue, il écarte les vieilles fesses, des doigts de ses deux mains, puis guide son sexe avec son pouce, pour le mettre contre le sphincter. Il fixe son écran qui est munie de la webcam, et annonce hardiment :
- Regarde comment on encule une vieille pouffiasse.
Et, joignant le geste à la parole, il donne un sérieux coup de rein et enfonce d’un coup sa queue au fond du boyau de Jeannette.
Elle pousse un cri rauque. Elle ressent une vive brûlure à l’anus, et pleurniche :
- Ça brûle, au secours !
Mais très vite, les allers et venues, dans son arrière-train, la font haleter. Puis assez vite encore, gémir.
L’homme ne s’économise pas, est-ce pour jouer les fiers-à-bras devant son correspondant, ou est-ce simplement parce qu’il veut jouir à nouveau, Dieu seul le sait.
Maintenant, la vieille jouit, elle aussi, elle n’aurait jamais cru possible de jouir autant par l’anus, combien même, ce passage fut souvent emprunté par ses amants. Elle serre les draps dans ses mains, rendant ses doigts légèrement bleus.
Marc, dans un ultime mouvement, s’enfonce le plus loin possible dans le corps de sa partenaire. Cette fois, le compte y est, et il décharge son foutre tout au fond du rectum. Il pousse un grognement, en articulant, assez mal, avec les dents serrées :
- T’es trop bonne, vieille truie.
Et il affale son corps massif sur le dos de la femme qui tremble de tout son être sous la violence de l’orgasme.
Elle met plus d’une minute à pouvoir arrêter ses tremblements désordonnés. Jeannette a le souffle court, et ce corps lourd, sur elle, ne la dérange pas, au contraire, elle trouve cela rassurant, à ce moment-là.
Marc prend tout son temps pour se redresser et ressortir sa queue, devenue molle, de l’anus martyrisé. Il se tourne vers son ordi et demande :
- Ça t’a plu ?
- Ouais ! Super ! Je me suis branlé, je m’imaginais à ta place dans son fion !
- Attends, je vais te montrer son trou du cul, en gros plan.
Il se recule un peu sur ses cuisses, attrape l’ordinateur, et vient le placer devant l’anus béant, qui frétille encore quelque peu.
Dans un autre monde, et ayant perdu la notion du temps, la femme ne sent pas vraiment monter, de ses entrailles, un bouillonnement. Bientôt un pet, accompagné d’une mousse marron clair, sort de ce cul malmené, quelques instants plus tôt.
- Oui, pète vieille chienne, c'est naturel, pour les grosses enculées comme toi.
Ensuite, reposant son ordinateur sur le lit, il empoigne la vieille femme par les cheveux, et, en l’aidant à se tourner, la fait se redresser. Lui-même se lève d’un bond, puis offre son sexe dégonflé à la bouche soumise.
- Gobe ça, mamie, une sucette goût bière foutre !
- Tu devrais faire un sketch et la passer à la radio bière foot ! (cf : Les Robins Des Bois - Radio Bière Foot).
Les deux mecs se marrent, pendant que la mémé suce énergiquement, comme si elle voulait refaire bander son amant, bien plus jeune qu’elle.
Le correspondant reprend la parole et dit :
- Elle est vraiment top, cette vioque ! Je rêve de pouvoir me taper une vieille folle de bites comme elle !
Marc, qui ne perd pas une seconde de vue, les turpitudes qu’il veut faire vivre à sa vieille ex-belle-mère, propose alors :
- Écoute, si tu n’es pas trop loin de la Roche-sur-Yon, je te propose, pour cent balles, de venir la piner. Tu pourras lui faire ce que tu veux…