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Ma première séance d'humiliation.
Hormis le faîte d'avoir un micro pénis eue lieu lors d'une rencontre avec un dès amants de Mme.
La troisième rencontres pour être précis ce qui n'était pas le cas auparavant car dans les règles que je souhaitais imposé j'avais précisé, que des rencontres uniques je ne voulais pas que Mme s'attache à l'un d'eux.
Depuis quelques temps nous n'avions pas rencontré et Mme de m'exprimé son envie de revoir Jean, je lui rappelle LA règle à respecter. Mais elle me dit au combien il l'avait faite jouir les deux fois précédentes, ce dont j'avais put être le témoin.
J'ai compris que je pouvais pas lutter et qu'avec mon peu de volonté je ne pourrais qu'accepter ce nouveau trio.
Je pris donc contacte avec Jean qui fût ravi et me proposa un rdv chez lui un matin de semaine car sa femme travailler, et que ça nous laissé le champs libre.
Il nous reçu dans la chambre conjugale.
Une chaise dans un coin m'attendais.
De mon observatoire je pû assister aux préliminaires ainsi qu'aux multiples orgasmes de ma femme, en plus d'être mieux équipé que moi il est aussi plus endurant, le salop.
Quand il eu fini ces assauts il ce leva pour aller boire et me laissa le champs libre.
J'en ai alors profiter pour aller nettoyer Mme, je léché tout ce que je pouvais, a cette époque là mes envies bi n'était pas assumer.
Il est revenu et m'a trouvé sur le lit.
Sans que j'ai eu le temps de réagir, il avait pris mes affaires et le jetai par la fenêtre, il habitait dans une maison de bourg avec un jardin entouré d'un mûr.
A ce moment là il me dis :
"tu n'a plus qu'à aller chercher tes fringues si tu veux pas finir a poils."
Ma femme me regarde,
"ben qu'est ce que tu attends c'est pas nous qui allons les ramassées."
Je n'ai eu d'autres choix que de m'executer
je descends les escaliers nu en priant que sa femme ne rentre pas, déjà pas glorieux d'être nu mais en plus avec mon petit oiseau ridicule ça aurai été le pompon.
Heureusement ça n'a pas été le cas.
J'ouvre la porte donnant sur le jardin.
Ouf le mur fait pas loin de deux mètres peu de vis à vis.
Hormis la maison mitoyenne, a la fenêtre de l'étage un homme d'une soixantaine d'années observe.
Bien 5 minutes s'écoule avant que je trouve le courage de sortir à découvert.
La situation humiliante que je vivais était tout aussi excitante.
Je sorti, l'homme me regardait il n'en perdait pas une miette et son regard sur moi m'excitait.
Au final j'ai ramassé mes affaires en prenant bien le temps de rien oublier et même à 4 pattes pour être sûr de bien avoir tout pris.
Je sentais un regard pervers pesé sur moi.
Je repris l'escalier en sens inverse .
"Déjà là,".
me lance ma femme qui faisait face à la porte en levrette .
Jean lui continuait de s'activer pour faire jouir sa chienne du jour.
Voici donc ma première perception de l'humiliation.

J'appris par la suite que le voisin n'était pas à la fenêtre par hasard, ma femme m'a dit en rigolant que Jean lui avait envoyé un message en indiquant qu'un nouveau cocu aller sortir.
Ils étaient complices tous les deux de longues dates·
Ce qu'on a su apprécier par la suite.

En somme, le quotidien d'un gros cocu à petite nouille : Des humiliations en série.

Oui, ceci n'est que le début de plusieurs expériences

Wow, quelle histoire ! C'est vraiment un récit chargé d'émotions et de sensations. Le mélange d'humiliation et d'excitation que tu décris est très intense, et je pense que ça peut résonner avec beaucoup de gens qui explorent des dynamiques comme celle-ci. Ce qui est intéressant, c'est de voir comment les limites que l'on s'impose peuvent parfois évoluer, surtout dans le contexte d'une relation ouverte. D'ailleurs, en parlant de bien-être et de plaisir, ça me fait penser à l'importance d'explorer aussi d'autres dimensions de la sensualité comme l'usage du cbd pour booster la libido.

Je n'en n'ai pas essayé de bien efficace !