Ma femme a été initiée très tôt à la sodomie par un petit ami d'une dizaine d'années de plus qui la sodomisait à chacune de leurs rencontres hebdomadaires. Mais ça, je ne l'ai su que bien après que l'on se connaisse. Au début de notre rencontre, je la sodomisais parfois en prenant moult précautions, de peur que ça lui fasse mal. J'étais convaincu qu'elle l'acceptait uniquement pour me faire plaisir. Je jouissais souvent très vite (je comprendrai par la suite que c'était TROP vite) par excitation et aussi pour ne pas faire durer son "calvaire". Puis nous avons commencé les rencontres libertines, alors que nous n'avions pas 30 ans, et lors de l'un de nos premiers trios avec un homme, ce dernier a entrepris de l'enculer. Elle était en levrette en train de me sucer, moi assis devant elle. J'ai compris qu'il changeait d'orifice à la grimace qu'elle a faite et au fait qu'elle s'interrompe dans sa fellation. A mon grand étonnement, les deux ou trois premiers va-et-vient prudents et attentionnés de notre invité ont rapidement laissé place à un démontage en règle : il la prenait vigoureusement et profondément comme s'il avait été dans sa chatte. J'étais convaincu qu'elle allait protester et lui demander d'y aller plus doucement, mais au lieu de ça, elle est devenue toute rouge, a plongé sa tête sur mon bas-ventre en abandonnant définitivement ma queue et a couiné comme rarement. Fier du résultat, notre ami a remarqué "Oh, mais c'est qu'elle aime se faire prendre le cul la petite cochonne", en lui assénant une volée de fessées et en augmentant encore le rythme, si c'était possible. A entendre ces mots, elle a joui instantanément, avec une intensité que j'avais rarement vue. Quant à lui... eh bien il a continué, hyper endurant et sûr de son fait. Elle a joui plusieurs fois et est ressortie éreintée de cette chevauchée fantastique.
J'ai compris ce soir là que je n'avais rien compris, depuis le début.
Le temps passant, elle a de mieux en mieux assumé aimer se faire enculer, mais toujours pas par moi. Il ne se passait pas une rencontre où un ou plusieurs hommes lui faisaient ce plaisir, parfois même deux en même temps. Certains habitués (ou bien informés), ne la prenaient même que par derrière, pour son plus grand plaisir.
Deux clichés d'illustration lors de l'une de nos dernières rencontres, où le Monsieur me fait constater fièrement le fruit de son travail, avant de se remettre à l'ouvrage
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