Un samedi apres-midi - Chapitre 1/3

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.
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Dave-Laeti
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Situation : Couple
Département : Haute-Marne
Ville : Langres

Un samedi apres-midi - Chapitre 1/3

Message par Dave-Laeti »

Je rappelle que nos histoires sont authentiques et non des fantasmes, nous racontons notre vécu dans le monde libertin.

Nous sommes en été 2023 et j'avoue que le monde libertin permet d'assouvir quelques fantasmes.
J'avais dans un petit coin de mon cerveau un fantasme que nous pourrions réaliser ensemble : voir ma femme durant quelques heures avec un autre homme comme s'ils étaient mariés, avec la complicité qui va avec. Je ne sais pas si vous visualisez bien le concept, mais vous allez vite comprendre durant le début du récit.

Pour ce faire, nous avons besoin d'un mec conciliant, mais un peu ferme, entre quarante et cinquante ans, résident à environ deux cents kilomètres de chez nous et d'un endroit pour se loger. Rien de bien exceptionnel, pour le prétendant, il y a foule sur notre site libertin et pour le logement, une location ira très bien.

Les deux étant trouvés, nous nous mettons en route pour cette nouvelle aventure. Nous nous rendons à environ cent cinquante kilomètres de chez nous, près d'une grande ville où, normalement, nous ne rencontrons personne de notre connaissance.
Nous arrivons pour midi sur les lieux et prenons possession de notre logement qui est situé à environ un quart d'heure d'une grande ville, nous nous restaurons et nous nous apprêtons, nous avons rendez-vous à quinze heures.
Il a été convenu que c'est lui qui vient nous chercher pour nous rendre en ville afin de faire du shopping dans un premier temps. Quinze heures pétantes, il est là, un homme de quarante-sept ans, grand, cheveux poivre et sel, allure athlétique, habillé décontracté comme nous, que nous appellerons S (comme Sexboy).
Faisant suite à sa demande, ma femme s’habille simplement pour aller faire des emplettes afin d’habiller cette gourgandine aux souhaits de S. La seule condition qu’il avait émise, c'est qu'elle porte des sous-vêtements de couleur noire.

Après avoir échangé quelques banalités, nous voilà partis pour aller faire cette virée shopping. À partir de cet instant, mon épouse et lui font comme s'ils étaient en couple, et moi, un ami.
Nous prenons place dans sa voiture, ma femme devant à côté de lui et moi derrière. Dorénavant, je ne maîtrise plus grand-chose, je suis dans son véhicule, hors de mon camp de base, je vais devoir subir leurs caprices. Mon infidèle d’un jour devra également être bonne élève, car elle devra assouvir quelques demandes, comme toute femme bien élevée (je sais, c'est un peu misogyne).
Durant le trajet, nous mettons les choses bien en place pour éviter de ne froisser personne.

Nous arrivons dans un très grand centre commercial, nous nous stationnons et l'aventure peut réellement commencer. Je serai, comme on dit, « la chandelle ».
Nous sommes un samedi après-midi, en été, il y a foule dans le centre. Cela tombe bien, c'est ce que je recherchais, du monde pour mater ce nouveau couple.
Nous arrivons devant la porte du centre commercial et nous nous arrêtons pour fumer une petite clope, ma femme se serre contre lui pour qu'il la prenne dans ses bras et ils se font quelques petits bécots, puis ils se roulent une belle galoche, elle en le tenant par le cou, et lui, en posant ses mains sur ses fesses.
La clope finie, nous rentrons dans le centre, elle s'approche et me dit :
- Cela te va comme entrée en matière.
Je lui réponds par l'affirmative, car je suis déjà en érection, l'après-midi va être long.
Nous déambulons dans le centre commercial à la recherche d'une boutique de vêtements, car S doit lui choisir une tenue. Il connaît les lieux et nous nous dirigeons vers un magasin qu'il connaît. Ce dernier est bondé, beaucoup de couples qui font leurs achats.

Il se dirige directement vers le rayon des robes et tend à ma femme une belle robe blanche qui se ferme sur le devant avec des boutons sur toute la hauteur et lui dit :
- J'espère qu'elle te plaît, je suis venu la repérer il y a quelques jours, mais par contre, il faut que tu l'essaies pour savoir si elle est à ta taille.
Ben voyons, quel beau prétexte pour mater dans la cabine d'essayage.
Mon épouse s'exécute, ils se dirigent vers les cabines, elles donnent directement sur les rayons, il y en a cinq, et il attend que la centrale soit libre. Il l'accompagne à l'intérieur, S lui murmure quelque chose à l’oreille puis elle lui fait un petit bécot, histoire de bien montrer qu'elle est avec lui. Il ferme le rideau, mais pas tout à fait, il laisse une petite ouverture d'environ cinq centimètres de chaque côté, de façon qu'elle puisse être vue en train de se changer.
Le magasin étant bondé, il va y avoir du monde pour profiter du spectacle.
S s'approche de moi et me dit :
- Je lui ai demandé d'essayer cette robe sans aucun sous-vêtement, elle doit le faire face au rideau, et j'ai un peu laissé ce dernier ouvert pour voir si elle va se tenir à mes consignes.
Je lui réponds :
- Il n'y a pas que nous qui allons profiter du spectacle.
Il me dit alors :
- C'est ma femme, et cela ne me gêne pas que d'autres hommes la regardent.
Je ne peux rien dire d'autre, effectivement, c'est sa femme durant quelques heures...
Effectivement, beaucoup de paires d’yeux se tournent vers la cabine, nous la regardons retirer ses chaussures, son jean, son chemisier. Elle est en string et en soutien-gorge, il me dit :
- Elle a bien exécuté ma demande, des sous-vêtements de couleur noire.
Elle continue à se déshabiller, elle retire son soutien-gorge, libérant sa poitrine (90C), puis retire son string, offrant son intimité bien épilée. Elle est complètement nue, plusieurs mecs, venus avec leur femme pour des achats, assistent au spectacle. Ils n'en ratent pas une miette.
Elle enfile la robe, sort de la cabine et se dirige vers nous. Les paires d’yeux la suivent et dit à S :
- Comment tu me trouves avec, elle me va bien chéri ?
- Oui, tu la portes magnifiquement bien.
Il lui fait un bécot et lui fait faire un tour sur elle-même.
- Elle te va très bien, on la prend. Retourne te changer, bien sûr avec les mêmes consignes que tout à l'heure. Je te raccompagne à la cabine.
Il referme le rideau et le laisse un peu plus ouvert que la première fois, à tel point qu'une des serveuses vient et le referme correctement. Du coup, il y avait beaucoup moins de monde devant la cabine...
Elle sort avec la robe à son bras, S la prend et me la tend en parlant un peu fort pour que des clients entendent :
- C'est un beau cadeau pour son anniversaire.
Je prends cette tunique, me dirige vers la caisse pendant qu'ils sortent. Devant le magasin, ils se bécotent, et S en profite pour laisser balader ses mains le long du corps de ma belle.

Nous nous dirigeons vers les toilettes pour qu'elle puisse se changer et mettre cette jolie tenue. En sortant des toilettes, je comprends pourquoi il avait demandé le port de sous-vêtements noirs, cette robe n'est pas transparente, mais laisse apercevoir, sans que cela ne soit vulgaire, la forme de ces derniers ainsi que la couleur. Elle est boutonnée par quinze boutons sur le devant, elle est fluide et moulante comme j’aime. Elle lui arrive au niveau des mollets. Les boutons sont tous mis, fermant la robe pratiquement au ras du cou. S lui dit :
- Tu devrais en ouvrir deux en haut et deux en bas, ce serait moins strict.
Elle s’exécute et déboutonne langoureusement les quatre.
Nous déambulons un peu, eux devant, moi derrière à quelques mètres. Ils rentrent dans un bar pour se rafraîchir, nous prenons des tables différentes, moi seul et eux ensemble, assis l'un à côté de l'autre. Ils discutent, ma femme rigole, sans pouvoir entendre ce qu'ils se disent.
Elle a les jambes croisées et il a posé sa main dessus, il caresse sa cuisse sous la table, remontant de plus en plus la robe. Elle est relevée à mi-cuisse, il passe sa main entre ses cuisses croisées et lui fait ouvrir. Durant ce temps, elle discute avec lui comme si de rien n'était. Maintenant, ses cuisses sont légèrement écartées, il la caresse toujours, mais dans l'entrejambe.
Elle prend alors son portable et m'envoie un message :
- S me demande de te dire que je vais devoir retirer un bouton en haut et en bas de ma robe. Il me demande aussi de te dire que tu seras toujours prévenu par SMS de ce que je dois retirer. Tu dois également toujours me répondre par un OK pour savoir si tu en as bien pris connaissance. Dès que tu auras répondu, j'exécuterai sa demande.
Je réponds donc :
- OK.
Elle me regarde et retire alors les attaches demandées. Il n'en reste plus que neuf. Cela laisse apparaître son soutien-gorge et ses genoux.

Nous quittons le bar, visitons quelques magasins. Je reçois de nouveau un SMS :
- S me demande de retirer deux boutons, un en haut et un en bas.
Je réponds :
- OK.
Elle se retourne vers moi et les défait. Il ne reste que sept boutons. Cette fois-ci, nous sommes juste en dessous du soutien-gorge et plus haut que les genoux.
Nous faisions encore quelques magasins puis SMS de nouveau :
- Je dois me rendre aux toilettes pour retirer mon soutien-gorge.
- OK.
Nous nous rendons aux toilettes, dont elle ressort sans soutien-gorge. L'ouverture de son décolleté dévoile une petite partie de ses seins.
Les regards des hommes se font de plus en plus présents.
Un quart d'heure se passe, nous sommes dans une boutique de fringues, nouveau SMS :
- Je dois retirer mon string et c'est toi qui dois le faire. Puis le donner à S.
- OK.
Nous rentrons dans une cabine, je l'embrasse et lui dis :
-Tu tiens ton rôle à merveille.
Elle me répond :
- C’est ce que tu as voulu. Tu sais que je ne suis pas exhibe mais je fais cela pour te faire plaisir.
- Est-ce que tu veux que l’on arrête ?
- Non, car j’avoue commencer à y prendre goût.
- C’est toi qui décide. C’est mon fantasme et c’est toi qui fixe les limites.
Je lui retire son string. Il est trempé par sa chatte dégoulinante. Je lui mets un doigt et elle me demande d'arrêter, car elle est prête à flaquer tellement elle est excitée.
Nous sortons de la cabine et je remets ce string trempé de foutre à S.

Nous sortons du magasin, marchons un peu, nouveau SMS :
- Je dois retirer un bouton en haut et deux boutons en bas.
- OK.
Je ne peux répondre que cela, et je n’en reviens pas qu’elle va le faire.
Nous sommes dans un endroit discret du centre, elle se retourne et les défait. Son décolleté s’ouvre encore plus, offrant le bombé de ses seins à la limite des tétons, et au niveau du bas, la robe est ouverte à hauteur d'une minijupe.
Plus que cinq boutons, jusqu'où va-t-elle aller et dire stop, car cela devient limite indécent pour moi, mais tellement excitant. Elle se sent bien et se déplace sans problème, la poitrine pratiquement à l'air.
Nous nous rendons dans un grand magasin de chaussures, nous en faisons le tour et elle choisit une paire de sandales qu'elle doit essayer. S lui dit de prendre place sur un des petits bancs avec une glace située devant. Il se pose à côté d'elle et elle essaie les sandales. Elle se lève, les admire dans la glace puis se rassoit sur la gauche de S, et elle lui demande si elles lui plaisent. S acquiesce d'un signe de la tête et il pose sa main sur la cuisse droite de ma femme. Il fait glisser le pan de la robe vers lui, découvrant sa jambe. Ses cuisses sont serrées et il fait glisser sa main entre les deux. Il tire à lui la jambe droite, lui faisant écarter légèrement ses cuisses et découvrant son entière intimité dans la glace. Il en profite pour lui rouler une pelle magistrale, les cuisses de ma femme s'écartent un peu plus, grisée par ce baiser, sa chatte bien lisse est visible dans la glace, quelques clients en profitent pour mater. S aussi.
Il se lève, me rejoint et me dit :
- Jolie petite chatte, bien épilée, j'ai hâte de la découvrir pour de vrai et pas seulement dans la glace.
Nous sortons du magasin, l'après-midi shopping tire à sa fin et nous nous dirigeons sur le parking. Les regards des hommes sont très présents sur le chemin.
Arrivée à la voiture, S lui ouvre la portière et lui dit :
- Avant de monter, on va encore défaire quelques boutons.
Il se tourne vers moi et me dit :
- Il fait chaud, viens défaire quatre boutons, laisse uniquement celui-ci.
Il me montre celui qui est situé en dessous de son nombril. Pendant qu'il monte en voiture, je défais les quatre attaches demandées, puis nous montons dans le véhicule. Ma femme met sa ceinture et repositionne machinalement sa roche sur ses cuisses. S se tourne vers moi et me dit :
- Tu ne trouves pas qu'il fait très chaud, viens lui découvrir ses jambes pour qu'elles les rafraîchissent.
Je quitte la voiture et ouvre la porte passager, je prends les deux pans de la robe et les écarte, légèrement découvrant partiellement ses jambes. S me dit :
- Je pense qu'elle va encore avoir chaud.
J'écarte un peu plus les deux pans, découvrant complètement ses cuisses, limite de sa chatte.
S me dit :
- Encore un peu.
Je comprends bien qu'il veut faire la route avec la chatte découverte de ma petite gourgandine.
J'écarte donc complètement les deux morceaux de tissu jusqu'au bouton, découvrant sa chatte... Il me dit :
- C'est bien, nous pouvons rentrer à la maison.

À la maison, en fait, c'est chez lui que nous nous dirigeons. Il y a une vingtaine de minutes de voiture, et nous empruntons une voie express. Nous discutons un peu de l'après-midi, puis il dit à ma femme :
- Tu devrais baisser un peu ton siège et écarter un peu plus tes cuisses.
Cette petite garce s'exécute sans broncher, offrant encore un peu plus son intimité. Nous commençons à doubler quelques poids lourds, et S en arrivant à la hauteur des cabines, ralentit. Il nous dit :
- Moi aussi, je suis chauffeur PL, donc je fais profiter les collègues du spectacle.
Quelques chauffeurs klaxonnent pour nous remercier.
Ma femme se prête au jeu et a l'air d'apprécier la situation. Pour ma part, je ne suis pas très fan, mais je n'ai pas mon mot à dire, seule ma femme peut dire stop...
Nous arrivons chez S, un pavillon des années 90. Nous nous stationnons dans la cour devant et descendons du véhicule. Ma petite chienne n'a plus qu'un bouton sur sa robe, ses seins sont pratiquement à l'air et, à chacun de ses pas, la robe s'ouvre jusqu'à sa chatte. S décide de nous montrer les extérieurs, il veut certainement exposer ma femme à son voisinage.
Je n'ose même pas compter combien de paires d’yeux ont pu mater ma femme cet après-midi, cette dernière qui n'aime pas les jeux d'exhibe n'a rien dit et a accepté les caprices de S.

Suite de la soirée au prochain chapitre.
Modifié en dernier par Dave-Laeti le dim. 2 mars 2025 02:49, modifié 2 fois.
Moby
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Re: Un de nos trio - Chapitre 1/3

Message par Moby »

Je n ai pas encore venu lire tes récits et La j adore.. magnifique après midi pour vous trois vivement la suite
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