J 'ai connu ma femme Nadia sur les bancs de la faculté. On a très vite sympathisé puis flirté comme beaucoup de jeunes couples épris l'un de l'autre. Elle n'était pas vierge mais je m'en foutais. Alors, la fougue des premiers temps passée, est venu celui des confidences les plus inavouables.
Je lui fis part de mes penchants bisexuels et elle, nullement contrariée par cet aveu, se sentit dans l'obligation de me dire qu'elle entretenait des rapports singuliers avec son pervers de beau-père Rachid, un veuf célibataire de 62 ans, encore très vert qu'elle tenait absolument à me présenter.
Elle disait être sûre de son fait, que nous nous entendrions bien, tous les trois. J'étais effaré de l'apprendre, elle m'expliquait que, depuis son adolescence, elle le soulageait avec tendresse au début puis vice ensuite car son beau-père avait de gros besoins depuis la mort de sa femme.
J'étais certain que cette bonne petite cochonne le tenait au courant de mes fantasmes. Je n'avais rien contre cette idée fort stimulante, au contraire. J'espérais seulement trouver le mâle à mon goût !
Devant mon intérêt manifeste grandissant, elle ne m'avait pas caché ses penchants les plus dépravés et, bien évidemment, le fait que cet amant exceptionnel à ses yeux était, de plus, très fortement membré. Que jamais elle n'arrêterait ses relations avec lui pour moi ! Qu'elle m'aimerait mais que ma nature (et mon petit zizi aussi) était bien insuffisante pour la satisfaire pleinement !
Nous faisions l'amour en parlant de son beau-père à chaque fois, Elle me racontait que jamais un homme ne l'avait tant comblée...et que si je voulais, il pourrait me combler aussi ! Elle me montra sur son ordi quelques photos de lui en tenue d'Adam. Elle n'avait pas menti au sujet du gros gourdin qui pendouillait entre ses cuisses glabres et musclées et qu'il exhibait fièrement. Avec mes huit cm, je pouvais aller me rhabiller !
J'étais déjà fasciné par la taille hors norme du formidable engin au repos, avant un gland surdimensionné caché sous un épais prépuce. Je surmontais pourtant très vite une petite jalousie bien naturelle et n'eus bientôt plus qu'une seule envie : faire enfin la connaissance de celui qui avait le rare privilège de faire grimper ma femme au rideau.
Rachid habitait dans une petite bourgade à 50 kilomètres en voiture de notre campus universitaire où nous avions nos chambres d'étudiant. A l'époque, je n'avais pas encore mon permis de conduire, ni Nadia. Il était venu nous chercher dans sa belle berline allemande au point de rendez-vous convenu et nous étions d'accord pour passer le week-end chez lui, histoire de faire plus ample connaissance.
Ma première impression fut la bonne. J'aimais déjà cet homme grand à l'allure fière, à la voix métallique et au regard intimidant qui pria Nadia de monter devant. Je grimpai avec le sac de voyage sur la banquette arrière après l'avoir salué poliment pour surprendre ma copine en train de rouler une énorme pelle baveuse à son beau-père qui lui caressait la poitrine.
C'était sans nul doute une entrée en matière qui mettait les choses au point, bien mieux encore que de vaines explications verbales. J'étais en érection très à l'étroit dans mon caleçon et l'effet de surprise m'avait donné des palpitations. Très nerveux et la gorge nouée, je bafouillais des réponses étranglées et peu audibles aux questions inquisitrices de mon futur beau-papa qui semblait amusé par mon trouble.
Nadia, penchée sur lui, tétait maintenant difficilement mais avec une gourmandise non feinte sa grosse bite et je fus cordialement invité à la regarder faire, la bouche emplie de son gland épais durant une bonne partie du trajet. Elle cessait, de temps en temps, sa besogne buccale pour se retourner vers moi et m'embrasser, les lèvres gluantes, comme pour s'assurer de mon degré d'excitation.
C'était divin !
Puis, il se gara quelques instants sur un parking isolé. Pour donner plus de contenu à nos jeux, Rachid me pria de glisser une main dans l'ouverture de son pantalon afin de lui masser une paire de couilles volumineuse. Je prenais en main ses couilles chaudes, énormes et poilues, je les massais d’une main glissée entre les deux sièges avant avec incrédulité, penché sur le visage de ma copine engloutissant le gland énorme, des sourires pleins les yeux à mon intention, J'en eus mal à la queue tant je brûlais d'envie d'aider Nadia ou de prendre sa place !
-Alors, elle te plait ma queue ? Dit-il
-Oui Monsieur, je comprends que Nadia en prenne soin.
-Tu auras ta part, il parait que tu es un peu lopette ?
Je balbutiais un vague « Euh…oui ».
A ces mots, Nadia, qui se caressait sous ses jupes, eut un orgasme foudroyant, secouée par des contractions soudaines, la bouche soudée à l'imposante hampe paternelle. Ses plaintes jouissives étouffées me ravirent !
C'était un spectacle ineffable et intenable tant j'étais en émoi ! Jamais encore, je n'avais éprouvé une telle excitation ! Fébrile, je déchargeais dans mon froc sans même me branler. J'étais dans un état indescriptible !
Puis Rachid choisit le moment de conclure cette mise en bouche qui promettait un week-end endiablé. Il se vida dans la gorge de sa gamine sans préavis, de longs spasmes infinis qui remplissaient de ses jets de spermes la bouche de ma fiancée.
Les joues enflées, elle vint m'adresser un long baiser visqueux et gourmand dont je me souviendrai toute ma vie !
Cocufié par le beau-père de ma fiancée
- lailatvx007
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Re: Cocufié par le beau-père de ma fiancée
Superbe histoire, j'ai hâte de lire la suite de celle-ci.
Coquinement
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Re: Cocufié par le beau-père de ma fiancée
De rien... ce début d'histoire m'excite...