Maïssa est à califourchon sur moi, nue, sa peau chaude contre la mienne, nos corps déjà humides d’attente. Son regard est planté dans le mien, profond, brûlant. Elle bouge lentement son bassin, juste assez pour me faire sentir qu’elle a le contrôle… mais qu’elle est prête à le perdre.
C’est notre moment préféré. Celui où les mots deviennent des caresses, où les confidences nourrissent le désir, où chaque idée devient un fantasme partagé.
Je la regarde, les mains posées sur ses hanches.
— J’ai commandé quelques surprises pour toi…
Elle arque un sourcil, curieuse.
— Mmh ? Quoi comme surprises ?
— Des micro-jupes. De la lingerie aussi. Des pièces presque indécentes… Juste ce qu’il faut pour faire exploser l’imagination. Et surtout… tout ce que j’ai envie de te voir porter, pour moi.
Un frisson la parcourt. Elle mordille sa lèvre, le regard de plus en plus brillant. Puis elle rit doucement, avant de murmurer :
— Tu veux que je m’habille comme ça… toute offerte, provocante, presque à poil ?
Je hoche lentement la tête. Ses hanches font un mouvement brusque, son bassin claquant contre moi, un gémissement discret lui échappant.
— Putain… tu me rends dingue.
Elle s’approche, son souffle chaud sur mon visage.
— Et si je voulais aller plus loin ? Si je te disais que j’ai envie de… de jouer un rôle ? D’incarner un fantasme entier, pas juste en tenue, mais en attitude, en mots… Tu me suivrais ?
Je ne dis rien, je la fixe, fasciné par ce qu’elle laisse entrevoir. Elle continue, plus bas :
— Je parle de vraiment jouer. Genre… déposer une annonce. Une vraie. "Femme chaude, affamée, prête à tout pour sentir qu’elle appartient à quelqu’un."
Je sens son bassin onduler lentement encore. Puis elle me demande, les yeux plantés dans les miens :
— Tu me laisserais faire ça ? Me décrire comme une fille disponible, à louer ? Comme une petite pute qui ne vit que pour t’exciter ?
— Oui, dis-je sans hésiter.
Son bassin se fait brutal, incontrôlé. Elle pousse un soupir rauque, enivrée par mon assentiment.
— Tu répondrais à l’annonce ? Tu viendrais me chercher, me prendre ? Je porterais une de tes micro-jupes, sans culotte, juste des talons… Tu m’ouvrirais la porte, tu me regarderais, et je saurais que je suis à toi.
Je la prends par la nuque et l’embrasse avec fièvre. Nos souffles se brisent l’un contre l’autre. Elle me griffe le torse, ses hanches claquent encore plus fort, plus vite.
— Tu m’écriras ce que tu veux que je dise dans l’annonce ? Tu choisiras les mots ? Tu me diras comment je dois parler de moi, de mon corps, de ce que je suis prête à faire ?
Je murmure un "oui" entre deux halètements.
Elle gémit, et là, elle n’attend plus. Elle se cambre, elle se donne, et on bascule tous les deux dans un délire charnel où chaque mouvement est une déclaration, chaque gémissement une promesse. Nos fantasmes prennent feu, et nos corps les réalisent dans une sauvagerie douce, brutale, sans retenue.
Maïssa est au bord. Je le sens dans sa respiration, dans la façon dont son bassin cogne contre moi, sans plus chercher le rythme mais juste l’impact, le choc, la sensation brute.
— Écris-la, souffle-t-elle. Dis-moi ce que tu veux que je dise. Ce que ta salope doit offrir. Dis-moi comment je me vends.
Je la plaque contre moi, une main glissant dans sa nuque, l’autre agrippant sa hanche.
— T’écriras : “Petite chienne en chaleur cherche maître à satisfaire. Disponible en jupe courte, sans culotte, docile mais sale. Je mouille si tu me parles mal.”
Elle gémit, fort, presque violemment, son corps tremblant contre le mien. Ses yeux roulent sous la vague de désir.
— Encore… dis-moi ce que j’écris…
Je continue, ma voix grave, dure.
— “Je suis à lui. À toi si tu sais me prendre. Ma bouche, mes mains, mon cul, mon sexe — tout est prêt. Je veux qu’on m’utilise. Qu’on me salisse.”
Maïssa explose contre moi. Son corps ondule comme pris d’un spasme, mais elle ne s’arrête pas. Au contraire, elle s’empale sur moi plus fort encore, comme si l’humiliation la rendait invincible.
— Je vais la poster, murmure-t-elle, haletante. Je vais le faire. Et tu viendras me prendre comme si j’étais une inconnue. Juste une pute sur une annonce.
Elle se redresse, ses seins frôlant ma bouche, et me regarde de haut.
— Tu viens, tu frappes, tu me fais me mettre à genoux. Tu dis rien. Tu baisses ta braguette, tu me tires les cheveux… et tu m’enfonces ta bite dans la gorge.
Je grogne, incapable de rester passif plus longtemps. Je la retourne d’un coup sec, la plaque contre le matelas, ses bras tendus, ses fesses offertes. Elle rit, haletante, puis gémit fort quand je la pénètre d’un coup, sans ménagement, les reins claquant contre elle.
— C’est ça que tu veux ? Une putain à toi ? Une fille qui mouille à l’idée de se faire salir ?
Elle crie un oui étranglé, sa voix brisée par la violence de nos corps qui s’entrechoquent. Elle est trempée, ouverte, offerte.
— J’suis ta pute… Ta salope… ta propriété, gémit-elle. Prends-moi comme ça. Prends-moi comme si j’étais rien d’autre qu’un trou.
Je la prends. Sauvagement. Sans douceur. Avec cette brutalité contrôlée qu’elle réclame, qu’elle implore. Nos fantasmes déchaînés deviennent réalité dans la chaleur moite de la pièce, entre les cris étouffés, les claques, les morsures, et le son obscène de nos corps qui s’écrasent.
Et quand elle jouit, c’est une déferlante. Elle hurle, se cambre, serre. Et moi, je me perds en elle, animal, féroce, en feu.
Excité par la prostitution....
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