J'offre ma femme à mon patron

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lailatvx007
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J'offre ma femme à mon patron

Message par lailatvx007 »

Mon patron Omar est un coureur de jupon assez vicieux, je le savais mais bon, c’est sa vie.
Le travail et les clients se faisant rare, il m'a fait savoir que si cet état de fait continuait, il allait être obligé de procéder à des licenciements. Il m'a fait comprendre qu'il souhaitait me garder mais que je devais accepter un petit arrangement concernant mon épouse Nadia qu’il avait aperçue lors de divers apéritifs.

J'ai très bien compris ce qu'il voulait dire concernant le petit arrangement et, ne pouvant pas me permettre de perdre mon emploi à cause des divers crédits en cours, je lui ai dit que je comprenais et que j'étais d'accord mais à une condition : que mon épouse ne se doute pas que je suis au courant s'il arrive à ses fins. Il m'a répondu qu'il en faisait son affaire et qu'elle ne se douterait de rien. Début mai, il m'a invité avec mon épouse pour aller chez lui prendre un apéro dînatoire un samedi soir. Ce que je ne savais pas, c'est qu'il était divorcé et donc célibataire.

On n'était que tous les trois. Il a été très prévenant avec ma femme Nadia, il l’a même invitée à danser plusieurs fois. Vers 21h, il s'est absenté quelques minutes pour aller chercher une 3ème bouteille de vin et mon épouse a profité de cette courte absence pour me dire qu'il lui avait dit, pendant qu'ils dansaient, qu'il était gêné car il appréciait mon travail mais que, comme les commandes ne rentraient pas, il envisageait de me licencier.

Lorsqu'il est revenu 5 mn après et quelques verres de vin supplémentaires, il a de nouveau discuté et dansé avec Nadia un petit moment puis il m'a dit, accompagné d'un petit clin d’œil : « Je vous l'emprunte, je vais lui montrer ma collection de timbres puisqu'elle les collectionne elle aussi. Faites comme chez vous, on revient dans peu de temps ! ». Et avant que je réponde, il l’a attrapée par le bras et l’a entraînée dans le couloir. Apparemment, le vin, ainsi que les allusions de licenciement me concernant, faisaient leurs effets car ma femme l'a suivi sans protester.

Je suis resté dans le salon devant mon verre et un bel aquarium d’eau de mer. Ils étaient partis depuis une dizaine de minutes. Me doutant de ce qui devait se passer et ne les voyant pas revenir, je me suis décidé à aller les rejoindre. Je ne connaissais pas la maison et encore moins où se trouvait la collection. Je me suis donc dirigé dans le couloir et j'ai pris un petit escalier en colimaçon qui descendait au sous-sol. J’ai commencé à entendre une musique douce et j'ai aperçu un rayon de lumière qui s’échappait d'une porte entrouverte.

Sans allumer le couloir, je me suis dirigé vers cette porte et en plus de la musique, j'ai commencé à entendre des gémissements. Surpris, je me suis approché sans bruit et j'ai regardé par le petit espace laissé par la porte légèrement entrouverte et là, j'ai eu la confirmation de ce que je pensais. Je suis resté tétanisé par ce que j'apercevais : mon épouse Nadia, au trois quart nue (juste les bas et les souliers à talons aiguilles) allongée sur le dos, sur le bord d’un bureau, les jambes en l'air bien écartées, les chevilles reposant sur les épaules de mon patron et lui, le pantalon sur les chevilles, en train de la baiser ! Je n'ai pas osé pousser un petit peu plus la porte et je suis resté dans le couloir à le regarder faire.

A un moment, Nadia a joui et il en a ri tout en lui disant « tu vois que tu y trouves du plaisir toi aussi ! ». Puis il s'est arrêté et lui a parlé à l’oreille. Elle s’est levée, s'est mise debout, penchée en avant sur le bureau, jambes écartées, et il l’a prise par le cul. En même temps, il lui donnait des gifles sur les fesses. En plus du bruit des gifles sur les fesses, le bruit du ventre du patron tapant sur les fesses et le bruit du bureau qui bougeait à chaque coup de rein, j'entendais ma femme gémir. Il s'est fait plaisir un bon petit moment dans son cul puis, tout en continuant, il lui a dit :
« Ça va venir, ça va venir…prépare-toi ! Dès que je sors, tu prends mon zob dans ta bouche ! ».

J'ai entendu ma chérie, entre deux gémissements, lui dire « Oui monsieur, oui, quand vous voulez ! ». Il a accéléré, les coups de reins étaient de plus en plus violents et elle poussait de petits cris de douleur et ou de plaisir. Au bout de deux bonnes minutes, il lui a dit : « maintenant vite, vite !!! ». Et il s’est sorti. Nadia s’est retournée, s’est mise à genoux devant lui pour sucer son zob. Il lui tenait bien la tête à deux mains et, dans un grand râle, il lui a tout lâché dans la bouche et il ne lui a lâché la tête qu’une fois qu’elle a tout avalé ! Elle a failli s'étouffer plusieurs fois tellement la quantité de sperme devait être importante !

J’ai fait un peu de bruit involontairement en voulant reculer…il a tourné la tête et m’a aperçu. Il m’a regardé en souriant. Ma femme, elle, ne m’a pas vu, trop occupée.
Je suis remonté dans le salon et, quelques minutes après, ils m’ont rejoint. Lui, tout souriant, m’a dit « votre épouse a été admirative devant ma collection de timbres ! ».
La soirée a continué comme si rien ne s’était passé…

Dans la voiture, Nadia m'a surpris car, à un moment, elle m'a avoué qu'il l'avait coincée dans la pièce où se trouvait la collection et qu'il lui avait dit « laisse-toi faire, j'ai trop envie de toi et promis, je ne licencierais pas ton mari ! ». Elle m'a dit qu'elle était désolée car il ne lui avait pas trop laissé le choix et que, pendant qu'il la baisait, elle n'a fait que penser à moi, Mais il lui a demandé de ne pas m’en parler, que ça devait rester entre eux deux.

Le lundi matin, mon patron est venu me voir en me disant :
« Ta femme est un bon coup, elle est très obéissante et un brin salope ! Je lui ai promis de ne rien te dire. Comme ça, elle ne se doute pas que tu es au courant. Dans une quinzaine, je vais à nouveau vous inviter car j'ai passé un agréable moment et, en plus, ta petite salope avale bien. Je te fais une proposition : si vous venez deux fois par mois passer un week-end complet, c’est à dire du vendredi soir au dimanche, je te donne une promotion conséquente. Qu'en dis-tu ? ».

Je lui ai répondu que j’étais d’accord mais que mon épouse ne devait jamais se douter que j'étais au courant.
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coquina053
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Re: J'offre ma femme à mon patron

Message par coquina053 »

C'est joindre l'utile à l'agréable
le cocu est un homme de goût puisque sa femme plaît aux autres.

Philippe Bouvard


Mari cocu bi passif
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