QUESTION SIMPLE
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QUESTION SIMPLE
En parallèles de ma saga, je voudrais vous poser quelques questions pour voir votre imagination, ce que je vais vous dire m'est réellement arrivé, j'attend vos réponses.
Mai 2008.
j'étais parti avec ma femme en Charente maritime pour un week-end de 3 jours.
Nous visitions La Rochelle et notre hôtel était à Rochefort sur mer.
Le 1er soir, je m'offrais une soirée casino et ma femme, très peu joueuse se collait près du mur derrière moi, elle portait une mini jupe blanche et un chemisier blanc disons presque transparent avec des dessous blanc, je le savais car je l'avais vu s'habiller.
Elle regardait partout ne s'intéressant nullement à ma partie.
Nous avions à l'époque 40 ans et ma femme ne savait pas mon envie de candaulisme même si au cours de nos ébats, je lui en avais parlé.
Alors quand un homme en costume cravate vint lui parler, je me sentis tout émoustillé.
A vous d'imaginer la suite ?
Mai 2008.
j'étais parti avec ma femme en Charente maritime pour un week-end de 3 jours.
Nous visitions La Rochelle et notre hôtel était à Rochefort sur mer.
Le 1er soir, je m'offrais une soirée casino et ma femme, très peu joueuse se collait près du mur derrière moi, elle portait une mini jupe blanche et un chemisier blanc disons presque transparent avec des dessous blanc, je le savais car je l'avais vu s'habiller.
Elle regardait partout ne s'intéressant nullement à ma partie.
Nous avions à l'époque 40 ans et ma femme ne savait pas mon envie de candaulisme même si au cours de nos ébats, je lui en avais parlé.
Alors quand un homme en costume cravate vint lui parler, je me sentis tout émoustillé.
A vous d'imaginer la suite ?
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Re: QUESTION SIMPLE
Bonjour,
150 lecture en 24 heures et pas une réponse, dommage, on aurait pu ouvrir une discussion sur le suite à donner.
150 lecture en 24 heures et pas une réponse, dommage, on aurait pu ouvrir une discussion sur le suite à donner.
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Re: QUESTION SIMPLE
Il aurait pu lui dire "que comme ta partie ne l'intéressait pas", qu'elle aurait pu le suivre pour trouver un autre pôle d'intérêt, dans un coin un peu plus intime, à vous de trouver la suite.
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Re: QUESTION SIMPLE
il aurait pu l'inviter a boire un verre au bar en attendant que tu finisse et faire connaissance
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Re: QUESTION SIMPLE
C'est ce qui s'est passé, mais ma femme a refusé et c'est pour ça que je vous demande une suite qu'on puisse créé une histoire ensemble.
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Re: QUESTION SIMPLE
Je construis la suite avec les 'idées de Karim et cocu 8400
Mai 2008.
j'étais parti avec ma femme en Charente maritime pour un week-end de 3 jours.
Nous visitions La Rochelle et notre hôtel était à Rochefort sur mer.
Le 1er soir, je m'offrais une soirée casino et ma femme, très peu joueuse se collait près du mur derrière moi, elle portait une mini jupe blanche et un chemisier blanc disons presque transparent avec des dessous blanc, je le savais car je l'avais vu s'habiller.
Elle regardait partout ne s'intéressant nullement à ma partie.
Nous avions à l'époque 40 ans et ma femme ne savait pas mon envie de candaulisme même si au cours de nos ébats, je lui en avais parlé.
Alors quand un homme en costume cravate vint lui parler, je me sentis tout émoustillé.
L'homme- cela n'a pas l'air de vous intéressé le casino.
Ma femme- non pas trop, les jeux d'argent, très peu pour moi.
L'homme- peut être préféreriez-vous un verre au bar ?
Ma femme- pourquoi pas, je le dis à mon mari et je vous suis.
A vous de me dire la suite pour que je continues a vous écrire cette histoire.
Mai 2008.
j'étais parti avec ma femme en Charente maritime pour un week-end de 3 jours.
Nous visitions La Rochelle et notre hôtel était à Rochefort sur mer.
Le 1er soir, je m'offrais une soirée casino et ma femme, très peu joueuse se collait près du mur derrière moi, elle portait une mini jupe blanche et un chemisier blanc disons presque transparent avec des dessous blanc, je le savais car je l'avais vu s'habiller.
Elle regardait partout ne s'intéressant nullement à ma partie.
Nous avions à l'époque 40 ans et ma femme ne savait pas mon envie de candaulisme même si au cours de nos ébats, je lui en avais parlé.
Alors quand un homme en costume cravate vint lui parler, je me sentis tout émoustillé.
L'homme- cela n'a pas l'air de vous intéressé le casino.
Ma femme- non pas trop, les jeux d'argent, très peu pour moi.
L'homme- peut être préféreriez-vous un verre au bar ?
Ma femme- pourquoi pas, je le dis à mon mari et je vous suis.
A vous de me dire la suite pour que je continues a vous écrire cette histoire.
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Re: QUESTION SIMPLE
Tu aurais pu perdre aux jeux et il t'aurait prêté de quoi continuer. Que tu aurais perdu aussi. Et quand tu les aurais rejoins au bar tout penaud, se serait posé la question de savoir comment le rembourser... Un silence éloquent se serait alors installé lorsque vos deux regards se seraient posés sur ta femme...
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Re: QUESTION SIMPLE
Je construis la suite avec les 'idées de Karim et cocu 8400 et je rajoute l'idée de compains
Mai 2008.
j'étais parti avec ma femme en Charente maritime pour un week-end de 3 jours.
Nous visitions La Rochelle et notre hôtel était à Rochefort sur mer.
Le 1er soir, je m'offrais une soirée casino et ma femme, très peu joueuse se collait près du mur derrière moi, elle portait une mini jupe blanche et un chemisier blanc disons presque transparent avec des dessous blanc, je le savais car je l'avais vu s'habiller.
Elle regardait partout ne s'intéressant nullement à ma partie.
Nous avions à l'époque 40 ans et ma femme ne savait pas mon envie de candaulisme même si au cours de nos ébats, je lui en avais parlé.
Alors quand un homme en costume cravate vint lui parler, je me sentis tout émoustillé.
L'homme- cela n'a pas l'air de vous intéressé le casino.
Ma femme- non pas trop, les jeux d'argent, très peu pour moi.
L'homme- peut être préféreriez-vous un verre au bar ?
Ma femme- pourquoi pas, je le dis à mon mari et je vous suis.
Je la regardais partir avec cet inconnu, intérieurement très jaloux et très excité à la fois, je la regardais de loin siroter la coupe de champagne qu'il lui avait offerte, assise sur un haut tabouret, j'étais certain qu'il devait mater ses cuisses, je bandais malgré moi.
Quand à moi, ma partie se passait mal, j'avais déjà bouffé pas mal de fric et je continuais à perdre.
Quand je n'eus d'autres recours que d'aller demander à ma femme sa carte bleue, elle me confiait ne pas l'avoir prise avec elle.
L'inconnu se proposait de me prêter de l'argent mais je lui répondais que je n'avais pas ma carte bleue non plus sur moi et que si je perdais, il devrait attende le lendemain pour que je lui rende.
L'homme- pas de souci, mais vous allez gagner vous verrez.
Ma femme- je ne parierais pas sur ce coup là
Une heure plus tard, la machine m'avait épongé ce qu'il m'avait prêté.
Moi- on se donne rendez-vous ici demain soir pour que je vous rembourse.
L'homme- qui me dit que vous viendrez ?
Moi- ma parole.
L'homme- je ne vous connais pas assez pour vous croire.
Moi- vous proposez quoi alors ?
L'homme- je la ramène à l'hôtel, ainsi, je suis sur de vous y retrouver demain matin à 8 heures pour me rembourser.
Moi- ça te pose un problème qu'il te ramène chérie.
Ma femme- on a pas le choix, tu nous a mis dans la merde.
Heureusement l'hôtel n'était qu'a 5 kilomètres du casino.
il la déposait et me donnait rdv le lendemain à 8h00 pour lui rendre son argent.
Une fois dans la chambre.
Moi- désolé de t'avoir mis dans cette situation
Ma femme(Sylvie)- c'est gênant même si cet homme est très comment te dire arnaqueur et séduisant.
Moi- il te plait, je croyais que tu n'aimais pas qu'un autre homme t'approche.
Sylvie- à force de me rabâcher que cela te plairait qu'un homme me drague, je t'ai gâté malgré moi ce soir.
A VOUS POUR LA SUITE, N'HESITEZ PAS a COMMENTER ET DE DIRE CE QUE VOUS AIMERIEZ COMME SUITE;
Mai 2008.
j'étais parti avec ma femme en Charente maritime pour un week-end de 3 jours.
Nous visitions La Rochelle et notre hôtel était à Rochefort sur mer.
Le 1er soir, je m'offrais une soirée casino et ma femme, très peu joueuse se collait près du mur derrière moi, elle portait une mini jupe blanche et un chemisier blanc disons presque transparent avec des dessous blanc, je le savais car je l'avais vu s'habiller.
Elle regardait partout ne s'intéressant nullement à ma partie.
Nous avions à l'époque 40 ans et ma femme ne savait pas mon envie de candaulisme même si au cours de nos ébats, je lui en avais parlé.
Alors quand un homme en costume cravate vint lui parler, je me sentis tout émoustillé.
L'homme- cela n'a pas l'air de vous intéressé le casino.
Ma femme- non pas trop, les jeux d'argent, très peu pour moi.
L'homme- peut être préféreriez-vous un verre au bar ?
Ma femme- pourquoi pas, je le dis à mon mari et je vous suis.
Je la regardais partir avec cet inconnu, intérieurement très jaloux et très excité à la fois, je la regardais de loin siroter la coupe de champagne qu'il lui avait offerte, assise sur un haut tabouret, j'étais certain qu'il devait mater ses cuisses, je bandais malgré moi.
Quand à moi, ma partie se passait mal, j'avais déjà bouffé pas mal de fric et je continuais à perdre.
Quand je n'eus d'autres recours que d'aller demander à ma femme sa carte bleue, elle me confiait ne pas l'avoir prise avec elle.
L'inconnu se proposait de me prêter de l'argent mais je lui répondais que je n'avais pas ma carte bleue non plus sur moi et que si je perdais, il devrait attende le lendemain pour que je lui rende.
L'homme- pas de souci, mais vous allez gagner vous verrez.
Ma femme- je ne parierais pas sur ce coup là
Une heure plus tard, la machine m'avait épongé ce qu'il m'avait prêté.
Moi- on se donne rendez-vous ici demain soir pour que je vous rembourse.
L'homme- qui me dit que vous viendrez ?
Moi- ma parole.
L'homme- je ne vous connais pas assez pour vous croire.
Moi- vous proposez quoi alors ?
L'homme- je la ramène à l'hôtel, ainsi, je suis sur de vous y retrouver demain matin à 8 heures pour me rembourser.
Moi- ça te pose un problème qu'il te ramène chérie.
Ma femme- on a pas le choix, tu nous a mis dans la merde.
Heureusement l'hôtel n'était qu'a 5 kilomètres du casino.
il la déposait et me donnait rdv le lendemain à 8h00 pour lui rendre son argent.
Une fois dans la chambre.
Moi- désolé de t'avoir mis dans cette situation
Ma femme(Sylvie)- c'est gênant même si cet homme est très comment te dire arnaqueur et séduisant.
Moi- il te plait, je croyais que tu n'aimais pas qu'un autre homme t'approche.
Sylvie- à force de me rabâcher que cela te plairait qu'un homme me drague, je t'ai gâté malgré moi ce soir.
A VOUS POUR LA SUITE, N'HESITEZ PAS a COMMENTER ET DE DIRE CE QUE VOUS AIMERIEZ COMME SUITE;
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Re: QUESTION SIMPLE
c'est sympa de construire une histoire avec vos envies, j'espère que vous avez encore des idées.
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Re: QUESTION SIMPLE
Elle attend peut être aussi le moment câlin de la soirée ...... pour lui raconter ce qu il s est passé sur les 5 kms du retour à l hôtel !
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Re: QUESTION SIMPLE
Je construis la suite avec les 'idées de Karim et cocu 8400 et je rajoute l'idée de compains
Mai 2008.
j'étais parti avec ma femme en Charente maritime pour un week-end de 3 jours.
Nous visitions La Rochelle et notre hôtel était à Rochefort sur mer.
Le 1er soir, je m'offrais une soirée casino et ma femme, très peu joueuse se collait près du mur derrière moi, elle portait une mini jupe blanche et un chemisier blanc disons presque transparent avec des dessous blanc, je le savais car je l'avais vu s'habiller.
Elle regardait partout ne s'intéressant nullement à ma partie.
Nous avions à l'époque 40 ans et ma femme ne savait pas mon envie de candaulisme même si au cours de nos ébats, je lui en avais parlé.
Alors quand un homme en costume cravate vint lui parler, je me sentis tout émoustillé.
L'homme- cela n'a pas l'air de vous intéressé le casino.
Ma femme- non pas trop, les jeux d'argent, très peu pour moi.
L'homme- peut être préféreriez-vous un verre au bar ?
Ma femme- pourquoi pas, je le dis à mon mari et je vous suis.
Je la regardais partir avec cet inconnu, intérieurement très jaloux et très excité à la fois, je la regardais de loin siroter la coupe de champagne qu'il lui avait offerte, assise sur un haut tabouret, j'étais certain qu'il devait mater ses cuisses, je bandais malgré moi.
Quand à moi, ma partie se passait mal, j'avais déjà bouffé pas mal de fric et je continuais à perdre.
Quand je n'eus d'autres recours que d'aller demander à ma femme sa carte bleue, elle me confiait ne pas l'avoir prise avec elle.
L'inconnu se proposait de me prêter de l'argent mais je lui répondais que je n'avais pas ma carte bleue non plus sur moi et que si je perdais, il devrait attende le lendemain pour que je lui rende.
L'homme- pas de souci, mais vous allez gagner vous verrez.
Ma femme- je ne parierais pas sur ce coup là
Une heure plus tard, la machine m'avait épongé ce qu'il m'avait prêté.
Moi- on se donne rendez-vous ici demain soir pour que je vous rembourse.
L'homme- qui me dit que vous viendrez ?
Moi- ma parole.
L'homme- je ne vous connais pas assez pour vous croire.
Moi- vous proposez quoi alors ?
L'homme- je la ramène à l'hôtel, ainsi, je suis sur de vous y retrouver demain matin à 8 heures pour me rembourser.
Moi- ça te pose un problème qu'il te ramène chérie.
Ma femme- on a pas le choix, tu nous a mis dans la merde.
Heureusement l'hôtel n'était qu'a 5 kilomètres du casino.
il la déposait et me donnait rdv le lendemain à 8h00 pour lui rendre son argent.
Une fois dans la chambre.
Moi- désolé de t'avoir mis dans cette situation
Ma femme(Sylvie)- c'est gênant même si cet homme est très comment te dire arnaqueur et séduisant.
Moi- il te plait, je croyais que tu n'aimais pas qu'un autre homme t'approche.
Sylvie- à force de me rabâcher que cela te plairait qu'un homme me drague, je t'ai gâté malgré moi ce soir.
Je rajoute avec l'idée de 40Michel
Moi- et dans sa voiture, il t'as dis quoi ? il t'as touché ?
Sylvie- je savais que tu me questionnerai à ce sujet, et donc, je vais donc te mettre dans le doute, à toi de voir si je mens ou pas ?
Moi6 raconte.
Sylvie- il m'a dit que j'étais une très belle femme, que je lui plaisait et il a joint le geste à la parole en posant sa main sur mes cuisses.
Moi- tu l'a laissé faire ?
Sylvie- je te laisse dans le doute mon chéri, c'est bien ce genre de scénario que tu voulais.
Moi dis-moi la vérité;
Sylvie- je te l'ai dite, tu me crois ou pas.
Moi- pourquoi ce n'est jamais simple avec toi, tu me raconte et terminé au lieu de me faire douter.
Sylvie- fais marcher ton imagination, moi je me régale de te voir jaloux comme une teigne.
Moi- mon fantasme en est la base, il l'a fait ou pas, dis le moi.
Sylvie-oui mais j'ai enlevé sa main.
Moi- tu mens.
Sylvie- tu vois, tu ne me crois pas, tu aurai préféré que le laisse faire vu ton excitation.
Moi- oui mais surtout que tu me dise la vérité tout de suite.
Sylvie- allez, au lit, je suis fatigué et toi tu te lèves tôt pour rembourser ta dette.
Mo- oui en espérant que ma CB fonctionne, j'ai pas mal tiré d'argent cette semaine.
VOILA, POUR LA SUITE, A VOUS DE JOUER
Mai 2008.
j'étais parti avec ma femme en Charente maritime pour un week-end de 3 jours.
Nous visitions La Rochelle et notre hôtel était à Rochefort sur mer.
Le 1er soir, je m'offrais une soirée casino et ma femme, très peu joueuse se collait près du mur derrière moi, elle portait une mini jupe blanche et un chemisier blanc disons presque transparent avec des dessous blanc, je le savais car je l'avais vu s'habiller.
Elle regardait partout ne s'intéressant nullement à ma partie.
Nous avions à l'époque 40 ans et ma femme ne savait pas mon envie de candaulisme même si au cours de nos ébats, je lui en avais parlé.
Alors quand un homme en costume cravate vint lui parler, je me sentis tout émoustillé.
L'homme- cela n'a pas l'air de vous intéressé le casino.
Ma femme- non pas trop, les jeux d'argent, très peu pour moi.
L'homme- peut être préféreriez-vous un verre au bar ?
Ma femme- pourquoi pas, je le dis à mon mari et je vous suis.
Je la regardais partir avec cet inconnu, intérieurement très jaloux et très excité à la fois, je la regardais de loin siroter la coupe de champagne qu'il lui avait offerte, assise sur un haut tabouret, j'étais certain qu'il devait mater ses cuisses, je bandais malgré moi.
Quand à moi, ma partie se passait mal, j'avais déjà bouffé pas mal de fric et je continuais à perdre.
Quand je n'eus d'autres recours que d'aller demander à ma femme sa carte bleue, elle me confiait ne pas l'avoir prise avec elle.
L'inconnu se proposait de me prêter de l'argent mais je lui répondais que je n'avais pas ma carte bleue non plus sur moi et que si je perdais, il devrait attende le lendemain pour que je lui rende.
L'homme- pas de souci, mais vous allez gagner vous verrez.
Ma femme- je ne parierais pas sur ce coup là
Une heure plus tard, la machine m'avait épongé ce qu'il m'avait prêté.
Moi- on se donne rendez-vous ici demain soir pour que je vous rembourse.
L'homme- qui me dit que vous viendrez ?
Moi- ma parole.
L'homme- je ne vous connais pas assez pour vous croire.
Moi- vous proposez quoi alors ?
L'homme- je la ramène à l'hôtel, ainsi, je suis sur de vous y retrouver demain matin à 8 heures pour me rembourser.
Moi- ça te pose un problème qu'il te ramène chérie.
Ma femme- on a pas le choix, tu nous a mis dans la merde.
Heureusement l'hôtel n'était qu'a 5 kilomètres du casino.
il la déposait et me donnait rdv le lendemain à 8h00 pour lui rendre son argent.
Une fois dans la chambre.
Moi- désolé de t'avoir mis dans cette situation
Ma femme(Sylvie)- c'est gênant même si cet homme est très comment te dire arnaqueur et séduisant.
Moi- il te plait, je croyais que tu n'aimais pas qu'un autre homme t'approche.
Sylvie- à force de me rabâcher que cela te plairait qu'un homme me drague, je t'ai gâté malgré moi ce soir.
Je rajoute avec l'idée de 40Michel
Moi- et dans sa voiture, il t'as dis quoi ? il t'as touché ?
Sylvie- je savais que tu me questionnerai à ce sujet, et donc, je vais donc te mettre dans le doute, à toi de voir si je mens ou pas ?
Moi6 raconte.
Sylvie- il m'a dit que j'étais une très belle femme, que je lui plaisait et il a joint le geste à la parole en posant sa main sur mes cuisses.
Moi- tu l'a laissé faire ?
Sylvie- je te laisse dans le doute mon chéri, c'est bien ce genre de scénario que tu voulais.
Moi dis-moi la vérité;
Sylvie- je te l'ai dite, tu me crois ou pas.
Moi- pourquoi ce n'est jamais simple avec toi, tu me raconte et terminé au lieu de me faire douter.
Sylvie- fais marcher ton imagination, moi je me régale de te voir jaloux comme une teigne.
Moi- mon fantasme en est la base, il l'a fait ou pas, dis le moi.
Sylvie-oui mais j'ai enlevé sa main.
Moi- tu mens.
Sylvie- tu vois, tu ne me crois pas, tu aurai préféré que le laisse faire vu ton excitation.
Moi- oui mais surtout que tu me dise la vérité tout de suite.
Sylvie- allez, au lit, je suis fatigué et toi tu te lèves tôt pour rembourser ta dette.
Mo- oui en espérant que ma CB fonctionne, j'ai pas mal tiré d'argent cette semaine.
VOILA, POUR LA SUITE, A VOUS DE JOUER
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Re: QUESTION SIMPLE
Je continues en attendant vos idées.
Bien évidemment, je ne put tirer que la moitié de la somme due, j'en fis part à Sylvie.
Sylvie- débrouilles-toi, je n'ai pas de quoi t'aider sur mon compte.
Moi- que vais-je lui dire, comment faire ?
ALORS, COMMENT ENVISAGEZ-VOUS LA SUITE ,
Bien évidemment, je ne put tirer que la moitié de la somme due, j'en fis part à Sylvie.
Sylvie- débrouilles-toi, je n'ai pas de quoi t'aider sur mon compte.
Moi- que vais-je lui dire, comment faire ?
ALORS, COMMENT ENVISAGEZ-VOUS LA SUITE ,
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Re: QUESTION SIMPLE
Pourquoi pas en lui proposant de passer une soirée avec sa femme .... Il y a de très beaux restaurants sur La rochelle .... Et club pour danser
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Re: QUESTION SIMPLE
Elle acceptera juste pour le faire fantasmer ..... Et en réfléchissant , pourquoi pas ........
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Re: QUESTION SIMPLE
Elle acceptera juste pour le faire fantasmer ..... Et en réfléchissant , pourquoi pas ........
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Re: QUESTION SIMPLE
Merci 40Michel, du coup je continues un peu cette histoire en espérant un peu plus de réponses.
Moi- tu viens avec moi demain matin, ce serait bien que je ne sois pas seul avec lui.
Sylvie-oui, si tu veux.
Il était bien présent dans le hall de l'hôtel quand nous descendions, l nous priait de boire un café avec lui.
Moi désolé, je n'ai pas toute la somme, j'ai trop tiré d'argent et je ne pourrai maintenant que lundi matin.
Lui- c'est fâcheux ça, on fait comment du coup ?
Moi- je n'en sais rien, une reconnaissance de dettes si vous voulez.
Lui- non, je veux un gage de sécurité.
Moi- de quel genre ?
Lui- j'emmène votre femme diner ce soir et ensuite, je l'emmène danser.
Sylvie- du calme, je n'ai rien à voir dans vos histoires.
Lui- je vais fumer une clope, réfléchissez, vous avez 5 minutes.
Moi si c'est oui, cela efface ma dette ?
Lui- oui, la partie que vous me devez.
Il sortit fumer.
Sylvie- tu me fous dans la merde, je n'ai pas envie de passer le soirée et une partie de la nuit avec lui.
Moi- je sais mais je suis pris à la gorge chérie, dis oui, je te revaudrai ça 100 fois, tu ne risque rien, il ne va pas te violer.
Sylvie- faut vraiment que je t'aime pour accepter ça.
Il revint.
Sylvie- c'est d'accord mais retour pour une heure du matin grand maximum
Lui- parfait, je viendrai vous chercher à 19h30.
Mo- merci de votre compréhension, je vous confie Sylvie, prenez en soin, j'y tiens.
Lui n'ayez crainte, je suis un gentleman.
De retour dans la chambre.
Sylvie- toi qui rêvait de me voir avec un autre homme, tu es gâté.
Moi oui mais pas de cette manière là, j'aurai préféré que cela se fasse naturellement.
Sylvie après, il est séduisant.
Moi arrêtes, je suis déjà malade de jalousie.
Allez, à vos plumes pour m'aider à construire la suite
Moi- tu viens avec moi demain matin, ce serait bien que je ne sois pas seul avec lui.
Sylvie-oui, si tu veux.
Il était bien présent dans le hall de l'hôtel quand nous descendions, l nous priait de boire un café avec lui.
Moi désolé, je n'ai pas toute la somme, j'ai trop tiré d'argent et je ne pourrai maintenant que lundi matin.
Lui- c'est fâcheux ça, on fait comment du coup ?
Moi- je n'en sais rien, une reconnaissance de dettes si vous voulez.
Lui- non, je veux un gage de sécurité.
Moi- de quel genre ?
Lui- j'emmène votre femme diner ce soir et ensuite, je l'emmène danser.
Sylvie- du calme, je n'ai rien à voir dans vos histoires.
Lui- je vais fumer une clope, réfléchissez, vous avez 5 minutes.
Moi si c'est oui, cela efface ma dette ?
Lui- oui, la partie que vous me devez.
Il sortit fumer.
Sylvie- tu me fous dans la merde, je n'ai pas envie de passer le soirée et une partie de la nuit avec lui.
Moi- je sais mais je suis pris à la gorge chérie, dis oui, je te revaudrai ça 100 fois, tu ne risque rien, il ne va pas te violer.
Sylvie- faut vraiment que je t'aime pour accepter ça.
Il revint.
Sylvie- c'est d'accord mais retour pour une heure du matin grand maximum
Lui- parfait, je viendrai vous chercher à 19h30.
Mo- merci de votre compréhension, je vous confie Sylvie, prenez en soin, j'y tiens.
Lui n'ayez crainte, je suis un gentleman.
De retour dans la chambre.
Sylvie- toi qui rêvait de me voir avec un autre homme, tu es gâté.
Moi oui mais pas de cette manière là, j'aurai préféré que cela se fasse naturellement.
Sylvie après, il est séduisant.
Moi arrêtes, je suis déjà malade de jalousie.
Allez, à vos plumes pour m'aider à construire la suite
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Re: QUESTION SIMPLE
Elle va se laisser séduire au restaurant, puis en allant danser cela commencera à déraper vraiment, puis dans la voiture avant de passer du bon moment à son hôtel.
A son retour elle ne regrettera pas son sacrifice.
cocu8400
A son retour elle ne regrettera pas son sacrifice.
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Re: QUESTION SIMPLE
Et elle t'enverra un message pour dépasser l'heure limite prévue, elle en aura très envie, tu ne seras pas d'accord car ayant peur pour elle, et pour te rassurer il acceptera ta présence pour le reste de la nuit (en spectateur uniquement bien sûr)
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Re: QUESTION SIMPLE
Puisque vous voulez que Sylvie se lâche un peu, je vous conte la suite.
je passais ma journée à me faire des plans dans ma tête, bien sur, c'est ce que je voulais et espérais
Sylvie s'en aperçut.
Sylvie- arrêtes de cogiter, je ne ferai rien, tu le sais très bien, je serai rentré à une heure du matin.
Moi- oui surement mais inverses les rôles, tu le prendra comment si j'allais diner et danser avec une autre femme.
Sylvie- qui a fait le con au casino hier soir, c'est toi donc assumes.
Sylvia malgré le fait qu'elle me dise ça, s'habillait très bien, petit tailleur saumon(juste son soutif sous sa veste), des dessous noirs(tanga et soutif) des dim-up et des talons moyens.
Moi un jean aurait suffit pour lui.
Sylvie certainement pas, je sors, je m'habille que tu sois content ou pas.
Moi- mets au moins un chemisier sous ta veste.
Sylvie- non, j'ai pas envie de porter de chemisier.
Moi- à part, il ne va rien se passer, mon œil oui.
Sylvie ne répondit pas, lui fit un smack et partait.
Martial était prêt, il était en costume cravate, il l'attendait avec impatience.
Sylvie arrivait par l'escalier et il vint la chercher en lui faisant un baise main.
Martial- vous êtes ravissante et votre parfum m'envoute déjà.
Sylvie- charmeur.
Martial- juste un peu, on va au restaurant à pied, c'est juste à côté.
Il lui tendait son bras qu'elle prit tout en sachant que je regardais par la fenêtre, d'ailleurs, elle se retournait pour le savoir.
Je lui envoyait un texto.
Moi- tu n'as qu'a lui rouler une pelle tant que tu y es.
Sylvie ne répondait pas car elle avait mis son portable en mode avion
Le garçon les installait dans un coin tranquille, d'ailleurs, il n'y avait pas grand monde et Sylvie se régalait de poissons et de crustacée, Martial a côté de ça, grignotait.
Sylvie- vous ne mangez rien, vous n'avez pas faim.
Martial- non pas trop et je vous dévore des yeux.
Sylvie- toujours aussi charmeur.
Martial- vous me plaisez beaucoup Sylvie.
Sylvie- je ne sui là que par un concours de circonstance.
Martial- pourtant hier soir au casino, vous avez accepté mon verre.
Sylvie- je vouait rendre mon mari jaloux.
Martial- ça a marché ?
Sylvie- plus que voue ne pourriez le croire.
Martial- ce soir, il a réagit comment du coup ?
Sylvie- mal, il critiqué ma tenue me disant qu'un jean suffisait que j'aurai du mettre un chemisier sous ma veste, enfin tout ce qu'un mari jaloux peux vous dire dans ces cas-là.
Martial- je vous préfère en jupe plutôt qu'avec un jean quand au chemisier, vous pouvez vous en passez
Sylvie- oui la preuve, j'en ai pas mis.
Martial avait prit une bouteille de champagne et resservait Sylvie dès qu'elle buvait un peu.
Sylvie- vous essayez de me saouler ?
Martial- pas du tout mais vous semblez apprécier celui-ci.
Sylvie- il est remarquable.
Puis, en attendant le dessert, Martial lui fit une confidence.
Martial- je vous emmène danser ensuite et je vous confie que je suis un grand danseur, je sais tout faire de la valse au rock en passant par le tango ou le zouk
Sylvie- et vous m'emmenez où pour trouver toutes ses musiques là.
Martial- je connais un lieu où l'on a droit à tout ça.
Sylvie- je verrais ça tout à l'heure.
Martial- par contre, on a 20 minutes de voiture avant.
Sylvie- ne trainons pas si je dois être rentrée pour une heure du matin.
Ils avalèrent le dessert, Martial payait la note et ils se retrouvaient dans sa voiture, il était 22h30.
Pendant la route, Martial se tint bien sauf à un feu rouge ou il aperçut les dentelle de ses bas.
Martial- vous êtes très féminine- j'aperçois la dentelle de vos bas, j'adore une femme en bas.
Sylvie tirait sur sa robe.
Martial- ne vous donnez pas cette peine, je ne vois rien si la route n'est pas éclairée.
Il se garait, payait les 2 entrées et se mirent à une table.
Martial- champagne ?
Sylvie- soyons fou, champagne.
Martial prit une bouteille.
Martial- un petit tango pour commencer, ça vous dit.
Sylvie- bien sur.
Les danses s'enchainaient et Martial n'avait pas menti, c 'était un super danseur et Sylvie se laissait guider, après une demi heure, petite pause champagne.
Martial- vous vous débrouillez très bien, je me régale à danser avec vous.
Sylvie- plaisir partagée
Ils y retournèrent pendant encore une bonne demi heure, dansant, du zouk, puis une valse et ils finirent par un madison.
Sylvie- il est inuit passé, on ne vas pas tarder Martial, mon mari va enrager sinon.
Martial- faites-vous plaisir, pensez à vous, vous êtes en train de passer une super soirée, ne vous arrêtez pas maintenant, après si vous voulez rentrer, je vous ramène.
Sylvie-ok, je prolonge cette soirée mais dès que je vous le dit, on part.
Martial- promis, ah, un slow, je peux me permettre ?
Sylvie- avec plaisir.
Martial la collait à elle, Sylvie étant un peu grisée se laissait faire.
Martial- votre parfum est enivrant et très agréable.
Sylvie- j'adore votre manière de ma faire la cour.
Martial- je dis une vérité, je ne drague pas.
Sylve- un petit peu quand même;
Martial- je vous l'ai dit en dinant que vous me plaisiez, je le répète une 2eme fois.
Sylvie- charmer de vous plaire et pour tout vous dire, je me sens bien dans vos bras
Martial la serrait un peu plus fort et ce qui devait arriver, arrivât, il se roulèrent une pelle avec tendresse..
Sylvie- je ne suis pas sérieuse, que vais-je dire à mon mari.
Martial- n'y pensez pas, laissez vous bercer dans mes bras.
Sylvie- oui, embrassez-moi encore.
Ils s'embrassèrent je ne sais combien de fois.
Sylvie c'est vous qui m'envoutez Martial, vous me ramenez, il est une heure passée et le temps de rentrer.
Martial- on y va.
A peine assis dans la voiture, Martial vint chercher un baiser que Sylvie lui donnait, mais cette fois ses mains se baladèrent sur ses seins.
Sylvie- ce n'est pas sérieux Martial, vous êtes en train de me faire chavirer.
Martial- laisses-toi faire.
Sylvie- pas ici, on pourrait nous voir.
Martial s'arrêtait un peu plus loin le long d'une forêt.
Sylvie- non Martial, pas ce soir..
Martial l'embrassait avec fougue
Sylvie- pas ce soir, je ne veux pas, ramènes-moi à l'hôtel, je me débrouillerais pour me libérer demain soir et revenir ici avec toi.
Martial- promets-le.
Sylvie- juré.
A VOUS POUR LA SUITE, SOUMETTEZ VOS IDEES;
je passais ma journée à me faire des plans dans ma tête, bien sur, c'est ce que je voulais et espérais
Sylvie s'en aperçut.
Sylvie- arrêtes de cogiter, je ne ferai rien, tu le sais très bien, je serai rentré à une heure du matin.
Moi- oui surement mais inverses les rôles, tu le prendra comment si j'allais diner et danser avec une autre femme.
Sylvie- qui a fait le con au casino hier soir, c'est toi donc assumes.
Sylvia malgré le fait qu'elle me dise ça, s'habillait très bien, petit tailleur saumon(juste son soutif sous sa veste), des dessous noirs(tanga et soutif) des dim-up et des talons moyens.
Moi un jean aurait suffit pour lui.
Sylvie certainement pas, je sors, je m'habille que tu sois content ou pas.
Moi- mets au moins un chemisier sous ta veste.
Sylvie- non, j'ai pas envie de porter de chemisier.
Moi- à part, il ne va rien se passer, mon œil oui.
Sylvie ne répondit pas, lui fit un smack et partait.
Martial était prêt, il était en costume cravate, il l'attendait avec impatience.
Sylvie arrivait par l'escalier et il vint la chercher en lui faisant un baise main.
Martial- vous êtes ravissante et votre parfum m'envoute déjà.
Sylvie- charmeur.
Martial- juste un peu, on va au restaurant à pied, c'est juste à côté.
Il lui tendait son bras qu'elle prit tout en sachant que je regardais par la fenêtre, d'ailleurs, elle se retournait pour le savoir.
Je lui envoyait un texto.
Moi- tu n'as qu'a lui rouler une pelle tant que tu y es.
Sylvie ne répondait pas car elle avait mis son portable en mode avion
Le garçon les installait dans un coin tranquille, d'ailleurs, il n'y avait pas grand monde et Sylvie se régalait de poissons et de crustacée, Martial a côté de ça, grignotait.
Sylvie- vous ne mangez rien, vous n'avez pas faim.
Martial- non pas trop et je vous dévore des yeux.
Sylvie- toujours aussi charmeur.
Martial- vous me plaisez beaucoup Sylvie.
Sylvie- je ne sui là que par un concours de circonstance.
Martial- pourtant hier soir au casino, vous avez accepté mon verre.
Sylvie- je vouait rendre mon mari jaloux.
Martial- ça a marché ?
Sylvie- plus que voue ne pourriez le croire.
Martial- ce soir, il a réagit comment du coup ?
Sylvie- mal, il critiqué ma tenue me disant qu'un jean suffisait que j'aurai du mettre un chemisier sous ma veste, enfin tout ce qu'un mari jaloux peux vous dire dans ces cas-là.
Martial- je vous préfère en jupe plutôt qu'avec un jean quand au chemisier, vous pouvez vous en passez
Sylvie- oui la preuve, j'en ai pas mis.
Martial avait prit une bouteille de champagne et resservait Sylvie dès qu'elle buvait un peu.
Sylvie- vous essayez de me saouler ?
Martial- pas du tout mais vous semblez apprécier celui-ci.
Sylvie- il est remarquable.
Puis, en attendant le dessert, Martial lui fit une confidence.
Martial- je vous emmène danser ensuite et je vous confie que je suis un grand danseur, je sais tout faire de la valse au rock en passant par le tango ou le zouk
Sylvie- et vous m'emmenez où pour trouver toutes ses musiques là.
Martial- je connais un lieu où l'on a droit à tout ça.
Sylvie- je verrais ça tout à l'heure.
Martial- par contre, on a 20 minutes de voiture avant.
Sylvie- ne trainons pas si je dois être rentrée pour une heure du matin.
Ils avalèrent le dessert, Martial payait la note et ils se retrouvaient dans sa voiture, il était 22h30.
Pendant la route, Martial se tint bien sauf à un feu rouge ou il aperçut les dentelle de ses bas.
Martial- vous êtes très féminine- j'aperçois la dentelle de vos bas, j'adore une femme en bas.
Sylvie tirait sur sa robe.
Martial- ne vous donnez pas cette peine, je ne vois rien si la route n'est pas éclairée.
Il se garait, payait les 2 entrées et se mirent à une table.
Martial- champagne ?
Sylvie- soyons fou, champagne.
Martial prit une bouteille.
Martial- un petit tango pour commencer, ça vous dit.
Sylvie- bien sur.
Les danses s'enchainaient et Martial n'avait pas menti, c 'était un super danseur et Sylvie se laissait guider, après une demi heure, petite pause champagne.
Martial- vous vous débrouillez très bien, je me régale à danser avec vous.
Sylvie- plaisir partagée
Ils y retournèrent pendant encore une bonne demi heure, dansant, du zouk, puis une valse et ils finirent par un madison.
Sylvie- il est inuit passé, on ne vas pas tarder Martial, mon mari va enrager sinon.
Martial- faites-vous plaisir, pensez à vous, vous êtes en train de passer une super soirée, ne vous arrêtez pas maintenant, après si vous voulez rentrer, je vous ramène.
Sylvie-ok, je prolonge cette soirée mais dès que je vous le dit, on part.
Martial- promis, ah, un slow, je peux me permettre ?
Sylvie- avec plaisir.
Martial la collait à elle, Sylvie étant un peu grisée se laissait faire.
Martial- votre parfum est enivrant et très agréable.
Sylvie- j'adore votre manière de ma faire la cour.
Martial- je dis une vérité, je ne drague pas.
Sylve- un petit peu quand même;
Martial- je vous l'ai dit en dinant que vous me plaisiez, je le répète une 2eme fois.
Sylvie- charmer de vous plaire et pour tout vous dire, je me sens bien dans vos bras
Martial la serrait un peu plus fort et ce qui devait arriver, arrivât, il se roulèrent une pelle avec tendresse..
Sylvie- je ne suis pas sérieuse, que vais-je dire à mon mari.
Martial- n'y pensez pas, laissez vous bercer dans mes bras.
Sylvie- oui, embrassez-moi encore.
Ils s'embrassèrent je ne sais combien de fois.
Sylvie c'est vous qui m'envoutez Martial, vous me ramenez, il est une heure passée et le temps de rentrer.
Martial- on y va.
A peine assis dans la voiture, Martial vint chercher un baiser que Sylvie lui donnait, mais cette fois ses mains se baladèrent sur ses seins.
Sylvie- ce n'est pas sérieux Martial, vous êtes en train de me faire chavirer.
Martial- laisses-toi faire.
Sylvie- pas ici, on pourrait nous voir.
Martial s'arrêtait un peu plus loin le long d'une forêt.
Sylvie- non Martial, pas ce soir..
Martial l'embrassait avec fougue
Sylvie- pas ce soir, je ne veux pas, ramènes-moi à l'hôtel, je me débrouillerais pour me libérer demain soir et revenir ici avec toi.
Martial- promets-le.
Sylvie- juré.
A VOUS POUR LA SUITE, SOUMETTEZ VOS IDEES;
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Re: QUESTION SIMPLE
Le lendemain, elle avait mit des dessous plus pratiques, ils partirent ensemble promener dans les bois et puis .....
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Re: QUESTION SIMPLE
Martial posait sa main sous sa jupe pour caresser la dentelle de ses bas.
Martial- j'adore les femmes qui portent des bas.
Sylvie- j'adore en porter, je mets aussi des porte jarretelle.
Martial- hum, je suis fan de lingerie, string, tanga ou shorty
Sylvie- tanga noir et soutif assorti ce soir.
Martial- j'ai réussi a voir que c'était du noir, et demain, j'aurai droit à quoi ? remets des bas stp.
Martine- oui, promis, le reste, ce sera surprise et ce serait plus simple si tu pouvais être libre l'après-midi, demain, il va jouer à la pétanque et ne rentrera pas avant 19h00
Martial- même si j'étais pas libre, je me serai débrouillé pour l'être.
Sylvie- 14h00 devant l'hôtel, heu non, plutôt dans la rue qui mène au resto, je ne voudrai pas qu'on me voit monter dans ton auto.
Martial- ok, pas de souci.
Sylvie- si tu veux m'embrasser avant de me déposer, arrêtes-toi avant l'hôtel pour les mêmes raisons.
Martial-oui, en plus j'en ai envie.
Sylvie- moi aussi.
ils se galochèrent à se faire mal à la langue et les mains de Martial étaient passé dans l'échancrure de sa veste.
Martial- tu es en train de me rendre fou.
Sylvie- hum, déposes-moi, vu l'heure, je vais avoir droit à une scène.
Il était 2h30 quand il la déposait.
Sylvie entrait dans la chambre, passait par la salle de bains et se glissait dans le lit, pour faire bonne figure, elle se collait à moi.
Moi- c'est ça une heure du matin.
Sylvie- pas de scène, je t'en prie, n'oublies pas que c'est à cause de toi si je suis sortie.
Moi- vous avez fait quoi jusqu'à cette heure.
Sylvie-danser et une demi heure de route, c'est tout.
Moi -il t'a dragué je présume.
Sylvie- je dors, je suis crevée, je te dis ça demain matin
Moi- dors, c'est ça.
J'étais réveillé de bonne heure, je descendais prendre mon petit dej sans elle et je partis me promener un peu.
A mon retour, Sylvie était sous la douche.
Quand elle en sortait.
Moi- je peux avoir des explications maintenant.
Sylvie-on a mangé, très bien d'ailleurs, on a dansé et je suis rentré, que veux tu que je te dise de plus.
Moi- je veux des détails, il t'a dragué ?
Sylvie- un peu, je te le concède.
Moi- je m'en doutais un peu, à quel moment ?
Sylvie- quand on a dansé un slow, il m'a plaqué contre lui.
Moi- tu me rend fou de jalousie.
Sylvie- et dire que tu rêves de m'envoyer dans les bras d'un autre, tu ne pourra jamais mon pauvre chéri.
Moi- ne crois pas ça, je suis capable de te renvoyer danser avec lui ce soir.
Sylvie éclatait de rire.
Martial- j'adore les femmes qui portent des bas.
Sylvie- j'adore en porter, je mets aussi des porte jarretelle.
Martial- hum, je suis fan de lingerie, string, tanga ou shorty
Sylvie- tanga noir et soutif assorti ce soir.
Martial- j'ai réussi a voir que c'était du noir, et demain, j'aurai droit à quoi ? remets des bas stp.
Martine- oui, promis, le reste, ce sera surprise et ce serait plus simple si tu pouvais être libre l'après-midi, demain, il va jouer à la pétanque et ne rentrera pas avant 19h00
Martial- même si j'étais pas libre, je me serai débrouillé pour l'être.
Sylvie- 14h00 devant l'hôtel, heu non, plutôt dans la rue qui mène au resto, je ne voudrai pas qu'on me voit monter dans ton auto.
Martial- ok, pas de souci.
Sylvie- si tu veux m'embrasser avant de me déposer, arrêtes-toi avant l'hôtel pour les mêmes raisons.
Martial-oui, en plus j'en ai envie.
Sylvie- moi aussi.
ils se galochèrent à se faire mal à la langue et les mains de Martial étaient passé dans l'échancrure de sa veste.
Martial- tu es en train de me rendre fou.
Sylvie- hum, déposes-moi, vu l'heure, je vais avoir droit à une scène.
Il était 2h30 quand il la déposait.
Sylvie entrait dans la chambre, passait par la salle de bains et se glissait dans le lit, pour faire bonne figure, elle se collait à moi.
Moi- c'est ça une heure du matin.
Sylvie- pas de scène, je t'en prie, n'oublies pas que c'est à cause de toi si je suis sortie.
Moi- vous avez fait quoi jusqu'à cette heure.
Sylvie-danser et une demi heure de route, c'est tout.
Moi -il t'a dragué je présume.
Sylvie- je dors, je suis crevée, je te dis ça demain matin
Moi- dors, c'est ça.
J'étais réveillé de bonne heure, je descendais prendre mon petit dej sans elle et je partis me promener un peu.
A mon retour, Sylvie était sous la douche.
Quand elle en sortait.
Moi- je peux avoir des explications maintenant.
Sylvie-on a mangé, très bien d'ailleurs, on a dansé et je suis rentré, que veux tu que je te dise de plus.
Moi- je veux des détails, il t'a dragué ?
Sylvie- un peu, je te le concède.
Moi- je m'en doutais un peu, à quel moment ?
Sylvie- quand on a dansé un slow, il m'a plaqué contre lui.
Moi- tu me rend fou de jalousie.
Sylvie- et dire que tu rêves de m'envoyer dans les bras d'un autre, tu ne pourra jamais mon pauvre chéri.
Moi- ne crois pas ça, je suis capable de te renvoyer danser avec lui ce soir.
Sylvie éclatait de rire.
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Re: QUESTION SIMPLE
Moi- ne ris pas, j'en suis capable.
Sylvie- jamais.
Moi- retrouves-le, et si tu y arrives, je te laisse aller danser avec lui.
Sylvie- comment veux tu que je le retrouve, je ne sais même pas où il habite.
Moi- ça, je n'y peux rien, je te donne carte blanche si tu le retrouve.
Sylvie- j'irai faire un tour au casino, sait t-on jamais, tu vas à la pétanque je présume.
Moi- oui, bien sur.
Sylvie- donc je vais encore rester seule.
Moi- c'est mon seul loisir.
Sylvie- vas-y, j'ai une recherche à faire si je veux sortir ce soir.
Moi- si tu ne le trouve pas, on ira ensemble à ton dancing.
Sylvie- non si j'y vais c'est avec Martial.
Nous mangions et je partais jouer, il était 13h30.
Sylvia remontais dans notre chambre et se changeait, dessous rouge, string, soutif, porte jarretelle et bas noirs, une jupe blanche assez ample, chemisier blanc et des talons.
Elle se parfumait et se maquillait.
Puis elle partit rejoindre Martial.
A peine entré dans la voiture, ce fut une grosse pelle qu'ils se roulèrent.
Martial- bien dormie, ton mari ne t'as pas pris trop la tête.
Sylvie lui expliquait ce que je lui avait dit.
Martial- en revenant, j'irai faire un tour au terrain de boules, on verra bien.
Sylvie -tu m'emmènes où ?
Martial- une balade en forêt, ça te tente.
Sylvie- avec mes talons, ce ne vas pas être facile pour marcher
Martial- sinon, on trouve une plage.
Sylvie- je ne suis pas habillé pour, partons pour la forêt, ce sera mieux.
Martial- je vois que tu as mis de dessous rouge, j'adore.
Sylvie- oui, pour toi, je veux te plaire un peu quand même.
Il posait sa main sous sa jupe pour caresser ses bas et s'aperçut qu'elle avait mis un porte jarretelle.
Martial- tu as mis ce que j'aime, tu es adorable.
Sylvie- oui, pour toi uniquement, je veux absolument t'envouter.
Martial- déjà ton parfum le fait, alors si tu portes ce que j'aime, tu risques de morfler cet après-midi.
Sylvie- j'espère bien.
Martial- si on pouvait être ensemble ce soir, je signe des 2 mains.
Sylvie on sera ensemble, je vais faire ce qu'il faut pour ça.
Il se garait et ils descendait de la voiture.
Il lui prit la main et ils commençait à marcher, tout doucement.
Sylvie- j'ai envie de t'embrasser là tout de suite maintenant.
Martial- ne te gênes pas.
il l'entrainait à l'intérieur des bois et s'embrassèrent, Martial n'hésitant pas à la caresser un peu partout.
Sylvie- jamais.
Moi- retrouves-le, et si tu y arrives, je te laisse aller danser avec lui.
Sylvie- comment veux tu que je le retrouve, je ne sais même pas où il habite.
Moi- ça, je n'y peux rien, je te donne carte blanche si tu le retrouve.
Sylvie- j'irai faire un tour au casino, sait t-on jamais, tu vas à la pétanque je présume.
Moi- oui, bien sur.
Sylvie- donc je vais encore rester seule.
Moi- c'est mon seul loisir.
Sylvie- vas-y, j'ai une recherche à faire si je veux sortir ce soir.
Moi- si tu ne le trouve pas, on ira ensemble à ton dancing.
Sylvie- non si j'y vais c'est avec Martial.
Nous mangions et je partais jouer, il était 13h30.
Sylvia remontais dans notre chambre et se changeait, dessous rouge, string, soutif, porte jarretelle et bas noirs, une jupe blanche assez ample, chemisier blanc et des talons.
Elle se parfumait et se maquillait.
Puis elle partit rejoindre Martial.
A peine entré dans la voiture, ce fut une grosse pelle qu'ils se roulèrent.
Martial- bien dormie, ton mari ne t'as pas pris trop la tête.
Sylvie lui expliquait ce que je lui avait dit.
Martial- en revenant, j'irai faire un tour au terrain de boules, on verra bien.
Sylvie -tu m'emmènes où ?
Martial- une balade en forêt, ça te tente.
Sylvie- avec mes talons, ce ne vas pas être facile pour marcher
Martial- sinon, on trouve une plage.
Sylvie- je ne suis pas habillé pour, partons pour la forêt, ce sera mieux.
Martial- je vois que tu as mis de dessous rouge, j'adore.
Sylvie- oui, pour toi, je veux te plaire un peu quand même.
Il posait sa main sous sa jupe pour caresser ses bas et s'aperçut qu'elle avait mis un porte jarretelle.
Martial- tu as mis ce que j'aime, tu es adorable.
Sylvie- oui, pour toi uniquement, je veux absolument t'envouter.
Martial- déjà ton parfum le fait, alors si tu portes ce que j'aime, tu risques de morfler cet après-midi.
Sylvie- j'espère bien.
Martial- si on pouvait être ensemble ce soir, je signe des 2 mains.
Sylvie on sera ensemble, je vais faire ce qu'il faut pour ça.
Il se garait et ils descendait de la voiture.
Il lui prit la main et ils commençait à marcher, tout doucement.
Sylvie- j'ai envie de t'embrasser là tout de suite maintenant.
Martial- ne te gênes pas.
il l'entrainait à l'intérieur des bois et s'embrassèrent, Martial n'hésitant pas à la caresser un peu partout.
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Re: QUESTION SIMPLE
ils se bouffait les lèvres, mélangeait leurs langues, Martial avait dégrafé son chemisier et caressait ses sens au travers de son soutif rouge.
Sylvie-enlèves-le.
Martial ne se fit pas prier et Sylvie se retrouvât en porte jarretelle bas et string en peu de temps.
Martial adorait son corps qui était très réceptif.
Sylvie-prends-moi maintenant.
Martial la pénétrait par derrière, la position n'était pas facile car ils étaient aussi grand l'un que l'autre mais Sylvie le sentit entrer dans elle, elle lâchât un râlement qui en disait long sur le plaisir qu'elle prenait.
Il la limait doucement, Sylvie aimait sa douceur et en réclamait plus.
Martial sentit l'éjaculation arriver.
Martial- je vais jouir chérie.
Sylvie- donnes-moi ton sexe, je vais m'en occuper.
Elle s'agenouillait et le suçait, il éjaculait dans ses mains.
Sylvie- donnes-moi ta semence, vas-y amour.
Martial- oh, j'adore ce amour, dis-le encore.
Sylvie- quand tu m'auras répété chérie.
Ce qu'il fit en l'embrassant.
Puis ils décidèrent de marcher encore un peu dans les bois.
Vers 17h30, ils reprirent la route, Martial bien décidé à me croiser pour caler un rdv le soir à Sylvie.
Sylvie- je peux lui dire qu'on s'est croisé au casino cet après-midi.
Martial-non, par cotre, je veux que tu lui dise qu'on a fait l'amour cet après-midi.
Sylvie- je ne pourrai jamais.
Martial- je vais lui dire, t'inquiètes pas et ce soir, 20 heures dans la rue comme cet après-midi.
Quelle suite à donner, j'attends vos suggestions.
Sylvie-enlèves-le.
Martial ne se fit pas prier et Sylvie se retrouvât en porte jarretelle bas et string en peu de temps.
Martial adorait son corps qui était très réceptif.
Sylvie-prends-moi maintenant.
Martial la pénétrait par derrière, la position n'était pas facile car ils étaient aussi grand l'un que l'autre mais Sylvie le sentit entrer dans elle, elle lâchât un râlement qui en disait long sur le plaisir qu'elle prenait.
Il la limait doucement, Sylvie aimait sa douceur et en réclamait plus.
Martial sentit l'éjaculation arriver.
Martial- je vais jouir chérie.
Sylvie- donnes-moi ton sexe, je vais m'en occuper.
Elle s'agenouillait et le suçait, il éjaculait dans ses mains.
Sylvie- donnes-moi ta semence, vas-y amour.
Martial- oh, j'adore ce amour, dis-le encore.
Sylvie- quand tu m'auras répété chérie.
Ce qu'il fit en l'embrassant.
Puis ils décidèrent de marcher encore un peu dans les bois.
Vers 17h30, ils reprirent la route, Martial bien décidé à me croiser pour caler un rdv le soir à Sylvie.
Sylvie- je peux lui dire qu'on s'est croisé au casino cet après-midi.
Martial-non, par cotre, je veux que tu lui dise qu'on a fait l'amour cet après-midi.
Sylvie- je ne pourrai jamais.
Martial- je vais lui dire, t'inquiètes pas et ce soir, 20 heures dans la rue comme cet après-midi.
Quelle suite à donner, j'attends vos suggestions.
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Re: QUESTION SIMPLE
A 20h, elle attendait dans la rue, il est venu la chercher pour un petit resto pour commencer, puis boite de nuit pour un peu danser, la, il aurait rencontré un ami avec qui il avait déjà partagé quelques bonnes fortunes, il l'aurait présentée, ils auraient dansés à tour de rôle avec elle, il l'aurait encouragé à se laisser aller. Puis ....
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Re: QUESTION SIMPLE
Martial déposait Sylvie dans la rue et se rendis au terrain de pétanque, je ne jouais pas, j'étais à la buvette sirotant un demi, je le vis arriver et n'eus aucun mal à la reconnaitre.
Moi- ah salut, tu veux boire un verre.
Martial- oui la même chose que toi.
Je commandais un demi.
Moi- cela s'est bien passer la soirée avec Sylvie.
Martial-oui parfaitement, elle a du te le dire.
Moi- brièvement, tu ne l'as pas ramené de bonne heure en tout cas.
Martial-on dansait, on a pas vu le temps passé.
Moi- seulement danser ?
Martial-pour être franc, non, on a fait plus.
Mon ventre se nouait.
Moi- expliques.
Martial- on s'est aussi embrassé.
Moi- merci pour moi.
Martial- pas devant tout le monde, dans la voiture quand je l'ai déposé, on en avait envie tout les deux.
Moi- et maintenant.
Martial- je rentre demain et je voudrais de nouveau passé la soirée avec ta femme si cela ne te dérange pas.
Moi- c'est à elle qu'il faut le demander.
Martial- je l'ai croisé au casino tout à l'heure et elle m'a dit que c'est toi qui décidait.
Moi- j'en parle avec elle en rentrant.
Martial- et comment je saurai si tu es d'accord
Moi- je sais pas, je rentre à l'hôtel d'ici un quart d'heure et tu n'as qu'a m'attendre au bar .
Martial- je t'y attendrai pour 19h30 et ce serai bien que tu dise oui, ta femme a besoin de sortir et de se faire plaisir.
Moi- dans tes bras, tu parles.
Martial- oui, dans mes bras.
Sylvie était assises sur le lit en train de lire un magasine quand je rentrais
Moi- ça va avec l'autre, vous vous êtes rouler des pelles cette nuit, tu as du oublier de me le dire, je ne suis pas vraiment contant de ton attitude.
Sylvie-tu parles, une pelle et n'oublies pas que c'est toi qui aimerai ça, c'est ton fantasme, j'essayes de te combler et ça ne va jamais.
Moi- oui, c'est mon fantasme mais pour cela, tu dois me dire les chose, me raconter, motiver ma jalousie, c'est cela que je veux.
Sylvie- c'est ça que tu veux, alors écoutes-moi bien.
Sylvie lui narrait son aventure dans les bois avec Martial.
Moi- tu mens.
Sylvie- ça recommence.
Moi- tu vois, il est en bas et il attend que je lui dise si tu pouvais sortir ce soir avec lui.
Sylvie- je connais ta réponse d'avance.
Moi- jures que c'est vrai pour cet après-midi et je te laisse sortir ce soir.
Sylvie- je te le jure sur la tête de ma mère et tu sais combien elle compte dans ma vie.
Moi- ok, je te laisse sortir, je ne te donne pas d'heure pour rentrer mais stp rentres.
Sylvie-promis chéri.
Moi- je peux savoir aussi ce que tu portes comme dessous.
Sylvie- cela va t'exciter, je te préviens.
Elle s'était changé ayant juste gardé son porte jarretelle et ses bas noir et portait un tanga noir sans soutif.
Une robe portefeuille recouvrait le tout.
Elle défit le nœud et lui montrait.
Moi- y'a longtemps que tu n'avais pas mis cette robe, elle va être pratique pour qu'il te l'enlève.
Sylvie-oui, mais j'ai ton accord, je te dirai tout demain dans la voiture quand on rentrera chez nous.
Moi- pars maintenant avant que je dise non.
Elle me fis un smack et disparaissais.
A SUIVRE.
Moi- ah salut, tu veux boire un verre.
Martial- oui la même chose que toi.
Je commandais un demi.
Moi- cela s'est bien passer la soirée avec Sylvie.
Martial-oui parfaitement, elle a du te le dire.
Moi- brièvement, tu ne l'as pas ramené de bonne heure en tout cas.
Martial-on dansait, on a pas vu le temps passé.
Moi- seulement danser ?
Martial-pour être franc, non, on a fait plus.
Mon ventre se nouait.
Moi- expliques.
Martial- on s'est aussi embrassé.
Moi- merci pour moi.
Martial- pas devant tout le monde, dans la voiture quand je l'ai déposé, on en avait envie tout les deux.
Moi- et maintenant.
Martial- je rentre demain et je voudrais de nouveau passé la soirée avec ta femme si cela ne te dérange pas.
Moi- c'est à elle qu'il faut le demander.
Martial- je l'ai croisé au casino tout à l'heure et elle m'a dit que c'est toi qui décidait.
Moi- j'en parle avec elle en rentrant.
Martial- et comment je saurai si tu es d'accord
Moi- je sais pas, je rentre à l'hôtel d'ici un quart d'heure et tu n'as qu'a m'attendre au bar .
Martial- je t'y attendrai pour 19h30 et ce serai bien que tu dise oui, ta femme a besoin de sortir et de se faire plaisir.
Moi- dans tes bras, tu parles.
Martial- oui, dans mes bras.
Sylvie était assises sur le lit en train de lire un magasine quand je rentrais
Moi- ça va avec l'autre, vous vous êtes rouler des pelles cette nuit, tu as du oublier de me le dire, je ne suis pas vraiment contant de ton attitude.
Sylvie-tu parles, une pelle et n'oublies pas que c'est toi qui aimerai ça, c'est ton fantasme, j'essayes de te combler et ça ne va jamais.
Moi- oui, c'est mon fantasme mais pour cela, tu dois me dire les chose, me raconter, motiver ma jalousie, c'est cela que je veux.
Sylvie- c'est ça que tu veux, alors écoutes-moi bien.
Sylvie lui narrait son aventure dans les bois avec Martial.
Moi- tu mens.
Sylvie- ça recommence.
Moi- tu vois, il est en bas et il attend que je lui dise si tu pouvais sortir ce soir avec lui.
Sylvie- je connais ta réponse d'avance.
Moi- jures que c'est vrai pour cet après-midi et je te laisse sortir ce soir.
Sylvie- je te le jure sur la tête de ma mère et tu sais combien elle compte dans ma vie.
Moi- ok, je te laisse sortir, je ne te donne pas d'heure pour rentrer mais stp rentres.
Sylvie-promis chéri.
Moi- je peux savoir aussi ce que tu portes comme dessous.
Sylvie- cela va t'exciter, je te préviens.
Elle s'était changé ayant juste gardé son porte jarretelle et ses bas noir et portait un tanga noir sans soutif.
Une robe portefeuille recouvrait le tout.
Elle défit le nœud et lui montrait.
Moi- y'a longtemps que tu n'avais pas mis cette robe, elle va être pratique pour qu'il te l'enlève.
Sylvie-oui, mais j'ai ton accord, je te dirai tout demain dans la voiture quand on rentrera chez nous.
Moi- pars maintenant avant que je dise non.
Elle me fis un smack et disparaissais.
A SUIVRE.