par fantasmes de candau » Jeu 6 Fév 2014 22:31
Je suis nouveau sur le site, je n'ai donc malheureusement pas en mémoire les anciennes photos.
Ces deux dernières sont jolies, mais un peu ... sages.
Alors Isabel tu lis nos commentaires et ça te fait mouiller de savoir qu'on bande et qu'on se caresse la bite en matant ton cul. La photo est sage, pourtant je bande. Je ne peux m'empêcher de voir ces détails, tes ongles bien soignés, une peau blanche et qu'on devine douce. Ces talons hauts qui doivent allonger tes jambes, ajouter une petite cambrure à tes reins et te faire un déhancher à damner un saint quand tu marches. Je me demande comment est ta chevelure. Soit, tu es une vraie petite bourge.
Une petite bourge qui aime la bite oui, je l'ai lu. J'ai aussi lu que tu te faisais attacher pour prendre des bons coups de bites. J'ai aussi lu que ton homme ne te prêtait pas encore ... ça ne pourrait tarder. Tu aimes te faire souiller, j'adore.
Ce que j'adore particulièrement, c'est que tu ne prends pas encore très facilement dans le cul. Alors ce qui me fait le plus bander, c'est de t'imaginer complètement nue devant une table, perchée sur tes talons ceux qu'on voit dans les pornos. Ton homme, en face de toi, de l'autre côté de la table. Derrière toi, un autre homme, tu ne le connais pas, jusqu'ici tu avais les yeux bandés. Maintenant, tes yeux sont dégagés pour que tu puisses voir ton homme, il faut qu'il puisse voir ton regard. Mais tu as l'interdiction de te retourner, tu ne peux pas voir cet inconnu. Quelques coups de cravache préventifs t'ont donné le goût de ceux qui pourraient être répressifs.
L'inconnu t'ordonne d'écarter les jambes, avec des caresses du bout de sa cravache il guide tes pieds aux endroits voulus. Tes pieds rejoignent ceux de la table, ton bassin touche le bord de la table et tu sens qu'elle est froide. L'inconnu t'observe. Tu vois le sourire que lui envoie ton homme, l'inconnu doit être satisfait. Le bout en cuir de sa cravache caresse l'intérieur de tes cuisses.
Soudain, il se met à tes pieds et attache chacune de tes chevilles aux pieds de la table. Tu sais que tu garderas les jambes écartées. Il passe sa bite sur tes fesses et je peux te dire qu'il bande d'avoir une si bonne catin à disposition. Il pose sa main sur ton dos et appuie t'obligeant à te pencher jusqu'à ce que tu te retrouves pliée en deux sur la table. La fraicheur de la surface de la table sur ton ventre et tes nichons contraste avec la chaleur de l'instant. Ton homme est réquisitionné, il tient tes poignets loin devant toi, c'est à lui à te maintenir en place.
L'inconnu bande comme un taureau. Il n'en peut plus de voir ton magnifique cul et tes longues jambes tendues. Tu l'entends souffler, tu sens ses caresses de plus en plus désordonnées, son corps n'en peut plus, il tremble. Il tente de se ressaisir, il se met à genoux, écarte tes fesses. Il passe sa langue sur ton petit trou. "Tu as envie de te faire enculer petite putain ?" Tu ne réponds pas, mais ça t'excite de lui être offerte. Il passe sa langue entre tes lèvres pour goûter ta liqueur. "Tu as la chatte trempée, tu voudrais que ma bite en profite, mais n'y compte pas, j'ai mieux à ma disposition."
Sa langue retourne sur ton cul, il essaie même de te pénétrer du bout de sa langue, mais ton petit trou est bien trop serré. Un petit trou de cul bien épilé, il n'y a que les salopes pour se préparer comme ça. Il te mouille le cul de sa salive, le touche de ses doigts, tu espères qu'il va t'en enfoncer un, et puis deux pour bien te préparer. Mais ce n'est pas son but. Il se relève, pose son gros gland sur ta petite rondelle. N'est-ce pas que ça te fait encore un peu mal quand on t'encule, mais tu aimes ça parce que tu te sens pute quand on t'encule. N'est-ce pas ? C'est ce qu'il te demande, répète-le. Vas-y Isabel, toi qui est en train de lire, répète-le que tu aimes te faire enculer parce que tu te sens pute. Répète-le, ce mot ... pute ! Si tu ne le répètes pas, il te promet qu'il s'en va, sans rien te faire. Et toi, tu meurs d'envie de recevoir sa bite sous les yeux de ton homme, alors tu le lui dis, du bout des lèvres. Et quand il sent que tu n'en peux plus, il te demande: "Demande-moi tout haut de t'enculer !" Tu n'oses pas. Il reprend "Tu as le choix, soit tu te tais et je m'en vais, soit tu me le demandes et tu ne peux plus revenir en arrière !" Tes yeux effrayés regardent ton homme, il a une étincelle dans le regard, contre ta volonté c'est ta bouche qui laisse échapper "Enfoncez-moi votre bite dans le cul ..."
Tu sens son gland pousser sur ta petite rondelle et s'enfoncer. Tu laisses échapper un cri, tes mains s'agrippent à celles de ton homme. L'inconnu t'attrape par les cheveux et lève ta tête en t'ordonnant de regarder droit dans les yeux celui qui te baise d'habitude. Ma petite salope, tu verrais l'état de ma bite en imaginant ton visage à cet instant précis où tu sens ton cul se remplir.
Sans lâcher tes cheveux, il commence de longs va-et-vient dans ton cul. Tu n'as jamais eu une bite aussi grosse dans le cul. Elle te fait mal, mais tu n'as plus le choix. Par moment il porte sa main à sa bouche pour prendre de la salive et enduire sa queue pour qu'elle coulisse encore mieux. Il alterne entre les mouvements longs et lents et des petits coups rapides pendant lesquels tu sens ses couilles claquer sur ta chatte. Il n'y a pas que ses couilles qui claquent, de sa main libre il n'hésite pas à faire rougir ton cul. L'excitation du mâle en rut lui fait perdre tout discernement, il n'écoute plus tes cris, il fait tu bien à sa bite en utilisant ton cul. Par moment il sort complètement, ça te donne un peu d'espoir qu'il te prenne par l'autre trou pour te soulager, mais c'est pour l'admirer rester entrouvert et pour mieux rentrer dedans, d'un coup jusqu'à la garde. Ton salut, c'est quand il commence à respirer par saccades, tu sens que ses mouvements deviennent moins précis, tu as l'impression que sa bite gonfle encore et tu l'entends grogner en te lançant des mots orduriers, ce n'est plus un homme, c'est une bite. Et cette bite tu la sens déverser par longues giclées une quantité phénoménale de foutre.
Il se calme, il fait encore coulisser quelques fois sa bite ce qui laisse échapper de ton cul quelques trainées de sperme qui coulent le long de tes cuisses. Il sort de toi. Tu l'entends se rhabiller, et en quittant la pièce "Tu avais raison mon gars, ta salope c'est un superbe vide-couille, je reviendrai. J'adore traiter les petites bourges dans son genre comme de vulgaires trainées !"
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