par GILLESBDX » Sam 24 Jan 2015 16:04
Un peu plus loin, les deux voyeurs restés en retrait ne perdaient pas une miette de ce spectacle inespéré. Patrick leur fit signe de s’approcher.
- « Venez ! Vous allez les saillir… Ces chiennes ont besoin de mâles, elles sont en chaleur… »
Sylvie ne put s’empêcher de repenser à l’épisode au cours duquel elle avait connu son unique expérience zoophile. Ce jour là aussi, elle s’était sentie comme une chienne…
A cette période, elle n’était pas encore séparée de son mari. Pierre, son fils, tait encore petit. Ils possédaient un gros chien croisé rottweiler pitbull qu’un ami de son mari lui avait donné. Un animal très fougueux.
Souvent il était en érection et cela émoustillait beaucoup Sylvie de voir ce membre tout rouge et tout dur. Elle n’avait jamais eu de rapport sexuel avec des animaux.
Un après-midi où elle était restée seule avec le chien, son fils était à l’école et son mari était parti chez ses parents, Sylvie se mit à le regarder. Elle venait de faire du ménage, elle était toute en sueur, ça dégoulinait de partout, de la tête aux pieds en passant par son entre cuisse. Elle s’était mise nue afin de prendre une bonne douche. Le chien était allongé dans un coin du salon et son sexe était sorti, une grande tige toute rouge. Sylvie s’est approchée de lui, elle se mit assise par terre et commença à le caresser. Plus elle le caressait, plus son sexe devenait gros.
Il était couché sur le dos, elle mit sa main sur son ventre puis, lentement vers son membre, commença à le caresser du bout des doigts puis à le masturber. Doucement au début, puis en accélérant les mouvements.
Tout à coup, elle fut prise d’une envie folle de le sucer, de le pomper à fond. D’avoir ce gros bâton rouge au fond de sa gorge. Sylvie approcha sa bouche vers son braquemard gonflé, puis entreprit une délicieuse fellation.
Hummm que c’était délicieux cette tige toute dure dans sa bouche ! Elle faisait aller et venir sa langue de ses couilles à la pointe de sa bite. Gobant l’une après l’autre ses délicieuses boules poilues. Il ne bougeait pas, sa respiration s’était accélérée et il avait l’air d’apprécier.
Alors qu’elle était bien en train de s’activer sur son manche, il se redressa brusquement et se mit sur ses quatre pattes. Sylvie eut un moment de peu, pensant lui avoir fait mal. Elle ne savait pas trop pourquoi, il avait eu cette réaction, mais après un mouvement de recul, elle se mit, elle aussi, à quatre pattes, mais pour essayer de se relever.
A ce moment-là, elle sentit sur son dos, tout le poids de l’animal, ses pattes de devant lui labourant le milieu du dos.
Elle eut beau tout essayer pour le faire descendre et se relever, rien à faire ! Il était vraiment très lourd et s’agrippait à elle de toutes ses forces, ses grosses pattes sur ses reins l’immobilisant et l’empêchant de faire le moindre mouvement. Il était plus fort que Sylvie. Elle était coincée, dominée par cet animal en rut. A sa merci ! En proie à ses moindres désirs bestiaux. Elle n’avait pas assez de force pour le repousser.
Puis un moment de frayeur la traversa. Elle sentit son membre, toujours bien raide, entre ses cuisses, sur son vagin…
Mon dieu, non ! Il n’allait pas… En plusieurs coups de boutoir, il la pénétra et lui enfonça sa queue toute entière dans la chatte.
Mon dieu quel engin ! Plus grosse que celle de son mari déjà bien monté, mais ce chien il l’avait énorme ! Son ventre la brulait, mais qu’est-ce que c’était bon !
Sylvie était une vraie fontaine et cela faisait un moment qu’elle n’avait pas joui autan ! Elle était trempée. Au début de sueur, à présent, elle l’était de sa mouille.
Il lui laboura la chatte plusieurs minutes en faisant de virils va et vient rapides. Sylvie n’avait plus vraiment la notion du temps, ni de quoi d’autre d’ailleurs. Ses assauts étaient tellement forts, ses coups de boutoir tellement puissants, qu’à chaque coup, Sylvie avançait. Elle se sentait glisser sur le carrelage. A chaque secousse, un cri de jouissance s’échappait de sa bouche.
Alors qu’elle prenait un super pied, se foutant de tout le reste, elle sentit de longues et puissantes giclées de sperme envahir son ventre. Il venait de se soulager, l’animal, la faisant jouir une énième fois.
Il resta un moment collé derrière Sylvie. A force de rentrer sa queue en elle, il l’avait verrouillée, son poids l’empêchant toujours de bouger. Puis, doucement, il sortit de son corps et retourna s’allonger dans son panier. Sylvie sentit alors son sperme sortir de son vagin et couler le long de ses cuisses.
Le temps de reprendre ses esprits, elle sursauta. La sonnette de la porte venait de retentir.
- -Chérie, c’est moi, j’ai oublié mes clés, tu peux venir m’ouvrir ?
- -Heu, oui. J’arrive chéri.
Moment de panique... Comment expliquer à son mari pourquoi elle était nue, au milieu du salon, en plein après-midi ? Elle passa vite un peignoir et alla ouvrir.
- Excuses-moi, j’ai fait du ménage et je suis allée faire courir le chien pour lui dégourdir les pattes (et le reste) J’allais prendre une bonne douche, je me sens un peu transpirante (voir dégoulinante).
- -Ok. En effet, le chien a l’air crevé. Tu t’es bien dépensé un mon pépère ?
Heureusement qu’il ne pouvait pas répondre ! Cette expérience allait rester unique pour Sylvie car, pour des raisons de sécurité pour leur fils, le chien en était très jaloux et devenait méchant, agressive, et ils furent donc été obligés de s’en séparer.
Même quand son mari lui faisait l’amour il grognait, bandait comme un sauvage et montrait les dents. Son mari n’a jamais compris pourquoi.
Mais cette expérience restera dans ses meilleurs plaisir à ce jour !
Chacun des hommes s’était mis derrière sa chienne et la baisait de manière bestiale, pesant sur son dos de tout son poids et cherchant à aller au plus profond de sa chatte. Le plus jeune, qui se prénommait Florian, était le plus vigoureux. Sa queue était aussi grosse que celle du chien dont Sylvie gardait le souvenir. Il l’enfonçait jusqu’aux couilles dans le vagin de sa belle chienne brune.
Marc, l’autre voyeur, avait un faible pour Virginie. Lui-aussi la baisait en levrette, écartant bien son cul dont il dilatait l’œillet avec le majeur. La jeune blonde avait mal, mais elle ne protestait pas. Son maître avait décidé de la faire baiser, alors elle acceptait sa condition de chienne.
Patrick se fit sucer par les deux filles. Il les vit jouir sous les coups de boutoir des mâles excités comme jamais. Il les avait mis face à face et il éjacula sur leurs visages réunis dans un baiser sauvage.
Une fois vidés, les deux hommes ne demandèrent pas leur reste. Ils partirent chacun de leur côté et ne seraient pas prêts d’oublier leur journée à la plage.
Patrick détacha les deux soumises et leur laissa reprendre une position plus digne. L’éducation de Virginie était terminée. Elle allait pouvoir reprendre une vie normale de vendeuse dans son animalerie. Désormais, elle ne pourrait plus vendre une laisse sans se remémorer cette expérience unique…
à suivre...