par GILLESBDX » Jeu 16 Avr 2015 10:52
La pénétration, enfin
Le jeudi, Sophie vint avec son mari. Ce rendez-vous l’angoissait un peu, même si elle avait déjà vécu la même expérience avec Antoine. En même temps, elle avait tellement envie que Gilles la pénètre enfin !
Gilles reçut Sophie et son mari Damien. Au début, l’ambiance était nécessairement tendue. Quand Sophie retira sa robe, elle ne put s’empêcher de jeter des regards anxieux en direction de son mari. Les relations qui s’étaient progressivement mises en place avec Gilles n’étaient pas celles qu’elle aurait pu avoir avec un amant ordinaire. C’était lui qui dirigeait leur relation et elle était habituée à obéir.
- « Retire ta culotte ! » lui ordonna Gilles. « Montre à ton mari que tu es devenue une véritable petite salope… »
Sophie fit glisser le tanga de dentelles qu’elle portait et le ramassa négligemment.
- « Montre à quel point cela t’excite et te fait mouiller de t’exhiber comme une petite pute… »
Elle retourna la pièce de lingerie et montra l’entrejambe complètement humide.
- « Allez, lèche ta mouille devant nous, petite chienne ! »
Sophie obéit et passa sa langue sur le gousset trempé. Damien n’en revenait pas de la voir aussi obéissante. Cela commençait à l’exciter sérieusement et il sentait son érection devenir de plus en plus forte.
- « C’est bon, hein ? Je suis sûr que tu aimes ton odeur de chienne… Parce que tu es une chienne, je ne me trompe pas ? Dis-le !»
- « Oui, je suis une chienne… »
- « Alors, va chercher ton collier et ta laisse ! »
Sophie alla prendre les accessoires qu’elle connaissait maintenant et les apporta à Gilles. Il lui mit le collier de cuir et y attacha la laisse. Il la fit ensuite mettre à quatre pattes et la fit marcher dans le salon. Elle s’exécuta sans aucune réticence.
- « Tu as vu comme elle est devenue obéissante ? » demanda-t-il à Damien.
- « Oui, je n’en reviens pas… »
- « On va aller la promener un peu » reprit Gilles. « Ce n’est pas très amusant de la voir se comporter en chienne si elle n’a aucun risque d’être surprise… Emmène-la faire ses besoins dans la pelouse de l’immeuble » ajouta-t-il en tendant l’extrémité de la laisse au mari de sa soumise.
Damien sembla hésiter, puis il prit la laisse et avança vers la sortie de l’appartement. Sophie le suivit à quatre pattes, sans broncher. Il traversa le long couloir qui séparait l’appartement des espaces verts. Heureusement, à cette heure-ci, il n’y avait normalement pas de passage. Il conduisit Sophie jusque dans la pelouse. Gilles sui ordonna de pisser. Elle le fit, un peu gênée de devoir obéir devant son mari.
Juste à ce moment-là, un voisin rentra. Damien se sentit envahi par la honte, surtout que Gilles avait l’air de bien connaitre l’homme qui rentrait.
- « Salut Alain » lui lança-t-il. « Que penses-tu de ma nouvelle chienne ? »
- « Ravissante ! » répondit le voisin habitué aux frasques du quinquagénaire. « Si tu as besoin de moi pour une saillie, n’hésite pas… »
- « Non, pas maintenant… Mais je ferai sans doute appel à toi tout à l’heure. Tu es chez toi ? »
- « Oui, bien sûr » répondit le voisin avec des yeux pleins d’envie.
Damien avait ressenti un sentiment étrange. Depuis longtemps, il rêvait de voir sa femme exposée et offerte à d’autres hommes, mais jamais il n’aurait imaginé la promener en laisse dans un immeuble inconnu et l’exposer au regard d’un des locataires. Le pire, c’est qu’elle ne bronchait pas. Comme si ce genre de pratique était devenu habituel. Ils la firent enfin rentrer. Gilles lui retira la laisse, mais ne la rangea pas sans avoir fait claquer les lanières de cuir tressé sur les fesses blanches et délicates de la belle Sophie. Son geste provoqua deux marques rouges, mais elle n’avait même pas crié. Elle commençait visiblement à s’habituer à la souffrance.
- « Alors, tu as envie de me voir introduire ma queue dans la belle petite chatte de ta salope ? » demanda Gilles.
- « Oui » répondit Damien, toujours impressionné de voir son épouse aussi docile.
- « Même si cela peut te sembler bizarre, c’est un privilège que je t’ai réservé. Je ne lui ai encore jamais baisé la chatte. Regarde comme elle mouille d’envie cette petite pute ! » ajouta-t-il en doigtant profondément le vagin humide.
- « Je…, je ne pensais pas la voir dominée de la sorte » parvint à répondre Damien. « Bien sûr, cela m’excite terriblement de la voir avec un autre homme, mais je ne suis pas fan des pratiques extrêmes. »
- « Il va falloir que tu acceptes de la voir soumise à mes quatre volontés. Sinon, on arrête tout de suite… Sophie est ma chienne lubrique ! Je la fais baiser par qui j’ai envie et quand j’en ai envie… Tu te sens prêt à accepter ces conditions ?»
- « Non ! » répondit clairement Damien. « Je la respecte trop… »
- « Dans ce cas, je préfère mettre fin au contrat qui nous unit tout de suite… Ce n’est pas une relation classique que je recherche. »
- « Je crois aussi qu’il vaut mieux » intervint enfin Sophie. « Jusque-là, j’ai accepté les ordres et les humiliations, mais j’ai de plus en plus de mal… Je crois que je ne serai pas à la hauteur »
- « C’est dommage, » conclut Gilles. « D’un commun accord, on arrête donc le contrat qui nous unissait. Par contre, j’ai trop envie de te baiser. Viens ! »
Sophie s’approcha de lui. Elle-aussi avait envie de faire l’amour avec cet homme qui, jusque-là, avait réussi à la faire attendre et à ne pas la pénétrer. D’un seul coup, Damien ressentit une violente excitation. Il comprit qu’il allait de nouveau voir sa belle Sophie se faire prendre devant lui. Gilles la fit allonger sur le canapé, juste à côté de son mari.
- « Regarde comme elle écarte bien les cuisses » commenta-t-il. « Elle a vraiment envie que je la prenne… »
- « Oui, vas-y… Baise-là devant moi ! » répondit Damien.
Gilles écarta les lèvres fines du sexe de la belle blonde et posa son gland à l’entrée de son vagin trempé de mouille. Il poussa doucement et introduisit, centimètre par centimètre, son sexe turgescent. Il enfonça jusqu'à la garde le pieu de 19 centimètres, plutôt large, et commença à aller et venir en elle. Sophie regarda son mari en souriant et lui murmura.
- « C’est bon… Regarde comme il me baise bien… »
Damien était aux anges. Tout en amplifiant et en accélérant les coups de boutoir, Gilles avait humidifié son index et caressait le clitoris de la jeune femme qui commençait à gémir de plus en plus fort. Il s’activa longuement en elle et lui provoqua un orgasme d’une intensité folle. Elle se mit à crier sans aucune retenue, ce qui excita encore davantage le quinquagénaire.
- « Je vais jouir dans ta chatte » dit-il au bout d’un moment. « Il y a tellement longtemps que j’ai envie de te remplir que je te préviens, ça va déborder… »
- « Oui, remplis-moi ! » l’encouragea Sophie.
Il donna un dernier coup de rein, encore plus rageur que les précédents et se vida en elle. Effectivement, le foutre épais et chaud la remplit complètement et coula jusque sur ses cuisses. Il se retira, satisfait, et se tourna vers Damien.
- « A toi maintenant, baise-là ! »
Son mari ne se fit pas prier. Il pénétra à son tour le vagin désormais gluant de son épouse et s’agita de manière aussi frénétique que l’avait fait Gilles entre les cuisses de sa femme. Assez rapidement, il se vida à son tour. Avant même qu’il n’ait eu le temps de se retirer du vagin de son épouse, le voisin qu’ils avaient croisé tout à l’heure était entré, appelé par Gilles.
Il arracha ses vêtements et se précipita sur la belle Sophie. Sa queue était bien raide et il l’enfonça dans le vagin déjà gorgé de sperme. Lui aussi se montra particulièrement actif et défonça la chatte qu’il avait aperçu un peu plus tôt. Il jouit avec force, ajoutant une dose de sperme conséquente à la quantité qui remplissait déjà la chatte de Sophie. Damien savait que ces pratiques ne devaient pas se poursuivre s’il ne voulait pas risquer de mettre en péril l’avenir de son couple, mais il fut obligé de reconnaitre que la vison de cette chatte défoncée et inondée de foutre l’avait excité au plus haut point.
C’est alors que Gilles allait faire quelque chose que Sophie et Damien n’attendaient pas. Il se mit à genoux entre les cuisses de la ravissante blonde et commença à laper le sperme qui s’écoulait de son intimité. Avec sa langue, il nettoya entièrement le sexe souillé des trois spermes mélangés. Sophie jouit une fois encore.
Gilles ne l’aurait baisée qu’une seule fois, mais il en garderait un souvenir inoubliable. Désormais, il lui faudrait trouver une autre soumise pour assouvir ses fantasmes. Pour l’instant, aucun mari complaisant ne lui avait fait de proposition, mais il ne perdait pas espoir.
Fin