Ma femme Nadia et moi sommes mariés depuis maintenant plus de 6 ans et notre vie de couple se passe à merveille. Sexuellement, nous sommes très conventionnels et ne faisons aucune excentricité. Étant prude, ma femme ne fait aucun écart vestimentaire qui pourrait s’apparenter à de l’exhibitionnisme. Cela me frustre énormément car je suis sexuellement plus épanoui, préférant vivre toutes les occasions et toutes les expériences.
Ainsi continuait notre vie tranquille jusqu’à ce matin d’août dernier. Nous étions tous deux en congé mais n’étions pas partis en vacances, désireux de finir les travaux dans notre appartement.
Donc ce matin-là, vers 10 h 30, la sonnette de la porte retentit. Je m’apprêtais à sortir pour porter des cartons et des planches à la déchetterie et mon épouse finissait de prendre sa douche. J’ouvre la porte et découvre un homme, la quarantaine, deux grosses mallettes posées à côté de lui. Il se présente, Omar D., représentant de commerce en lingerie fine.
Un sourire sur le visage, je lui indique que je ne suis pas intéressé personnellement mais peut-être que mon épouse le sera s’il désire patienter quelques minutes. Je l’installe dans le salon et vais prévenir ma femme, toujours sous la douche. Elle m’annonce qu’elle va regarder, « on ne sait jamais » et qu’elle arrive dans un instant. Je transmets l’information à Karim qui commence à ouvrir ses mallettes et à déposer sur la table basse quelques échantillons de culottes et soutien-gorge.
Mon épouse arrive dans le salon, vêtue d’un peignoir et une serviette roulée sur la tête. Les présentations faites, je les laisse pour porter quelques cartons à la voiture et récupérer ceux qui se trouvent à la cave.
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Karim mon mari est descendu porter des cartons à la voiture et je me retrouve seule avec ce représentant dans le salon avec pour tout vêtement une culotte et un peignoir.
Le représentant, Omar, ne traîne pas et me présente rapidement les diverses marques qu’il propose par des ensembles simples, culotte et soutien-gorge. J’en retiens un et passe à la chambre pour l’essayer. Je retire ma culotte et le peignoir et enfile l’ensemble. C’est juste une taille trop petite et l’annonce au représentant par le couloir. Ce dernier ne manque pas de culot et entre dans la chambre quelques secondes plus tard alors que je retirais le soutien-gorge. Je cache mes seins même si cela ne sert plus à rien vu qu’il a tout vu.
Il s’excuse pensant que je souhaitais qu’il m’apporte la taille au-dessus, ce qu’il fait immédiatement avant de retourner au salon. La culotte me va mieux et me boudine moins les hanches mais le soutien-gorge flotte un peu. Je passe le peignoir pour être décente et retourne faire mes observations à Omar.
Ouvrant le haut du peignoir je lui montre le problème au niveau de ma poitrine. Il me demande comment c’était avec le modèle précédent. C’était beaucoup mieux en effet et pour lui montrer, je passe rapidement dans le couloir renfiler le soutien-gorge. Je repasse au salon et me dénude le torse à nouveau pour montrer que cet article me sied mieux. Il en convient alors que je me rends compte de l’incongruité de ma posture, seins en avant en sous-vêtement devant un parfait inconnu. Pour tout combler, je sens dans mon sexe une douce chaleur m’envahir. Mais qu’est-ce que je fais ?
Le représentant me dit que je devrais garder cet ensemble et m’en propose un autre, une culotte avec un soutien-gorge pigeonnant. Je les prends et commence à me diriger vers la chambre avant de réaliser qu’à ce jeu-là, on y sera encore demain.
- Je vais me changer ici en me tournant, ça ne vous dérange pas ? Dis-je à Omar.
Non, mais quelle cruche, je te jure. En plus, j’ai le rouge aux joues en disant ça. Bien sûr que ça ne va pas le déranger, c’est un homme. Trop tard, je me tourne, retire le soutien-gorge et la culotte en restant cachée par le peignoir, et j’enfile la nouvelle parure.
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Cela me prend une bonne dizaine de minutes et, une fois la voiture chargée, je remonte à l’appartement. En entrant, je retrouve le représentant et Nadia dans le salon, celle-ci en train d’enfiler une culotte, « cachée » par son peignoir qui ne masque pas grand-chose. Elle enfile le soutien-gorge pigeonnant assorti et me montre l’ensemble en faisant une pirouette sur elle-même.
C’était bizarre de voir ma femme s’exposer ainsi aux regards de cet homme dans cette petite tenue. En plus, on ne peut pas dire qu’elle se soit vraiment cachée, offrant clairement ses seins, voire plus, à la vue de cet homme.
Sur un « Je le prends aussi », elle ôte le soutien-gorge, retire la culotte en tournant le dos à Omar et referme le peignoir devant elle. Puis, elle retourne s’asseoir sur le canapé à ses côtés avec ses marchandises.
Je prends les planches restantes, annonce que je vais à la déchetterie jeter l’ensemble, et en lui indiquant de ne pas trop dépenser, je sors de l’appartement. La voiture chargée, je démarre en direction de la déchetterie mais quelque chose me tracasse : la désinvolture de mon épouse. Même si j’ai une grande confiance en elle, je n’arrive pas à mettre son engouement sur le seul fait de son amour de la lingerie fine (qui par ailleurs fait aussi mon bonheur). Je fais demi-tour et retourne immédiatement à l’appartement.
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Après le second départ de mon mari Karim, Omar m’a présenté un autre ensemble culotte/soutien-gorge, puis un string seul. Les différents essayages et la frivolité des vêtements, à moins que ce ne soit la douce chaleur au creux de mon bas-ventre, m’ont rapidement convaincue que le peignoir n’était pas pratique ni vraiment utile. Ainsi, lorsque Omar m’a présenté une guêpière et un mini string transparent, j’ai définitivement mis toute pudeur de côté et je me suis directement changée devant lui, complètement nue après avoir ôté le string précédent, lui présentant sans me cacher mon pubis à la toison brune taillée en un petit V.
Je dois dire que ça m’a aussi très excitée et du coin de l’œil, je ne perdais pas une miette de l’attitude, très professionnelle de Omar, même si le devant de son pantalon a subitement grossi. Il m’a aidée à passer la guêpière en me l’accrochant dans le dos. C’était son premier contact avec moi depuis notre poignée de main et je dois dire que ses doigts dans mon dos étaient légèrement électriques.
La guêpière et le string enfilés, je me suis assise sur le canapé pour enfiler la paire de bas que Omar me tendait. Il ne me les a pas donnés mais me les a enfilés, doucement, me caressant un peu trop les jambes au passage. Ce moment lui a permis de découvrir entièrement mon intimité à coup sûr, le string étant vraiment trop petit et transparent.
Il s’est ensuite attelé à l’attache des jarretelles accompagnant ce geste de caresses légères sur les cuisses. Après m’avoir relevée, il a fignolé la disposition du string tant au regard de la guêpière sur les hanches que de la position de ce petit bout de tissu dans mon dos entre mes fesses et, plus surprenant, dans mon entrejambe. Sentir sa main entre mes jambes et ses doigts glisser à quelques centimètres de ma vulve a fini de m’exciter.
J’avais subitement envie de faire l’amour mais en femme responsable, je me suis rappelée que ce n’était pas possible. Et pourtant, j’ai rarement éprouvé une telle excitation.
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En entrant dans l’appartement, je les retrouve tous les deux dans le salon où je les avais laissés, l’homme assis sur le canapé et mon épouse s’observant devant une glace. Elle porte alors une guêpière en partie transparente avec jarretelles, des bas noirs et un mini string transparent. Sa tenue ne cache absolument rien de son anatomie et Omar doit bien se rincer l’œil, comme en atteste une certaine bosse sur son pantalon.
Je prétexte que j’ai oublié de prendre une facture de téléphone comme justificatif de ma présence au domicile pour la déchetterie et ressort immédiatement, ne laissant pas transparaître ma jalousie et mon étonnement.
Tout de même, elle est quasiment nue devant cet homme complètement excité. Je décide d’attendre encore dix bonnes minutes et retourne devant la porte de l’appartement. Là, je colle mon oreille sur la porte et écoute. Aucun bruit. Mais ce n’est pas anormal car il n’est pas certain que je puisse entendre une conversation dans le salon. Sans faire de bruit, j’ouvre la porte et rentre dans l’appartement.
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Karim mon époux vient de passer en coup de vent pour prendre une facture et est déjà reparti. Comme j’aurais aimé qu’il me fasse l’amour tout de suite, dans la chambre, la cuisine ou le salon, peu importe que Omar soit encore là. J’ai le feu au cul et je mouille terriblement. D’ailleurs le string doit être trempé.
Omar me propose de découvrir d’autres articles. Pendant qu’il les sélectionne dans ses mallettes, j’enlève la guêpière et le string, conservant les bas. Il a certainement remarqué que le string est trempé lorsque je le lui remets en main propre, un sourire au coin de la bouche, les tétons dardant insolemment vers lui.
Bon sang je suis complètement nue devant un inconnu avec une furieuse envie de lui sauter dessus pour lui faire l’amour.
Omar me propose alors d’enfiler un porte-jarretelles pour maintenir les bas tout en m’annonçant qu’il présente aussi d’autres articles, plus libertins, et présume que je pourrais être intéressée en espérant que je ne me sentirai pas offusquée. Je ne vois pas d’objection à jeter un œil et il sort alors de sa mallette une culotte fendue que j’enfile pour voir.
Comme pour le string précédemment, Omar m’assiste pour positionner correctement cette étole, m’effleurant sans équivoque le sexe des mains par-dessus le tissu. Je crois que je ne vais pas tenir et que je vais finir par faire une bêtise. Mon sexe coule de désir. Omar, à genoux devant moi, m’explique, toujours professionnel, que la culotte est fendue dans le sens de la longueur et fermée par trois petits boutons pression. Il se propose alors d’ouvrir la culotte pour me montrer le principe et, ce faisant, glisse la main entre la culotte et mon sexe pour détacher les trois boutons pression. Cette caresse appuyée est beaucoup plus insistante que nécessaire et me fait malencontreusement lâcher un petit gémissement. Mes seins dardent de désir et je suis maintenant incapable de cacher mon excitation.
Omar retire sa main légèrement humide sur le dessus. Il se propose de me montrer le résultat concernant la culotte en écartant des deux mains le tissu sur les côtés, m’ouvrant ainsi la vulve révélant toute ma moiteur contenue et libérant mon clitoris. Je pose une jambe sur le canapé pour mieux le laisser agir. J’ai l’impression de me comporter comme une traînée avec le sexe à l’air, trempé et ouvert aux yeux d’un inconnu dont le visage n’est qu’à quelques centimètres de me lécher et de me faire jouir de sa bouche. Mais surtout, je le souhaite et pourtant non, il ne faut pas. Mais je suis sur le point de jouir.
Je demande à Omar de me montrer comment refermer la culotte et le manège recommence. Il ferme les trois pressions en glissant la main dans mon entrejambe. Il en profite pour laisser glisser un doigt le long de mon sexe ce qui m’arrache cette fois encore un gémissement que je ne retiens pas. Je ne me cache plus, Omar sait qu’il peut faire de moi ce qu’il veut. Mes seins me font mal et ma chatte ruisselle maintenant de mouille. J’ai même le cul en feu. Son doigt glisse sur ma fente et je le sens s’introduire de quelques millimètres dans ma vulve alors qu’il referme les boutons de la culotte. Je jouis. Sans bruit. Saisie de tremblement, je jouis alors qu’il me touche à peine. Je n’ai jamais vécu ça auparavant. Est-ce cela le plaisir de l’interdit ?
Les mains appuyées sur les épaules de Omar, je retrouve mes esprits. Il a retiré sa main depuis un moment et me regarde avec délectation. Je le remercie. Je m’excuse aussi. Je retire la culotte trempée, mes cuisses aussi et lui demande s’il a d’autres articles. Omar, excité comme un fou, me présente alors toute une gamme de culottes fendues, strings ou non. Je lui fais remarquer qu’il m’a proposé de voir des articles assez libertins et que je me sens prête à beaucoup de choses. Cet orgasme a été terrible mais ne m’a pas satisfaite pour autant tant mon excitation est grande. J’ai toujours les seins qui me font mal et j’ai envie que l’on me prenne. Si mon mari ne rentre pas tout de suite, Omar fera l’affaire.
Il sort du fond d’une de ses mallettes une petite pochette qu’il ouvre devant moi en m’indiquant que ces articles sont dans un autre registre mais qu’il les vend aussi : toute une série de godes et de vibromasseurs de tailles variables. C’est la première fois que j’en vois en vrai. Je ne suis pas nunuche non plus et j’ai déjà joué avec divers objets comme des bougies, mais le réalisme de ces sextoys est tel que dans mon état j’en veux un tout de suite.
Je me mets à genoux par terre et prends la sacoche des mains de Omar, toujours assis sur le canapé. J’en sors un gode, le regarde et le repose. J’en choisis un autre que je laisse glisser doucement et langoureusement entre les seins en regardant Omar avant de le reposer par terre. Renversant la sacoche, j’éparpille ces objets et porte mon choix sur l’un d’entre eux particulièrement réaliste en termes de taille et de forme. Je le porte à ma bouche tout en me redressant sur les genoux et mime un ersatz de fellation avant de le laisser glisser sur mon corps, titillant un téton, et le portant à l’entrée de ma vulve. Omar est immobile de contemplation. J’écarte légèrement les jambes et lance à Omar un regard de défi et de désir. Il ne perd pas une miette du spectacle et regarde le godemiché disparaître lentement, avalé par ma chatte.
Bon sang que c’est bon ! Ça y est ! Je me sens enfin prise ! Je ne vais pas tarder à jouir à nouveau et pourtant je sais que ça ne sera pas encore suffisant. Mais quelle matinée je vis là. Je fais glisser doucement le gode de haut en bas dans mon sexe me procurant un plaisir intense. Omar ouvre la braguette de son pantalon, sort son sexe tendu et gonflé au maximum et commence à se branler. Oui, il a raison. Il ne doit plus tenir lui non plus. Je m’imagine sans problème que ce sexe est en fait au plus profond de moi.
Nous restons ainsi quelques instants tous les deux à nous observer mutuellement tout en nous masturbant, augmentant notre désir pour l’autre. Je ne vais pas tenir longtemps et je sens déjà mes jambes qui vacillent. Je me relève et m’allonge sur le canapé, le gode toujours dans la chatte. Je continue les va-et-vient d’une main, et de l’autre, je m’empare du sexe de cet inconnu que je guide dans ma bouche pour lui administrer une fellation libératrice après cette demi-heure d’excitation. Je vais bientôt jouir et lui aussi le mérite.
Après quelques secondes, j’explose enfin de plaisir, suivie rapidement par Omar. Je reçois alors de longues giclées de sperme au fond de la bouche que j’avale avec délice.
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Cela faisait quant à moi quelques minutes que j’observais la scène depuis l’entrée du salon. Jusque-là, elle ne faisait que se masturber devant lui, exhibitionniste dans son plaisir. Elle était belle quand elle a joui sous ses doigts. Elle était magnifique de désir quand elle a joué avec ces godes avant de s’empaler sur l’un d’eux. J’en ai la bite plus raide encore que ce représentant.
Il a sorti son engin et se masturbe lui aussi. Est-ce qu’elle ira plus loin avec lui ? Est-ce qu’il va la baiser ?
Ma femme s’allonge sur le canapé et prend la verge de Omar en bouche. Elle est terriblement cochonne et bandante comme ça, en porte-jarretelles et bas, les seins dardés, un gode coulissant dans sa chatte, les jambes largement écartées et surtout avec le sexe de Omar en bouche. Bon sang ce qu’elle est belle quand elle suce. Je me branle encore plus fort.
Nadia jouit et inonde son entrejambe. Je n’ai jamais encore assisté à une telle jouissance chez elle. Omar jouit à son tour et mon épouse ne perd pas une goutte de sa semence. Elle est tellement excitée que je crois qu’aujourd’hui elle pourrait tout accepter d’un homme. Je vais bientôt jouir aussi, même si je me demande vers quoi tout cela nous mène.
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Je suis affalée sur le canapé, les jambes écartées et le gode toujours en moi. Je n’ai plus de force et une grande sensation de vide me saisit. J’ai joui comme jamais, trempant le canapé sous moi. Incroyable ! Jamais je n’aurais cru cela possible.
Omar s’est relevé. Il semble avoir apprécié mon attention pour lui. Je le regarde se déshabiller entièrement. Il n’est pas trop mal. Je dois ressembler à une putain dans cette position. Il se penche sur moi et m’embrasse doucement, sa main caresse mon épaule et glisse lentement vers ma poitrine. Je reste amorphe jusque son contact avec mon téton qui réveille toute l’excitation contenue. Mon sexe se contracte immédiatement sur le gode et je jouis à nouveau de cette simple caresse. C’est terriblement bon ! Il approche sa main de mon sexe qui dégouline complètement. Tant pis pour le canapé. Il caresse ma toison, contourne mon clitoris gonflé et attrape le godemiché qu’il fait doucement aller et venir en moi, m’arrachant des petits gémissements, tout en me le retirant doucement. Mon vagin se contracte complètement au passage de cet objet tellement j’ai les sens à vif.
Omar couvre mon corps de baisers, mes seins, mon ventre, mes jambes et remonte sur mes cuisses. Il darde sa langue sur mon clitoris, ce qui réveille toutes les envies de mon corps, de ma bouche à mon cul. Il me lèche maintenant avec dextérité réveillant mon désir mais ne me laissant pas jouir à nouveau. Il sait y faire. De mon côté, avec mon bras pendant hors du canapé, j’ai attrapé ses testicules que je malaxe et prends ensuite sa verge pour la branler doucement.
Mon plaisir ne va pas tarder et je branle de plus en plus fort Omar. Il est à nouveau bien dur lorsque je l’arrête et lui demande de venir s’allonger sur moi. J’ai complètement relevé les jambes et attrapé ses hanches pour mieux le laisser me pénétrer. Je veux enfin un vrai sexe en moi, le sentir bouger et palpiter, le sentir jouir et m’inonder. Tant pis pour mon mari, il n’avait qu’à être là. Omar présente son gland à l’entrée de ma vulve. Il le glisse sur ma vulve, jouant avec mon clitoris. Je gémis. Je le veux en moi tout de suite.
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De ma place, je ne perds rien de la situation et je vois parfaitement le sexe de Omar s’approcher de la vulve de ma femme. Elle l’a guidé jusque là. Elle veut le sentir en elle et faire l’amour avec lui. Ça me fait mal mais en même temps c’est excitant. J’ai envie de rentrer pour tout interrompre mais je n’arrive pas à trouver la force de priver Nadia de ce plaisir tant attendu.
Mon épouse crie soudainement « Prends-moi à fond » en saisissant les fesses de Omar de ses deux mains et en le tirant vers elle d’un coup. La pénétration est superbe et totale. Elle hurle un râle de plaisir, lâche les fesses de l’homme et s’abandonne complètement en arrière. Son baiseur se lâche complètement et la bourre sauvagement, faisant claquer leur pubis, écartelant ses jambes. Elle n’en a cure et l’attire toujours plus loin en elle si c’est possible. Et elle jouit, elle jouit sans arrêt.
Je jouis à mon tour répandant ma semence sur le parquet et contre la porte du salon. Cette libération ne me libère pas pour autant et j’ai toujours le sexe aussi raide. Je me branle à nouveau.
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Je jouis sans discontinuer ! C’est diablement bon. Je suis épuisée et ne suis plus capable du moindre mouvement. Omar va-et-vient en moi sans arrêt toujours aussi fort et toujours aussi bon. J’ai la chatte en feu, le clitoris presque irrité par le désir et les frottements quand il se déverse enfin en moi. Je sens sa jouissance qui fait tressaillir sa verge. Je sens sa semence gicler dans ma matrice. Tout mon corps se contracte et j’enserre Omar entre mes jambes au plus profond de moi, les tétons dardés de douleur entre nos corps. Nous restons ainsi sans bouger un bon moment, échangeant juste un baiser.
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J’ai regardé jusqu’au bout cette vue ô combien inimaginable quelques heures auparavant, de cette bite entrant et sortant sans faillir du vagin de ma femme. J’ai vu Nadia jouir une dernière fois lorsqu’il a déversé son sperme en elle. C’en était trop et j’ai joui à nouveau sur la porte et le parquet.
Reprenant mes esprits, je me rhabille vite fait et quitte l’appartement sans faire de bruit. Je me place devant l’immeuble et attends le départ de Omar. Quinze minutes plus tard, je le vois dans l’entrée et fais mine de rentrer de la déchèterie. En le croisant, je lui demande si tout s’est bien passé et si ma femme n’a pas été trop dépensière car elle ne sait pas se retenir parfois. Il a masqué son trouble avant de me répondre dans un grand sourire que j’allais aimer ses achats et qu’il reviendrait lui en proposer de nouveau. Je lui demande sa carte de visite, qu’il hésite à me donner avant de s’exécuter, et file rapidement avec ses mallettes sous le bras. Je rejoins l’appartement me demandant, en riant intérieurement, comment ma femme allait pouvoir expliquer la tâche sur le canapé.
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Après cinq bonnes minutes sans bouger, je libère Omar qui se retire de moi. Son sexe est redevenu flasque et est gluant de sperme et de sécrétions. Ma chatte est à nouveau toute contractée, rouge d’irritation, les lèvres gonflées de désir. Et elle coule. Un liquide où se mélangent ma cyprine et son sperme. Nous filons à la douche que nous prenons séparément. Il faut se dépêcher car mon mari va rentrer dans une bonne dizaine de minutes. Une fois rhabillé, Omar range tout son matériel et je lui achète deux ensembles culotte/soutien-gorge et une culotte fendue. Il me fait cadeau des bas qui sont dans la salle de bain et du porte-jarretelles. Au dernier moment, je lui achète aussi le gode mais il refuse, prétextant que si je le veux, il faudra le laisser revenir pour me l’offrir. Je lui dis que je ne cherche pas d’amant et je ne sais pas si une prochaine rencontre serait aussi forte. Il souhaite tout de même avoir une chance de revenir et me prend mon numéro de portable tout en me laissant sa carte.
Omar est parti il y a quelques secondes et je me tourne vers le canapé. Bon sang, il n’y a rien à faire, il est complètement taché sur un carré de près de 30 centimètres de côté. Impossible de retourner le coussin. Je prends deux verres et verse de l’eau dedans avant de jeter le contenu de l’un d’eux sur le canapé. Tant pis, on fera avec.
Je reste en peignoir et passe ma culotte du matin et attends l’arrivée de Karim mon mari, mes achats rangés dans un sac. Il arrive deux minutes plus tard et me demande comment tout s’est passé, regarde mes achats en me disant d’un air coquin que l’on devrait faire une séance d’essayage.
• — C’est quoi la grosse tâche sur le canapé ?
• — Rien, juste un verre d’eau renversé. On avait soif alors je lui ai offert un verre et j’ai malheureusement renversé le mien. Pas de quoi fouetter un chat. D’ailleurs, je vais aller chercher une serviette pour tout éponger.
Je me propose d’y aller, car même après cette déconfiture, il me reste encore une carte à jouer. Arrivé à la salle de bain, je prends une serviette derrière la porte et remarque le porte-jarretelles et les bas toujours accrochés par terre. Je les prends aussi et arrivé au salon, je demande à Nadia si elle a repris une douche après la visite de Omar en lui disant ce que j’avais trouvé dans la salle de bains. En plus, elle ne m’avait pas dit qu’elle les avait achetés.
• — Oui avec l’essayage et le verre d’eau, j’étais un peu en sueur alors je suis retournée me laver. Deux secondes, rien de plus et j’ai oublié ça dans la salle de bain.
• — Mais tu les avais encore sur toi quand il est parti alors. Et il n’a rien dit ? Il ne te les a pas fait payer ?
Nadia est rouge cramoisi et prend son temps pour répondre.
• — En fait, je suis allée prendre ma douche pendant qu’il calculait le montant de mes achats. Alors oui, il était encore là et on a oublié le porte-jarretelles. Cool, ça me fait un cadeau aujourd’hui.
• — Ah oui, ça c’est cool.
Nadia nettoie le canapé avec la serviette pendant que je m’installe sur une chaise près de la table avant de lancer.
• — Tiens quand tu auras fini le canapé, il faudrait aussi nettoyer près de la porte. On a dû renverser quelque chose par terre parce que j’ai vu que c’était mouillé en passant.
Je joue ma dernière carte pour voir si elle va m’avouer son infidélité. Elle termine avec le canapé, apparemment soulagée que celui-ci ne soit plus une preuve contre elle, avant de rejoindre la porte. Elle la referme et s’attache au nettoyage. Après une courte minute, elle revient dans le salon et me regarde droit dans les yeux :
• — Tu étais là ?
• — Quand ? Lorsque Omar te pistonnait la chatte et jouissait en toi ou lorsque tu te branlais et avalais toute sa semence ?
• — Je suis désolée. Je ne sais pas ce qui m’a pris.
Nadia semble effondrée et ne sait comment se confondre en excuses. Je ne dis rien de spécial pendant une minute, puis je l’invite à me rejoindre en lui disant que ce n’est pas grave et que je n’avais jamais été aussi excité moi-même. Sur ce, je l’ai invitée à me sucer à mon tour et je l’ai ensuite sodomisée car sa chatte ne pouvait malheureusement plus supporter le moindre assaut. Quant à Omar, il est déjà revenu plusieurs fois sans savoir pour l’instant que je suis au courant.
Ma femme et le commercial
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- Enregistré le : dim. 9 janv. 2011 22:38
- Situation : Homme
- Département : Isère
- Ville : Goncelin
Re: Ma femme et le commercial
délicieux récit !!!Elle s'est vraiment comporté comme une pute
fan des femmes qui ne se cachent pas d'aimer faire la pute avec ou sans nous 

Re: Ma femme et le commercial (photo de ma femme)
Voici la photo de ma femme Nadia qui a fait de moi,par la suite, un mari cocu et soumis.
C'est une nymphomane toujours en chaleur !
C'est une nymphomane toujours en chaleur !
Re: Ma femme et le commercial
Oui, ma douce épouse et tendre chérie
Tu peux à n’importe quel moment
De la journée
De jour comme de nuit
Rejoindre tes amants
Tes amants chéris
Moi, je reste sagement à la maison
Tranquillement dans mon logement
Imaginant ces bites énormes
Ces zobs démesurés
Qui te dilatent
Qui t’engraissent
Qui t’épaississent
Qui te labourent
Qui te parcourent
Et quand tu seras complètement repue
Totalement gavée
Entièrement comblée
Tu me reviendras
Très tôt le matin
Souillée, suintant la sueur
Le sperme et tes propres jouissances
Devant la porte d’entrée
Je m’agenouille à tes pieds
J’embrasse tes orteils un par un
Et te remercie
De n’avoir pas oublié
De m’apporter
De m’offrir
Ma dose de sperme
De semence
Des restes du passage de tes amants
Passionnés et engoués
Exaltés et enflammés
Je renifle dans tes recoins les plus intimes
Ta fente malmenée toute la nuit
Je palpe ta rosette déformée, tes seins triturés
Ton string dégoulinant de sperme
Tu te plais à me raconter
Tes turpitudes longuement avec détails
Tu me décris tes ébats sexuels
Leurs longues bites
Que tu compares à des gourdins
Qui n’ont pas la taille du mien
Pourtant il y a peu de temps
Tu étais la femme d'un seul homme
Tes seins, tes reins, ta jolie petite chatte
N’avaient connu que moi
Tu peux à n’importe quel moment
De la journée
De jour comme de nuit
Rejoindre tes amants
Tes amants chéris
Moi, je reste sagement à la maison
Tranquillement dans mon logement
Imaginant ces bites énormes
Ces zobs démesurés
Qui te dilatent
Qui t’engraissent
Qui t’épaississent
Qui te labourent
Qui te parcourent
Et quand tu seras complètement repue
Totalement gavée
Entièrement comblée
Tu me reviendras
Très tôt le matin
Souillée, suintant la sueur
Le sperme et tes propres jouissances
Devant la porte d’entrée
Je m’agenouille à tes pieds
J’embrasse tes orteils un par un
Et te remercie
De n’avoir pas oublié
De m’apporter
De m’offrir
Ma dose de sperme
De semence
Des restes du passage de tes amants
Passionnés et engoués
Exaltés et enflammés
Je renifle dans tes recoins les plus intimes
Ta fente malmenée toute la nuit
Je palpe ta rosette déformée, tes seins triturés
Ton string dégoulinant de sperme
Tu te plais à me raconter
Tes turpitudes longuement avec détails
Tu me décris tes ébats sexuels
Leurs longues bites
Que tu compares à des gourdins
Qui n’ont pas la taille du mien
Pourtant il y a peu de temps
Tu étais la femme d'un seul homme
Tes seins, tes reins, ta jolie petite chatte
N’avaient connu que moi
Re: Ma femme et le commercial
Cela faisait bien des mois que je n’avais pas touché ma femme Nadia, manquant totalement de libido au point d’être même incapable de bander. Cela m’arrive fréquemment, depuis toujours. Pourtant j’ai tout juste dépassé la trentaine et ma femme, Nadia a 24 ans, elle est mignonne, elle a surtout des seins fabuleux, des hanches rondes, la taille fine, et de très gros besoins sexuels. Notre relation n’a jamais reposé sur le sexe (forcément …), mais plutôt sur le fait qu’on s’entend bien et que j’ai un très bon boulot, mais là quand même elle faisait vraiment la gueule, même si on n’abordait pas le sujet. Je sais qu’elle couche avec des types mieux membrés que moi et surtout qui arrivent à bander sans problème et à être endurants au lit, et elle a déjà couché avec certains de mes copains et avec d’autres mecs qu’elle connaît.
Moi j’ai toujours accepté tout ça sans rien dire, vu que je ne peux m’en prendre qu’à moi-même et que je pense qu’il y a, dans la vie, d’un côté les gros queutards sans scrupules, et de l’autre les lopettes, et que ça ne sert à rien de lutter contre ça, chacun sa nature et chacun ses possibilités, moi je suis du côté des lopettes, et les autres mecs en profitent avec ma femme, c’est la vie …
Dans les périodes où je n’arrive vraiment à rien, Nadia est rapidement en chaleur ; elle l’est déjà d’habitude, alors là … je la voyais se toucher les seins le soir au moment où on se couche, je l’avais surprise une fois en train de se caresser la chatte sur le lit, et je suis à peu près sûr que son jeune collègue en avait profité pour la tringler au boulot, comme d’habitude, vu qu’un soir où je l’appelais pour lui demander pourquoi elle était en retard, c’est lui qui avait décroché et il m’avait dit qu’elle était occupée, et j’avais entendu à sa voix qu’il se marrait en me disant ça. Déjà que d’habitude il me regarde toujours d’un air narquois quand je le rencontre ... Mais bon, on restait dans le cadre habituel, ma femme aime la queue, ses gros nibards allument tous les mecs, et moi je n’assure pas au lit et je suis donc bien obligé d’accepter d’être le cocu de service dont la femme fait le bonheur des autres mecs.
Tout ça a pris un tour vraiment gênant quand mon frère, Rachid, est venu passer 3 mois chez nous pour une mission pour son boulot. Il est consultant informatique, et sa venue à la maison était prévue depuis un moment, je n’ai pas vu de problème. Dans la famille, les mecs sont des vrais queutards, sauf moi ; Rachid a 3 ans de plus que moi, est toujours célibataire et il passe son temps à coucher avec toutes les filles qui passent. Il fait du sport ça lui sculpte le torse et les épaules, alors que moi je n’en fais pas du tout. Je savais bien qu’il matait les seins et les cuisses de ma femme à chaque repas de famille, et que Nadia n’était pas insensible, mais il a toujours été super correct, à la différence de mon groupe d’amis. Ils avaient entendu un jour un de mes amis me traiter en rigolant de « cocu de service », mais ils avaient fait semblant de croire mes explications (j’avais expliqué que c’était juste une vanne entre potes). Cela dit, ils se moquent tout de même de moi depuis l’adolescence à propos du fait que j’ai eu peu de copines et qu’elles me quittaient toujours très vite pour un autre, alors qu’eux en avaient parfois plusieurs en même temps, et ils ont été assez surpris que j’épouse une bombe avec des seins de rêve.
Quand Rachid est arrivé, j’étais super content d’accueillir mon grand frère ; je l’admire depuis toujours, et on s’entend vraiment bien. Je n’avais pas trop fait attention au fait que Nadia portait une minijupe vraiment très courte, vu qu’elle s’habille toujours plus ou moins comme ça ; son chemisier blanc était normal, donc tout allait bien. J’ai informé mon frère qu’il dormirait sur le lit pliant, dans notre chambre, puis on a commencé à dîner. Pendant le dîner je me suis quand même rendu compte que Rachid louchait carrément sur les seins de Nadia ; ça m’a surpris, car d’ordinaire je le vois faire ça plutôt en douce, mais j’ai compris quand j’ai vu que Nadia avait dégrafé deux boutons de son chemisier : la vue était plongeante sur son superbe décolleté, on voyait très bien presque toute la moitié supérieure de ses deux gros seins !! A la vue de ces deux gros nibards, mon queutard de frère oubliait complètement les convenances et ma présence, et son regard ne quittait plus les seins de ma femme ! Nadia arborait un petit sourire coquin, elle semblait fière de se sentir désirée par un mec. La conversation s’est un peu éteinte, et Rachid et Nadia ont échangé un long regard, regard interrogateur du côté de mon frère et regard « allumeur » de ma femme, tout ça sans un mot, sans que je puisse me plaindre de quoi que ce soit d’objectif.
Quand on s’est levés, Rachid arborait à travers son jean une énorme érection (mais vraiment énorme !); ça l’a toujours fait rigoler, il a toujours parlé de « son gros zob » avec beaucoup de fierté dans nos conversations entre frangins. Nadia a évidemment caressé sa braguette des yeux, je l’ai vu et lui aussi, on avait l’impression que la queue remontait jusque sous la chemise !! Il avait un peu l’air gêné, mais il faisait semblant de rien, et ça s’est calmé petit à petit. On a pris un café sur le canapé, puis, comme il se faisait tard, j’ai proposé qu’on aille se coucher. L’ambiance était bizarre, je faisais la gueule mais sans oser dire pourquoi je la faisais, vu qu'il ne s'était rien passé de grave. J'ai donc dit "je vais me coucher, Nadia a dit qu’elle me rejoignait, mais j’ai insisté en lui rappelant qu’elle devait bosser le lendemain, et que pour Rachid c’était le premier jour de sa mission chez son nouveau client. Je pense qu’elle a compris que je la soupçonnais de vouloir allumer mon propre frère sous mon toit, pour pouvoir enfin se faire sauter, et donc elle n’a pas insisté ; Rachid n’a rien dit, il nous a suivi en faisant comme s’il ne se rendait pas compte que l’atmosphère devenait lourde entre Nadia et moi.
J’ai toujours laissé ma femme se faire baiser par d’autres gars (pas par plaisir, mais parce que je pense que je n’ai pas les moyens de lutter contre eux), mais là, avec mon frère, c’était trop, je ne suis quand même pas un paillasson. Dans mon groupe de copains, ils se refilent le numéro de portable de ma femme et se vantent devant moi qu’elle est bonne et pas farouche et que c’est génial d’avoir un copain comme moi.
Rachid s’est mis en caleçon, Nadia est allée dans la salle de bains pour se changer, pendant ce temps Rachid m’a juste demandé, d’un air ironique : « ça va ? », j’ai répondu « oui » d’une voix un peu chevrotante, et Nadia est revenue dans la chambre : elle portait un tee-shirt très court et un string !! J’ai levé les yeux au ciel et je me suis couché, en pyjama, en faisant clairement la gueule, pour lui faire comprendre que je la trouvais ridicule et qu’elle dépassait les bornes. Rachid, torse nu et en caleçon, avait les yeux écarquillés et il essayait visiblement de se contenir. Moi je pensais déjà à l’engueulade que j’allais passer à Nadia le lendemain pendant que mon frère prendrait sa douche. Nadia s’est couchée à côté de moi, dans notre super lit « King size » et mon frère s’est couché dans le lit pliant, et on a éteint la lumière. Cinq minutes plus tard, Rachid a dit tout haut : « putain il est super dur, ce lit ! » et j’ai répondu d'un ton sec « c’est tout ce qu’on a ». Un silence, puis il a repris : « déjà que je vais voir un kiné, parce que je me suis fait mal au dos en faisant du sport, ça va pas s’arranger avec ce lit … ». J’ai répondu « ben oui mais je ne peux pas t’inviter à dormir dans notre lit, même s’il est grand, vu que Nadia est en string, ça craint ». Nadia, se sentant attaquée, a répondu, d’une voix amusée « tu es ridicule Karim, … » et Rachid a ajouté « t’exagères, je suis ton frère, Nadia c’est ma belle-sœur, je vous adore tous les deux, vas pas te faire des idées ». Je devenais apparemment ridicule …
J’ai donc cédé en disant : « bon, ok, c’est vrai je me comporte comme un con ». Rachid s’est levé et il nous a rejoint dans le lit. Comme j’étais couché du côté du mur, comme toutes les nuits, il est entré dans le lit du côté de Nadia, et elle s’est retrouvée entre lui et moi. Je ne voulais pas avoir l’air du mari jaloux (ça aurait bien été la première fois), mais je voulais quand même veiller au grain. J’ai donc décidé de ne pas m’endormir au cas où … Je n’ai pas fait semblant de ronfler, je suis resté immobile, l’oreille en éveil. Eux sont restés très sages, et au bout d’un moment j’ai entendu leurs respirations, régulières, m’indiquant qu’ils étaient tous les deux endormis. Je me suis donc laissé aller moi aussi, et je me suis endormi, rassuré.
En général j’ai le sommeil très lourd, mais là je devais être un peu inquiet tout de même, car j’ai été réveillé peu après par un bruit léger, à la fois un bruit de frôlements et de chuchotements. La première chose que j’ai entendu, c’est mon frère qui murmurait « et là, ça te fait du bien ? » et Nadia qui chuchotait « oui, j’aime bien sur le ventre … t’as la main chaude … ». Apparemment, Rachid lui caressait doucement le ventre, sous son tee-shirt ; j’ai légèrement entrouvert les paupières, et dans la pénombre j’ai vu qu’il était relevé sur un coude, penché vers elle. Puis sa main est remontée, et il a murmuré « et là … ? » et elle, après un silence, a répondu tout bas « c’est mes seins … t'exagères ... mais j’adore … » et Rachid lui a dit « ils sont énormes … putain, vraiment énormes ... j’ai la gaule ! ». Mon frère paluchait les gros nibards de ma femme, nus sous son tee-shirt, à côté de moi ! Je croyais avoir tout subi, mais là c’était une première. Il avait l’air d’adorer ça, car ils ne parlaient plus et sa main restait sur ses seins, en passant de l’un à l’autre. 100 D, il y a de quoi se régaler, pour un mec. Soudain j’ai vu, à travers mes paupières toujours mi-closes, mon frère pencher sa tête vers elle, et il a commencé à l’embrasser dans le cou, de façon très langoureuse, avec des bruits de langue, même. Puis ses lèvres sont remontées sur les lèvres de Nadia, et il a commencé à lui rouler une pelle qui m’a semblé durer un temps infini ; en même temps qu’il l’embrassait, il s’est déplacé pour s’installer sur elle, entre ses cuisses, pendant qu’elle remontait doucement ses cuisses autour des hanches de mon frère. A ce moment, elle a murmuré « et Karim … ? » et Rachid a répondu « il dort, ça va … et tu ne vas pas me faire croire que je suis le premier mec à te sauter dans votre lit ! » ; ma femme a répondu par un petit rire ; il lui a alors dit d’enlever son tee-shirt, ce qu’elle a fait immédiatement, libérant ses gros seins pour qu’il en profite pleinement. Ce salaud ne s’est pas gêné et il s’est carrément jeté sur ses seins, il s’est mis à les lécher consciencieusement, à les bouffer, sans faire trop de bruit mais en s’appliquant bien !! En même temps, je sentais qu’il faisait des mouvements de bassin, sans doute pour faire sentir à Nadia à quel point sa queue devenait grosse et raide, en se frottant contre elle. Ca a duré un long moment, elle lui caressait les cheveux, les épaules, et je sentais bien qu’ils commençaient tous les deux à même oublier que j’étais sensé dormir à 20 centimètres d’eux. La langue et les lèvres de mon frère ont continué à parcourir soigneusement les deux seins de ma femme, les tétons et toute leur surface, pendant que je me mordais les lèvres pour ne pas hurler de douleur et de jalousie.
Pour un baiseur comme mon frère, la suite était évidente ; il a commencé à baisser le string de Nadia, elle a relevé les cuisses pour qu’il puisse le lui enlever complètement, et il a glissé ses doigts sur les lèvres du vagin; elle s’est mise à gémir doucement, et il a dit, presque à voix haute : « mhhh en plus tu t’es épilée la chatte … oh t’es toute mouillée, salope … » puis il s’est replacé sur elle pour lui rouler une pelle de nouveau, et les mains de ma femme ont fait descendre le caleçon de mon frère, j’ai senti qu’il se plaçait bien entre ses cuisses de nouveau, et il a commencé à la pénétrer, à faire entrer sa grosse bite dans la chatte de ma femme, comme si c’était tout naturel. Apparemment ça n’était pas si facile, car J’ai senti qu’il arrêtait son mouvement, avec une partie de sa queue seulement enfoncée dans la chatte de Nadia, et il lui a demandé « ça va ? Je te fais pas mal ? » Et elle a répondu « non, c’est délicieux, mais je ne sais pas si tu pourras l’enfoncer plus, elle est tellement énorme … ». Rachid a donné quelques petits coups de reins, tout doucement, en lui chuchotant « détends toi, écarte … » et apparemment il a pu continuer à la pénétrer encore plus, sa queue rentrait mieux finalement (je me suis souvenu à ce moment d’une douche que j’avais prise avec lui, il y a longtemps, et j’avais trouvé sa bite énorme, même au repos, un vrai monstre, et ses couilles aussi m’avaient semblé deux fois plus grosses que les miennes ; la nature est injuste). Là, Rachid a arrêté de nouveau son mouvement, et il a dit à Nadia, sur un ton un peu étonné : « quand même … tu te rends compte ? » et elle a répondu « oui, je sais … baise moi, j’ai trop envie … » pendant qu'elle s'accrochait à ses épaules musclées. Mon sort était scellé.
Ils ont fait l’amour un long moment ; en regardant le réveil matin qui était sur la table de nuit, j’ai pu calculer que Rachid a limé ma femme pendant plus de 35 minutes, toujours en position du missionnaire. Je pense que pour son premier coup avec elle, il voulait lui montrer qu’il est endurant. A certains moments, le plaisir de Nadia était si intense qu’elle poussait des cris, en oubliant totalement de faire attention à moi. Dans ces moments-là, je sentais que mon frère se mettait à la pistonner encore plus vite et encore plus fort. Je sentais chacun de leurs mouvements qui faisaient bouger le matelas, cela me faisait bouger aussi, j’avais l’impression d’être sur un bateau qui tangue, parfois. A plusieurs reprises, j’ai été heurté par le coude de Rachid, ou par son pied, et je continuais à faire semblant de dormir. Après avoir ramoné la chatte de ma femme 35 minutes environ donc, et lui avoir donné deux orgasmes d’après ce que j’ai supposé des cris qu’elle a poussé, Rachid a éjaculé, très longuement et très fort, en poussant un énorme râle de plaisir. Moi j’étais dans un état second, j’avais presque physiquement l’impression de ne plus exister, d’être juste un fantôme à côté de ce couple d’amants passionnés, en tout cas d’avoir une existence moins réelle que la leur.
Rachid a retiré sa queue de la chatte de Nadia, après quelques instants de repos, elle est sortie du lit et est allée vers la salle de bains. Mon frère l’a laissée s’éloigner, puis il a dit « alors frangin, tu vas continuer à faire semblant de dormir pendant que je m’envoie ta femme ? ». Je suis resté silencieux puis, me rendant compte que c’était ridicule, j’ai répondu, tout bas « qu’est-ce que tu veux que je fasse d’autre ? » et il a dit « ben rien, t’as raison, là y’a plus rien à faire pour toi, j’ai honte pour toi, mon pauvre ! Tu te rends compte ? Je n’arrive même pas à y croire, t’es trop naze. ». J’ai murmuré « tu ne vas pas te plaindre, en plus … » et il a répondu « non, ça c’est sûr, quand un mec est nul comme toi et que sa femme est une bombe en chaleur, moi je suis un vrai mec, alors j’en profite, et tant pis pour ta gueule si t’es trop nul et que tu me laisses la baiser dans ton lit ! Purée j’y crois pas, quel pied … je vais la tirer sans arrêt, cette salope, elle aime trop ça, et savoir qu’en plus c’est ma belle-sœur, là rien que de le dire, ça me fout la trique à nouveau … je vais la démonter toute la nuit !! Tu vas chialer, frangin, tu n’as pas fini de m’entendre l’enfiler !! Si t’aimes l’entendre gémir, ouvre les oreilles, je vais lui mettre tout ce que j’ai !! ».
Sans rien répondre, je me suis levé et je suis allé me coucher sur le lit pliant, dans le coin de la chambre. Nadia est revenue de la salle de bains quelques secondes après, toujours totalement nue. Elle a vu immédiatement que j’avais changé de lit, elle s’est assise à côté de Rachid, en regardant dans ma direction dans la pénombre, Mon frère a posé une main sur un des seins de ma femme et il l’a attirée vers lui, elle s’est rallongée et il lui a dit « on va être plus à l’aise, j’ai super envie de te faire l’amour toute la nuit ! ». Il a ajouté « tu vas voir, je vais te sauter au moins 7 ou 8 fois cette nuit » et Nadia a ri en disant « vous êtes très différents dans la famille ! ». Rachid lui a demandé « alors tu veux te la prendre encore ? » et elle a répondu « oui, j'ai envie de te sentir en moi … viens ! Baise-moi comme une chienne, baise-moi de partout ! Encule-moi devant Karim, ton cocu de frère ! ».
Moi j’ai toujours accepté tout ça sans rien dire, vu que je ne peux m’en prendre qu’à moi-même et que je pense qu’il y a, dans la vie, d’un côté les gros queutards sans scrupules, et de l’autre les lopettes, et que ça ne sert à rien de lutter contre ça, chacun sa nature et chacun ses possibilités, moi je suis du côté des lopettes, et les autres mecs en profitent avec ma femme, c’est la vie …
Dans les périodes où je n’arrive vraiment à rien, Nadia est rapidement en chaleur ; elle l’est déjà d’habitude, alors là … je la voyais se toucher les seins le soir au moment où on se couche, je l’avais surprise une fois en train de se caresser la chatte sur le lit, et je suis à peu près sûr que son jeune collègue en avait profité pour la tringler au boulot, comme d’habitude, vu qu’un soir où je l’appelais pour lui demander pourquoi elle était en retard, c’est lui qui avait décroché et il m’avait dit qu’elle était occupée, et j’avais entendu à sa voix qu’il se marrait en me disant ça. Déjà que d’habitude il me regarde toujours d’un air narquois quand je le rencontre ... Mais bon, on restait dans le cadre habituel, ma femme aime la queue, ses gros nibards allument tous les mecs, et moi je n’assure pas au lit et je suis donc bien obligé d’accepter d’être le cocu de service dont la femme fait le bonheur des autres mecs.
Tout ça a pris un tour vraiment gênant quand mon frère, Rachid, est venu passer 3 mois chez nous pour une mission pour son boulot. Il est consultant informatique, et sa venue à la maison était prévue depuis un moment, je n’ai pas vu de problème. Dans la famille, les mecs sont des vrais queutards, sauf moi ; Rachid a 3 ans de plus que moi, est toujours célibataire et il passe son temps à coucher avec toutes les filles qui passent. Il fait du sport ça lui sculpte le torse et les épaules, alors que moi je n’en fais pas du tout. Je savais bien qu’il matait les seins et les cuisses de ma femme à chaque repas de famille, et que Nadia n’était pas insensible, mais il a toujours été super correct, à la différence de mon groupe d’amis. Ils avaient entendu un jour un de mes amis me traiter en rigolant de « cocu de service », mais ils avaient fait semblant de croire mes explications (j’avais expliqué que c’était juste une vanne entre potes). Cela dit, ils se moquent tout de même de moi depuis l’adolescence à propos du fait que j’ai eu peu de copines et qu’elles me quittaient toujours très vite pour un autre, alors qu’eux en avaient parfois plusieurs en même temps, et ils ont été assez surpris que j’épouse une bombe avec des seins de rêve.
Quand Rachid est arrivé, j’étais super content d’accueillir mon grand frère ; je l’admire depuis toujours, et on s’entend vraiment bien. Je n’avais pas trop fait attention au fait que Nadia portait une minijupe vraiment très courte, vu qu’elle s’habille toujours plus ou moins comme ça ; son chemisier blanc était normal, donc tout allait bien. J’ai informé mon frère qu’il dormirait sur le lit pliant, dans notre chambre, puis on a commencé à dîner. Pendant le dîner je me suis quand même rendu compte que Rachid louchait carrément sur les seins de Nadia ; ça m’a surpris, car d’ordinaire je le vois faire ça plutôt en douce, mais j’ai compris quand j’ai vu que Nadia avait dégrafé deux boutons de son chemisier : la vue était plongeante sur son superbe décolleté, on voyait très bien presque toute la moitié supérieure de ses deux gros seins !! A la vue de ces deux gros nibards, mon queutard de frère oubliait complètement les convenances et ma présence, et son regard ne quittait plus les seins de ma femme ! Nadia arborait un petit sourire coquin, elle semblait fière de se sentir désirée par un mec. La conversation s’est un peu éteinte, et Rachid et Nadia ont échangé un long regard, regard interrogateur du côté de mon frère et regard « allumeur » de ma femme, tout ça sans un mot, sans que je puisse me plaindre de quoi que ce soit d’objectif.
Quand on s’est levés, Rachid arborait à travers son jean une énorme érection (mais vraiment énorme !); ça l’a toujours fait rigoler, il a toujours parlé de « son gros zob » avec beaucoup de fierté dans nos conversations entre frangins. Nadia a évidemment caressé sa braguette des yeux, je l’ai vu et lui aussi, on avait l’impression que la queue remontait jusque sous la chemise !! Il avait un peu l’air gêné, mais il faisait semblant de rien, et ça s’est calmé petit à petit. On a pris un café sur le canapé, puis, comme il se faisait tard, j’ai proposé qu’on aille se coucher. L’ambiance était bizarre, je faisais la gueule mais sans oser dire pourquoi je la faisais, vu qu'il ne s'était rien passé de grave. J'ai donc dit "je vais me coucher, Nadia a dit qu’elle me rejoignait, mais j’ai insisté en lui rappelant qu’elle devait bosser le lendemain, et que pour Rachid c’était le premier jour de sa mission chez son nouveau client. Je pense qu’elle a compris que je la soupçonnais de vouloir allumer mon propre frère sous mon toit, pour pouvoir enfin se faire sauter, et donc elle n’a pas insisté ; Rachid n’a rien dit, il nous a suivi en faisant comme s’il ne se rendait pas compte que l’atmosphère devenait lourde entre Nadia et moi.
J’ai toujours laissé ma femme se faire baiser par d’autres gars (pas par plaisir, mais parce que je pense que je n’ai pas les moyens de lutter contre eux), mais là, avec mon frère, c’était trop, je ne suis quand même pas un paillasson. Dans mon groupe de copains, ils se refilent le numéro de portable de ma femme et se vantent devant moi qu’elle est bonne et pas farouche et que c’est génial d’avoir un copain comme moi.
Rachid s’est mis en caleçon, Nadia est allée dans la salle de bains pour se changer, pendant ce temps Rachid m’a juste demandé, d’un air ironique : « ça va ? », j’ai répondu « oui » d’une voix un peu chevrotante, et Nadia est revenue dans la chambre : elle portait un tee-shirt très court et un string !! J’ai levé les yeux au ciel et je me suis couché, en pyjama, en faisant clairement la gueule, pour lui faire comprendre que je la trouvais ridicule et qu’elle dépassait les bornes. Rachid, torse nu et en caleçon, avait les yeux écarquillés et il essayait visiblement de se contenir. Moi je pensais déjà à l’engueulade que j’allais passer à Nadia le lendemain pendant que mon frère prendrait sa douche. Nadia s’est couchée à côté de moi, dans notre super lit « King size » et mon frère s’est couché dans le lit pliant, et on a éteint la lumière. Cinq minutes plus tard, Rachid a dit tout haut : « putain il est super dur, ce lit ! » et j’ai répondu d'un ton sec « c’est tout ce qu’on a ». Un silence, puis il a repris : « déjà que je vais voir un kiné, parce que je me suis fait mal au dos en faisant du sport, ça va pas s’arranger avec ce lit … ». J’ai répondu « ben oui mais je ne peux pas t’inviter à dormir dans notre lit, même s’il est grand, vu que Nadia est en string, ça craint ». Nadia, se sentant attaquée, a répondu, d’une voix amusée « tu es ridicule Karim, … » et Rachid a ajouté « t’exagères, je suis ton frère, Nadia c’est ma belle-sœur, je vous adore tous les deux, vas pas te faire des idées ». Je devenais apparemment ridicule …
J’ai donc cédé en disant : « bon, ok, c’est vrai je me comporte comme un con ». Rachid s’est levé et il nous a rejoint dans le lit. Comme j’étais couché du côté du mur, comme toutes les nuits, il est entré dans le lit du côté de Nadia, et elle s’est retrouvée entre lui et moi. Je ne voulais pas avoir l’air du mari jaloux (ça aurait bien été la première fois), mais je voulais quand même veiller au grain. J’ai donc décidé de ne pas m’endormir au cas où … Je n’ai pas fait semblant de ronfler, je suis resté immobile, l’oreille en éveil. Eux sont restés très sages, et au bout d’un moment j’ai entendu leurs respirations, régulières, m’indiquant qu’ils étaient tous les deux endormis. Je me suis donc laissé aller moi aussi, et je me suis endormi, rassuré.
En général j’ai le sommeil très lourd, mais là je devais être un peu inquiet tout de même, car j’ai été réveillé peu après par un bruit léger, à la fois un bruit de frôlements et de chuchotements. La première chose que j’ai entendu, c’est mon frère qui murmurait « et là, ça te fait du bien ? » et Nadia qui chuchotait « oui, j’aime bien sur le ventre … t’as la main chaude … ». Apparemment, Rachid lui caressait doucement le ventre, sous son tee-shirt ; j’ai légèrement entrouvert les paupières, et dans la pénombre j’ai vu qu’il était relevé sur un coude, penché vers elle. Puis sa main est remontée, et il a murmuré « et là … ? » et elle, après un silence, a répondu tout bas « c’est mes seins … t'exagères ... mais j’adore … » et Rachid lui a dit « ils sont énormes … putain, vraiment énormes ... j’ai la gaule ! ». Mon frère paluchait les gros nibards de ma femme, nus sous son tee-shirt, à côté de moi ! Je croyais avoir tout subi, mais là c’était une première. Il avait l’air d’adorer ça, car ils ne parlaient plus et sa main restait sur ses seins, en passant de l’un à l’autre. 100 D, il y a de quoi se régaler, pour un mec. Soudain j’ai vu, à travers mes paupières toujours mi-closes, mon frère pencher sa tête vers elle, et il a commencé à l’embrasser dans le cou, de façon très langoureuse, avec des bruits de langue, même. Puis ses lèvres sont remontées sur les lèvres de Nadia, et il a commencé à lui rouler une pelle qui m’a semblé durer un temps infini ; en même temps qu’il l’embrassait, il s’est déplacé pour s’installer sur elle, entre ses cuisses, pendant qu’elle remontait doucement ses cuisses autour des hanches de mon frère. A ce moment, elle a murmuré « et Karim … ? » et Rachid a répondu « il dort, ça va … et tu ne vas pas me faire croire que je suis le premier mec à te sauter dans votre lit ! » ; ma femme a répondu par un petit rire ; il lui a alors dit d’enlever son tee-shirt, ce qu’elle a fait immédiatement, libérant ses gros seins pour qu’il en profite pleinement. Ce salaud ne s’est pas gêné et il s’est carrément jeté sur ses seins, il s’est mis à les lécher consciencieusement, à les bouffer, sans faire trop de bruit mais en s’appliquant bien !! En même temps, je sentais qu’il faisait des mouvements de bassin, sans doute pour faire sentir à Nadia à quel point sa queue devenait grosse et raide, en se frottant contre elle. Ca a duré un long moment, elle lui caressait les cheveux, les épaules, et je sentais bien qu’ils commençaient tous les deux à même oublier que j’étais sensé dormir à 20 centimètres d’eux. La langue et les lèvres de mon frère ont continué à parcourir soigneusement les deux seins de ma femme, les tétons et toute leur surface, pendant que je me mordais les lèvres pour ne pas hurler de douleur et de jalousie.
Pour un baiseur comme mon frère, la suite était évidente ; il a commencé à baisser le string de Nadia, elle a relevé les cuisses pour qu’il puisse le lui enlever complètement, et il a glissé ses doigts sur les lèvres du vagin; elle s’est mise à gémir doucement, et il a dit, presque à voix haute : « mhhh en plus tu t’es épilée la chatte … oh t’es toute mouillée, salope … » puis il s’est replacé sur elle pour lui rouler une pelle de nouveau, et les mains de ma femme ont fait descendre le caleçon de mon frère, j’ai senti qu’il se plaçait bien entre ses cuisses de nouveau, et il a commencé à la pénétrer, à faire entrer sa grosse bite dans la chatte de ma femme, comme si c’était tout naturel. Apparemment ça n’était pas si facile, car J’ai senti qu’il arrêtait son mouvement, avec une partie de sa queue seulement enfoncée dans la chatte de Nadia, et il lui a demandé « ça va ? Je te fais pas mal ? » Et elle a répondu « non, c’est délicieux, mais je ne sais pas si tu pourras l’enfoncer plus, elle est tellement énorme … ». Rachid a donné quelques petits coups de reins, tout doucement, en lui chuchotant « détends toi, écarte … » et apparemment il a pu continuer à la pénétrer encore plus, sa queue rentrait mieux finalement (je me suis souvenu à ce moment d’une douche que j’avais prise avec lui, il y a longtemps, et j’avais trouvé sa bite énorme, même au repos, un vrai monstre, et ses couilles aussi m’avaient semblé deux fois plus grosses que les miennes ; la nature est injuste). Là, Rachid a arrêté de nouveau son mouvement, et il a dit à Nadia, sur un ton un peu étonné : « quand même … tu te rends compte ? » et elle a répondu « oui, je sais … baise moi, j’ai trop envie … » pendant qu'elle s'accrochait à ses épaules musclées. Mon sort était scellé.
Ils ont fait l’amour un long moment ; en regardant le réveil matin qui était sur la table de nuit, j’ai pu calculer que Rachid a limé ma femme pendant plus de 35 minutes, toujours en position du missionnaire. Je pense que pour son premier coup avec elle, il voulait lui montrer qu’il est endurant. A certains moments, le plaisir de Nadia était si intense qu’elle poussait des cris, en oubliant totalement de faire attention à moi. Dans ces moments-là, je sentais que mon frère se mettait à la pistonner encore plus vite et encore plus fort. Je sentais chacun de leurs mouvements qui faisaient bouger le matelas, cela me faisait bouger aussi, j’avais l’impression d’être sur un bateau qui tangue, parfois. A plusieurs reprises, j’ai été heurté par le coude de Rachid, ou par son pied, et je continuais à faire semblant de dormir. Après avoir ramoné la chatte de ma femme 35 minutes environ donc, et lui avoir donné deux orgasmes d’après ce que j’ai supposé des cris qu’elle a poussé, Rachid a éjaculé, très longuement et très fort, en poussant un énorme râle de plaisir. Moi j’étais dans un état second, j’avais presque physiquement l’impression de ne plus exister, d’être juste un fantôme à côté de ce couple d’amants passionnés, en tout cas d’avoir une existence moins réelle que la leur.
Rachid a retiré sa queue de la chatte de Nadia, après quelques instants de repos, elle est sortie du lit et est allée vers la salle de bains. Mon frère l’a laissée s’éloigner, puis il a dit « alors frangin, tu vas continuer à faire semblant de dormir pendant que je m’envoie ta femme ? ». Je suis resté silencieux puis, me rendant compte que c’était ridicule, j’ai répondu, tout bas « qu’est-ce que tu veux que je fasse d’autre ? » et il a dit « ben rien, t’as raison, là y’a plus rien à faire pour toi, j’ai honte pour toi, mon pauvre ! Tu te rends compte ? Je n’arrive même pas à y croire, t’es trop naze. ». J’ai murmuré « tu ne vas pas te plaindre, en plus … » et il a répondu « non, ça c’est sûr, quand un mec est nul comme toi et que sa femme est une bombe en chaleur, moi je suis un vrai mec, alors j’en profite, et tant pis pour ta gueule si t’es trop nul et que tu me laisses la baiser dans ton lit ! Purée j’y crois pas, quel pied … je vais la tirer sans arrêt, cette salope, elle aime trop ça, et savoir qu’en plus c’est ma belle-sœur, là rien que de le dire, ça me fout la trique à nouveau … je vais la démonter toute la nuit !! Tu vas chialer, frangin, tu n’as pas fini de m’entendre l’enfiler !! Si t’aimes l’entendre gémir, ouvre les oreilles, je vais lui mettre tout ce que j’ai !! ».
Sans rien répondre, je me suis levé et je suis allé me coucher sur le lit pliant, dans le coin de la chambre. Nadia est revenue de la salle de bains quelques secondes après, toujours totalement nue. Elle a vu immédiatement que j’avais changé de lit, elle s’est assise à côté de Rachid, en regardant dans ma direction dans la pénombre, Mon frère a posé une main sur un des seins de ma femme et il l’a attirée vers lui, elle s’est rallongée et il lui a dit « on va être plus à l’aise, j’ai super envie de te faire l’amour toute la nuit ! ». Il a ajouté « tu vas voir, je vais te sauter au moins 7 ou 8 fois cette nuit » et Nadia a ri en disant « vous êtes très différents dans la famille ! ». Rachid lui a demandé « alors tu veux te la prendre encore ? » et elle a répondu « oui, j'ai envie de te sentir en moi … viens ! Baise-moi comme une chienne, baise-moi de partout ! Encule-moi devant Karim, ton cocu de frère ! ».
- cassiusxxiii
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Re: Ma femme et le commercial
le 1er recit ... un pur delicice... J'ai bandé comme un ane !!!
Mais je ne sais pas quelle position m'a excité le plus ... celle d'Omar ou celle du mari
Mais je ne sais pas quelle position m'a excité le plus ... celle d'Omar ou celle du mari
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Re: Ma femme et le commercial
j'ai adoré ce récit. Et l'alternance d'écriture entre le cocu et la cocufieuse est un pur régal !
encore svp !!
encore svp !!