par GILLESBDX » Lun 19 Oct 2015 11:28
Pour commencer, je vais essayer de faire plaisir à quelqu'un qui adore que je parle de sa femme.
Sa femme se prénomme SOPHIE.
J'aurais aimé la rencontrer, mais je n'ai pu le faire et le fait qu'ils aient quitté Bordeaux ne va pas m'y aider.
Néanmoins, je vais essayer de reprendre les aventures de SOPHIE.
Voici un nouvel épisode intitulé "LA PISCINE"
Sophie et Damien avaient quitté la région bordelaise. Les obligations professionnelles du mari les avaient obligés à quitter Bordeaux pour s’installer dans une ville loin d’être désagréable : La Rochelle.
Cette ville portuaire, située un peu plus au nord sur la façade atlantique, offrait beaucoup d’agréments. La météo était peut-être un peu moins clémente, encore que si les températures étaient légèrement inférieures, les pluies l’étaient également.
Sophie avait facilement retrouvé du travail et elle avait oublié ses relations extrêmes avec Gilles et ce contrat incroyable qu’elle n’aurait jamais dû signer. Sa vie conjugale avec Damien était redevenue à peu près normale, pourtant, un élément nouveau allait de nouveau faire basculer les choses.
Un jour, elle se rendit à la piscine. Ces séances d’exercice physique lui faisaient beaucoup de bien et elle avait nagé jusqu’à l’épuisement, quand elle sortit enfin du bassin et alla prendre une douche. Elle se savonnait avec empressement quand une jeune femme arriva dans les douches collectives. Au début, Sophie ne prêta pas attention à elle, mais la splendide brune à la peau dorée la regardait vraiment avec une attention presque suspecte. La jeune femme se savonnait avec une réelle insistance, offrant la vision de ses parties intimes au regard de Sophie. Celle-ci remarqua le pubis entièrement glabre, mais elle se contenta d’adresser un sourire amical à l’étrange inconnue et termina ses ablutions sans davantage y prêter attention.
Sophie sortit de la douche et récupéra ses affaires pour se rhabiller dans une cabine. Etrangement, la jeune femme la suivit et s’installa juste dans la cabine voisine. Après la douche réparatrice, Sophie adorait prendre son temps pour se rhabiller. Elle enleva le petit maillot de bain et l’essora sur le sol de la cabine. Elle était nue et ne put s’empêcher de jeter un coup d’œil à sa silhouette dans le grand miroir accroché à la paroi. Malgré sa quarantaine, elle demeurait parfaitement désirable. Il fallait dire qu’elle prenait soin de son corps. Ses épilations étaient méticuleuses et elle avait repris le sport, ce qui lui permettait d’arborer une musculature fine mais donnant beaucoup de fermeté à son ventre et à ses fesses.
Elle se retourna légèrement pour les regarder dans le miroir. Honnêtement, elle trouvait qu’elle avait un beau cul… Tout en s’essuyant soigneusement, elle commença à sortir les vêtements qu’elle portait en arrivant. Une petite jupe noire très classique, un chemisier blanc et de la lingerie toujours blanche. Elle posa le soutien-gorge et le slip sur le petit banc de bois qui se trouvait derrière elle. Tandis qu’elle se recoiffait, elle heurta accidentellement le banc. La petite culotte blanche tomba sur le sol.
Dans la cabine voisine, la jeune femme qui avait suivi Sophie ne perdait pas une miette de ses préparatifs. A travers le minuscule trou dans la cloison, elle observait le corps de cette femme qui lui avait tapé dans l’œil. A sa grande déception, elle n’avait pas semblé plus réceptive que cela quand elle s’était caressée, en face d’elle, dans les douches collectives. A présent, elle avait le regard fixé sur ces fesses rebondies et elle rêvait de les caresser.
En voyant glisser le petit slip blanc sur le sol, elle se pencha sous la cloison et l’attrapa subrepticement. Sophie n’avait rien vu. La jeune femme, qui répondait au prénom de Mélissa, porta la pièce de lingerie à ses narines. Le doux fumet, à la fois suave et poivré du parfum du sexe de l’infirmière emplit sa cavité nasale. Elle inspira une seconde fois, puis regarda l’entrejambe de la culotte que Sophie avait portée toute la matinée. Des traces, légèrement jaunâtres prouvaient la présence de secrétions intimes, mais le blanc n’était pas la meilleure couleur pour les faire ressortir. Par contre, elles étaient odorantes au possible. Mélissa se régala. Un peu plus en arrière, de fines gouttes d’urine avaient tâché le fond de la culotte. Sans aucune gêne, elle passa sa langue sur les traces.
Sophie était maintenant entièrement sèche. Elle décida de se rhabiller. Pour commencer, elle fixa le soutien-gorge, le fit tourner comme elle en avait l’habitude, et le remonta sur ses seins, fins et délicats. Au moment d’enfiler sa culotte, elle se trouva bien embarrassée. Elle n’était plus là ! Pourtant, Sophie était presque certaine de l’avoir sortie du sac en même temps que ses autres vêtements. Machinalement, elle vérifia tout de même dans le sac de toile qu’elle apportait à la piscine, rien ! L’espace d’un instant, elle se demanda si elle n’allait pas enfiler le bas de son maillot de bain. Elle le prit entre ses mains, il était vraiment trop mouillé ! Du coup, elle remit la jupe sans rien dessous. Le mystère de la culotte disparue demeurait entier.
Au moment où Sophie allait sortir de la piscine, Mélissa l’aborda. Elle tenait la culotte de dentelle blanche entre les doigts.
- « Je m’excuse, c’est à vous ? » demanda la belle métisse aux yeux dorés.
- « Oui, c’est à moi, merci ! »
Sophie avait pris le slip blanc avec autorité et l’avait immédiatement glissé dans son sac. Si la jeune femme avait prévu d’engager la conversation, c’était raté ! L’infirmière était assez irritée par cet incident et ne pouvait pas penser que ce soit accidentellement que la brune se soit trouvée en possession de sa lingerie. C’était forcément prémédité ! Du coup, elle lui avait jeté un regard noir presque désagréable et avait tourné les talons aussitôt.
Elle rentra directement chez elle. Son mari n’était pas encore là. Tranquillement allongée sur le lit conjugal, elle repensa à l’épisode de la culotte. Elle se releva et alla la chercher dans le sac de toile. A sa grande surprise, elle trouva un post-it collé à l’intérieur du sous vêtement. Un prénom, « Mélissa », était suivi d’un numéro de téléphone portable.
Sur le moment, elle haussa les épaules, puis la curiosité prit le dessus. Elle se remit sur le lit et composa le numéro.
- « Mélissa ? C’est vous que j’ai croisée à la piscine ? »
- « Oui, c’est moi… Merci de m’appeler » répondit une voix suave et chaude.
- « Euh, je n’ai pas trop compris ce qui s’est passé… Vous n’avez pas trouvé ma culotte par hasard ? Et puis, quelle drôle d’idée de me laisser votre numéro de cette manière… »
- « Une riche idée en tous cas puisque tu m’as appelée … Je peux te demander ton prénom ? »
- « Sophie » répondit machinalement l’infirmière.
- « Eh bien voilà » reprit la belle métisse, « Je pense que tu as compris que tu ne me laissais pas indifférente… J’avoue que c’est un peu stupide de t’avoir emprunté ta culotte, mais je voulais que tu m’appelles… »
- « Et pour quoi faire ? »
- « Pour nous revoir, évidemment ! Tu me plais beaucoup… Je n’ai pas osé t’aborder plus franchement à la piscine… »
- « Je trouve que tu en as déjà fait beaucoup ! » répondit Sophie en repensant à la belle brune qui se caressait sous la douche.
- « Tu y retournes quand ? » demanda Mélissa.
- « Jeudi à midi ! » répondit Sophie.
- « Bien, j’y serai… »
Sophie raccrocha, encore troublée par cet appel. Quand elle était rentrée, elle avait la ferme intention de raconter cet épisode de la culotte disparue, ou plutôt piquée sous la cloison, à son mari, mais à présent elle n’en était plus du tout sure.
Après tout que risquait-elle à attendre jusqu’à jeudi ? Elle verrait bien…
à suivre...