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Myriam monta lentement sur le lit et se mit à califourchon sur ma femme. Elle resta immobile de longs instants, regardant Laurence fixement. Son regard parcourait ses seins, son visage, cherchait les yeux de ma femme et une approbation tacite de ce qu’elle s’apprêtait à faire.

- tu es belle ma Laurence, tu m’excites toujours autant. Tes seins sont splendides et tu sais les offrir aux regards et aux mains qui les désirent. Ta bouche est une invitation à l’amour, elle semble faite pour donner du plaisir aux hommes comme aux filles, ta langue sait être tellement perverse quand il le faut. Mais ce soir, tu es mon objet, tu m’appartiens, tu vas m’obéir, tu vas me procurer du plaisir car j’en ai besoin

Myriam s’est alors penché et à décroché les sangles qui retenaient les poignées de Laurence.

- redresse toi, regarde mes seins, je sais qu’ils te font fantasmer ! Regarde-les bien ! Mets tes mains sur ces globes qui ont excité tellement d’hommes. Je sais que tu les aimes…

Ma femme a posé les mains sur les hanches de Myriam puis les a lentement remontées jusqu’à ses seins. J’étais sidéré, je n’avais jamais vu ma femme dans ce rapport étonnant avec son amie. Je sentais qu’elle la désirait réellement, simplement, naturellement. Ses doigts ont parcouru doucement les globes lourds et chaleureux, puis elle a commencé à les caresser comme s’il d’agissait de trésors fragiles et délicats. Ses doigts se sont refermés puis ont accéléré leur mouvement :


- aucun homme ne m’a jamais caressé les seins comme cela, tu es une diablesse, ma Laurence. Je mouille comme une folle, j’ai envie de toi, j’ai envie de jouir de toi, par toi, en toi
- je vais te donner ce que tu attends, ma chérie. Mon mec va nous mater pendant que je t’envoie au ciel. Je lèche comme personne, demande à Corine, elle se souvient de nos soirées au dortoir. Donne moi ta chatte

Myriam approcha sa vulve du visage de ma femme. Celle ci enfouit son visage entre les jambes de son amie sans hésiter et commença à lui pénétrer la langue dans son vagin humide, se libérant de temps à autre pour un commentaire élogieux sur les qualités de son amie :

- tu mouilles bien ma Myriam. Les bites doivent rentrer toutes seules dans un tel tunnel. Combien t’ont pénétrée, combien t’ont tirée comme je veux l’être ce soir…

Myriam ne répondait pas, elle ondulait en gémissant doucement. Elle commença à se caresser les seins ce qui ajouta à mon excitation. Comme je m’y étais engagé, je n’allais pas jusqu’au bout de ma branle car j’avais le droit de mater mais pas de jouir.

Les cris de Myriam allaient crescendo et visiblement elle était au bord de l’orgasme. Elle prit la tête de Laurence dans ses mains et l’empêchait de reculer et de relâcher son effort :

- vas y, vas y, mon amie, mon amour, je suis ta femme, ta pute, ton amante, envoie moi en l’air, je t’en prie

Son orgasme fut si violent qu’elle manqua de tomber. Appuyée sur les mains, elle était encore plus excitante, trempée de sueur, les seins pendants se balançant devant le visage de ma femme qui les embrassait goulument.

Après de longues minutes, Myriam se leva et rattacha les bracelets de Laurence :

- tu m’a fais bien jouir ma chérie, quel pied, je ne sais pas comment te remercier, à moins que…

Myriam s’est approché de moi et a découvert mon sexe tendu, hommage à la scène à laquelle j’avais assisté et qui me laissait pantois. Fidèle à ses instructions, je m’étais retenu d’aller jusqu’au bout de ma masturbation mais le moindre contact pouvait me faire exploser. Myriam a regardé ma verge l’air songeur puis s’est tourné vers Laurence :

- ton mari a une très belle bite, elle donne envie de s’empaler dessus, je suis sûre que tu dois jouir comme une folle quand il t’enfile. Je me demande lequel de vous deux me fera jouir le mieux ce soir.

Je ne savais si Myriam faisait référence à l’orgasme qu’elle venait d’avoir ou si elle faisait allusion à d’autres jouissances qu’elles avaient pu se procurer en d’autres temps. Ma femme est toujours restée discrète sur ce point mais j’imagine qu’elle a du avoir eu des relations saphiques avec son amie.

Sans m’y préparer, Myriam s’empala sur ma verge et colla son ventre contre le mien. J’avais l’impression que mon sexe était aspiré par sa vulve détrempée. L’idée qu’elle était lubrifiée par ma femme me rendait fou. Myriam prit ses seins lourds dans les mains :

- regarde, je sais par ta femme que tu te branles régulièrement en pensant à mes nichons, mate les, je vais te faire jouir mais je ne veux pas que tu les quittes des yeux. Ils en font bander plus d’un, crois moi. C’est merveilleux de voir l’excitation des males quand je les fais balancer devant leur nez ;

Myriam sur ces mots se souleva deux ou trois fois. Le bruit de son sexe détrempé me transporta et j’éjaculais dans son sexe en hurlant :

- je me vide en toi, c’est ma femme qui t’a préparée pour moi, je te crache mon foutre, prends tout
- vas y Laurence nous regarde, remplis moi de sperme, fort, encore !

Je me vidais en longs jets dans sa vulve chaude et humidifiée par ma chérie. Mon éjaculation n’en finissait pas, je voulais qu’elle dure encore et encore en remerciement pour la beauté de son orgasme avec ma femme

Après quelques instants, le plus ahurissant se produisit. Myriam pris mes mains et m’ordonna de me saisir de ses seins. Puis m’entrainant avec elle, elle se dirigea vers le lit où Laurence reposait :

- Laurence, je veux que tu vois ton mari me peloter les seins de très près, très très près. Regarde comme ses mains sont expertes, comment il s’y prend bien. J’aime me faire caresser par ton homme comme j’aime que tu me fasses jouir avec ta langue. La prochaine fois il se branlera sur moi pendant que tu me lècheras. J’aime faire l’amour avec vous deux, je ne baise pas, je suis dans un nuage de bonheur

Puis s’éloignant de moi, elle se remit à califourchon sur Laurence et lui enfouit à nouveau le visage dans sa chatte :

- et maintenant goute le sperme de ton mari mélangé à ta salive et ma mouille

La scène dura suffisamment pour que, ayant retrouvé de la vigueur, je m’astique à nouveau la bitte devant elles et j’éjacule sur la chatte de ma femme, qui plus tard m’a reproché non d’avoir peloté son amie mais de ne pas l’avoir pénétrée pendant qu’elle nettoyait sa vulve !

excellent cette illustration, peux-tu en mettre d'autres ?