Etant nouveau venu ici, je vais vous raconter une histoire qui m'est arrivée il y a quelques temps déjà mais dont le souvenir est encore très présent et m'a permis de m'initier au candaulisme en tant que cocufieur.
C'était par une belle journée comme celle que nous avons actuellement, je prenais une bière en terrasse et je me mets à parler avec le couple à côté de moi; Lui la quarantaine, élégant, bon chic bon genre mais sans prétention; elle la trentaine, brune avec des yeux verts, un corps de déesse. Nous parlions entre mecs, la femme intervenait parfois mais assez timide. Au bout d'un moment, nous voilà à prendre une bouteille de vin blanc ensemble et poursuivre notre conversation très amicale.
Je m'absente quelques minutes pour répondre à un appel. À mon retour à la table, un peu dépité car une soirée entre potes prévue depuis longtemps venait de s'annuler.
De là ils me proposent de dîner avec eux, chez eux. Je trouve l'invitation agréable et accepte.
Me voilà dans un superbe appartement du VIIe arrondissement de Paris, parquet ciré, hauts plafonds, tableaux d'art contemporain aux murs…
La soirée se passe aussi bien qu'en terrasse, je suis ravi d'avoir rencontré des gens aussi charmants.
À mon retour des toilettes, l'homme me fait une proposition plutôt surprenante: Tu sais on te trouve sympa, ouvert, pas bête, mignon. Ma femme et moi avions toujours eu une envie commune mais personne ne nous avait convenu jusqu'à toi.
-????
- J'ai toujours eu envie de voir ma femme avec un autre homme mais cette dernière n'avait pas flashé sur un homme comme sur toi maintenant.
(J'avais bien remarqué ses regards insistants et ses effleurements mais en tant qu'invité je ne pouvais pas me permettre d'être déplacé)
Après le repas, pendant le café, j'étais assis sur le canapé, monsieur dans un fauteuil face à moi. Elle est arrivée un peu plus tard en nuisette prétextant qu'il faisait trop chaud pour rester vêtu.
Elle s'est assise à mes côtés, m'embrassa dans le cou avant de me prendre la bouche.
Délicieux baiser qui montait en intensité. Le mari dit; Continuez, ne vous préoccupez pas de moi, pas contre si tu ne veux pas dis le de suite.
Je n'allais pas partir, j'étais trop bien.
On se caressait mutuellement, puis on s'est retrouvé nus comme des vers rapidement et de torrides préliminaires se sont enchaînés. Elle avait un corps superbe, de beaux gros seins en forme de poire, un minou tout lisse, un cul bombé à souhait.
Elle prenait mon sexe en bouche et me pompait lentement en gémissant. Je la caressais, la doigtais. Puis je lui intimai de se lever et de m'offrir sa chatte à lécher.
Debout sur le canapé, face à moi, je dégustais son intimité.
VIsiblement je savais la flatter car elle me caressait la tête, se retournait de temps en temps vers son mari et elle pressait son vagin contre mon visage.
Toute proche de la jouissance, elle se pressa contre moi puis se laissait glisser. Sa chatte se frotta à mon menton, mon torse, mon ventre. Elle me regardait, me sourit et saisi ma queue raide pour se caresser les lèvres et le clito avec. D'un coup elle se laissa tomber pour s'empaler sur moi. Quel bonheur, une petite chatte étroite, brûlante et mouillée emprisonnait ma queue.
Je regarda par- dessus son épaule et le mari se paluchait joyeusement.
Elle et moi s'embrassions goulument. Peu original, nous sommes rester à copuler ainsi un long moment. Notre jouissance ne tardait pas à se manifester mais c'est elle qui me cramponna d'un coup les épaules, son corps se raidit et elle poussa un râle de satisfaction.
Je ne pus tenir et je jouis à mon tour en elle. On s'embrassa passionnément et sommes restés ainsi.
D'un coup, je sentis une caresse sur nos deux sexes joints, le mari essuyait mon sperme et la cyprine de sa femme mélangés, il ne voulait pas tacher le canapé!
Nous sommes restés en contact de nombreux mois, je les voyais ensemble, sinon elle seule et on envoyait des mms à son mari.
Mais ils ont dû déménager à l'étranger et je ne les ai pas revu.
Nous sommes toujours en contact et nous envoyons les voeux de fin d'année. Je sais qu'ils n'ont plus recommencer ce genre de coquineries.
Quant à moi, ce fut une belle introduction dans le monde du candaulisme.
