Forum de candaulisme pour les cocus libertins et couples échangistes

Svetlana prépara deux tasses et réchauffa le café de la veille. Elles le burent toutes les deux pendant que Juliette expliquait en quoi consistait son travail. L’activité était très orientée sur des campagnes de communication, mais, depuis qu’elles avaient répondu à cet appel d’offres pour le grand constructeur automobile et décroché le contrat, on les sollicitait de plus en plus pour des campagnes de pub nationales. Svetlana réfléchit deux secondes et déclara que cela pourrait l’intéresser vraiment.
- « Je pense que tu devrais venir avec moi et rencontrer ma patronne », dit Juliette.
- « Là, comme cela ? J’y vais en petite culotte ? » plaisanta la jeune femme rousse.
- « Mais non ! Je te laisse le temps de t’habiller. Par contre, il faut que tu soignes ton look. Ma chef dit toujours qu’on doit avoir envie de la personne qui vend le produit. »
- « Ok, tu vas m’aider à me préparer alors… »
- « Oui mais ne tarde pas trop, je dois être au bureau dans une demi-heure… »
Svetlana finit d’avaler son café et partit dans la salle de bains. Elle prit une douche rapide et revint vers Juliette, complètement nue, en essuyant sa toison toujours aussi flamboyante. Juliette avait envie de lui sauter dessus et de refaire l’amour avec elle, mais elles n’avaient vraiment pas le temps.
- « Je ne sais pas comment je vais m’habiller », dit Svetlana. « Toutes mes fringues à peu près potables se sont perdues dans le déménagement… »
- « Tu n’as pas une robe ? » s’inquiéta Juliette.
- « Si, il me reste une robe à fleurs, autrement je n’ai que des jeans… Je vais la chercher. »

à suivre...

Elle ramena la robe qui était jaune pâle avec des fleurs rouges, des coquelicots. Elle avait un air assez printanier, mais ce n’était pas vraiment le genre de vêtement qu’on portait pour un entretien d’embauche ! Juliette se dit que cela irait quand même et elle regarda Svetlana l’enfiler. Dessous, elle mit une culotte en dentelles et enfila des mules noires à hauts talons.
- « On y va ? » demanda-t-elle à Juliette. « Je ne voudrais pas que tu sois en retard… »
Juliette la regarda. Finalement, cela lui allait très bien et lui donnait un air jeune et dynamique. Elle lui demanda quand même de mettre un peu de rouges à lèvres, car Svetlana ne s’était pas maquillée.
Elles arrivèrent à l’agence de communication assez tôt. Marie était pourtant déjà là et Juliette se dirigea directement vers son bureau, suivie par Svetlana. Elle entra sans frapper.
- « Bonjour Marie », dit-elle. « Je me suis permis d’amener ma nouvelle voisine. Elle cherche du boulot et j’ai pensé qu’on avait vraiment besoin de renfort… »
- « C’est vrai » dit Marie en se levant et en allant à la rencontre de Svetlana. « Vous avez déjà travaillé dans la communication ? »
- « Non », répondit Svetlana. « Je viens juste d’arriver en France. J’étais professeur de français à Belgrade. »
- « Effectivement, ce n’est pas la même chose… Juliette va vous faire visiter notre agence pendant que je termine un dossier urgent, puis je vous recevrai. On verra si votre profil peut convenir. »
Svetlana fit un grand sourire et sortit avec Juliette. Marie était une collègue et une chef formidable, mais elle avait la réputation d’être assez sèche lors des entretiens d’embauche. Il fallait d’abord gagner sa confiance !
Juliette fit rapidement visiter les locaux de l’agence, qui n’étaient pas très grands, à Svetlana. A peine avait-elle terminé, que Marie sortit de son bureau et appela la jeune femme serbe. Juliette l’encouragea du regard.


à suivre...

Marie posa des questions assez précises à la candidate à l’embauche. Elle ne voulait pas qu’on l’accuse de favoriser une voisine de sa plus proche collaboratrice et tenait à être sûre que Svetlana pourrait faire l’affaire. Malgré un certain stress, car elle ne connaissait pas vraiment ce métier, l’immigrée serbe s’en sortit à merveille. Marie fut convaincue par la volonté de cette jeune femme qui n’avait pas hésité à quitter son pays, car elle n’appréciait pas l’arrogance et la corruption des dirigeants. Elle parlait parfaitement français, ce qui était indispensable, mais en plus elle parlait le russe et cette compétence manquait cruellement dans l’agence, depuis que les milliardaires de cet ancien pays communiste avaient commencé à s’installer dans la région. Prudente, Marie se garda tout de même une porte de sortie et proposa à la jeune femme un CDD de trois mois, à l’issue duquel elle verrait si elle l’embauchait en CDI. Svetlana était contente et la remercia chaleureusement.
- « Vous me rendez vraiment service », dit-elle à Marie.
- « Ici tout le monde se tutoie », lui dit Marie. « Va rejoindre Juliette. Elle va te montrer les bases de notre travail. »
Svetlana revint vers Juliette et lui annonça fièrement qu’elle était engagée. Sa voisine fut très contente et se dit qu’il faudrait qu’elle remercie Marie. Pour le moment, il lui fallait former Svetlana, pour qu’elle puisse les aider le plus rapidement possible.
Au moment de la pause du déjeuner, Juliette se rendit compte que presque tous ses collègues masculins venaient leur proposer de déjeuner avec eux. Ils avaient repéré cette belle rousse et voulaient essayer de la draguer… Voyant que Svetlana n’avait vraiment pas envie de les suivre, elles refusèrent toutes les propositions. Comme Marie avait dû partir pour signer un contrat, elles se retrouvèrent seules dans l’agence.
- « A cause de moi tu n’es pas allée déjeuner avec tes collègues », dit Svetlana. « Je m’en veux, il faut bien que tu manges… »
- « Oui », répondit Juliette avec une lueur dans les yeux. « Mais tu sais ce que j’ai envie de manger ? »
- « Non… »
- « Ta chatte ! »

à suivre...

Svetlana s’assit alors sur le bureau de Juliette. Elle releva sa robe et posa les talons de chaque côté de ses fesses. Juliette se mit face à elle et écarta la petite culotte en dentelles. Les poils roux abondants dépassaient de toutes parts. Elle les caressa doucement, puis sa main se glissa dans la culotte et elle fit rouler les lèvres de ce sexe entre son pouce et son index. Svetlana commença à faire onduler son bassin quand Juliette se mit à exciter son clitoris. Elle tendit les jambes, le temps que sa partenaire lui retire sa culotte, puis remit ses talons sur le bureau. Juliette s’agenouilla devant elle et enfouit son visage entre les cuisses de sa stagiaire et voisine. Elle retrouva le parfum épicé de ce sexe merveilleux. Sa langue s’insinua entre les lèvres et pénétra dans le vagin, pendant que ses doigts continuaient à caresser le clitoris de plus en plus vite. Svetlana sentit le plaisir monter et prit la tête de Juliette à deux mains pour mieux la plaquer contre son ventre.
Elle jouit soudain en criant, inondant la bouche de sa nouvelle collègue. C’est précisément à ce moment-là que Marie revint. Elle avait oublié un des exemplaires du contrat…
Elle les convoqua dans son bureau et prit un air sévère.
- « Juliette, tu travailles avec moi depuis assez longtemps pour savoir que je ne tolère pas qu’on mélange le travail et le sexe ! »
- « Je sais », balbutia-t-elle.
- « Toi, Svetlana, si ce genre de chose se reproduit, je ne vais pas pouvoir te garder ! »
- « Bien », dit la jeune serbe. « Je comprends… »
- « Bon, il y a vraiment du boulot », se radoucit Marie. « Mais qu’une telle chose ne se reproduise pas ! Si vous avez envie de baiser ensemble, je m’en fous, mais pas ici ! »
- « On ne recommencera pas », promit Juliette.
Svetlana avait envie d’apprendre très vite et, comme elle était intelligente, elle se montra assez vite plus efficace que Marie ne l’avait prévu. Dès le premier jour, elle fut capable d’accomplir certaines tâches de manière complètement autonome.

à suivre...

Marie la vit venir une nouvelle fois dans son bureau à la fin de la journée. Juliette attendait à la porte, car elle devait ramener Svetlana.
- « Tu veux quelque chose ? » lui demanda Marie.
- « Non, j’attends Svetlana. »
- « Tu peux partir si tu veux », lui répondit Marie qui souhaitait rester seule avec sa nouvelle recrue. « Je la ramènerai… »
Juliette sourit et partit vers sa voiture. Marie avait sûrement de bonnes raisons de rester en tête à tête avec Svetlana. Elle espérait simplement que leur patronne n’allait pas la virer à cause de ce qui s’était passé pendant la pause du déjeuner. Marie n’en avait pas du tout l’intention…
Etrangement, elle qui avait l’esprit et les mœurs très libres, avait été choquée de voir Juliette, sa Juliette, la tête entre les cuisses d’une autre. Qu’avait-elle de plus qu’elle, cette belle serbe rousse aux yeux verts et aux cheveux roux ? Elle se rendit compte qu’elle était profondément amoureuse de Juliette et que, si la voir avec un homme ne la dérangeait pas, elle ne supportait pas de la voir avec une autre femme.
Fidèle à ses principes, elle prétexta qu’elle avait des papiers à compléter pour le contrat de Svetlana et lui posa des questions qui auraient pu attendre le lendemain. Elle attendit qu’elles soient dans sa voiture pour que la véritable raison de leur tête à tête s’exprime. Elle dévoila ses intentions, franchement.
- « Tu sais, Svetlana », commença-t-elle, « je suis très satisfaite de tes débuts dans notre agence. Par contre, ce que je t’ai trouvé en train de faire hier à midi avec Juliette m’a fait un choc. «
- « Je sais », répondit Svetlana. « Nous n’aurions pas dû nous laisser aller sans aucune pudeur… »
- « Oh, ce n’est pas la vision de ton corps à moitié nu qui m’a choquée », reprit sa nouvelle responsable de service. « C’est le fait que ce soit avec Juliette… »
- « Je ne comprends pas… »
- « Cela aurait été avec moi » ajouta Marie en posant la main sur sa cuisse, « j’aurais été beaucoup moins choquée… «
Svetlana sourit. Elle préférait que sa nouvelle patronne prenne les choses de cette manière. Jusque-là, elle l’avait trouvée très élégante, mais elle n’avait même pas songé qu’il pourrait se passer quelque chose entre elles. A présent, elle la voyait d’un autre œil. Elle la trouva vraiment séduisante et à son goût. Si son avenir professionnel passait par une nuit avec sa patronne, elle allait tout faire pour la satisfaire et n’aurait même pas à se forcer.

à suivre...

Quand Marie se gara devant l’immeuble ou habitaient désormais deux de ses collaboratrices, elle prit soin de choisir une place où Juliette ne pourrait pas voir son véhicule de chez elle. Elles montèrent chez Svetlana et la belle jeune femme serbe la fit entrer en s’excusant pour le bazar qui régnait encore chez elle.
Marie attendit à peine qu’elle ait refermé la porte pour devenir plus entreprenante. Elle attira Svetlana contre elle et colla sa bouche contre la sienne. Leur baiser lui sembla interminable. Ensuite, elle fit glisser la robe jaune sur le sol et fit glisser la petite culotte en dentelles. Elle avait hâte de revoir cette toison rousse qui l’avait impressionnée quand elle l’avait surprise avec Juliette. Svetlana se laissa faire sans aucune difficulté, puis entreprit à son tour de déshabiller Marie. Comme d’habitude, la chef de service portait, sous son tailleur, un porte-jarretelles et des bas, mais Svetlana ne souhaitait pas s’encombrer d’artifices inutiles. Quand elles furent entièrement nues toutes les deux. Svetlana l’entraîna dans sa chambre. Elles s’installèrent face à face sur le lit. Lentement, Svetlana se mit à caresser les jambes de Marie avec son pied droit. Un peu déroutée par cette entrée en matière peu commune, la belle brune resta sans bouger.
Le pied tendu de Svetlana remonta vers les cuisses, puis vers le sexe entièrement épilé de sa patronne. Avec son gros orteil capable d’une précision impressionnante, elle écarta les petites lèvres de cette chatte humide. Le pied se fraya un chemin et commença à s’introduire doucement dans le vagin. Marie éprouva des sensations intenses et voulut rendre la pareille à Svetlana. Son pied rejoignit la toison épaisse de la jeune femme et caressa ce sexe que ses mains n’avaient encore jamais effleuré. Svetlana avait ressorti ses orteils du vagin de sa partenaire et elle se concentrait désormais sur son clitoris. Ce pied avait la dextérité d’une main et elle se mit à l’exciter avec une efficacité redoutable.

à suivre...

Marie chercha à son tour le centre du plaisir de la jeune femme et eut plus de mal à le trouver, au milieu de cette toison impressionnante. Svetlana posa le pied inquisiteur à l’endroit précis où se trouvait son bourgeon de chair. Elles s’excitèrent très longtemps, jusqu’à ce que l’une et l’autre sentent leur plaisir arriver. Svetlana était experte dans le contrôle de sa jouissance et elle adapta le rythme de ses mouvements à la montée du plaisir de Marie, si bien qu’elles jouirent à quelques secondes d’intervalle.
A peine avaient elles repris leurs esprits, que Svetlana vint présenter sa chatte à la bouche de Marie. Après ce premier orgasme surprenant, sans autre contact que leurs pieds, elle put enfin caresser et goûter ce sexe qui lui faisait tellement envie. Elle enfouit son visage dans l’intimité de Svetlana et la lécha avidement. Pour ne pas être en reste, Svetlana était, elle aussi partie à la découverte du sexe de Marie. Toutes les deux étaient déjà trempées des secrétions de leur premier orgasme et chacune dégusta la liqueur de l’autre. Leurs bouches avides faisaient des bruits de succion pour le moins excitant et chacune voulait explorer le moindre recoin du sexe de l’autre. Elles connurent un second orgasme. Cette fois, Svetlana jouit un peu avant Marie.
Svetlana se releva peu après et alla chercher le double gode qu’elle avait utilisé avec Juliette.
- « Tiens lèche le ! » dit-elle à Marie. « Il y a encore la mouille de Juliette. »
Sans hésiter Marie prit le gros sexe de latex dans sa bouche et le pompa comme une queue. Svetlana le retira au bout d’une minute et l’introduisit dans le vagin de Marie. Elle vint s’empaler à l’autre jour, comme elle l’avait fait avec Juliette et elles connurent un troisième orgasme.
Epuisées, elles s’endormirent dans les bras l’une de l’autre, sans même prendre le temps de dîner.

à suivre...

L’humiliation du cocu.



Le lendemain matin, Marie se réveilla très tôt. Elle se demanda un moment ce qu’elle faisait allongée à côté de cette belle jeune femme rousse, puis les choses lui revinrent très vite. Elle avait passé une soirée et une nuit merveilleuses.
Juliette, qui était inquiète de savoir si Svetlana était bien rentrée et surtout si elle devait la ramener à l’agence, alla sonner chez elle. Comme la jeune femme serbe dormait encore, ce fut Marie qui alla ouvrir après avoir enfilé un peignoir. Elle entrebâilla la porte d’entrée et aperçut Juliette. Elle ouvrit complètement et la fit entrer.
- « Ah, c’est toi ? Entre… »
Juliette pénétra dans l’appartement de sa voisine. Marie était nue sous le peignoir et il n’y avait pas besoin de lui faire un dessin pour qu’elle comprenne qu’elles avaient passé la nuit ensemble.
- « Alors toi aussi tu t’es laissé séduire par la belle serbe ? » demanda-t-elle à sa patronne.
- « Eh oui ! Que veux-tu, elle est irrésistible ! »
- « Je trouve aussi », avoua Juliette. « Elle dort ? »
- « Oui », dit Marie.
Juliette se dirigea vers la chambre où Svetlana n’avait pas encore ouvert l’œil. La belle rousse dormait, les cuisses écartées.

Juliette avait une vue imprenable sur sa toison et son sexe encore humide des folies de la soirée et de la nuit.
- « Elle est belle », murmura Juliette.
- « Oui, va la lécher », lui demanda Marie.
Elle ne se fit pas prier. Sa bouche se posa directement sur le sexe ouvert. Elle se mit à le lécher lentement. Sa langue parcourut les petites lèvres de la belle endormie, puis elle fouilla dans sa toison et se mit à exciter son clitoris.
- « C’est bon », murmura Svetlana. « Continue ! »
Marie les regardait avec une lueur d’envie dans les yeux. Juliette continua à exciter le bourgeon de chair et se mit à la mordiller. Svetlana ouvrit enfin les yeux et poussa un petit cri de surprise.
- « Oh, c’est toi ? » Je croyais que c’était Marie…
- « Elle te lèche aussi bien que moi ? »
- « Vous êtes merveilleuses toutes les deux », répondit Svetlana.
Marie jeta le peignoir sur le sol et rejoignit Juliette. Sa bouche se mêla à la sienne et leurs langues se rejoignirent sur le clitoris de Svetlana. La jeune femme rousse fit lentement glisser son corps et mit sa tête entre les cuisses de Marie. A son tour, elle colla sa bouche sur le sexe de sa nouvelle patronne. Marie gémit de plaisir. Elle abandonna le sexe de Svetlana pour aller redécouvrir celui de Juliette.

à suivre...

Bientôt, elles formèrent un triangle amoureux incroyablement sensuel. Leurs caresses buccales durèrent un bon moment. Svetlana jouit la première, puis Juliette explosa dans la bouche de Marie. Cette dernière aspira le clitoris de sa collaboratrice pour la faire jouir plus fort encore. Finalement, elle connut elle aussi l’orgasme et inonda la bouche de Svetlana.
Après cette triple jouissance, elles se cajolèrent et s’embrassèrent toutes les trois avec une tendresse infinie, puis elles allèrent prendre une douche ensemble, qui fut le prétexte à de nouveaux attouchements.
Elles se retrouvèrent enfin dans la cuisine et burent un café ensemble. Elles étaient nues toutes les trois. Malgré les vingt ans de plus qu’elle avait, Marie n’avait vraiment pas à rougir de son anatomie.
Elles s’habillèrent toutes les trois, puis partirent ensemble à l’agence. Juliette ne prit même pas sa voiture. Celle de Marie était assez grande et elle les ramènerait.
Une fois arrivées au bureau, Juliette poursuivit la formation de Svetlana. Elles ne parlèrent plus du tout de cette sexualité débordante qui les réunissait. Marie tenait trop à cette séparation nette entre le travail et la vie privée.
A la fin de la journée, Marie les ramena toutes les deux. Elle voulait rentrer chez elle et ne s’attarda pas chez Svetlana. Ce n’était pourtant pas l’envie qui lui en manquait. Juliette passa un moment avec sa nouvelle amie et elles ne purent s’empêcher de se caresser. Elles n’allèrent toutefois pas jusqu’à faire l’amour et se contentèrent de tendres attouchements. Svetlana s’était intégrée à une vitesse folle et elle avait déjà un travail et deux amies sur qui elle pouvait compter.

Juliette remonta chez elle encore toute émoustillée. Dans l’escalier, elle croisa Carole, la belle blonde qui descendait de chez Henri. Elle décida de l’aborder enfin.

à suivre...

- « Bonjour », lui dit-elle. « Vous vous plaisez dans l’immeuble ? »
- « Ça va », répondit-elle un peu hautaine. « Mais j’ai quand même hâte qu’Henri me trouve une maison… »
- « Je trouve dommage de ne pas mieux se connaître entre voisines. Même provisoires… » déclara Juliette qui la trouvait vraiment belle. « Venez boire le café un de ces jours… »
- « Volontiers », répondit Carole.
Juliette la regarda descendre l’escalier en ondulant les fesses comme une star. Elle portait une jupe serrée et de hauts escarpins. Son chemisier de soie était d’une grande marque. Il aurait été étonnant qu’Henri ne lui trouve pas une maison à acheter. Cela devait plutôt l’arranger qu’elle soit obligée de rester chez lui…
Juliette arriva sur le palier où se trouvait son appartement et entra à l’intérieur. Anton l’accueillit avec empressement. Il avait envie d’elle et le lui fit comprendre très rapidement.
Juliette le repoussa. Elle n’avait pas envie d’un homme. En tous cas pas d’un homme avec une petite bite et elle le lui dit franchement.
- « Ce soir, je n’ai pas envie, du moins pas avec toi ! »
- « Mais tu es ma femme », argumenta Anton.
- « Et alors ? J’en ai assez que tu me fasses l’amour à la petite semaine… De toute façon, cela ne te déplait pas de me voir faire l’amour avec un autre. Je l’ai bien vu avec Marc… »
- « Il te manque ? » demanda Anton qui redoutait la réponse de son épouse.
- « Oui », lui avoua-t-elle franchement. « Sa grosse queue me manque ! »
- « Téléphone-lui. Demande-lui de venir », s’entendit répondre Anton.
- « D’accord », rétorqua Juliette, « mais il pourra me faire tout ce qu’il voudra sans que tu t’énerves ? »
- « D’accord… »
Elle prit le téléphone et appela Marc. Il répondit aussitôt. Elle lui expliqua qu’elle avait envie de le voir et qu’Anton n’y voyait pas d’inconvénient. Marc fut un peu surpris par ce revirement, mais il n’avait pas oublié les merveilleux moments passés avec Juliette. Il lui promit de venir le plus vite possible.
Moins d’une demi-heure plus tard, il était déjà là. Cette fois, il ne se cacha pas et embrassa franchement Juliette sur la bouche devant les yeux d’Anton.
- « Cela me fait plaisir de revenir ici », déclara-t-il une fois installé dans le salon. « Comment va Marie ? »
- « Elle va bien », répondit Juliette. « Mais je suppose que si tu es venu, ce n’est pas pour me parler de ma patronne… »
- « Non, je suis venu pour m’occuper de ton petit cul », répondit Marc en posant les mains sur ses fesses. « Pas vrai qu’elle a un joli petit cul ta femme ? » demanda-t-il à Anton.
- « Oui », répondit simplement son ami.
- « Et tu as envie que je m’en occupe, hein ? Dis-le ! »
- « Oui », répondit encore Anton. « J’ai envie que tu la prennes devant moi… »

à suivre...

Marc déshabilla Juliette sous le regard de son époux. Elle se laissa faire et l’aida même à ôter son soutien-gorge qu’il avait du mal à dégrafer. Elle se retrouva nue devant l’homme qui l’avait tant fait jouir. Il avait sorti son sexe et se masturbait. Juliette s’avança et prit la belle queue dans sa bouche. Anton, qui était resté en retrait ne dit pas un mot. Il observait, comme un cocu docile et résigné.
- « Elle suce bien ta femme », lui dit Marc. « Tu peux te branler si tu veux, je suis sûr que ce spectacle t’excite. Regarde son cul comme il est beau », ajouta-t-il en lui flattant la croupe.
Anton ne répondit pas, mais il sortit son sexe et se mit à le branler. Marc avait tout de suite repris l’ascendant sur lui et allait baiser sa propre femme devant lui. Sans qu’il sache vraiment pourquoi, cette situation l’excitait au plus haut point. Il vit Marc se dévêtir et pénétrer l’intimité de Juliette d’un seul coup. Sa queue allait et venait dans le sexe moite de sa femme et elle prenait du plaisir devant lui, sans retenue. Tout allait redevenir comme avant. Juliette serait à nouveau disponible pour la grosse queue de Marc. Simplement, maintenant, Anton n’était plus obligé de se cacher pour regarder. Son statut de cocu était officiel.
Juliette écarta les cuisses au maximum pour bien sentir la queue de Marc au fond de son vagin. Cette sensation était incomparable avec ce que lui procurait son époux. Bientôt, Marc lui annonça qu’il allait jouir. Il poussa un râle de satisfaction et inonda le vagin de sa partenaire.
Satisfait, il se retira et regarda le sperme qui s’écoulait lentement. Il regarda Anton et lui sourit.
- « Viens nettoyer sa chatte avec ta langue ! » lui ordonna-t-il.
Anton s’avança et se mit à genoux devant sa femme. Il passa sa langue sur son sexe et retrouva le goût du sperme de son ami.
- « Vas-y, bouffe tout ! » lui dit Marc.
Anton lécha la moule de son épouse avec application, puis alla chercher le sperme mêlé de cyprine au plus profond du vagin de Juliette. Il avala le mélange visqueux sans sourciller.
- « Tu vois, il a une petite bite, mais il a une grande langue », dit Marc avec dérision.
Juliette sentit l’orgasme arriver. De voir son mari en train de lécher sa chatte pleine du sperme de son amant qui les regardait l’avait follement excitée. Elle jouit sans retenue dans la bouche d’Anton. Celui-ci voulait qu’elle prenne du plaisir et s’appliqua à la satisfaire. Sa queue, beaucoup plus petite que celle de Marc était dure comme du métal et ses couilles lui faisaient mal. De sa main droite, il se branlait toujours. Marc le vit et lui ordonna de se lever.

à suivre...

Anton mourrait d’envie de pénétrer Juliette à son tour, mais son ami tyrannique ne l’y autorisa pas. Il lui ordonna de se faire jouir devant eux, pendant qu’ils l’observaient. Anton accéléra le mouvement et éjacula sur le sol. Juliette rigola de le voir réduit à se branler devant elle et son amant. Marc lui montra le sperme sur le sol et lui ordonna de le lécher. Anton obéit une fois de plus.
Après cette séance humiliante, Marc, qui se sentait en position de force, demanda à Anton de leur préparer le repas. Il le fit sans rechigner et les servit dans le salon. Ils s’étaient rhabillés, mais lui avaient ordonné de rester nu. Tout au long de la soirée, Anton vit son épouse et son ami s’embrasser. Ce fut lui, bien sûr, qui débarrassa les assiettes et, quand Marc se leva, il n’avait pas l’intention de partir.
- « J’en ai assez de ton canapé », dit-il à Anton. Je dors avec Juliette. « C’est toi qui va t’installer ici ! »
Anton les regarda partir vers la chambre et déplia le canapé pour s’y installer. L’espace d’un instant, il se dit qu’il était con d’accepter une telle situation, mais si Juliette était heureuse ainsi, il était prêt à se plier à toutes ces humiliations. Il se coucha dans le canapé et entendit Marc et Juliette rire. Ils se moquaient ouvertement de lui et, dans la nuit, il les entendit encore faire l’amour.
Le lendemain matin, Juliette et Marc se levèrent ensemble. Ils passèrent à côté du canapé où Anton venait de se réveiller et l’ignorèrent complètement. Ce dernier fit semblant de dormir encore.
Il les entendit bavarder dans la cuisine.
- « Alors, tu t’es trouvé un autre amant que moi ? » demanda Marc à Juliette ?
- « Non, en ce moment je suis plutôt portée sur les femmes », répondit-elle.
- « Ah oui ? Intéressant…
- « Oui, on a une nouvelle voisine qui a un tempérament de feu ! »
- « Tu me la présenteras ? »
- « Si tu veux, mais je ne suis pas sûre qu’elle apprécie les hommes… »
- « Parce qu’elle ne connaît pas encore ma queue », rétorqua Marc.
- « Vantard ! Reviens ce week-end, je l’inviterai. Anton ne la connaît pas encore… »

à suivre...

Depuis le canapé, Anton apprit que Juliette se sentait attirée par les femmes. Il l’avait bien vue à l’œuvre avec Marie, mais de là à penser qu’elle se tapait toutes les filles de l’immeuble ! Lui aussi avait croisé la belle rousse et l’avait trouvée superbe, mais il n’avait pas osé l’aborder. L’idée de l’inviter le week-end suivant ne lui déplaisait pas, bien au contraire. Pour le moment, il ignorait qu’elle travaillait avec Juliette et qu’elle la voyait tous les jours.
Quand Anton se leva enfin, Marc était en train de prendre Juliette sur la table de la cuisine. Il ne s’arrêta même pas en voyant arriver Anton. Juliette connut un orgasme rapide et violent. Anton s’était servi un café et avait posé sa tasse dans un coin de la table resté libre. Sa femme faillit renverser la tasse à plusieurs reprises. Quand Marc sentit qu’il allait jouir, il se retira et s’approcha d’Anton. Il pressa son sexe et une coulée de sperme fut projetée dans la tasse de son ami.
- « Tiens, c’est meilleur avec un peu de crème », dit-il en s’esclaffant. « Bois-le ! C’est un ordre ! »
Anton porta la tasse à ses lèvres et avala le café troublé par le liquide blanchâtre. Le goût était étrange. Juliette se releva et vint quand même l’embrasser. Elle lui était reconnaissante d’accepter sans rechigner toutes ces humiliations et savait que, s’il le faisait, c’était par amour pour elle.
Elle partit se laver et s’habiller, laissant les deux hommes de sa vie seuls dans la cuisine. Marc prit un air supérieur et s’adressa à Anton.
- « Alors, ça te plait tant que cela d’être cocu ? » lui demanda-t-il.
- « Je crois que je n’ai pas le choix », répondit Anton. « Juliette a le feu au cul et je n’ai pas de quoi l’éteindre tout seul… »
- « Belle image… Alors tu as besoin de ma grosse lance ? »
- « Oui », avoua Anton. « Mais ne profite pas trop de la situation quand même… »
- « Ne t’inquiète pas ! Là j’ai voulu te montrer que je n’avais pas apprécié que tu me foutes dehors, mais si je suis revenu, c’est pour faire jouir ta femme. On a le même objectif dans la vie : le plaisir de Juliette ! On va tout faire pour lui en donner un maximum… »
Anton partageait cet objectif. Il n’en voulait déjà plus à Marc de l’avoir humilié et se réjouissait de recevoir la belle rousse. Peut-être qu’avec deux femmes la situation changerait ?

à suivre...

Relations de voisinage.



En partant au travail avec Svetlana, Juliette croisa Carole, la colocataire d’Henri.
- « Elle n’est pas mal, cette fille ! » fit remarquer Juliette.
- « Oui », approuva Svetlana. « On devrait l’inviter chez moi un de ces jours… »
- « Je l’ai déjà invitée à prendre le café, mais pour le moment elle n’est pas venue. »
- « Tu crois que c’est parce qu’elle a peur de déplaire à notre voisin? »
- « Non, elle n’a pas de comptes à lui rendre… Si j’ai bien compris, il l’héberge et la saute en attendant qu’elle trouve une maison. »
- « On l’invitera ce soir, si tu veux, » proposa Svetlana.
Le soir même, après leur journée de travail au cours de laquelle il ne se passa rien de bien excitant, elles allèrent sonner chez le voisin de palier de Juliette. Ce fut Henri qui vint ouvrir.
- « Nous venions inviter votre amie à prendre le café », expliqua Juliette.
- « C’est gentil, mais elle n’est pas rentrée, » répondit Henri. « Mais entrez, vous allez l’attendre ici. »
- « Merci », fit Svetlana, « mais nous ne voulons pas vous déranger… »
- « La compagnie de jolies femmes ne me dérange jamais. Entrez ! »
Juliette pénétra une nouvelle fois dans cet appartement qu’elle connaissait bien, suivie par Svetlana qui découvrait les lieux. Henri les fit asseoir dans les fauteuils design du salon.
- « Alors Juliette, tu vas bien depuis la dernière fois ? »
- « Oui », répondit Juliette qui se sentait un peu gênée.
- « Dommage que tu ne sois pas revenue me voir », dit-il en se positionnant derrière elle et en posant les mains sur ses épaules.
- « Vous êtes bien intimes, je vais vous laisser… » dit Svetlana.
- « Mais non », rétorqua Henri. « Plus on est de fous… »
- « Désolée, mais je n’aime que les femmes ! » fit sèchement Svetlana.
- « Voilà qui est clair ! Et vous avez quelque chose contre les voyeurs ? » ajouta Henri.
- « Je n’aime pas beaucoup qu’un homme se mêle de ma sexualité », répondit franchement la serbe qui était une lesbienne convaincue.
- « C’est tout le contraire de Carole, » fit remarquer Henri. Je n’ai jamais réussi à lui faire accepter la présence d’une autre femme. « C’est une hétéro convaincue ! »
- « Moi je peux jouer sur les deux tableaux, » intervint Juliette amusée par le tour que prenait la conversation.
- « J’aimerais beaucoup que Carole découvre les plaisirs saphiques », reprit l’agent immobilier. « Si vous parvenez à la convertir, vous pourrez me demander ce que vous voulez… »
- « Vraiment ? » questionna Juliette.
- « Dans des proportions raisonnables. Il n’est pas question que je vous gratifie de plusieurs milliers d’euros… »
- « Je ne pensais pas à l’argent », rectifia sa voisine. « Je voulais dire sexuellement… On pourra te demander n’importe quoi ? »
- « Oui, je relève le défi, mais vous n’y arriverez pas ! »
- « Pari tenu ! » dit Svetlana en se levant de son fauteuil.
- « Vous partez déjà ? » s’étonna Henri.
- « Oui », fit Juliette qui ne put se retenir de l’embrasser sur la bouche avant de sortir. « Pour le moment, ce n’est pas toi qui nous intéresse, mais ta copine ! »

à suivre

Elles sortirent toutes les deux et Juliette raccompagna Svetlana, bien qu’elle soit à deux pas de son propre appartement. Elle avait envie de parler avec elle de cette aversion qu’elle semblait avoir pour les hommes afin de la comprendre et, pourquoi pas, de la faire changer.
Svetlana avait enfin fini de ranger tout ce qui traînait dans sa maison depuis le déménagement. Les meubles en rotin étaient simples, mais l’ensemble dégageait une impression de confort. La décoration était assez réussie.
Par la fenêtre, Juliette vit arriver Carole. Elle la guetta dans l’escalier. Quand la belle jeune femme blonde arriva à la hauteur de l’appartement de Svetlana, elle l’appela.
- « Carole ! Svetlana et moi avions envie de te voir. Tu entres un moment ? »
- « Pourquoi pas », répondit Carole après avoir hésité une seconde.
Juliette la fit entrer. Svetlana lui proposa un fauteuil. Carole s’installa confortablement. Elle portait un tailleur très élégant avec de beaux escarpins du plus bel effet. C’était Henri qui lui avait offert ces chaussures de luxe. Juliette, qui connaissait son fétichisme des pieds, comprenait aisément pourquoi.
- « Alors, tu n’as toujours pas trouvé de maison ? » demanda Juliette.
- « Non, mais j’en ai une en vue. Remarque, je ne suis pas vraiment pressée… Henri est gentil et il m’héberge aussi longtemps que j’en ai besoin. »
- « Il y trouve son compte, je suppose », fit remarquer Juliette.
- « C’est vrai que je ne me montre pas farouche, mais il est assez séduisant je dois dire… »
- « Je te le confirme », fit Juliette. » Moi-même je n’ai pas résisté à ce séducteur… »
- « C’est vrai ? » demanda Carole. « Tu as eu une aventure avec lui? »
- « Oui », avoua Juliette. « Il est quand même assez spécial… »
- « Oui, mais tellement attachant ! »
- « C’est lui qui t’a offert ces chaussures ? »
- « Oui, répondit Carole avec un sourire. »
- « Il est toujours aussi fétichiste ? »
- « Et comment ! D’ailleurs c’est ce qui m’a plu le plus chez lui… »
- « Il aime les chaussures ? » intervint enfin Svetlana qui n’avait encore rien dit.
- « Pas seulement les chaussures », précisa Juliette. « Il adore les pieds féminins et tous les jeux qui vont avec ! »
- « Il a bien raison, moi aussi j’adore ce genre de jeux », dit Svetlana en s’approchant de Carole. « Je peux prendre tes chaussures dans mes mains ? »

à suivre...

Carole sembla hésiter, puis lui tendit son pied droit. La belle rousse prit l’escarpin au talon de douze centimètres dans sa main et caressa doucement le cuir. Elle le retira lentement et passa sa main sous le pied de Carole. Elle partit de la plante et avança tout doucement en direction du talon, puis elle remonta le long de la cheville et revint sur le dessus du pied. Carole n’était pas du tout attirée par les femmes, mais elle adorait qu’on s’occupe de ses pieds. Svetlana jeta un regard en direction de Juliette et lui sourit. Sa voisine et collègue vint s’asseoir devant l’autre pied de Carole et prit à son tour l’escarpin dans ses mains. Elle le caressa et l’embrassa. A son tour, elle dénuda le pied de Carole et passa sa main dessous, comme Svetlana venait de le faire. Carole ferma les yeux. Les caresses devenaient vraiment agréables. Chacune des deux femmes à ses pieds se mit à lui lécher les orteils. Leurs mains remontèrent le long de ses mollets et atteignirent ses cuisses. Instinctivement, elle les resserra. Svetlana insista et sa main partit à l’assaut de son pubis. Carole protesta.
- « Non, je ne veux pas ! »
- « Tu as tort, si tu savais comme c’est bon de se faire caresser par une femme », lui dit Juliette.
- « Foutez-moi la paix toutes les deux ! » cria Carole en se levant.
Elle remit ses escarpins et quitta l’appartement en claquant la porte. Les deux complices éclatèrent de rire.
- « C’est raté, du moins pour ce soir… » dit Svetlana.

- « Oui, heureusement que tu es là », répondit Juliette en la prenant dans ses bras.
Elles s’embrassèrent à pleine bouche et roulèrent sur le sol en essayant d’arracher leurs vêtements. Bientôt, elles se retrouvèrent entièrement nues. Juliette retrouva la toison de Svetlana et la caressa doucement.
- « Tu n’as jamais songé à la raser ? » lui demanda Juliette.
- « Si, je l’ai fait une fois. Pour faire plaisir à une copine… Après, cela a repoussé, encore plus épais ! »
- « Hum, j’aimerais bien te raser », dit Juliette.
- « C’est vrai ? »
- « Oui… »
- « Alors fais-le ! Va chercher de la mousse et un rasoir dans ma salle de bains ! »

à suivre...

Juliette se leva et se dirigea vers la salle de bains. Elle revint avec une bombe à raser dans une main et un rasoir jetable dans l’autre.
- « Tu es sûre ? » demanda-t-elle.
- « Oui, fit simplement Svetlana.
Juliette dirigea la bombe vers le pubis roux et fourni et appuya sur le bouton. Un mousse blanche et crémeuse en sortit et se fixa dans les poils pubiens de la belle serbe. Juliette étala un peu la mousse et commença à passer le rasoir. Des mèches rousses tombaient sur le sol. Elle continua son entreprise un moment, puis alla chercher un miroir. Elle l’orienta pour que Svetlana puisse bien observer son mont de vénus. La jeune femme se rendit compte que Juliette n’avait pas tout coupé. Elle avait laissé une touffe en forme de cœur.
- « Tu es mignonne comme cela », lui murmura Juliette.
- « Je suis ridicule, tu veux dire ! » protesta Svetlana. « Rase-moi tout ça »
Juliette reprit le rasoir et termina le travail. Le sexe de Svetlana était maintenant entièrement lisse. Elle voulut le goûter. Svetlana écarta largement les jambes et attendit que la bouche de Juliette se pose sur son intimité. Cet instant magique où la langue parcourt le contour des lèvres, s’insinue entre elles, puis s’enfonce dans le vagin ne tarda pas. Juliette, qui avait toujours été fascinée par cette toison épaisse, découvrit de nouvelles sensations en léchant le sexe de son amie. Son clitoris était beaucoup plus apparent et l’attirait irrésistiblement. Elle le prit dans sa bouche et l’aspira lentement.
Svetlana ressentit un plaisir intense. Elle avait envie que Juliette la fasse jouir immédiatement. Elle s’occuperait d’elle après. Elle le lui vit comprendre en tendant un peu plus son bassin vers elle.
Sa voisine comprit qu’elle avait envie de prendre du plaisir et redoubla d’application pour provoquer l’orgasme qu’attendait Svetlana. Elles n’avaient même plus besoin de se parler pour se comprendre, c’était ce qu’il y avait de merveilleux entre elles.

Svetlana ne tarda pas à jouir, tant les caresses de Juliette étaient précises. Son orgasme fut encore plus violent que d’habitude et elle mit plusieurs minutes à s’en remettre.

à suivre...

Enfin, elle allait s’occuper de Juliette ! A son tour, elle posa sa bouche sur le sexe de sa partenaire et aspira ses lèvres fines, avant de les mordiller. Elle se servit de ses doigts pour écarter le sexe offert. Le vagin tout rose et luisant de Juliette s’ouvrit à quelques centimètres de ses yeux. Elle introduisit son index et le fit tourner à l’intérieur. Peu après, son majeur le rejoignit, puis ce furent l’auriculaire et l’annulaire. La main s’enfonça jusqu’à disparaître. Seul le pouce était resté à l’extérieur et excitait le clitoris de Juliette. Après l’avoir bien excité, le pouce rejoignit les autres doigts. Svetlana l’enfila dans le fourreau de chair humide et referma le poing à l’intérieur du sexe de la belle blonde.
Juliette crut que ses lèvres allaient se déchirer. Svetlana fit avancer son poing fermé jusqu’au plus profond de la cavité dilatée. Ce n’était pas la première fois qu’elle pratiquait le fist-fucking, mais cette sensation étrange était complètement nouvelle pour sa partenaire. Avec son autre main, elle se mit à branler le clitoris de Juliette très rapidement. Bientôt, les muscles de son amie se tendirent. Son corps s’arcbouta. Elle prit appui sur les talons et un flot de liquide transparent jaillit de son sexe. Pour la première fois de sa vie, elle venait d’éjaculer !
Svetlana mit aussitôt sa bouche pour recevoir le liquide chaud qui sortait de ce sexe en folie. Juliette cria si fort qu’Henri et Carole l’entendirent nettement à l’étage supérieur. Elle venait de jouir comme jamais encore elle ne l’avait fait. Elle se sentait physiquement épuisée.
Svetlana lui laissa reprendre son souffle, puis lui demanda si elle avait aimé.
- « C’était tout simplement merveilleux ! » dit Juliette.
- « Quand je pense que la voisine du dessus ne connaît même pas le plaisir de faire l’amour avec une femme », répondit Svetlana. « Elle ne sait pas ce qu’elle perd ! »
- « Oui… A propos de voisine, je ne t’ai pas encore dit que j’aimerais t’inviter ce week-end », l’informa Juliette.
- « M’inviter ? Ton mari sera là ? »
- « Oui, bien sûr… Et il y aura aussi Marc, mon amant !
- « Tu te fous de moi ? Tu sais bien que j’ai horreur des mecs ! »
- « Je sais, mais j’ai envie qu’on baise devant eux. Pour les exciter… »
- « Je crois que ce que tu me demandes est au-dessus de mes forces », répondit Svetlana.
- « S’il te plait », la supplia sa voisine en la prenant par le cou.
- « D’accord ! Toi alors, tu me ferais faire n’importe quoi ! » s’exclama la belle serbe que cette expérience angoissait.
Juliette l’embrassa de toutes ses forces. Sa nouvelle voisine était vraiment formidable. Non seulement elle la faisait jouir merveilleusement, mais elle acceptait de se livrer à des jeux dont Juliette avait toujours eu envie. Elle n’avait d’ailleurs pas seulement envie de s’exhiber avec elle devant les deux hommes, mais comptait bien les faire participer à leurs ébats. Tout au moins Marc et sa grosse queue ! Elle savait que la belle serbe ne voudrait pas, mais elle avait désormais un double challenge à relever : convertir Carole, l’hétéro forcenée et faire goûter à Svetlana le plaisir d’avoir une bite au plus profond d’elle. Ce n’était pas gagné d’avance !

à suivre...

La vengeance du cocu.



Le week-end suivant, Marc était venu comme prévu. Juliette lui expliqua rapidement qu’elle lui réservait une surprise. Elle avait invité la voisine et elle comptait sur lui pour la convertir à l’hétérosexualité. Elle le prévint que ce n’était pas gagné d’avance…
Marc sourit, il relevait le défi. Anton était au courant de la visite de Svetlana et n’avait rien contre, bien au contraire. Il se souvenait de la nuit que Marie avait passée chez eux. Non seulement il avait follement apprécié de voir son épouse avec une autre femme, mais il avait pris beaucoup de plaisir en participant à leurs ébats. Il se disait que la visite de Svetlana allait peut-être lui fournir la même occasion…
Svetlana arriva assez tard dans la soirée. Jusqu’au dernier moment, elle avait hésité à aller sonner chez ses voisins, mais elle l’avait promis à Juliette… Anton l’accueillit avec beaucoup de gentillesse. Marc, par contre, se montra beaucoup plus hautain. Juliette se dit que ce n’était pas comme cela qu’il avait une chance de la séduire…
Au cours de la soirée, Juliette s’isola avec Svetlana un moment. Elle avait envie d’elle, mais elle avait encore plus envie d’exciter son mari et son amant en s’exhibant avec elle. Une fois dans la chambre, Juliette mit ses mains sur les épaules de sa belle voisine serbe et les malaxa avec ses pouces.
- « Je ne te sens pas très détendue ce soir », lui dit-elle.
- « Tu parles ! Avec deux mecs, comment veux-tu que je me sente à l’aise ? Ton mari, ça va encore, mais Marc, c’est tout juste s’il m’adresse la parole ! »
- « Je ne comprends pas, d’habitude il n’est pas comme cela », répondit Juliette.
- « Bon, je suis venue pour te faire plaisir », reprit Svetlana, « mais je me demande si je ne vais pas rentrer chez moi… »
- « Ne me fais pas cela », supplia Juliette. « J’ai trop envie de toi… »
En joignant le geste à la parole, Juliette laissa sa main se glisser entre les cuisses de Svetlana et la fit remonter sous sa robe. Elle atteignit sans peine sa culotte et caressa son sexe à travers l’étoffe.
- « Je veux te faire l’amour », reprit Juliette en la débarrassant de sa robe
- « Oui, moi aussi, j’ai envie », murmura Svetlana.
Elles s’embrassèrent en roulant sur le lit et se déshabillèrent complètement toutes les deux. Juliette se mit tout de suite à lécher le sexe de Svetlana. Celle-ci se détendit progressivement. Les hommes ne l’intéressaient pas, mais elle avait beaucoup de mal à résister au plaisir proposé par une femme. Elle laissa Juliette faire monter son plaisir et se retint tout de même de crier. Les deux hommes n’étaient pas loin dans le salon…


à suivre...

Anton, ne les voyant pas revenir, s’approcha de la chambre. Les bruits qu’il entendit ne laissaient aucun doute, elles étaient en train de prendre du plaisir toutes les deux. Il entrouvrit la porte doucement et vit sa femme et sa voisine qui frottaient leurs sexes l’un contre l’autre. Svetlana était de dos et ne le vit pas. Juliette, par contre le vit, mais ne dit rien.
Marc le rejoignit très peu de temps après dans l’encadrement de la porte et profita du spectacle à son tour. Elles s’arrêtèrent et la belle Svetlana se mit à lécher Juliette, penchée en avant, offrant sa croupe au regard des deux hommes.
- « Quel cul ! » s’écria soudain Marc.
Svetlana se retourna brusquement et les vit tous les deux en train de les observer. Elle était complètement paniquée et ne savait plus où se mettre. Elle essaya d’attraper la couette pour dissimuler sa nudité.
- « Ne te cache pas ! » lui dit Marc. « On l’a vu ton cul, et il est magnifique ! »
- « Tu vois, il apprécie ta beauté », lui fit Juliette en la prenant dans ses bras.
- « Tu ne te rends pas compte de ce que cela représente pour moi d’avoir deux mecs qui me regardent à poil ? »
- « Tu devrais avoir honte de ne pas faire profiter ces mecs de ton corps », reprit Marc. « Si tu savais comme j’ai envie de te baiser… Regarde comme je bande ! »
Il retira son pantalon et sortit un sexe bien droit. Svetlana, la lesbienne convaincue, ne fut pas insensible à ses proportions. Cela lui rappelait son double gode. Sous les yeux d’Anton, qui n’avait pas dit un mot depuis le début, Juliette s’avança vers Marc et prit son sexe dans sa bouche. Elle le pompa avidement.
- « Tu devrais essayer », dit-elle à Svetlana au bout d’un moment. « C’est autre chose que de lécher un gode ! »
- « Arrête, tu me dégoutes ! » hurla la voisine serbe. « Et en plus tu fais cela devant ton mari ! »
- « Oh, moi j’ai l’habitude », intervint Anton.
- « Oui, il a une petite bite, alors c’est moi qui baise sa femme ! » s’exclama Marc en parfait macho.
- « Puisque c’est cela, eh bien je vais sucer une bite, mais la sienne! »

à suivre...

Elle s’avança vers Anton et ouvrit sa braguette. Elle sortit son sexe et le masturba lentement, puis posa ses lèvres sur le gland. C’était une chose qu’elle n’avait encore jamais faite. Elle passa sa langue tout autour, puis le couvrit de ses lèvres. Elle aspira très fort, provoquant une sorte de succion qui fit gonfler un peu plus la verge d’Anton. Ensuite, elle mordilla la hampe avec les dents en caressant les testicules de son voisin. Elle agissait avec cette bite de petite taille exactement comme elle l’aurait fait avec un gros clitoris.
- « On dirait qu’elle a fait ça toute sa vie ! » remarqua Marc.
- « C’est sublime » commenta Anton. « Merci Svetlana. »
Elle leva les yeux et lui sourit. Elle commençait à prendre goût à ce genre d’exercice, de toute façon, elle avait décidé de donner une leçon à Marc. Quoi de mieux que de préférer le sexe d’Anton au sien, beaucoup plus gros ? Marc était d’ailleurs profondément vexé et se vengeait sur la bouche de Juliette qu’il défonçait avec force. Comme elle avait envie d’arrêter de le sucer, elle lui présenta son sexe. Il la pénétra avec autant de violence, mais ça, au moins, elle aimait.
Svetlana ne voulut pas être en reste. Elle aussi écarta les cuisses et s’adressa tendrement à Anton.
- « Toi aussi tu peux me prendre si tu en as envie », lui dit-elle à la grande surprise de Juliette.
- « Mais, je croyais que tu n’aimais pas », dit Anton en approchant son sexe de cette belle chatte qui n’avait connu aucun sexe d’homme.
- « Oui, mais j’ai envie… » dit doucement Svetlana. « Prends-moi ! »
Anton ne se fit pas prier plus longtemps. Avec une douceur infinie, il posa son gland à l’entrée du vagin de la belle rousse et poussa tout doucement. Ce fut elle qui, avançant le bassin, vint recouvrir sa verge. Anton ressentit la chaleur du fourreau de chair autour de son sexe. Il était bien ! Il bougea, doucement d’abord, puis de plus en plus vite.
A côté de lui. Juliette était en train de jouir sous les coups de boutoir de Marc. Anton redoubla d’application et réussit, lui aussi à provoquer l’orgasme de Svetlana. Elle le remercia, l’embrassa sur la bouche et se leva pour se rhabiller, puis rentra chez elle.
Juliette vint se caler entre Marc et Anton.

- « Je vous aime, mes deux hommes », leur dit-elle.
- « Bravo, petite bite ! C’est toi qui as baisé la belle rousse ! »
- « Oui, et c’était sublime », répondit Anton.
- « Tu vas me rendre jalouse », ajouta Juliette. « Heureusement que je sais que c’est vrai que cette fille est sublime. En tous cas, tu as perdu ton pari, Marc. Je crois que tu mérites bien un gage ! »
- « C’est le jeu », dit Marc. « Et quel gage vas-tu me donner ? »
- « Je crois que je vais laisser cet honneur à mon mari », dit-elle avec une certaine perversion. « Après tout, c’est lui qui a gagné. »


à suivre...

Anton la regarda avec un air dubitatif. Il n’avait pas réfléchi à un gage à donner à Marc. Pourtant, il se souvenait encore de ce que lui avait fait subir l’amant de sa femme quand il l’avait emmené sur l’aire d’autoroute.
- « Tu te souviens de la petite virée que vous m’avez fait faire sur l’aire d’autoroute ? » demanda Anton à Marc avec un air vengeur.
- « Oui », répondit Marc, « mais tu ne vas pas… »
- « Ah bon ? Tu crois que tu ne serais pas mignon avec des bas ? » demanda Anton.
- « Ta gueule, si tu fais ça… »
- « Arrête ! » s’écria Juliette. « Tu as joué, tu as perdu ! Si tu ne te plies pas aux volontés d’Anton, je ne veux plus que tu me touches! »
- « Merci ma Juliette chérie », intervint son mari. « Pour une fois que tu es de mon côté… Non, je vais être gentil et je n’ai pas envie d’aller là-bas. Je veux juste que Marc mette une paire de tes bas et qu’il me suce devant toi ! »
- « Tu vois, il est gentil mon mari », plaisanta Juliette en allant chercher une paire de Dim-up noirs qu’elle tendit à Marc.
Marc haussa les épaules et enfila les bas. Il se trouva ridicule. Anton, qui n’avait pas eu le temps de jouir tant Svetlana était partie rapidement, bandait encore. Marc s’agenouilla devant lui et prit son sexe dans la bouche avec dégoût.
- « Suce-moi bien, comme une petite salope ! » dit Anton en le tenant par les cheveux.
- « Hum, ils sont mignons tous les deux », fit Juliette en rigolant. « A force de se sucer la bite chacun leur tour, ils vont finir par se pacser et moi je vais me retrouver comme une conne ! »
- « Arrêtez vos conneries », protesta Marc.
- « Toi, ta gueule ! » cria Juliette en lui donnant un coup du martinet qu’elle avait attrapé. « Suce et tais-toi ! »
Elle n’avait vraiment pas apprécié la manière dont il avait traité son amie Svetlana et elle entendait le lui faire payer cher. Maintenant que sa libido était calmée, elle n’était même pas certaine qu’elle referait l’amour avec lui. Pour le moment, elle était lassée de ce macho qui traitait tout le monde comme des merdes, y compris elle ! Ce soir, c’était la revanche d’Anton et elle l’aiderait à humilier son amant.


à suivre...

Anton ne comprenait pas ce qui se passait. Quand il avait vu Juliette se mettre à insulter et à frapper Marc, il avait cru que c’était un jeu entre eux, mais il se rendit vite compte que son ami n’était pas forcément consentant. Juliette alla chercher un collier et une laisse et les lui passa. Il se demanda où elle avait trouvé de tels accessoires, car ils n’avaient pas de chien. Elle lui apprendrait plus tard qu’elle les avait achetés spécialement pour réaliser un fantasme dont elle n’avait jamais osé parler ni à lui, ni à Marc.
Elle le fit se lever en tirant sur la laisse et lui attacha soigneusement les poignets avec une corde prise dans le débarras.
- « On va aller faire un tour, maintenant », lui dit-elle.
- « Arrête tes conneries, protesta Marc. Je ne vais pas sortir à poil! »
- « Ne t’inquiète pas, on ne va pas loin », lui répondit Juliette. « On descend juste un étage pour rendre visite à Svetlana. »
Anton n’en croyait pas ces yeux de voir avec quelle autorité sa petite Juliette avait pris les choses en mains et faisait obéir ce macho. Marc fut obligé de la suivre et sortit sur le pallier, traîné en laisse et vêtu uniquement des bas noirs empruntés à sa maîtresse. Anton décida de les suivre pour voir jusqu’où elle irait.
Elle lui fit descendre l’escalier. Heureusement, ils ne croisèrent personne. Elle sonna à la porte de Svetlana et donna de la voix.
- « Svetlana, c’est moi ! Ouvre, je t’apporte un cadeau… »
- « J’arrive », répondit sa voisine serbe en reconnaissant la voix de Juliette.
Elle ouvrit et eut la surprise de la voir tenant en laisse Marc. Bien que très étonnée, elle la fit entrer.

- « Anton et moi, nous trouvons que ce chien t’a manqué de respect », dit Juliette. « Alors nous te l’avons amené pour que tu nous aides à l’humilier comme il le mérite ! »
- « Là, tu peux compter sur moi », fit Svetlana. « Je déteste ce genre de macho ! Fais-le entrer ! »
Juliette tira une fois encore sur la laisse et Marc dut la suivre. Anton, que Svetlana n’avait pas encore vu, entra aussi. La belle jeune femme rousse s’approcha de Marc et le gifla.

à suivre...

- « Je crois que, pour une fois, je vais prendre beaucoup de plaisir à m’occuper d’un homme », dit Svetlana à Juliette.
- « J’y compte bien ma petite chérie », répondit sa voisine en l’embrassant. « Anton va nous aider à bien nous occuper de lui… »
- « Oui », fit son mari, très excité par l’ambiance sulfureuse.
- « Je vais chercher de quoi s’amuser un peu », reprit Svetlana en partant à l’autre bout de son appartement.
Elle revint avec une petite caisse que Juliette n’avait encore jamais vue et l’ouvrit. Il y avait tout un attirail d’accessoires SM. Juliette et Anton n’en croyaient pas leurs yeux. Svetlana expliqua, qu’à une époque, lorsqu’elle était encore en Serbie, elle fréquentait une fille qui adorait se faire dominer. Au fil des années, elles avaient accumulé ces accessoires et, par chance, cette caisse-là ne s’était pas perdue dans le déménagement.
Svetlana sortit deux paires de menottes et ses voisins l’aidèrent à remplacer la corde qui maintenait les poignets de Marc par les bracelets en fer. Elle conduisit leur prisonnier dans la cuisine et l’attacha à un radiateur. Il n’en menait pas large. Elle sortit un martinet et lui en asséna plusieurs coups sur les cuisses et sur les fesses. Comme il se mit à crier et qu’on était au milieu de la nuit, elle le bâillonna. Elle prit des pinces et les fixa aux pointes de ses seins. Marc se tordit de douleur. Lentement, elle en sortit d’autres et les fixa sur ses testicules. Ces pinces avaient une forme spéciale et un anneau permettait d’y attacher des poids.
- « On va voir jusqu’où il tient », dit Svetlana. « Mon amie supportait jusqu’à trois kilos accrochés aux lèvres de sa chatte ! »
Elle prit un poids de 500 grammes et le fixa à l’anneau. La peau des couilles de Marc se distendit.
- « A toi, Juliette », dit-elle à son amie.

Juliette prit un autre poids et le fixa de la même manière. La peau se tendit un peu plus. Anton fit la même chose. Marc supportait maintenant 1 kilo 500 accrochés à ses testicules. Ce fut au tour de Svetlana, puis à nouveau de Juliette. A 2 kilos 500, il commença à défaillir et ils arrêtèrent. Ils le laissèrent longtemps les couilles ainsi lestées, puis enlevèrent progressivement les poids, comme ils les avaient disposés.

à suivre...

Juliette et Svetlana jouèrent un moment avec les testicules douloureux de Marc, puis la belle serbe se remit à le fouetter. Il n’était pas prêt d’oublier cette soirée et en garderait les marques longtemps. Au bout d’un moment, elles lui enlevèrent tout de même les pinces et le bâillon, mais ne le détachèrent pas. L’une après l’autre, elles vinrent se trémousser devant lui, offrant leurs fesses et leur sexe à sa vue, mais sans qu’il puisse les atteindre de quelque manière que ce soit. Autant de sollicitation finit par provoquer une nouvelle érection chez Marc. Il avait envie d’elles, mais l’une après l’autre, elles se laissaient tripoter et pénétrer par Anton qui, devenu l’instrument de leur vengeance, profitait bien de la situation.
Petit à petit, Svetlana était en train de prendre goût à l’hétérosexualité. Juliette avait atteint une partie des objectifs qu’elle s’était fixés. Soudain, la belle rousse fut prise d’une envie de faire pipi. Elle le dit à Juliette qui l’arrêta au moment où elle voulait aller aux toilettes.
- « Pourquoi vas-tu aller aux toilettes alors que tu as sa bouche à disposition ? » demanda-t-elle pleine de vice.
- « Tu as raison », répondit Svetlana. « Je n’y avais pas pensé. »

Elle se mit au-dessus du visage de Marc et lui ordonna d’ouvrir la bouche. Pour une fois, la punition ne lui déplaisait pas. Il pencha la tête en arrière et présenta sa bouche ouverte. Svetlana se baissa légèrement et laissa échapper, d’abord un petit jet d’urine claire, puis un véritable torrent de pisse bien chaude qui inonda la gorge de leur prisonnier. Il se força à boire tout le liquide. Comme pour le récompenser, Svetlana le laissa lécher sa fente pour l’essuyer, puis elle se releva.
- « A toi, maintenant », dit-elle à Juliette.
La belle Juliette prit sa place et urina à son tour. Le jet partit moins droit et Marc en reçut plein le visage et plein les yeux. Juliette finit par mieux viser et il put comparer le goût de son urine avec celle de Svetlana. Elle était beaucoup plus âcre et plus forte.
Anton refusa de se soulager sur l’amant de sa femme. Pour lui, elles allaient beaucoup trop loin et il annonça à Juliette qu’il rentrait à la maison. Il en avait assez pour cette nuit et il était presque quatre heures du matin.

à suivre...

Soudain, Juliette entendit un grand bruit dans la rue. C’était Antoine, le gardien de l’immeuble qui sortait les poubelles.
- « On l’appelle ? » proposa Juliette.
- « Pour quoi faire ? » questionna à son tour Svetlana.
- « Parce qu’il a une belle queue bien large et vigoureuse ! »
- « Qu’est-ce que tu en sais ? Il t’a déjà sautée ? »
- « Oui, avoua Juliette. Et j’aimerais bien qu’il recommence… »
- « Après tout, au point où j’en suis », fit Svetlana. « Appelle-le si tu veux ! »

Elle se mit sur le balcon, complètement nue, et l’appela, ignorant toute pudeur.
- « Vous pouvez monter un moment ? » demanda-t-elle d’une voix forte. « On aurait besoin de vos services… »
Le gardien arriva tout essoufflé dès qu’il eut terminé de sortir ses poubelles.
- « Qu’est-ce qui vous arrive, madame Juliette ? » demanda-t-il encore sur le palier.
Juliette le fit entrer et il ouvrit de grands yeux en constatant qu’elle était entièrement nue. Il continua à avancer et découvrit Svetlana aussi dévêtue que lui. Il la connaissait de vue, mais ne lui avait encore jamais parlé.
- « On s’amusait un peu entre filles et on avait besoin d’un homme viril », dit Juliette.
- « Vous savez que vous pouvez toujours compter sur moi », répondit Antoine.
- « Seulement, ce n’est pas pour nous que nous en avons besoin », ajouta Svetlana. « Du moins pas tout de suite… »
- « Je ne comprends pas », fit le concierge.
- « Nous avons dans la cuisine une petite lope qui a besoin d’une queue bien raide pour son petit cul ! » répondit Svetlana.
- « Si tu lui défonces bien le cul, après tu pourras nous prendre toutes les deux », dit Juliette. « Ce sera ta récompense… »
- « Je vais essayer », reprit Antoine en s’avançant vers Marc. « Mais je n’ai jamais fait une chose pareille. »

Les deux filles s’approchèrent de lui et le débarrassèrent de son Jean, puis prirent eu préservatif et le déroulèrent sur sa queue dressée et bien dure. Antoine empoigna Marc par les hanches et le sodomisa sans préparation. Il enfonça son membre aussi loin qu’il put. Marc ressentit une violente douleur. Il avait l’impression que son anus se déchirait et mesurait mieux la cruauté de ce qu’il avait fait subir à Anton. Antoine s’activa un bon moment, puis Juliette l’arrêta.
- « C’est bon, il a eu sa dose », dit-elle. « Chose promise chose due ! Tu peux venir dans ma chatte maintenant si tu en as envie. »
- « Et comment ! » s’exclama le concierge.
Il retira le préservatif usagé qui recouvrait son sexe et pénétra Juliette avec autant de douceur que la fois précédente. Très lentement, il se mit à aller et venir dans son vagin. Voyant autant de douceur de la part de cette homme frustre, Svetlana eut envie qu’il la prenne aussi. C’était nouveau pour elle. Pour la première fois, elle avait envie du sexe d’un homme, sans se forcer. Elle s’allongea aux côtés de Juliette et releva ses jambes pour offrir son intimité à Antoine. Il se retira de la chatte de Juliette et la prit avec autant de douceur que sa voisine. Il passa de l’une à l’autre avec une endurance impressionnante et elles le firent finalement jouir avec leurs bouches mêlées sur son gland, se partageant le sperme épais du concierge dans un baiser interminable.
Antoine les remercia pour ce début de journée formidable. Pour elles, ce n’était que la fin d’une nuit bien agitée et elles libérèrent enfin Marc. Il monta chercher ses affaires et partit sans demander son reste. Juliette ne rentra pas avec Anton, elle avait encore envie de Svetlana et dormit dans son lit, dans ses bras.


à suivre...

La colère d’Anton.



Le lendemain matin, Juliette se réveilla assez tard. Elle avait passé le reste de la nuit dans le lit de Svetlana qui dormait encore. Elle se leva sans bruit et sortit sans la réveiller. Elle monta directement chez elle, uniquement vêtue d’un peignoir emprunté à Svetlana.
Dans l’escalier, elle croisa Carole, la belle blonde qui descendait maquillée et habillée avec élégance, comme d’habitude.
- « Bonjour Juliette ! » lui dit-elle en la voyant.
- « Bonjour Carole », répondit-elle. « Ça va ? »
- « Oh, pas trop », rétorqua la belle blonde qui semblait avoir envie de se confier. « J’en ai marre de cette situation avec Henri… »
- « Tu veux venir boire un café ? » demanda Juliette qui mourrait d’envie de boire quelque chose de chaud.
- « Si tu veux », répondit Carole.
- « On va chez moi ou chez Svetlana ? » demanda-t-elle.
- « Tu viens de chez Svetlana ? » questionna Carole.
- « Oui, j’ai passé la nuit avec elle… Mon mari doit être à la maison. »
- « Il n’est pas jaloux ? » demanda Carole qui n’avait pas envie de se retrouver au milieu d’une scène de ménage.
- « Oh, je m’en fous ! Tu sais, j’ai complètement changé ma façon de voir les choses. Au début, j’étais une femme fidèle, mais sexuellement, il ne me suffisait pas. Un de nos amis est devenu mon amant et il a commencé à me baiser en cachette. Mon mari le savait et il nous espionnait sans rien dire. Un jour, mon amant a crevé l’abcès et m’a baisée devant lui… »

à suivre...

Tout en bavardant, elles arrivèrent dans l’appartement de Juliette. Anton n’était pas là. Il avait dû aller faire son jogging, comme tous les dimanches matins. Juliette se servit un café et en proposa un à Carole, puis reprit son récit.
- « Après, tout s’est enchainé très vite. Marc, mon amant a voulu que je fasse l’amour avec d’autres hommes et puis j’ai rencontré Svetlana. »
- « C’est impressionnant », lâcha Carole. « Comment en si peu de temps as-tu réussi à passer du rôle d’épouse bien sage à celui de… »
- « De petite salope ? » compléta Juliette car Carole n’osait pas le dire.
- « Oui ! »
- « Marc y est pour beaucoup… Et toi ? Qu’est ce qui ne va pas ? »
- « Oh, comme je te l’ai dit l’autre jour », commença Carole en buvant son café, « Henri est plutôt prévenant et son fétichisme m’amuse, mais il a une idée dans la tête et elle n’en sort pas ! »
- « Laquelle ? »
- « Celle de me voir faire l’amour avec une autre femme ! J’ai refusé catégoriquement, car cela me dégoûte ! »
- « J’ai bien vu l’autre jour chez Svetlana », l’interrompit Juliette.
- « Oui, il ne faut pas m’en vouloir d’être partie comme ça, mais c’est plus fort que moi. Je ne peux pas ! »
- « Tu lui as expliqué ? »
- « Oui, mais on dirait qu’il ne comprend pas ! J’ai hâte d’avoir ma maison pour partir de chez lui, car il revient à la charge sans arrêt! »
- « Tu devrais essayer, juste pour lui faire plaisir… »
- « Tu ne vas pas t’y mettre toi aussi ! » s’exclama Carole.
- « Si, et je vais t’aider à surmonter ta répulsion. Je suis sûre que si je m’y prends tout doucement, tu y arriveras. On essaye ? »
- « Non et non ! D’abord ton mari va sûrement rentrer et puis je n’en ai pas envie. Henri me fait chier ! Je vais aller m’installer à l’hôtel ! »
- « Ne t’énerve pas », essaya de la calmer Juliette. « Qu’est ce qui te paraît si difficile avec une femme ? »
- « Tout ! J’aurais peur de ne pas savoir comment m’y prendre avec elle… »
- « C’est facile » insista Juliette. « Regarde… »
Elle s’approcha un peu plus de Carole et lui caressa doucement le visage. Elle passa la main dans ses cheveux blonds, les souleva et l’embrassa tendrement dans le cou. Carole se crispa. Elle posa alors ses mains sur ses épaules et les laissa glisser dans l’échancrure de son chemisier. Elles atteignirent ses seins, que Juliette caressa. Un à un, elle défit les boutons du chemisier et vit apparaître le soutien-gorge rose de Carole. Ses seins étaient petits et ronds. Elle les embrassa à travers l’étoffe.
- « Laisse-toi faire », dit Juliette avec une voix suave et sensuelle. « Fais comme si c’était un homme qui te caressait la poitrine. »
Carole ferma les yeux et essaya d’imaginer que c’était Henri qui s’occupait d’elle. Juliette lui retira son soutien-gorge et prit les pointes de ses seins dans sa bouche. Elle les mordilla légèrement, puis ses mains commencèrent à dégrafer la jupe que portait la belle jeune femme blonde. Décidée à collaborer, elle se leva pour l’aider. La jupe glissa sur le sol, laissant apparaître une magnifique parure avec un porte-jarretelles et un slip assortis au soutien-gorge. Des bas-couture noirs étaient fixés au porte-jarretelles. Carole était vraiment magnifique, surtout avec ses escarpins noirs aux talons de douze centimètres !

à suivre...

Juliette caressa longuement ses jambes avant de prendre le slip entre ses doigts et de le faire glisser lentement. Elle découvrit une toison fournie, parfaitement blonde. Carole ne protesta pas quand Juliette posa les lèvres sur son pubis pour humer le parfum de son sexe. Quand ses doigts commencèrent à caresser l’extérieur de ses petites lèvres, elle eut tout de même un mouvement de recul.
Juliette prit ses lèvres entre ses doigts et les écarta avec délicatesse. Elle voulait voir l’intérieur de son vagin tout rose qui s’humidifiait progressivement. Carole ferma à nouveau les yeux quand la langue de sa voisine s’introduisit dans son intimité. Non seulement elle n’avait aucun mal à imaginer que cela pouvait être Henri, mais c’était encore mieux ! Elle s’abandonna enfin.
Carole se laissa aller complètement et appuya la tête de Juliette contre son sexe. Elle mit sa langue sur le clitoris de Carole et ne le quitta plus. La belle voisine commença à vraiment apprécier les relations saphiques. Finalement, les femmes étaient encore plus douées que les hommes et elles connaissaient nettement mieux l’anatomie féminine. Elle jouit dans la bouche de Juliette avec violence. Celle-ci continua à la lécher, jusqu’à ce qu’elle la supplie d’arrêter. Elle n’en pouvait plus.
Juliette se releva, ôta son peignoir et s’assit sur la table, les cuisses écartées.
- « A toi de goûter, maintenant », lui dit-elle.
Carole avança timidement son visage vers le sexe de Juliette et le regarda fixement. Elle n’avait jamais vu un sexe de femme d’aussi près. Les petites lèvres de Juliette étaient beaucoup plus fines et plus longues que les siennes, sa toison était épilée et son vagin semblait plus large et plus profond. Après avoir hésité, elle posa un doigt sur ce sexe. Il était vraiment humide ! Avec son ongle, elle parcourut les lèvres de haut en bas, puis de bas en haut. Son autre main chercha le clitoris de Juliette qui n’était pas évident à découvrir du premier coup. Elle le fit rouler avec son pouce. Tout en imprimant un mouvement rotatif, comme elle le faisait quand elle se masturbait elle-même. Elle huma le parfum de la chatte de sa voisine. L’odeur lui parut agréable et très excitante. Sans hésiter, elle posa sa bouche sur ce sexe brûlant de désir. Pour la première fois, elle lécha une femme et trouva cela agréable et bon. Sa langue se promena un peu partout et son enthousiasme compensait largement son manque d’expérience. Juliette commençait à ressentir les prémices du plaisir quand Anton entra. Carole s’arrêta net.

à suivre...

- « Tu es encore en train de montrer ta chatte ? » demanda-t-il à sa femme.
- « Oui, répondit-elle. Je la faisais découvrir à notre voisine de palier… »
- « Tu es vraiment une garce ! » s’écria Anton. « Tu vas te taper tout l’immeuble ? »
- « Pourquoi pas ? » répondit Juliette avec un air provocateur.
- « Eh bien vas-y, deviens la pute de l’immeuble ! mais ne me demande plus de dire que je suis ton mari, j’en ai assez que tout le monde me regarde comme un cocu ! »
Carole ne savait plus où se mettre. Elle remit sa culotte discrètement, puis enfila sa jupe en se tortillant. Elle ne prit pas le temps de rattacher son soutien-gorge et remit son chemisier à même la peau. Quand elle se leva, Anton eut un mot gentil pour elle.
- « Ce n’est pas à vous que j’en veux », précisa-t-il. « De plus vous êtes ravissante et j’aurais pris grand plaisir à vous regarder avec Juliette. Mais elle dépasse les bornes ! Hier elle a fait venir son amant, comme cela ne lui suffisait pas, elle a fait venir Svetlana, puis elle est descendue chez elle et je l’ai entendue appeler le concierge par la fenêtre. Je l’ai attendue toute la nuit, elle n’est pas remontée et, quand je rentre, elle est encore en train de se faire bouffer la chatte ! J’en ai marre ! »
Carole finit de reboutonner son chemisier et se dirigea vers la porte. Lâchement, elle laissait Juliette régler ses comptes avec son mari. Une fois sortie, elle l’entendit crier.
- « Tu me fais chier ! » hurla-t-il. « Pendant un moment, j’ai vraiment pris du plaisir à te voir faire l’amour, mais maintenant c’est trop ! Partout où je passe on dit : « tiens voilà le cocu ! ». »
- « Tu en as pourtant bien profité », lui rétorqua Juliette.
- « Eh bien c’est fini ! Prends de quoi t’habiller et va te faire baiser ailleurs qu’à la maison ! Retourne chez Svetlana ! Vous serez bien entre gouines ! »
Furieuse, Juliette enfila un string, une jupe en jean, un tee-shirt et des chaussures à talons blanches à brides, puis elle sortit en claquant la porte. Elle descendit directement chez Svetlana. Celle-ci était vexée que son amie l’ait quittée le matin sans un mot et elle ne lui ouvrit pas. Juliette remonta d’un étage et alla sonner à la porte d’Henri. Là non plus, personne ne vint ouvrir. L’agent immobilier était bien trop occupé par une séance fétichiste avec Carole qui le branlait avec ses escarpins.

à suivre...

Dépitée, Juliette reprit l’escalier. Elle n’allait quand même pas se rabattre sur le concierge ? De toute façon, à cette heure-là, il était parti au marché comme tous les dimanches. Elle sortit dans la rue et erra un moment sans but. Ses pas la conduisirent jusqu’à un jardin public où deux femmes dormaient sur un banc emmitouflées dans des couvertures.
- « Des SDF », se dit-elle.
Elle passa à leur hauteur et soudain l’une d’elles l’appela.
- « T’as pas du fric, Juliette ? » demanda la voix.
L’énonciation de son prénom la fit sursauter. Elle se retourna et reconnu Mélissa. La fille qui était à côté d’elle était noire et devait avoir à peine vingt ans. Elle s’avança vers le banc.
- « C’est toi, Mélissa ? » demanda-t-elle.
- « Ouais, t‘as pas du fric ? » redemanda l’ancienne maîtresse de son voisin.
- « Non, je suis partie sans rien » répondit Juliette en toute bonne foi. « Mais que deviens-tu ? Tu habites dans la rue ? »
- « Tu la connais cette bourgeoise ? » interrogea la jeune black.
- « Oui, c’est la voisine du mec avec lequel je vivais. Tu sais, l’agent immobilier…
- « Ah oui ! Ce con qui t’a foutue dehors ? »
- « Oui, depuis qu’il a trouvé cette salope blonde, il ne veut plus me voir. C’est vrai qu’elle doit présenter un peu mieux que moi dans les cocktails… Il est toujours avec elle ? » demanda Mélissa à Juliette.
- « Oui, mais toi, tu vis de quoi ? »
- « Je me débrouille… Au fait, je te présente Ewana elle est zaïroise. »
- « Oui, mais zaïroise sans papiers ! » répondit-elle avec un large sourire découvrant ses dents blanches, « ça change tout ! »
- « Ewana, je te présente Juliette. »
La jeune fille noire lui tendit la main. Les amies de son amie étaient ses amies… Elle expliqua brièvement son parcours à Juliette.
- « Je suis arrivée en France à l’âge de huit ans avec mes parents. Ils n’avaient pas de papiers et, quand ils se sont fait expulser, j’avais seize ans. Je me suis tirée pour ne pas être renvoyée dans mon pays moi-aussi et je vis dans la rue depuis trois ans et demi. Comme il faisait vraiment trop froid à Paris, je suis descendue dans le sud il y a deux ans. J’ai vécu à Marseille et puis les flics avaient l’air de commencer à me faire des embrouilles, alors je suis venue à Toulon le mois dernier. J’ai rencontré Mélissa la semaine dernière… »
- « La vie ne doit pas être drôle tous les jours », compatit Juliette.
- « Tant qu’on a du fric, ça va » rétorqua Mélissa, « mais là, on est à sec ! »
- « Oui, il va falloir aller en chercher ! » ajouta Ewana.
- « Mais où ? » se demanda Juliette.
- « Tu veux le savoir ? questionna Mélissa. « Alors viens avec nous, on va te montrer… »

à suivre...

Le sex-shop.



Juliette aida Mélissa et Ewana à ranger leurs couvertures. Le jean que portait Mélissa était le même que celui qu’elle lui avait vu avec Henri, mais il était encore plus déchiré et n’avait visiblement pas été lavé depuis. Ewana portait une mini-jupe noire en cuir et un pull un peu trop large, qui avait dû être blanc.
Une fois leurs affaires rangées, les deux jeunes filles se mirent en route. Juliette leur emboîta le pas.
- « On va où ? » demanda-t-elle au bout d’un moment.
- « Vers le port », répondit Mélissa.
- « A pied ? C’est loin », s’inquiéta Juliette.
- « Pourquoi ? Tu veux nous payer le taxi ? » demanda Ewana.
Juliette ne répondit pas. Elle n’aurait même pas eu de quoi leur payer le bus ! Elles marchèrent pendant près d’une heure et arrivèrent sur le port qui grouillait de monde. Mélissa leur fit prendre une petite rue qui s’éloignait un peu de la mer. Au bout de trois minutes, elle s’arrêta devant un sex-shop.
- « C’est là », dit-elle. « Tu viens Juliette ? »
- « Je ne sais pas », bredouilla la chargée de communication qui n’était rentrée qu’une fois ou deux dans ce type d’établissement.
- « Tu te dégonfles ? » demanda Ewana. « T’as pas envie de voir comment on gagne du fric ? »
- « Si, on y va ! » dit Juliette qui ne voulait pas passer pour une mijaurée.
Les deux filles entrèrent dans la boutique aux rayonnages remplis de films X. Le gérant semblait bien les connaître.
- « Salut les filles ! » leur lança-t-il. « Vous avez amené du renfort? »
- « Ouais, c’est une nouvelle en formation », répondit Mélissa.
- « Eh bien bon courage », rétorqua le gérant. « Vous connaissez le chemin ? »
Ewana acquiesça. Elles prirent toutes les trois un petit escalier qui menait au sous-sol. En bas, il y avait des cabines de visionnage. Juliette ne se sentait pas tranquille. Il faisait sombre et pas mal d’hommes trainaient dans les couloirs, pas toujours reluisants. L’un d’eux s’approcha un peu près de Mélissa et lui mit la main aux fesses. Elle se retourna et le fusilla du regard. L’homme reprit sa place aussitôt. Ewana ouvrit une cabine et demanda à Juliette d’entrer. Mélissa les suivit. Aussitôt, elles entendirent les portes des cabines voisines. Une fois habituée à la pénombre, Juliette se rendit compte que des trous étaient percés dans les cloisons et que, derrière chaque trou, un homme les observait. Les trous étaient circulaires et avaient une circonférence d’environ dix centimètres. Juste assez pour passer une main, ou autre chose…

à suivre...

L’un des hommes passa le bras à travers un des trous. Entre ses doigts, il tenait un billet de dix euros.
- « Tu veux quoi ? » lui demanda Mélissa.
- « Une bonne pipe ! » répondit l’homme.
- « C’est le double ! » rétorqua Mélissa.
La main de l’homme disparut une minute et revint avec, cette fois, deux billets de dix euros. Mélissa les prit et l’homme enleva à nouveau sa main. Elles entendirent le bruit de son ceinturon qu’il débouclait, puis sa queue apparut par le trou. Mélissa se mit à genoux et le pompa consciencieusement.
Pendant ce temps, un autre avait tendu un billet de vingt euros par le trou situé à l’opposé. Ewana prit le billet.
- « Tu veux une pipe aussi ? » demanda-t-elle.
- « Oui », répondit l’homme de l’autre côté de la cloison. « Mais je veux que tu te foutes à poil ! »
- « C’est dix euros de plus ! » fit Ewana en tendant la main.
L’homme paya sans rechigner. Ewana retira son pull, puis sa jupe. Dessous, elle ne portait rien. Elle avait un corps splendide.
Elle aussi, se mit à sucer le client anonyme. En moins de cinq minutes, les deux hommes avaient joui et ils quittèrent leurs cabines respectives, dès qu’ils se furent rhabillés. Deux autres les remplacèrent.
Ils demandèrent la même chose, chacun voulant la fille nue, et payèrent tous les deux trente euros. Leur jouissance fut assez rapide et deux autres les remplacèrent. A ce rythme-là, elles allaient pomper tous les mecs du sex-shop en moins d’une demi-heure et leurs finances allaient remonter rapidement. Le gérant de l’établissement était parfaitement au courant de leurs activités. Elles n’avaient rien de légal et il risquait une condamnation pour proxénétisme, mais depuis qu’il les laissait venir de temps en temps, la fréquentation du sex-shop avait triplé ! Comme les clients ne savaient jamais quand les deux filles allaient passer, ils venaient souvent et regardaient un film en attendant une hypothétique visite des filles. Les recettes se portaient bien !
Les deux nouveaux clients voulurent chacun une pipe à trente euros et les filles les firent éjaculer rapidement. A chaque fois, elles les faisaient jouir dans leur bouche, mais recrachaient le sperme sur le sol. Il commençait à y en avoir de partout !
Le suivant n’avait que dix euros. Il voulait une pipe, mais ce n’était pas le tarif. Mélissa se montra intraitable. A ce prix-là, il n’aurait droit qu’à une branlette. Elle le fit éjaculer sur le sol.
De l’autre côté, le client d’Ewana était plus fortuné et connaissait les tarifs. Il tendit un billet de cinquante euros. Pour cette somme, il avait droit à sa chatte.
Ewana le masturba pour que son sexe devienne bien raide, puis elle le suça quelques dizaines de secondes afin de bien l’exciter, et enfin, elle présenta sa chatte à l’entrée du trou. L’homme la pénétra à travers le gloryhole. Il jouit en elle aussi vite que les autres.

à suivre...

Après ces deux-là, le rythme des visites commença à s’espacer. Presque tous les hommes présents dans le sex-shop avaient eu recours à leurs services et il fallait attendre de nouveaux visiteurs, mais il y avait beaucoup de passage. Un homme entra dans une des cabines. Mélissa reconnut un habitué.

- « Tu veux quoi ? » lui demanda-t-elle.
- « Séance spéciale ! » répondit l’homme.
- « Avec moi ou avec Ewana ? » demanda Mélissa.
- « Avec la blonde ! »
- « Ce n’est pas possible », dit Mélissa. « Elle regarde juste ! »
- « Je veux la blonde », reprit l’homme. « Je suis prêt à payer le double ! »
- « Pas possible je t’ai dit ! » insista Mélissa.
- « Attends, c’est quoi une séance spéciale ? » demanda Juliette.
- « Tu vas dans sa cabine et il te tripote et te baise comme il veut. C’est cent euros. »
- « Et il a dit qu’il était prêt à donner le double ? »
- « Oui », confirma l’inconnu.
- « Alors, j’y vais ! » répondit Juliette.
Elle sortit de la cabine et entra dans celle où se trouvait le client plein de fric. Mélissa le fit payer d’avance, comme tout le monde. L’homme était un quinquagénaire chauve et bedonnant. Il se déshabilla rapidement et Juliette en fit autant. Sans attendre qu’elle soit complètement nue, il commença à poser ses mains sur son corps, un peu partout. Ce genre de séance spéciale n’était pas très fréquent car, en général, les mecs qui venaient ici n’avaient pas cent euros à dépenser. Celui-ci était prêt à payer le double pour avoir ce qu’il voulait. Il devait être vraiment friqué !

Mélissa l’avait déjà vu plusieurs fois ici, mais elle ignorait qui il était vraiment. C’était un juge d’instruction en charge de pas mal d’affaires de mœurs. Au moins, il collait à la réalité du terrain !

à suivre...

Il tripota Juliette un bon moment, puis lui demanda de le sucer. Elle le fit sans rechigner. Ensuite, il la fit se relever et pratiqua sur elle un cunnilingus plutôt agréable. Enfin, il la fit pencher en avant et la pénétra en levrette. Il était au bord de la jouissance, tellement les préliminaires l’avaient excité, et jouit au bout de seulement quelques allers retours. Juliette n’avait même pas eu le temps de sentir la moindre amorce de plaisir, mais elle n’était pas là pour cela !
Il se rhabilla rapidement et la laissa sortir avant lui, très galamment. Elle alla vite retrouver ses complices.
- « Bravo », lui dit Ewana. « C’est pas évident de commencer par une spéciale. »
Juliette se contenta de sourire. Après tout, ce n’était pas si terrible. Déjà, un autre client pénétrait dans la cabine. C’était un petit vieux d’au moins soixante-dix ans.
- « Tu veux que je te suce ? » lui demanda Ewana.
- « Non, je veux bouffer ta chatte pleine de sperme », répondit l’homme.
Les deux filles étaient habituées à ce genre de demande un peu atypique. Le tarif pour ce genre de prestation était fixé à cinquante euros. Ewana l’annonça au petit vieux qui acquiesça.
- « Faut trouver un mec qui me baise », dit Ewana.
- « J’en ai un ! » dit l’homme qui avait prévu la question. « C’est un petit jeune timide qui meurt d’envie de te baiser, mais qui n’a pas de fric. Je vais payer aussi pour lui… »
Le vieil homme fit entrer un adolescent qui devait être à peine majeur. Il donna cent euros à Ewana et demanda au jeune de la baiser. Il ne se le fit pas dire deux fois et présenta sa queue bien raide par le trou dans le mur. Ewana vint s’empaler dessus et contracta son vagin au maximum. Elle avait une force incroyable et le jeune homme crut qu’elle allait lui écraser la verge. Sans relâcher la pression, elle fit des mouvements avec son bassin. Il n’avait même pas besoin de bouger. C’était elle qui donnait le rythme.
Le jeune homme était éjaculateur précoce et se vida dans la chatte d’Ewana au bout de quelques secondes seulement. Le vieux prit sa place devant le trou et sa langue apparut. Ewana avança son bassin pour qu’il puisse bien la lécher et libéra ses muscles. Un flot de sperme s’écoula dans la bouche du vieil homme qui se régala.

à suivre...

Après ces séances un peu spéciales mais lucratives, elles firent encore quelques pipes classiques. Juliette qui avait franchi le pas suça deux queues qu’elle trouvait appétissantes. Elle avait le grand luxe de pouvoir choisir.
En sortant, Mélissa donna cinquante euros au gérant qui les mit vite dans sa poche. C’était le prix de sa coopération.
Elles sortirent dans la rue en se tenant toutes les trois par la main. On aurait dit des petites filles lors d’une sortie scolaire, pourtant elles n’avaient plus grand chose d’innocent.

Comme d’habitude, c’était Mélissa qui centralisait les billets. Elle compta la somme ramassée aujourd’hui. Il y avait plus de mille cinq cent euros.
- « On va aller s’acheter des fringues », dit Ewana. « Je pue là-dedans ! »
Elles se dirigèrent vers un magasin appartenant à une grande chaîne et ressortirent un moment plus tard les bras chargés de paquets. Près de cinq cent euros avaient déjà été dépensés !
Mélissa prit trois cent euros et les tendit à Juliette.
- « Tiens, c’est ta part », lui dit-elle. « Prends-les pendant qu’il en reste encore ! »
- « Je n’ai pas besoin d’argent », répondit Juliette. « Gardez-les ! »
- « Elle est sympa ta copine, elle fait la pute pour nous ! » fit remarquer Ewana.
- « Ouais, je te revaudrai ça, Juliette ! » assura Mélissa.
Juliette sourit. Malgré tout ce qu’elle lui avait fait subir lors de leur première rencontre, elle aimait bien Mélissa. Elle lui demanda si elle avait revu Henri.
- « Oui, je l’ai revu plusieurs fois avec sa belle bourgeoise, mais il m’a ignorée complètement. Je lui fais honte… »
- « Quel salaud ! » dit Juliette. « Tu n’as pas envie de te venger ? Moi je règle mes comptes en ce moment… Hier j’ai fait subir une bonne séance de domination à mon amant et il est parti. Bon débarras ! »
- « Oh si, j’aimerais me venger. J’aimerais le dominer dans son donjon… »
- « Je devrais pouvoir t’arranger cela », répondit Juliette en repensant au défi avec Carole.
- « Hum, j’adorerais… »
- « Je vais lui préparer une belle surprise, je te tiens au courant ! » ajouta Juliette en quittant les deux jeunes femmes. Je rentre chez moi… « Je passerai voir de temps en temps si vous êtes dans le parc. »
- « Tchao, ma belle ! » lui cria Ewana.

à suivre...

Retour au donjon.



Juliette ne tarda pas à aller voir Henri. Elle lui rappela qu’il s’était engagé à satisfaire toutes ses exigences sexuelles si elle parvenait à convertir Carole à certains jeux saphiques.
L’agent immobilier lui répondit qu’il faudrait d’abord qu’elle lui en apporte la preuve. Juliette ne se laissa pas démonter et lui rétorqua qu’il n’aurait qu’à venir avec Carole, le lendemain soir dans son Donjon. Il promit qu’il y serait.
Effectivement, le lendemain soir, quand la jeune femme arriva, la Mercédès d’Henri était garée devant la porte et une lumière blafarde filtrait vers l’extérieur. Elle vérifia que la porte était bien restée ouverte comme elle l’avait demandé et entra à l’intérieur.
Carole se tenait sagement aux côtés d’Henri. Elle s’approcha d’elle et déposa un baiser sur ses lèvres. La belle blonde ne refusa pas, ce qui étonna Henri. Elle laissa Juliette la déshabiller progressivement et se retrouva vite en petite culotte. Les attouchements de la voisine d’Henri devinrent plus précis et Carole s’abandonna entre les mains expertes de celle qui lui avait fait découvrir les plaisirs saphiques.
- « Alors, tu es convaincu ? » demanda Juliette.
- « Oui, je dois bien reconnaître que tu as réussi… »
- « Dans ce cas, tu vas devoir m’obéir totalement ! C’était le deal… »
Henri se renfrogna. Il était un peu inquiet de ce qu’allait lui faire subir sa voisine. Surtout si elle l’avait amené ici…
- « Pour commencer, fous-toi à poil ! » ordonna Juliette.
Elle avait pris un martinet et son voisin n’eut d’autre choix que de lui obéir. Elle l’attacha solidement et fit cingler les lanières sur ses cuisses.
- « On va s’amuser un peu avec toi » reprit la belle blonde. « Mais je vais aller chercher quelques amies… Les clés de ta Mercédès sont dans ta veste ? »
Henri ne répondit pas. Elle lui asséna deux grands coups de martinet sur les fesses pour qu’il se décide à répondre.
- « Oui, elles sont dans la poche… » dit-il finalement.
Juliette alla se servir malgré la réprobation de celui qui n’avait plus la liberté de ses mouvements. Elle laissa Carole se rhabiller et elles sortirent toutes les deux. Elle avait décidé de la laisser conduire.
La Mercédès démarra rapidement et Juliette lui indiqua quelle route prendre. Il ne leur fallut pas très longtemps pour rejoindre le parc où elle avait croisé Mélissa seulement quelques jours plus tôt.

à suivre...

En la voyant descendre de la somptueuse berline, Ewana vint à sa rencontre.
- « Ben dis donc, tu as trouvé une super caisse… C’est à toi ? »
- « Non, c’est celle de mon ex » intervint Mélissa qui l’avait suivie. « Ce connard a vraiment du fric ! »
- « Tu nous emmènes faire un tour ? » demanda Ewana.
- « Oui, montez… On va aller s’occuper du propriétaire de la voiture… »
Elles prirent place à l’arrière et Mélissa remarqua enfin la jeune femme blonde qui avait pris sa place auprès d’Henri.
- « Tiens, tu es là, toi ? » fit-elle d’un air désagréable.
Ce fut Juliette qui répondit à sa place.
- « Tu sais, Carole n’est pour rien dans le fait qu’Henri t’a foutue dehors » expliqua-t-elle. « Je crois qu’elle aussi est victime de ce salaud. Il profite d’elle en lui faisant croire qu’il lui cherche une maison, mais ça l’arrange de ne pas en trouver…»
- « Oui, en attendant il la baise ! »
- « Exactement ! » intervint Carole. « Mais cette fois ça suffit ! »
- « Ne t’en fais pas, on va s’occuper de lui ! » intervint Ewana.
- « Oui, il va te trouver une maison vite fait » ajouta Mélissa. « Et à nous aussi… »
- « Oui, ras le bol de vivre dans la rue ! » s’énerva la zaïroise. « Quand je pense rien qu’au prix de sa bagnole ! J’ai envie de pisser sur ses beaux sièges en cuir… »
- « Alors vas-y ! Fais-toi plaisir » l’encouragea Mélissa.
Ewana souleva sa jupe, sous laquelle elle ne portait rien, comme d’habitude. Un puissant jet d’urine chaude jaillit et inonda le siège et le tapis de sol.
- « Connard ! Je pisse sur ton fric ! » se mit-elle à hurler.
Quand elles arrivèrent dans le donjon, les quatre filles riaient comme des folles. Henri, par contre n’en menait pas large. Dès qu’il avait reconnu Mélissa, il avait compris qu’il s’apprêtait à passer un moment difficile. Ils avaient dominé assez de soumis ensemble pour qu’il puisse apprécier sa perversion et parfois même sa cruauté.
Mélissa s’approcha d’Henri et le regarda droit dans les yeux.
- « Alors, tu es content de me revoir, connard ? » demanda-t-elle.

à suivre...

Voyant qu’il ne répondait pas, elle lui cracha au visage et lui empoigna les testicules qu’elle serra de toutes ses forces.
- « Oui » finit-il par répondre, contraint par la douleur.
- « Tu vas voir, on va bien jouer avec toi » reprit-elle. « Qu’est-ce que tu as envie de lui faire ? » demanda-t-elle à Carole.
- « Je ne sais pas » répondit celle-ci qui n’avait pas l’habitude de ce genre de jeux.
- « Pour commencer, il a trop de poils ! » intervint Ewana. « On va l’épiler… »
- « Bonne idée… Je vais chercher la cire… »
Moins de cinq minutes plus tard Ewana et Mélissa prenaient à arracher des bandes de cire chaude un peu partout sur le corps de l’agent immobilier. A leur demande, Juliette et Carole en arrachèrent quelques-unes, mais ce n’était pas trop leur truc de le faire gueuler.
- « Tu nous casse les oreilles ! » dit Ewana au bout d’un moment en le bâillonnant avec la culotte de Carole.
Une fois qu’il fut entièrement épilé, Mélissa le détacha et le força à s’allonger sur ce qu’ils appelaient tous les deux « la table de tortures ». Elle fixa des pinces sur ses seins et sur ses testicules, puis prit un fouet et lui en asséna plusieurs coups. Elle le tendit ensuite à Carole.
- « Tiens, si tu as des choses à lui faire payer, c’est le moment… »
Carole n’était pas spécialement violente. Elle donna quelques coups de fouet, mais ce qu’elle voulait c’était enfin être logée. Henri n’en pouvait plus d’avoir mal. Il reconnut qu’une grande maison était disponible dans son agence immobilière. Elle avait même des dépendances. Ewana et Mélissa s’en contenteraient largement.
Finalement, tout se termina bien. Carole quitta enfin l’appartement d’Henri. Les deux SDF ne furent plus dans la rue et Juliette retrouva une certaine sérénité dans son couple avec Anton, même si elle ne résistait pas à une occasion de temps en temps de se faire baiser par une bonne queue.
Mais on ne se refait pas et son mari n’aurait pas aimé qu’elle soit trop sage…


FIN

voila... encore une histoire terminée...
Pour celle-ci, Anton m'a beaucoup parlé de Juliette, de Marc... Il a évoqué sa patronne, le concierge de leur immeuble... un voisin que j'ai baptisé Henri...
Pour le reste, les personnages de Carole, de Svetlana, de Mélissa, d'Ewana... sortent uniquement de mon imagination. La plupart des scènes aussi, car à part les étreintes surprises avec Marc, ce ne sont que ses fantasmes...

j'ai encore quelques autres histoires écrites avec la complicité de maris candaulistes.
En voulez-vous encore ?

oui continu elle son superbe t'ai histoires

Peu de demandes pour que je poursuive, mais il y en a...

Alors passons à SOPHIE, une jeune femme de la région lyonnaise dont le mari était cocu et soumis.
Il a commencé à bien me parler d'elle, mais elle le surveillait. Un jour, il a arrêté de m'écrire...
J'ai poursuivi quand même !

SOPHIE

Nicolas a commencé à me parler de Sophie. Ils sont en couple mais ne sont pas mariés.
Son fantasme : être soumis et humilié par sa belle. Il a commencé à me raconter quelques-unes de leurs expériences. Evidemment, j’ai souhaité aller beaucoup plus loin…
A travers ce récit, j’ai voulu imaginer ce qu’elle pourrait lui faire subir, pour son plus grand plaisir…

La rencontre de Julien.



Sophie et Nicolas vivaient ensemble depuis quatre ans. Au début, quand ils s’étaient rencontrés, leurs relations sexuelles étaient tout à fait classiques et même ordinaires. Progressivement, Nicolas avoua à sa compagne que l’idée de jeux de domination hantait ses pensées.
Au début, elle était réticente. Elle accepta quelques situations un peu insolites et finit par prendre goût à leurs jeux. De plus en plus souvent, ils se mirent à organiser des séances au cours desquelles Nicolas était de plus en plus soumis à Sophie. Il adorait qu’elle joue à l’humilier. Leurs relations de domination étaient plutôt cérébrales et restaient purement à l’intérieur du couple.
Nicolas se mit à rêver de cocufiage et d’humiliation devant un autre homme. Il finit par en parler à Sophie, qui réagit assez favorablement à cette idée. Ils parlèrent longuement du libertinage et de ses vertus salvatrices pour leur couple dans lequel ils ne voulaient pas que la routine s’installe. Un jour, enfin, ils décidèrent de passer à l’acte. Ils allaient rencontrer un autre homme et le faire participer à leur vie sexuelle.
Les discussions permirent au couple d’arriver à définir le profil recherché. Ils voulaient un homme bisexuel, assez jeune et qui plaise à Sophie. Nicolas fut chargé par son épouse de le trouver. C’était sans doute la première partie de l’humiliation : le cocu devait trouver lui-même le cocufieur !
Nicolas mit une annonce sur internet : « Couple, lui 30 ans, elle 27 ans cherche jeune homme bi pour jeux libertins. Envoyer photo ».
De nombreux hommes répondirent à l’annonce. Nicolas fit le tri des candidats. La réponse de certains ne restait pas longtemps soumise à réflexion. Certains avaient soixante ans ou plus. Heureusement qu’il avait écrit « jeune homme ». Certains ne se voyaient pas vieillir. D’autres annonçaient clairement qu’ils étaient mariés et très peu disponibles. Enfin, certains promettaient tant de choses, qu’on voyait bien que c’étaient de simples fantasmeurs.

à suivre...

Nicolas choisit deux ou trois candidats. Il leur répondit par mail et leur demanda de lui transmettre un numéro de téléphone. L’un d’eux répondit très rapidement et Nicolas décida de l’appeler aussitôt.
Il s’appelait Julien et semblait assez jeune. La description de Sophie sembla lui plaire énormément. Par contre, il ne posa aucune question sur Nicolas. Ce dernier lui demanda s’il était bi et il avoua qu’il ne l’était pas. Déçu, Nicolas s’apprêtait à raccrocher, mais il posa tout de même quelques questions supplémentaires à Julien.
Julien sembla hésiter et lui demanda d’envoyer une photo de Sophie. Nicolas en choisit une où on la voyait en string avec ses bas et son soutien-gorge baissé, en train de titiller les pointes de ses seins. Il la trouva terriblement excitante et tomba sous le charme. Quand Nicolas lui expliqua que son envie était de sucer un autre homme devant sa copine, Julien ne sembla pas choqué et fit savoir qu’il acceptait de se laisser faire. Nicolas se dit qu’ils ne risquaient pas grand-chose à essayer. Après tout, si cela ne marchait pas avec celui-là, ils en essaieraient un autre !
Nicolas dut réserver le restaurant et deux chambres d’hôtel comme Sophie le lui avait demandé. Il en parla à sa compagne et elle sembla toute excitée à l’idée de concrétiser leur fantasme. Le lendemain, il rappela Julien et lui indiqua le jour où leur rencontre devait avoir lieu, avec l’adresse du restaurant. Cela semblait parfaitement lui convenir et il était toujours partant.

à suivre...

Nicolas se souvint longtemps du moment qui précéda cette première soirée. Sophie était survoltée et ne savait quelle tenue choisir pour faire de l’effet à celui qu’ils allaient rencontrer. Elle essaya d’abord une robe assez classique, puis se dit que c’était trop sobre. Elle l’enleva rapidement et resta longtemps en sous-vêtements, à fouiller dans son armoire, à la recherche de la tenue idéale.
Nicolas la laissait faire, mais ne perdait pas une miette du spectacle excitant de sa copine, extrêmement sexy en bas et porte-jarretelles qui cherchait comment mieux en séduire un autre. Il se sentait déjà virtuellement cocu !
Sophie choisit finalement une tenue très sexy. Elle remplaça ses bas assez classiques par des bas-résille et enfila un minishort qui mettait bien en valeur ses fesses. Le petit haut qu’elle avait choisi était également en résille avec un grand décolleté qui ne dissimulait pas grand-chose de sa poitrine. Avec son 95C, leur invité allait se régaler ! Pour finir, elle enfila des bottes en cuir du plus bel effet.
Quand ils arrivèrent au restaurant « La Boucherie», dont ils étaient des habitués. Tout le monde se retournait sur le passage de Sophie. Nicolas était fier d’elle. Ils choisirent une table bien placée et s’installèrent face à face, attendant leur invité.
Julien arriva peu après et s’installa aux côtés de Sophie. Au début il était un peu timide, mais Sophie le mit tout de suite à l'aise en posant la main sur sa cuisse. Il ne tarda pas à l'imiter. L'ambiance devint plus détendue et ils commencèrent à discuter du programme de la soirée et des attentes de chacun. Non seulement Julien n’était pas bisexuel, mais il n’était pas adepte des jeux de soumission. Nicolas commençait à se demander s’il avait fait le bon choix… Il acceptait pourtant d’essayer par simple curiosité, mais ne voulait pas être soumis.
De temps en temps, les trois convives sortaient fumer une cigarette. Sophie se collait à Julien. Elle donnait l'impression que son mec c'était lui et que Nicolas était un ami du couple. Elle le tenait par la main pour sortir du resto puis ils s'embrassaient à pleine bouche. Il en profitait pour peloter ses seins et son cul de manière indécente. Nicolas était la chandelle !

à suivre...

Julien ne faisait même plus attention à lui. Il n'avait d'yeux que pour elle. Elle était terriblement excitée par la situation...et son compagnon aussi.
La plupart des serveurs connaissent le couple et celui qui les servait ce soir-là les avait bien reconnus. Au début du repas, Nicolas avait lu de l'interrogation dans son regard, puis il avait dû comprendre le petit manège, car le nouveau cocu avait vu s’esquisser sur ses lèvres un petit sourire qui ne disparut pas du repas. De plus Nicolas l’avait vu discuter avec amusement avec ses collègues en regardant dans leur direction.
Sophie et Julien ne se sont même pas rendus compte qu'ils les observaient, trop occupés à discuter. Elle lui racontait les jeux de domination de son couple. Comment Nicolas aimait être humilié. Cela amusait beaucoup Julien. Elle raconta une de leurs meilleures expériences.
Elle expliqua qu'une fois, sortant d'un restaurant, son compagnon avait une énorme envie de pisser. Elle l'obligea à se mettre nu dans une ruelle et à pisser à quatre pattes le long d'un mur, comme chien.
Nicolas prenait un plaisir immense à entendre Sophie raconter, devant un inconnu qu’ils voyaient pour la première fois, ce qu’elle lui faisait subir. Elle lui raconta qu’il aimait se masturber en lui léchant les pieds, pendant qu'elle lisait ou regardait la télé en le traitant de lopette, de sous merde... Ces petits jeux plaisaient beaucoup à Nicolas, mais Julien ne comprenait pas que l'on puisse trouver cela excitant.
Juste avant le dessert, Sophie et Julien décidèrent d'aller fumer une clope sans Nicolas. Il resta donc tout seul à table et les vit s'éloigner un peu plus loin sur le parking. Leur serveur vint le voir lui demandant si tout se passait bien avec un sourire qui en disait long. Cela le mit mal à l’aise, mais il lui répondit que tout allait pour le mieux.
Au bout d'un quart d'heure ils revinrent tous les deux, morts de rire. A peine assis, Julien signala à Nicolas que sa copine suçait très bien et qu'il avait hâte de passer à l'hôtel.
Sur ce, les trois convives prirent le dessert, le café et partirent justement vers l’hôtel du restaurant…

à suivre...

La chambre d’hôtel.



Quand ils arrivèrent dans la chambre, Sophie et Julien se mirent tout de suite sur le lit. Nicolas vit leur invité tripoter outrageusement sa copine. Il lui caressait les seins, prenait ses fesses à pleines mains et mit sa main entre ses cuisses. Non seulement elle se laissait faire, mais elle semblait y prendre un grand plaisir et l’encourageait à continuer.
Nicolas était resté au bord du lit et observait la scène, en parfait cocu bien docile. Julien embrassait Sophie avec passion. Pour le moment, il ne regrettait vraiment pas d’avoir répondu à cette annonce pour laquelle il n’avait pas vraiment le profil recherché. Sa timidité s’était complètement envolée et il savait déjà que ce n’était pas cette larve de Nicolas qui allait l’empêcher de faire ce qu’il voulait avec sa copine.
Sophie se releva, arrêtant un moment d’embrasser Julien, et se tourna vers Nicolas. Elle lui lança un regard dur.
- « Qu’est-ce que tu fous là à nous observer ? » demanda-t-elle. « Allez ! Fous-toi à poil ! »
Sans dire un mot, Nicolas retira son pantalon, son tee-shirt et son slip. Il était nu devant le couple de nouveau enlacé et les regardait, presque au garde à vous.
Elle lui lança un regard dur.
- « Prends ta ceinture et mets-la autour de ton cou, comme une laisse ! » s’emporta Sophie. « Tu vas voir comme il est bien dressé », ajouta-t-elle pour Julien.
Nicolas obéit une fois de plus. Il passa la ceinture autour de son cou et l’accrocha en la fixant au trou supplémentaire qu’il avait percé justement à cet effet, pour que l’accessoire puisse lui servir de collier et de laisse.
- « Approche un peu ! » ordonna Sophie.
Nicolas vint à ses pieds et attendit sagement qu’elle prenne l’extrémité de la laisse. Elle s’en saisit et tira un grand coup. Il faillit tomber en avant.
- « Bon ! Maintenant tu vas faire un peu d’exercice », lui dit-elle. « Assis ! Couché ! Debout ! Assis ! »
Nicolas obéit à tous les ordres, comme un toutou bien dressé qu’il était. Sophie se leva ensuite et le promena à travers la chambre. Enfin, elle prit l’extrémité de la laisse et la fit claquer sur ses fesses.
- « Allez, va te coucher sagement ! » cria-t-elle.
Il alla dans un coin de la pièce, toujours à quatre pattes, et tourna un moment en rond avant de se coucher, comme il l’avait si souvent vu faire par le chien de la maison quand il était enfant.

à suivre...

elle broute le gazon??

Sophie se remit sur le lit et reprit ses câlins avec Julien, sous l’œil abattu de Nicolas qui n’avait plus le droit que de les observer de loin.

Au bout d’un moment, elle se leva et demanda à Julien d’en faire autant. Il était assez grand, environ un mètre quatre-vingt et plutôt mince. Il ne devait pas peser plus de soixante-dix kilos. Il avait trente-trois ans, trois de plus que Nicolas et six de plus que Sophie.
Elle appela son compagnon à quatre pattes d’une voix toujours aussi autoritaire.
- « Nico, ici ! Aux pieds ! »
Il arriva en quatrième vitesse et se coucha, le nez dans les bottes de Sophie. Elle le complimenta enfin.
- « C’est bien, lui dit-elle. Tu es un bon chien ! Maintenant tu vas baisser le pantalon de Julien et t’occuper de lui ! »
Nicolas fit ce qu’elle demandait. Il défit le bouton du pantalon de Julien et le baissa jusqu’aux genoux. Pendant ce temps, Sophie avait repris ses baisers langoureux et sa langue pénétrait une fois encore dans la bouche du jeune homme. En même temps, elle avait ouvert son minishort et le fit glisser jusqu’à ses chevilles. Le string suivit le même trajet et se retrouva sur la moquette épaisse. Sans arrêter d’embrasser Julien, elle écarta les lèvres de son sexe et il posa son doigt à l’entrée de son vagin et la doigta sous les yeux de Nicolas. Pendant ce temps, Sophie avait pris Nicolas par les cheveux et lui avait ordonné de sucer son nouvel amant. Il s’était exécuté sans rechigner. La queue de Julien était beaucoup plus grosse et surtout plus dure que celle de Nicolas, qui se masturbait tellement qu’il n’arrivait plus à bander quand c’était le moment. Il le suça un bon moment, tandis qu’il masturbait franchement Sophie. Etre l’artisan du plaisir de l’amant de sa compagne qui était en train de provoquer celui de cette dernière était une sensation nouvelle pour Nicolas. Cette fois, il n’y avait pas de doute, il était vraiment cocu !

à suivre...

- « Tu vas te branler sur sa jambe, comme un chien ! » dit fermement Sophie.
Nicolas se mit à se masturber frénétiquement sous le regard moqueur de Julien. Comme d’habitude, il n’arrivait pas à bander et dut essuyer les moqueries de sa compagne.
- « Tu comprends pourquoi je suis obligée de prendre un autre mec? » demanda-t-elle. « Ta queue est molle comme du coton ! Tu n’es même pas foutu de me baiser ! Franchement, je préfère celle de Julien. Elle est plus grosse et au moins, elle bande ! »
Plus elle l’humiliait, plus Nicolas se sentait excité et il finit par bander assez pour se satisfaire. Il éjacula sur la jambe de Julien et elle lui ordonna aussitôt de lécher son sperme.
Nicolas regarda le liquide gluant qui coulait sur la jambe du jeune homme et il ne put pas se résigner à y mettre sa langue. C’était trop lui demander, il ne pouvait pas ! Sophie entra dans une colère noire.
- « Gros dégueulasse ! » hurla-t-elle. « Tu ne vas quand même pas le laisser avec ton sperme qui coule ? »
- « C’est vrai qu’il est dégueulasse », rajouta Julien. « Je me demande à quoi il te sert ! Non seulement il n’est pas capable de te baiser, mais en plus il fait la fine bouche… Allez, gros porc, essuie tes cochonneries ! »
- « Si tu ne veux pas le lécher, tu vas l’essuyer quand même ! » reprit Sophie en l’empoignant par les cheveux et en lui frottant le visage contre la jambe.
Nicolas se retrouva avec son propre foutre sur le visage. Il en avait de partout : sur les joues, sur le nez, sur le front…
Pendant qu’il essuyait son sperme sur le tibia de l’amant de sa copine avec son visage, Sophie s’était mise à sucer Julien. Celui-ci avait définitivement pris confiance et n’hésitait plus à insulter Nicolas. Il semblait même y prendre un certain plaisir.
- « Tu es un minable ! Regarde-toi, pauvre cocu, tu n’es qu’un tocard ! Tu es une pauvre merde ! Pédé ! »
- « T’as raison », ajouta Sophie entre deux succions, « il ne vaut pas grand-chose ! »
- « Ouais, il ne sait pas la chance d’avoir une gonzesse comme toi ! Elle suce bien ta meuf, pauvre mec ! Regarde comme elle prend bien ma bite dans sa bouche et comme elle l’aspire bien… Je suis sûr que tu aimerais en faire autant ! Hein pédé ? »
Nicolas restait muet, à genoux à côté du lit et se branlait silencieusement en regardant sa compagne sucer un mec qu’elle voyait pour la première fois. Au bout d’un moment, elle lui demanda d’aller chercher une capote et de l’enfiler à Julien. Nicolas obéit et alla chercher le préservatif qu’il mit sur le gland du nouvel amant de Sophie et qu’il déroula avec délicatesse.

à suivre...

quels textes !!!
j'adore !

- « Je vais la baiser ta meuf, maintenant ! » lui dit Julien en le regardant droit dans les yeux. « Tu ferais bien de regarder comment on fait ! »
Il aida Sophie à s’allonger, jambes écartées sur le lit de l’hôtel, puis il se mit sur elle et la caressa avec sensualité. Nicolas vit qu’elle y prenait un grand plaisir et il en éprouva une certaine satisfaction. Ce qu’il voulait, c’était avant tout son plaisir. Ce plaisir qu’il ne pouvait pas lui donner à cause de sa queue molle.
Julien continuait à faire preuve de beaucoup de tendresse à l’égard de Sophie qui regarda enfin dans la direction de Nicolas.
- « Franchement, tu n’es pas beau à voir ! lui déclara Sophie. Allez, retourne te coucher ! »
Il se remit en rond dans le coin de la pièce et attendit qu’elle en ait fini avec Julien. Désormais, il n’était qu’un chien, leur chien !
Julien avait décidé de prendre tout son temps avec Sophie. Il faisait durer les préliminaires autant qu’il pouvait. Nicolas se releva au bout d’un moment et vint voir de plus près comment il s’y prenait. Il laissait courir ses doigts un peu partout sur le corps de la belle Sophie. Ses mains épousaient les courbes de ses hanches et de ses fesses. Il passa son index dans le sillon qui séparait ces deux globes de chair et Nicolas la vit frémir. Abandonnant ses fesses après les avoir bien malaxées, il se mit à caresser les cuisses de Sophie avec douceur. Elle ferma les yeux et le laissa remonter jusqu’à la fixation de ses bas. Avec une dextérité étonnante, il les décrocha du porte-jarretelles et fit glisser les deux fourreaux de résille l’un après l’autre. Il caressa ses pieds doucement, puis remonta le long de ses jambes et défit le porte-jarretelles. Elle était maintenant entièrement nue. Il remonta vers sa poitrine et prit ses seins lourds entre ses mains. Il adorait cette poitrine opulente et ne se priva pas de la malaxer.
Pendant ce temps, Nicolas les observait en se masturbant avec frénésie. Il tirait sur sa queue devenue complètement molle depuis qu’il avait joui. Il aurait aimé intervenir, s’occuper de cette chatte que Julien délaissait, mais il savait qu’il ne devait pas le faire. Sophie ne l’aurait pas admis. Elle était entièrement offerte à Julien et il n’avait pas à s’en mêler.
Julien lécha les pointes bien dressées des seins de Sophie, puis il redescendit enfin vers son sexe. C’était tout à fait volontairement qu’il l’avait évité au cours de ces préliminaires. Il fallait éveiller les sens de la jeune femme et lui donner envie qu’il s’occupe de son intimité. L’idéal, c’était que ce soit elle qui le supplie de la prendre…
- « Hum, c’est bon mon chéri ! » dit soudain Sophie.
- « J’ai soif », répondit Julien, « pas toi ? »
- « Si », admit Sophie. « Tu as à boire ? Moi j’ai apporté du whisky… »
- « J’ai une bouteille de champagne, on va fêter notre rencontre ! Toi, va la chercher dans mon sac à dos ! » aboya-t-il à l’adresse de Nicolas.
Le pauvre cocu dut aller prendre la bouteille dans le sac de leur invité avec deux coupes et il dut les servir. Ils trinquèrent et s’embrassèrent sous les yeux de Nicolas.

à suivre...

- « Tu as peut-être soif aussi », dit alors Sophie.
- « Oui », répondit Nicolas qui s’attendait à ce qu’elle sorte une troisième coupe.
- « Tiens, tu vas boire là-dedans ! » dit-elle en sortant un bol qu’elle posa par terre et remplit de whisky.
Nicolas se remit à quatre pattes et lapa bruyamment le liquide dans le bol. Sophie l’ignora et prit Julien par le cou. Elle l’embrassa encore une fois.
- « Tu peux y aller », lui dit-elle. « Ces préliminaires étaient merveilleux, mais tu peux me baiser franchement. Ce n’est pas ce chien qui lape son écuelle qui va-t’en empêcher ! »
- « J’espère bien, » répondit Nicolas qui prenait de plus en plus confiance en lui, « sinon, je lui botte le cul ! »
Julien la renversa sur le lit, Cette fois, il ne s’embarrassa pas de préliminaires. Sa queue était bien raide et plus grosse que celle de Nicolas. Il la mit entre les lèvres du sexe de Sophie et la pénétra franchement. Elle poussa un soupir de contentement. Il commença à s’activer et ordonna à Nicolas de venir regarder comment il baisait sa femme.
- « Regarde, pauvre lope, comme je lui remplis bien la moule ! Tiens! Tu as vu comme je vais bien au fond ? Ce n’est pas toi, avec ta petite bite, qui pourrait en faire autant ! »
- « Non », répondit Nicolas qui acceptait d’être humilié.
- « Tu vas voir comme elle prend son pied à bouffer une queue bien raide », ajouta Julien et ressortant de la chatte de Sophie et en attirant sa tête vers son sexe. « Regarde bien comme elle aime ça, ta salope ! Cela la change de la nouille que tu as entre les jambes ! C’est quand même malheureux qu’une belle femme comme elle vive avec un pédé ! Parce que tu es un pédé, hein ? Dis-le que tu es un pédé ! »
- « Je suis un pédé », répéta Nicolas.
Julien, que cette séance d’humiliation avait bien excité se mit à devenir plus directif avec Sophie. Il enleva sa bouche de sa queue, la tirant par les cheveux, puis lui ordonna de se mettre à quatre pattes. Il se mit derrière elle et la prit en levrette. Son ventre claquait sur les fesses de Sophie dont les seins lourds remuaient à chaque fois qu’il s’enfonçait en elle.
- « Elle est vraiment bonne ta salope ! » dit-il à Nicolas.
Il accéléra encore le mouvement et lui donna quelques claques sur les fesses. Sophie n’aimait pas particulièrement être dominée, mais dans le feu de l’action, ces claques sur les fesses la stimulèrent. Au bout d’un moment, il enfonça un doigt, puis deux dans son cul. Elle sembla vraiment apprécier.
- « Tu vois, ça c’est un vrai mec ! » dit-elle à Nicolas.
- « Hum, je la baise bien profond ! Je vais la faire jouir ! Cela ne doit pas lui arriver souvent avec toi, hein pédé ? »
Nicolas ne répondit pas. Il se contenta de continuer à se masturber pendant que Julien faisait crier sa compagne de plaisir. Après l’avoir prise presque sauvagement, il redevint tendre et l’embrassa doucement. Il retira son préservatif et le jeta sur le sol, puis ordonna à Nicolas de venir le ramasser avec les dents et de le porter à la poubelle.
Ils s’allongèrent sur le lit et fumèrent une cigarette qu’ils se passaient de l’un à l’autre. Sophie franchement avait l’air heureuse. Nicolas retourna se coucher par terre dans un coin, comme le chien qu’il était !

à suivre...

Un matin dans la chambre.



Sophie et Nicolas passèrent la nuit ensemble dans la chambre où Julien avait baisé la belle jeune femme. Au milieu de la nuit, Nicolas avait envie de Sophie. Il tenta de s’approcher d’elle et la réveilla dans son sommeil. Julien était parti à près de 4 heures du matin et elle avait envie de dormir. Il insista et elle se réveilla finalement.
Devant l’insistance de Nicolas, Sophie accepta tout de même de parler un moment. Elle lui avoua qu’elle s’éclatait et il lui fit la même confidence, lui disant qu’il aimerait bien que le délire continue jusqu’à ce qu’ils quittent l’hôtel. Il voulut essayer de la prendre dans ses bras de manière tendre, mais sa réponse cingla aussitôt.
- « Puisque tu veux continuer, tu vas te branler ! » lui dit-elle. « De toute façon, tu bandes mou ! »
Nicolas dut se mettre à côté du lit, à genoux, et se branler en lui léchant les pieds pendant qu’elle s’endormait de nouveau.
Vers huit heures trente, Sophie ouvrit les yeux. Elle s’étira lentement et posa la main sur son ventre. Elle avait plutôt bien dormi. Ses doigts descendirent lentement vers son clitoris, alors que Nicolas dormait toujours à côté d’elle. Sans faire de bruit, elle commença à caresser son bouton de plaisir. Très vite, sa chatte s’humidifia. Elle fit tourner son majeur autour de son clitoris qui réclamait du plaisir. C’était bon de se caresser en repensant à ce qui c’était passé la veille au soir. Pourtant, elle savait qu’elle ne parviendrait pas à jouir avec ce simple mouvement. C’était une pure vaginale et, à moins d’être excitée par une situation exceptionnelle, elle avait besoin d’être pénétrée pour éprouver un orgasme.
Elle arrêta de se masturber et réveilla Nicolas.
- « Nicolas, réveille-toi ! J’ai envie de faire l’amour. »
- « Oui ma chérie », dit-il en ouvrant les yeux. « Je vais m’occuper de toi… »
- « Sûrement pas ! » s’écria-t-elle. « Va appeler Julien ! »
Nicolas se leva en grommelant. Elle y allait un peu fort tout de même de l’envoyer chercher son amant ! Il prit le téléphone et appela la chambre de Nicolas. Le jeune homme était réveillé et fut là en moins d’une minute.


à suivre...

Il pénétra dans la chambre où se trouvait Sophie. Elle portait une charmante nuisette transparente qu’elle avait remontée jusqu’à la taille. Sa chatte parfaitement rasée était exposée à la vue des deux hommes. Nicolas se glissa dans le lit. Julien retira rapidement son pantalon et en fit autant, puis le prit par l’épaule.
- « Dégage, toi, minus ! » lui dit-il. « Ta copine a dit hier qu’elle avait besoin d’un homme, un vrai ! »
- « Mais, je pensais que… » commença Nicolas qui se serait bien vu entamant un trio matinal.
- « Il a raison ! » l’interrompit aussitôt Sophie. J’ai besoin d’une queue bien dure ! Je ne pense pas que tu aies cela en magasin… Allez, file ! »
Nicolas fut obligé de sortir du lit. Il vit Julien poser ses mains sur le sexe de Sophie et commencer à la caresser. Son sexe coulait tellement elle était excitée. Julien approcha sa bouche et, avant de poser sa langue sur les lèvres discrètes de cette belle chatte offerte, il la huma légèrement. Elle ne s’était pas lavée depuis la veille et sentait bon la femme...
- « J’adore ce parfum un peu fort ! » s’extasia Julien. « En partant, il faudra que tu me donnes ta culotte, j’aurai un souvenir de toi… »
- « Si tu veux, répondit Sophie, mais je vais quand même aller prendre une douche. Viens, il va nous laver », dit-elle en désignant Nicolas.
Elle se dirigea vers la salle de bains, suivie par Julien et par Nicolas. Ils prirent place tous les trois dans la douche. Nicolas dut rester à genoux entre les deux amants. Sophie ouvrit l’eau, régla la température et tendit le savon à Nicolas.
- « Vas-y, lave-nous ! » lui dit-elle d’un air sévère.
Il commença par le corps de Sophie. Il en profita longuement car, depuis la veille au soir, il n’avait pas beaucoup eu l’occasion de toucher le corps de sa maîtresse. Il savonna ses pieds, ses jambes, ses cuisses, puis remonta vers ses fesses et son sexe. Il fit beaucoup de mousse pour bien laver la raie de son cul et les replis de sa chatte. Sophie lava elle-même le haut de son corps, laissant à Nicolas la seule partie qu’il pouvait atteindre dans sa position. Comme elle trouvait qu’il insistait un peu trop sur le lavage de son intimité, elle le rappela à l’ordre.
- « Ça suffit, maintenant ! » lui dit-elle. « Occupe-toi de Julien ! »

Nicolas dut laver les pieds, puis les jambes de l’amant de celle qui partageait sa vie. Il avait vraiment pris confiance en lui. Il se comportait maintenant avec Sophie comme si elle avait toujours été sa compagne. Pendant que Nicolas le lavait, Julien eut soudain envie de pisser. Sans rien dire à personne, il commença à uriner dans la douche et dirigea le jet vers Nicolas. La pisse chaude se répandit sur le corps de celui qui le lavait. Il n’avait pas dû se soulager en se levant, car la quantité d’urine qu’il libérait était impressionnante. Nicolas en avait de partout et Julien lui pissa sur le dos en se moquant de lui.

à suivre...

Jamais encore il ne c’était senti aussi humilié qu’à ce moment-là. Non seulement Julien baisait sa femme, l’obligeant à assister à leurs ébats, mais maintenant il devenait le serviteur du couple illégitime, devant aller jusqu’à faire leur toilette intime. Se faire pisser dessus par l’amant de Sophie, sous ses yeux, était l’humiliation suprême. Justement ce que recherchait Nicolas qui adorait cette situation.
Julien s’arrêta enfin de pisser et se moqua ouvertement de Nicolas qui ruisselait de son urine bien jaune.
- « Ça va ? La douche n’était pas trop chaude ? « demanda-t-il. » Tu t’es vu plein de pisse ? Remarque cela te va bien, il parait que ça remplace le gel douche… Tu es vraiment une lopette, un ramassis de pissotière ! Je suis sûr que tu aimerais être attaché dans les chiottes de l’hôtel et que tous les clients viennent te pisser sur la gueule ! Lave-moi bien maintenant, salope ! »
Nicolas reprit du savon et dut laver la queue qui venait de lui pisser dessus. Il le fit avec application sous le regard amusé de Sophie et Julien commença à bander. Il lui lava ensuite les fesses et Sophie le força à lécher le trou du cul de son nouvel amant, afin qu’il vérifie s’il avait bien fait son travail. Nicolas s’exécuta sans sourciller, puis, quand Julien se retourna, il fut forcé de prendre sa bite dans la bouche et de la sucer, tandis qu’il commençait à tripoter outrageusement Sophie et à l’embrasser.
Nicolas eut interdiction de se laver et dut rester plein de pisse. Les deux amants retournèrent sur le lit et il dut rester dans la salle de bain, étant enfin autorisé à laver la pisse qui recouvrait son corps.
Une fois qu’ils furent su le lit, Sophie demanda à Julien de se mettre à quatre pattes. Il ne comprit pas tout de suite pourquoi, mais il fit ce qu’elle demandait. Elle passa derrière lui et se mit à caresser ses fesses musclées. Ses mains descendirent vers ses testicules et elle les excita de la pointe de ses ongles. Elle attrapa la hampe de son sexe et le fit passer entre ses cuisses, puis elle goba ses testicules l’un après l’autre, pendant qu’elle le branlait. Sa langue remonta le long du périnée et glissa dans la raie des fesses de son amant. Sous l’œil ébahi de Nicolas, qui revenait de la douche, elle les écarta et se mit à lui lécher le cul. Il ne l’aurait jamais cru capable d’une chose pareille.

à suivre...

Au bout d’un moment, il se retourna et elle prit son sexe dans la bouche. Elle le suça avidement, laissant sa salive s’écouler le long du pieu de chair dressé. Julien prenait vraiment son pied. Il sentit rapidement les prémices du plaisir l’envahir et voulut se dégager, mais Sophie l’en empêcha.
- « Non, continue ! » lui dit-elle. « Je veux que tu jouisses dans ma bouche ! »
Julien ne se fit pas prier. Il trouvait cette fellation divine et avait une envie folle de lui remplir la bouche de foutre. Cette pipe réalisée devant lui fut une grande frustration pour Nicolas à qui elle n’avait jamais permis de jouir dans sa bouche. Il s’imaginait à la place de Julien en train de jouir sur la langue de Sophie. Il en rêvait depuis si longtemps ! Cela le fit bander et il se masturba en observant la semence de cet amant qui se répandait dans la bouche de sa compagne. Lui, avait le privilège de faire déguster son sperme à Sophie. Nicolas se sentit vraiment cocu jusqu’à la moelle !
La bouche encore pleine de la jouissance de son amant, elle se leva et s’approcha de Nicolas. Elle lui cracha le mélange de salive et de foutre sur la gueule. Il le reçut comme une offrande que lui faisait sa maîtresse, malgré les moqueries de Julien qui reprenaient.
Après cet orgasme divin, Julien s’allongea sur le dos et prit une cigarette. Il l’alluma et la fuma avec Sophie. Ils tiraient dessus chacun leur tour et se la passaient avec beaucoup de tendresse. Elle était très câline avec lui, pas du tout comme avec Nicolas. Elle le caressait avec beaucoup de tendresse et ils s’embrassaient sans cesse sous l’œil à la fois satisfait et envieux du cocu.
Après un long moment passé à se laisser faire, Julien reprit l’initiative et commença à explorer le corps de Sophie que, désormais, il connaissait bien. Il caressa ses seins qui le fascinaient toujours autant, puis descendit directement vers son sexe.
Sophie le laissa lécher lentement l’entrée de son vagin, puis il introduisit un de ses doigts à l’intérieur. Tout de suite, elle ressentit une première vague de plaisir.
- « Baise-moi ! » lui dit-elle. « J’ai envie de ta queue ! »
- « Oui ma chérie », répondit Julien. « Je vais te défoncer la chatte! »

à suivre...

Il mit son gland à l’entrée du vagin qui réclamait sa queue et poussa un grand coup. Toute sa verge s’enfonça dans l’intimité de Sophie.
- « Regarde comme je la baise à fond ! » dit-il à Nicolas qui, comme la veille au soir, était obligé de subir le spectacle de sa femme en train de se faire baiser pendant qu’il se masturbait.
Julien la baisa dans la position classique du missionnaire pendant un long moment. Il était assez résistant, beaucoup plus que Nicolas en tous cas ! Au bout d’un moment il la fit changer de position et la fit mettre croupe relevée sur le lit. Il avait envie de la prendre en levrette comme la veille. Cette position lui permettait de profiter de ses fesses et il allait plus loin, tout au fond de ca cavité vaginale.
Sophie écarta ses fesses et lui présenta son petit trou parfaitement rond.
- « Encule-moi ! » dit-elle à la grande surprise de Nicolas à qui elle n’avait jamais demandé une chose pareille.
- « Attends », lui répondit Julien. « Je vais d’abord goûter ton petit cul… Moi aussi, je veux savoir si ce cocu l’a bien lavé ! »
Julien écarta ses fesses rebondies et lécha le bord de l’anus de Sophie qui enfouit sa tête dans l’oreiller et releva un peu plus sa croupe. Il introduisit la langue dans le petit trou et se délecta de son parfum. Il laissa s’écouler sa salive dans l’œillet sombre pour bien la lubrifier. Enfin, il se releva et la pénétra doucement. Au début, Sophie serra les dents, puis la douleur s’estompa et laissa la place au plaisir. Elle encouragea Julien à poursuivre.
- « Vas-y, lui dit-elle. Défonce-moi la rondelle ! Encule-moi comme une chienne ! »
- « Oui ma salope, je vais te faire jouir par le cul ! »
Julien se déchaîna littéralement. Les fesses de Sophie claquaient à chaque coup de rein et elle se mettait à gémir de plus en plus fort. Il abandonna son cul un moment pour la reprendre par la chatte. A côté du lit, Nicolas se branlait de plus belle. Il n’aurait jamais imaginé voir sa copine se faire défoncer de la sorte.

à suivre...

Sophie se mit à jouir sans retenue et cria. Elle avait dû réveiller tous ceux qui dormaient encore dans l’hôtel. Julien était follement excité par cette situation dans laquelle il avait une emprise sur la copine de Nicolas qui, lui, se laissait traiter comme une merde.
Julien ne comprenait toujours pas comment il pouvait y prendre du plaisir…
Au moment de jouir, il saisit Sophie par les cheveux et lui fit relever la tête. Il se retira au dernier moment et jouit sur le dos de la jeune femme. C’est seulement à ce moment-là que Nicolas remarqua qu’il n’avait pas mis de préservatif. Il en fit la remarque à Julien.
- « Ta gueule ! lui répondit ce dernier. Je sais que ce n’est pas prudent, mais j’avais envie de sentir sa mouille couler sur ma queue ! Par contre, j’en mettrai un le jour où je t’enculerai. Avec ton cul de pédé, je n’aurais pas confiance ! »
Nicolas n’osa faire aucune autre remarque et s’éloigna légèrement du lit en reprenant sa branlette. Le sperme de Julien était étalé le long de la colonne vertébrale de Sophie et coulait vers ses fesses.
- « Viens lécher tout cela, lopette ! Ce sera ta récompense ! »
Nicolas hésita, puis lécha le sperme de Julien sur le dos de sa compagne. Le contact de ce liquide visqueux le dégoûtait, mais il se força. Cela sembla exciter beaucoup Sophie de le voir lécher le sperme de son amant. Quand il voulut profiter de la situation et avança sa main vers sa chatte, elle le remit sévèrement en place.
- « Contente-toi de lécher son jus », dit-elle. « Si j’ai besoin qu’on s’occupe de ma chatte, il est là ! »
- « Bien », répondit Nicolas.
Il se leva et alla s’asseoir sur une chaise dans un coin de la pièce. Julien s’allongea dans le lit et se colla contre Sophie. Elle lui plaisait de plus en plus.

à suivre...

- « Je suis vraiment content de t’avoir rencontrée », dit-il.
- « Moi aussi, répondit-elle en souriant. Peut-être que la prochaine fois nous n’avons pas besoin de Nicolas ? »
- « On verra », fit Julien. « C’est quand même bien pratique qu’il soit là pour nous servir à boire et pour te nettoyer quand tu es pleine de sperme… Tu as vu comme ce salaud s’est régalé avec mon jus ? »
- « Oui, quand je pense au cinéma qu’il nous a fait hier soir en ne voulant pas lécher le sien sur ta jambe »
- « Le mien doit être meilleur », ironisa Julien. « Il paraît que le sperme de pédé n’a pas bon goût... »
Sophie rit à sa plaisanterie, ce qui acheva d’humilier Nicolas. Elle enlaça Julien et ils échangèrent un baiser interminable. Il entreprit d’explorer de fond en comble le corps de sa partenaire. Il caressa tout d’abord lentement son visage, puis l’embrassa dans le cou, lui donnant des frissons. Ensuite, il massa longuement ses épaules et s’occupa enfin de sa poitrine. Les aréoles larges de ses seins lui plaisaient beaucoup et les pointes étaient si sensibles, qu’elles s‘érigeaient au moindre contact. Il pinça légèrement ses tétons entre ses doigts, sans lui faire mal, et sentit qu’elle y prenait plaisir. Il poursuivit son exploration vers son ventre et s’attarda sur son nombril qui lui plaisait beaucoup également. Il était creux et bien dessiné et il passa sa langue à l’intérieur à plusieurs reprises.
Il s’occupa ensuite de ses cuisses et de ses jambes qui étaient parfaitement lisses car elle les avait épilées juste avant de venir au rendez-vous. Il arriva à ses chevilles fines.
- « Tu as de jolis pieds », dit-il. « Ils sont grands, mais très jolis… »
- « J’adore qu’on s’en occupe, qu’on les lèche », confia Sophie.
- « Ce n’est pas trop mon truc, avoua Julien. Mais tu as ton chien pour faire cela », ajouta-t-il en désignant Nicolas.
- « Oui, c’est encore ce qu’il fait de mieux ! »
- « Toi, viens ici ! Tu vas lécher les pieds de ta copine pendant que je m’occupe de sa chatte ! »

à suivre...

Nicolas s’approcha de nouveau et se mit au pied du lit. Il commença à lécher les pieds de Sophie, comme il savait si bien le faire. Au début, il l’avait fait pour obéir à sa compagne, dans le jeu de leurs séances de domination, mais à présent, il était véritablement devenu fétichiste de ses pieds et les adorait. Il fallait dire qu’ils étaient vraiment beaux et très soignés. Ses orteils étaient fins et bien découpés et elle enlevait régulièrement la corne qui pouvait se former sur le talon. Il lécha le pied tout entier, s’attardant longuement sous la plante et entre les orteils. Sophie prit un malin plaisir à écraser son visage, pendant que Julien commençait à s’occuper de sa chatte.
Il la regardait en gros plan et voyait l’orifice de son vagin se dilater légèrement. Avec sa langue, il parcourut tous les replis secrets de cette chatte délicieuse, puis il s’allongea aux côtés de Sophie. Nicolas lui léchait toujours les pieds.
- « Maintenant, je voudrais que ce soit toi qui t’occupe un peu de moi », dit Julien.
- « D’accord mon chéri », répondit simplement Sophie.
Elle se mit entre ses jambes et Nicolas dut se déplacer pour continuer à lui lécher les pieds. Elle caressa son torse, puis son ventre avant que ses mains atteignent sa bite. Elle la prit du bout des doigts et l’excita avec ses ongles. Elle durcit à nouveau, presque instantanément. Elle joua un moment avec ses couilles, puis se pencha en avant et se mit à mordiller le gland avec délicatesse. Julien ferma les yeux et se laissa faire. Tout ce qu’elle lui faisait était très agréable et il se dit qu’il la reverrait, c’était certain !
Elle laissa s’écouler de la salive de sa bouche et la fit couler sur la queue de Julien. Lorsqu’elle fut bien trempée, elle se mit à le branler, alternant les mouvements très rapides et les périodes de lenteur, pour faire redescendre la pression. Elle avait changé de position et Nicolas, qui léchait encore ses pieds, avait maintenant une vue splendide sur ses fesses et sur son sexe. Sa belle compagne mouillait toujours autant et il eut envie de ce cul qu’elle lui avait toujours refusé et qu’elle avait proposé elle-même à un inconnu. Il aurait aimé se lever, la sodomiser pendant qu’elle suçait leur voisin de chambre, la pénétrer de ce côté-là, mais il savait d’avance qu’elle ne voudrait pas et, de toute façon, il ne bandait pas assez. Il se contenta donc de flairer son cul et sa chatte. Julien avait raison, elle sentait bon la femme !
Après avoir longuement pompé la queue de Julien, Sophie était à nouveau toute excitée. Il lui fit l’amour une dernière fois, puis il partit un peu avant midi en emportant la culotte odorante qu’elle lui avait promise. Nicolas se dit qu’il venait de franchir un palier dans le cocufiage et l’humiliation. Il avait vraiment pris son pied au cours de cette nuit et était devenu le chien docile de sa compagne et de son amant. C’était ce qui lui plaisait, mais il se demanda tout de même ce qu’allait devenir leur quotidien après cette expérience.

à suivre...

La caissière exposée.



Après cette rencontre avec Julien, Sophie et Nicolas reprirent une vie normale. Ils habitaient Givors à une trentaine de kilomètres de Lyon, dans une petite maison dont le rez-de-chaussée hébergeait le garage. Une cuisine, un séjour et une salle de bain composaient le premier et il y avait encore un étage où se trouvaient les deux chambres.
Depuis qu’ils habitaient là, Sophie et Julien s’y trouvaient bien. Contrairement à ce qu’auraient pu laisser penser leurs aventures sexuelles, c’était un couple stable et ils commençaient à envisager d’avoir un enfant ensemble. Après la soirée et la nuit passée avec Julien, ils décidèrent d’un commun accord de ne pas le recontacter. Ils se calmèrent un peu après ces excès sexuels. Leur vie reprit son cours. Nicolas travaillait comme mécanicien et partait souvent bien plus tôt que Sophie. Elle était caissière dans un grand magasin Auchan, situé à quelques kilomètres de leur domicile.
Généralement, Sophie s’habillait de manière plutôt sage quand elle partait travailler. Elle portait souvent des pantalons ou des jupes assez longues et des hauts bien fermés. Pourtant, ce matin-là, une idée provocatrice lui passa par la tête. Nicolas n’était pas encore parti et, au moment de s’habiller, elle choisit des vêtements qu’elle réservait plutôt pour leurs virées nocturnes. Elle mit la jupe la plus courte de sa garde-robe et un chemisier boutonné assez transparent. Elle descendit rejoindre son compagnon et se présenta devant lui devant cette tenue inhabituelle.
- -« Comment me trouves-tu ? » lui demanda-t-elle. « Je te plais ? »
- « Ouah ! » s’exclama Nicolas, « tu ne vas quand même pas aller travailler comme çà ? »
- « Mais si », répondit-elle. « Aujourd’hui je vais tenir la caisse « 10 articles » et c’est celle où il y a le plus d’hommes parmi les clients. Le patron a dit qu’il fallait plaire à la clientèle… »
- « Ouais, mais il y a des limites, ta jupe est tellement courte qu’on voit ta culotte ! »
- « C’est un problème facile à résoudre », répondit Sophie en faisant glisser son string le long de ses cuisses et en le retirant. « Comme ça, on ne la voit plus ! »
- « Franchement, tu ne peux pas aller travailler comme ça ! » s’exclama Nicolas.
- « On parie ? Je suis sûr que je vais passer une bonne journée avec des clients plus agréables et, ce soir, je te dirai combien ont pu voir ma chatte… Je vais mouiller toute la journée en voyant ces vicelards, mater sous ma jupe. Je suis sûre que cette idée t’excite, gros cochon, et, si tu es sage, je te ferai lécher ma chatte trempée en rentrant du boulot. »
- « Pourquoi pas tout de suite ? » demanda Nicolas en s’approchant d’elle.
- « Parce que tu vas être en retard au travail et que j’ai d’abord envie de la montrer à mes clients ! » répondit Sophie. « Va au boulot et pense à tous ces regards posés sur l’intimité de ta compagne… »

à suivre...

Nicolas l’embrassa et partit travailler. Effectivement, il passa la plus grande partie de la journée à penser à sa copine exposée à la caisse de l’hypermarché. Il pensa un moment que ce n’était qu’un jeu pour le provoquer, qu’elle allait se changer avant de partir, mais si elle allait réellement travailler dans cette tenue, il était à peu près certains que plusieurs clients verraient son sexe nu. Cette idée l’excita au plus haut point.
Sophie ne se changea pas une fois que Nicolas fut parti. Elle alla travailler dans la tenue qu’elle lui avait montrée, mais n’osa pas aller jusqu’au bout de l’exhibitionnisme et remit tout de même son string. Ces collègues la regardèrent arriver avec un air effaré. La plupart étaient des femmes et n’osèrent pas lui faire de remarques sur sa tenue, mais elle sentit un regard de désapprobation mêlé d’inquiétude. L’une d’elle, sa voisine de caisse, se lâcha quand même un peu au moment où elles s’installaient.
- « Je vais être cool aujourd’hui, dit-elle. Quand les mecs vont voir tes cuisses, je pense qu’ils auront vite choisi leur caisse… Je te parie que dans une heure il y a la queue à ta caisse et que je n’ai personne à la mienne… »
- « Je t’enverrai les plus moches », répondit Sophie avec humour.
- « Merci ! » s’insurgea sa jeune collègue. « Je ne vais avoir que les bonnes femmes et les vieux croutons ! »
- « A toi de savoir attirer les autres… »
Elles se mirent à rire et ouvrirent leur caisse presque au même moment. Effectivement, la tenue de Sophie lui valut rapidement un succès important et la file d’attente était deux fois plus longue à sa caisse. Elle était composée d’hommes seuls à plus de quatre-vingt pour cent ! Au début, elle faisait attention à garder les jambes bien serrées et à tirer sur sa jupe, puis elle oublia un peu sa tenue. Elle remarqua assez rapidement que les regards essayaient de plonger sous sa jupe. Les clients mâles étaient beaucoup plus souriants que d’habitude et plusieurs inscrivirent leur numéro de portable derrière le chèque qu’ils lui laissaient en paiement. Certains ne lui plaisaient pas du tout, mais l’un d’eux, un grand blond baraqué, était vraiment très séduisant. Elle se demanda un moment si elle n’allait pas l’appeler.

à suivre...

Au moment de sa pause, elle était tellement excitée, qu’elle alla se masturber dans les toilettes réservées au personnel du magasin. Elle entra dans une des cabines des toilettes et remonta sa jupe jusqu’à la taille. Elle baissa son string et passa son doigt sur les lèvres de sa chatte qui suintait de désir. Elle titilla son clitoris un long moment, mais elle avait besoin de se sentir pénétrée pour jouir. Elle ouvrit son sac et chercha un objet pour l’introduire dans son sexe. Aucun des accessoires qui se trouvaient dans le petit sac n’avait une forme allongée, à part peut-être son téléphone portable. Elle le prit entre ses mains et le regarda quelques instants. Elle n’allait quand même pas l’introduire dans son sexe ! Elle se doigta avec ferveur, puis, n’y tenant plus, régla le téléphone sur vibreur et le posa sur son clitoris.
Ce vibromasseur improvisé lui fit un effet qu’elle n’aurait pas soupçonné. Elle ressentit une vague de chaleur qui traversa son ventre. Pourtant, elle avait encore du mal à atteindre l’orgasme. C’est alors qu’elle remarqua la balayette qui servait à nettoyer les toilettes. Le manche de cet accessoire allait en s’élargissant et elle se dit qu’il irait parfaitement bien pour remplir son vagin. Elle regarda l’objet d’un air dégouté car il n’était vraiment pas propre. Elle osait à peine le toucher. Une idée lui vint soudain. Elle reprit son sac et fouilla dedans à la recherche d’un préservatif qui devait se trouver là. Effectivement, elle le trouva et ouvrit la pochette avec les dents. Elle le sortit de son étui et empoigna la balayette. Elle mit le préservatif sur le manche, puis l’avança vers son sexe. Elle poussa un coup sec et sentit l’objet qui la pénétrait. C’était bon. Le manche de cette balayette à chiottes remplaçait avantageusement une queue. Elle se fit jouir en moins de trois minutes et remit la balayette à sa place après avoir jeté le préservatif dans la poubelle.
Au moment de retourner ouvrir sa caisse, elle se dit qu’elle était prête à aller jusqu’au bout de la provocation. Elle retira complètement son string et le mit dans son sac. Elle ouvrit également deux boutons de son chemisier, laissant apparaître sa poitrine imposante par l’échancrure. Sa tenue était un véritable appel au viol !
Quand elle ouvrit de nouveau sa caisse, les hommes seuls recommencèrent à affluer vers elle. Tous remarquaient l’ouverture de son chemisier, mais leurs réactions étaient diverses. Les plus timides baissaient la tête, tout en continuant à jeter des regards brefs et furtifs de temps en temps, les plus hardis la regardaient franchement en souriant, mais personne ne lui fit la remarque que ses boutons étaient ouverts, de peur qu’elle mette un terme à un si beau spectacle.

à suivre...

Les clients avaient également le regard attiré par sa jupe ultra-courte et elle était sûre qu’au moins trois d’entre eux avaient pu apercevoir son sexe. Cela l’avait de nouveau follement excitée et elle mouillait comme une dingue. Au moment de fermer sa caisse, un client se précipita et lui demanda d’accepter encore son caddie. Elle leva les yeux et accepta car il n’était pas mal du tout. C’était un grand antillais d’au moins un mètre quatre-vingt-quinze avec un sourire rayonnant.
Sophie prit tout son temps pour s’occuper de son dernier client. Il ne manqua pas de remarquer rapidement son chemisier à moitié ouvert et sa jupe très courte. Au lieu de dissimuler ses cuisses, elle s’arrangea pour ramasser un stylo qu’elle avait fait tomber intentionnellement et lui offrit la vision paradisiaque de son sexe épilé. Le grand black n’en revenait pas.
- « Vous avez terminé votre journée ? » demanda-t-il.
- « Oui, vous êtes mon dernier client », répondit Sophie avec un large sourire.
- « Cela vous dirait de boire un verre dans le café à l’entrée de la galerie avant de repartir ? »
- « Pourquoi pas ? »
- « J’aurais 23 centimètres à te proposer », dit-il en se caressant l’entrejambe.
- « Je te rejoins dans dix minutes... »
L’antillais, qui se prénommait Désiré, se rendit directement dans le café avec sa démarche nonchalante. Sophie se dépêcha et le rejoignit à peine cinq minutes plus tard.
- « Tu te balades souvent à poil sous ta jupe ? » demanda-t-il à peine Sophie installée.
- « Non, c’est la première fois. »
- « J’ai de la chance alors… »
- « Oui… »
- « Tu t’appelles comment ? »
- « Sophie. Et toi ? »
- « Désiré, je suis guadeloupéen. »
- « Alors ? C’est vrai pour les 23 centimètres ? »
- « Toi au moins tu ne perds pas de temps ! Tu veux voir ? Suis-moi au sous-sol dans les toilettes. »

à suivre...

Sophie ne répondit pas, elle commanda un Coca et se leva derrière Désiré dès qu’elle fut servie. Elle le retrouva en bas, près d’un lavabo.
- « Montre-moi, dit-elle. »
- « Toi d’abord ! » exigea Désiré. « Montre tes seins ! »
Sophie défit son chemisier lentement. Le bel antillais avança sa main droite et les caressa l’un après l’autre.
- « Hum, ils sont beaux ! Montre-moi ta chatte maintenant ! »
Elle releva la mini-jupe après avoir jeté un regard vers l’escalier pour s’assurer que personne n’arrivait.
- « Putain, quelle belle moule bien épilée ! » s’écria Désiré. » Et ce cul ! J’adore les bons gros culs comme le tien. Viens que je te prenne en levrette ! ajouta-t-il en ouvrant sa braguette et en sortant son sexe qui avait déjà de belles proportions. »
Sophie prit appui sur le lavabo. Il se mit derrière elle et la pénétra d’un seul coup.
- « Tiens ma salope, les voilà les 23 centimètres ! »
- « Oui, c’est bon ! Baise-moi bien ! » dit Sophie.
- « Tu vas voir, je vais te défoncer ! Tu vas t’en souvenir ! » rétorqua Désiré.
Il s’enfonça le plus loin qu’il put, voulant la faire profiter de sa queue. Il était très excité par ces fesses qu’il pétrissait et se sentait prêt à la secouer jusqu’à l’orgasme. Soudain, quelqu’un descendit l’escalier à toute vitesse et se retrouva à leurs côtés avant qu’ils aient eu le temps de s’arrêter. C’était le serveur qui leur avait apporté leurs boissons.
- « Faut pas vous gêner ! » s’écria-t-il tout d’abord.
- « Tais-toi et regarde son beau cul et sa belle chatte ! » répondit l’antillais.
- « Ouais, c’est vrai qu’elle est mignonne », dit-il en s’approchant du couple.
Le serveur, qui était un homme d’une quarantaine d’années avec une petite moustache, regarda autour de lui si personne ne venait et ouvrit sa braguette. Il sortit son sexe, plutôt de petite taille et commença à le branler. Il s’approcha de Sophie et voulut lui caresser les fesses, mais elle le remit en place assez sévèrement.

à suivre...

- « Laisse-nous ! » dit-elle. « Si tu veux rester pour mater, ça va, sinon tu te casses ! »
- « D’accord », répondit-il. « Je ne recommencerai plus… »
- « T’as pas intérêt ! » ajouta le grand black en le toisant du regard. « Tu te branles et c’est tout ! »
Le serveur n’osa plus broncher et se tripota discrètement, craignant à tout moment qu’un client, ou pire, une cliente descende aux toilettes. C’était le scandale assuré !
Au bout d’un moment, Désiré sentit qu’il avait besoin de s’arrêter un peu pour ne pas jouir tout de suite, il s’adressa à son complice.
- « Tu as vu comme elle mouille bien cette grosse cochonne ? » lui dit-il. « Quand je pense qu’elle était comme ça, sans culotte à sa caisse… Elle a dû tremper sa chaise ! »
- « J’ai peur que quelqu’un arrive, répondit l’homme inquiet. Vous devriez entrer dans les toilettes. »
Avec une autorité naturelle, Désiré fit entrer Sophie dans l’un des deux WC et s’assit sur le siège.
- « Viens t’asseoir sur ma queue ! » lui dit-il.
Elle se mit devant lui et s’empala lentement sur son énorme sexe dressé. Elle fit quelques allers retours de haut en bas. Ses seins se balançaient dans tous les sens. Le serveur, qui les regardait par l’ouverture de la porte, redoublait de vigueur pour se masturber.
Sophie lui sourit, se demandant tout de même comment il allait réagir lorsqu’elle reviendrait dans ce café.
Désiré se sentait follement excité de baiser cette caissière inconnue sous les yeux d’un garçon de café. Jamais il n’aurait imaginé, en venant acheter quelques bricoles, que la journée finirait comme cela. Sophie non plus d’ailleurs. Sa tenue provocatrice n’avait été qu’un jeu et elle n’avait vraiment pas prévu de passer à l’acte. Surtout pas sous les yeux d’un voyeur !
Désiré accéléra l’allure, défonçant la chatte de Sophie à grands coups de reins. Sophie sentit le plaisir monter irrésistiblement en elle. Son orgasme fut bruyant et violent. Désiré la fit relever et la prit par les cheveux.
- « Je vais te jouir dans la gueule, salope ! » s’écria-t-il.

Elle qui n’aimait pas les insultes et était en général plutôt dominatrice, se laissa faire. Il la fit mettre à genoux et lui mit sa bite encore maculée de cyprine dans la bouche. Il l’enfonça si loin qu’elle eut un haut le cœur, mais la suça sans protester. Rapidement, il sentit l’orgasme arriver et il déchargea sur la langue de Sophie.
- « Avale, sale pute ! » lui cria-t-il.
Elle déglutit et avala le sperme chaud. Le serveur n’en pouvait plus et jouit quelques secondes plus tard. Son sperme gicla sur le sol carrelé des toilettes et une grande giclée se répandit sur le sol. Sans un mot, il essuya sa queue et remonta l’escalier en quatrième vitesse.
Sophie se rhabilla avec soin, puis ils remontèrent à leur tour dans la salle du café. Désiré redevint un homme courtois. Ils se remirent à table et le serveur vint près d’eux, comme s’il ne c’était rien passé. Ils prirent une seconde consommation et bavardèrent tranquillement. Désiré proposa à Sophie de la revoir, mais elle lui fit clairement comprendre qu’elle était une femme mariée et qu’elle n’avait aucunement l’intention de renouveler ce moment de délire. Elle savait qu’il lui faudrait désormais éviter ce café où elle aurait la réputation d’une pute auprès des serveurs.
Elle rentra chez elle après être redescendue se laver un peu et s’être remaquillée. Nicolas la vit arriver dans la même tenue que le matin quand elle était partie et, comme elle l’avait promis, elle le laissa lécher sa chatte qu’une grande queue noire et une balayette à chiotte avaient pénétrée depuis le matin. Il ne sut jamais ce qui c’était passé ce jour-là dans le centre commercial !

à suivre...

Rencontre avec un voisin.



Sophie n’osa pas renouveler l’expérience de sa tenue tellement provocatrice pour aller travailler. La responsable des caisses et le directeur du personnel n’avaient pas manqué de lui faire remarquer qu’ils attendaient des caissières une tenue et un comportement un peu plus corrects. Elle ne remit jamais les pieds dans le café où elle avait été baisée comme une chienne dans les toilettes. Pendant plusieurs semaines, elle mit des tenues assez sages et sa sexualité se résuma à quelques séances de domination avec Nicolas et des coïts assez classiques quand il bandait assez.
Elle avait pris la décision de redevenir sage, mais elle commençait à s’ennuyer. Peu à peu, l’idée de se livrer à un ou plusieurs inconnus revint dans son esprit. Elle tentait cependant de résister à ses pulsions.
Depuis la rencontre avec Julien, Sophie était devenue beaucoup plus autoritaire avec Nicolas. Elle savait qu’il appréciait d’être traité comme un chien et, lorsqu’elle condescendait à s’occuper de lui, c’était toujours dans des situations humiliantes. La plupart du temps, quand elle rentrait harassée par son travail de caissière, elle s’asseyait sur le canapé du salon et attendait qu’il vienne lui enlever ses chaussures. Après une dure journée de travail, elle avait besoin de se détendre et il devait lui masser les pieds pendant qu’elle lisait ou regardait la télévision. Souvent, elle le forçait à s’allonger sur le sol et posait ses pieds sur son visage.
Nicolas devait alors lécher ses collants, ses chaussettes ou ses pieds nus, selon la tenue qu’elle portait ce jour-là. Parfois, ses pieds avaient beaucoup transpiré, mais il ne faisait jamais la moindre remarque sur leur odeur et les léchait consciencieusement.
Quand elle se sentait enfin détendue, elle lui demandait souvent de se foutre à poil et de rester ainsi le reste de la soirée. Nicolas était toujours un peu inquiet à cause du voisinage, car leur maison donnait sur la rue et les passants devaient le voir en train de se promener à poil. Cela ne l’empêchait pas pour autant d’obéir à Sophie qui prenait un malin plaisir à pousser les situations de plus en plus loin.
Elle l’obligeait parfois à rester de longues minutes, entièrement nu devant la fenêtre, et lui faisait honte.
- « Reste là ! Montre bien ton cul et ta bite aux curieux qui passent dans la rue ! » lui disait-elle. « Je veux que tout le quartier sache que tu as une petite queue ! Je veux que les voisines sachent que ta sexualité se réduit à des branlettes et qu’elles se marrent en te croisant ! »
Nicolas ne protestait même pas. Il était, bien sûr, terrorisé à l’idée que ses voisines le remarquent en train de se branler derrière la fenêtre, mais il était fier d’obéir à Sophie qui prenait de plus en plus l’ascendant sur lui. Quand elle en avait assez de le voir s’exhiber, elle le faisait venir près d’elle et le branlait jusqu’à ce qu’il jouisse. Le sperme se répandait, en général, sur le sol et il devait tout nettoyer avec sa langue. Si elle en avait sur les mains, il devait au préalable lécher ses doigts jusqu’à ce qu’aucune trace de sa jouissance ne subsiste.

à suivre...

Un soir, alors qu’il était en train de lui lécher les pieds comme d’habitude, il eut soudain envie de pisser et lui demanda d’arrêter pour aller se soulager. Sophie le regarda avec un air sévère.
- « Tu n’as pas fini de t’occuper de mes pieds ! » lui dit-elle sèchement. « Tu iras pisser après ! De toute façon, tu n’es qu’un chien et les chiens vont pisser dehors ! Tu iras dans le jardin ! »
- « Bien », s’entendit répondre Nicolas qui avait de plus en plus de mal à se retenir.
Il la lécha encore un long moment, puis renouvela sa demande. Il n’en pouvait plus ! Sophie se leva, mit ses chaussures et alla chercher le collier et la laisse qu’elle avait achetés dans le magasin où elle travaillait. Elle les mit à Nicolas.
« Je vais te sortir, lui dit-elle. Normalement, tu devrais être content et remuer la queue, mais la tienne est tellement ridicule ! Allez, viens !
Elle ouvrit la porte et le fit sortir. Le jardin donnait sur la rue et Nicolas espérait qu’aucun voisin ne serait dehors à cette heure-ci, mais son envie était tellement forte qu’il n’avait pas le choix. Sophie le fit marcher à quatre pattes un moment, puis lui ordonna de lever la patte pour pisser. Nicolas fit ce qu’elle lui demandait et leva la jambe droite avant de se soulager contre le tronc d’un arbre. Il avait une telle envie que l’urine gicla et rebondit sur sa cuisse. Sophie le regarda d’un air dégoûté.
- « Tu n’es vraiment qu’un chien », lui dit-elle. « Maintenant tu vas puer la pisse ! Je me demande si je ne vais pas te faire dormir dehors… »
- « Quand même », protesta Nicolas. « Il y a des voisins… »
- « Ta gueule ! C’est moi qui décide ! De toute façon, il y a longtemps que tous les voisins et les voisines doivent savoir que tu n’es qu’un cocu impuissant. Ils doivent bien se marrer en te regardant te branler derrière la fenêtre… »
- « Sophie, ne va pas trop loin s’il te plait ! » dit Nicolas.
- « Tais-toi et va renifler ta pisse ! » répondit-elle en tirant sur la laisse.
Nicolas obéit une fois de plus et dut sentir l’urine chaude qui dégoulinait encore sur le tronc. Ce soir-là, il était vraiment devenu le chien de Sophie. Elle détacha la laisse et le regarda d’un air amusé. Elle ramassa un bâton et le lança à l’autre bout du jardin.
- « Allez, va chercher ! » dit-elle.
Nicolas dût aller chercher plusieurs fois le bâton qu’elle lui lançait et dût le ramener entre ses dents. Elle lui caressa le dos, comme elle l’aurait fait avec un chien ordinaire pour le récompenser. Soudain, ils entendirent du bruit. C’était leur voisin qui rentrait. Nicolas alla vite se cacher derrière le coin d’un mur. Il espérait qu’il ne l’avait pas vu dans cette tenue et qu’il allait rentrer bientôt, mais le voisin, un quadragénaire assez BCBG, n’avait pas l’air pressé. Il s’approcha de la clôture qui séparait les deux propriétés et s’adressa à Sophie. D’habitude, il était pourtant assez distant.

à suivre...

- « Bonsoir », lui dit-il. « Je peux vous demander un immense service ? »
- « Bien sûr », répondit Sophie avec un air aimable.
- « Je sais que vous êtes fumeuse et le tabac était fermé. Vous n’auriez pas quelques cigarettes à me prêter pour la soirée ? Je vous en ramènerai un paquet demain… »
- « Ah, c’est terrible d’être en manque », répondit Sophie. « Venez, je vais vous en donner un paquet, j’en ai à la maison. «
Nicolas, toujours caché derrière son coin de mur, entendit le voisin faire le tour et traverser leur allée dans laquelle les graviers crissaient sous ses pieds. Sophie le fit entrer et fit claquer la porte. Nicolas se retrouva dehors, entièrement nu, alors que sa compagne était à l’intérieur avec leur voisin. Heureusement, il ne faisait pas froid.
Sophie s’amusait beaucoup de la situation. Elle savait que Nicolas ne pouvait pas rentrer et qu’il devait être terrorisé à l’idée que leur voisin comprenne comment elle le traitait. Elle regarda le voisin en question et se dit qu’après tout, il n’était pas si mal. Certes, ce n’était pas du tout son genre, mais une fois son costume enlevé, ce devait être un homme comme les autres. Il était assez grand, plutôt mince et son visage était assez agréable. Elle le fit asseoir sur le canapé.
- « Je vais chercher les cigarettes », lui dit-elle avec un grand sourire.
- « Merci », répondit-il simplement.
Sophie s’absenta quelques secondes et revint avec un paquet de Camel. Elle le posa sur la table basse du salon et vint s’asseoir aux côtés de son voisin.
- « On va en fumer une ensemble », lui dit-elle. « Ce sera l’occasion de bavarder un peu. Nous sommes voisins, mais nous nous connaissons à peine… »
- « C’est vrai », répondit l’homme en prenant une cigarette après en avoir galamment proposé une à Sophie. « Je me prénomme Hervé et j’habite seul depuis un mois. Ma femme est partie chez sa mère. Nous sommes en instance de divorce… »
- « Cela arrive dans les couples », fit Sophie avec un air compréhensif. « Vous la trompiez ? »
- « Oui, avoua le voisin avec un air coupable. J’ai eu une aventure avec une collègue de travail et elle s’en est rendu compte. Et vous? Votre mari n’est pas là ? »
- « Non, il est sorti avec des copains », mentit Sophie. « Du moins j’espère… Mais nous ne sommes pas mariés. »
- « Je le vois bricoler de temps en temps, dit Hervé. Il est dans la mécanique ? »
- « Oui et il adore ça ! »
- « C’est bon à savoir, si un jour je suis en panne… »
- « Il ne rentrera certainement pas avant un bon moment », reprit Sophie. « Vous voulez boire un verre ? »
- « Pourquoi pas », répondit Hervé de plus en plus surpris par l’attitude amicale de sa charmante voisine.
Sophie se leva et alla chercher une bouteille de whisky et deux verres. Elle en servit un à Hervé sans même lui demander s’il préférait autre chose et remplit le sien puis trinqua avec lui.

à suivre...

- « Je trouve qu’on ne se voit pas assez entre voisins », déclara-t-elle en buvant une petite gorgée. « Tu permets que je te tutoie ? »
- « Bien sûr, mais je ne connais même pas ton prénom », dit Hervé qui commençait à se sentir en confiance.
- « Sophie ! » répondit-elle. « Tu as eu une bonne idée de me demander des cigarettes. Ce soir, je n’avais pas envie d’être seule… »
- « Je ne vais quand même pas trop m’attarder », dit Hervé. « Si ton compagnon rentrait, il n’aimerait certainement pas me trouver en train de boire son whisky avec sa femme… »
- « Oh, je l’emmerde ! D’abord il n’a qu’à pas me laisser seule, et puis nous ne faisons rien de bien compromettant. Pour l’instant… »
- « Ah, je vois que tu ouvres des perspectives… Il n’est pas trop jaloux ? »
- « Peu importe ! Tu travailles dans quoi ? » demanda Sophie en relevant ses jambes, mettant ses pieds sur le canapé.
- « Je suis cadre dans une usine chimique », répondit Hervé « et toi? Tu travailles à Auchan ? Il me semble t’avoir aperçue à une caisse… »
- « Ouais, je suis caissière ! » dit Sophie. « C’est pas génial comme job, mais au moins je vois du monde… »
Tout en parlant, elle allongea les jambes et posa ses pieds, juste à côté de la cuisse d’Hervé. Ce mouvement fit remonter sa jupe et il jeta un regard plongeant et peu discret vers ses cuisses. Sophie en profita pour écarter progressivement les genoux, lui offrant une vision prolongée de sa culotte. Le voisin, cette fois, ne fit pas semblant de n’avoir rien vu.
- « Joli modèle en dentelles ! » déclara-t-il. « Aubade ? Lejaby ? »
- « Non Dim, tout simplement… Tu aimes la lingerie ? »
- « J’adore ! »
- « Ta femme en portait ? »
- « Oh, je n’ai pas très envie de parler d’elle… »
- « Comme tu veux ! Tu préfères me parler de ta maîtresse ? »
- « Euh, je ne sais pas », dit Hervé, l’air assez gêné.
- « Comment est-elle ? » demanda Sophie. « Blonde ? Brune ? »
- « Elle est brune. Elle a trente-cinq ans, mais cela n’a été qu’une aventure… »
- « Ah bon ? Tu ne la revois plus ? »
- « Si, tous les jours, mais elle est mariée et tient à son couple ! »
- « Alors tu te retrouves comme un con ! Ta femme est partie et ta maîtresse ne veut plus de toi… Tu baises quand même ? »
- « Cette conversation devient gênante », fit le voisin en rougissant. « Si tu me parlais plutôt de toi ? »
- « Si tu veux… Que veux-tu savoir ? »
- « Avec ton copain, vous faites l’amour souvent ? »
- « Pff ! Encore faudrait-il qu’il bande ! »
- « Ah bon ? Il a des problèmes de ce côté-là ? » demanda Hervé ravi de l’aubaine qui se présentait à lui en la personne d’une voisine insatisfaite.
- « Il se branle trop ! Tu ne l’as jamais vu par la fenêtre ? »
- « Non », répondit Hervé.
- « J’aurais bien besoin d’une queue plus dure que la sienne », reprit Sophie. « La tienne est en forme ce soir ? »
- « Parfaitement ! » dit-il en mettant la main à son entrejambe.
- « Ce soir, je vais te laisser me baiser », déclara-t-elle, « mais à une condition… »
- « Laquelle ? » demanda Hervé tout émoustillé.
- « Que tu acceptes de m’obéir au doigt et à l’œil ! J’aime bien diriger les mecs ! »
- « D’accord ! »
- « Bien ! Alors fous-toi à poil ! »

à suivre...

encore un super texte
bien que .....

Hervé se leva et retira ses vêtements qu’il posa soigneusement sur une chaise. Sophie le regarda d’un air dur. Elle ressentit une envie irrésistible d’humilier ce cadre qui devait profiter de son statut pour séduire les femmes de son personnel. Elle, la petite caissière, avait envie de se venger.
- « Fais voir ta queue… Pas mal ! Approche, que je joue avec ! »
Hervé avança et elle prit ses testicules dans la main, puis serra d’un seul coup.
- « Hé ! Tu me fais mal ! » cria-t-il.
- « Tais-toi ! Sinon tu te rhabilles et ouste ! »
Hervé ne dit plus rien. Il avait envie de sa jeune voisine et était prêt à accepter qu’elle maltraite un peu ses couilles pour la baiser ensuite. Elle joua avec les testicules pendant un moment, puis donna une claque sur sa queue.
- « Viens m’enlever ma culotte et me lécher ! » ordonna-t-elle.
Il se mit à genoux devant le canapé et saisit délicatement la petite culotte que portait Sophie. Il la retira complètement et s’apprêtait à la poser sur le canapé quand elle l’arrêta.
- « Attends ! » dit-elle. « Avant de t’occuper de ma chatte, tu vas sentir ma petite culotte et la lécher ! »
Hervé porta le string de dentelles à ses narines et s’enivra du parfum intime de Sophie. Il adorait l’odeur de sa chatte et lécha le gousset, recouvert de cyprine, sans aucun dégout.
- « C’est bien ! » lui dit Sophie. « Maintenant tu peux me lécher, vas-y ! »
Il pencha sa tête en avant et plongea entre les cuisses de Sophie. Sa bouche dégusta le superbe abricot de sa jeune voisine, qui trouva qu’il était plutôt doué. Elle le laissa la lécher un moment, mettant ses jambes sur ses épaules, puis lui ordonna de se relever. Hervé obéit sans poser de question.
Il prit sa queue entre ses mains et la présenta devant le sexe de Sophie. Elle l’arrêta encore une fois.
- « Attends ! » lui dit-elle. « Tu vas d’abord lécher mon cul ! »
Elle se retourna et lui présenta ses fesses écartées. Hervé se remit à genoux et glissa la pointe de sa langue dans l’anus parfait. C’était une chose qu’il n’avait jamais osé faire avec son épouse, mais dont il profitait régulièrement avec sa maîtresse.

à suivre...

Sophie se releva au bout d’un moment et prit tout son temps pour se déshabiller complètement. Elle se présenta entièrement nue devant Hervé, qui bandait maintenant comme un taureau. Elle le prit, une fois encore par les couilles et l’attira vers elle.
- « Viens lécher ma poitrine, maintenant ! Tu aimes mes seins ? »
- « Oui, ils sont magnifiques ! » dit Hervé.
Il enfouit sa tête dans l’opulente poitrine qu’elle lui présentait et sa langue fit le tour de l’aréole avant qu’il aspire le téton de son sein gauche. Il fit la même chose, ensuite avec l’autre sein, puis il les malaxa un long moment. Sophie le laissa faire.
Au bout d’un moment, elle ramassa sa petite culotte et la mit sur la tête de son voisin, prenant soin de bien placer la partie imprégnée de son odeur intime sur ses narines. Elle attrapa ensuite la cravate que portait Hervé en arrivant et lui demanda de la nouer autour de son cou. Il avait l’air parfaitement ridicule, entièrement nu avec une cravate et un slip en dentelles sur le crâne. Elle prit plusieurs photos avec son téléphone portable, puis le saisit par la cravate.
- « Viens me baiser, maintenant ! » ordonna-t-elle. « La plaisanterie a assez duré ! »
Hervé ne se le fit pas dire deux fois. Il était tellement excité qu’il avait mal aux couilles. Il introduisit son sexe dans le vagin de la belle Sophie et elle jouit au bout de seulement quelques minutes. Lui-aussi avait envie de se satisfaire, mais elle n’avait pas l’intention de le laisser jouir en elle.
- « Va chercher une assiette sur la table ! » ordonna-t-elle soudain.
Sans savoir pourquoi, il lui obéit. Elle posa l’assiette sur la table basse du salon et lui demanda de se branler dessus. Hervé n’osa pas refuser et se masturba jusqu’à ce qu’un flot de sperme jaillisse de son sexe. C’était la première fois qu’il se laissait diriger par une femme, mais il y avait vraiment pris un plaisir immense.
Pendant ce temps, Nicolas attendait toujours, planqué dehors. Il se doutait que, si son voisin était encore avec Sophie, ce n’était pas pour discuter des potins du quartier. Il imaginait que ce cadre, d’un standing social nettement supérieur au sien, avait usé de son aisance verbale pour séduire Sophie et qu’il devait être en train de lui faire l’amour dans leur lit. Il en ressentit une certaine excitation. L’idée d’être cocu avec le voisin ne lui déplaisait pas. Au lieu de cela, Hervé était parfaitement soumis. Il avait fait tout ce que sa belle voisine lui demandait et était parfaitement ridicule, avec un string de femme sur le visage et une cravate autour du cou, en train de se masturber dans une assiette.

à suivre...

Quand il eut bien jouit, Hervé arrêta de se branler.
- « Continue ! » ordonna Sophie. « Je veux que tu éjacules une deuxième fois ! »
- « Mais je ne pourrai pas », objecta le voisin.
- « Si ! » rétorqua-t-elle sèchement. « Tu vas y arriver, sinon j’envoie les photos que j’ai prises à ton patron ! Je doute qu’en les voyant il ait envie de te proposer une promotion ! »
Hervé recommença à se masturber. Après un inévitable moment de répit, sa queue se remit à durcir. Sophie avança alors sa main et prit le sexe de son voisin entre ses doigts. Avec vigueur, ce fut elle qui le branla, jusqu’à ce que sa queue crache de nouveau. L’assiette était couverte de sperme.
- -« Maintenant, tu peux te rhabiller et filer », dit-elle à Hervé. « Garde la culotte, tu m’en ramèneras une neuve avec les cigarettes ! »
- « Bien », fit-il pour marquer un peu plus sa soumission.
Il termina de se rhabiller et mit le string de Sophie dans la poche de sa veste, puis la quitta en la remerciant pour les cigarettes. Elle le laissa rentrer chez lui, puis alla ouvrir la porte à Nicolas, remettant simplement sa jupe et son tee-shirt.
- « Alors, tu as fini de faire tes besoins ? » lui demanda-t-elle d’un air moqueur. « Comme tu n’étais pas là, j’ai été obligée de me faire sauter par le voisin. Regarde comme sa queue était pleine », ajouta-t-elle en désignant l’assiette recouverte de sperme gluant.
- « C’est dégueulasse ! « dit Nicolas.
- « Pourtant, c’est ton repas de ce soir », répondit Sophie. « Tu vas tout lécher ! »
- « Oh non ! »
- « Quoi ? Tu n’es pas content que je t’aie gardé le sperme de celui qui vient de me baiser ? Ingrat ! Si j’avais su, je lui aurai demandé de jouir dans ma chatte ! Allez, lèche et après tu auras le droit de me baiser ! »
Nicolas surmonta son dégoût et nettoya l’assiette avec sa langue. Sophie le félicita, puis se remit à nouveau nue. Elle se mit à quatre pattes sur le sol et lui présenta sa croupe relevée.
- « Viens sentir le cul de ta femelle en chaleur qui s’est fait sauter par un autre mâle », ordonna-t-elle.
Nicolas vint lui renifler le derrière, comme il avait si souvent vu les chiens le faire dans la rue, puis il grimpa sur elle et la pénétra en levrette. Il s’activa jusqu’à ce qu’elle jouisse pour la seconde fois de la soirée, puis se vida en elle avec un râle puissant. Sophie le laissa profiter de son orgasme, puis elle lui caressa la tête, comme elle l’aurait fait avec un animal de compagnie.
- « C’est bien », dit-elle. « Tu es un bon chien ! Ce soir tu dormiras dans mon lit… »
Nicolas ne répondit pas. Elle le traitait vraiment comme un animal domestique, mais il avait joui merveilleusement et savait que cette nuit, elle le laisserait encore s’occuper d’elle, pour le récompenser d’avoir sagement attendu dehors, pendant que le voisin la baisait !

à suivre...

Le retour de Julien.



Au cours des semaines qui suivirent, le voisin revint plusieurs fois voir Sophie. Son travail de cadre lui autorisait une certaine liberté dans ses horaires et il eut vite repéré les jours où sa voisine était de repos alors que son mari était parti travailler. Avec cette femme, il avait découvert le plaisir de la soumission et appréciait de plus en plus ces situations humiliantes qu’elle lui imposait. A chaque fois, elle lui faisait enlever sa culotte, le forçait à la lécher et à en recouvrir son visage, selon un rituel désormais bien établi.
Elle lui faisait lécher ses pieds et jouait avec ses testicules pendant de longs moments. Lors de ses deux premières visites, elle le fit se branler dans l’assiette et la mit au réfrigérateur. C’était l’entrée du repas de son mari qui, comme cela, savait qu’elle c’était fait baiser par le voisin. Lors de la troisième visite, le voisin lui dit qu’il avait envie de lui faire l’amour. Sophie éclata de rire.
- « Me faire l’amour ? » demanda-t-elle. « Mais tu crois que tu as mérité ce privilège ? Je veux bien, ajouta-t-elle mais cela te coûtera 100 Euros ! »
- « Oui, je suis prêt à payer », dit le voisin.
- « Parfait, alors va chercher ton portefeuille ! »
Il alla chercher deux billets de 50 Euros dans sa veste et les tendit à Sophie qui les rangea dans un tiroir. Elle se mit sur le canapé et écarta largement les cuisses.
- « Vas-y, baise-moi ! » dit-elle en le regardant.
Il s’avança vers elle et mit son sexe à l’entrée de ce vagin dont il avait tellement envie. Il la pénétra et elle le laissa se vider en elle sans dire un mot. Une fois qu’il eut terminé, il se rhabilla et partit travailler. Sophie se dit que ce genre de prestation allait bien arranger ses fins de mois. Après tout, si son con de voisin avait assez de fric pour lui donner 100 Euros à chaque fois qu’il viendrait la sauter, elle aurait tort de ne pas en profiter. Elle considérait cette redistribution des richesses comme une forme de justice sociale.
Au travail, elle était redevenue parfaitement sage après son épisode exhibitionniste qui lui avait valu quelques sanctions. Pourtant un jour, un client allait réveiller sa libido. Elle était encore à la caisse «10 articles» ce jour-là. Il y avait beaucoup de monde et elle levait à peine les yeux pour regarder les clients. Elle terminait son service dans dix minutes et avait déjà indiqué que sa caisse fermerait après le dernier client de la file d’attente. Le dernier client n’avait qu’un article. C’était une boîte de préservatifs. Elle la prit et lut le code barre, puis elle leva les yeux. Le client n’était pas un inconnu, c’était Julien, le jeune homme avec lequel son mari et elle avaient eu cette expérience à l’hôtel.

à suivre...

- « On va les essayer ensemble ? » demanda Julien.
- « Salut ! » répondit Sophie. « Tu vas bien depuis la dernière fois ? »
- « Oui, je suis un peu déçu que tu ne m’aies pas recontacté, mais on ne fait pas toujours ce que l’on veut dans la vie… Tu as terminé ton service je crois ? »
- « Oui », répondit Sophie. » Tu m’attends à l’entrée du magasin ? »
- « Oui, tu en as pour combien de temps ? »
- « Une dizaine de minutes tout au plus », répondit Sophie qui n’avait pas oublié l’excellente nuit passée avec cet amant tout à fait honorable.
Elle le rejoignit à peine cinq minutes plus tard. Elle avait compté et rendu sa caisse le plus vite possible, impatiente de retrouver ce garçon musclé et bon amant. Il l’attendait à l’endroit convenu et la prit par la taille en l’entrainant vers sa voiture.
- « On va à l’hôtel ? » demanda-t-il.
- « Oui, à moins que tu n’habites pas loin. »
- « J’habite à une bonne demi-heure d’ici », répondit Julien. « Ca dépend du temps dont tu disposes… »
- « Non, il sera trop tard », rétorqua Sophie. « On va aller dans un hôtel du quartier… »
Ils prirent une chambre dans un hôtel bon marché du centre commercial et se mirent au lit rapidement. Sophie retrouva le plaisir de se blottir dans les bras musclés du jeune homme. Autant elle se montrait dominatrice avec son mari et avec son voisin, autant elle appréciait le côté protecteur et un peu macho de ce garçon. Il lui fit l’amour avec beaucoup de fougue et quand elle se rhabilla, il lui demanda quand ils se reverraient. Elle lui répondit que, maintenant qu’il savait où elle travaillait, il n’avait qu’à passer de temps en temps. Elle ajouta, qu’en plus, elle avait son numéro de portable. Il l’embrassa une dernière fois, puis elle rentra chez elle avec une bonne heure de retard sur son horaire habituel.

à suivre...

Nicolas était déjà là, mais elle ne lui parla pas de sa rencontre avec Julien. Par contre, elle avait encore envie qu’on s’occupe d’elle. Nicolas était prêt à lui lécher les pieds, comme tous les soirs, mais elle avait envie d’autre chose. Elle voulait sentir une queue bien dure en elle, pas celle de son mari !
Son mari voulut la déchausser, comme il le faisait désormais tous les jours quand elle rentrait de travailler, mais elle le repoussa avec son pied.
- « Attends ! » lui dit-elle. « Je ressors… »
- « Tu repars ? » demanda Nicolas surpris.
- « Non, je vais chercher le voisin, j’ai envie qu’il me baise ! »
- « Tu exagères », se permit de protester Nicolas. « Pas quand je suis là… «
- « Ah bon ? Et pourquoi ? Si j’en ai envie… »
Elle sortit en claquant la porte et alla sonner chez son voisin. Il venait de rentrer et lui ouvrit avec empressement.
- « Tu n’as pas envie de baiser ? » lui demanda-t-elle.
- « Oh si ! » dit Hervé avec enthousiasme.
- « Alors prends 100 Euros et viens me rejoindre chez moi. Ce soir je te réserve une surprise… »
Elle retourna chez elle sans lui laisser le temps de dire un mot. Il arriva moins de cinq minutes plus tard, lui tendant les 100 Euros. Elle avait mis des bas et un porte-jarretelles. Hervé la trouva ravissante. Elle rangea les billets, puis s’adressa à Nicolas que le voisin n’avait pas vu car il était assis dans un fauteuil, tournant le dos au reste de la pièce.
- « Viens voir comment le voisin me baise ! » lui dit-elle.
- « Mais, j’ignorais que ton mari était là », bredouilla Hervé particulièrement embarrassé.
- « Cela te gêne ? Pourquoi ? Tu ne voulais pas qu’il sache que je te fais payer ? »
- « C’est que… »
- « Ne t’inquiète pas ! » le coupa-t-elle. « Cet argent n’est pas pour lui ! C’est mon argent de poche, je le gagne avec mon cul ! »
Hervé se sentait gêné à cause de la présence de son voisin, mais Sophie ne faisait pas cas de son mari et l’entraîna dans la chambre. Elle se montra beaucoup plus démonstrative que d’habitude. Elle voulait rendre Nicolas jaloux et l’humilier davantage. Le voisin n’eut pas à s’en plaindre. Elle lui fit une pipe pour la première fois et se laissa prendre dans diverses positions. Nicolas était assis dans un coin de la pièce, comme à l’hôtel avec Julien, et semblait résigné. Sa femme se prostituait avec le voisin et il n’avait rien à dire.

à suivre...

Hervé jouit avec force dans le vagin de Sophie qui venait de connaître un orgasme. Elle lui demanda de se retirer et appela Nicolas.
- « Viens lécher son sperme dans ma chatte ! » ordonna-t-elle. « Ce soir, tu ne seras pas servi dans une assiette… Régale-toi mon salaud ! Ce n’est pas tous les jours que je te laisserai déguster ton repas dans ma moule ! »
Hervé vit avec stupeur son voisin lécher le sperme qu’il venait de déverser dans l’intimité de Sophie. Il n’en laissa pas une goutte ! Il allait se rhabiller et partir quand Sophie le rappela.
- « Tu ne vas pas partir si vite ! » lui dit-elle. « J’ai envie que vous vous occupiez un peu de mes pieds tous les deux ! »
Elle les fit mettre au pied du lit tous les deux et chacun dut se mettre à lécher un de ses pieds à travers ses bas. Sophie adorait qu’on lui lèche les pieds. Son ami et le voisin la détendirent complètement et elle se masturba sous leurs yeux avec un gode pris dans le tiroir de la table de nuit. Quand elle eut bien joui, elle leur écrasa le visage avec chacun de ses pieds et leur ordonna de se lever.
- « Venez ! » dit-elle. « J’ai envie de jouer un peu avec vos queues! »
Elle les fit mettre face à face et leur attacha les mains derrière le dos, lui elle prit une cordelette qu’elle noua à chacune de leurs verges. Nicolas et son voisin se retrouvèrent attachés par la queue, séparés de seulement d’une cinquantaine de centimètres. Sophie tira sur la corde et les deux hommes sentirent une tension sur leur sexe.
- « On va faire un petit jeu », leur dit-elle. « Vous allez reculer jusqu’à bien tendre la corde ! »

Ils firent ce qu’elle demandait, sentant la cordelette tirailler leur sexe. Elle se leva, alla chercher une craie qui lui servait à marquer les courses sur une ardoise dans sa cuisine, et revint tracer un trait, exactement entre les deux hommes.
- « Vous allez tirer aussi fort que vous pouvez », expliqua-t-elle. « Celui qui réussit à faire franchir la ligne à son adversaire aura le droit de passer la nuit avec moi ! »
Nicolas et son voisin se regardèrent d’un air inquiet. Chacun savait que, s’il tirait de toutes ses forces, il aurait horriblement mal à la queue et infligerait la même douleur à son adversaire. Néanmoins, ils jouèrent le jeu et tirèrent aussi fort qu’ils pouvaient. Hervé avait très envie de passer une nuit avec Sophie et Nicolas voulait conserver sa femme. Le voisin tirait de toutes ses forces, mais Nicolas était plus costaud que lui. Hervé avait avancé et n’allait pas tarder à franchir la ligne. Son sexe lui faisait mal, complètement comprimé par la cordelette. Il banda ses muscles et tira d’un seul coup. Il regagna presque tout le terrain qu’il avait perdu.
- « Vous êtes nuls ! » s’écria Sophie au bout d’un moment. « De toute façon, vos queues ne seront plus en état de me baiser quand vous aurez fini ce eu stupide. Je vais me faire baiser ailleurs ! »

à suivre...

Elle se rhabilla et sortit, les laissant attachés par la queue, sans l’usage de leurs mains. Il leur fallut plus d’une heure pour arriver à se libérer ! Sophie avait pris sa voiture et avait une idée précise de celui qui allait la baiser. Elle prit son téléphone portable et appela Julien. Il répondit dès la première sonnerie.
- « Allo Julien ? Tu es chez toi ? »
- « Mais oui, ma Sophie chérie… Mais je ne suis pas seul, ce soir j’ai invité un copain… »
- « Ce n’est pas grave, tu me le présenteras… »
- « Si tu veux… Tu sais venir jusque chez moi ? »
- « Je ne suis pas idiote ! Si tu me donnes ton adresse… »
Il lui donna l’adresse exacte et elle fut chez lui environ vingt minutes plus tard. Julien lui présenta Christophe, un de ses amis d’enfance avec lequel il passait souvent de longues soirées à refaire le monde en picolant.
- « Vous êtes charmante », dit Christophe en baisant la main de Sophie. « Mon copain m’avait caché qu’il connaissait d’aussi belles femmes. Vous êtes mariée ? »
- « Ne te casse pas le cul à la draguer ! » dit Julien. « Elle et moi on est déjà bien connectés ! Tu devrais peut-être rentrer un peu plus tôt que d’habitude… »
- « Pourquoi ? » intervint Sophie. « Ce n’est pas parce que j’arrive qu’il faut mettre ton pote dehors ! En plus, il est charmant… »
- « Comme tu voudras », répondit Julien en haussant les épaules.
Sophie s’installa sur le canapé entre les deux hommes et embrassa aussitôt Julien sur les lèvres. Pendant qu’ils échangeaient un baiser passionné, sa main s’égara vers l’entrejambe de Christophe, et elle caressa son sexe à travers le pantalon. Le copain de Julien n’en revenait pas. A peine arrivée, l’amie de Julien avait déjà la main posée sur son sexe. Il n’avait plus envie de rentrer du tout !
Elle se mit à genoux devant le canapé et déboutonna la braguette de Christophe. Sous les yeux de Julien, elle sortit son sexe déjà bien dur et le mit dans sa bouche. Sophie le pompa pendant cinq bonnes minutes, pendant que Julien se déshabillait, puis venait se mettre derrière elle pour la prendre en levrette en relevant sa jupe, offrant à son ami d’enfance la vision de cette croupe rebondie qu’il connaissait maintenant parfaitement. Les deux copains étaient en train de passer une toute autre soirée que celle à laquelle ils s’attendaient, mais ce n’était pas pour leur déplaire.

à suivre...

Sophie connut un violent orgasme sous les coups de boutoir que lui faisait subir Julien. Avec lui, elle n’était plus du tout la même et se laissait faire. Il la fit relever et la déshabilla entièrement. Christophe apprécia sa poitrine généreuse et se mit à téter ses seins l’un après l’autre. Julien emmena ses deux invités dans sa chambre et ils se mirent tous les trois sur le lit. Sophie avait envie d’être à nouveau pénétrée et elle leur laissa à peine le temps de s’installer. Elle vint s’asseoir sur la queue de Christophe, la faisant pénétrer dans son vagin humide. Il la laissa faire, prenant un plaisir immense. Julien était en face d’elle et l’embrassait en malaxant ses seins.
- « J’ai envie que vous me preniez tous les deux en même temps ! » dit-elle soudain.
Elle se releva légèrement, juste assez pour que la queue de Christophe ressorte de son sexe, puis elle écarta ses fesses et vint s’empaler par l’anus sur sa verge dressée. Le sexe long et fin pénétra assez facilement dans son cul et elle n’eut même pas mal. Ecartant largement les cuisses, elle montra son vagin à Julien.
- « Viens », lui dit-elle. « Je te veux aussi ! »
Il se mit entre ses cuisses ouvertes et la lécha quelques instants avant de la pénétrer à son tour. Sophie sentit ses deux sexes en elle, qui se rejoignaient presque et éprouva instantanément un orgasme violent. Elle n’avait jamais rien ressenti d’aussi bon ! Elle goûtait pour la première fois aux joies de la double pénétration et n’était pas prête d’oublier ce jour-là. Quelle bonne idée elle avait eue de rejoindre Julien un soir où un de ces copains était là !
Elle connut trois orgasmes successifs, puis les deux hommes jouirent tour à tour en elle. Quand elle se releva, elle était dégoulinante de sperme… Julien la prit dans ses bras et lui fit un câlin très tendre.

à suivre...

- « Ma Sophie, tu es une fille formidable ! » lui déclara-t-il. « Tu ne veux pas quitter ton mec pour vivre avec moi ? »
- « Sûrement pas ! » s’exclama la jeune femme. « D’abord je l’aime, même si tout le monde ne le voit pas, et puis j’ai besoin de plusieurs hommes… »
- « Mais je te laisserais faire l’amour avec d’autres, comme avec Christophe ce soir », objecta Julien.
- « Non, avec toi, je me sens protégée, fragile… Mais j’ai aussi besoin d’être dominatrice, d’avoir un homme pour l’humilier… Je crois qu’avec toi et Nicolas, je peux trouver un équilibre… Mais il me faut les deux ! »
- « Oui mais moi, je ne suis plus sûr de pouvoir me passer de toi ! » protesta Julien. « Je crois que je t’aime ! »
- « Tu y vas fort », intervint Christophe, amusé par la déclaration de son copain qu’il n’avait jamais vu avoir une relation durable avec une fille. « Tu crois que Sophie va laisser tomber sa vie pour un mec comme toi ? »
- « Il a raison », approuva Sophie. « Peut-être que tu es amoureux, mais moi je ne le suis pas ! J’aime ta queue, la façon dont tu me pénètres avec autorité, tes bras qui entourent mon corps, mais c’est tout ! »
- « C’est déjà pas mal… »
- « Oui, mais intellectuellement, il n’y a rien ! Tu écoutes des musiques que je n’aime pas, tu lis des livres dont je comprends à peine le titre… Tu es un intello, pas moi ! Nicolas, lui, est sur la même longueur d’ondes ! »
- « Mais Sophie, je t’aime ! Après notre première rencontre, ce n’est pas par hasard que je t’ai rencontrée à ta caisse ! Je savais juste que tu étais caissière et j’ai fait tous les supermarchés de la région pour te retrouver ! »
- « Alors, il faut qu’on arrête de se voir ! » lui asséna Sophie. « Je ne veux pas d’un mec qui éprouve des sentiments en dehors de Nicolas, c’est trop dangereux ! Moi, je n’éprouve rien pour toi… Regarde comme embrasser ton copain me fait autant d’effet qu’avec toi… »
Pour prouver ce qu’elle avançait, elle glissa sa langue dans la bouche de Christophe et l’embrassa avec passion. Le copain de Julien la laissa faire, appréciant la fougue de cette fille qu’il rencontrait pour la première fois. Julien comprit qu’il n’avait aucune chance de faire changer Sophie d’avis.
- « On se verra quand même de temps en temps ? » demanda-t-il d’un air inquiet.
- « Si tu veux, mais avec Nicolas ! » répondit la jeune femme. « Je ne vais pas partir comme une voleuse, je vais rester avec vous pour la nuit, mais je ne veux plus de déclaration ! »
- « D’accord », se résigna Julien en baissant les yeux.
Sophie alla prendre une douche et revint avec les deux copains qui ne disaient plus un mot. Elle leur montra son sexe épilé, débarrassé de leur semence, et caressa son clitoris.
- « Alors, vous n’avez plus envie de ma chatte ? » leur demanda-t-elle. « Elle est pourtant toute propre et ne demanda qu’à être souillée de nouveau… »
Christophe vint la lécher doucement et elle lui plaqua le visage contre son pubis.
- « Oui, c’est bien ! » dit-elle. « Montre à ton copain que je ne suis qu’une salope avide de plaisir… »
Ils l’entraînèrent de nouveau vers le lit et refirent l’amour tous les trois. Ils la baisèrent chacun leur tour, jusqu’à ce qu’ils soient tous les trois épuisés, puis ils s’endormirent à l’aube. Sophie avait pris beaucoup de plaisir, mais elle savait que bien des choses allaient changer après cette nuit.
Le lendemain matin, elle alla travailler sans même repasser chez elle et eut du mal à ne pas s’endormir au cours de la journée, malgré le caractère stressant de son boulot. En rentrant, elle voulait mettre un certain nombre de choses au point avec Nicolas.

à suivre...

La soirée au club.



Quand Nicolas arriva, manifestement il faisait la tête. Sophie s’en rendit compte tout de suite et essaya de se raccrocher aux rites qu’ils avaient établis.
- « Alors, tu ne t’occupes pas de mes pieds ce soir ? » demanda-t-elle en le regardant d’un air coquin. « Je n’avais pas de bas de rechange, ce sont les mêmes qu’hier ! Ils doivent avoir une odeur délicieuse… »
- « Non, je ne m’occupe pas de tes pieds ! » répondit Nicolas en croisant les bras d’un air boudeur.
- « Tu m’en veux de ne pas avoir dormi à la maison ? » questionna Sophie.
- « Oui, où étais tu ? Tu m’as laissé, attaché par la queue avec le voisin. On a mis une heure à se libérer ! »
- « Vous avez eu le temps de faire connaissance, comme ça ! » répliqua-t-elle en éclatant de rire.
- « Je veux bien que tu me domines, qu’on rencontre des hommes ensemble si tu veux », dit Nicolas. « Mais je ne veux pas que tu sortes seule et que tu découches ! » se mit-il à crier.
- « Quelle autorité ! » ironisa sa copine. « Je suis allé passer la nuit avec Julien et un de ses copains. Ils m’ont bien baisée, mais, justement j’ai envie que les choses changent… »
- « C'est-à-dire ? »
- « Eh bien je me suis rendue compte que je t’aime vraiment et j’ai envie que tu me fasses un enfant ! »
- « Un enfant ? Tu es sûre ? »
- « Oui, mais avant, je veux que tu me laisses m’amuser un peu… On va sortir dans un club samedi et j’aurai le droit de me livrer à tous les excès ! Ce seront mes adieux au libertinage… »
- « Tu veux dire qu’après tu ne me tromperas plus ? »
- « Je n’ai pas dit cela… Simplement, je reviendrai à des pratiques raisonnables… Une petite queue de temps en temps ! Et tu seras toujours au courant… »
- « Je t’aime » répondit Nicolas.
- « Moi-aussi », dit Sophie en l’embrassant, « mais je ne veux pas que ma soirée de samedi soit ratée… »
- « Je te promets qu’elle sera réussie », conclut Nicolas.
Ce soir-là, elle ne le domina pas et lui laissa lui faire l’amour avec beaucoup de tendresse. C’est en voyant Julien essayer de l’enlever à Nicolas qu’elle avait compris qu’elle aimait autant son mécanicien. Finalement, c’est à l’amant de sa compagne qu’il devait cette nuit d’amour merveilleuse.

à suivre...

Le lendemain, Sophie croisa le voisin dans le jardin. Elle lui fit signe d’approcher de la haie.
- « Je voulais te dire quelque chose, Hervé », commença-t-elle.
- « Justement, moi-aussi ! » répondit son voisin.
- « Alors, vas-y ! Parle d’abord ! »
- « Eh bien, je ne peux pas continuer comme cela… J’ai pris goût à ces séances de domination avec toi, mais j’ai fait mes comptes… En un mois, je t’ai donné mille huit cent Euros ! Je n’ai pas les moyens de poursuivre… »
- « Eh bien tant pis ! Tu de branleras dans ton lit ! » répondit Sophie sans complaisance. « Mais cela tombe bien, je voulais te dire que, moi-aussi, je voulais arrêter ! »
- « Tu ne veux plus de nos relations tarifées ? »
- « Non, je ne veux plus de relations du tout ! Cela m’a bien amusé, mais c’est fini… »
- « Bon, je vais essayer de trouver une copine », répondit Hervé pour essayer de la piquer au vif.
- « T’as raison ! Si tu veux je te présenterai des copines… »
Hervé sourit et partit travailler. Il était ravi que sa voisine ne soit pas fâchée. Avec un peu de chance, il trouverait une femme avec laquelle il pourrait poursuivre le même genre de relation qu’avec Sophie, sans que cela lui coûte plus de la moitié de sa paie !
Sophie ne travaillait pas le matin. Elle laissa partir Nicolas et décida de consacrer le reste de la matinée à s’occuper d’elle. Elle prit un bain et se prélassa dans la mousse pendant plus d’une heure. Elle pensait à cette soirée qu’elle avait demandée à son compagnon. Depuis longtemps, elle avait envie d’aller dans un club libertin, mais elle n’avait jamais osé franchir le pas. Elle avait bien l’intention de s’éclater pour une fois !

à suivre...

Le samedi arriva plus vite qu’elle ne le pensait. Elle s’habilla de manière très sexy, un peu comme le soir où ils avaient rencontré Julien, mais au lieu du minishort, elle avait mis une jupe en cuir ultra courte. Nicolas l’emmena dans un club libertin bien connu à Lyon. On les laissa entrer sans problème, bien que l’établissement soit d’habitude réservé aux habitués. La tenue de Sophie était un laisser passer très efficace !
Le club était un endroit assez sombre, avec des petites tables où des couples prenaient des consommations. Il ne restait aucune table de libre et ils se mirent au bar. Quand Sophie s’assit sur le haut tabouret, sa jupe remonta jusqu’en haut des cuisses. Elle commanda un Martini.
A peine étaient-ils servis, qu’une femme vint se mettre au bar à côté d’eux. Elle regarda Sophie et lui sourit.
- « Vous êtes nouveaux ici ? » demanda-t-elle.
- « Oui », répondit Sophie, « c’est la première fois que nous venons… »
- « Ne restez pas tous seuls », répondit la belle blonde qui était ravissante. « Mon mari et moi, nous serions ravis que vous veniez à notre table… »
- « Pourquoi pas ? » fit Nicolas à qui elle plaisait vraiment.
Sophie descendit du tabouret et alla s’asseoir à la table du couple, imitée par son compagnon. Le mari de la belle blonde était plus âgé qu’elle. Il devait avoir une quarantaine d’années, alors qu’elle n’en avait guère plus de vingt-cinq. Il se prénommait Ludovic et son épouse Jennifer. Sophie le trouva tout de même séduisant, et surtout très intéressant. Il leur parla de son travail, il était producteur de cinéma. Il leur raconta le film qu’il était en train de tourner et proposa à Sophie un rôle de figurante. Ils comprirent tout de suite qu’ils n’étaient pas du même milieu social.
Ludovic trouvait que l’ambiance était vraiment calme pour un samedi. Seuls quelques couples attablés semblaient commencer à se découvrir, mais il ne se passait pas grand-chose. Au bout d’un moment, quand même, une jeune femme rousse se leva et se mit à dans avec des mouvements très suggestifs. Elle avait un tee-shirt très moulant sous lequel on devinait une poitrine assez imposante. La belle rousse se trémoussait, mais la plupart des consommateurs semblaient indifférents à ses mouvements.
- « Va danser avec elle ! » dit Ludovic à son épouse.
- « Tu viens ? » demanda Jennifer à Sophie en lui tendant la main.
- « Non, je n’ose pas », rétorqua Sophie. « Je te rejoindrai… »
Jennifer rejoignit la rousse et se mit à danser à côté d’elle. Elle aussi entreprit des mouvements très suggestifs, balançant ses fesses et son bassin d’avant en arrière, comme si elle simulait un coït. La rousse vint se coller contre elle et cogna ses fesses contre les siennes, en cadence avec la musique. Jennifer s’arrêta et souleva le tee-shirt de l’autre danseuse. Des seins lourds et parfaits apparurent. La rousse fit à son tour voler le tee-shirt que portait Jennifer.

à suivre...

Elles se mirent à frotter les pointes de leurs seins les unes contre les autres, mettant enfin un peu d’ambiance dans la salle. Jennifer fit signe à Sophie de la rejoindre. Elle se leva et alla à son tour sur la piste de danse. La rousse lui retira son haut et Jennifer défit le soutien-gorge qu’elle portait, puis le lança à Nicolas. Ses seins lourds se mirent à se balancer, eux-aussi, au rythme de la musique.
Resté dans un canapé, Nicolas observait la scène. Ses yeux n’arrivaient pas à quitter les fesses splendides de Jennifer.
- « Elle est belle ta femme », dit-il à l’oreille de Ludovic.
- « Oui, et en plus c’est une vraie cochonne ! J’adore la voir se faire baiser, répondit son mari. »
- « Hum… Perspective excitante ! »
- « T’inquiète pas, tu vas la sauter ! » ajouta Ludovic en riant.
La musique s’arrêta et les trois femmes regagnèrent leur place, seins nus. Sophie but un second Martini, puis un troisième et commença à se sentir vraiment bien. Elle était venue pour s’éclater et comptait bien en profiter. Elle commença à se montrer entreprenante avec Ludovic et posa la main sur sa cuisse. Elle remonta vers sa braguette et l’ouvrit, sortant un sexe de belle taille qu’elle se mit à lécher doucement. Pendant que sa voisine pompait son mari, Jennifer entreprit de s’occuper de Nicolas. Elle défit les boutons de sa chemise et lui caressa le torse, avant de sortir, elle aussi, le sexe du compagnon de Sophie. Comme Sophie, elle se mit à le lécher lentement.
- « Si on allait plutôt dans un des salons ? » proposa Ludovic au bout d’un moment.
Jennifer s’arrêta instantanément de lécher le sexe de Nicolas et se leva. Elle connaissait parfaitement les lieux et, prenant l’homme qui allait la baiser par la main, elle le conduisit dans une petite pièce dans laquelle un grand lit occupait presque tout l’espace. Ludovic, qui tenait également Sophie par la main, la suivit. Ils entrèrent tous les quatre dans la pièce et refermèrent la porte. Aussitôt, Jennifer se déshabilla complètement. Sophie en fit autant.
- « Elles sont belles nos femmes, tu ne trouves pas ? » demanda Ludovic à Nicolas.
- « Oui », répondit celui-ci dont le regard était fixé sur le cul merveilleux de Jennifer.
- « J’ai envie de les voir faire l’amour toutes les deux », reprit le producteur de cinéma.
- « C’est que je n’ai jamais fait l’amour avec une femme », dit Sophie.
- « Et alors ? Il n’est jamais trop tard pour commencer ! » répondit Jennifer en l’embrassant.

à suivre...

La magnifique jeune femme blonde malaxa les seins de Sophie, puis plongea vers son intimité. Sa langue s’insinua entre les lèvres de son sexe et pénétra dans son vagin. Nicolas était très excité de voir sa compagne abandonnée entre les bras d’une autre femme. Il voulut se mêler à leurs ébats, mais Ludovic l’arrêta.
- « Non, le vrai plaisir, c’est de voir jouir sa partenaire ! » lui dit le quadragénaire. « Ce soir, il ne faut pas que tu touches Sophie ! Contente-toi de regarder, comme moi ! Tu vas la voir jouir sans intervenir et tu ne t’occuperas d’elle que lorsque vous serez rentrés ! Tu verras comme c’est bon de lui faire l’amour en repensant à tous ces orgasmes que tu lui a vu prendre ! »
Nicolas obéit à Ludovic et resta sagement assis en se masturbant. Au bout d’un moment, il vit Sophie qui, à son tour, goûtait le sexe de Jennifer. C’était la première fois que sa bouche se posait sur la chatte d’une autre femme.
- « J’ai envie de sentir une queue en moi ! » dit soudain Sophie. « Je suis une vaginale ! »
- « Chérie, va lui chercher un mec ! » dit Ludovic.
Jennifer sortit, sans même se rhabiller et revint avec un homme d’environ trente-cinq ans. Il était grand et brun et avait suivi la belle blonde sans hésiter. Il fut assez surpris de se retrouver dans une pièce où Sophie était sur le lit, cuisses largement écartées, sous le regard de deux hommes qui ne la touchaient pas.
- « Baise-la ! » dit Jennifer. « Elle a envie d’une queue ! »
L’homme se déshabilla et planta son sexe dur entre les cuisses de Sophie. Jennifer l’encourageait en se caressant. Le grand brun s’activa dans le sexe de la jeune femme et la fit jouir assez rapidement. Nicolas et Ludovic la virent connaître son premier orgasme de la soirée. Lorsqu’il eut joui à son tour, l’homme les remercia et quitta la pièce.
- « A toi de m’en choisir un », dit Jennifer à Sophie.
Elle sortit à son tour et revint avec un jeune homme blond qui devait avoir à peine plus de vingt ans. Jennifer avait pris la place de Sophie sur le lit et attendait, la croupe relevée.
- « Baise-la ! » dit à son tour Sophie au blondinet qui n’en revenait pas.
- « Attends ! Il ne bande pas assez », dit Jennifer. « Suce-le un peu d’abord ! «
Sophie se mit à pomper goulument le sexe du jeune homme qui durcit rapidement. Il pénétra ensuite Jennifer et s’activa sur son corps luisant de sueur. Il la fit jouir, puis éjacula sur ses fesses.

à suivre...

- « J’adore la voir avec le cul plein de sperme », confia Ludovic à Nicolas. « Allez, va chercher des mecs pour baiser ta femme ! »
Résigné, Nicolas ressortit dans la salle ou se trouvait le bar et ramena deux hommes tout excités à l’idée de rejoindre les deux femmes qu’ils avaient vues s’exciter sur scène tout à l’heure. L’un d’eux, le plus grand, prit Jennifer en levrette pendant que l’autre pénétrait Sophie dans la position du missionnaire.
Jennifer ondula la croupe pour bien exciter son mari et Nicolas, puis elle demanda à l’homme qui la pénétrait de se faire sucer par Sophie. La compagne de Nicolas se retrouva avec une bite dans la bouche et l’autre dans la chatte.
- « Baisez-la bien ! » dit Jennifer. « Que son impuissant de mari la voit bien jouir ! »
Nicolas ressentit les paroles de Jennifer comme une profonde humiliation. Ce soir, il avait envie de se faire la blonde et elle lui laissait peu d’espoir en le traitant d’impuissant. Après s’être bien fait baiser par les deux hommes, Sophie avait besoin de repos. Elle s’allongea sur le lit et se laissa caresser tendrement par Jennifer.
- « Alors, pauvre merde, tu as vu comment il faut me baiser ? » demanda-t-elle à Nicolas.
Il ne répondit pas, se contentant de hocher la tête ne signe d’approbation.
- « Vous êtes surs que vous voulez rester ici ? » demanda Ludovic.
- « Oui, nous avons à peine eu le temps de découvrir cet endroit », répondit Nicolas. « Vous nous faites visiter le reste de l’établissement ? »
- « Oh, ce n’est pas folichon », expliqua Ludovic. « Il y a quelques autres salons de repos avec des lits et certains sont percés de trous pour que les voyeurs puissent se régaler. A moins que cela vous excite, cela manque d’intimité… »
- « Et tu voudrais aller où ? » demanda Sophie, curieuse.
- « A la maison », répondit Jennifer. « En plus, on n’habite pas loin… »
- « Oui, venez ! » ajouta Ludovic. « Ici cela manque d’ambiance… On va commencer tous les quatre et, si on est bien excités, on fera venir des internautes… Vous verrez, c’est amusant ! »
Ils se laissèrent convaincre et partirent tous les quatre. Nicolas avait une petite voiture sportive, une Golf GTI assez ancienne, mais il eut du mal à suivre Ludovic, dont la Porsche 911, traversait les rues de Lyon à plus du double de la vitesse autorisée. Ils se garèrent Boulevard des Belges, juste le long du Parc de la Tête d’Or. Le couple habitait dans un des luxueux immeubles donnant sur le parc…

à suivre...

Dès qu’ils furent entrés, Jennifer se déshabilla et enlaça Sophie.
- « J’adore te faire l’amour ! » dit-elle à Sophie qui y avait pris goût elle aussi.
Elle la déshabilla et se mit à lécher son sexe glabre. Nicolas se dit que, maintenant qu’il n’y avait plus d’autres hommes que Ludovic et lui, il allait peut être pouvoir s’occuper d’elles. Il avait tort ! Sophie le remit à sa place dès qu’il s’approcha de Jennifer.
- « Reste à ta place, gros porc ! » lui cria sa compagne. « Tu ne mérites pas une femme pareille ! »
- « Tu crois qu’il serait seulement capable de bander assez pour que je sente quelque chose ? » ironisa Jennifer.
- « Même pas, tu aurais l’impression d’avoir un coton-tige dans la chatte », répondit Sophie. « Il est juste bon à lécher… Et encore ! Moi il me faut quand même une vraie bite dans la chatte ! »
- « Tu veux que Ludovic te baise ? » proposa Jennifer.
- « Pourquoi pas ? Il baise bien ton mari ? »
- « Oui, quand il s’est bien excité en regardant des mecs comme ce soir, il est plutôt performant… Essaye ! »
Sophie alla elle-même s’empaler sur le sexe de Ludovic, juste sous les yeux de Nicolas. Ce soir, elle avait choisi de ne même pas le laisser la toucher. Quand il essaya de lui caresser les fesses, elle lui retourna une gifle violente !
- « Ne me touche pas, pauvre larve ! Tu vas lécher le cul de Ludovic pendant qu’il me baise ! »
- « Oh oui ! » intervint Jennifer. Il adore ça !
Nicolas fut obligé de lécher le cul de Ludovic pendant qu’il baisait Sophie. Il la fit jouir de belle manière, puis il se retira de son sexe.
- « On va faire venir quelques internautes », dit Ludovic.
- « Attends, je me connecte », ajouta Jennifer en s’asseyant devant le clavier de l’ordinateur.
Moins d’un quart d’heure plus tard, elle était en contact avec trois hommes qui paraissaient motivés pour les rejoindre.

à suivre...

- « Est-ce qu’il y en a un qui est bi ? » demanda Sophie.
- « Je ne sais pas je leur demande », répondit Jennifer. « Pourquoi? »
- « Parce que je veux faire enculer Nicolas ! » dit Sophie.
- « Bonne idée », intervint à son tour Ludovic. « J’ai envie de le voir se faire éclater la rondelle ! Choisis en un avec une grosse bite ! »
- « Voilà, j’ai trouvé », dit Jennifer. « Un mec bisexuel avec un sexe de vingt-deux centimètres… »
- « Parfait pour son petit cul ! » commenta Sophie.
Une demi-heure plus tard, les trois internautes arrivèrent les uns après les autres. Celui qui était bisexuel semblait intéressé par le cul de Nicolas, mais il voulait d’abord que les deux femmes le sucent. Elles ne se firent pas prier et, quand il présenta son sexe à l’entrée de l’anus de Nicolas, il avait pris ses proportions maximales. Nicolas ne voulait pas qu’un tel engin le pénètre et les deux autres hommes durent le tenir pour qu’il se laisse faire. Quand le sexe de vingt-deux centimètres le pénétra, il poussa un hurlement. Il avait eu très mal !
L’homme lui défonça le cul pendant que les deux autres se faisaient sucer par Jennifer et Isabelle et que Ludovic baisait alternativement son épouse et Sophie.
L’homme qui était en train de baiser Nicolas le prit par les testicules et se mit à tirer.
- « J’adore tirer sur les couilles d’un mec pendant que je l’encule et que sa femme se fait baiser par tous les trous sous ses yeux ! »
- « Tu as raison », dit Ludovic. « C’est bon de baiser sa femme pendant que tu lui défonces le cul ! »
Ludovic jouit avec force dans le vagin de Sophie et les trois autres hommes vinrent déverser leur sperme tour à tour à l’entrée du vagin de la jeune femme.
- « Maintenant, tu vas lécher tout ça ! » ordonna Jennifer !
Entraîné de force par l’athlète qui l’avait sodomisé, Nicolas dut déguster le sperme des quatre hommes dans la chatte de sa compagne. Quand il eut terminé, elle le repoussa avec le pied et les trois hommes prirent congé des deux couples.
- « On va rentrer », dit Sophie. « Demain, je ne veux pas me lever trop tard… »
- « Il faudra qu’on se revoie », dit Ludovic.
- « Avec plaisir », répondit Sophie. « Tu ne veux pas vider la queue de ce minable avant qu’on parte ? » demanda-t-elle à Jennifer. « Sinon, il va me faire chier toute la nuit avec ses couilles pleines! »
- « Bien sûr ma chérie ! » rétorqua la belle blonde. « Tu veux que je le fasse jouir avec mes pieds ? »
- « Oui, écrase-lui bien la queue ! » dit Ludovic dont les pulsions sadiques prenaient inévitablement le dessus en fin de soirée.
Jennifer fit installer Nicolas à genoux devant la table basse. Elle lui ordonna de poser son sexe sur le marbre et monta carrément sur sa queue, qu’elle écrasa avec le talon. Nicolas avait mal, mais, depuis que la jeune femme l’avait sucé brièvement dans le club, c’était la première fois que quelqu’un s’occupait de sa queue. Il se laissa faire et elle le fit jouir en faisant aller et venir son pied sur sa verge. Il dut, bien sûr lécher le sperme qui avait coulé sur la table, puis ils partirent.
Sophie avait bien profité de sa dernière soirée libertine et avait humilié Nicolas autant qu’il était possible de le faire. Sa décision était prise, le lendemain, elle arrêterait la pilule et voulait avoir un enfant avec lui !

à suivre...

Une nouvelle maîtresse.



Au cours des semaines qui suivirent, la vie de Sophie et Nicolas changea complètement. Après cette folle soirée passée dans le club libertin et chez ce couple de bourgeois, elle se consacrait uniquement à son projet : avoir un enfant !
Elle arrêta de prendre la pilule et Nicolas dut lui faire l’amour tous les soirs, normalement. Il n’était plus question de domination ou d’humiliations, et elle se montrait même tendre avec lui. Au début, il se réjouit de retrouver le droit de la caresser, de la lécher et de la pénétrer comme devaient le faire la plupart des hommes. Rapidement pourtant, sa condition de soumis commença à lui manquer. Il regrettait le temps où elle lui faisait lécher ses pieds en rentrant du travail, où elle le forçait à s’exhiber à la fenêtre et même les moments où elle l’emmenait faire ses besoins dans le jardin !
Nicolas commença à se connecter sur des sites X et des forums où il pouvait échanger avec d’autres soumis. Il le faisait en cachette de Sophie, car il savait qu’elle n’aurait pas apprécié qu’il ait ce genre de dialogues. Progressivement, il se fit un réseau de contacts et échangea ses expériences avec d’autres hommes. L’un d’eux, un certain Quentin, n’habitait pas très loin de chez lui. Ils se mirent à échanger des mails de plus en plus souvent et décidèrent un jour de se rencontrer.
Quentin avait à peu près le même âge que Nicolas. Sa femme le dominait depuis des années et, lui aussi se connectait en cachette. Ils se rencontrèrent un soir où leurs compagnes travaillaient toutes les deux. Sophie faisait une nocturne à la caisse de l’hypermarché et Annabelle, l’épouse de Quentin qui était aide-soignante, était de garde à l’hôpital où elle travaillait. Ils s’étaient donné rendez-vous dans un pub et burent quelques bières en échangeant leurs expériences. Nicolas avoua à Quentin que, depuis que Sophie avait arrêté de le dominer et de l’humilier, il était malheureux. Quentin comprenait très bien ce manque.
- « Si tu veux, je demanderai à ma femme de nous dominer tous les deux », proposa-t-il.
- « Tu crois qu’elle accepterait ? »
- « Oui, je pense… On l’a déjà fait une fois avec un internaute. »
- « Hum, j’aimerais bien essayer. »
- « Elle ne t’a jamais dominé avec quelqu’un d’autre ? » demanda Quentin.
- « Si, une fois ! Avec notre voisin… Mais cela ne s’est pas très bien terminé… »
- « Pourquoi ? »
- « Elle est partie en nous laissant attachés tous les deux… Elle n’est pas rentrée avant le lendemain ! Heureusement, on a réussi à se libérer tout seuls ! »
- « Vous n’avez jamais recommencé ? »
- « Non, depuis, le voisin garde ses distances… »
Ils bavardèrent encore un long moment, puis chacun rentra chez lui, voulant arriver avant que sa compagne ne rentre. Quentin promit à Nicolas de le tenir au courant de ce qu’aurait décidé sa femme. Il commença à réfléchir à l’excuse qu’il allait donner à Sophie pour se rendre à ce rendez-vous si l’idée se concrétisait…

à suivre...

Quand Sophie rentra de travailler, elle avait le sourire, alors que d’habitude, après une nocturne, elle était fatiguée et d’humeur exécrable. Nicolas était en train de regarder la télévision quand sa compagne arriva.
- « J’ai une bonne nouvelle », dit-elle en cherchant dans son sac.
- « C’est quoi ? » demanda Nicolas.
- « Ça ! » répondit Sophie en sortant un test de grossesse et en lui montrant le trait bleu qui était apparu.
- « Et alors ? C’est quoi ? »
- « Un test de grossesse ! Je suis enceinte ! »
- « Formidable ! » s’exclama Nicolas qui lui aussi se faisait à l’idée d’avoir un enfant et savait surtout à quel point Sophie y tenait.
- « Oui, tu n’auras plus besoin de me faire l’amour tous les soirs », ironisa Sophie. « Je ne t’imposerai plus cette corvée… »
- « Mais ce n’est pas une corvée ! » protesta-t-il. « Je t’aime ma chérie… »
- « Ah bon ? Alors, prouve le moi ! » dit Sophie. « Viens m’enlever mes chaussures et mes chaussettes et lèche moi les pieds ! »
Nicolas ne se fit pas prier. Il délaça les baskets de Sophie et lui retira ses chaussettes blanches. Elle avait beaucoup transpiré et il s’enivra de ses effluves corporels. Il passa sa langue entre ses orteils et elle le laissa faire, sachant qu’il était en manque de ce genre de situation humiliante. Nicolas s’occupa des pieds de Sophie pendant une bonne demi-heure, mais pourtant il n’était pas pleinement satisfait. Il ne faisait que penser à cette expérience de domination que Quentin lui avait proposée avec son épouse.
Au bout d’un moment Sophie bailla. Elle était fatiguée après sa longue journée de travail et voulut aller se coucher. Nicolas la rejoignit et ce soir-là, il ne lui fit pas l’amour. Il lui fit juste un petit câlin avant de dormir.
Trois jours plus tard, Nicolas reçut un mail de Quentin. Il lui indiquait que sa femme était d’accord pour le rencontrer et qu’il devrait venir chez eux dès le lendemain. Il devait travailler le lendemain, mais il ne voulait pas manquer une occasion pareille, alors il partit comme d’habitude et, dès qu’il fut sorti, il téléphona à son patron pour lui demander s’il pouvait prendre un jour de congé exceptionnel en raison d’un rendez-vous médical pris en urgence. Le patron s’inquiéta de savoir ce qui pouvait motiver une telle urgence, mais il lui accorda sa journée.

à suivre...

Nicolas se rendit à l’adresse que lui avait indiquée Quentin. C’était une petite villa dans un lotissement isolé. Quand la porte s’ouvrit, il vit l’épouse de son complice internaute. Il n’avait même pas eu la curiosité de lui demander comment elle était physiquement !
C’était une jeune femme antillaise qui devait avoir trente-cinq ans. Elle était assez belle et avait des formes généreuses. Comme son mari l’avait prévenue de la venue de Nicolas, elle ne fut pas surprise. Elle vérifia tout de même que c’était bien lui.
- « Tu es Nicolas ? » demanda-t-elle.
- « Oui… »
- « On dit « oui, maîtresse ! » », le reprit-elle aussitôt.
- « Oui maîtresse », recommença Nicolas.
- « Bon, entre ! Je n’ai pas besoin d’explications sur tes motivations », lui dit-elle. « Tu vas te foutre à poil et rejoindre mon mari ! Aujourd’hui, je veux que vous vous occupiez de la maison ! Je te préviens, il y a du boulot ! »
Nicolas se mit entièrement nu sous le regard de cette femme qu’il voyait pour la première fois. Elle était assez grande et portait une robe d’intérieur sous laquelle on devinait qu’elle était nue. Ses seins étaient encore plus volumineux que ceux de Sophie, sans doute du 100D, et elle avait des fesses larges et rebondies. Elle s’approcha de Nicolas et prit son sexe dans la main.
- « Encore une petite bite ! » s’exclama-t-elle. « Décidément les soumis ont tous une petite queue… Tu vas faire le ménage dans la cuisine avec Quentin et, quand vous aurez terminé, il rangera le salon pendant que tu viendras me laver ! Je vais prendre un bain » ajouta-t-elle en retirant sa robe d’intérieur sous laquelle elle était effectivement nue, à l’exception d’un string minuscule qui lui rentrait dans les fesses.
Elle appela son mari qui revint de la chambre, lui aussi entièrement nu.
- « Tu vas faire le ménage avec lui pendant que je prends un bain », lui dit-elle. « Après, il viendra me laver et fera ma lessive ! Je n’ai plus un string de propre ! Il les lavera à la main, c’est de la lingerie fragile ! »
- « Bien maîtresse », répondit Quentin habitué à obéir au doigt et à l’œil.
La plantureuse Annabelle se dirigea vers la salle de bains et remplit la baignoire d’eau tiède avant de se glisser sous la mousse. Elle se laissa aller, se relaxant pendant que son mari et leur invité faisaient le ménage dans la maison. Quand elle pensa qu’ils devaient avoir terminé, elle appela Nicolas. Il dut la laver des pieds à la tête et vérifier, avec sa langue que son cul était bien propre. Annabelle avait une autorité naturelle que Nicolas reconnut tout de suite. Quand elle sortit de l’eau, il dut l’essuyer avec une grande serviette. Elle lui désigna la corbeille de linge sale dans laquelle se trouvaient les strings qu’elle avait portés depuis une semaine.
- « Tu vas les laver à la main », lui dit-elle. » Après, tu iras les étendre dans le jardin ! »

à suivre...

Nicolas fit ce qu’elle demandait, s’appliquant à frotter aux endroits où ses secrétions vaginales et même quelques traces de merde avaient souillé les strings. Quand il eut terminé, il rejoignit Annabelle qui était dans le salon et lui demanda s’il pouvait s’habiller pour aller étendre le linge dehors.
- « Pas question, tu restes à poil ! Ne t’inquiète pas, les voisines ont l’habitude de voir Quentin la queue à l’air… D’ailleurs, sa petite bite les fait beaucoup marrer ! »
Nicolas sortit étendre les strings, entièrement nu et, heureusement, ne croisa personne. Quand il revint, Quentin était en train de procéder à l’épilation des jambes de son épouse. Elle était installée sur le canapé du salon et il retirait méticuleusement toute pilosité avec un épilateur électrique. Le sexe d’Annabelle était lui très poilu, mais sa toison était bien entretenue. Nicolas regarda le pubis de l’antillaise et elle lui fit signe de s’approcher.
- « Ne reste pas là à rien faire ! » vociféra-t-elle. « Viens t’occuper de ma chatte ! »
Il s’avança vers elle et posa sa main sur cette abondante toison. D’ordinaire, les soumis n’avaient pas le droit de toucher sa chatte, mais elle voulait humilier Quentin en se faisant branler par Nicolas sous ses yeux. Elle lui demanda ce caresser son clitoris et il le fit avec plaisir et application. Annabelle écarta plus largement les cuisses et s’abandonna à son plaisir. Elle jouit sous les caresses de Nicolas, pendant que son mari continuait à l’épiler.
- « Lui, au moins, il sait s’occuper du sexe d’une femme ! » dit Annabelle à Quentin. « Ce n’est pas toi qui m’aurais fait jouir comme ça ! Tu es juste bon à tailler des pipes… Suce-le ! »
Quentin dut prendre le sexe de Nicolas dans sa bouche et le pompa jusqu’à ce qu’il bande bien. Annabelle se leva et alla chercher un martinet. Elle en donna quelques coups cinglants sur les fesses de Quentin, puis sur celles de Nicolas qui était beaucoup moins habitué à ce genre de violence et qui supportait mal cette fessée imposée.

à suivre...

- « Arrête-toi ! dit Annabelle à Quentin qui suçait toujours Nicolas. Sinon, tu vas le faire jouir ! Il n’est pas là pour prendre du plaisir ! Du moins, pas tant que je ne l’aurai pas décidé… Allez plutôt préparer le repas de midi ! Je veux une blanquette de veau et du riz ! C’est dans vos cordes, j’espère ? »
- « Oui maîtresse ! » répondit Quentin.
Ils partirent tous les deux dans la cuisine et Nicolas dut aider Quentin à confectionner le repas. Il ne s’occupait jamais de la cuisine, laissant cette tâche à Sophie, mais heureusement Quentin était plus doué que lui ! Pendant qu’ils cuisinaient, Annabelle finit de se préparer. Elle s’habilla de manière assez élégante, puis passa quelques coups de téléphone et revint les voir dans la cuisine. Quentin lui dit que le repas serait prêt dans une demi-heure.
- « J’espère bien ! » répondit Annabelle d’un ton cinglant. « Cet après-midi, vous avez encore du travail ! Ce soir, j’ai invité des copines à dîner et vous allez me rendre le reste de la maison nickel et préparer le repas ! »
Le repas fut prêt à l’heure et les soumis furent autorisés à manger à la table de la maîtresse. C’était exceptionnel, car d’habitude, Quentin devait manger dans un coin de la cuisine dans l’écuelle du chien qui n’était plus là.
Après avoir mangé, ils durent débarrasser la table, faire la vaisselle et tout ranger, puis Annabelle les fit venir dans le garage.
- « Il y a un bordel pas possible ici ! » s’énerva-t-elle. « Vous allez me ranger tout ça ! »
- « Oui, maîtresse ! » dirent en chœur Nicolas et Quentin.
- « Je ne veux plus rien qui traîne, sinon je vous fouette tous les deux ! »
Ils se mirent au travail et, avec l’aide de Nicolas, Quentin parvint à remettre de l’ordre dans son garage qui n’avait pas retrouvé un aspect aussi correct depuis plusieurs mois et même plusieurs années. Pendant ce temps-là, Annabelle se prélassait dans le salon. Depuis plusieurs années, elle aimait dominer son mari et l’obligeait à faire les tâches ménagères. Elle avait décidé de joindre l’utile à l’agréable et faisait ainsi l’économie d’une femme de ménage.

à suivre...

Lorsque son mari lui avait avoué qu’il aimerait être dominé avec un autre homme, elle avait sauté sur l’occasion en se disant que cela ferait de la main d’œuvre supplémentaire. Les soumis faisaient tout le ménage, la cuisine et en plus ils ne se plaignaient jamais ! Comme il fallait tout de même qu’ils trouvent une certaine compensation, elle leur offrait généralement une récompense avant de las laisser repartir. Ils avaient le droit de la faire jouir et de se branler devant elle…
Quand le garage fut bien rangé, Nicolas et Quentin vinrent en informer Annabelle. Elle passa faire une inspection des lieux. Il n’y avait rien à dire, mais elle n’allait tout de même pas les féliciter ouvertement !
- « Bon, voilà une bonne chose de faite ! » dit-elle simplement. « Maintenant, vous allez préparer le repas de ce soir ! Mes copines adorent le bœuf en daube, c’est assez long à cuire… Il faut vous y mettre tout de suite ! »
Nicolas commençait à regretter sa journée. Certes, il avait passé un bon moment en s’occupant d’Annabelle dans la baignoire et en s’occupant de la chatte de l’épouse de Quentin, pendant qu’il l’épilait, mais depuis, il ne faisait que faire le ménage et la cuisine ! Ce n’était pas vraiment comme cela qu’il avait imaginé sa journée de soumission à une nouvelle maîtresse !
Malgré tous, il se plia aux exigences de la belle antillaise, laissant Quentin prendre la direction des opérations, car il était peu doué pour la cuisine. Celui-ci lui demanda d’éplucher les carottes et il le fit sur la table de la cuisine. Quand Annabelle passa voir où ils en étaient, elle prit trois carottes et les mit de côté. Quentin savait déjà quel serait le sort réservé à ces légumes, mais il ne dit rien.
Ils mirent à cuire leur plat à feu doux et leur maîtresse les fit venir dans le salon. Elle demanda à Quentin d’apporter les carottes…
- « Vous avez bien travaillé », dit enfin Annabelle. « Vous avez mérité une carotte en guise de récompense ! »
Nicolas ne comprit pas tout de suite, mais quand il vit Quentin se mettre à quatre pattes et écarter les fesses, il sut à quoi allaient servir les légumes. Annabelle prit une des carottes et l’enfonça dans le cul de son mari. Elle y pénétra sans difficulté et il dut marcher dans le salon avec le légume orange qui dépassait de ses fesses. Ce fut ensuite au tour de Nicolas. La carotte eut beaucoup plus de mal à le pénétrer, car son anus était moins distendu que celui de Quentin, rompu à ce genre d’exercice. Lui aussi dut se promener dans le salon avec un morceau de carotte qui dépassait de ses fesses.

à suivre...

Annabelle les regarda en rigolant. Elle savait que c’était pour eux encore plus humiliant de subir ce genre d’exercice devant un autre soumis
- « Vous voyez à quoi vous avez droit en baisant comme des lapins ? Des carottes ! Il en reste une, j’ai choisi la plus grosse… Je suis sure que vous avez envie de la voir dans ma chatte… Je me trompe ? »
- « Non », répondit Quentin.
- « Bien, alors approchez-vous ! »
Ils se mirent devant elle et elle retira sa robe. Pour la seconde fois de la journée, Nicolas vit cette belle chatte noire hyper poilue en gros plan. Cette fois, il ne fut pas autorisé à la toucher. Annabelle prit la grosse carotte et l’enfila dans son sexe sous le regard envieux de Quentin et de Nicolas. Ils la regardèrent se masturber un moment, puis elle leur ordonna de se retourner et de lui présenter leurs fesses. Avec le pied, elle poussa alternativement les deux carottes toujours plantées dans le cul de ses soumis pendant qu’elle se branlait avec délectation.
Nicolas trouvait que les choses prenaient un tour intéressant et ne regrettait plus d’être resté, même s’il avait mal au cul à cause de la carotte que le pied d’Annabelle enfonçait de plus en plus profondément. Sans être autorisés à se retourner, ils comprirent que le plaisir d’Annabelle était en train de monter. Elle haletait de plus en plus fort et se mit bientôt à crier. Son orgasme dura une bonne minute et, chacun de ses deux pieds enfonçait une carotte au plus profond du fondement des soumis. Elle jouissait comme une reine…
Elle les autorisa enfin à se relever et sortit la carotte de son sexe, inondée de ses secrétions vaginales.
- « Voici enfin votre récompense, dit-elle. Les lapins adorent les carottes ! Surtout quand elles ont un bon goût de chatte ! »

à suivre...

Elle tendit le légume devant elle et Quentin s’approcha pour la croquer. Il reçut une gifle magistrale.
- « Les invités d’abord ! » s’écria Annabelle en faisant croquer la carotte à Nicolas.
Celui-ci coupa l’extrémité avec ses dents et se mit à croquer le légume odorant. Annabelle en donna un morceau à Quentin, puis de nouveau à Nicolas, jusqu’à ce qu’ils aient tout mangé.
- « « C’était bon, hein ? Bande de petit vicieux ! Vous n’avez pas honte avec votre carotte dans le cul ? Allez, retirez-les et mangez les aussi ! »
Quentin le fit immédiatement. Il était habitué à ce genre de demande. Nicolas eut plus de mal. La carotte avait une odeur de merde et il sentait qu’il avait des hauts le cœur.
- « Mange ! » lui ordonna Annabelle. « Tu aurais préféré celle de Quentin ? Ce gourmand l’a déjà terminée… »
Il se força et finit par croquer le légume souillé par sa propre merde. Il s’habitua à ce goût et finit par la manger complètement.
- « Tu veux rester avec nous ce soir pour aider Quentin à servir mes amies ? » demanda Annabelle.
- « Non, je ne peux pas, il faut que je rentre… »
- « Pourquoi ? Ta femme va te punir sinon ? » ironisa l’antillaise. « Elle est plus sévère que moi ? »
- « Non », répondit Nicolas, « mais je ne veux pas d’ennui… »
- « Tu es vraiment une lopette ! Allez, branle-toi avant de partir ! Je veux voir gicler ton sperme ! Je veux que tu vides ta petite queue dans la bouche de Quentin ! »
Nicolas se masturba en respectant scrupuleusement les consignes d’Annabelle. Il la prévint quand sa jouissance arrivait et elle ordonna à son mari d’ouvrir grand la bouche. Nicolas déversa son sperme sur la langue de Quentin en poussant un râle de plaisir. Annabelle le força à avaler.
Après avoir passé une bonne journée, Nicolas rentra chez lui. Il était encore plus fatigué que s’il était allé travailler, mais il avait apprécié cette expérience. A n’en pas douter, il recontacterait Quentin et reviendrait faire le ménage chez Annabelle !

à suivre...

La copine du voisin.



Hervé, le voisin de Sophie et Nicolas, avait fini par trouver une copine à son goût. Plusieurs fois, Sophie la vit passer dans le jardin elle était assez mignonne et était beaucoup plus jeune que le voisin. Depuis qu’elle était enceinte, Sophie s’était considérablement assagie. Elle ne s’autorisait pratiquement plus aucune pratique libertine et ne faisait même plus l’amour avec son mari. Sa sexualité se réduisait à la masturbation et à quelques séances de domination avec Nicolas qui continuait à devoir lui lécher les pieds quand elle rentrait le soir.
Il n’y trouvait plus vraiment son compte, car elle semblait lui demander cela pour lui faire plaisir et il ne sentait plus l’enthousiasme de son épouse. Heureusement, il avait gardé le contact avec Quentin et se consolait en prévoyant d’organiser d’autres séances avec Annabelle. Pour le moment, il n’avait pas réussi à retourner chez le couple…
Un matin, Sophie était sortie dans son jardin pour fumer tranquillement une cigarette. Elle cherchait à arrêter depuis qu’elle était enceinte, mais n’y arrivait pas complètement. Elle vit son voisin qui partait avec sa voiture. Sa copine avait passé la nuit chez lui et elle la vit lui faire des signes par la fenêtre au moment où il démarrait. La jeune femme était presque nue et sembla gênée quand elle vit que la voisine l’avait remarquée. Elle salua néanmoins Sophie qui ne lui avait encore jamais adressé la parole.
- « Bonjour, lui dit-elle. Je suis désolée de vous importuner, mais je peux vous demander un immense service ? »
- « Bien sûr », répondit Sophie. « Lequel ? »
- « Voilà, mon ami est parti en emportant un sac que j’avais laissé dans le coffre de sa voiture… J’ai eu beau lui faire des signes, il ne m’a pas entendue… »
- « J’aurai du mal à le rattraper », dit Sophie. « Il doit être loin… »
- « Je sais, répondit-elle, mais je suis très embêtée… Dans ce sac, j’avais mis des vêtements et il y a également les clés de ma voiture et celles de chez moi… J’ai essayé de l’appeler, mais son portable ne répond pas et il part pour un séminaire de deux jours. Si cela se trouve, je ne pourrai pas le joindre… »
- « Que puis-je faire pour vous aider ? »
- « Voilà, j’ai un peu honte… Hier soir, quand nous sommes rentrés, il avait commencé à me déshabiller dans la voiture et j’ai regagné la maison en ne portant plus qu’une jupe et mes chaussures… »
- « Vous aviez fait la fête ? » s’amusa Sophie.
- « Oui, il m’avait sortie en boîte et j’avais un peu picolé … »
- « Bon, on ne va pas se raconter votre soirée par-dessus la clôture, coupa Sophie. Je vous apporte de quoi sortir et vous viendrez à la maison. On verra ce qu’on peut faire… »
- « Merci ! »
Elle alla chercher rapidement un pull qui permettrait à la nouvelle voisine de traverser le jardin dans une tenue décente et vint lui apporter chez Hervé, son voisin. La nouvelle conquête du voisin se prénommait Meryl. Elle avait vingt-six ans, elle était blonde, très fine et beaucoup plus petite que Sophie. Mais elle était très mignonne. Elle nageait littéralement dans le pull qu’elle lui avait prêté.

à suivre...