Forum de candaulisme pour les cocus libertins et couples échangistes

Initiation d'un charmant petit couple: lui un grand dadais de 19 ans, timide et pas dégourdi, elle 18 ans, un peu plus délurée mais très réservée.
Elle est la fille des proprios du gite ou je vais en vacances. Ancienne ferme isolée, piscine, plusieurs chambres. Le premier soir, elle vient déposer un panier de bienvenue: bouteilles, foies gras, terrines, assortiments de fruits. Toute mignone dans sa petite robe à bretelle qui vole au vent. En la remerciant, je lui demande si elle va rejoindre son chéri: oui, mais ce n'est pas encore fait.
Alors un conseil ma petite, retire ta culotte et ton soutif, sois féline avec lui. Ce disant, je m'approche d'elle,: "tu me permets?"
"euh... oui... allez y". Je passe mes mains sous sa robe, caresse ses cuisses, remonte à ses fesses; elle s'accroche à moi, son souffle se fait soupir haletant, mes pouces saisissent l'élastique de sa culotte que je fais doucement glisser. Je la regarde dans les yeux en descendant. J'arrive à ses petits petons dans de jolies sandales escarpins: elle en lève un, lui l'autre: ça y'est sa culotte a disparu: j'en profite pour embrasser son ventre, l'intérieur de ses cuisses, je souffle doucement sur les lèvres blanches, délicatement dessinées, ourlées autour d'un adorable petit clitoris rose sur qui je viens donner des coups de langue. Je la sens qui s'agrippe à mes épaules, avant de s'assoir sur un fauteuil de jardin, ses genoux sur les accoudoirs, offrant, impudique son ventre et sa féminité qui commence à s'ouvrir et à briller de désir. Je prélève quelques gouttes de son jus d'envie que je viens étaler derrière ses oreilles et sur son cou.
Avec un clin d'œil je lui dit qu'elle est prête pour son amoureux.
"C'est tout?" elle semble dépitée, voire déçue.
"si tu en veux plus, il faudra que tu reviennes... et pourquoi pas avec ton copain. Maintenant, file..."
Elle s'en va. Son déhanchement est plus accentué que précédemment, le vent se prend plus facilement dans les pans de sa robe.
Elle se retourne et m'envoie un baiser de la main.
Je reçois plus tard dans la soirée un SMS: il faudrait que je vienne récupérer ce que j'ai "oublié" (oui avec les guillemets sur "oublié", la coquine)

vivement la suite et des photos

Le lendemain soir, la demoiselle (Elodie) et Guhilhem viennent me retrouver. Julie me fait une grosse bise très appuyée sur chaque joue, se lovant contre moi, mais tout en tenant la main de son futur. Lequel me tends son autre main pour une poignée de main molle et timide (d'ailleurs il rougit et baisse les yeux.
Nous passons la soirée à papoter de tout et de rien, Julie me montrant discrètement qu'elle à pris goût à sentir l'air passer sur ses petites fesses et caresser son clitoris. Puis elle se lève et nous laisse quelques instants. Là le Guhilhem m'avoue: "je suis fous d'elle depuis qu'on se connait mais j'y arrive pas avec les filles.
Oui, je sais, Elodie m'a raconté. Mais le petit coup de pouce hier?"
"Ben, euh..." (vraiment pas dégourdi le gars)
Et j'entends de la cuisine "Il veut se garder pour le mariage". Elodie revient vers nous et me murmure "et en plus je suis sur qu'il est précoce et qu'hier il s'est jouit dessus en me voyant arriver ouverte, offerte et sentant la femme amoureuse"
La réponse de Guhilhem qui baisse la tête et les yeux et rougit ne laisse aucun doute.
Vous savez quoi: "'On va se faire une "cérémonie nuptiale des vœux" c'est comme un mariage, mais juste pour vous: ça va sceller votre intimité de couple.
On va faire ça samedi. En attendant, Guhilhem tu dors dans la chambre bleue (une chambre avec lit 1 place) Elodie et moi on va à l'étage.
Fait pas la tête Guhilhem, ce soir tu as le droit de venir nous voir'"
Nous grimpons vers la grande chambre, j'ordonne à Guhilhem de se mettre nu, ce qu'il fait sans rechigner (un bon profil de soumis) et là en effet, un tout petit zizi de 4-5 cm à peine. "Ah, oui je comprends... bon. déshabille ta promise"
Timidement et maladroitement, il fait glisser une bretelle, puis l'autre, il dégrafe tant bien que mal le bustier marmonne un "tu es belle mon amour"
Je la prends par la taille, une main sur ses fesses. Elle m'enlace. Je la guide vers le lit ou elle s'allonge. Elle rosit un peu.

excellent ! continue !

Jolie histoire raconté de belle manière. C'est un fantasme ou du vécu ?

c'est du vécu... mais pas de photo pour préserver ce charmant "petit couple".

J'embrasse Elodie sur les joues, dans le cou je glisse sur les seins je remonte sur sa bouche, puis son ventre, ses cuisses je prend mon temps: je la sens frissonner et je sens son odeur de femme amoureuse qui monte progressivement. Ma queue bandée à en faire mal commence à effleurer les lèvres secrètes d'2lodie qui soupir et gémit: "oh, non, je me gardais"
-Quoi? tu es vierge?
Guhilhem: "oui Monsieur, on se préservait".
je regarde Elodie, puis brusquement en regardant Guhilhem: Alors, Moi, c'est pas Monsieur, c'est Maitre!
Il baisse les yeux, "oui maître".
Et du coup c'est moi qui vais prendre ta future, petit cocu, mais j'ai un cadeau pour toi.
Je commence à me reculer mais Elodie essaye de me retenir avec ses mains "Maître, s'il vous plait" (un sacré potentiel ce couple)
Je me lève du lit et fouille dans mon "sac à magie" j'en sors une cage (un anneau de base de 4cm de ø, un casque de protection pour le gland et un anneau de serrage avec anneau pour passer le cadenas. je la mets dans la main d'Elodie:
Allez, place lui.
Spontanément, le Guhilhem prend l'anneau et le passe sur son sexe, il passe une couille, lui l'autre et tire la peau de ses bourses. Elodie lui glisse l'anneau de serrage comme l'alliance lors du mariage, place le "casque". Complaisamment, Guhilhem maintient le tout pendant que je verrouille le cadenas.
Je reprend avec Elodie ou on en était: de longs préliminaires qui nous mène à une nuit de folie ou je l'ai dépucelé vigoureusement pendant qu'elle m'embrassait et s'offrait d'une façon étonnement active pour une jeune vierge.
Lorsque j'ai jouis plusieurs fois en elle, j'ordonne à Guhilhem de venir la lécher, alors que je continue à embrasser Elodie et à la câliner.
Après une quinzaine de jours ou je fais l'amour (ou baise selon l'état d'esprit) avec Elodie (parfois en présence de Guhilhem parfois seuls, parfois dans un lit, parfois ailleurs: la mousse de la forêt a de nombreuses fois accueilli nos ébats, de même que diverses pièces et lieux de la location: piscine, jardin, hangar, cuisine, salon, salle de bain etc etc)
je dois rentrer.
Elodie me supplie de l'emmener avec elle. Guhilhem nous regarde, mais tête basse.
"Alors qu'est ce qu'il dit le futur?"
Pouvez vous emmener Elodie avec vous maître?
Je décide qu'Elodie laisse son tel ici: si elle doit joindre Guhilhem ou sa famille se sera depuis mon telephone.
Nous allons ensemble à la gare: elle se comporte avec moi comme si j'étais son légitime: de fait, c'est moi qui l'ai prise, c'est avec moi qu'elle vient...

Cela fait 2 mois et demi (soit 10 semaines) qu'Élodie vit avec moi. Pendant le premier mois, les seuls contacts autorisés étaient un SMS par semaine à sa mère pour lui donnez des nouvelles succinctes, puis pendant 3 semaines un appel par semaine à ses parents (en ma présence, et l'appel ne devait pas durer plus de 5 minutes) je m'amusais à la troubler par mes caresses et mes baisers lors des appels. Mais le plus important c'est le chemin pour en faire une salope.
1 fois par semaine je l'emmenais dans des lieux dédier à l'exhibe et au dogging, permettant parfois à certains hommes de la peloter, de lui caresser les fesses. Un vendredi soir, je l'ai emmener en boite. En arrivant, elle me dit: " il y a beaucoup de noirs" "Bien sur, on est dans une boite afro-antillaise". Elle se blottit contre moi, peu habituée aux blacks. Nous nous installons à une table. Il ne faut pas longtemps pour qu'un jeune black (Sénégalais) s'approche de nous: "Hey, Monsieur, elle est trop jolie ta copine avec sa petite robe" (en effet, elle porte une robe bien moulante, sans bretelle, sans aucun dessous, très courte: s'arrêtant à la jointure entre les fesses et les cuisses). "Ce n'est pas ma copine, son copain est resté à la maison, elle, c'est mon élève, tiens regarde" Je caresse elodie: "à 4 pattes sur la table!" mais ma robe va..." j'ai dit à 4 pattes sur la table". Elodie s'exécute. "alors qu'est ce que tu penses d'elle?" "Wah... j'adore" "tu veux toucher?" il approche sa main, caresse les fesses nues, le sexe, les cuisses... il dégaine son mastard et commence à pénétrer ma soumise, qui gémit de plaisir, tout en laissant couler des larmes: elle me dit "c'est bon, j'ai si honte de jouir". je l'embrasse, caresse son visage...

Très chouette histoire ! J'espère qu tu as plein de suites à nous raconter...

annaloic a écrit : vivement la suite et des photos

Les photos t'en auras pas vu que c'est plutôt un fantasme qu'un récit

non, ce n'est pas un fantasme, c'est vraiment du récit. Et je protège l'anonymat de mon couple de soumis.

elle est toujours chez toi en ce moment?

oui. Elle retourne au pays pour Noël. je l'ai initiée à la pluralité black. Elle a adoré!!! (même si elle a du mal à assumer après)

Tu peux nous raconter la suite de son éducation ! C'est très addictif de lire tes récits.