Forum de candaulisme pour les cocus libertins et couples échangistes

bonjour je voudrait vous comter une petite aventure qui viens de nous arriver (un peut romancé)

Cela c'est passé dans un grand parc d'attraction en France le 17 et 18 août de cette année.
C’était le soir dans un restau qui ce nome la halle (certain connaisse) nous étoins sur des tables communes de 10 convives qui ne ce connaissent pas.
Voila qu'un monsieur accompagné de 2 gosses vient s'installer à cotée de mon épouse Josie, présentation rapide "bonsoir" "oui bonsoir" mais pas plus. Le spectacle commence, attire toutes nos attentions.
Je me lève pour remplir les cruches d'eau et de vin, donc je m'éloigne de notre table laissant provisoirement ma femme seule. Éloigné donc! Je vois ce Monsieur parler à ma femme, étant de nature candauliste, cela me plait, j'imagine qu'il profite de la situation pour brancher ma femme (l’avenir me donnera raison) volontairement je traîne les pieds pour retourner a notre table, au bout d'un moment faut bien revenir, le monsieur me voyant revenir, nos regard ce croisent, interrompe sa conversation d'avec mon épouse......

De retour à la table, je pose la carafe d’eau tout en regardant cet homme, je vois que son verre est vide, je lui dit « un peut de rosé » « oui merci », je remplis son verre et celui de mon épouse, pose la carafe.
Je regarde ma femme :
-ça va chérie ?
-oui, oui
Puis m’adressant à l’homme
-et vous, ça vas ?
Pas gêné, - très bien merci, le spectacle est beau.
- vous parlez des comédiens ou d’autre ?
Il me sourit, je vois ma femme un peut rouge, ma vision est attiré vers les jambes de mon épouse et là je voila une main de cet homme posé sur une cuisse de ma femme, bon elle était en Pantalon.
Pas troublé pour ma part et plutôt éxité, je lui dis
- je suis le mari, vous êtes ?
- Eduardo,
Je lui tant la main, il retire la sienne de la cuise de ma femme et me serre la paluche
-enchanté,
-enchanté
J’ai envi de m’amuser.
- ce sont vos enfant, lui demand’ai’je
- oui et il me les pressente « ma fille, mon fils » je les ait pour les vacances
- divorcé ?
- oui !
On papote lui et moi sur tous sur rien, il repose sa main sagement sur la cuisse de mon épouse.

Suite ?,,,,

Très sage pour le moment : ni photo ni inconvenance lol... continue stp c'est bien écrit en +

Ma femme est très gênée, elle ne sait pas quoi faire, réagir devant tous ce monde elle n’ose pas, lui voyant aucune réaction de ma part, remonte sa main entre les cuisses de mon épouse, elle resserre celles-ci par réflexe et au lieu d’expulser la main de l’homme elle l’emprisonne, je remarque un petit signe son visage à lui.
- un truc qui ne va pas ? demand’ai’je.
- Si sa va, merci.
- Vous avez faim sans doute, ils sont long pour servir. Je souris.
Il à compris mon allusion
- je suis affamé, y a longtemps que je n’ai pas consommé, surtout que le plat a l’air de premier choix
La gêne ressentie par Josie s’accentue en réponse à nos illusions celles du chasseur, celle mari qui, elle le sait, n’hésitera pas à l’offrir à cet étranger pour son plaisir égoïste.
Alor elle tente de reprendre la main dans ce jeux qui n’était pas d’actualité, elle sent l’excitation monter, elle la refuse, ils ne sont pas venus pour une partie de sexe, elle se lève, ce qui expulse la main quelle n’avait pas invitée.
-je vais me refaire une beauté.
La voilà prendre la direction des toilettes.
Eduard me jette un rapide coup d’œil, il ne va pas oser la suivre,,,,,,,,,,,,,,

L’homme va pour ce lever, je sais ce qu’il veut. Il veut ma femme, faut que je trouve de quoi le garder attabler.
- Eduard ? ils sont sages vos enfants. Je vois le trouble l’envahir.
- Ah oui, oui.
Je l’ai touché.
- Vous les avez oubliés, ce n’est pas bien.
- Mais non, je suis pris par le spectacle
- Je vois ça. ouai, trêve de plaisanterie, je ne suis pas con,
- Hein, de quoi ?,,
Je pris l’initiative de rentrer dans le sujet sans détour et hypocrisie.
- Tu lorgnes ma femme, j’ai vu ta main balader sous la table.
- Mais non, que me dites-vous là ?
- Ecoute mec, tu à tellement faim que tu en oubli tes gosses.
Il devient rouge.
- Désolé
- Elle te plait ? soit discret pour eux. Que tu veuille baiser ma Josie, sa me gêne pas, je peux même te donner un coup de main.
- Hein, c’est quoi ce truc de ouf ?
- Elle te plait oui ou non ? tu veux passer un bout de temps avec elle ? ne soit pas con.
- Oui, mais toi ? ,,,
Je l’interromps.
- T’occupe, tu es en rut, tu en bave tellement que tu en oubli l’essentiel, je vais te donner un coup de pouce, ok ?
Lui, encore plus ahurit
- Oui
- déjà donne-moi ton portable,
L’homme toujours sous le choc, m’obéit, sort son portefeuille en saisit une carte de visite, me la tend tous en récitant son n° de tel.
- 06 00 00 00 00 ,,,,,
- Ce soir tu ne l’aura pas, elle est pour moi c’est notre soirée, tu continu ton jeu de main et de séduction, fait toi désirer, arrête d’être bête, ok. Ce sera juste cela pour toi ce soir, excite moi ma Josie ce soir et je te promets que tu l’aura demain pour toi seul.
Voyant Josie revenir, je me lève et vais à sa rencontre, je m’approche d’elle, je lui donne un bref baisé sur la bouche.
- Tu à une touche,,,,
Je n’attends pas sa réponse, je continu ma route, direction les latrines pour rester dans l’ambiance de la soirée.

Au toilette, je n’arrive pas à vider ma vessie tellement je suis excité de savoir que là, ici un inconnu est entreint de draguer ma femme, de la charmer, cet inconnu à qui j’ai promis ma femme, de la glisser dans son lit. J’ai envi de me branler.

Je reviens à notre table, je vois ma femme parler à son voisin, les visages sont proches, il lui glisse une main dans le dos, va et vient, l’autre est dessous la table.
Tout le reste de la soirée je n’existe plus, pourquoi ce géneraient’ils ?
Elle me tourne le dos, me laissant voir cette main qui le caresse. Un moment lui, donne un baisé furtif dans le coup, elles ses mains sont aussi sous la table.
Le spectacle n’est plus dans la salle mais bien devant moi,
Je m’occupe des gosses, je détourne leur attention, j’ai un peut honte de leur père,
Appriori cela ne les troubles pas plus, j’en déduis qu’ils ont l’habitude de ce genre de comportement de la part de leur père.
Toute chose ayant un final, ce qui fut le cas pour notre repas spectacle.
Chacun ce quitte, lui avec ses enfants, Josie et moi d’une notre.
Dans la voiture, il est tard, minuit, la journée a été dure pour nos jambes, la chaleur, les attentes pour accéder aux diverses attractions, on est crevés, sur le chemin qui nous mène à l’hôtel c’est le silence. Arrivé à l’hôtel, c’est douche, et dodo.

A peine sous la couchette, je dit à ma femme, ‘j’ai le n° de portable de ton don juan’’



La, ce que j’entend me coupe tout.
- celui du gros con de ce soir ?
- heu,,, oui, pourquoi gros con ?
- pourquoi ? Ce n’est qu’un grossier personnage, il ne t’a méme pas calculé, il a ignoré ses gosses, il n’avait qu’une idée, ce vider les couilles, tu n’a rien vu ou quoi ?
- oui je suis pas aveugle, j’ai crut bien faire, j’ai pensé que tu aimerai le revoir, il ne te plait pas ? Il est mignon non ?
- c’n’est pas le sujet, tu ne croyais pas que j’allais me faire sauter par lui ?
- non, du moins pas ce soir .
J’aissé de calmer le jeu.
- Ce soir s’est pour nous deux.
Je me raproche de ma femme, lui donne un baisé, passe ma main entre ses jambes, elle est trempée, tellement que j’introduis facilement 3 doigts,
- T’es bien humide en bas, c’est lui qui t’a mis dans cet état ?
Pour toute réponse elle me donne un long baisé.
- Ferme-là et fait moi l’amour.

Au petit matin, LOL, 9H30, petit- déjeuné, les yeux tirés, je relance ma femme sur la soirée au restaurant et surtout sur Eduard.
- Et bien ma chérie tu t’es bien fait draguer par cet homme hier soir.
- Boff si ça te fait plaisir, fantasme toujours.
- Ah bon, tu étais bien excitée hier soir.
- Tu en as profité, non ?
- A ça oui, je me suis régalé, pas toi ?
- Oui, j’ai bien aimée,,,,,,.
- Surtout, te connaissant tu as dut bien fantasmer sur lui pendant je te mettais un bon coup,
- Cochon, qui te dit que j’ai pensée à cet ergumaine pendant que l’on faisait l’amour, tu me prends pour qui ?
- Tu ne veux pas reconnaitre qu’il te plait, que tu aurais préférais que ce soit lui hier soir dans ton lit ;
- Mais t’es qu’un Salo,
- Boff pense ce que tu veux, sache que j’ai son portable, si tu en a envie je l’Apelle, je te monte le coup, une petite sieste améliorée cet AM, cela ne te tente pas ?
Je voulais à tout prit quelle baise avec cet homme, allez comprendre un cando, moi j’y ai renoncé.
Nous étions venu en WE amoureux, et voilà qu’il suffit qu’un individu lorgne sur ma femme et mon naturel de cocu consentant et contant reprend possession de moi.
De retour en chambre, on ce prépare pour faire un petit tour au parc.
Là Josie me dit.
- Et comment il ferait pour ce libérer cet A M ?
- Bè ( on est de marseille) je l’apelle
- Soit pas con, ces gosses il en fait quoi ?
Là j’ai l’air con,
- Je sais pas !
Là l’idée de diablesse ;
- Tu pourais les garder !!! les emmener aux parc
Je me tranforme en venus de MILO, je l’avais bien chercher.
- T’es culottée ma fille, et puis quoi aussi ?
- Tu me cherche depui hier soir, tu manigance avec cet inconu, tu m’offre à lui, tous cela dans mon dos, et bien là tu assume, tu veus étre cocu, tu te démerde avec les gosses, ou alors tu te tais et tu me gonfle plus avec cet Eduard.
Avantage ma femme, je l’avais un peut cherché.
Deviné la suite ?

oui, mary cooking, llol

Me voilà en devenir Nounou
Avec le recul, je pense que ma femme ne me croyait pas. Elle pensait ‘‘et oui sa peut penser une femme ‘’ que je bleuffé, que cette histoire de n° de tel obtenu de cet étranger, que je n’avais pas osé réclamer sont tel, et ainsi dévoiler mon statut de cocu à un inconnu. A bien y regarder c’est bizarre un cando, surtout aux yeux des autres les gens bien (j b).
Donc me voilà composant le code secret de mon fantasme.
Une, deux, trois, etc,,,
« Salut suis pas dispos, suis occupé avec ta meuf, je te la libère après utilisation, Besse la tête sous les portes »
Oups s’est quoi ce type ? Pensai ’je.
- Heu,,,, oui bonjour, c’est lloulou le gars d’hier soir, sait plus quoi dire,,,tu me rappelle,,,,clic !!
Je dois avoir l’air un peu perdu, cette annonce ma désarsoné.
Ma femme commence à douter de moi et de cette histoire de n°.
-mon chéri,
-oui !
-Tu me prends pour qui, MARIE THER, la bécasse.
-bè non, je te le jure, c’est son annonce,, bon attend,
Je recompose le n°, lui tend le portable pour quelle écoute cette annonce de martien, ma femme sent saisi,,
-« oui allo, qui parle ?
Là je ne vous dis pas la tronche de ma femme.
- Oui, allo !!! c’est bien vous,
- Cela dépend qui vous demandez, c’est pour quoi ?
- C’est vous le gars d’hier soir au restau,
- Je pense oui, si vous parlez de EDUARD, c’est moi, toi tu es la gonzesse de l’autre, le mec qui veut être cocu ?
- Oui, c’est cela oui,
- Ouai il est strange ton mari, il veut que je te saute cet AM
- Oui, c’est bien lui, il me les casses depuis hier soir la dessus.
- Moi je veux bien volontiers lui rendre ce service, tes pas mal conserver comme meuf, mais ce n’est pas possible !!!!

‘’Ce n’est pas possible ‘’
- Comment ça s’est pas possible ? demande ma femme. Je vois sa déception sur son visage et dans le ton de sa voie.
- J’ai mes gosses avec moi, je n’ai pas envie de les décevoir, ils se régalent d’avance de voir les spectacles et ce n’était pas prévu.
- Si ce n’est que cela, mon mari vat te les garder, il va ce faire un plaisir de les emmener voir le spectacle et sa l’occupera et on l’aura pas dans les pattes.
- T’a pas froid aux yeux toi ma salope, t’es en manque toi non ?
- Non, pourquoi tu dis ça, t’a pas envi ?
- Toujours ma pute, quand s’est si bien proposé, tu vas voir ce que tu vas prendre, ta intérrée à être en forme, tu vas avoir des teufs, de la couille à vider.
- Je l’espère, et qu’il ne s’agisse pas que des mots.
Cette conversation, choquante au premier abord, annonce de bien bel.
Nous nous m’irent d’accord sur la suite, EDUARD vient nous rejoindre à notre hôtel avec ces gosses que je récupère, pour passer l’AM au parc avec, tandis que lui et ma femme passeront l’Am ensemble.

si tu pouvais écrire français, ce serait super

am.ateur a écrit :si tu pouvais écrire français, ce serait super

on va pas comencer!!! avec çà! ok
ici c'est pas chez Pivot, si mon écriture ne plait pas,,,,
no comment!

am.ateur a écrit :si tu pouvais écrire français, ce serait super

Cher am.ateur, les règles de la grammaire française nous indiquent que pour faire une remarque de ce genre, la syntaxe de ta phrase aurait du être la suivante: "Si tu pouvais écrire en français, ce serait super."
De rien...

Et continue à nous conter cette belle aventure lloulou, je te lis avec grand plaisir.

merci JEFF.
un peut de patience, la suite,,,,,arive

mmmm le pieds!!! jaimrais ke ma fam se laisse tenté oci!!