Forum de candaulisme pour les cocus libertins et couples échangistes

Les récits de certains m'ont fait remarquer que lire l'évolution de la relation vers cette expérience hors norme est quelque chose de très prenant.
Je vais donc essayer de raconter, petit à petit, ce qui a pu m'arriver. J’essaierai d'être le plus honnête possible, mais il y a peut être des choses que je garderai plus discrète, que j'expliquerai plus tard.

J'ai rencontré madame "sur le tard", on avait chacun eu une (ou l'autre) relation sérieuse, qui avait capoté.
J'ai tjs eu ce fantasme très étonnant, probablement comme beaucoup d'entre vous, mais jamais partagé à mes partenaires, ni à qui ce soit, d'imaginer ma partenaire sexuelle dans des situations extra-conjugales. et c'était toujours le "truc" cérébral pour atteindre le nirvana, je me gardais bien de partager ces pensées, les trouvant moi même plutôt étonnantes, et inracontables. Mes partenaires ont d'ailleurs souvent été de caractère plutôt timide/sage.
L'actuelle, malgré sa timidité, m'a qd même étonné (après quelques mois/années) par son côté coquine, cochone. C'était pas foufou, mais il n'y avait pas de réel tabou de son côté dans nos "simples" pratiques à 2. Déjà un peu bon point, quand on a autour de soin un ami qui galère avec une frigide, par exemple, ou un autre qui refuse l'éjaculation bucale. Bref, ma timide ne faisait pas de "grimace", et j'aimais ça.

Après quelques années, ce fantasme persistant, j'ai passé l'étape suivante, à savoir des partages ici des photos que je commençais à faire. Cette période a marqué un virage auquel je ne m'attendais pas.

Une photo de l'époque, pour vous mettre l'eau à la bouche, et savoir si la suite peut vous intéresser.

Recaro611 a écrit : Les récits de certains m'ont fait remarquer que lire l'évolution de la relation vers cette expérience hors norme est quelque chose de très prenant.
Je vais donc essayer de raconter, petit à petit, ce qui a pu m'arriver. J’essaierai d'être le plus honnête possible, mais il y a peut être des choses que je garderai plus discrète, que j'expliquerai plus tard.

J'ai rencontré madame "sur le tard", on avait chacun eu une (ou l'autre) relation sérieuse, qui avait capoté.
J'ai tjs eu ce fantasme très étonnant, probablement comme beaucoup d'entre vous, mais jamais partagé à mes partenaires, ni à qui ce soit, d'imaginer ma partenaire sexuelle dans des situations extra-conjugales. et c'était toujours le "truc" cérébral pour atteindre le nirvana, je me gardais bien de partager ces pensées, les trouvant moi même plutôt étonnantes, et inracontables. Mes partenaires ont d'ailleurs souvent été de caractère plutôt timide/sage.
L'actuelle, malgré sa timidité, m'a qd même étonné (après quelques mois/années) par son côté coquine, cochone. C'était pas foufou, mais il n'y avait pas de réel tabou de son côté dans nos "simples" pratiques à 2. Déjà un peu bon point, quand on a autour de soin un ami qui galère avec une frigide, par exemple, ou un autre qui refuse l'éjaculation bucale. Bref, ma timide ne faisait pas de "grimace", et j'aimais ça.

Après quelques années, ce fantasme persistant, j'ai passé l'étape suivante, à savoir des partages ici des photos que je commençais à faire, à son insu. Cette période a marqué un virage auquel je ne m'attendais pas.

Une photo de l'époque, pour vous mettre l'eau à la bouche, et savoir si la suite peut vous intéresser.

elle a un bon Cul ta chérie

Par contre, la photo a vite disparu...

Oui plus de photos dommage. Maintenant on attend la suite du récit.

Voici quelques photos supplémentaires. A cette période, malgré sa timidité et une pudeur très marquée, j'ai su me montrer convaincant et elle a en effet commencé à se plier à mes envies de la photographier. A ce moment là, je bottais encore en touche quand elle me demandait ce que je faisais de ces photos. "Je les regarde" sur un ton pour clore le débat. En réalité, il m'arrivait je pense déjà, de les partager avec l'un ou l'autre complice (qui me rendaient la pareille). Voici qques photos soft rapidement partagée, n'hésitez pas à commenter, ici ou en privé.

Jolie femme. Une belle découverte , merci de ce partage.

Recaro611 a écrit : Voici quelques photos supplémentaires. A cette période, malgré sa timidité et une pudeur très marquée, j'ai su me montrer convaincant et elle a en effet commencé à se plier à mes envies de la photographier. A ce moment là, je bottais encore en touche quand elle me demandait ce que je faisais de ces photos. "Je les regarde" sur un ton pour clore le débat. En réalité, il m'arrivait je pense déjà, de les partager avec l'un ou l'autre complice (qui me rendaient la pareille). Voici qques photos soft rapidement partagée, n'hésitez pas à commenter, ici ou en privé.

superbe epouse
tres beau cul

Je me vois à travers tes récit
Impatient de lire la suite…

Belles rondeurs, sublime cul rond et chaud à tripoter et plus !

Elle se montrait de plus en plus coquine. Je me faisais donc plaisir d'imaginer des coquineries qui sortaient toujours un peu plus de l'ordinaire. Des accessoires, pour l'amener finalement un peu vers la domination (soft). Yeux bandés (ça l'aide à se libérer), mains et pieds attachés.. Avec le temps, je prends plaisir à faire un peu de shopping en ligne et lui offrir qques petits jouets pour alterner avec ma queue. J'aime lui metttre un gode pendant qu'elle me suce.

Vient ensuite le fameux déclic, d'un concours de circonstances, et qui a été un signal de départ pour moi. En week-end d'escapade dans un petit logement en location dans un petit "village de vacances", nous sommes occupés à baiser, quand soudainement on entends un bruit au rez de chaussée suffisamment assez fort que pour nous interrompre. Je lui dis donc que je vais voir ce que c'est, si j'ai bien fermé la porte, et là, elle me dit cette phrase "et qu'est ce que je fais moi maintenant?". Il faut savoir que je ne l'ai jamais trouvée branchée cul niveau discussion. Pas de sexto, pas de dialogue particulier sur le sexe, pas de partage sur d'éventuelles attouchements que toutes les femmes doivent faire. Ce n'est donc pas le genre de phrase auquel je m'attendais. Surpris, je rentre dans son jeu gentiment, et j'ai dans un premier temps voulu la provoquer un peu : "ben tu t'occupes toute seule en m'attendant". Sa réponse: "je ne sais pas faire ça" (pudique, j'vous dis). Et instinctivement, j'ai sorti cette phrase, qui m'a peut être marqué plus moi même qu'elle: "Tu veux que je t'envoye qqu'un pour s'occuper de toi en attendant ?" lui dis je tout amusé/excité pr avoir osé lancer ça du tac au tac, sans retenue. Et à mon grand étonnement, sa réponse ne bottait pas en touche "ah bon, qui ça?". Cette réponse à résonné en moi comme une brèche, une ouverture, un aveu de fantasme.
Cette brève pause passée, nous avons réattaqué les hostilités, et j'en ai profité pour pendant l'action, relancer brièvement le sujet, mais elle était revenue dans la retenue "ben je sais pas". A ce moment, je n'insistais plus trop, ça m'excitait de toute façon bien trop que pour pouvoir prolonger le plaisir.
Ayant été par le passé complice d'un couple adepte de triolisme, il n'en fallait pas plus pour me lancer dans l'idée que partager ma femme n'était en fait pas inaccessible. Comme je le disais, ça a toujours été source d'excitation (inavouée) pour moi pendant l'action. Imaginer mes partenaires baisées sauvagement, les imaginer chiennes, usées, abusées, par des grosses bites, toujours dans des positions dominées donc.

A la fin du week end, je saisissais l'opportunité du trajet retour pour lancer la discussion la proposition, d'une manière totalement naturelle, avec pour stratégie de banaliser cette expérience. J'étais très stratégique dans mon approche. Faisant semblant d'être sûr de moi, parlant de ça comme si l'on organisait nos prochaines vacances. De manière totalement décomplexée, comme si c'était une étape normale. Sa réaction, intimidée mais curieuse est flagrante (elle sourit/rougit comme une ado qd des propositions indécentes l'émoustillent malgré elle, malgré sa pudeur). Avec le temps, ça deviendra un jeu, quand je fais une proposition indécente, sa bouche dis non mais son sourire nerveux, ses rougeurs parlent pour elle. Son visage la trahit, elle n'est pas insensible à la proposition mais son discours tourne autour de "ça ne se fait pas". Je ne me remémore plus des arguments exacts, mais j'avance directement des propositions, lui laissant un choix vis à vis de 2 personnes, que je sais être ouverte au libertinage. Tactiquement bien joué (avec le recul), ma proposition n'est finalement plus sur "oui ou non", mais sur lequel, et ça permet à la discussion de continuer, sans qu'elle prenne position, sans qu'elle s'engage. A ce moment là, un autre argument sort, c'est qu'ils sont en couple. Signal positif, le problème ce n'est donc pas elle, mais eux, la bien séance, l'exclusivité sexuelle qu'ils devraient s'imposer. Je suis un cérébral, et consciement ou inconsciemment, je sens bien que je ne suis pas lourd, mais que sa curiosité est un feu vert pour continuer à creuser. Elle finit par donner son choix ("si ça devait se faire"), mais toujours sans s'engager à le faire... Dans ma tête, le fait qu'elle avoue timidement que si il fallait choisir, ce serait G. me fait comprendre que physiquement, il est attirant. Bingo, pour moi, ce n'est plus une brèche, c'est une voie royale. En précisant son nom, elle ne pouvait émettre ce choix qu'en s'imaginant le passage à l'acte. Je me mets à sa place, si on me proposait 2 physiques/personnes que je trouve repoussante, je l'exprime, naturellement. Son choix, que je demande d'expliquer ("il a son charme" ?) sonnait comme un aveu de faiblesse.

Dans les jours qui suivaient, de retour à la maison, sa libido était boostée comme jamais elle ne l'avait été auparavant. Le sujet revenait systématiquement dans le feu de l'action, avec des petites phrases pour la "challenger", lui faire imaginer. C'était d'une efficacité redoutable, et ce fantasme avait le don de l'exciter comme jamais (je vous laisse imaginer pour moi). On avait jamais eu un tel rythme de baise. Pour moi, la machine était lancée, ce n'était plus qu'une question d'organisation, une question de jours...

Toujours docile quand il s'agit de me laisser immortaliser ces formes.

Putain c'est ça qui doit être écrit en premier dans les guides pour transformer sa femme en pute.

Arriver à ce qu'évoquer le fait qu'un autre homme la prenne devienne objet de fantasme pendant l'acte est un premier objectif à attendre pour pouvoir espérer la faire basculer.

Hate de lire la suite de cette histoire de dévergondage de Mme si bien écrite !

... Ca avait donc été soudain, inattendu, découvrir que ce fantasme que j'ai toujours gardé pour moi pouvait l'exciter à sa manière aussi et autant. Je considérais donc ces signaux comme un aveu. Dans cette folle semaine de baise qui a suivi cette "blague", elle devait probablement aussi faire de beau rêves grâce à ces fantasmes qui germaient. Anecdotique pour certains mais marquant pour moi, après x années de baise à un rythme léger (une fois suffisait toujours), il est arrivé à ce moment là, de nous réveiller en pleine nuit et de rebaiser, à moitié endormi, tjs comme dopé par ces aventures imaginées.

La journée, on en discutait pas. Du moins, je n'en discutais pas avec elle. Fait plutôt drôle, c'est que lors de ce trajet retour ou j'ai exposé ma proposition sereinement plein d'assurance, je lui avais laissé un choix entre 2 complices présumés. Elle avait mentionné celui qui semblait être physiquement plaisant. Sauf que de mon côté, c'était pas mon choix préféré, question de feeling, question de maturité. Instinctivement, je lui ai mentionné que je "préférais" l'autre. La raison est simple, j'avais "tout simplement" été dans le rôle opposé, complice de leur couple, 3 ou 4 ans auparavant (juste avant de connaître ma miss, donc). Elle l'ignorait bien sûr (et l'ignore tjs). Je lui ai donc simplement expliqué que ça me semblait bcp plus faisable avec celui là, qu'il était ouvert d'esprit, qu'il(s) m'avai(en)t confié avoir été légèrement avec le monde du libertinage, et qu'il pouvait en tout les cas entendre ma proposition.

Et donc, si avec madame, je n'en discutais pas trop en dehors de la baise, j'ai rapidement partagé mon plan à ce complice. Étonné, il a tout de suite accueilli cette proposition avec enthousiasme. Niveau "formes", je lui précisais ou plutôt rappelais qu'il était probablement mieux loti à la maison, mais que justement, malgré la timidité qu'il connaissait de ma miss, elle l'étonnerait de ses talents et de l'absence de tabou. S'en suit un jeu de partage de photo par Snapchat, avoué à demi mot à ma miss. Elle fait mine de ne pas trop prêter attention, ou de ne pas y croire, mais si elle ne dit rien, c'est encore une fois qu'elle est réceptive aussi à cette forme d'exhib indirecte et qu'elle est d'accord.

Il ne faudra pas quelques semaines avant qu'elle comprenne que je souhaite passer à l'action. Et vient ce premier : "Bon alors on l'invite quand M.?" de ma part, toujours proposé "platement". Là la réaction est beaucoup plus brusque et moins optimiste, mais sonne toujours un peu faux à mes yeux. "Heuu non non pas tout de suite", comme pour "postposer à plus tard" ce dilemme, cas de conscience...

Voyant qu'elle n'embraye pas d'elle même, quelques jours plus tard, je relance avec une proposition concrète, dans le contexte d'habitudes que j'ai avec lui. "J'irai (...) comme d'habitude avec lui sauf qu'il repassera à la maison..". Ce sera donc le soir, "personne pour nous déranger". Lors de nos baises, voyant que ça peux aisément se préciser et qu'elle semble surtout avoir besoin d'être rassurée désormais un peu plus sérieusement et moins dans le challenge provocateur, je fais comme une répétition, tout en lui soumettant le scénario que j'ai imaginé pour l'aider à franchir ce cap: Attachée, yeux bandés, on entamera les hostilités dans la pénombre (pudeur/complexe), on caressera gentiment ton corps, et c'est toi qui décide de la suite...

Qques photos sur les lieux proposés pour le crime, dans cette période ou elle avait le feu en elle... La suite.. ce week end ? Désolé, je décris beaucoup, c'est long à lire peut être...

Madama a de bien jolis tétons qu'il doit être agréable d'agacer en jouant avec !

Merci pour ton récit. Non, ce n'est pas trop long, c'est parfait

Merci, je reposte qques photos.

Re,
merci beaucoup pour ce témoignage, visiblement madame semble apprivoiser ce fantasme doucement mais surement !!! j'aimerai tant que ma femme et moi en soit à ce stade

Au plaisir de lire la suite

Je continue mon réçit là ou j'en étais. Après avoir reconfirmé avec le complice qu'il était partant, je lui proposa donc un peu plus précisément comment j'imaginais ça au niveau organisationnel, voir si ça pouvait passer pour lui, en terme de dispo/alibi. Étonnement, il ne posait pas énormément de questions.Je comprendrai d'ailleurs plus tard qu'il semblait presque douter.
J'annonce donc à ma miss, de manière anodine, que mardi j'ai mon activité avec M. Elle fait le rapprochement. Et comprends que mon organisation/ma proposition est acceptée et faisable, et je laisse entendre qu'il repassera à la maison. Toujours la même rengaine, génée, botte en touche, mais je sens qu' à priori, elle est rassurée par mon scénario, mes mots lors de la "répétition" (à 2), par l'approche et elle n'envoye pas de signal négatif.

Vient alors le jour J, on part avec ce complice, je lui confirme mon déroulé de la soirée, il s'en étonne presque, comme si il n'y croyait pas spécialement depuis le début. Dans un flegme étonnant, il me confirme qu'il est partant. Plutôt surréaliste, mais j'apprécie finalement ce côté plutôt détaché. Je lui explique l'approche, la psychologie de l'histoire, le besoin de ne pas brusquer, d'être doux, d'y aller crescendo.
Dans le courant de la soirée, j'envoye envoye un petit sms de rappel à Miss "N'oublie pas de te préparer". Message vu mais pas de réponse, mais..
On rentre, 22h30, Mr s'installe au salon, et je vais "prendre la température" auprès de Miss, qui se trouve dans la salle de bain... Déjà bon signe, puisqu'à cette heure, en temps normal elle est couchée. En peignoir, je lui suggère d'aller mettre une petite tenue, que Mr est là. Je suis plutôt stréssé à ce moment là. Parce que tout est réuni pour passer à l'acte, et je me rends compte en balladant mes mains, qu'elle a fait la "toilette" complète. La coquine a pris la peine d'avoir son minou tout doux... Comme on dit à l'heure actuelle "Dis moi que tu vas te faire baiser sans me dire que tu vas te faire baiser". Quelques phrases à la rassurer, ou je lui répète qu'elle donnera le rythme et qu'un simple stop annulera tout, et je l'emmène dans la chambre pour l'aider à choisir sa tenue... Nous y sommes ! La tenue est secondaire, elle ne m'a pas marqué, elle ne la gardera pas longtemps de toute façon. Je file prévenir Mr qu'il pourra nous rejoindre dans la chambre dans 2 minutes, le temps que je détende miss qui sera donc couchée, yeux bandés pour l'occasion (mais pas attachée finalement) pour outrepasser sa timidité, pour l'aider à briser ce tabou.

Couchée dans le lit, j'entame donc des caresses quelques secondes, le temps pour lui de nous rejoindre sans un mot, le scénario se déroule à merveille, et je garde de ces premiers instants quelques images "fortes" gravées... Ses mains sur elle, elle qui tâtonne et caresse son torse, puis qui attrape son doigt et le porte à sa bouche... ! elle donne le ton et cette sensualité, ces gestes assumés permettront au reste de dérouler... Une première ou j'aurais eu cette excitation mais également un stress, une boule au ventre, le candaulisme, le triolisme, ça vous prends aux tripes. Le bandeau tombera bien vite, les barrières sont tombées et ce n'est plus nécessaire. Les fellations s'enchaînent, l'un puis l'autre, puis vient ce moment ou il se pose entre ses jambes. J'ai ce besoin de garder le contact physique avec elle, je ne parviens pas à l'abandonner à lui complètement. Viennent ces premiers gémissements de plaisirs prodigués par autrui.

On finira cette soirée sagement, sans extravagance. Après l'avoir racompagné, on prendra un bain à 2 pour "débriefer". Elle a apprécié, même si les performances n'étaient pas les meillleurs. Je lui dis que ce n'était qu'une première et qu'on aura l'occasion d'améliorer ça...

Bravo tout en douceur. Très excitant. Encore, et si tu peux plus de détails.

Par contre, je viens de lire ton récit, je n'ai pas eu la chance de voir Madame.

Ça me fait penser à mon évolution similaire

Meroto a écrit : Ça me fait penser à mon évolution similaire

C'est toi, chou ?

EleonoraNicolas a écrit : Putain c'est ça qui doit être écrit en premier dans les guides pour transformer sa femme en pute.

Arriver à ce qu'évoquer le fait qu'un autre homme la prenne devienne objet de fantasme pendant l'acte est un premier objectif à attendre pour pouvoir espérer la faire basculer.

C'est effectivement ce qui a marché pour moi : on l'a tellement fantasmé pendant nos ébats qu'on a fini par vouloir le faire en vrai et c'était parti ! La première fois au Moulin, club libertin, où j'ai eu le bonheur de la voir se faire prendre par un autre pour la première fois... Elle a ensuite continué à me cocufier, à ma demande...