Mon beau-père Omar 2

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.
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lailatvx007
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Mon beau-père Omar 2

Message par lailatvx007 »

La nuit avait commencé par une longue fellation tandis, qu’inconscient, mon beau-père Omar m’éjaculait dans la bouche.
Les joues en feu, je relevais la tête, tout en le fixant, les yeux dans le vague. Machinalement, je me passais la langue sur les lèvres, encore tout excité d’avoir aspiré entre mes lèvres sa semence. Selon ses dires, quand il prenait ses somnifères, il dormait d’une traite pendant au moins 8h. Et ça faisait moins d’une heure qu’il était allé dormir. Je décidais d’aller me rafraîchir, histoire de garder les idées claires. Mais en sortant du lit, j’ai bousculé la table de chevet et j’ai entendu quelque chose glisser.
Je me suis penché pour voir ce que c’était, ça avait l’air d’être un magazine. Je le ramassais.

Quelle ne fut pas ma surprise de voir qu’il s’agissait d’un magazine de bd cochonne ! Mais pas des histoires comme les autres, des histoires d’oncles qui se font sucer par leur jolie nièce, des cousins qui sodomisent leur cousine...D’un regard avide, je parcourais le magazine, sentant ma mouille inonder ma culotte.
Je trouvais cette découverte fascinante et je me lançais dans une fouille en règle de la chambre. Dans le meuble de la télé, je trouvais des k7 sans titre, des DVD pornos, une caméra reliée à la télé. Je l’allumai et m’assis sur le rebord du lit, la télécommande en main, pressé de voir ce qu’il y avait sur la k7.

Je vis mon beau-père régler la caméra et rejoindre ma mère sur leur lit. Il lui parlait avec des mots crus : « Fatima ma salope, t’aimes ça hein ? Dis-le que t’aimes ça ! Espèce de putain, t’es ma petite pute ! ». Et ma mère qui ondulait comme une chatte en chaleur « Oui mon chéri, oui, je suis ta pute ! ». Et lui « je vais te défoncer si fort que tu vas crier comme la chienne que tu es ! ». Et ma mère qui dit « Oui Omar, je suis ta chienne, défonce-moi ! ».

Ils semblaient tous les deux en transe. Ils jouissaient à fond en disant cela ! Il est évident que, dans des mots d’excitation quand on dit « putain, chienne », c’est une vue de l’esprit mais ce que je venais de regarder comme k7 me conforta dans l’idée que mon beau-père avait des pulsions... C’est alors que se forma dans ma tête un plan digne de Machiavel : faire en sorte qu’il se décide à passer à l’acte, en le chauffant à mort !

Mais avant, je le branlai un instant à la main jusqu’à ce qu’il ait une bonne vigueur pour placer une capote, je me relevai et m’assis sur lui, m’empalant moi-même sur sa queue rutilante. Une fois en place, je posai les mains sur son torse et commençai à aller et venir en gémissant comme une belle salope, assuré que personne n’entendrait la chienne que j’étais ! Toute cette soirée m’avait tellement excité que je ne mis pas longtemps à jouir ! Restant sur lui, et lui en moi, je repris mon souffle calmement.
En temps normal, quand le plaisir vient trop vite, j’en redemande mais là, je devais prendre mon temps. Demain serait un autre jour.
Mais pour commencer, je devais le mettre en situation équivoque. Je lui retirai la capote et plaçai sa propre main autour de sa verge, son magazine de cul ouvert près de lui et, dans son autre main, la télécommande de la télé allumée sur la bande et j’ai laissé la porte largement entrouverte.
Puis fatigué, j’allais me coucher.

Le lendemain, à peine les yeux ouverts, j’entendis du bruit dans la cuisine, je pris le temps de me rafraîchir et je descendis en pyjama.
-Tu es déjà réveillé Omar ?
-Euh...oui, oui...
Il avait l’air gêné
-Ça va ? T’as l’air tout fatigué ! Je pensais que tes cachets devaient te faire dormir, pourtant tu n’as pas l’air reposé.
-Et bien...

Il restait le nez plongé dans son bol de café.
-Karim, quand tu es allé te coucher, ma porte était ouverte ou fermée ?!
Je pris un air d’innocence.
-Pourquoi ?!
-Ben, comme ça.
-Hum, laisse-moi réfléchir...fermée ! Oui c’est ça, fermée !
-Ah !

Je n’aurais pu dire s’il était soulagé car il ne se souvenait pas de l’avoir fermée ou gêné qu’elle fut ouverte par quelqu’un...par moi.
-Et tu es venu cette nuit me voir ?!
-Pourquoi je serais venu ?
-Pour...rien mais je me demandais…
D’un ton très protecteur, je lui dis :
-Omar mon chéri, tu as l’air inquiet. Que s’est-il passé cette nuit pour que tu me poses autant de question ?
-...
-Omar, si tu es malade, je vais appeler maman, elle rentrera plus tôt !
-C’est juste que ce matin en me réveillant, j’étais...j’avais...ma porte de chambre était entrouverte, or je me souviens bien l’avoir fermée !
-Ah ! C’est que ça ! J’ai cru que tu étais malade !
-Tu dis ça comme si ça n’était rien !
-Bien sûr que ça n’est rien ! Ça doit être un effet secondaire de tes cachets ! J’ai un ami à la fac qui m’a raconté qu’une fois totalement inconscient, il avait joué le somnambule tout nu chez ses parents, ça aurait pu être pire !
-Non, je ne crois pas qu’il y ait ce type d’effet !
-Bah, c’est soit ça, soit c’est un fantôme ! Dis-je en riant. Et puis, ça pourrait être pire. Quand on n’a plus de contrôle sur sa conscience, on en a plus non plus sur ses inhibitions. Mais ce type de truc ne concerne que les personnes frustrées. Toi, tu n’es pas un frustré, hein ?
Je vins près de lui et me serrai contre lui :
-Allez, ce n’est pas grave mon chéri ! Concentrons-nous plutôt sur le programme du jour !

Je collais ma poitrine tout contre lui, il dut le sentir car il se tourna, mit son bol dans le lave-vaisselle et partit vers sa chambre en disant :
-On est en décembre Karim, couvre-toi un peu !
J’avais un petit sourire en coin, en m’approchant de sa porte de chambre, je l’entendais murmurer : « Mon dieu, mon dieu, mon dieu ! ».

Il dut prendre le téléphone car j’entendis après un silence :
« Bonjour ma chérie. Écoute, j’ai un problème, je ne sais pas quoi faire ! (Silence). Je te promets que c’est important ! (Silence, ma mère devait lui répondre). J’ai dû bouger pendant que je dormais. Je me suis réveillée la main autour de ma queue, la porte de ma chambre entrouverte ! (Silence). Non, non, Karim n’a rien vu ! Le pauvre enfant aurait pu être choqué ! (Silence). Oui, oui bien sûr, je sais que tu as raison, mais j’ai un peu peur que ça se renouvelle. (Silence). D’accord, je sais bien qu’il doit savoir ce que c’est mais le voir…ce n’est pas très…(Silence). Ah, tu as raison, je suis trop stressé, ça doit être ça, ça et parce que tu me manques mon amour ! (Silence). Très bien, moi aussi, je t’aime ! ».
L’idiot, s’il savait ! C’est lui qui serait choqué ! J’imaginais parfaitement bien ce que ma mère lui avait dit : « c’est naturel chéri, Karim est grand. Si un jour, il te surprend, il saura que ce n’est pas voulu et puis c’est naturel... ».

Mon plan commençait bien, il semblait à fleur de peau, suffisamment pour être excité.
Je l’entendis s’approcher de sa porte, et je courus vers le salon, puis je me mis de dos au couloir, et je me penchai bien en avant pour montrer mon cul rebondi, comme si je faisais des étirements. Lorsqu’il arriva, je l’entendis avoir un hoquet de surprise, il resta un instant silencieux puis dit d’une petite voix :
-Que...que fais-tu ?
-Oh, tu es là Omar ! Un peu d’étirement, ça fait toujours du bien non ?
-Euh…oui.

Je prenais des poses suggestives et gracieuses, mettant en avant mon cul en lançant des "ah", des "oh", des "han".
Je savais que j’avais capté son attention car aucun bruit ne venait de la cuisine. Il me matait, le cochon !
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