Les tribulations de Béatrice

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.
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Les tribulations de Béatrice

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Les tribulations de Béatrice : La soirée en boite Partie 1

Béatrice vient de fêter son cinquantième anniversaire, il y a tout juste une semaine. Cette femme d'un mètre soixante-huit, aux cheveux courts méchés blonds et châtains, passe encore pour jolie, malgré son ventre un peu trop rond et ses fesses un peu trop plates. Mais Béatrice est une femme qui sait se vêtir, pour masquer ses imperfections et mettre en valeur sa poitrine généreuse, qui a encore fière allure. De plus, bien souvent, ses grands yeux marrons allument le feu, dans le regard des hommes qu'elle croise, et ça, pour Béatrice, c'est un plaisir dont elle veut jouir le plus longtemps possible.
Évidement, Richard, son mari, n'apprécie pas bien que son épouse ait ce regard allumeur. Et il vit mal, les petits jeux de séductions de sa femme. A cinquante-trois ans, avec un peu d'embonpoint, il sait pertinemment qu'il n'a plus le physique d'un play-boy, mais il aime encore sortir avec sa femme, dans les night-clubs, se pavaner à ses côtés, le samedi après-midi en ville ou le dimanche, dans les ruelles chaudes de la ville.
La vie pourrait, presque, être idyllique, les revenus d'une secrétaire et d'un technicien qui, sans être faramineux, restent très corrects, un pavillon en périphérie de la ville, avec un intérieur coquet sans être excessif, de quoi partir en vacances, quelques amis pour les soirées d'hiver, bref, une vie somme toute confortable. Surtout que leurs deux enfants sont pratiquement élevés, l'aîné est déjà parti de la maison, et seul le cadet a encore sa chambre dans la maison, mais il ne l'occupe que rarement, étant étudiant dans une autre ville.
Mais ce que Richard déteste, c'est lorsque son épouse commence à abuser de l'apéritif. Ce qu'il hait, c'est lorsqu'elle devient agressive, allumeuse, provocante. Bien sur Béatrice met toujours ça sur le compte de l'alcool et va souvent jusqu'à s'excuser les lendemains, mais Richard ne peut refréner ses souvenirs, surtout que lui boit bien moins, et, de toute façon, supporte mieux l'alcool.
Depuis quelques années déjà, certaines soirées, au lieu d'être calmes et enjouées, se finissent plutôt mal. Est-ce un besoin impérieux de se rassurer sur sa féminité et son pouvoir de séduction qui pousse cette femme, au look plutôt bourgeois, à, littéralement, draguer en boîte sous les yeux de son mari ? Est-ce un fantasme particulier qui l'amène à séduire des Nord-Africains ou des noirs ? Est-ce la peur d'une forme de monotonie dans sa vie qui dirige Béatrice vers ce côté glauque qui est à l'opposé de ce qu'elle a choisi de vivre ?
Toujours est-il que Richard, blessé par les excès de son épouse, supporte de plus en plus mal les frasques de Béatrice. Lors de la dernière sortie, il a même fini par rentrer à pied, laissant sa femme se débrouiller pour gérer une situation périlleuse, qu'elle avait tout de même, créée.
Bien sur, le lendemain de cette soirée, fut aussi très animé. Béatrice éprouva de la honte pour sa conduite, surtout qu'elle n'avait plus aucun souvenir entre le moment, où son époux était parti, et le lendemain matin dans le lit. Bien évidement, elle avait demandé pardon et avait même promis que cela ne se reproduirait plus.
Or, ce samedi soir là, après un dîner en tête-à-tête dans un petit restaurant chinois, le couple décide d'aller faire un tour dans la vieille ville. Après avoir pris un cocktail dans un bar feutré, l'alcool semble commencer à exciter Béatrice, qui implore son mari de finir la soirée en boîte.
L'homme, après avoir fait promettre à son épouse de bien se tenir, fini par accepter, au terme d'une longue négociation.
La soirée commence doucement, encore assez peu de clients, et Béatrice profite de la piste vide pour danser sur les airs de sa jeunesse, qui reviennent à la mode en force. Richard s'ennuie quelque peu, mais de toute façon, la musique l'empêcherait de pouvoir discuter, donc il se contente de regarder sa femme se trémousser et il ne fait pas attention aux mouvements dans le club.
Quatre arabes viennent de rentrer et se sont installés à la table juste derrière le couple. L'un d'entre eux, visiblement attiré par la femme blonde, qui danse sur la piste, se place au bord de la piste et observe en souriant les déhanchements, qui font virevolter la jupe courte, montrant ainsi les longues jambes gaînées de nylon.
Béatrice s'aperçoit qu'elle a attiré l'attention de ce bel arabe et commence à en ajouter encore, par des gestes plus coulés et sensuels. Bientôt, elle lui adresse un grand sourire. L'homme vient alors danser à côté d'elle, en cherchant visiblement un contact plus charnel. Et, tout en lui posant doucement la main sur l'épaule, il lui dit d'une voix forte pour surmonter le volume de la musique !
- Bonjour vous... Vous dansez toujours aussi bien...
- On se connaît ?
- Je vous vois de temps en temps, ici, avec votre mari...
Les deux personnages continuent à danser sous les yeux de Richard, qui commence à ne pas apprécier la hardiesse de cet inconnu, surtout quand il voit l'homme prendre les hanches de son épouse, pour la faire se trémousser, de façon encore plus lascive, et que cette dernière se laisse faire.
Le serveur vient détourner l'attention de Richard et celui-ci commande deux whisky-coca. Puis, il reprend l'observation de sa femme et voit celle-ci venir vers leur table en tenant l'homme par la main !
- T'emmerdes pas à commander quelque chose, Ahmed nous offre un pot à sa table... La voix de la blonde n'est pas très claire, et le fait qu'elle soit obligée de crier pratiquement, pour se faire entendre, amplifie encore la déformation dû à l'alcool.
- Bonjour... Votre femme m'a parlé de vous.
- Bonjour... Tu penses, se dit Richard dans son for intérieur, toi mon coco, tu es plutôt en train d'essayer de te faire ma femme, oui ! Mais faisant contre mauvaise fortune bon cœur, il accepte l'invitation en descendant de sa chaise haute et en suivant l'homme.
La soirée avance doucement pour Richard qui voit sa femme boire les verres qui lui sont servis un peu trop vite, à son goût. Bien sûr, les quatre hommes sont très sympathiques avec lui, mais il les sent tout de même tous, très attirés par sa blonde épouse.
Béatrice a l'impression d'être au paradis. Certes, l'alcool amplifie cette sensation, mais les regards embrasés des hommes, leurs mouvements qui amènent leurs mains toujours plus près du corps désiré, leurs paroles flatteuses sont autant d'hommages qui font frissonner cette femme de cinquante ans. De plus, et bien qu'elle n'en est pas vraiment conscience, le fait qu'ils soient arabes d’origine, lui donne l'impression de vivre une sorte de conte des milles et une nuits, et lui échauffe le sang.
Les quatre hommes sont excités par cette femme, qui rit à chacune de leurs paroles, ils comprennent, très vite, qu'ils font partie des fantasmes de la belle. Chacun s'imagine avoir une opportunité avec cette femme, mais chacun sait aussi, qu'il va falloir éliminer le mari, pour aller plus loin. Néanmoins, aucun des quatre ne tient à déclencher les hostilités avec l'homme, de peur de voir la femme lui échapper.
Ahmed, celui qui a accosté la femme, en début de soirée, prends bientôt en main les opérations. Voyant que Béatrice se trémousse sur le haut tabouret, se met debout et vient prendre la blonde par la taille, en lui disant à l'oreille d'un ton sans appel :
- Viens, on va danser tous les deux…
Richard supporte de plus en plus mal cette situation. Entre les mains qu'il comprend baladeuses, des quatre mecs et l'attitude juvénile de sa femme qui se laisse draguer sous ses yeux, il commence à penser qu'elle n’est réellement qu’une vieille salope et il se rend compte que, si ce soir, elle était sortie seule, il y a longtemps qu'elle se serait laissé embrasser, par un des quatre jeunes hommes, dont le plus âgé, Ahmed, n'a pas plus de trente-cinq ans. Il suit, d'un regard assidu, l'évolution sur la piste de son épouse et de l'arabe.
Ahmed sort le grand jeu, pour étourdir cette blonde, qu'il sent chaude et prête à bien des choses ce soir. Profitant d’un rythme un tant soit peu plus rock, il entame quelques pas de danse lui permettant de laisser ses mains prendre contact, avec la majorité des parties du corps désiré. Et à chaque attouchement, il vérifie que la femme est bien réceptive à ses messages tactiles et sensuels.
Les mains qui frôlent son corps et semblent vouloir l'explorer toujours un peu plus loin, donnent des vagues de frissons qui parcourent la colonne vertébrale de Béatrice. Bientôt, elle sent une douce chaleur envahir le bas de son ventre, irradier ses reins. Elle commence à perdre pied et a de plus en plus de mal à gérer sa danse. Et à la fin du morceau, elle fait signe à son compagnon de jeu, qu'elle veut aller se reposer.
Ahmed, décidant de mettre à profit l'exaltation de la femme, qu'il a détecté, plaque sa main sur la fesse droite de sa cavalière et la laisse en place pendant le court trajet, de la piste à la table. Il sent la contraction des muscles à chaque pas, la fine dentelle de la culotte sous la robe légère, et comme cette femme ne fait aucun geste pour lui retirer la main, il comprend qu'il va falloir jouer serré, pour évincer le mari.
Béatrice s'assoit totalement troublée par la présence furtive de cette main à l'instant. Elle sait son sexe inondé et a l'impression que sa cyprine commence à envahir toute sa vulve. Elle boit une grande rasade de son verre qui ne désemplit pas. Elle sent alors la chaleur de la main gauche d'Ahmed qui vient de se poser très haut sur sa cuisse gauche, sous la table.
Le danseur est venu reprendre sa place, à droite de la blonde et à gauche de son mari. Dès son arrivée, il ne s'est assis que d'une fesse sur le grand tabouret, et a tout de suite placer sa main gauche sous la petite robe légère et sur la cuisse. Très discrètement, il commence à explorer la zone à la recherche de la chatte, qu'il aimerait mouillée.
La blonde fixe son mari, elle est encore plus troublée par la main de l'homme qui commence à s'aventurer de plus en plus près de son sexe, puis, comme prise d'une idée subite, elle annonce assez fort :
- Il faut que j'aille au petit coin...
- Si tu as besoin d'un coup de main, n'hésites pas à me demander, répond du tac au tac Ahmed suffisamment fort, pour que le mari puisse entendre.
La blonde se lève avec un grand sourire, qu'elle adresse au bel arabe, sans regarder un seul instant son époux, puis, se dirige vers les toilettes.
- Dis donc ! Tu veux un coup de main ? Richard s'adresse à l'homme sur un ton méchant d'où sa jalousie pointe.
- Oh, c'est pour rire, ta femme n'arrête pas de me parler de toi tu sais...
- Ouais... Mais cette salope danse pour allumer les mecs sur la piste.
- Oui... C'est vrai qu'elle allume un peu tout de même...
- Je trouve aussi !
- Tu sais, toutes les femmes sont des salopes finalement, quand on regarde bien, tu ne crois pas ?
- T'as peut-être raison... Ce soir, elle se conduit vraiment comme une allumeuse !
- Ouais... Et à ta place je ne me laisserais pas humilier devant tout le monde !
Cette fois, ça y est, Richard est remonté à bloc et prêt à en découdre avec sa bourgeoise, dès qu'elle reviendra.
Béatrice arrive aux toilettes et attend que la pièce se libère, en fait, elle n'a pas réellement envie d'uriner, mais ce soir par contre, elle a une grosse envie de laisser son côté femelle en chaleur s'exprimer. Elle est venue dans l'unique but de retirer sa culotte, en espérant bien que son ardent cavalier, recommencera ses caresses, dès qu'elle sera de retour.
La porte s'ouvre, une petite femme brune sort et laisse la porte ouverte, la blonde s'engouffre dans la pièce, retire prestement sa culotte et la jette dans la petite poubelle prévue pour les protections périodiques. Puis, électrisée par son audace, elle retourne d'un pas rapide à la table.
Richard rumine sa colère et se prépare à traiter son épouse de salope dès que cette dernière aura la moindre attitude équivoque envers les quatre hommes de la table.
Béatrice fixe effrontément Ahmed avant de reprendre sa place en s'arrangeant, pour que sa courte robe, cache le moins possible la chair de ses cuisses, dont elle est généralement assez fière, et en s'assurant, que le bel arabe apprécie, tout ce qu'elle fait pour lui.
L'homme qui a parfaitement reçu le message. Il attend quelques secondes, puis se tourne vers le mari pour capturer son attention en lui proposant un toast, il en profite pour glisser à nouveau sa main gauche sur le haut de la cuisse. Sentant que la belle écarte ses jambes pour mieux l'accueillir, il va directement au contact du sexe, pensant rencontrer les contreforts de la culotte. Pendant une fraction de secondes, il affiche sa surprise, puis, se maîtrisant parfaitement, il entreprend de dégager le clitoris, de son pouce.
Comme la blonde s’avachit de plus en plus sur la table, tenaillée qu'elle est par les ondes de plaisirs émanant de son bouton d'amour, le mari, toujours sous pression et cherchant à terminer la soirée au plus tôt, en profite pour dire d'une voix autoritaire :
- Dis ! Tu ne peux pas te tenir mieux que ça !
- Ça va ! Je fais ce que je veux !
- Tu cherches quoi exactement, là ? À passer pour une traînée ?
- Si t'es pas content, t'as qu'à rentrer connard... Et sur ces mots, Béatrice se lève maladroitement, pour retourner danser.
Ahmed qui comprend tout de suite le profit qu'il peut tirer de la situation, s'empresse de dire à l'homme, blessé par les mots humiliant de sa femme :
- Laisses... C'est le whisky qui parle là...
- Attends ! Tu ne crois tout de même pas, que je vais laisser cette salope, me parler de la sorte ?
- Je crois que tu es aussi énervé qu'elle, le mieux serait que tu ailles prendre un peu l'air... T'inquiètes pas, je veille personnellement sur ta femme, il ne lui arrivera rien.
- Elle me fait tellement chier ce soir que j'ai bien envie de lui donner une petite leçon et de rentrer sans elle.
- Si tu veux, je peux la ramener dans un petit quart d'heure, histoire qu'elle comprenne... Mais tu as raison, elle mérite une leçon cette salope !
- Bon ! Je vais pisser moi. Et Richard se lève. Il n'a pas fait trois pas qu'il se rend compte qu'il a tout de même trop bu ce soir, et le trajet jusqu'aux toilettes, se révèle bien périlleux.
Ahmed suit l'homme d'un regard amusé et inquiétant. Il se dit qu'il devient impératif que l'homme s'en aille, car il a une furieuse envie de se faire cette vieille salope, qui n'arrête pas de l'allumer. Dès que le mari est entré dans les toilettes, il se tourne vers la piste pour voir où en est cette chaude blonde, sans culotte.
Béatrice, tout en dansant joyeusement, se laisse approcher par un homme assez corpulent. Bien que l'homme ne lui plaise pas du tout, elle est très heureuse de voir son pouvoir de séduction opérer avec toujours autant de force. Et que le bonhomme est les mains baladeuses, lui aussi, l'enchante totalement.
Ahmed regarde le manège de l'homme, qui a visiblement, lui aussi, un bon coup dans les carreaux. Cependant, il ne veut pas non plus laisser échapper cette proie, il a d'autres projets en tête pour elle.
Richard a un mal fou à se tenir debout, devant la cuvette. Il perd l'équilibre une seconde et est obligé de lâcher sa verge pour tendre le bras et éviter d'aller dans le mur du fond, la tête la première. Ce faisant, un pan de chemise se place dans le jet d'urine, et il finit par mouiller son pantalon. Le temps qu'il réagisse, il a une grosse marque d'humidité, sur le haut de son pantalon.
Ahmed se lève et va rejoindre la blonde sur la piste. Dès qu'il arrive derrière elle, il passe ses bras musclés autour de sa taille et danse ainsi en indiquant bien à tout le monde, et au gros homme en particulier, que cette femelle lui appartient.
Béatrice se sent comme prisonnière, cela la trouble et l'excite encore d'avantage. Maintenant, elle se laisse complètement guider par ce bel homme dont elle a une irrésistible envie. Tout en se trémoussant, elle frotte ses fesses contre le sexe de l'homme, qui est plein de promesses.
Le mari rage contre lui-même dans les toilettes. Il s'en veut d'avoir vraiment trop bu, et ressent une honte indicible qui le dessaoule quelque peu. Il n'a plus qu'une envie, se sauver en courant. Il sort du cabinet, et, rasant les murs, se dirige droit vers la sortie où, justement, le videur ouvre la porte pour laisser sortir d'autres clients. Richard en profite pour balbutier un salut rapide et sort dans la rue.
Là, l'air frais le saisi et semble le dégriser encore un peu plus. Mais les effets de l'alcool, qui empêchent son cerveau de fonctionner normalement, sont toujours présents, et sont même plus pernicieux. Il se dit que sa salope de bonne femme n'aura qu'à se faire raccompagner par les mecs, à qui elle a tant fait les yeux doux. Et il se dirige vers la voiture.
Ahmed danse toujours de la façon la plus lascive possible, en tenant la blonde, mais il s'est tourné de telle façon qu'il peut voir le mari gênant, sortir des toilettes et partir comme un voleur. Ne sachant pas encore trop quoi penser de cette fuite, ni si elle est définitive ou juste temporelle, il décide d'avoir plus d'information et ramène la femme, toujours dans ses bras, à la table. Là, il commence à la questionner :
- Je viens de voir ton mari sortir, vous êtes garé où ?
- Oh ! Laisse-le, c'est un connard... Et Béatrice penche sa tête en tendant ses lèvres.
L'homme ne peut pas faire autrement que de l'embrasser. Il en profite pour explorer ce sexe offert, avec ses doigts gauches, mais très adroits, et presser le sein gauche à sa disposition de sa main droite, combinant pression et relâchement au rythme de son fougueux baiser. Mais, bien qu'il cherche à faire perdre la tête de cette femme en chaleur, il n'en oublie pas pour autant qu'il court des risques, si le mari revient maintenant, aussi, il cesse son baiser, pour revenir à son sujet de préoccupation, en déclarant :
- J'ai une énorme envie de toi ma jolie cochonne, mais j'aimerais être sur que ton mari est bien parti, tu es garée où s'il te plaît ?
- On s'est garé dans la rue, juste avant le club, tu sais devant le petit restaurant qui est là...
- Et tu as quoi comme voiture ma belle ?
- Une Clio blanche...
- Attends-moi là, je vais voir s’il est parti ou pas... Ahmed embrasse à nouveau fougueusement la femme, en lui malaxant durement le sein, puis se lève d'un bond, et se dirige vers la sortie.
Béatrice est maintenant sur un petit nuage. Cet homme la fait mouiller terriblement, elle se sent femelle jusqu'au bout des ongles, et elle a même apprécié lorsque l'homme lui a écrasé le sein de sa main puissante. Elle laisse son imagination vagabonder et se voit déjà dans une étreinte torride avec ce bel arabe.
Au bout de quelques minutes, Ahmed revient, il se place juste à côté de la blonde, la prend dans ses bras, pour la tourner vers lui, et lui annonce :
- Ton cocu de mari s'est barré, on va pouvoir être tranquille, et j'ai très envie de toi...
À nouveau, l'homme embrasse la blonde. Cette fois, il lui tient la nuque de sa main gauche alors que sa main droite va directement sous la robe. Là, il introduit son index et son majeur joins dans la vulve détrempée, et masse doucement le clitoris avec son pouce.
La femme se pâme. Entre l'excitation de ce baiser, les ondes de plaisirs que lui procure son clitoris et les caresses de ces doigts magiques qui fouillent son intimité, en dilatant son vagin, elle ne sait plus où elle se trouve, ne pense plus aux autres clients, et aux trois hommes attablés avec eux, et se laisse maintenant aller, comme si elle était seule, avec son nouvel amant.
Dans un souffle, arrêtant un instant son baiser, Ahmed dit à sa proie, d'un ton ne supportant aucune contradiction :
- On va chez moi... Puis, il se tourne vers ses amis et annonce, Bon ! On lève le camp…
Sans comprendre réellement ce qui se passe et en quelques minutes seulement, Béatrice se retrouve dans une voiture, assise à l'arrière entre Ahmed et Aziz. Son amant s'adresse au chauffeur en arabe et la voiture démarre. Dès qu'elle roule, Ahmed remonte la jupe de la blonde et dit, suffisamment fort, pour que tout le monde puisse entendre :
- J'adore les vieilles salopes comme toi, qui ne portent pas de culotte... Puis il l'embrasse à nouveau.
L'atmosphère étrange, l'alcool, l'excitation, tout concourt à mettre la femme dans un état second. Elle sent des mains caresser ses cuisses, son entrejambe, ses seins, mais cette langue qui fouille sa bouche lui donne tant de plaisir qu'elle se laisse faire, comme si elle n'était déjà plus, qu'un objet de désir.
Peu après, se calant contre la portière, l'homme s'arc-boute pour défaire sa braguette et glisser son pantalon sur ses genoux. Il exhibe sa grosse queue au regard fiévreux de la blonde, en jouant avec le membre dans sa main droite. De sa main gauche, il attrape la nuque de la femme, et la contraint à venir prendre en bouche le sexe déjà impressionnant, bien qu'il ne soit pas encore en pleine érection. Puis, il ordonne d'une voix dure :
- Suce-moi bien, ma petite chérie...
Sans mot dire, Béatrice s'empare, d'une bouche gourmande, de cette bite parfumée. Et, bien qu'elle fasse peu de fellation à son époux, elle se surprend à déguster cette queue, qui grossit dans sa bouche.
Aziz, qui a remarqué le manège de cette vieille salope, tout au long de la soirée, jette un regard complice à son ami, et comme ce dernier lui adresse un clin d’œil, il s'empare des fesses dénudées de la blonde et les écarte. Puis il se contorsionne sur la banquette pour venir lécher l'anus ainsi offert. Très vite, il force le sphincter avec sa langue, tirant, de ce fait, de longs râles étouffés de la blonde. Il s'aperçoit que le muscle n'offre que très peu de résistance, prouvant que cette vieille chienne a l'habitude de se faire sodomiser. Il le note mentalement et se promet d'en faire part à ses amis, tout à l'heure.
Béatrice est aux anges ! C'est la première fois, que quelqu'un la sodomise avec la langue, et elle trouve cela divin. Et puis, la brusquerie de cet homme, qui lui tient les fesses, n'est pas pour lui déplaire, elle découvre que ce manque de manière ou de savoir-vivre, dont n'use absolument pas son mari, est une chose des plus excitantes.
Bientôt la voiture ralentie, tourne à gauche et entre dans la cour d'un petit pavillon à la périphérie de la ville. Le conducteur stoppe le moteur et questionne :
- Voilà Ahmed, nous sommes arrivés chez toi, tu nous offres un pot pour finir la soirée ?
- Oui, oui, venez, on va jeter un sort à ma bouteille de whisky... Puis, il baisse son regard sur la blonde, qui le suce toujours et lui dit :
- Allez viens, on va prendre un pot et après, je te fais grimper aux rideaux, ma belle...
Toujours dans un état second, Béatrice se redresse et laisse son compagnon sortir de la voiture, puis, à son tour, elle sort en réajustant sa petite robe bleue.
L'homme attrape le bas de la robe de sa conquête et lui remonte, haut sur le ventre, dégageant ainsi sa chatte rasée. Avant que la pauvre femme ne puisse réagir, il lui ordonne :
- Reste comme ça, que mes potes puissent voir ta jolie moule lisse.
Puis, il lui prend la main et l'entraîne dans la maison, pendant que les trois autres hommes sortent de la voiture et suivent le couple.
Tout va trop vite pour la blonde, qui se laisse faire. Bien sûr, de marcher ainsi la chatte à l'air est encore une nouveauté très excitante, mais elle a un peu honte, également, d'être ainsi exposée, aux regards des autres mâles.
Les trois hommes observent, en détail, les fesses plates qui se dandinent devant eux.
Ahmed déverrouille la porte et fait pénétrer sa proie dans le salon. Là, attendant que ses amis arrivent, eux aussi, il la prend dans ses bras, se tourne de façon à être face au canapé, et l'embrasse à nouveau furieusement, tout en frottant sa bite gonflée de désir, mais toujours enfermée dans son écrin de toile, contre la chatte nue et lisse. Très vite et avec habileté, il fait glisser les bretelles de la robe, sur les frêles épaules.
Béatrice est terriblement excitée, elle sent son sexe mouillé abondamment, un léger frisson parcourt ses jambes, mais le fait que cet homme cherche à lui dénuder la poitrine, si vite et devant ses copains la gène, elle commence à protester doucement en dégageant sa bouche :
- Non... Attends...
- Chut... Répond l'homme tout en continuant à descendre les bretelles, sur les bras de la blonde, faisant ainsi apparaître les deux seins, qui tombent tout de même un peu, et dont les tétons pointent en direction opposée. Puis il plaque à nouveau sa bouche, sur celle de la femme, et reprend son baiser avec encore plus de fougue.
Les trois acolytes entrent dans le salon et vont s'installer sur le canapé sans perdre une miette du spectacle qui leur est offert.
Lorsqu'il voit que ses copains sont confortablement installés et qu'ils fixent leur attention sur le cul de la blonde, Ahmed, il dégage sa bouche et fait tourner la pauvre femme, sur elle-même, pour l'exhiber en pleine lumière, à ses amis, en annonçant :
- Voilà les vieilles salopes comme je les aime, pas de soutif, pas de slip, toujours prête à être prise, comme des chiennes qu'elles sont...
Est-ce l'alcool, le lieu, l'atmosphère ou l'excitation des mots crus, Béatrice ne pourrait le dire, toujours est-il, qu'elle est totalement fière d'être le sujet de tous les regards. Elle dévisage orgueilleusement, un à un, les visages de ces trois hommes, plus jeunes encore que son amant.
Ahmed se penche légèrement en avant, attrape la cuisse gauche de la blonde, la tire à lui en la remontant, en laissant la blonde sur une jambe, puis il ordonne encore :
- Écarte... Ensuite, tournant les yeux vers ses amis, il ajoute :
- Elle a une jolie chatte bien rasée, cette vieille truie non ? Il prononce quelques mots en arabe, puis fini par dire :
- Vous pouvez venir toucher, je vous la prête...
- Mais... Commence à se plaindre Béatrice très surprise de l'attitude bizarre de l'homme, avant qu'elle ne soit coupée dans son élan.
- Laisse-toi faire, on va te faire jouir comme une reine des milles et une nuits, ma salope.
Tout en maintenant toujours la jambe relevée, Ahmed embrasse à nouveau la blonde, en lui passant sa main libre dans les cheveux.
De longs frissons de volupté passent dans le dos de Béatrice, qui ferme les yeux et se laisse pénétrer la bouche, par cette langue énervée, qui fouille en elle. Ses seins tremblent légèrement et les tétons se dressent comme pour réclamer leur dose de caresses. Bien que sa position ne soit pas très confortable, elle se rend compte, qu'elle adore finalement être exhibée dans ces postures obscènes, et elle mouille, lui semble-t-il, comme jamais
auparavant. Bientôt, elle sent une goutte de cyprine qui s'échappe de son sexe détrempé et commence à couler le long de sa jambe droite.
Aziz, qui a déjà eu l'occasion de goûter au cul de la blonde, se décide à intervenir et se lève tranquillement. Il fait les trois pas qui le séparent du couple, puis s'agenouille et vient plaquer sa bouche sur la chatte offerte qui suinte. Très habilement, il titille le clitoris avec sa langue tout en passant son majeur droit, du sexe à l'anus.
De sentir ces deux langues, qui la fouillent intimement, provoque des étincelles dans le cerveau surchauffé de Béatrice. Elle perd le peu de conscience, qu'elle avait encore quelques secondes avant, et s'abandonne totalement. Elle commence à pousser de petits râles qui viennent mourir dans la bouche d’Ahmed, qui n'arrête pas son baiser pour autant.
Les deux autres copains qui restent sur le canapé se regardent, et, de concert, se lèvent à leur tour et viennent auprès du trio infernal. Ali commence par tâter d'une main le sein droit de la blonde, et de l'autre, il s'amuse à pincer sans ménagement le téton érigé. Moustapha, quant à lui, reste devant Ahmed, à contempler le spectacle qui lui est offert.
Ahmed, une idée derrière la tête, décide d'arrêter son baiser et s'adresse immédiatement ensuite à son ami Moustapha, en lui tendant la jambe gauche qu'il tient toujours :
- Tiens-moi ça s'il te plaît.
Le nouvel arrivant ne se fait pas prier et s'empare de la jambe, pour la maintenir comme précédemment. Ali profite, que la pauvre femme est la bouche libre, pour venir l'embrasser à son tour.
Si elle n'était pas si saoule, très certainement qu'elle réagirait, mais dans l'état d'excitation et d'alcoolémie, où elle se trouve actuellement, Béatrice, ne se formalise, ni d'être traitée comme un objet, ni qu'un autre homme à l'haleine chargée, vienne l'embrasser. Elle se laisse faire et pousse même un petit cri étouffé, lorsqu'elle sent deux doigts s'insinuer, dans son rectum.
Ahmed sort de la pièce, pendant qu’Aziz, qui vient de glisser son majeur et son index accolé, dans le cul de la femme, commence à les pousser le plus loin possible, à l'intérieur de l'ampoule rectale. Une fois que ses doigts sont totalement introduits, il commence à les écarter pour dilater l'anus. Pendant toute cette opération, il a continué à s'occuper frénétiquement du clitoris, qu'il a toujours en bouche.
Moustapha en profite pour venir, à son tour, malaxer le sein libre de la pauvre femme, en faisant des commentaires salaces en arabe.
Ahmed revient avec son caméscope, qu'il est en train de préparer, pour filmer les ébats de ses quatre invités. Choisissant de commencer par une petite présentation, il va se placer dans le coin de la pièce, qui lui permet d'être en face de la blonde, filme pendant quelques secondes la scène, puis demande, en arabe, à son ami Ali de cesser son baiser et de tourner vers la caméra, le visage de la femme. Tout en filmant, et regardant la femme, à travers le petit moniteur de son appareil, il commence à dire d'une voix forte :
- Alors vieille salope, t'aimes ça être dans les mains d'Arabes, non ?
Béatrice, la tête guidée par la main ferme de l'homme, qui vient de l'embrasser, a un regard perdu. Elle est toujours sous l'emprise de ses sens en émoi, et elle s'entend répondre, comme si sa voix venait de quelqu'un d'autre :
- Oui...
- On va te prendre comme la vieille chienne que tu es, tu le sais ça, hein ?
- Oui...
- Viens filmer son trou du cul bien ouvert là, annonce Aziz en arrêtant un instant de s'occuper du clitoris. Puis, il reprend sa succion.
- Comme ça, tu aimes bien te faire prendre le cul, ma salope ?
- Oui...
- Tu vas voir, on va tous y passer, dans ton cul, tu vas te régaler…
Puis, Ahmed se déplace pour aller se mettre accroupi, derrière la blonde et filmer l'anus, toujours occupé par les doigts d'Aziz.
Béatrice n'est plus qu'objet de désir et terrain de jeux, pour ces grands enfants vicieux. Sa chair est palpée, malaxée, ses seins sont triturés, pincés, étirés, sa chatte et son anus sont explorés, fouillés. Et pourtant, malgré le contraste entre le bien que peut lui faire cette langue habile et le mal de ces mains qui la triturent, elle est folle de bonheur. Autant les caresses apaisantes que les pincements douloureux, sont sources de plaisirs. Et ces mots, ces mots si crus, si durs, sans aucune poésie, sans ambages, ni douceur, eh bien ces mots, eux aussi, participent à cet état d'abandon total, dans lequel elle se laisse aller.
- Écarte-lui bien le trou du cul, que je filme ça en gros plan, Aziz, dit Ahmed en cadran au plus près.
Sans répondre, l'homme fait ce que son ami attend de lui, en écartant ses doigts autant qu'il lui est possible et en les faisant lentement ressortir, ouvrant ainsi le sphincter.
- Ah salope, t'as un de ces trou du cul ! C'est un véritable appel au peuple ça ! Tu dois en avoir pris des bites, de ce côté, là ! Et comme Béatrice ne répond pas, Ahmed donne une tape sur la fesse et demande encore :
- Alors salope ! Tu réponds ? Combien de fois t'es tu faites enculer ?
- Je ne sais pas, fini par balbutier la blonde, dans un souffle.
L'homme se remet debout et recul d'un pas, tout en continuant de filmer la scène, puis il demande à ses amis :
- Allez me l'allonger sur la grande table...
Aziz retire ses doigts d'un geste brusque et se recule pour se mettre, lui aussi, debout. Ali lâche la jambe et Moustapha prend la main de la pauvre femme et la guide vers la table, de la partie salle à manger de la grande pièce. Une fois arrivé devant la table, il lâche la main, prend la femme par-dessous les bras et l'assoit sur le plateau de bois. Puis, il lui ordonne d'une voix bizarre :
- Allonge-toi, salope.
En tremblant un peu, car elle n'est vêtue que de sa robe roulée sur son ventre, Béatrice s'allonge doucement sur la table, sans que personne n'ait besoin de l'aider, les jambes dans le vide. Lorsqu'elle est allongée, elle entend la voix directive d’Ahmed lui intimer :
- Tu vas être notre pute... T'as envie d'être notre pute, hein ?
- Oui... Encore une fois c'est machinalement que la femme répond. Elle est maintenant totalement déconnectée de la réalité, et seuls ses fantasmes dirigent ses actes.
- Moustapha, place-la, qu'elle puisse nous sucer pendant qu'on va la baiser
Sans ménagement, l'homme, qui vient d'être interpellé, attrape les cheveux de la blonde et tire dessus pour qu'elle vienne se mettre au bord de la table. Dès qu'elle est en place, il défait prestement sa braguette, et sort sa queue déjà en érection, la porte à la bouche, et, appliquant une pression contre la tête, de manière que la femme ne puisse rien faire d'autre, que d'ouvrir la bouche, il ordonne :
- Vas-y, suce salope.
Aziz est arrivé entre les jambes de la blonde et vient de recommencer à lui lécher la chatte. Très vite, il passe ses bras sous les cuisses écartées et les remonte haut, sur ses épaules.
- Voilà une bonne vieille salope, qui va nous servir de vide couilles les mecs ! Annonce Ahmed tout en continuant de filmer. Cette fois, il fait un gros plan sur la queue de son pote, que la blonde suce au rythme des coups de langue, qu'elle reçoit sur son clitoris.
Ali, ne voulant pas rester en dehors du coup, vient se placer à la gauche de son ami Moustapha et sort sa queue, à son tour.
- Voilà ma salope, deux bites d'Arabe pour toi toute seule, fais-les bien bander. Le ton de la voix d’Ahmed en dit long sur sa propre excitation, néanmoins, il continue de filmer. Il va se placer de l'autre côté de la grande table et zoom de manière à faire un gros plan sur le visage de la blonde, qui vient de passer à la deuxième bite.
Enfilant prestement une capote, Moustapha se rend au bout de la table et donne une tape amicale à son complice, Aziz, en lui disant :
- Laisse-moi la place, que je la bourre bien cette pétasse mariée...
L'homme se relève et laisse sa place. Moustapha, s'emparant des cuisses de la blonde, vient placer son gros gland contre la vulve détrempée. D'un sévère coup de rein, il fait pénétrer son membre au plus profond du vagin, arrachant ainsi un cri à Béatrice, qui reste tout de même étouffé par la bite, qu'elle a en bouche.
- Vas-y mon ami, défonce-lui la chatte, à cette vieille truie salace…
Ahmed est venu se placer à côté de l'homme qui, effectivement, donne de violents coups de rein, comme s’il voulait faire pénétrer son dard, toujours plus loin.
Des paroles en arabe sont échangées, mais la pauvre Béatrice ne peut rien y comprendre. De toute façon, au point où elle en est actuellement, c'est bien la dernière de ses préoccupations, que de savoir ce qui se dit. Elle a l'impression d'être déchirée par cette énorme bite, qui va-et-vient en elle à toute vitesse, et elle a bien du mal à continuer de sucer, cette autre queue qu'elle a en bouche.
- C'est bon ça hein salope ? Une bonne grosse queue qui te remplit bien la chatte, hein pétasse ?
Comme la blonde ne répond pas à Ahmed, ce dernier vient lui pincer le téton gauche, tout en continuant à filmer, et commande encore :
- Allez, dis-le, salope, que cette bite te fait plus de bien, que celle de ton cocu de mari...
- Aie... Oui... La voix est toujours étouffée, et entrecoupée de râles sourds.
- Tu vas voir, quand Moustapha va te la mettre dans le cul...
L'homme ahane comme un beau diable, en limant à grands coups de bite le vagin, un rien trop étroit pour son membre. Mais avec la fin de soirée, l'excitation et l'alcool, qu'il a aussi consommé sans trop de modération, il finit par jouir dans la capote, dans un concert de jurons arabes.
Béatrice n'en peut plus, elle éjecte, tant bien que mal, la queue qu'elle suçait juste à l'instant encore, et part dans un orgasme fantastique, qui lui arrache de grands cris.
Moustapha souffle un peu, en gardant sa bite, qui ramollie quelque peu, bien plantée dans cette chatte distendue, le temps qu'il sente une tape sur l'épaule. C'est Ali, qui est à côté de lui et qui, préservatif mis en place, se prépare à prendre, maintenant, la blonde. Sa queue, si elle est tout de même moins volumineuse, que celle de son pote, est toutefois déjà d'un bon diamètre. Moustapha se pousse en retirant sa capote et en laissant la place. Ali prend les cuisses flasques, de la pauvre femme, les relève le plus haut possible, de manière à décoller le cul de la table, puis il applique son gland contre le sphincter, en affirmant, d'une voix menaçante :
- Moi, je vais t'enculer, vieille bâtarde...
La pauvre femme, vidée, ne réagit pas et se laisse faire. Après cet orgasme foudroyant, elle cherche à reprendre son souffle, mais a bien du mal à y parvenir.
Ahmed, voyant son pote Moustapha retirer son préservatif, plein de foutre, l'apostrophe :
- Non, attends, ne jette pas ta capote, va-lui faire boire ton jus de couilles...
Aziz, dont la bite vient d'être éjectée, de cette chaude bouche, se pousse sur le côté, pour laisser la place à son ami. Moustapha prend le menton dans sa main et force la pauvre femme à ouvrir la bouche, puis, il amène le réservoir de plastique juste au-dessus, et laisse couler son sperme dans la bouche contrainte.
Ali suit le spectacle de près et attend pour faire entrer sa large bite, dans l'étroit boyau.
- Régale-toi de ce jus d'homme, avale tout et n'en perds pas une goutte, salope. Ahmed, tout en prononçant ces mots, se concentre sur sa prise de vue et fait un gros plan du foutre, qui coule doucement de la capote pour atterrir sur la langue.
Complètement dans les vapes, elle se laisse faire et avale le foutre tiède, sans se rendre compte du volume important, que l'homme à éjaculer.
Lâchant le menton, l'homme vient presser le bout du préservatif, pour faire couler la totalité de son sperme, dans la bouche grande ouverte. Quand il a terminé, il annonce à la cantonade :
- Voilà, boîte à bites a tout bu... Puis, se penchant un peu sur elle en lui pinçant le téton droit, il ajoute encore :
- Elle est bonne ma crème, hein ?
- Hum... Ne peut que répondre Béatrice, tant elle est dans le cirage.
- Vient filmer l'entrée de ma teube dans son cul, demande Ali, qui commence à avoir une sérieuse envie d'enfiler, la salope à sa disposition.
- J'arrive, attends... Et Ahmed se déplace pour pouvoir être aux premières loges. Quand il estime être tout à fait prêt et à la bonne place, il donne son feu vert, à son copain, en arabe.
Ali pousse de tout son poids sur sa queue, qui entre dans le boyau, en arrachant un grand cri de douleur, à la pauvre femme.
Béatrice bave, sperme et salive mêlés, ressortent de sa bouche, sans qu'elle ne puisse rien contrôler, tant la douleur vient d'être fulgurante. Pour se protéger, dans un réflexe, elle se cambre et essaye de serrer son anus, de toutes ses forces.
Ahmed filme également la tête de la femme qui bave, puis revient sur la queue de son pote, qui commence à limer ce cul serré.
Ali, très fière de son membre épais, a repris le contrôle du corps de la blonde. Il a repoussé loin devant lui, les jambes maigrelettes, en les écartant du mieux qu'il peut, de manière que le trou du cul soit tout au bord de la table, et qu'il puisse faire entrer sa queue le plus loin possible dans l'étroit boyau. Maintenant, et s'assurant que son pote peut toujours bien filmer la scène, il commence à donner d'amples coups de rein, à un rythme très lent.
Bien qu'elle bave toujours, Béatrice commence à oublier la douleur première et à prendre goût, à ce sexe qui va-et-vient en elle. Elle sent sa poitrine malaxer, par des mains puissantes, et très vite, elle se retrouve avec une queue dans la bouche, c'est celle, avec le goût particulier du latex, de Moustapha, qu'elle entend vaguement lui ordonner :
- Lave-moi la bite avec ta langue, pétasse…
Aziz se masturbe, excité qu'il est du spectacle que ses amis lui offrent. Il aimerait se faire sucer par la blonde, mais il n'ose pas déranger son pote Moustapha, qu'il sait pouvoir être violent parfois.
Ahmed s'éclate à filmer cette vieille salope, qui n'est plus qu'un simple jouet sexuel, entre leurs mains. Il remarque que la chatte, toujours entrouverte, suinte encore beaucoup et décide d'y mettre ses doigts. Il libère sa main gauche et, pendant que la blonde râle sous les assauts, de cette bite qui lui ramone le cul, fait entrer trois doigts dans le sexe détrempé, qui pénètre sans aucune difficulté.
Ali fait une réflexion salace en arabe à son copain, puis, s'adresse à la blonde :
- T'as vu, bâtarde de truie, t'as tous les trous d'occupés !
Les obscénités qu'elle perçoit et ces doigts qui semblent lui déchirer le ventre, amènent Béatrice au bord d'un nouvel orgasme. Ne pouvant plus se contrôler, elle recrache la grosse queue, qu'elle a en bouche, et se met à pousser des cris violents en tournant sa tête dans tous les sens.
- Tu prends ton pied hein ! Vieille salope... Dit Moustapha, en s'emparant des deux tétons et en tirant fortement dessus.
- Regardez, lance Ahmed à la cantonade, elle a une bite dans le cul et trois doigts dans la moule, et je peux encore en mettre un de plus ! Ce qu'il fait aussitôt.
Le sphincter de la blonde se sert, de plus en plus, à mesure que sa chatte est dilatée par les doigts. Béatrice gueule de plus bel. Ali, sentant qu'il ne va pas tarder à exploser lui aussi, se met à ruer comme un beau diable. Et, ce qui devait arriver, arriva, il jute dans le cul bouillant de la pétasse, dans sa capote bien entendu.
Ahmed, voyant son ami Moustapha se reculer, de la table, en emportant le préservatif usagé, presque plein, a subitement une idée. Il interpelle son pote :
- Ne jette pas ta capote ! on lui fera bouffer après...
La tête bougeant de droite à gauche, le regard absent, Béatrice jouit dans un concert de cris. Son ventre explose, la brûle, mais elle jouit encore plus fort.
Ali jouit à son tour en râlant et s'exclamant :
- Qu'est-ce qu'elle est bonne cette vieille pute ! Tu sens mon foutre salope ?
- Hum, hum...
- Elle le sent et elle va même y goûter. Vas-lui vider ta capote dans la gueule à cette morue, ordonne Ahmed à l'homme.
Aziz vient prendre la place qui vient de se libérer entre les jambes de la blonde et enfile un préservatif.
Ahmed retire ses doigts dégoulinant de cyprine et suis avec son caméscope le trajet d’Ali qui retire doucement sa capote et vient la mettre dans la bouche de la pauvre femme.
Celle-ci, totalement soumise au vice, ouvre d'elle-même la bouche et accueille le précieux liquide, épais et tiède, qui commence à couler.
- Ouais... Reste comme ça Ali, je fais un gros plan de cette bouffeuse de foutre.
Aziz, ayant enfilé son gant de latex, prend possession de la chatte détrempée et s'enfonce dans le corps de la femme aussi facilement, qu'il est possible d'imaginer. Excité comme il est, il lime très vite, sa bite plus fine, mais très longue va taper au fond du vagin béant.
À chaque fois que la queue de l'homme vient cogner contre le col de l'utérus, Béatrice pousse un petit cri, qui sort déformé de sa bouche pleine de salive et de sperme mêlés.
- Prends cette vieille enculée par-derrière, je viens te filmer, annonce la cameraman amateur, en se déplaçant à nouveau. Tout en continuant d’enregistrer le sperme qui coule doucement de la capote et tombe dans la bouche grande ouverte.
Aziz ne se fait pas prier, il ressort sa bite, la prend en main et l'introduit dans l'anus encore ouvert. Le membre, emballé de latex, glisse sans problème dans le boyau dilaté. L'homme commence à donner de grands coups de rein très amples.
À nouveau, la blonde se pâme sous les assauts de cette queue qui semble vouloir lui rentrer toujours plus loin dans le ventre.
En filmant maintenant la bite qui va-et-vient, dans les intestins de la pauvre femme, Ahmed demande encore à son pote Ali :
- Toi non plus, tu ne me jettes pas la capote, quand elle est vide...
Ali, un petit sourire narquois au coin des lèvres, pose le préservatif usagé plus loin sur la table. Puis, tenant et présentant devant la bouche ouverte sa queue déjà flasque, il ordonne :
- Lave-moi la teube salope...
Béatrice prend le membre mou en bouche et le tète avidement pendant que sa main droite se pose sur son pubis et qu'elle commence à se caresser le clitoris. Après le déchirement anal, qu'elle a subi plus tôt, cette queue longue et fine qui semble vouloir la transpercer lui donne un plaisir inouï.
Ahmed, recadrant pour prendre toute la scène avec son appareil et attirant l'attention de ses complices sur la masturbation de la blonde en arabe, encourage la blonde :
- Vas-y, branle-toi bien, vieille pute...
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Re: Les tribulations de Béatrice

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Les tribulations de Béatrice : La soirée en boite
Partie 2

La femme, presque au bord de l'asphyxie, mais continuant tout de même à téter la bite qu'elle a en bouche, ne se contrôle absolument plus. Et, alors qu'un nouvel orgasme dévastateur la secoue, elle lâche une petite série de pets, alors qu’Aziz jouit dans la capote, en s'affalant sur le corps de la pauvre blonde, avec un cri d'animal blessé.
Prenant l'homme affalé par l'épaule, Ahmed, tout en continuant de filmer, lui ordonne :
- Va-lui faire boire ton foutre.
Dès que son ami s'est reculé, il enfonce les cinq doigts de sa main gauche qui forment un cône de chair, dans le sexe béant.
Béatrice pousse un grand cri, car elle a l'impression qu'on la déchire. Ce faisant, elle recrache le sexe mou, redresse sa tête et attrape le poignet de l'homme, pour tenter de retirer les doigts, qui la font souffrir.
Bien qu'il ne puisse pas enfoncer sa main plus loin que la base des doigts, l'homme se met à bombarder sauvagement le sexe détrempé, qui émet des bruits. Malgré les deux petites mains, qui lui enserre le poignet et qui essayent vainement de le retenir, il s'active de plus en plus vite et finit par dire d'une voix troublée :
- Branle-toi le clito, salope.
L'impression de déchirement commençant à s'estomper, la pauvre femme s'exécute. Lâchant subitement le poignet, reposant sa tête en arrière, de sa main droite, elle commence à s'astiquer le bouton avec autant de frénésie que l'homme.
Aziz a retiré son préservatif, vient le placer au-dessus de la bouche entrouverte et le vide, en pinçant le sommet et en faisant glisser deux doigts le long du latex.
Béatrice, trop occupée qu'elle est, par cette main qui veut s'enfoncer toujours plus loin en elle et s'occupant frénétiquement de son bouton d'amour, qui semble prêt à exploser, ne s'occupe même pas du foutre qui coule sur ses lèvres et s'insinue dans sa bouche. De toute façon, au point où elle en est, elle ne cherche plus à esquiver quoi que ce soit. Elle entend vaguement des échanges de propos en arabe, puis, d'un seul coup, alors que la main qui commençait à lui procurer du plaisir se retire brusquement, elle entend :
- Continue à te branler, qu'on te filme…
Moustapha a pris la relève avec le caméscope et enregistre la masturbation de la blonde, en prenant soin de la cadrer entièrement. Ali s'occupe des tétons en les pinçant, puis en les étirant, comme s’il avait décidé d'allonger les seins de la pauvre femme. Aziz récupère son foutre avec ses doigts, dont une partie a coulé sur la joue et dans le cou, pour ramener sa précieuse semence, dans la bouche.
Ahmed vient de sortir de la pièce et revient au bout de trois minutes. Il apporte un énorme plug blanc cassé, qui doit bien faire dans les six ou sept centimètres de diamètre, dans sa partie la plus large. Il pose l'objet sur la table près de la tête de la blonde, défait sa ceinture et sa braguette, baisse son pantalon en même temps que son caleçon. Puis, attrapant les joues de Béatrice pour lui faire tourner la tête vers lui, ordonne :
- Maintenant, suce-moi salope, c'est ta récompense.
Moustapha, voyant que la femme arrête sa masturbation, ordonne à son tour :
- Branle-toi en même temps, vieille traînée.
- C'est bon hein ! Des bonnes bites d'arabes, qui te font bien crier, hein ! Excité à son tour, Ahmed sent, qu'il ne résistera pas très longtemps.
La blonde totalement partie dans sa masturbation, excitée qu'elle est par cette folle soirée, suce la belle queue de l'homme presque machinalement. Elle ne se rend pas compte, du tout, de cette situation obscène. Elle, une femme mariée, qui vient de rejeter tout ce qu'elle avait construit avec son mari, pour suivre un bel inconnu, et elle se retrouve allongée sur une table, les jambes écartées, à se masturber comme une jeune fille impudique, un goût de foutre et de caoutchouc dans la bouche, le cul et la chatte dilatés. Et la vedette, malgré elle, d'un film X amateur.
Très vite, Ahmed, tenant toujours le menton de la blonde, donne les signes de sa jouissance prochaine. Il retire sa bite de la bouche chaude, se branle frénétiquement pendant quelques secondes, sans lâcher la femme, puis, approchant à nouveau son membre du visage, éjacule en longues saccades en criant :
- Tiens ! prends ça dans ta gueule, grosse pute...
Quelques gouttes de sperme chaud viennent dans l’œil de la pauvre femme, qui les ferme dans un réflexe. D'être ainsi humiliée et traitée de pute devant tout le monde, déclenche un nouvel orgasme, qui lui fait pousser de grands cris.
- Filme bien tout ça, qu'on ait des preuves, lâche Ahmed sur un ton sadique, à l'attention de son ami Moustapha, qui ne rate pourtant rien de la scène.
- T'inquiète pas, je n'en perds pas une miette, d'ailleurs, je vais faire un gros plan sur sa gueule.
Ahmed lâche le menton, se recule un peu, puis de la même voix :
- Relève la tête et fixe bien l'objectif, que l'on voit bien, la salope que tu es.
Sans broncher, la blonde s'exécute docilement. Elle se redresse sur ses coudes et fixe l'objectif de l'appareil, avec un drôle d'air. Elle semble comme dans un autre monde.
- C'est bien pétasse, tu vas dire à la caméra comment tu t'appelles, interroge Moustapha.
- Béatrice Dubreuil.
- Tu fais quoi dans la vie ?
- Je suis secrétaire à la mairie.
- Ton mari sait que tu es une pute pour arabes, comme ça ?
- Non...
- T'as des enfants ?
- Oui...
- Quel âge ?
- Marc a vingt ans et Franck a seize ans...
- Ils font quoi ?
- Marc travaille, Franck est au lycée.
- Et ils se doutent, que leur mère est une vraie traînée ?
- Ben non...
- Ça va ! Intervient Ahmed d'un ton mauvais. Pour le moment, on s'en fout de son pedigree, à cette vieille connasse en chaleur, moi, je veux qu'elle se doigte devant le caméscope, pour faire un bon film !
- T'as entendue salope, mets-toi les doigts dans la moule, hurle Moustapha, contrarié par l'intervention, peu aimable, de son ami.
Elle serait bien en peine d'expliquer pourquoi, elle répond aux questions indiscrètes et fait toutes ces choses obscènes, qu'on lui demande, sans réagir outre mesure. Mais toujours est-il, que Béatrice porte sa main droite à son sexe et commence à y faire pénétrer trois doigts, en fixant toujours autant l'objectif de l'appareil.
- Ouais, comme ça... Ouvre-toi bien la chatte, salope.
La femme écarte ses doigts de manière à dilater l'entrée de sa chatte, qui a déjà été bien ouverte auparavant, par le passage du gros sexe de Moustapha. Très vite, la sensation, l'ambiance, recommencent à lui échauffer les sangs et elle prend plaisir à cette introduction obscène.
Ahmed s'empare du gros plug et vient se placer à côté de son pote. Là, sans s'occuper de la pauvre femme, il lui soulève les jambes, lui écarte les fesses d'une main sûre, puis applique l'extrémité de l'engin contre la rosette. Se tournant vers son ami, il lui lance :
- Fais-nous un gros plan, sur son trou qui pète...
Béatrice semble ne pas se rendre compte, de ce qui l'attend, effectivement, elle n'a pas vu l'énorme plug, mais elle sent tout de même, qu'un objet va lui être introduit dans le rectum. Reprenant légèrement conscience de ce qu'elle est en train de vivre, elle retire ses doigts et tente de se redresser, un peu plus, pour voir ce qui se passe, exactement.
Bloquant le corps de la femme de son bras droit en lui appuyant sur le haut des cuisses retournées, Ahmed, qui vient de prendre la base du plug de sa main gauche, pousse de toutes ses forces pour faire entrer le jouet de caoutchouc dans l'étroit boyau. En moins de deux secondes, l'objet est planté dans l'anus.
Un cri d'effroi ampli la pièce, la pauvre femme vient de ressentir une énorme brûlure au passage du plug, et, à nouveau, elle a cette sensation de déchirement. Dès que le gros de la douleur est passé, elle s'affale sur la table dans un bruit sourd.
- Quand elle supportera ça sans gueuler, elle pourra se faire enculer par un éléphant ! S'écrit le sinistre Ahmed, avec un sourire mauvais au coin des lèvres.
La blonde se met à pleurer à chaudes larmes, la douleur vient de la ramener à la réalité, de façon très brutale. Maintenant, non seulement elle a très mal au cul, mais en plus, elle commence à se demander pourquoi elle est ici, allongée sur la table, avec ces mecs vicieux qui l'humilient.
Quelques rires gras et des paroles en arabe sont très vite échangés. Ahmed, très pervers, relâche l'étreinte sur les cuisses, puis attrape les bras de la femme, la tire à lui pour la mettre debout, tout en ordonnant encore :
- Marche un peu dans la pièce, qu'on voit comment tu t'en tires.
- Non, je ne veux...
- Ta gueule pouffiasse, quand on te faisait le cul, pour ton petit plaisir de vieille bourge, tu faisais moins la fière...
- Mais vous n'avez...
- Ferme ta gueule, sinon on te fout une de ces raclée, que tu t'en souviendras toute ta vie de pute...
Sentant que l'homme n'a pas vraiment envie de plaisanter, elle se laisse aider et se retrouve debout devant la table. Là, elle sent que l'homme fait glisser sa robe vers le bas. Puis, une grande claque sur la fesse droite lui donne l'élan de départ, et elle commence, à pas menus, à se rendre vers le canapé où elle espère bien pouvoir se reposer.
Ahmed n'a pas dit son dernier mot, il attend que la blonde soit prés du canapé, là, il l'apostrophe à nouveau :
- Reviens ici, maintenant, vieille chienne.
Tout en se demandant comment elle va pouvoir se sortir de ce guêpier, la femme obéit et revient vers la table. Elle marche doucement, le plug lui faisant un mal de chien, à chaque pas de plus. Elle n'est pas vraiment pressée, non plus, de voir la suite des événements, car elle commence à comprendre, que si elle n'obéit pas au doigt et à l’œil, à ces quatre hommes, elle risque de le payer chèrement.
L'homme tire une chaise en arrière, la désigne du menton et ajoute :
- Viens t'asseoir ici...
C'est avec une précaution extrême que Béatrice s'assoit sur la chaise. Le gros plug la contraint à rester la plus droite possible, mais même en restant telle un "i", elle souffre le martyre.
Encore quelques mots en arabes, qui sont échangés sans que la pauvre femme ne puisse rien comprendre. Puis, l'homme l'interroge à nouveau :
- Tu vas nous laisser ton numéro de téléphone fixe, ma pute...
- Mais...
- Pas de "mais" qui tienne, tu nous donnes ton téléphone, un point c'est tout.
Béatrice se retrouve avec un stylo et une feuille de papier sous les yeux, avant qu'elle n'ait pu comprendre, ce qui allait se passer.
- Voilà, tu nous laisses ton numéro, qu'on puisse t'appeler, quand on aura envie de se vider les couilles.
- J'm'en souviens plus...
- Attention ! On vérifie tout de suite, et si ce n'est pas le bon numéro, on t'attache et te fouette, jusqu'à ce que tu finisses par donner le bon... Te voilà prévenue, pauvre conne...
Sentant que les menaces sont de plus en plus précises, et ne voulant pas se faire découper, en petits morceaux, par ces hommes, elle note finalement son numéro sur le papier.
Ahmed se penche par-dessus son épaule, donne quelques indications à Aziz en arabe, et celui-ci décroche le combiné pour faire le numéro. Après quelques sonneries d'attente, l'homme fait un signe de tête prouvant que le numéro est bon. Il vient de tomber sur le répondeur.
- Bien, une vieille bourge comme toi, ça doit avoir un portable, allez, tu le notes aussi.
Cette fois, la pauvre blonde ne cherche pas à se rebiffer et note, directement, le deuxième numéro.
- Pour le cas où il faudrait venir te chercher, tu vas nous noter, également, ton adresse exacte.
Sachant qu'avec le numéro de téléphone, les sales types pourront toujours retrouver son adresse, une fois encore, sans lever le nez, elle note ses coordonnées.
- Parfait ! Nous, on a bien mérité un bon whisky, tu vas nous le servir.
- Mais ! s'étonne la pauvre blonde, en se demandant quand, ces salauds vont enfin la laisser tranquille.
- Dans le bar du meuble, allez, magne-toi le cul !
À nouveau, des phrases en arabes sont échangées, et les quatre hommes, goguenards, se rendent tranquillement dans le canapé. Seul Ahmed s'assoit dans le fauteuil.
Béatrice vient servir ses persécuteurs pendant qu’Ahmed discute aimablement, semble-t-il, avec ses amis. Frissonnant dans l'atmosphère qui se rafraîchit un peu, elle en profite pour demander :
- Je peux avoir ma robe ?
- Non, je la garde en souvenir, on te ramènera chez toi, mais nue.
- Mais ! S'offusque la blonde, qui estime qu'il est grand temps de mettre un terme, à ce petit jeu pervers.
- J'ai dit non, connasse ! L'homme en profite pour lui donner une grande claque sonore sur la fesse à sa portée, puis il ordonne encore :
- Mets-toi à genoux devant moi, salope.
Avec la peur au ventre, elle s'agenouille devant ce monstre d'homme, qui lui a fait perdre la tête en début de soirée. Évitant de croiser son regard, elle fixe le sol sous elle.
Ahmed demande à ses acolytes qu'on lui passe la bouteille de whisky, puis, quand il la tient, il attrape à nouveau le menton de la pauvre femme, et porte le goulot de la bouteille à ses lèvres, pour la faire boire.
Surprise, la blonde, après un petit temps d'arrêt, se laisse faire et boit de grandes gorgées d'alcool en espérant, que le breuvage puisse lui faire oublier et sa douleur rectale, et l'humiliation qu'elle subit en ce moment même.
- Boit pétasse, comme ça, quand on te lâchera devant chez toi, nue comme la grosse pute que tu es, tes voisins pourront se rendre compte que tu es aussi une poivrote...
Les larmes montent immédiatement aux yeux de Béatrice qui s'imagine déjà descendre de la voiture sous les regards de tous ses voisins, et la honte qu'elle aura à traverser son jardin pour aller à la porte d'entrée.
Repoussant si violemment la pauvre femme qu'elle se retrouve sur le cul par terre, ce qui a pour effet de raviver, instantanément, la douleur rectale, que l'alcool avait quelque peu apaisée, Ahmed, d'un ton de plus en plus mauvais, ordonne encore :
- Va chercher les capotes qui traînent sur la table, vieille pute.
La blonde a un mal fou à se relever. De plus, pas un de ces quatre monstres ne lui prêterait assistance, bien au contraire, ils la regardent en rigolant. Une fois debout, voulant éviter toutes sources de conflit ou d'humiliation, elle va chercher les trois préservatifs posés sur la table, pas loin d'où elle était allongée quelques minutes plus tôt. Elle s'en empare, et les ramène à Ahmed, toujours les yeux fixés sur le sol.
- Mange-les ! Je veux que tu les gardes en bouche jusqu'à ce qu'on te ramène chez toi, ainsi, tu auras la véritable haleine des putes en fin de soirées...
- Non ! S'écrit la pauvre femme.
- Ta gueule, sinon t'en prends une, et une bonne encore... Si ça se trouve, ça excitera ton mari !
- Pitié...
- Pas de pitié pour les vieilles putes, qui trompent leur mari ! tu restes debout devant nous, tu gardes les capotes en bouche et tu la fermes, les hommes boivent, toi, tu trinques, compris ?
- Oui... Et Béatrice baisse à nouveau les yeux, en priant secrètement que son martyre, finisse au plus tôt.
Un bon quart d'heure s'écoule, les hommes discutent en arabe et ne s'occupent plus du tout de la pauvre femme, qui reste debout devant eux, comme si elle faisait déjà partie du décor. Malheureusement pour la blonde, tout l'alcool qu'elle a ingurgité durant la soirée demande à ressortir, commençant à danser d'une jambe sur l'autre pour attirer l'attention sur elle, et ne voyant aucun résultat, elle finit par demander, le plus poliment du monde, d'une voix bizarre, due aux trois préservatifs, qu'elle a toujours en bouche :
- Excusez-moi, pourriez-vous me dire où se trouvent les toilettes ?
- Tu ne crois tout de même pas, que je vais laisser une pute comme toi, saloper mes toilettes, non !
- Oui, mais j'ai très envie...
- Pisses devant nous, tu nettoieras après... Et Ahmed reprend sa conversation en arabe, comme si de rien n'était.
Une autre demi-heure se passe, cette fois la pauvre ne tient plus, elle se risque à faire un pas en direction de la sortie pour aller uriner dehors, quand elle est retenue par le bras et entend :
- Tu pisses ici, vieille conne, devant nous...
- Non !
- Si ! Avec ce qu'on a déjà vu de toi, c'est pas une petite pissette de pute, qui va nous rendre aveugle !
Les trois autres hommes rient de bon cœur, autant d'entendre les propos vicieux de leur pote, que de voir la tête qu'affiche la pauvre femme, qui se remet à pleurer.
- Allez, écarte tes cuisses et pisse tout debout...
Béatrice reprend sa place, les yeux au sol, mais n'écarte pas les cuisses et tente encore de se retenir.
- Si tu n'obéis pas, je vais défaire ma ceinture et t'en donner quelques bons coups sur le cul, pour t'apprendre ta place, chienne ! Sur ce, il s'empare du caméscope qu'il avait posé près du fauteuil, le rallume et commence à filmer l'entre-jambe de la femme.
Toute honte bue, pressée par sa vessie, la blonde finit par obtempérer. Elle écarte ses cuisses et laisse l'urine chaude jaillir vers le sol, en éclaboussant ses chevilles.
Une bonne minute passe, le jet ne tarit pas, et c'est une grande flaque qui inonde le carrelage. Les quatre hommes regardent, avec un air narquois, la pauvre femme uriner.
Béatrice se sent soulagée, un mince filet coule maintenant le long de ses jambes, mais elle n'en a cure, dans l'état de nerf où elle se trouve, ce n'est plus un peu d'urine sur ses cuisses, qui va déranger grand-chose.
Ahmed coupe l'enregistrement et se lève sans mot dire. Il sort de la pièce et revient très vite, cette fois, il porte un seau qui contient une serpillière. Il s'arrête devant la pauvre femme et lui tend l'objet en lui ordonnant :
- Ramasse ta pisse salope... Puis, il retourne s'asseoir confortablement, dans son fauteuil, et remet en route le caméscope.
Béatrice passe plusieurs minutes à éponger son urine et à tordre la serpillière dans le seau. Dans cette position accroupie, le plug se rappelle à son bon souvenir, et elle tente désespérément de trouver une position qui lui fasse moins mal, mais c'est peine perdue. Elle se sent humiliée comme jamais auparavant, toutefois, cette tâche ménagère, même si elle n'est pas agréable, lui permet de s'échapper de ses peurs, durant toute l'opération.
Lorsque la femme a fini de ramasser son urine, Ahmed ordonne encore, en faisant un gros plan sur le visage de la pauvre :
- Ouvre la bouche, que je vois que tu as toujours tes capotes…
Sans aucun commentaire, la femme s'exécute en ouvrant la bouche en grand. Elle attend quelques secondes, que l'homme lui autorise de refermer la bouche. Puis, reprend sa position debout, droite, à attendre.
- Tourne-toi et penche-toi en avant, que je vois, une fois encore, si le plug est bien en place.
Une fois de plus, sans broncher, la belle se tourne et se penche en avant. Le mouvement est assez douloureux, mais moins, tout de même, que lorsqu'elle était accroupie.
- Je suis sûr que ton mari va apprécier de te retirer ton plug, tout à l'heure, remarques, ça lui donnera peut-être quelques idées neuves, pour te dresser... Bon, allez les gars, on ramène cette vieille pute chez elle, j'ai envie de me coucher et de dormir un peu.
Béatrice est tout à coup effrayée, elle sent que l'homme va mettre ses menaces à exécution et qu'il va la ramener nue chez elle, elle tente de se diriger vers la table, pour prendre sa robe, qui traîne par terre, mais la main puissante d’Ahmed la bloque, à nouveau.
- À poils ! je t'ai dit que je te ramène à poils, t'as pas encore compris ce que veut dire : À poils ?
- Pitié...
Une grande gifle vient en guise de réponse, puis l'homme poursuit encore :
- Tu voulais te faire des arabes, bon, on t'a fait jouir, bon alors ! Maintenant, ce sont nos conditions, un point c'est tout !
- Mais je ne peux pas...
Une nouvelle gifle vient la faire taire.
- À poils, comme la vieille pute que tu es ! Et il entraîne la pauvre femme vers l'extérieur.
Les trois complices suivent le couple, en faisant de fines allusions sur le plug, mais en arabe, si bien que la femme ne comprend pas ce qui se dit. Néanmoins, elle se doute bien, qu'elle est l'objet des quolibets qui fusent, fussent-ils dans une langue étrangère.
Chacun reprend sa place dans la voiture, et bientôt la voiture démarre. Dès qu'elle commence à rouler, Ahmed défait sa braguette et ordonne encore à la pauvre blonde :
- Profite du voyage pour me sucer la bite. Et pour que les choses aillent dans son sens, il prend la nuque et baisse la tête de la femme sur sa queue.
Le conducteur ne pose pas de question, car il a noté tout à l'heure, mentalement, l'adresse de la femme, et, connaissant bien la ville, il sait exactement où il doit se rendre, pour la déposer.
- C'est trop marrant, une pute qui te suce, avec des capotes en guise de chewing-gum...
Les trois autres hommes rigolent à nouveau et reprennent leur discutions en arabe.
Béatrice essaye de sucer cette queue, dont elle avait pourtant une énorme envie, en début de soirée, mais avec tous ces événements, c'est bien à contrecœur, qu'elle prend le membre en bouche. Cependant, ne voulant pas provoquer l'homme, qu'elle sait maintenant être dangereux, elle s'applique en se disant que son calvaire touche à sa fin. Commençant à se dégriser, sa propre haleine commence aussi à la gêner, seul le plug devient de moins en moins douloureux, au fur et à mesure que le temps passe.
La voiture s'arrête enfin. Sans aucun ménagement, Ahmed attrape les cheveux de la blonde et la retire en arrière. Il la lâche pour rentrer son dard dans son pantalon et refermer sa braguette. Puis, la reprend par las cheveux et la tire derrière lui en sortant de la voiture.
Béatrice voudrait crier, appeler au secours, mais nue, cela lui parait être la dernière des choses à faire. Elle suit donc le mouvement et se retrouve dans la rue, debout sur la chaussée, nue comme au premier jour, avec l'homme qui se tient devant elle.
Ahmed fixe la blonde dans les yeux, puis, sans crier gare, il lui crache au visage en lui disant :
- Rentre chez toi, vieille putain, va retrouver ton mari, à qui tu as fait du mal pour ton unique plaisir, de salope en chaleur.
L'homme se retourne et entre dans la voiture, qui redémarre avant qu'il n'ait eu le temps de claquer sa portière.
Béatrice se retrouve sur la chaussée, le regard perdu, les larmes lui montent aux yeux. Elle entrevoit tout juste ce qu'elle vient de faire, car les vapeurs de l'alcool commencent à se dissiper. Elle reste plantée, nue, pluggée, les capotes toujours en bouche dans la fraîcheur du début de matinée, son cerveau se refusant de croire, ce qui vient de se passer.
Le voisin d'en face aperçoit sa voisine et reste figé pendant quelques instants, de voir cette femme, souvent sympathique, mais qui reste comme inaccessible, là, devant lui, nue, à pleurer. Le premier moment de stupeur passé, il se précipite à l'intérieur, attrape le téléphone et compose le numéro de son voisin. Après de nombreuses sonneries, et tout en vérifiant par la fenêtre que la femme est toujours sur la route, il entend :
- Oui ?
- Salut Richard, c'est Maurice, ton voisin, sais-tu que ta femme est nue, sur la route, devant chez toi ?
- Heu !
- Je t'assure, je la vois en ce moment même, elle est comme pétrifiée...
- Ha bon ! Et le mari se précipite à son tour à la fenêtre, il voit effectivement sa compagne, nue sur la chaussée. Il lâche le téléphone qui tombe au sol et se rue dehors, en courant.
Comme dans un rêve, Béatrice voit son compagnon de toujours courir vers elle, mais elle ne peut bouger, tant la honte l'envahie subitement.
Richard La prend dans ses bras et la ramène, en essayant de faire vite, dans le pavillon. Malheureusement, il sent bien que son épouse a du mal à marcher, aussi fait-il l'effort de ralentir, pour qu'elle puisse avancer, sans trop souffrir. Il voit parfaitement sa femme, cracher trois morceaux de latex, dans la pelouse, mais le moment n'est pas aux questions, il est urgent de faire rentrer son épouse, avant que tout le voisinage, ne la surprenne ainsi.
Dès que la porte d'entrée est refermée derrière elle, la pauvre femme éclate en sanglot. Une longue plainte lugubre s'échappe de sa bouche entrouverte. Puis, elle se laisse tomber aux pieds de son époux, et s'écrie :
- Pardon, mille fois pardon, mon Chéri, si tu savais comme je regrette...
L'homme, malgré la soirée épouvantable qu'il vient de passer, se baisse, et aide sa compagne à se redresser. C'est en la voyant horriblement grimacer, qu'il comprend qu'elle est blessée quelque part, aussi, il demande d'une voix compatissante :
- Mais, tu as mal où ?
- Les salauds, ils m'ont mis un énorme god et j'ai mal au cul, pardon mon Chéri... Et elle éclate à nouveau en sanglots.
Comprenant qu'il est arrivé quelque chose de grave à son épouse, Richard se penche sur le côté, et constate effectivement, que sa femme a un gros morceau de caoutchouc blanc, qui lui marque ses fesses plates. Il passe derrière sa femme et lui demande gentiment, de se pencher en avant.
Cette fois, se sentant enfin en sécurité, Béatrice se penche en avant en faisant tout de même attention, à laisser son dos le plus droit possible. Maintenant que les effets pervers de l'alcool se sont évanouis, elle écarte ses jambes et tend son intimité à l'homme, qu'elle a choisis, jadis, pour la vie.
- Les salauds ! Les salauds ! Répète continuellement le pauvre homme, pensant que son épouse a subi de terribles sévices sexuels, contre sa volonté. Les salauds ! On va porter plainte contre ces malades...
Les souvenirs reviennent très vite à la mémoire de Béatrice. Et si elle se remémore les horreurs qu'elle vient de subir, elle se souvient aussi, de l'excitation et des orgasmes, que les quatre salopards lui ont, tout de même, apportés. Elle se souvient même, de s'être laissé entraîner et avoir pris du plaisir à être exhibée, triturée, malaxée par des mains inconnues. Et, malheureusement, elle a également le souvenir du caméscope, qui a enregistré toutes les scènes, et là, elle sait que tout n'est pas à son avantage, de loin s'en faut. Aussi décide-t-elle de temporiser la légitime colère de son mari en disant :
- Non ! Pour le moment, j'ai besoin de repos, pas question que je me fasse encore toucher, ne serait-ce que par un médecin.
Richard a bien essayé de tirer sur la base du plug, mais il s'est vite aperçu que l'objet était bien arrimé et que sa sortie risquait fort d'être des plus douloureuses. Mais il n'est pas question, non plus, de laisser ce symbole de torture en place, aussi demande-t-il à sa femme :
- Tu as mal, quand je tire doucement, comme ça ?
- Aie ! Oh que oui ! Tire d'un coup sec, je crois que c'est encore la meilleure solution...
- Alors attention, cramponne-toi... Et, à deux mains, Richard tire l'objet de toutes ses forces.
Le peu de force qui reste à Béatrice, lui sert à pousser, pour faire sortir l'infernal objet, de ses entrailles.
Le plug finit par sortir, en faisant un bruit de bonde de lavabo. Puis, tout de suite après, alors que l'homme est encore juste à côté de l'anus, un pet pestilentiel sort du trou, encore béant. Ensuite, suinte un jus infâme.
Richard, fâché de l'incident, mais aussi et encore, après son épouse dont les frasques de la veille, l'ont mis à mal, regarde fixement le diamètre impressionnant du jouet et ne peut s'empêcher de dire :
- Tu devais être sacrément excitée, pour qu'un tel monstre puisse entrer dans ton cul !
- Je t'en prie Chéri, ne parlons pas de ça maintenant, j'ai réellement besoin de me reposer, pardonne-moi encore pour hier soir, si tu savais comme j'ai honte de moi.
- Mais comment t'es-tu retrouvée devant la maison ?
- Ces infâmes salauds m'ont déposé en voiture et m'ont laissé nue.
- Attends ! ils t'ont violée ?
- Oui... Enfin non... Peut-être qu'ils m'ont droguée, je ne me souviens plus exactement.
- C'est pas très clair ton histoire...
- Je t'en prie Chéri, laisse-moi aller me coucher pour le moment, je t'en supplie !
En colère, mais sans être inhumain, Richard accompagne son épouse, au bord de l'épuisement, dans la chambre à coucher. Là, tout doucement, il l'aide à s'allonger, puis la recouvre du drap.
Béatrice ferme les yeux et tente de s'endormir, mais c'est peine perdue, toute la soirée lui revient sans cesse en mémoire, et avec de plus en plus de détails.
Utilisateur supprimé 66970

Re: Les tribulations de Béatrice

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Les tribulations de Béatrice : la rançon de la gloire

Ce lundi soir, après le difficile week-end qu'ils viennent de vivre, mais dont ils n'ont pas reparlé. Trop choquée par ses souvenirs et ce qu'elle a osé commettre, pour Béatrice. Et trop déçu par l'attitude de gamine de son épouse, pour Richard.
Il est déjà rentré du travail lorsque sa femme arrive. Comme très souvent, elle va à la boîte aux lettres et relève le courrier. Une enveloppe volumineuse l'intrigue, surtout qu'elle ne comporte ni timbre ni adresse. En revenant dans la cuisine, son mari, qui sort de la salle de bain, lui demande :
- Du courrier ou de la publicité ?
- De la pub, et une enveloppe...
Posant le tas de prospectus sur la table de la cuisine, l'épouse garde l'enveloppe en main et va s'asseoir pour l'ouvrir. Elle contient une cassette vidéo et une page de cahier pliée en quatre. La peur au ventre, Béatrice pose la cassette, alors que son mari entre dans la pièce et voit la tête déconfite qu'arbore son épouse, puis elle déplie le papier.
Richard s'approche pour venir lire par-dessus l'épaule de sa femme, il écarquille les yeux, de plus en plus, en lisant les mots qui sont inscrits :
"J'ai besoin de dix mille euros, je peux te vendre l'originale pour ce prix. Sinon, je pourrais toujours le vendre à une maison d'édition de porno amateur. Il serait dommage que tes enfants, tes frères et sœurs, ou tes parents se rendent compte de tes merveilleux talents d'actrice. Si tu es acheteuse, laisse un torchon rouge, demain dans la journée, à la fenêtre de ta maison."
- Mais qu'est-ce que c'est que ce bordel ? commence à crier l'homme.
- Ils ont dû faire un film...
- Mais, je vais aller porter plainte, moi !
- Attends Chéri... Et s’ils envoient la cassette à maman ou à mon frère ?
- Tu ne veux tout de même pas payer une telle somme ?
À ce moment, le portable de Béatrice fait entendre sa sonnerie, si particulière, elle se lève et va chercher l'appareil dans son sac à main, elle prend la ligne et entend :
- Au fait, ton fils fait sa terminale au lycée Saint Exupéry, c'est bien ça ?
- Heu... Oui... pourquoi ?
- Tu aimerais, toi, que ses potes trouvent une cassette avec marqué dessus : la mère de Franck Dubreuil, nouvelle star du porno ?
- Mais vous êtes fou !
- Réfléchis, avant de prendre la seule bonne décision possible, pour toi...
Le correspondant raccroche en laissant la femme dans un état de stupeur incroyable. Une minute passe dans un silence de mort, puis elle se met à pleurer et finit par balbutier :
- Il dit... Il va... Distribuer des copies... À la sortie du lycée... Si on ne paye pas... Et elle part dans une plainte lugubre où son désarroi est totalement exprimé.
- Putain ! c'est pas vrai !
Richard tire une chaise en bout de table et se laisse tomber dessus. Il pose ses coudes sur la table et se prend la tête entre les mains. Sa colère est terrible, se sentant totalement impuissant, face au maître chanteur, il s'en prend violemment à son épouse et hurle :
- Tu vois où nous mènent tes conneries ! dix mille Euros ! on fait comment, là ?
- Pardon Chéri...
- Il n'y a pas de "chéri" qui tienne ! Tu picoles, tu fais la salope avec des arabes et ça fini par nous coûter dix mille euros ! T'es folle ou quoi ?
- Pardon, répète inlassablement la blonde tout en continuant à pleurer à chaudes larmes.
- T'es vraiment une connasse !
- Pardon, mille pardons...
- Et tu vas faire comment pour payer dix mille euros ? tu vas faire le trottoir peut-être ?
- Je suis mal là, n'en rajoute pas, s'il te plaît, je suis trop mal...
- Tu es mal... C'est un peu court, tu étais mal quand tu t'es dragué l'autre beur, en boîte ?
- Oh ! Je suis une conne, pardon mon Chéri...
- T'es surtout une grosse salope, qui se fait faire le cul, par n'importe quel arabe qui passe ! Oui !
- Arrête, je t'en supplie, Franck ne va pas tarder à rentrer du lycée.
- Donne-moi la cassette, finit par dire Richard, en essayant de calmer sa colère.
L'épouse, se voulant obéissante, lui tend l'objet, puis s'écroule sur la table, la tête entre ses bras, et recommence à pleurer, de plus bel.
- Reste pas à chialer ici, Franck va effectivement rentrer, alors files dans la chambre, je dirai que tu as une grosse migraine.
Béatrice se relève difficilement. En deux jours, elle semble avoir pris presque dix ans, et la lettre de ce soir, n'est pas faite pour lui plaire. Elle se dirige, d'un pas raide, vers la chambre, l'esprit préoccupé par ce qui risque d'apparaître à l'écran, lorsque son mari décidera de visionner la cassette. Toute la journée, elle n'a fait que penser à cette soirée, à ce qu'elle a fait avec ces quatre monstres, et comment elle en est arrivée là. De plus, elle ne cesse de culpabiliser sur tout le mal qu'elle a fait à son mari, et encore, elle se rend compte que le pire est à venir, maintenant.
Richard ramasse l'enveloppe, le billet et la vidéo, sort de la cuisine et va ranger le tout dans son bureau. Et, s’il ne sait pas vraiment à quoi s'attendre, il se doute bien que le visionnage de la vidéo, va être une épreuve déchirante pour lui. Néanmoins, étant un homme qui ne fuit pas ses responsabilités, il se fait la promesse de regarder ça, en détail, dès que son fils sera parti dans sa chambre.

La soirée est lugubre, un repas vite expédié avec le fils, l'absence inhabituelle de la mère, le père maussade qui semble sur une autre planète, bref, rien, mais vraiment rien, de ce qu'on appelle une bonne soirée. Vers vingt-et-une heures, comme à son habitude, le jeune Franck va s'isoler dans sa chambre pour travailler, Richard laisse passer quelques minutes, puis se rend dans son bureau pour prendre l'enveloppe et part dans la chambre.
Là, assise dans le lit, confortablement calée sur les deux oreillers, Béatrice regarde la télé. Mais son esprit est ailleurs, son esprit vagabonde entre souffrance et volupté, dans les souvenirs douloureux et humiliants, de cette tragique nuit, mais aussi dans les émotions, les sensations fortes, géantes, dans le souvenir de ces jouissances répétitives, de ces orgasmes tels qu'elle n'en avait jamais connu auparavant. Ce qui n'empêche que, en voyant son époux arriver dans la chambre avec l'enveloppe, ses jolis souvenirs s'envolent et elle reste avec ses peurs.
- Bon... On va admirer tes exploits maintenant…
Et l'homme vient placer la vidéo dans le magnétoscope et va se déshabiller, plus par habitude, que par une réelle envie de se coucher d'ailleurs, pour finir par se glisser dans les draps tièdes.
Béatrice tremble littéralement de peur, sans savoir exactement, ce que contient la cassette, elle se doute bien que son pauvre mari ne va pas l'apprécier, mais alors, pas l'apprécier du tout. Elle tente de prendre la main de l'homme, mais celui-ci refuse visiblement ce contact chaleureux.
En appuyant sur le bouton de la télécommande, et le temps que l'appareil se mette en route, Richard dit encore avec haine :
- Putain... Qu'est-ce que tu peux me faire chier avec tes conneries !
Le film commence, et commence fort même. Sur l'écran apparaît Béatrice, une jambe maintenue en l'air par un homme, un autre accroupi devant elle, qui semble lui faire minette et un troisième qui l'embrasse ! Mais aucun des trois ne correspond, aux souvenirs que Richard a gardés d'Ahmed, le mec qui draguait, outrageusement, sa femme en boîte. Le son est assez fort pour que l'on entende distinctement les bruits de succion, que fait l'homme accroupi, puis les premières paroles sortent du téléviseur :
- Alors vieille salope, t'aimes ça être dans les mains d'arabes non ?
- Oui...
- On va te prendre comme la vieille chienne que tu es, tu le sais ça, hein ?
- Oui...
- Viens filmer son trou du cul, bien ouvert, là.
- Comme ça, tu aimes bien te faire prendre le cul, ma salope ?
- Oui...
- Tu vas voir, on va tous y passer, dans ton cul, tu vas te régaler...
Le mari trompé est estomaqué ! Il sait sa femme quelque peu volage, voire légère, mais alors là ! Il a du mal à en croire ses propres yeux. De plus, il s'attendait à voir sa femme forcée, contrainte, par ses tortionnaires, or, pour le moment, il se rend tout de suite compte, qu'elle ne subit absolument pas de contrainte, et qu'elle est même totalement participante à l'action. Déjà dégoûté, il lâche d'un ton narquois :
- Ils devaient savoir, que tu n'as pas beaucoup de mémoire, ils t'avaient préparé des dialogues, pas trop difficiles... Et après quelques secondes passées à regarder la suite du film, il laisse encore tomber :
- Grosse pute va...
Béatrice recommence à pleurer, mais en silence cette fois.
Le film continue par le déplacement du cameraman, qui vient faire un gros plan sur l'anus de la femme. Richard ne peut s'empêcher de s'écrier :
- Non mais regarde ! Regarde ça ! Et quand je te traiterai d'enculée, tu ne pourras plus dire que c'est pas vrai !
L'épouse vient d'ouvrir, à nouveau, les yeux sur les invectives de son mari, ce qu'elle voit d'elle lui fait horreur. Puis, elle entend :
- Ah salope, t'as un trou du cul ! c'est un véritable appel au peuple, ça ! Tu dois en avoir pris des bites, de ce côté-là ! Alors salope ! Tu réponds ? Combien de fois t'es-tu fait enculer ?
- Je ne sais pas.
Richard est effaré, pourtant, et bien qu'il n'est absolument pas le cœur à rire, il remarque à nouveau :
- Encore heureux, que tu n'es pas donnée le chiffre exact !
Le film se poursuit par la mise sur la table, de la femme, avec toujours des dialogues, d'une richesse incommensurable :
- Tu vas être notre pute... T'as envie d'être notre pute, hein ?
- Oui...
- Moustapha, place-là, qu'elle puisse nous sucer, pendant qu'on va la baiser.
- Vas-y, suce, salope.
Non seulement, les images choquent le pauvre mari, mais ce qu'il entend est presque pire, il se demande comment sa femme, toujours si orgueilleuse, a bien pu se laisser humilier de la sorte. Et surtout, comment, elle a réussi à mettre sa fierté, mal placée, de côté, et, visiblement, se complaire dans cette attitude. Plus pour exorciser sa douleur que pour être vraiment odieux avec son épouse, car ce n'est pas sa nature, et que si la haine l'envahie au fur et à mesure, il reste encore incapable, pour le moment, de haïr, totalement, cette femme qui partage sa vie, il dit encore :
- Ils nous donnent la solution ! En bonne pute que tu es, tu vas pouvoir faire quelques passes, pour payer les dix mille Euros, que réclament ces salopards...
- Oh non ! Pas toi... Arrête, s'il te plaît, j'ai déjà si honte !
- Stop ! À ce que je vois sur ce film, tu n'avais pas tellement honte, samedi soir, de répondre que tu étais une pute et une enculée, si ?
Ne sachant plus quoi dire, Béatrice se réfugie une fois de plus dans les pleurs Et plonge son visage dans ses mains quand elle sent, les mains de son mari sur les siennes, et qu'elle entend :
- Non, non, c'est trop facile de faire l'autruche, regardes la pute que tu peux être, quand tu es bien prise en main...
Les images se succèdent sur l'écran, et Richard se concentre sur ce qui se dit :
- Voilà une bonne vieille salope, qui va nous servir de vide couilles, les mecs !
- Voilà ma salope, deux bites d'arabe pour toi toute seule, fais-les bien bander.
- Laisse-moi la place, que je la bourre bien, cette pétasse mariée...
Un cri...
- Vas-y mon ami, défonce-lui la chatte, à cette vieille truie salace...
Des paroles en arabe.
- C'est bon ça hein salope ? Une bonne grosse queue, qui te remplie bien la chatte, hein pétasse ?
- Allez, dis-le salope, que cette bite te fait plus de bien que celle de ton cocu de mari...
- Aie... Oui...
- Tu vas voir quand Moustapha va te la mettre dans le cul...
- Comme ça ! Les bites de ces enculés t'ont fait plus jouir, que la mienne ?
Le ton de l'époux est dur. Il a les mâchoires crispées et se retient pour ne pas donner une grande gifle, à cette salope, qu'il croyait, benoîtement, fidèle.
- Ils me forçaient...
- Tu parles ! T'as l'air vachement consentante, pour une femme forcée tout de même... Le ton est très ironique et l'homme affiche un sourire mauvais aux coins des lèvres. La haine qui monte en lui, commence à transpirer par ses pores.
Le film se poursuit :
Jurons arabes...
Grands cris...
- Moi, je vais t'enculer, vieille bâtarde...
Orgasme de Béatrice.
- Non, attends, ne jette pas ta capote, va-lui faire boire ton jus de couilles...
- Tient ! Tu as appris à avaler, toi, d'un coup ? Là, même dans le ton, on ressent toute la haine qui gagne le pauvre mari jaloux. Les images lui font un mal de chien, mais il est décidé à regarder jusqu'au bout, à boire le calice jusqu'à la lie.
Le film se poursuit :
Moustapha prend le menton dans sa main et force Béatrice à ouvrir la bouche, puis, il amène le réservoir de plastique juste au-dessus, et laisse couler son sperme dans la bouche.
- Régale-toi, de ce jus d'homme, avales tout et n'en perds pas une goutte, salope.
Gros plan du foutre qui coule de la capote pour atterrir sur la langue.
- Voilà, boîte à bites à tout bu... Elle est bonne ma crème, hein ?
- Hum...
- Vient filmer l'entrée de ma teube dans son cul.
- J'arrive, attends...
Paroles en arabe.
La queue filmée entre dans l'anus de Béatrice.
Grand cri de douleur.
- Effectivement, je ne vois pas vraiment ce film arrivant chez ta mère... T'es contente de toi au moins, salope va...
La pauvre épouse redouble ses pleurs, et, une fois de plus, essaye de se soustraire aux images terribles, en s'enfouissant le visage dans ses mains.
- Non, je t'ai dit ! Tu as fait, tu regardes maintenant... Et arrête tes pleurnicheries, ça avait l'air de bien t'amuser, à ce moment-là...
Le film continue :
Gros plan, trois doigts dans la chatte et une bite dans le cul.
Réflexion en arabe...
- T'as vu, bâtarde de truie, t'as tous tes trous d'occupés !
Cris violents...
- Tu prends ton pied hein ! Vieille salope…
- Regardez, elle a une bite dans le cul et trois doigts dans la moule, et je peux encore en mettre un de plus !
- Ne jette pas ta capote ! on lui fera bouffer après...
Béatrice jouit dans un concert de cris...
Râle d'un des hommes...
- Qu'est-ce qu'elle est bonne, cette vieille pute ! Tu sens mon foutre, salope ?
- Hum, hum...
- Elle le sent et elle va même y goûter, va-lui vider ta capote, dans la gueule, à cette morue.
- Ben dit donc, ce sont des poètes, tes amis arabes...
- Pitié... pitié Chéri... J'ai si honte de moi...
- Et il était bon au moins, ce sperme que tu buvais ?
- Pitié... Et la pauvre femme éclate, à nouveau, en sanglots.
- Silence ! je suis sûr que ce petit film me réserve encore quelques surprises, alors fermes ta gueule... Morue... Puisque c'est comme ça que tes amis te nomment...
Sur le poste, on peut voir un homme, de dos, contournant la table...
Béatrice ouvre sa bouche et accueille le sperme qui coule...
- Ouais... Restes comme ça Ali, je fais un gros plan de cette bouffeuse de foutre.
La femme pousse de petits cris, qui sont déformés par sa bouche pleine...
- Prends cette vieille enculée par-derrière, je viens te filmer.
Béatrice se pâme...
Gros plan sur la bite qui va-et-vient dans le cul...
- Toi non plus, tu ne me jettes pas la capote quand elle est vide...
- Lave-moi la teube salope...
Béatrice commence à se caresser le clitoris...
Paroles en arabe...
- Vas-y, branle-toi bien, vieille pute...
L'homme s'affale sur le corps de Béatrice...
- Va lui faire boire ton foutre.
Gros plan sur cinq doigts qui forment un cône de chair et s'enfoncent dans le sexe.
Grand cri...
- Hé bien ma salope ! Quand je pense à tout le cinéma, que tu me fais... Oh pardon ! J'oubliais ! maintenant que tu es une véritable actrice X...
- Pardon... Le ton est implorant, la pauvre épouse se sent humiliée comme jamais, même lorsqu'elle a été contrainte d'uriner devant ses bourreaux, elle n'avait pas ressenti pareille humiliation.
Le film se poursuit :
Pilonnage du sexe par les doigts, bruits de clapotis...
- Branle-toi le clito, salope.
Elle s’exécute...
- Continue à te branler, qu'on te filme...
Vue générale du corps de la femme et des mains qui s'en occupent vicieusement...
- Maintenant, suce-moi, salope, c'est ta récompense.
- Branle-toi en même temps, vieille traînée.
- C'est bon hein ! Des bonnes bites d'arabes qui te font bien crier, hein !
Laissant passer quelques secondes, le mari fini par demander :
- Au fait, traînée ! C'est bon les bites d'arabes ?
Les images continuent à défiler sur l'écran :
Un homme se branle devant la bouche ouverte...
- Tient ! prend ça dans la gueule, grosse pute...
Grands cris de jouissance de Béatrice.
- Filme bien tout ça, qu'on ait des preuves.
- T'inquiètes pas, je n'en perds pas une miette, d'ailleurs, je vais faire un gros plan sur sa gueule.
- Relève la tête et fixe bien l'objectif, que l'on voit bien, la salope que tu es.
La blonde s'exécute docilement.
- C'est bien pétasse, tu vas dire à la caméra comment tu t'appelles, interroge Moustapha.
- Béatrice Dubreuil.
Quand il entend ça, Richard manque de s'étouffer. Jamais, au grand jamais, il n'aurait pu imaginer, que son épouse soit capable de tels actes. Se concentrant, il tend encore l'oreille et entend :
- Tu fais quoi dans la vie ?
- Je suis secrétaire à la mairie.
- Ton mari sait, que tu es une pute pour arabes, comme ça ?
- Non...
- T'as des enfants ?
- Oui...
- Quel âge ?
- Marc a vingt ans et Franck a seize ans...
- Ils font quoi ?
- Marc travaille, Franck est au lycée.
- Et ils se doutent que leur mère est une vraie traînée ?
- Ben non...
- Ça va ! Pour le moment, on se fout de son pedigree, à cette vieille connasse en chaleur, moi, je veux qu'elle se doigte devant le caméscope, pour faire un bon film !
- T'as entendu, salope, mets-toi les doigts dans la moule.
Richard commence à trembler, tant l'émotion est forte. Non seulement sa putain de femme le trompe, fait du X avec des arabes, mais en plus, elle dévoile sa vie privée, mettant ainsi en jeu leurs enfants, et tout ce qu'ils ont construit ensemble. Il se sent trahi et a une soudaine envie de frapper son épouse. Néanmoins, essayant de se contenir, il demande d'un ton le plus neutre, qu'il puisse pour le moment adopter :
- As-tu pensé à nos enfants, à ce moment-là ?
- Franchement... Non...
Ne pouvant plus se retenir, il ferme son poing droit, et, sans regarder cette femme, qui vient de lui manquer de respect, comme il n'aurait jamais pu imaginer, que cela soit possible, il assène un coup de poing sur la joue gauche.
Le choc est violent, mais Béatrice est inerte, sans broncher, elle encaisse et se remet à pleurer, cette fois, douleur et sentiment de honte mêlés.
- Ils ont raison, t'es qu'une vieille pute en chaleur...
Sur le téléviseur, on peut maintenant, voir la femme, qui porte sa main droite à son sexe et commence à y faire pénétrer trois doigts, en fixant l'objectif...
- Ouais, comme ça... Ouvre-toi bien la chatte, salope.
La femme écarte ses doigts et dilate sa chatte.
Un homme lui soulève les jambes, lui écarte les fesses, puis applique l'extrémité du plug contre la rosette.
- Fais-nous un gros plan sur son trou qui pète...
En moins de deux secondes, l'objet est planté dans l'anus.
Un cri d'effroi puis un bruit sourd.
- Quand elle supportera ça sans gueuler, elle pourra se faire enculer par un éléphant !
- Fin psychologue, ton ami arabe, il a senti qu'après les arabes, tu passerais aux animaux... Putain ! Mais qu'est-ce que j'ai fait au ciel, pour avoir une telle traînée ! Merde ! Et Richard commence à avoir les yeux embrumés, par des larmes.
- Je ne sais plus comment te demander pardon... Mais je t'assure que c'est toi que j'aime... Je suis sûre qu'ils m'ont droguée...
- Ben tient ! L'excuse de l'alcool ne te suffit plus maintenant ? Ferme-ta gueule ou je t'en remets, une salope…
Ne sachant plus comment réagir, la pauvre femme fixe les images qui passent sur le petit écran, elle se revoit ainsi attrapée par les bras et descendue de la table...
- Marche un peu dans la pièce, qu'on voit comment tu t'en tires.
- Non, je ne veux...
- Ta gueule pouffiasse, quand on te faisait le cul, pour ton petit plaisir de vieille bourge, tu faisais moins la fière...
- Mais vous n'avez...
- Ferme ta gueule, sinon on te fout une de ces raclée, que tu t'en souviendras toute ta vie de pute...
Un homme lui fait glisser sa robe. Elle se voit marcher à petits pas, vers le canapé...
- Reviens ici, maintenant, vieille chienne.
Elle revient vers la caméra...
Un homme tire une chaise en arrière.
- Viens t'asseoir ici...
Béatrice s'assoit...
Encore quelques mots en arabes...
- Tu vas nous laisser ton numéro de téléphone fixe, ma pute...
- Mais...
- Pas de "mais" qui tienne, tu nous donnes ton téléphone, un point c'est tout.
Un stylo et une feuille de papier sont posés sur la table, devant elle.
- Voilà, tu nous laisses ton numéro, qu'on puisse t'appeler, quand on aura envie de se vider les couilles.
- J'm'en souviens plus...
- Attention ! On vérifie tout de suite, et si ce n'est pas le bon numéro, on t'attache et te fouette, jusqu'à ce que tu finisses par donner le bon... Te voilà prévenue, pauvre conne...
Elle note son numéro sur le papier.
Des paroles en arabe puis, quelques instants de blancs sonores.
- Bien, une vieille bourge comme toi, ça doit avoir un portable, allez, tu le notes aussi.
Elle note à nouveau...
- Pour le cas où il faudrait venir te chercher, tu vas nous noter également ton adresse exacte.
Elle note encore...
- Et le code de la carte bleue ? Cette fois, la voix de Richard est terrible. Il attend quelques secondes, puis poursuit :
- Tu me diras, ils auraient eu plus de mal à tirer dix mille Euros, avec la carte !
Le film continue :
- Parfait ! Nous, on a bien mérité un bon whisky, tu vas nous le servir.
- Mais...
- Dans le bar du meuble, allez, magne-toi le cul !
Des phrases en arabes...
- Je peux avoir ma robe ?
- Non, je la garde en souvenir, on te ramènera chez toi, mais nue.
- Mais !
- J'ai dit, non, connasse !
Une grande claque sonore.
- Mets--toi à genoux devant moi, salope.
La femme s'agenouille.
Des paroles en arabe...
L'homme fait boire la femme...
- Boit pétasse, comme ça, quand on te lâchera, devant chez toi, nue comme la grosse pute que tu es, tes voisins pourront se rendre compte, que tu es aussi une poivrote...
Béatrice est violemment repoussée et tombe par terre.
- Va chercher les capotes, qui traînent sur la table, vieille pute.
L'objectif suit la femme qui se déplace en faisant un gros plan sur l'anus et le plug qui s'y trouve enfoncé.
Rires...
Elle revient avec les préservatifs.
- Mange-les ! Je veux que tu les gardes en bouche, jusqu'à ce qu'on te ramène chez toi, ainsi, tu auras la véritable haleine des putes, en fin de soirées...
- Non !
- Ta gueule, sinon t'en prends une, et une bonne encore... Si ça se trouve, ça excitera, ton mari !
- Pitié...
- Pas de pitié pour les vieilles putes, qui trompent leur mari ! tu restes debout devant nous, tu gardes les capotes en bouche et tu la fermes, les hommes boivent, toi, tu trinques, compris ?
- Oui...
- Salope ! c'est donc ça que tu crachais, quand je t'ai recueilli !
Béatrice est prise de convulsion, tant ce qu'elle voit, la choque, pourtant, elle sait pertinemment, que tout ce qu'elle a vu, tout ce que son mari a vu, n'est que réalité. Dans une longue plainte, elle balbutie encore :
- Si tu savais... Comme je regrette...
- Bouffer les capotes ! J'y crois pas !
Les images se remettent à défiler, après un léger blanc, indiquant qu'il y a eu arrêt de la prise de vue.
Gros plan sur l'entre-jambe de Béatrice, en plan fixe.
Elle pisse pendant une bonne minute, puis finit par se pisser dessus.
Nouveau blanc, le caméscope a été coupé, puis rallumé.
Nouvelles séquence, Béatrice en train d'éponger sa propre urine.
Gros plan sur son visage.
- Ouvre-la bouche, que je vois que tu as toujours tes capotes...
Elle se remet debout.
- Tourne-toi et penche-toi en avant, que je vois une fois encore, si le plug est bien en place.
Elle se tourne et se penche en avant.
- Je suis sûr que ton mari va apprécier de te retirer ton plug, tout à l'heure. Remarque, ça lui donnera peut-être quelques idées neuves, pour te dresser... Bon, allez les gars, on ramène cette vieille pute chez elle, j'ai envie de me coucher et de dormir un peu.
Béatrice se redresse et se dirige vers la table, elle est bloquée.
- À poils ! je t'ai dit que je te ramène à poils, t'as pas encore compris ce que veut dire : À poils ?
- Pitié...
Une grande gifle.
- Tu voulais te faire des arabes, bon, on t'a fait jouir, bon alors ! Maintenant, ce sont nos conditions, un point c'est tout !
- Mais je ne peux pas...
Une nouvelle gifle.
- À poils, comme la vieille pute que tu es !
Fin du film.

Richard ne peut décrocher son regard de l'écran noir, zébré de fins traits blanchâtres. Il reste perdu dans ses pensées, à se demander comment la femme, avec qui il vit depuis presque trente ans, a pu se laisser aller à de tels actes ? Comment cette femme fière et orgueilleuse, a pu être humiliée de la sorte ? Comment cette femme réfléchie, habituellement, a bien pu mettre ainsi en péril leur couple ? Comment cette femme a pu aller, jusqu'à oublier ses propres enfants ?
Et si les images qui défilaient sur l'écran, lui amenaient une haine et une violence, dont il ne se serait jamais cru capable, envers son épouse. Maintenant, cette haine a fait place à un dégoût, un profond dégoût. Il se relève et va sortir la cassette du magnétoscope.
Béatrice pleure. Quand elle voit son mari reprendre la vidéo et se diriger vers la porte, elle supplie encore :
- Pardon mon chéri, ne me laisse pas, je t'en prie, je suis trop mal là...
- Tu me dégoûtes...
- Non ! Pitié ! Comment puis-je réparer mes fautes ? Pitié !
- Je ne sais pas, je ne sais même pas si c'est possible, en fait...
- Oh si ! Il le faut... Je t'aime et je veux réparer, je t'en supplie, crois-moi.
Mais l'homme n'écoute déjà plus et sort de la chambre. Il se rend dans son bureau et range précautionneusement la vidéo. Il prend un roman policier et commence à lire. Son esprit est ailleurs, le livre ne le captive pas. Il entend sa femme pleurer à nouveau et se demande si effectivement, elle pourrait racheter ses fautes, et comment.
Les images qu'il vient de visionner tournent dans sa tête, et chaque image est une source d'humiliation pour lui. Bientôt, cette haine sourde revient le hanter. Il pose son livre, se relève et retourne dans la chambre.
- Je ne sais plus comment te demander pardon. Implore l'épouse avec sa voix cassée par les pleurs et ses yeux rougis.
- Pour commencer, je veux voir ton trou du cul...
- Hein !
- Tourne-toi et montre-moi ce trou du cul !
Ne voulant pas envenimer une situation, qu'elle a tout de même provoquée, Béatrice replie le drap et se tourne sur le ventre.
- Écarte les jambes.
Docilement, Béatrice tend ses jambes et les écarte, dévoilant ainsi impudiquement son anus brun, légèrement fripé et encore ouvert, suite au traitement du plug, de l'avant-veille.
- Hum ! Le ton est ironique. Quelques secondes s'égrainent puis Richard enchaîne :
- Je te signale que tu as encore le trou du cul ouvert !
- Je m'en doute, je le sens encore.
- Finalement, ce sont tes amis qui avaient raison, un trou bien ouvert, entre tes petites fesses flasques, ça fait tout de suite plus pute !
- Oh non ! Pas toi, pitié, ne me traite pas de pute, mon Chéri.
- Dis donc ! Qui est-ce qui s'est fait filmer l'autre nuit ? Toi ou moi ?
- Aide-moi, je t'en supplie !
- Bien sûr... Et comment va-t-on faire pour payer cette somme ?
- Je vais prendre un crédit à mon nom, je te promets de faire des heures supplémentaires, pour le rembourser... Toute seule.
- Là, c'est clair ! Il n'est pas question que toute la famille paye tes turpitudes !
- Non, bien sûr, je me rends bien compte...
- Tais-toi ! on n'est pas là pour parler gros sous, tu veux pouvoir me demander pardon, c'est bien ça ?
- Oui chéri...
- Hé bien, pour commencer, tu vas dormir avec le god dans le cul.
- Oh non ! Pas ça !
- Tu préfères le divorce pour faute ?
- Non ! Cette fois c'est un véritable cri de désespoir, qui sort de la gorge de la pauvre femme.
- Bon alors, à partir de ce soir, tu dormiras tous les soirs, avec le god dans le cul...
- Oh non !
- Ferme-la ! Vieille pouffiasse en chaleur...
Sa culpabilité est telle que Béatrice finit par se taire et par accepter, ce que son époux exige.
L'homme va prendre le plug dans l'armoire, là même où il l'a caché le dimanche matin. Il le jette sur le lit, juste à côté de la tête de son épouse, et annonce :
- Tu vois, je suis moins dégueulasse que tes amis arabes, moi, je vais aller chercher un peu de vaseline, pour que tu ne souffres pas trop. Puis, il sort de la chambre.
La pauvre femme se sent salie à nouveau, comme lorsqu'elle a été obligée d'uriner devant ces monstres. Elle pense aussi beaucoup à cette fichue cassette, à tout le mal qu'on pourrait lui faire, à elle, en la diffusant, mais aussi à sa famille, pour son mari, c'est déjà fait. Elle se rend compte de la douleur qu'il éprouve, elle sait pertinemment qu'elle l'a trompé au-delà de tout ce qu'il aurait pu imaginer, et cette idée lui est insupportable. Elle entend la porte de la chambre s'ouvrir.
- Voilà, je vais m'occuper de ton cul de putain...
- S'il te plaît ! Pas ce mot-là...
- Si ! Justement ! Et peut-être même que cela te manquait, que je ne te traite pas de pute !
L'homme s'approche du lit, ouvre le tube de vaseline et prend le gros plug en main. Il dépose le produit sur le bout de l'objet, puis sur sa partie la plus enflée.
Béatrice Ne bouge pas et ferme ses yeux. Se souvenant parfaitement de la douleur qu'elle a ressentie, deux jours auparavant, lorsqu'elle fut pluggée pour la première fois de sa vie, elle essaye de se calmer et de se persuader que cette fois, son anus étant encore ouvert, elle ne ressentira pas la même brûlure.
Maintenant que le jouet de caoutchouc est bien enduit de vaseline, il se baisse pour être à la hauteur du lit, prend la base de l'objet de sa main droite et écarte les fesses plates de son épouse. Richard présente le bout du plug sur le sphincter, puis dit :
- Rappelle-toi ton tournage.
À ce moment, il appuie fortement sur l'objet, pour le faire entrer.
- Aie ! Tu me fais mal là !
- Cambre-toi salope, cambre-toi bien... Puis il appuie à nouveau, mais cette fois de toutes ses forces et le plug rentre, en entier, dans l'anus.
La pauvre femme ne peut s'empêcher de pousser un cri de douleur, à l'introduction de ce corps étranger, qui lui déchire les entrailles.
- Ne crie pas ! Franck va se demander ce qui se passe ici !
- Mais ça me brûle... Ça me brûle !
- Ta gueule putain... Samedi soir, tu faisais bien moins de simagrées.
- J'ai mal là, Richard... Pitié, ne sois pas aussi pervers que ces salopards, s'il te plaît mon Chéri, implore encore la blonde.
- Ferme-la et essaye de dormir, moi, je vais dans mon bureau, j'ai pas vraiment envie de dormir, avec une mangeuse de capotes usagées.
Terriblement humiliée par ces dernières paroles, Béatrice se remet à pleurer, une fois encore. Bientôt, elle entend la porte de la chambre s'ouvrir, puis se refermer. Et comme la vive brûlure qu'elle vient de ressentir, commence à s'estomper, elle n'ose pas faire ressortir le plug, de peur d'avoir, à nouveau, très mal. Elle reste ainsi, sur le ventre, les fesses à l'air, le cul rempli par le gros jouet de caoutchouc, à attendre le retour de son mari.
Une bonne demi-heure plus tard, alors que l'époux n'est pas revenu dans le lit conjugal, elle s'endort.
Le lendemain matin, vers six heures trente, Béatrice se réveille seule dans son lit. Elle est toujours sur le ventre, et très vite, elle reprend conscience de la présence du plug dans son anus. Elle commence à paniquer et cherche à se lever, mais elle est contrainte de faire très attention, aux mouvements qu'elle fait, pour éviter des douleurs, par trop fortes.
C'est une nuit blanche qu'a vécu Richard. Il a vagabondé de séries télévisées en revues diverses, en passant par des visites de sites internet, mais le sommeil n'a jamais été au rendez-vous. En permanence, il revoyait son épouse avec les quatre hommes, il la revoyait se faire prendre, uriner devant eux, marcher avec son plug, sucer, se masturber sur commande, tout un tas de choses, dont il aurait bien eu envie. Des jeux, que sa femme lui refusait, jadis. Et là, cette nuit-là, elle a autorisé des inconnus à faire, ce qu'elle lui refusait toujours. La haine sourde est toujours présente, mais aussi une énorme jalousie. Il entend bientôt des bruits venant de la chambre conjugale attenante. Il se lève et s'y rend.
- Ma putain a bien dormi ?
- Oh chéri ! Tu ne vas pas recommencer ?
- Allez salope, sur le ventre que je te retire le god.
Comprenant, malgré qu'elle ne soit pas encore très bien réveillée, que son mari est encore très en colère, et tenant à aplanir tout problème, de manière à éviter un conflit dès le matin, docilement, Béatrice s'allonge sur le ventre et écarte ses jambes en grand.
L'homme vient s'asseoir sur le bord du lit, s'empare de la base du plug et tire fermement dessus.
- Aie ! Mais ça va pas non ! Ça fait mal !
- Et de te voir, en reine du porno arabe amateur, tu ne crois pas, que ça fasse mal aussi ?
L'épouse, humiliée une fois de plus, ne répond plus rien. Elle reste dans sa position, à penser au désastre, que ses frasques ont pu amener. Son anus est béant et ses fesses marquées, par la base du plug, qu'elle a porté toute la nuit.
Richard, contemplant le cul de sa salope de femme, pose le plug près de sa tête, se lève et dit :
- C'est vrai, que tu vas bientôt pouvoir te faire enculer, par un éléphant, tu penses lancer ta carrière cinématographique dans la zoophilie ?
- Je t'en prie, c'est déjà suffisamment dur pour moi, en ce moment, Chéri.
- Pas pour moi, si tu veux ! Bon ! Lève-toi et va laver le god, il y a ta merde dessus ! Il faut qu'il soit propre pour ce soir...
Le mari sort de la chambre et se dirige vers la cuisine, pour préparer son petit déjeuner.
La vive douleur s'estompe peu à peu. Mais au moment où Béatrice pense se lever, une fulgurante envie de déféquer la prend. Elle se lève d'un bond et court aux toilettes.
Lorsqu'elle entre dans la cuisine, elle tente de faire un gentil bisou à son mari, mais celui-ci détourne la tête. C'est donc excédée, qu'elle va s'asseoir en face de lui. Puis, essayant de combler le vide du silence qui les entoure, elle annonce :
- Faut pas le laisser toute la nuit, le god, ce matin, j'avais des fuites...
- Faudra t'y habituer. Le ton est sec, l'homme se lève en disant encore :
- Et tâche de penser au chiffon rouge, j'ai pas envie que mes fils voient leur vieille pute de mère, à la télé.
La semaine passe. Tous les soirs, Richard plugge sa femme, qui ne lui résiste pas, et tous les matins, il lui retire le jouet horrible. Béatrice souffre toujours autant, à l'introduction et à l'extraction de l'objet, mais elle a appris à n'en rien dire.

Le vendredi soir, alors que le couple n'avait plus aucune nouvelle du maître chanteur, et qu'il commençait à se dire que l'ignoble bonhomme, n'avait peut-être fait toutes ces démarches, que pour les effrayer. Béatrice trouve une nouvelle enveloppe, sans nom, dans la boîte aux lettres.
Richard, à qui elle vient de remettre la lettre, l'ouvre et la lit à voix haute :
- Allez au parking de la gare mercredi prochain à vingt heures. Descendez au troisième sous-sol, laissez un sac "auchan", bien fermé, contenant l'argent dans la poubelle, près de la porte de sortie de secours, et repartez. Je connais vos voitures et vos visages, si vous tentez de rester, vos enfants recevront de jolies vidéos.
- Oh non ! C'est pas vrai !
- Voilà où nous mènent tes conneries...
- Qu'est-ce qu'on va faire ?
- Toi ? Prendre un crédit !
Béatrice se met à pleurer, autant de rage contre le maître chanteur, que contre elle-même.
- J'ai une idée, annonce le mari.
- Laquelle ? Demande l'épouse en reniflant bruyamment.
- Nous connaissons le lieu de l'échange, mais il nous connaît et connaît nos voitures, je vais donc louer une petite voiture, mettre une perruque et une fausse moustache, et j'attendrais qu'il vienne prendre l'argent, pour le suivre et savoir qui est ce monsieur.
- Mais, ça peut être dangereux !
- T'as vraiment dix mille Euros à perdre ? Sans compter, qu'il ne nous parle pas un instant de la cassette originale, et s’il voulait plus ensuite ? On ferait quoi ?

Le soir fatidique arrive enfin, Béatrice a emprunté la somme pendant le week-end, et a pris son après midi, pour aller retirer en liquide, le montant. Même en billet de 100 Euros, c'est un joli paquet.
Vers dix-huit heures, Richard rentre à son tour, il vient de louer une petite voiture bleue, qu'il a garé deux rues plus loin, pour plus de discrétion.
Leur fils étant déjà rentré du lycée, le couple discute peu. Le mari prend deux sacs "auchan", dans le premier, il place l'argent entouré de plusieurs gros élastiques, dans le deuxième, il met la moustache postiche, la perruque frisée et une paire de lunette, légèrement foncée.
À dix-neuf heures quinze, Béatrice prend le sac plein de billets, sort sa voiture et part en direction du centre-ville, et se gare près de la mairie pour attendre l'heure du rendez-vous. Le mari reste à la fenêtre et vérifie, que personne n'observe la maison.
À dix-neuf heures trente, l'homme, munie de son sac de grande surface, sort de chez lui, à pied et va prendre sa voiture de location. Il démarre et se rend directement au troisième sous-sol du parking. Là, une fois garé, de manière à voir parfaitement la poubelle indiquée, il téléphone à sa femme pour lui annoncer, qu'il est en place.
À dix-neuf heures cinquante-cinq, l'épouse repart de son stationnement et arrive à vingt heures quatre, devant la poubelle du troisième sous-sol. Là, laissant son moteur tourner, elle descend de sa voiture avec le sac et le met comme convenu dans la poubelle. Puis, elle repart et rentre chez elle.
Richard n'attend pas très longtemps, quelques minutes plus tard, trois nord-africains entrent par l'accès gare. Ils se dirigent directement sur la poubelle. Maintenant les trois hommes sont autour de la poubelle ouverte et le mari observe, mais ne voit pas exactement ce qu'ils bricolent. Un instant plus tard, les trois hommes partent dans trois directions différentes, chacun portant un sac auchan à la main.
Richard comprend l'astuce, il réfléchit très vite et décide de suivre l'un des trois au hasard. Il sort de la voiture et se dirige vers l'accès gare. L'homme devant lui marche d'un bon pas, et quand il attaque les escaliers, Richard se précipite pour ne pas le perdre. Il voit l'homme arrivé en haut des escaliers et se diriger vers la sortie de la gare. À son tour, il sort de la gare, mais il ne peut que constater que l'homme monte dans une vieille voiture qui démarre très vite. D'où il se trouve, Richard ne peut pas lire la plaque d'immatriculation. Il reste un instant figé sur le pas de la gare, puis décide de rentrer chez lui.
Une autre semaine passe sans que le couple n'est de nouvelle du maître chanteur, mais ils n'en reçoivent pas pour autant, la fameuse cassette originale promise. Les soirées sont lugubres, Richard n'a toujours pas digéré que sa femme le trompe, et souvent, les soirs, il regarde le film, ce qui n'est pas pour calmer sa haine.
De même pour Béatrice, le fait d'être pluggée tous les soirs, jusqu'au lendemain matin, est là pour lui rappeler sa faute, et cette faute la hante effectivement, surtout que maintenant, il y a une somme d'argent assez conséquente, qui est en ligne de compte. Et, connaissant son mari qui, sans être pingre, est tout de même assez près de ses sous, elle sait qu'elle n'a aucune aide à attendre de lui, sur le plan pécuniaire.

Le jeudi soir, vers dix-huit heures trente, le portable de la blonde sonne. Ne recevant que rarement des appels, sur cet appareil, le couple échange un regard anxieux. Béatrice s'empare du téléphone et prend la communication. Tout de suite, elle reconnaît la voix du maître chanteur et fait signe à son époux de la suivre dans la chambre.
Le correspondant commence d'une voix ironique :
- Au fait, merci pour l'autre soir... Mais j'ai encore de gros besoin...
- Non ! Vous deviez nous donner l'originale !
- Écoute salope, je ne suis pas un monstre et je ne veux pas vous mettre sur la paille, mais tu dois comprendre que j'ai aussi besoin d'argent...
- Et vous ne pouvez pas travailler comme tout le monde ?
- Mais pour les bourges de ton espèce, on est juste des bêtes...
- Ça va pas non ! Je ne suis pas raciste, moi !
- Écoutes vieille pétasse, j'ai besoin de mille Euros et tu vas les gagner pour moi... Je connais un vieux monsieur, plein aux as, je lui ai montré la cassette de tes exploits, et il est prêt à me donner cette somme, s’il peut te rencontrer...
- Mais ! Je ne suis pas une pute !
- Quelque part... Si !
Perdant son sang-froid, Béatrice, de rage, coupe la communication et commence à pleurer.
Le téléphone cellulaire sonne à nouveau. Richard s'empare de l'appareil et prend la communication.
- Allô ? dit une voix avec un accent maghrébin prononcé.
- Que voulez-vous encore ? Répond sèchement Richard.
- Que votre vieille pute me rapporte mille Euros, c'est tout...
- Pour commencer, vous nous devez une cassette, il me semble que vous avez touché votre argent, non.
- Oui... Mais j'ai besoin, maintenant, de mille euros...
- Vous vous imaginez quoi ?
- Écoutez, vous n'êtes pas en position de négocier. J'ai besoin de votre vieille pouffe, j'ai un client pour elle à mille euros.
- Mais vous prenez ma femme pour une prostituée !
- Oui... Pourquoi, vous la prenez, vous, pour une sainte ? Assez discuté, j'ai besoin de votre pétasse demain soir à vingt-deux heures trente, sinon je distribue des cassettes pornographiques et des photos, et je commence par le lycée de votre fils Franck.
- Ordure !
- Si vous réussissez à la convaincre, de faire son premier client, demain soir, vous laissez un chiffon rouge à la fenêtre, demain.
Et le maître chanteur raccroche, laissant Richard avec un goût amer en bouche, le regard dans le vague et une grimace de haine, qui déforme son visage.
- Chéri, que t'as dit ce salaud ? La voix de Béatrice est implorante et elle voit, pertinemment, que son mari est perdu dans ses pensées.
Quelques secondes passent, l'homme tourne très doucement son regard vers sa femme, la fixe dans les yeux, puis, laisse tomber d'une voix sourde :
- Demain, tu découvriras ce que c'est ; que d'être une vraie putain...
- Oh non ! et l'épouse se met à crier à son mari :
- Salaud !
Richard donne une grande gifle à sa femme, puis, avec la même voix sourde, toujours en la fixant droit dans les yeux, qui commencent à se mouiller, il poursuit :
- Voilà où nous mènent tes conneries, salope ! Ah, t'avais le feu au cul, l'autre soir, maintenant, tu répares, je ne veux pas que mes enfants apprennent qui tu es réellement. Puis, il sort de la chambre, laissant Béatrice seule en pleurs.

Le petit déjeuner est lugubre, comme les autres jours, Béatrice a été pluggée pour la nuit, son époux a été dormir dans son bureau, et ce matin, il n'a pas lâché un seul mot, même quand il est venu retirer le plug. Juste avant qu'il ne parte travailler, il regarde sa femme d'un air mauvais et précise :
- Surtout, tu n'oublies pas le chiffon rouge à la fenêtre.
La mort dans l'âme et après avoir longuement hésité, la pauvre femme finit par mettre le tissu à sa fenêtre. Puis, elle se rend à la mairie.
Le soir, en rentrant du travail, et pour éviter de croiser le regard réprobateur de son mari, Béatrice se met à faire son ménage, dans la chambre à coucher. Vers dix-huit heures, son portable sonne et elle décroche.
- Allô ? fait la voix que la blonde commence à reconnaître, du premier coup.
- Oui...
- Ce soir, vingt-deux heures, devant la base nautique du lac, nue sous un manteau, juste des bas et un porte-jarretelles.
- Mais ! Il fait trop chaud pour mettre un tel manteau !
- Tu peux venir toute nue si tu veux, du moment que tu portes des bas... Et le correspondant raccroche.
À ce moment, Richard entre dans la chambre, car il a entendu le téléphone sonner. Il fixe sa femme et demande d'une voix sans compassion :
- Alors ?
- Le salopard veut que je sois à vingt-deux heures devant la base nautique, juste mes bas sous mon manteau ! Je ne sais pas si je vais y aller...
- Et comment encore que tu vas y aller ! Il n'est pas question que mes enfants pâtissent de tes turpitudes !
- Mais tu te rends compte ? Si on me voyait...
- Les gens diraient que tu es une vieille pute... Ça tombe bien, c'est justement le cas. Richard tourne les talons et sort de la chambre.
Après le repas en famille, une fois la cuisine débarrassée et que Franck est parti dans sa chambre, le mari laisse tomber, d'un ton sans appel :
- Va-te préparer morue.
Dans une tristesse infinie, la blonde sort de la pièce et se rend dans la chambre à coucher. Là, elle se met nue, passe son porte-jarretelles noir puis des bas noirs eux aussi. Elle sort son manteau d'hiver de la grande armoire, qui occupe presque tout un pan de mur de la pièce, et c'est à ce moment, que son époux entre.
- Fais voir...
Béatrice pose son lourd manteau sur le lit et se tourne vers son mari, droite, les bras le long du corps, statique.
- Tu as des poils qui repoussent sur ta chatte de salope... Allonge-toi sur le lit, je reviens.
- C'est pas le moment !
- Ta gueule, la pouffiasse... J'ai une pute en guise de femme, au moins, qu'elle soit présentable !
- Attends hé !
Sans se préoccuper de ce que veut dire son épouse, le mari sort de la chambre, va dans la salle de bain. Là, il s'empare de son blaireau, le passe sous l'eau très chaude, puis le charge de son savon à barbe. Il prend son rasoir, une serviette et retourne dans la chambre.
Pendant ce temps, la pauvre femme s'est allongée sur le lit. Ses yeux sont embués de larmes. Elle aimerait se sentir soutenue, aidée par cet homme, qui était, jusqu'à cette horrible soirée, un homme compatissant, sympathique, à son écoute et toujours prêt à l'aider. Or, aujourd'hui, il lui semble que tout cela est fini et bien fini. Elle ne reconnaît plus son époux, jamais elle n'avait été giflée, jamais elle ne l'avait entendu l'injurier, jamais elle ne l'avait connu méchant. C'est certainement, plus tout ça encore, qui lui donne ce profond mal au cœur, plus encore que sa haine envers ses tortionnaires, plus encore que le dégoût d'elle-même, elle se sent responsable de ce séisme dans son couple, et ça la rend malade.
- Écarte les cuisses, que je te rase la moule...
Toujours docilement, et bien que cela lui soit des plus désagréable, elle exécute l'ordre, qu'elle vient de recevoir.
Sans un mot, Richard s'assoit sur le bord du lit et badigeonne le sexe de sa femme de savon. Il pose le blaireau ensuite sur la table de chevet, et retire la protection du rasoir. Il ne prend pas moins de cinq minutes à raser précisément le pubis, mais aussi le bord des lèvres. Il finit par essuyer les quelques restes de marques de savon et vérifie minutieusement son travail.
Durant toute l'opération, la blonde ne bronche pas. Néanmoins, elle ressent un certain malaise, car son mari opère sur elle, comme s’il s'agissait d'une parfaite inconnue, sans douceur, sans mot tendre, rien. Elle voit son époux s'essuyer les mains, regarder sa montre, et elle s'entend dire :
- Allez vieille pute, au boulot maintenant. L'homme se lève et sort de la pièce avec ses ustensiles.
Béatrice se lève à son tour, attrape son manteau d'hiver et va rejoindre son mari, qui l'attend dans la cuisine.
Toujours dans un silence religieux, l'homme ouvre la porte qui donne sur le sous-sol et descend les quelques marches. Il ouvre la porte du garage et monte dans la voiture.
Les yeux pleins de larmes, l'épouse soumise, monte à son tour dans le véhicule. Alors que la voiture démarre et sort du garage, après avoir reniflé et dans un sanglot, elle commence à dire :
- Tu ne m'aimes plus !
- Parce que c'est par amour, que tu t'es fait enfiler par les quatre arabes, qui nous coûtent une fortune aujourd'hui ?
Un bon quart d'heure plus tard, la voiture s'arrête aux portes de la base nautique, qui est fermée à cette heure tardive. Le mari se tourne vers sa femme et lui dit :
- Allez, va faire la pute, ça te fera peut-être réfléchir aux conséquences de tes actes, la prochaine fois...
Blessée dans son amour-propre, car ces mots lui rappellent qu'effectivement, elle est à l'origine de tout ce qui se passe, en ce moment, la blonde descend de la voiture et ferme la portière derrière elle, sans une autre parole. Elle voit son mari faire demi-tour et repartir. Maintenant seule, elle se sent honteuse d'être dehors à cette heure, nue sous un manteau qui n'est pas de saison et qui lui donne effectivement le look d'une prostituée, qui attend le client.
Après être restée quelques minutes, figée devant le lourd portail de la base, elle décide d'aller se mettre à couvert sous les arbres, qui sont à quelques pas à peine de là où elle se trouve. À nouveau, l'attente recommence. À chaque voiture qui passe ou ralentie, elle croit mourir. L'attente dure un bon quart d'heure quand elle entend finalement marcher derrière elle. Elle se retourne et voit un homme masqué qui lui ordonne :
- Tourne-toi et ne regarde pas...
La blonde se retourne donc et attend. maintenant qu'elle sait définitivement, que tout ceci n'est pas une farce, elle commence à trembler de peur.
- Bouge pas...
Elle sent que l'homme est tout près d'elle, elle voit quelque chose de noir passer devant ses yeux et elle se retrouve avec un bandeau à cause duquel, elle ne voit maintenant plus rien. Elle sent encore que l'homme passe devant elle et ouvre son manteau, qu'elle essaye encore de tenir fermé quand elle entend :
- Je vérifie, tu permets !
Cette fois, elle se laisse faire en s'attendant à quelques attouchements désagréables, mais rien ne se passe. Elle entend encore l'homme tapoter sur un portable, puis dire :
- C'est OK, vous pouvez venir.
Encore quelques instants d'attente, avant qu'une voiture ne s'arrête près d'elle. Elle est prise par la main et dirigée pendant quelques pas. Là, on lui tient la tête pour la baisser, et on la guide dans la voiture. L'homme monte après elle à ses côtés. Puis, elle entend :
- Voici notre star !
Béatrice a reconnu la voix d'Ahmed, mais ce n'est pas parce que le ton qu'il emploie, est plutôt bienveillant qu'elle est rassurée pour autant. D'ailleurs, elle sent déjà une main qui lui écarte les cuisses. Puis deux doigts essayent en vain de s'enfoncer dans son sexe sec, en lui arrachant un cri :
- Aie !
- Eh bien ! Tu ne mouilles pas à l'idée de faire ton premier client ?
- Oh ça va hein !
- Doucement salope, n'oublie pas que j'ai toujours une cassette dont je peux tirer quelques photos pour les distribuer à la sortie du lycée de ton gamin...
Puis Ahmed s'adresse en arabe à quelqu'un d'autre, qui lui répond en français :
- Oui, oui, j'ai bien envie de lui mettre ma grosse bite dans le cul, à cette vieille pétasse.
Cette fois, c'est la grosse voix de Moustapha, que la femme vient de reconnaître et elle se souvient que l'homme est monté comme un âne, aussi, son désespoir pointant dans le ton de sa voix, implore-t-elle :
- Je vous en supplie, pas mon anus...
- Mais si, un bon petit coup dans le cul, avant d'aller au charbon...
- Pitié ! Mon mari me punie tous les soirs en me mettant le god que vous m'avez laissé l'autre jour ! C'est déjà assez douloureux comme ça !
Les deux hommes, assis à côté d'elle, se fendent d'un rire gras. Puis, Ahmed enchaîne :
- Il est malin le mari, il pourra, peut-être, mettre sur le tapin, sa salope, pour rembourser ce qu'elle nous a donné !
- Allez, montre-moi ton cul salope. Demande Moustapha sur un ton ne supportant aucune contradiction.
Béatrice sent des mains puissantes, qui s'emparent de sa tête et la penche sur le côté. Elle se retrouve très vite à moitié allongée, sur des jambes qu'elle pense être celles d'Ahmed. Elle sent alors, que l'autre homme tire sur son manteau puis, le remonte sur son corps. Tout de suite après, elle sent des grosses paluches, qui lui écartent les fesses sans douceur.
- C'est vrai qu'elle est très dilatée du petit ! S'étonne Moustapha en s'adressant à son ami, comme s’il parlait d'une simple chose. Puis, sans prévenir, il enfonce trois de ses gros doigts dans l'anus offert.
- Aie ! S'écrie la pauvre femme.
- Incroyable, je lui mets directement trois doigts dans le cul et ils passent tous seuls !
- Impeccable ! comme ça nous n'aurons plus aucun remords, à nous vider dans ses intestins ! Répond Ahmed avec dédain.
- J'ai une de ces envies de l'enculer ! Je ne t'en parle même pas...
- Te gêne pas, elle est là pour ça ! Cette vieille salope n'est là, que pour notre plaisir.
Béatrice voudrait se rebiffer, hurler, mais elle sait parfaitement qu'elle n'en a pas les moyens. De plus, et aussi bizarre que cela lui paraisse, la brûlure due au passage des doigts s'estompe très vite et elle sent monter, aux creux de ses reins, une sourde excitation.
Moustapha sort sa grosse queue, déjà partiellement en érection, de son pantalon, se masturbe pendant quelques instants, pour la faire durcir, tout en jouant à roder l'anus, à sa portée, de ses trois doigts qu'il fait coulisser.
Les doigts qui entrent et sortent de son cul mettent la pauvre femme dans un état second. Étant très clitoridienne, elle faufile sa main gauche entre ses cuisses et commence à se caresser, elle aussi.
L'homme, sortant une dernière fois ses doigts de l'anus, pour enfiler une capote. Quand, il estime être suffisamment excité, s'aperçoit que la blonde est en train de se donner du plaisir. Avec un sourire vicieux, il annonce à son pote :
- Elle se branle la vieille chaude ! Tu te rends compte d'une salope toi ?
- Bourre-lui bien le cul alors... Puis s'adressant à la femme, il poursuit :
- C'est bien, je suis content de toi, ma salope, régale-toi bien avec la grosse bite de Moustapha dans ton cul, comme ça, tu seras plus en forme encore, pour ton premier client...
Les mots se bousculent dans le cerveau de Béatrice. À nouveau, et tout comme la première soirée, les insultes l'excitent et commencent à lui faire perdre la tête. Tout se passe en elle, comme si elle rêvait secrètement de devenir une putain, même si cette idée la rebuterait, dans d'autres conditions, maintenant et ici, elle commence à prendre son pied, en se masturbant.
Moustapha présente son gros dard à l'entrée du rectum, puis, dans un geste rapide et puissant, il s'enfonce, dans la blonde, de toute la longueur de sa queue.

L'objet qui vient lui remplir les boyaux, lui parait énorme, pourtant, et grâce aux nuits pluggées qu'elle a passé, Béatrice accepte tout à fait l'engin qui la pénètre. Très vite, sous les assauts de cette grosse lance, elle commence à miauler de plaisir.
- Hé, hé, hé, ricane Ahmed en voyant le manège. Il a une sorte de sixième sens, qui lui permet de comprendre ce que les femmes ressentent, quand elles font l'amour, il poursuit, en s'adressant à la blonde :
- Tu vois, je te l'avais bien dit, tu es presque mûre pour te faire enculer par un cheval...
Les paroles qu'elle perçoit, les va-et-vient dans ses entrailles, le fait d'être ainsi en voiture et susceptible d'être vue dans la rue, tout concourt au plaisir pervers de Béatrice. Elle pousse des cris à chaque fois que la bite va au plus profond d'elle.
Moustapha lime comme un démon. Il sait qu'il n'a pas toute la nuit devant lui, et, en bon égoïste qu'il est, il s'occupe de son plaisir, sans penser une seule seconde, à celui de la blonde. Et comme il s'est imaginé, toute la journée, enculer cette femelle encore jolie pour son âge, il ne tient pas très longtemps à ce rythme.
Béatrice sent que l'orgasme monte, elle crie de plus en plus fort et s'acharne maintenant, sur son bouton d'amour.
- Prends ça pétasse, cri l'homme en éjaculant dans sa capote.
La femme sent les longues giclées s'écraser au fond du préservatif, cela la met encore plus en transe et elle se laisse aller à jouir, comme une folle.
- Putain ! Qu'est-ce qu'elle est bonne, cette vieille salope !
- Ouais... Je me trompe rarement dans le choix de mes salopes, tu sais Moustapha, répond Ahmed comme si l'homme voulait lui faire un quelconque compliment.
- C'est vrai que tu es un chef, pour nous trouver des grosses truies comme celle-là !
- Bon ! T'oublie pas de lui donner ton foutre à boire...
- Bien sûr ! Et un jus de capote pour la petite dame.
Joignant le geste à la parole, l'homme retire prestement son préservatif et le tend à son ami et complice. Celui-ci s'en empare de sa main gauche, attrape les cheveux blonds de l'autre main et contraint la pauvre femme, à tourner la tête. Il la fixe dans les yeux et ordonne encore :
- Tiens salope, voilà ta récompense...
Et comme la blonde reste avec la bouche fermée, en regardant effrontément l'homme, qui lui tire les cheveux, elle entend encore, mais cette fois le ton est beaucoup plus dur :
- Bois, salope...
Sentant qu'elle n'aura pas le dessus avec son tortionnaire, elle finit par ouvrir sa bouche et laisser entrer dedans, l'épais jus, qui coule de la capote usagée.
- Voilà, c'est bien... Il faut que tu t'y habitues rapidement, à ce genre d'exercice, les clients à qui tu auras affaire, bientôt, seront très généreux, si tu fais ce genre de chose, sous leurs yeux...
À nouveau, les yeux de la pauvre Béatrice s'embrument de larmes. Maintenant qu'elle vient de jouir, maintenant que ses nerfs sont calmés, toute l'horreur de la situation, remonte en elle.
Bientôt la voiture ralentie, tourne et entre dans un grand parc. Après quelques dizaines de mètres, elle stoppe enfin au pied d'un escalier monumental. Une fois le moteur coupé, Ahmed donne ses consignes à ses amis en arabe, puis il sort de la voiture et escalade l'escalier.
Peu de temps après, il revient, ouvre la portière et attrape Béatrice sans ménagement par le bras, pour la faire sortir du véhicule. Dès que la pauvre femme est en dehors, il s'adresse, toujours en arabe, à ses complices, qui sortent à leur tour. Tout ce petit monde monte les marches et entre dans la grande demeure qui ressemble plus à un château qu'à une maison bourgeoise.
La pauvre femme blonde se laisse conduire, n'ayant pas trop d'autre choix. Et si le bandeau lui empêche de distinguer quoi que ce soit, elle arrive néanmoins à se rendre compte qu'elle vient d'entrer dans un lieu très éclairé. L'étreinte sur son bras se relâche, puis elle sent qu'on tente de lui retirer son manteau. Elle tente de s'y opposer quand elle entend la voix dure d'Ahmed lui dire :
- À poils salope, que Monsieur Roger puisse te voir, en détail !
Sachant qu'il serait vain, voire dangereux de résister, la blonde se laisse enlever son manteau sans, pour autant, faire le moindre effort. Mais tout de suite après, elle sent le froid sur son poignet droit, puis ledit poignet enfermé dans un bracelet de métal. Ses mains jointent dans son dos, puis le deuxième poignet enfermé à son tour.
- Voilà, avec les menottes, tu seras plus sage...
- Salaud !
- T'as pas intérêt à jouer à ce petit jeu, quand je te laisserai entre les mains de Monsieur Roger ! Sinon, tu sais ce qui arrive... C'est bien compris cette fois salope ?
- Oui...
Ahmed attrape à nouveau le bras gauche de la blonde et l'attire devant une grande porte en bois sculptée. Là, il s'arrête et frappe à la porte.
- Entrez.
L'homme ouvre la porte et pousse devant lui la pauvre femme aux yeux bandés et aux mains menottées. Une fois entré à son tour, il annonce au mystérieux inconnu :
- Voici notre nouvelle star du porno amateur. Cette salope se nomme Béatrice, cinquante ans, mariée, mère de deux enfants, secrétaire.
- Je vous remercie Ahmed, vous pouvez nous laisser.
- Nous sommes à l'office, si vous avez quoi que ce soit, comme problème avec cette traînée, appelez-nous et nous lui ferons passer le goût de la rébellion, à coups de ceinture.
- Je ne pense pas avoir besoin de vos services, mais, toutefois, je retiens votre offre. Merci et à demain matin mon cher Ahmed.
- Au revoir Monsieur Roger. Et l'homme ressort de la pièce en refermant soigneusement, la lourde porte derrière lui.
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Re: Les tribulations de Béatrice

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Les tribulations de Béatrice : Monsieur Roger

Cette fois, la pauvre Béatrice est effrayée. Bien sûr, elle sait parfaitement que cette situation actuelle est la résultante de ses turpitudes. Elle sait qu'elle paye en ce moment, tout le mal qu'elle a pu faire, à son époux, mais là, de rester debout, nue, les yeux bandés et les mains menottées, devant ce monsieur qu'elle ne connaît pas, et qu'elle ne peut même pas voir, lui fait atrocement peur et lui donne la chair de poule.
Elle sent l'homme rôder autour d'elle, elle comprend qu'il la détaille, l'observe, et cela la rend encore plus mal à l'aise. C'est perdue dans se pensées, qu'elle entend subitement :
- Écartez vos jambes, que je puisse voir votre moule en détail.
La sensation est bizarre, cet homme utilise une formulation plutôt polie, en la vouvoyant, mais il utilise aussi des mots très crus, voire argotiques. La blonde se demande bien, qui peut être ce monsieur. Sa voix indique qu'il a dépassé la soixantaine, mais le ton et les mots utilisés feraient plutôt croire, à quelqu'un de plus jeune. Toutefois, elle ne se fait aucune image de son physique.
Voyant que la femelle ne bouge pas à son commandement, Roger, une cravache à la main, prend un peu de recul et assène un grand coup du bois de la cravache sur les cuisses serrées de la femme.
- Aie ! Mais ça ne va pas, non !
- Taisez-vous, je vous paye, donc vous exécutez les ordres, quand ils vous sont donnés. Écartez vos jambes maintenant.
Cette fois, Béatrice n'attend pas une seconde avant de suivre les instructions. Elle soulève légèrement sa jambe droite et la repousse plus loin de vingt centimètres.
- Penchez-vous en avant.
À nouveau, ne voulant pas prendre le risque de recevoir un autre coup de cravache, la femme exécute et se penche en avant, mais sans garder le dos bien droit.
- Le dos bien tendu ! Ordonne sèchement Roger.
Béatrice se redresse un peu pour que son dos soit le plus droit possible. Cette position lui est difficile à tenir, avec les mains dans le dos.
L'homme s'approche et laisse traîner le bout en cuir de sa cravache, sur les fesses trop plates de la pauvre femme, qui frémit à ce contact. Puis, il laisse le cuir s'insinuer entre les cuisses de la blonde, pour venir finir par flatter la vulve entrouverte, par la position adoptée.
La blonde frissonne de plus en plus malgré la température très correcte de la pièce. Elle n'ose pas bouger, sentant confusément qu'elle a plus de risques à bouger, qu'à rester en place, bien sagement.
Roger continue son inspection visuelle et tactile par cuir interposé. Il passe maintenant, entre les fesses, pour s'attarder sur la pastille brune de l'anus, encore tout ouvert par le traitement, qu'il a subi dans la voiture. Puis, d'un ton presque anodin, l'homme dit :
- J'ai eu tout le loisir de voir, en détail, votre prestation cinématographique. J'ai particulièrement apprécié les dialogues, vous semblez être une adepte de la sodomie sauvage, et je dois reconnaître que j'ai été quelque peu impressionné, par la taille du plug qu'Ahmed vous a fait porter.
À ce discours, des images de la folle soirée remontent à la mémoire de Béatrice. Elle se souvient de la déchirure qu'elle a ressentie à l'introduction, de l'énorme jouet, mais aussi, de la honte qu'elle éprouve tous les soirs, lorsque son propre mari lui fait porter, l'engin pour dormir.
Roger joue avec le sphincter distendu et le titille du bout de sa cravache, avec une maîtrise parfaite de ses mouvements. De là où il est, il sent l'odeur, très particulière, du préservatif, dont s'est servi Moustapha, quelques minutes auparavant. Il demande donc :
- Vous seriez-vous fait sodomiser, avant d'arriver, par hasard ?
La pauvre femme ne sait pas trop quoi répondre, elle réfléchit quelques secondes, avant de répondre d'une voix mal assurée :
- Non...
L'homme retire prestement sa cravache en arrière et donne un grand coup sur les fesses, à sa portée, cette fois non plus avec le cuir, mais avec le bois de l'ustensile.
- Aie !
Puis, la voix toujours posée, l'homme enchaîne encore :
- J'ai horreur des salopes menteuses, je répète ma question, vous êtes-vous fait enculer, en venant tout à l'heure, ou non ?
- Oui...
Roger prend à nouveau son élan et donne un nouveau coup, cette fois plus durement encore, sur les fesses plates.
- Aie ! Vous me faites mal !
- Oui qui ? Demande l'homme sans prendre en compte la remarque de la blonde.
- Oui Monsieur...
- Voilà qui est mieux... Tâchez de ne pas oublier ce genre de chose, sinon vous risquez fort, de souffrir le martyre avant peu.
Cette fois, Béatrice a franchement peur. Avec ses mains entravées et le bandeau sur ses yeux, elle se sent totalement à la merci de cet homme, qui lui parait bien étrange.
Roger reprend ses caresses bizarres, avec sa cravache, puis il ordonne encore :
- Prenez vos fesses, pour les écarter du mieux que vous pouvez.
Béatrice n'attend pas pour obéir. Elle tend ses bras et prend ses fesses à pleine main, puis les écarte, de tout son possible.
Laissant le cuir traîner sur l'anus et la vulve pendant quelques instants, l'homme demande encore :
- Racontez-moi comment vous vous êtes fait enculer donc...
Se demandant où veut en arriver l'homme, et ce qu'il a envie d'entendre, la pauvre femme prend quelques secondes de réflexion, puis, ne sachant pas trop quoi dire, et se souvenant, que le retard des réponses, pouvait amener une déconvenue cuisante, elle opte pour dire franchement, ce qu'elle vient de vivre :
- Ils m'ont fait monter dans la voiture, après m'avoir posé le bandeau sur les yeux. Lorsque nous sommes partis, Ahmed m'a penchée sur ses genoux et à dit à son ami, qu'il pouvait me prendre, si le cœur lui en disait. L'autre homme m'a donc mis ses doigts dans les fesses, puis, il m'a sodomisé pendant que la voiture roulait, voilà, c'est tout.
- C'est tout qui ? Un nouveau coup de cravache vient ponctuer la question.
- Aie... C'est tout Monsieur.
Roger reprend, une fois de plus, ses caresses étranges avec sa cravache, cette fois, il passe derrière la blonde et fait passer son cuir sur la vulve. Bientôt, il s'attaque au clitoris, qu'il cajole avec dextérité, provoquant quelques petits mouvements chez Béatrice. Il demande encore :
- Vous aimez vous faire enculer un peu n'importe où, comme dans une voiture par exemple ?
- Ils m'ont forcé. Puis, la seconde d'après, sentant que la cravache quitte sa chatte, elle précise :
- Monsieur.
- Avouez, qu'ils ne vous ont forcé qu'à faire, ce dont vous rêviez secrètement !
Le vieux monsieur, qui avait commencé à retirer sa cravache, pour frapper, la replace et reprend son passage son cuir sur le clitoris.
Cette fois, la blonde, interloquée par la remarque, prend le temps de la réflexion. Si elle reconnaît bien avoir dragué Ahmed en boîte, si elle reconnaît également avoir eut envie de cet homme en elle, elle n'a encore pas fait la démarche d'aller voir, tout au fond d'elle-même, les véritables raisons qui la poussent à de tels agissements. Se doutant bien qu'elle risque un autre coup de cravache, si sa réponse ne va pas assez vite, elle s'empresse de dire :
- Non, je ne crois pas...
Cette fois-ci, Roger baisse la cravache puis donne un coup sec sur la vulve en disant, d'une voix plus forte :
- Monsieur !
La pauvre femme pousse un cri sous la douleur, en resserrant ses jambes instantanément et en se penchant encore plus en avant, tombant presque.
- Écartez les jambes.
D'un mouvement tremblotant, Béatrice écarte à nouveau ses jambes, sans rien dire.
- Mieux que ça... Allez !
Elle pousse encore sa jambe droite d'une bonne dizaine de centimètres.
- Le dos bien droit.
La pauvre femme fait encore cet effort et redresse son dos tout en restant penchée en avant.
- Prenez vos fesses en main et écartez-les...
Voulant éviter au maximum, le risque de la cravache, dont le dernier coup la blesse encore terriblement, Béatrice prend ses fesses en main et les écarte.
Roger prend le temps de faire doucement le tour de la femme penchée, en inspectant chaque parcelle de peau nue. Ensuite, il vient se placer à nouveau derrière la blonde et recommence à faire glisser le cuir, sur la peau. Quelques instants plus tard, il reprend :
- Bien... Je ne pense pas qu'une femme puisse faire, d'elle-même, ce que vous avez fait lors du tournage, sans que cela ne corresponde à quelque chose de profond chez elle. En convenez-vous ?
- Je ne sais pas... Monsieur ! Le dernier mot a jailli de sa bouche, au moment même, ou le cuir quittait sa peau.
- Ne pensez-vous pas, qu'une femme qui n'aurait pas envie de ce genre de partouze obscène, se serait débattu ? Aurait crié ? Aurait tenté de se soustraire à ses agresseurs ?
Une nouvelle fois, les propos de l'homme l'interpellent. Elle essaye de réfléchir et se remémore qu'elle était, effectivement, totalement excitée et qu'elle s'est laissé aller à toutes ses pulsions. Elle se dit aussi, que d'autres femmes n'auraient jamais accepté, tout ce qu'elle a accepté. Aussi, après ces quelques secondes, finit-elle par dire :
- Oui... Vous avez raison... À nouveau, le cuir, abandonnant sa peau, lui a fait presque crier :
- Monsieur !
- Bien... Nous sommes d'accord... Par contre, vous, à ce que l'on peut nettement voir, sur la cassette, vous avez été totalement consentante ! Vous avez eu beaucoup de plaisir, n'est-ce pas ?
- Oui Monsieur.
- Vous avez suivi Ahmed et ses amis, de votre plein grè, n'est-ce pas ?
- Oui Monsieur.
- Vous vous êtes laissé caresser dans la voiture pendant le trajet, n'est-ce pas ?
- Oui Monsieur.
- Et vous me dites, que vous ne croyez pas que tout cela corresponde à vos désirs intimes ! J'ai bien du mal à vous croire. Affronter la réalité et dites-moi franchement, à quoi correspondent donc vos attitudes perverses ?
Quelle torture, toutes ces questions. De plus, la pause qu'elle est contrainte d'adopter, ne lui parait pas être propice à la réflexion. Toutefois, elle est obligée de reconnaître, que ce qui lui est arrivé, est bel et bien, ce dont elle avait envie, au début, tout du moins. Mais trop orgueilleuse pour l'admettre devant autrui, elle cherche une excuse à ses actes, et finit par dire :
- En fait, j'étais saoul...
Roger retire sa cravache en arrière et commence à se déplacer sur le côté droit de la blonde quand il entend :
- Monsieur...
- Fallait y penser plus tôt, petite salope !
Et, joignant le geste à la parole, il lève sa cravache et l'abat violemment, pour la troisième fois, sur les fesses plates, en visant entre les deux grandes marques rouges, qu'elle porte déjà.
- Aie !
Sous cette nouvelle morsure de la cravache, Béatrice se recroqueville sur elle-même, en pliant ses genoux.
- Debout ! Ma chère, je compte bien vous apprendre à ne pas me manquer de respect... Alors, si vous voulez pouvoir vous asseoir dans les jours à venir, tâchez de ne plus oublier de dire Monsieur, quand vous me répondez, est-ce compris ?
- Oui Monsieur...
- Bien... Reprenez donc votre position et continuons.
Avec bien du mal, la pauvre femme se remet debout, puis se penche en avant. Sans que l'homme n'est quoi que ce soit à dire, elle prend ses fesses à pleine main et les écarte.
- Bien, vous étiez saoul donc... Voilà bien une drôle d'excuse, ma foi... Estimez-vous que l'alcool vous fasse faire des choses, contre votre propre volonté ?
- Oui Monsieur.
- Tient donc ! Autrement dit, l'alcool décide. Et vous, vous exécutez, c'est bien cela ?
- En quelque sorte Monsieur... oui...
- Et qui décide alors de boire de l'alcool ?
Il devient évident pour Béatrice, que l'homme n'est pas prêt à croire à ses excuses. D'ailleurs, à bien y réfléchir, elle n'y croit pas non plus outre mesure. Et, bien qu'elle ne sache pas trop quoi répondre, pour se sortir de cette impasse, elle sent que l'homme attend sa réponse, aux petites tapes du cuir contre sa fesse. Prise de court, elle finit par dire benoîtement :
- Moi Monsieur.
- Bien... Donc, vous admettez que vous buvez. Question suivante : Avez-vous conscience que vous faites n'importe quoi, lorsque vous avez bu ?
- Oui Monsieur.
- Bien... Dans ce cas, pourquoi buvez-vous, puisque vous savez que vous allez faire n'importe quoi ensuite ?
Là encore, la question est délicate et Béatrice voit très bien le piège, qui est en train de se refermer sur elle. Mais elle ne veut pas lâcher le morceau, car elle se doute bien, que toutes ces questions ont un but. Que ce but n'est pas forcément quelque chose de bien pour elle. Elle cherche désespérément une réponse, qui ne la piège pas totalement, quand elle commence à sentir à nouveau les petits coups pressés sur sa fesse. Dans la précipitation, elle ne peut que répondre :
- Je ne sais pas Monsieur.
- Allons, allons ! Vous pouvez tout me dire... Alors ?
- Je ne sais vraiment pas, Monsieur, je vous assure.
- Bien, alors je vais vous aider un petit peu...
Et pour bien faire comprendre à la pauvre femme, ce qu'il attend d'elle, il arrête de la caresser avec le cuir, prend un pas de recul, porte le bout de l'ustensile à la hauteur des genoux de la blonde, et frappe un coup fort dans l'entre-jambe en tâchant, encore, de toucher le clitoris.
Un cri déchire la pièce. Cette fois la pauvre Béatrice pleure, car le coup lui a vraiment fait un mal de chien, elle voudrait se rebiffer, mais se sentant totalement piégée par l'affreux homme, elle préfère se taire.
La cravache vient d'atterrir sur son bouton d'amour qui commençait, malheureusement, à s'ériger sous les caresses précédentes. Mais là, gonflé de sang comme il était, elle a l'impression que quelqu'un, vient de lui mettre un fer rouge dans la chatte. La douleur est si vive qu'elle se laisse tomber à genoux sur le sol.
- Reprenons la pose, si vous le voulez bien, ma chère, ordonne encore Roger d'une voix neutre.
Avec beaucoup de mal, la blonde se relève doucement. Elle essaye d'écarter les jambes, mais la douleur au niveau de son sexe est telle, qu'elle n'y arrive pas.
- Les jambes écartées !
Faisant un terrible effort, elle finit par réussir à écarter les jambes, certes moins que l'instant d'avant.
- Bien... Maintenant, je pense que vous commencez à comprendre, que si vos réponses sont par trop évasives, ou tronquées, vous risquez de le regretter amèrement, vous me comprenez cette fois ?
- Oui Monsieur.
- Je reprends donc ma question, après ce petit intermède : Pourquoi buvez-vous, puisque vous savez que vous faites n'importe quoi, de votre corps, après ?
Tremblant de craintes et de douleurs mêlées, n'ayant plus le temps de finasser, Béatrice se plie, de mauvaise grâce, à ce jeu cruel de la vérité et répond :
- Je crois que je recherche effectivement l'excitation, Monsieur.
- Vous appelez cela l'excitation ! N'est-ce pas plutôt le plaisir, que vous recherchez, lors de ces soirées, ma chère ?
- Peut-être, oui... Monsieur ! Cette fois, Béatrice s'est rattrapée de justesse.
- Et comment allons-nous donc définir une femme mariée, mère de famille, qui s'alcoolise les samedis soirs, en boîte de nuit pour trouver du plaisir ? Hum ?
- Je crois que c'est ce qu'on appelle vulgairement, une salope, Monsieur.
- Je vois avec plaisir, que nous commençons à être d'accord, sur le plan sémantique, pour le moins.
- Oui Monsieur.
- Bien, comme cette définition vous convient parfaitement, je pense que vous n'aurez aucun mal, à vous considérer comme une salope ? Si ?
- Non Monsieur.
- Parfait, alors commencez donc par faire votre véritable présentation, je vous écoute.
- Béatrice, salope...
Roger, qui ne laisse plus promener, le cuir de sa cravache, sur la peau de la blonde et qui est sur le côté, lève rapidement son ustensile de torture et l'abat fortement sur les fesses.
Un nouveau cri résonne dans la grande pièce, mais cette fois, la pauvre femme, ne se replie pas sur elle-même, elle avance seulement d'un pas.
- Ce n'est pas parce que vous êtes une salope, que vous pouvez vous permettre d'oublier la politesse, à mon égard, ma chère !
- Pardon Monsieur. Finit par dire Béatrice, dans un sanglot non feint.
- Bien, reprenez donc votre présentation en détails, prénom, nom, qualificatif, profession, situation sociale.
- Béatrice Dubreuil, salope, secrétaire, mariée, deux enfants, Monsieur.
- Voilà qui est mieux ainsi. Maintenant, que vous vous acceptez en tant que salope, je vais commencer par examiner, en détail, vos trous à bites.
La pauvre femme se demande, ce que ce diable d'homme, va bien pouvoir encore inventer. Elle tremble à nouveau de crainte, car ne pouvant rien voir, elle commence à s'imaginer que l'homme va en profiter, pour lui mettre un god, et ça, c'est quelque chose qu'elle vit, très mal déjà, de la part de son mari, alors d'un inconnu !
Roger vient se placer derrière la femme penchée, qui tient toujours ses fesses écartées. Là, il avance sa main droite vers le trou du cul, encore bien ouvert, joint ses quatre doigts pour former un cône, puis les enfonce sans prévenir, directement le plus loin possible, dans le cul de la pauvre blonde.
Sous le coup de l'introduction, Béatrice pousse encore un petit cri, cette fois, plus de surprise que de douleur réelle. Déséquilibrée par la manœuvre, elle avance sa jambe droite, pour éviter de tomber en avant.
Le vieil homme ressort aussitôt ses doigts, les contemple quelques secondes, puis vient se mettre devant la blonde. Lui présentant les doigts sous le nez, il demande :
- Vous ne faites jamais de lavement avant de vous faire enculer ?
- Heu... Non, Monsieur.
- Vous avez tort, sentez-moi ça. Et, joignant le geste à la parole, il place ses doigts salis, sous le nez de la femme.
L'odeur que peut respirer Béatrice est assez désagréable. C'est un mélange d'odeur d'excréments, de lubrifiant de préservatif et de latex. Elle fait une moue de dédain et tourne la tête sur le côté, pour se soustraire à l'odeur.
- Vous sentez ! Cela serait très différent, si vous faisiez un lavement, avant de vous faire sodomiser, ma chère...
La pauvre femme commence à avoir honte. Non seulement ce démon ne lui permet pas de le voir, non seulement elle est nue devant lui, dans une position obscène et humiliante, mais en plus de tout ça, il vient maintenant lui dire comment, elle doit diligenter sa vie intime !
L'homme se déplace dans la grande pièce et se dirige vers une petite table dans un coin. Cette table est pourvue d'un spéculum de belle taille, d'un tube de vaseline, de différents godemichets et d'un plug un peu plus gros que celui de Béatrice. Il y a aussi un drôle d'appareil, avec des voyants et de petits boutons, dont deux fils sortent, pour relier deux pinces crocodiles en acier. Il y a également quelques chiffons, une petite bouteille d'huile d'olive et un verre de cuisine, près d'une bouteille d'eau.
Tout en s'emparant du tube de vaseline, qu'il ouvre délicatement, Roger s'adresse encore à la blonde :
- Bien ma chère, après ce petit conseil hygiénique, nous allons passer à des choses plus consistantes. Écartez-moi bien vos fesses, en attendant.
Béatrice fait ce que l'homme lui demande et tire sur ses fesses, pour les écarter encore d'avantage. Elle se demande bien où il est passé, car les paroles lui arrivent avec une sorte d'écho, qui lui indique la taille impressionnante de la pièce, où elle se trouve.
Très délicatement et avec des gestes précis, le vieil homme prend le spéculum et l'enduit de vaseline avant de refermer le tube et de le reposer. Une fois fait, il se tourne et repart vers la femme penchée. Tout en marchant et en enduisant totalement, les deux mâchoires de l’instrument, de la crème grasse, il annonce :
- J'ai beaucoup aimé la remarque, d’Ahmed me semble-t-il, dans le film de l'autre soirée, qui vous laissez entendre, que vous seriez bientôt prête, à être enculée par un éléphant, cela m'a beaucoup amusé... Et donné aussi quelques idées...
Mais que veut donc ce monstre ? Se demande Béatrice dont l'angoisse monte au fur et à mesure, que les minutes s'égrainent. Elle tremble de peur, mais n'ose pas bouger, tant le souvenir cuisant de la cravache, est encore présent.
- Ne bougez plus...
L'homme est venu se placer juste derrière les fesses offertes. Il pose sa main gauche sur les reins, puis applique l'outil contre le sphincter. Avant de faire pénétrer l'engin, il rassure la blonde :
- Ne craignez rien, ce ne sera pas douloureux, surtout que vous comptez parmi les femmes les plus ouvertes, que j'ai eu le loisir de rencontrer.
Béatrice, retenant sa respiration, s'attend néanmoins au pire. Elle sert les dents de toutes ses forces et essaye de se préparer à une douleur, encore inconnue.
Roger, très doucement, comme pour prouver ce qu'il vient d'annoncer, enfonce le spéculum dans le rectum à sa disposition. Une fois l'appareil totalement introduit et bien en place, il demande :
- Alors ? Avez-vous ressenti de la douleur, ma chère ?
- Non Monsieur.
- Parfait, nous allons maintenant, passer à la suite des opérations donc...
Cette fois, il commence à ouvrir les mâchoires de l'appareil, toujours très doucement, guettant en permanence le moindre signe, qui pourrait indiquer une douleur quelconque, chez la pauvre femme.
La sensation est plus qu'étrange. Non pas douloureuse, mais étrange. Entre le contact froid de l'ustensile, qui n'est pas si désagréable, la place qu'il occupe et la sensation, que procure le sphincter distendu, Béatrice s'y perd. De plus, sa positon penchée en avant et ses fesses, qu'elle tient toujours bien écartées, facilite grandement la tâche de l'appareil. Au début de l'ouverture des mâchoires, la blonde a bien quelques appréhensions, mais au fur et à mesure qu'elle se sent dilatée, une sorte de plaisir monte en elle.
- Je comprends Ahmed ! Votre capacité de dilatation est réellement impressionnante ! Vous pratiquez la sodomie depuis combien de temps ?
Encore des questions ! La pauvre femme commence à en avoir sérieusement assez, de toutes ces questions embarrassantes. Et puis, de quel droit, ce monstre pose-t-il toutes ces questions ? À nouveau, elle essaye de finasser, en répondant :
- Je ne sais plus exactement...
Sans mot dire, l'homme recul de deux pas, s'empare de la cravache qu'il avait posée sur la grande table, et, en allongeant le bras dans un ample mouvement, vient frapper le flanc droit de la pauvre femme qui se met à hurler.
- Je crois que je vais avoir un peu de mal, avec vous ! Mais je peux vous assurer, qu'avant demain matin, vous saurez dire en toutes occasions : "Monsieur"... Faites-moi confiance.
Après le cri, la blonde vient de tomber sur les genoux et pleure à chaudes larmes. Cette fois, le spéculum en elle se fait cruellement sentir. Elle perd son sang-froid et commence à crier :
- Enlevez-moi ça ! Au secours !
L'homme reste imperturbable pendant quelques secondes, puis il annonce, d'un ton détaché :
- Taisez-vous, sinon c'est votre amant Ahmed, qui va venir vous remettre les idées en place !
Mais, en pleine crise d'hystérie, la pauvre femme n'écoute pas le judicieux conseil et continue à crier de plus bel.
Moins de deux minutes plus tard, Roger est toujours stoïque et Béatrice toujours en pleure, quand Ahmed frappe à la lourde porte.
- Entrez, mon cher Ahmed. Si j'ai bonne mémoire, vous me proposiez d'éduquer quelque peu votre putain, je vous la confie, car j'ai à faire ailleurs pendant dix minutes. Je souhaiterais pouvoir obtenir une femme polie, en revenant, croyez-vous cela possible ?
- Je ne vous promets rien, mais je vais faire tout mon possible, bien entendu...
Le vieil homme sort de la pièce en laissant la pauvre femme à genoux, par terre, en train de pleurer et l'autre homme qui est venu, se mettre devant elle.
Dès que la porte est refermée, Ahmed se penche, attrape les cheveux et les tire vers le haut, pour forcer Béatrice à se relever. Une fois qu'elle est debout, toujours sans rien dire et la tenant par les cheveux, il la guide vers la grande table, en la soutenant, car le spéculum qu'elle porte toujours en elle, la gène dans sa marche. Là, il l'oblige à s'allonger sur le lourd plateau de bois froid et, tout en défaisant sa ceinture, annonce :
- Monsieur Roger me donne mille euros, pour pouvoir faire ce qu'il a envie avec toi cette nuit. Et toi, en bonne putain, tu vas faire exactement, ce qu'il te demande de faire.
La pauvre femme pleure de plus en plus. Elle a toujours une très vive douleur au flanc droit et n'écoute pas trop, ce qu'Ahmed peut lui dire. Elle reste bloquée sur ce qu'elle vient de vivre, les quelques minutes précédentes, quand elle entend :
- Ceci est le dernier avertissement salope…
Tout de suite après, elle sent la première morsure du synthétique de la ceinture, sur ses fesses déjà très sensibles. Ce premier coup, la fait hurler de douleur.
Consciencieusement, l'homme abat sa ceinture dix fois sur les fesses qui rougissent de plus en plus. Il ne se laisse pas distraire, par les cris de la blonde, il fait simplement en sorte, que sa ceinture arrive bien, sur la chaire un peu flasque des fesses et que ses coups ne soient pas arrêtés par les mains de la blonde, qu'elle essaye vainement, de placer pour se protéger. Une fois qu'il estime en avoir fini, d'un ton presque neutre, il demande :
- Maintenant, qu'est-ce que tu diras à Monsieur Roger ?
Entre douleur et colère, la blonde n'écoute plus. Maintenant que les coups de ceinture ont cessé, elle ne crie plus, mais pleure. Elle a l'impression d'être comme une petite fille, et son orgueil en prend un sacré coup. Et comme elle ne répond pas, un nouveau coup s'abat sur ses fesses meurtries.
- Alors salope ! Tu réponds ? Que dois-tu dire en sa présence ?
- Monsieur... pleurniche la blonde entre deux sanglots.
- Écoute-moi bien, vieille pute... Si tu ne me rapportes pas assez, je te jette... Mais je te promets que toute ta famille aura droit, à sa petite cassette "X"... Et qu'après ça, tu auras bien du mal à vivre, ça je peux te l'assurer !
Cette fois, malgré son orgueil blessé et ses douleurs, Béatrice prend la menace très au sérieux. Le rapport à sa famille, que vient d'évoquer le maître chanteur, la ramène à la réalité et lui fait se souvenir, de ce qu'elle vit déjà avec son mari. Une grosse bouffée de culpabilité remonte en elle et elle se promet, intérieurement, de faire ce qui lui est imposé. Quelques secondes de silence passent quand elle entend :
- As-tu bien compris cette fois ?
- Oui... Monsieur... Là, le mot est sorti comme par automatisme.
- Franchement, j'espère pour toi... Maintenant, je vais te remettre au milieu de la pièce et tu vas reprendre la positon, que Monsieur Roger t'a imposée.
Ahmed prend la blonde par le bras. Il l'aide à se remettre debout et la guide, toujours en la soutenant, à l'endroit où il l'avait trouvé, en entrant dans la pièce.
Béatrice suit docilement le mouvement, comme elle ne peut rien voir, quand l'homme l'arrête, elle comprend qu'elle est arrivée à destination. Aussi, soucieuse de montrer sa bonne volonté, car elle a réellement très peur des réactions de l'arabe, elle se penche en avant et reprend la pause demandée.
- Je vois que Monsieur Roger s'occupe de ton trou du cul, c'est parfait... Puis, sans rien ajouter, l'homme sort de la pièce.
La pauvre femme reste cinq bonnes minutes, dans cette positon, à réfléchir à sa condition de catin et à fulminer contre elle-même. Ah ! Si elle n'avait pas trop picolé ce maudit soir ! Ah ! Si elle ne s'était pas laissé aller à ses fantasmes ! Mais voilà, le mal était fait, et de plus, il y avait des traces de tout ça. Maintenant, elle commençait à comprendre, que les menaces d’Ahmed étaient bel et bien réelles, qu'elle risquait de se retrouver prostituée. Et là, le fantasme laisserait la place à la douloureuse réalité. C'est plongée dans ses réflexions, qu'elle entend la porte s'ouvrir à nouveau.
- Eh bien, ma chère, êtes-vous revenue à de meilleurs sentiments à mon égard, maintenant ?
- Oui Monsieur.
Roger fait le tour de la blonde, en l'examinant visuellement très attentivement. Voyant les marques larges, qui superposent ses propres marques de cravache, il demande :
- Vous avez goûté à la ceinture, me semble-t-il, non ?
- Si monsieur.
- Votre souteneur, vous a-t-il expliqué pourquoi, vous receviez la ceinture ?
- Oui Monsieur, pour que je sois obéissante avec vous, Monsieur. En disant ces quelques mots, la pauvre femme sent le rouge lui monter aux joues. Sa fierté est mal menée et elle se sent coupable, comme une petite fille, et ça, c'est quelque chose de très difficile à accepter pour elle. De petits sanglots se font encore entendre dans sa voix.
- Seulement avec moi ? Ou avec tous vos clients, ma chère ?
- Avec tous les hommes qu'il me présentera, Monsieur.
- Je dis dire, qu'avant d'avoir évoqué le souhait de vous rencontrer, Ahmed et moi avons beaucoup discuté de vous, de votre vie, de vos capacités et de l'avenir qu'il vous réservait. Je dois avouer que le fait, que vous ne soyez pas une vraie professionnelle, m'a tout de suite plu énormément, de même que vos capacités anales, dont nous allons essayer de repousser les limites, ce soir.
Savoir, de la bouche même de cet homme, qu'elle ne connaît pas, qu'elle n'a même encore jamais vu de ses yeux, que lui la connaît presque intimement, met encore la pauvre femme, plus mal à l'aise que l'instant d'avant. Tant qu'elle pensait n'être qu'un corps, qu'un numéro, qu'une prostituée anonyme, elle arrivait encore, tant bien que mal, à supporter cette odieuse soirée et ce vilain bonhomme. Mais là, elle a l'impression que le ciel lui tombe sur la tête et elle se remet à pleurer à nouveau.
L'homme affiche un grand sourire. Aux sanglots de la blonde, il comprend qu'il vient de toucher le point sensible. Aussi, très perversement, il poursuit sur sa lancée :
- Imaginez-vous que vos collègues reçoivent le film de vos ébats, avec une bande de soudards. Qu'en penseraient-ils ? Ou les amis de votre jeune fils, ou ses professeurs ?
À cette évocation, la tête de Béatrice semble éclater et elle pleure de plus bel, articulant difficilement :
- Pitié Monsieur, pitié... Je ferais tout ce que vous voudrez, mais pitié Monsieur, arrêtez de me parler de tout ça, par pitié...
- Bien... Dans ce cas, sachez que je vais vous préparer l'anus, de manière à ce que prochainement, vous puissiez vous faire facilement sodomiser, par un de mes chevaux, vous êtes d'accord ?
L'émotion est si forte pour la pauvre femme, qu'elle est maintenant prête à accepter tout et n'importe quoi, du moment que la satanée cassette en question, ne soit pas distribuée. Malheureusement, ce qu'elle ne peut pas savoir, c'est que tout ce qu'elle vit à présent, est également filmé, que tout ce qu'elle peut dire, pour essayer d'apaiser la situation, est enregistré. Donc sans savoir ce qu'il va advenir d'elle, ni ce qui se passe au juste dans la pièce, elle répond :
- Faites tout ce que vous voulez de moi, Monsieur.
Très content de lui, Roger passe derrière la femme et, tout en prenant les manettes du spéculum en main, il commente :
- Je vais commencer par vous dilater l'anus au maximum, ensuite, je vous ferai un lavement, car vous en avez visiblement bien besoin.
Et, joignant le geste à la parole, il serre de toutes ses forces les manettes, ouvrant ainsi d'un seul coup, le spéculum en grand.
- Aie !
La pauvre blonde ne peut s'empêcher de crier. Si la dilatation était très progressive au début, cette fois-ci, la sensation est brutale et pas du tout agréable. Elle a l'impression que son anus a été envahi, par un fer rougi et se redresse un peu en disant :
- Ça fait mal Monsieur, par pitié...
- Allons, allons ! Vous en avez vu d'autre, à ce que j'ai pu constater !
Et sans prévenir, il tire le spéculum en arrière et l'arrache du boyau.
- Ah... Oulala, que ça fait mal ! Crie de douleur la blonde.
Roger, un sourire sadique aux coins des lèvres, admire quelques secondes le trou du cul béant, sans se préoccuper le moins du monde, de la souffrance, que peut endurer la pauvre femme. Puis, se redressant, il annonce :
- Bien... Vous allez pouvoir vous asseoir, maintenant... Attendez que j'aille vous chercher le tabouret.
Il retourne vers la petite table, y dépose le spéculum et s'empare à nouveau du tube de vaseline qu'il débouchonne consciencieusement. Il enduit le gros plug posé, avec la crème, puis referme le petit tube et le repose. Il prend alors en main le plug, s'applique à ne laisser aucun endroit de l'objet sans lubrifiant, puis, le repose pour s'essuyer les mains avec le torchon. Une fois ses mains bien sèches, il reprend le plug par sa base et, de l'autre main, s'empare du tabouret. Il revient d'un pas tranquille près de la pauvre femme, pose le tabouret, plaque le plug dessus, au centre du siège, puis vient prendre la femme sous les bras, pour l'aider à se remettre droite en disant :
- Maintenant, je vais vous installer sur un siège avec un plug, il est important que votre anus reste bien ouvert, toute la soirée.
- Par pitié, Monsieur, arrêtez un peu, j'ai un mal de chien...
- Mais justement, nous allons en profiter pour détendre au maximum les muscles de votre sphincter, cela peut être un peu douloureux, encore quelques minutes, mais ensuite, vous serez prête à accueillir bien des choses, dans votre fondement.
Sans prendre plus en considération, les souhaits de la pauvre femme, Roger la guide sur le tabouret, jusqu'à ce qu'elle soit en contact avec le plug. Là, il se penche, vérifie que l'engin est bien en face de l'anus, puis ordonne :
- Laissez-vous faire maintenant.
Béatrice est apeurée, elle a très mal dans les jambes, car la position est totalement instable et parfaitement inconfortable. Elle se tient penchée en avant, les jambes fléchies, les fesses en arrière, le plug au bord de son anus, et elle ne veut pas s'asseoir, tant elle a peur que l'engin la déchire.
Voyant que la blonde résiste encore à s'asseoir, l'homme, un rictus malsain au coin des lèvres, se recule un peu, puis donne une grande claque sur l'épaule droite de la femme, la déséquilibrant et la faisant ainsi tomber sur le plug.
Un nouveau cri déchire le silence de la pièce. Cette fois la douleur est terrible et la pauvre blonde a l'impression de mourir. Elle tente bien, maladroitement, de s'appuyer sur ses mains pour se relever un peu, mais le plug est entré totalement dans son cul et en se relevant de quelques centimètres, elle ne fait que l'emmener en elle. Elle pleure à nouveau à chaudes larmes et le bandeau qu'elle porte, est détrempé.
- Calmez-vous un peu ! Maintenant que mon plug est en vous, si vous évitez de bouger, la douleur va s'atténuer.
Béatrice ne répond rien et se contente de se réfugier dans les larmes. La douleur s'atténue effectivement quelque peu, mais la sensation d'être déchirée, elle, reste bien présente. Elle s'assoit à nouveau, mais très doucement, d'abord elle pose sa fesse droite, puis, très délicatement, elle finit par poser sa fesse gauche.
L'homme marche doucement autour du tabouret, sans quitter la femme du regard. Après trois tours, dans un silence complet, il vient se placer devant la blonde, et prend son téton droit entre son pouce et son index gauche. Il sert violemment, arrachant une grimace de douleur au visage de la pauvre femme, tout en demandant :
- Il semble que ce soit les sexes de Nord-Africains qui vous excitent le plus, pourquoi ne vous êtes-vous pas mariée avec un arabe ma chère ?
- Je ne sais pas Monsieur... Je pense que je n'aurai pas osé avouer ce penchant à mes parents, quand j'étais jeune.
- Bien... Et vous n'avez plus vos parents aujourd'hui ?
- Si Monsieur, j'ai encore ma mère.
- Hum, hum, et si je lui présentais aujourd'hui, votre souteneur arabe ? Qu'en penserait-elle, à votre avis ?
- Je crois qu'elle serait très fâchée après moi, Monsieur. Ma mère n'aime pas du tout les étrangers Monsieur.
- Si je vous comprends bien, le plus grave n'est pas tant que vous soyez devenue une prostituée, que le fait que votre maquereau, puisse être un arabe !
- Heu ! Non Monsieur !
- Mais si ! Mais si... En fait, je pense que vous vous êtes toujours sentie putain, ou pour le moins, vous avez toujours été attirée par ce côté prostitution, ce côté glauque des choses du sexe.
- Mais non !
- Attention à être polie salope si vous ne voulez pas qu'il vous en cuise !
- Pardon Monsieur.
- Je pense au contraire, et le petit film que vous avez tourné ne pourrait me contredire, que vous êtes sujet à vous laisser aller, à tout ce qui pourrait toucher, de près ou de loin, la prostitution, le côté glauque et malsain de la sexualité. Je pense que plus c'est sale, plus c'est excitant pour vous ! Qu'en pensez-vous ?
- Je ne sais pas trop quoi dire Monsieur... Et effectivement la pauvre femme se perd dans les méandres de ses pensées. Certes, elle se sent prisonnière de cet horrible homme, mais elle se rend compte également qu'elle est à l'origine de toutes ses turpitudes. Et que le bonhomme est perspicace.
- Bien... Je vais maintenant vous faire passer, un examen gynécologique plus poussé.
Roger retourne auprès de la petite table et choisie méticuleusement divers accessoires qu'il apporte, les uns après les autres, sur la grande table de salle à manger, qui trône au milieu de la pièce. Bientôt, il retourne vers la pauvre blonde qui grelotte de peur sur son tabouret. Là, il s'empare du téton droit de la femme et pince de toutes ses forces en lui imprimant un mouvement pour qu'elle se lève.
Béatrice se met debout, bien que son anus lui fasse un mal de chien, sans prononcer aucune parole. La peur pourrait se lire sur ses yeux, si elle n'avait pas ce bandeau, qui l'aveugle totalement. Elle ne peut rien faire d'autre que de suivre le mouvement, qui lui est imprimé, via son sein droit, pour éviter une douleur trop vite de ce côté. Mais elle a bien l'impression toutefois, que son tortionnaire la fait aller et venir dans la pièce. Mais elle ne sait pas dans quel but machiavélique.
En fieffé salaud, l'homme s'amuse à faire marcher cette pauvre femme, en souriant laconiquement, à la vue de la démarche, des plus bizarres, qu'elle a, à cause du plug bien ancré dans son fondement. Il sait pertinemment ce qu'il fait, la caméra enregistre chacun des pas maladroits. L'homme se dit que cette vidéo, sera l'un des musts, de sa collection très privée. Il continue son manège pendant trois longues minutes, durant lesquelles, Béatrice souffre en silence, mais surtout sans oser prononcer quoi que ce soit, bien trop apeurée, par ce qui pourrait alors lui arriver.
- Bon, assez marché pour le moment, vous allez vous allonger ici, dit Roger, alors qu'il vient de guider la blonde au bord de la table.
La blonde se sent prise sous les bras, par de puissantes, mains légèrement rugueuses et accompagne le mouvement, en se mettant sur la pointe des pieds. Elle pose son fessier douloureux sur la table, et se laisse allonger, toujours guidée par les mains qui viennent de prendre ses bras minces. Le bois de la table est frais, mais doux. Elle reste allongée, les bras le long du corps, pendant quelques secondes, puis entend derrière elle :
- Donnez-moi vos mains... Par ici...
Tout de suite, elle exécute l'ordre. Elle est glissée de quelques centimètres sur la table, de telle manière que le bord de la table, vienne maintenant au milieu de ses cuisses, l'obligeant aussi à remonter les guibolles, pour ne pas souffrir du porte-à-faux des jambes.
- Placez vos pieds sur la table, tonne l'homme, en revenant devant ce sexe déjà offert et ce cul si maltraité.
La femme essaye de se mettre de la façon la plus confortable possible. Ses talons sont en contact avec la table, ses genoux légèrement éloignés de manière à soulager du mieux qu'elle puisse son anus meurtri.
- Écartez les jambes, que je puisse examiner votre trou à bites d'arabes. Et en même temps que l'ordre, Roger repousse les deux jambes de ses avant-bras musclés. Pinces les grandes lèvres avec ses pouces et index, puis tire dessus pour ouvrir en grand la vulve.
Béatrice ne peut s'empêcher de pousser encore un cri, mais plus de surprise que de douleur réelle, son anus écartelé lui faisant bien plus mal que les doigts vicieux.
- Allez, pas de chiquée, pétasse, j'ai vu dans le film comment, l'énorme queue de Moustapha, est rentré en vous, on comprend tout de suite, que vous avez l'habitude des gros gabarits, comme une vieille vicelarde que vous êtes !
- Oh, je vous assure Monsieur... Pleurniche à nouveau la pauvre blonde.
- Fermez-la... Je vais vérifier que vous n'avez pas la moule pourrie, à force d'en prendre, dans le corps de toute origine, vous êtes peut-être totalement pourrie, qui sait...
De nouveaux pleurs viennent ponctuer ces insanités.
Le pervers lâche les lèvres et s'empare du spéculum qu'il vient mettre sous le nez de sa proie en lui disant :
- Tenez... Sentez... Moi, au moins, je lave les outils avant de m'en servir, que cela vous serve de leçon pour la prochaine fois ! Tâchez de vous souvenir, qu'une boîte à bites comme vous, doit toujours avoir ses trous propres et en état, pour se faire fourrer !
Puis il se dirige au bout de la table, Béatrice a ramené quelque peu ses cuisses, pour éviter de trop souffrir, mais l'homme appuie à nouveau de tout son poids sur les avant-bras, qui repoussent les cuisses vers l'extérieur.
La pauvre blonde s'attend au pire et elle se contracte. Elle se demande ce que le vieux saligaud, va bien pouvoir encore inventer, pour la faire souffrir. Une fois de plus ; la pauvre femme se maudit intérieurement, pour ses frasques et se dit qu'elle paye bien cher, une simple incartade dû à un abus de boisson.
Sans lubrifier le vagin, qui est encore assez ouvert, l'affreux homme plonge le spéculum d'un coup, directement au fond du sexe.
La belle crie et bat des jambes, comme pour repousser l'homme, car cette fois la douleur a été vive, bien qu'elle s'apaise très vite.
- Cessez de battre des jambes, ça suffit... Attrapez vos chevilles et tenez-les, pendant que je vous examine.
Ne voulant pas subir d'autres douleurs, très vite, Béatrice attrape ses chevilles et retient le poids de ses jambes, à bout de bras.
- Plus haut les pieds ! Et, tout en donnant l'ordre, l'homme lâche les poignées métalliques et agrippe violemment les mollets, pour les tirer durement vers le plafond, en les écartant. Puis, il tonne encore :
- Comme ça, bien écarté et bien haut.
La pauvre blonde est totalement perturbée ! Elle s'accroche à ses chevilles, comme si celles-ci étaient son unique refuge, se mettant ainsi totalement à la merci, de son pervers tortionnaire.
Roger attrape les manettes du spéculum qui est fiché dans le sexe de la femme blonde et les presse fermement, écartant ainsi, à l'intérieur du vagin, les mâchoires d'acier. La vulve se dilate sous l'effet.
Faisant entendre de petits couinements, la pauvre femme se laisse maintenant faire, et la dilatation de son sexe, n'est même plus si pénible. Son esprit est occupé à nouveau, par des remords au sujet de la fameuse soirée en boîte. Mais quoi qu'elle fasse maintenant, quoi qu'elle puisse regretter, elle sait qu'elle va devoir subir, encore longtemps, les conséquences de sa bêtise.
- Surtout ne bougez pas, ordonne sèchement l'homme avant de repartir vers sa petite desserte à grands pas.
Quelques bruits métalliques se font entendre, dans la pièce et ajoutent encore à l'atmosphère, déjà pesante. Puis, les pas de l'homme, qui se rapproche de la table, sur laquelle est toujours allongée Béatrice, dans une position obscène.
Le vieil homme se place en bout de table, à nouveau, entre les cuisses largement ouvertes, puis, en quelques secondes seulement, il emprisonne la cheville droite avec le poignet droit dans une paire de menotte, et l'instant d'après, fait de même avec le côté gauche.
La blonde n'a pas eu le temps de réagir, et quand elle commence à comprendre, qu'elle vient d'être menottée de façon bizarre, elle essaye bien de se débattre très faiblement, mais elle sent qu'il est trop tard. Elle essaye alors de resserrer ses jambes, mais le spéculum fiché dans son vagin, l'en dissuade rapidement.
- Les jambes écartées salope ! tonitrue le vieux sadique. Et pour marquer encore un peu plus sa volonté, il pousse à nouveau sur l'intérieur des cuisses, jusqu'à ce que la femme pousse un cri de douleur.
- Pitié... Vous me faites mal... Monsieur !
- Tais-toi pétasse ! et restes ainsi les pattes écartées... Pour une morue comme toi, ce ne doit pas être trop difficile de rester ouverte, si ?
Sans attendre une quelconque réponse, le vieil homme se dirige une fois de plus vers sa table roulante. Là, il s'empare d'un seau à champagne rempli d'eau et de glaçons, et dans lequel refroidit, depuis le début de soirée, une bouteille de vin pétillant. Puis, il retourne vers la femme allongée. Il pose sans ménagement le sceau sur le ventre de la pauvre femme, qui pousse un cri de surprise, au contact froid du métal.
C'est une sensation de brûlure, que ressent la pauvre blonde. De plus, le poids relativement élevé, de la chose qui vient d'atterrir sur son ventre, lui comprime le bas de l’abdomen, si bien que, c'est dans un réflexe qu'elle ressert, une fois de plus, ses jambes. Mais cette action n'a que l'avantage de lui faire mal à nouveau aux grandes lèvres, qui se retrouvent ainsi coincées, entre le spéculum et les cuisses.
- Aie ! Pitié... Pleurniche-t-elle bruyamment.
- Allons ! Vous n'allez tout de même pas me faire croire, qu'un petit sceau de moins de cinq kilos, vous fait souffrir le martyre !
Et sans prendre plus en compte, les jérémiades de sa proie, l'homme retire le papier doré, du goulot de la bouteille, d'un geste sûr et délicat, défait ensuite le cerclage métallique et prend fermement en main le bouchon. D'un geste lent, il s'applique à ce que le bouchon sorte doucement. Enfin la bouteille est ouverte.
Béatrice est secouée de gros sanglots. Ses jambes tremblent, elle essaye de les écarter, pour soulager les côtés de sa vulve et les lèvres blessées, par le métal froid de l'outil, mais elle ne contrôle plus totalement, ses mouvements. Le froid qui entre en elle, à travers la fine peau de son ventre, lui fait refermer les cuisses.
Très tranquillement, le vicieux personnage vient se placer entre les cuisses tremblotantes, et, sans prévenir, verse le vin pétillant et froid dans l'orifice du spéculum, jusqu'à inonder totalement le vagin de la pauvre femme, qui se débat et hurle.
Aussi paradoxale que cela paraisse, le froid qui se répand de plus en plus dans son ventre, brûle sérieusement la pauvre blonde, qui ne sait plus quoi faire pour se sortir de ce piège odieux. Entre l'inconfort de sa position, ses mains et chevilles attachées, le poids glacé sur son ventre, et le liquide froid qui envahit sa chatte, en lui procurant une très désagréable sensation, de fort picotement, elle ne sait plus où donner de la tête et faire en sorte de ne pas trop souffrir. Elle sait bien, que ses pleurs risquent, au mieux, de faire plaisir à son tortionnaire et elle voudrait avoir la force d'arrêter de pleurer. Mais elle n'y arrive plus du tout, plus rien dans son corps, ne lui obéit, semble-t-il !
- Voilà qui devrait déjà désinfecter, votre moule de putain... Sentez-vous tout le bon travail, que font les bulles dans votre matrice ?
Seuls des pleurs répondent à l'interrogation de l'homme.
- Ne m'en veuillez pas, très chère, j'aime la propreté et mets tout en œuvre pour l'obtenir, que cela vous serve de leçon. Tout en prononçant ces quelques mots, le vieil homme déverrouille le spéculum, desserre les mâchoires, enfouit dans le vagin inondé, et ressort prestement l'appareil.
À nouveau, la blonde pousse un énorme cri. Son hurlement résonne de longues secondes, dans la grande pièce. Elle ne s'en doute absolument pas, mais l'homme est en train de vérifier, si son caméscope filme correctement toute la scène. Fière de lui, il se permet d'ailleurs, un grand sourire, à l'attention des futurs spectateurs.
Roger attend tranquillement, que la blonde se calme en admirant, en fin connaisseur, les petits geysers, que fait le champagne en ressortant de la grotte féminine, au rythme saccadé des pleurs. Quand la femme commence à se calmer, l'homme pose la bouteille, au pied de la lourde table de bois. Puis récupère le seau et le dépose à son tour à côté de la bouteille.
Béatrice sent les puissantes mains de son tortionnaire, la prendre sous les fesses et elle se sent emmené dans un mouvement, à l'issue duquel elle comprend qu'elle va se retrouver les épaules et les genoux sur le bois dur, mais les fesses très en l'air. Pour éviter de nouvelles souffrances supplémentaires, la femme essaye d'aller dans le sens de la manœuvre.
- Voilà enfin, une posture digne d'une pétasse de votre espèce, s'écrit l'homme, d'un ton presque joyeux, quand il a fini par installer la blonde à sa guise.
Maintenant, la femme est sur la table, le cul en l'air, les genoux douloureusement plaqués contre le bois, ainsi que les épaules. Dans cette position, comme ses poignets sont toujours attachés aux chevilles, elle est obligée de placer sa tête sur le côté. Elle s'imagine bien, effectivement, que la position est des plus obscène, mais au point où elle en est !
- Vous rendez-vous compte, que vous avez des fuites, ma chère ? Le ton est, cette fois léger, amusé, quasiment pas moqueur.
- Quand allez-vous arrêter de me torturer... Puis, entre les deux, elle ne peut s'empêcher de laisser filer... Salaud...
- Quoi ! ai-je bien entendu ? Non seulement vous avez à nouveau perdu la politesse, mais une pute à arabes comme vous, qui ose me traiter de salaud ! Là, la voix est redevenue dure et cassante, les mots claquent dans le silence de la grande, pièce comme des coups de fouet, rendant encore plus solennelles, les paroles prononcées.
- Pardon Monsieur ! S'empresse de dire, aussitôt, la pauvre femme terrorisée par la voix puissante.
Roger n'en a cure, il se dirige une fois de plus à grands pas rapides vers sa desserte, là prend fermement en main une longue cravache très souple, et revient à la même vitesse, se placer juste derrière le cul de la pauvre femme, qui tremble et s'est remise à pleurer.
- Pour votre insolence et votre manque visible de savoir-vivre, dix coups de cravache... Le ton est dur, les dents serrées l'homme laisse un petit silence, puis, les dents encore plus serrées, finit par dire :
- Sur les cuisses...
Le premier coup, fait crier de douleur la pauvre blonde, qui n'avait déjà pas besoin de ça. Cette douleur fulgurante est telle, qu'elle ne peut plus contrôler son corps. Elle tousse et hoquette dans un même souffle, ce qui a pour effet d'expulser du vin, maintenant réchauffé, de sa chatte encore entrouverte.
Le liquide asperge le bord de la table et le sol. De petites bulles se forment à la surface des petites flaques, qui se sont formées çà et là, donnant l'impression qu'un acide attaque la matière.
- Et même pas étanche... vieille radasse... Cette fois c'est un ton de dégoût, d'ailleurs une vilaine grimace vient assombrir le visage de l'homme, qui semble d'un coup, plus vieux encore. Il assène donc un deuxième coup violent.
Sous la violence du coup et la douleur qui l'accompagne, Béatrice fait un soubresaut sur la table et pousse un long cri qui finit en plainte. Et finalement, elle se retrouve avec les jambes encore plus écartées, proche du grand écart, et une nouvelle douleur commence à faire son apparition, enflammant ses deux aines. Elle ne se rend pas compte, que son sexe suinte maintenant, abondamment.
- Se permettre de me traiter de salaud... À nouveau, l'homme fouette d'un grand coup de cravache, les deux cuisses de la femme. Puis, sans laisser le temps à la pauvre de reprendre son souffle, il assène les sept autres coups de la façon, la plus rapide et la plus violente, qu'il puisse.
Cris sur cris, Béatrice tente bien de se débattre, pour échapper aux coups qui pleuvent, sur l'arrière de ses cuisses, mais elle n'arrive à rien d'autre, qu'à se blesser les poignets et les chevilles, à cause des menottes. L'air lui manque terriblement, et elle finit dans une quinte de toux rauque. À chaque fois qu'elle tousse, elle éjecte du liquide de sa chatte et s'en inonde les cuisses.
- Voilà ce que c'est, la cigarette, dit l'homme visiblement calmé, maintenant.
- Bien, nous allons maintenant passer au lavement proprement dit.
Il prend les chevilles de Béatrice et les tire vers le haut, de manière à ce que la femme ait l’anus plus haut que le vagin.
- Restez comme ça. Sinon, ma badine n’est pas loin.
En la lâchant, il se penche et ramasse le seau froid. Il retourne, une fois de plus, à sa desserte. Là, il s’empare d’une grosse seringue de mécanicien, celle du genre qui servent pour remplir la boîte de vitesses d’huile. Il pompe l’eau glacée, et revient au cul de Béatrice.
- Ça va toujours bien, ma chère ?
La belle a envie de lui répondre, qu’il n’est qu’un fieffé salopard, mais pour une fois, elle retient sa langue, la séance de la soirée fut suffisamment difficile.
- Parfait, poursuivons.
Une fois de plus, il remonte les jambes bien haut. Là, en les lâchant, il ordonne :
- Restez comme ça, ne bougez pas.
Il amène ce qui sert d’aiguille à la seringue, mais fait bien, un bon centimètre de diamètre, devant l’anus. Enfonce cette sorte de grosse aiguille dans le fondement. Puis, doucement, appuie sur le piston pour remplir le rectum d’eau.
La sensation est tout d’abord apaisante, du moins non douloureuse. Le froid anesthésie, quelque peu, la pauvre femme.
Quand il a vidé son étrange seringue, Roger retourne poser son outil sur sa desserte en annonçant fièrement :
- Voilà, c'est fini, vous pouvez vous asseoir si vous voulez ou rester allongée, à votre guise.
- Ça y est, c'est fini, je peux m’en aller ?
- C'est fini pour ce soir, ne bougez pas, je vais chercher votre souteneur.
L’homme sort de la pièce.
Durant les quatre ou cinq premières minutes, rien ne se passe, puis la belle commence à sentir du remue-ménage dans ses boyaux. Et enfin, une furieuse envie de déféquer la prend.
Elle appelle Roger, mais seuls les murs lui répondent. Alors, elle se met à faire les cent pas dans la pièce, en serrant les fesses le plus possible. Mais rien n’y fait, le froid lui a donné des coliques, et, bien que serrant les fesses au maximum, un liquide brunâtre sort de son sphincter encore dilaté et coule le long de ses jambes.
C'est alors que revient Roger avec Ahmed. Quand il s'aperçoit, que la belle se chie dessus, et qu’elle laisse des traces par terre, Ahmed crie tout de suite :
- Tu vas tout me ramasser ! Espèce de saloperie.
Roger l'arrête et lui dit :
- Ne vous en faites pas, mon cher Ahmed, j'ai ce qu'il faut comme personnel, pour nettoyer, ça n'a pas d'importance. Par contre, je pense qu’elle mérite une sérieuse correction ! Mais plus chez moi, maintenant, car là, j'ai à faire sur d'autres sujets.
- Comme il vous plaira, Monsieur Roger.
- Ha ! Et n’oubliez pas, mon cher Ahmed, de m’appeler semaine prochaine, je la veux le samedi soir, aux écuries, nous serons quelques amis et voulons voir, mon nouveau poney Haflinger, la monter.
- Bien, Monsieur Roger.
Ahmed prend Béatrice par le bras et la ressort sans management, de la pièce, Puis bientôt de la bâtisse. Passant près de l’office, il appelle ses complices. Il jette méchamment la pauvre femme sur la banquette arrière, avant de s’engouffrer, à son tour, dans le véhicule. Ali arrive, il a eu la présence d’esprit de reprendre le manteau de la pétasse.
Quand tout le monde est prêt, la voiture, toujours conduite par Aziz, tressaille et se met en route.
Ils n'ont pas fait deux kilomètres, quand Ahmed demande à son pote qui conduit, de s'arrêter dans un petit chemin, dans le bois qui borde de la route.
Il fait nuit noire et Béatrice grelotte de peur, que vont encore inventer ces salauds ?
Une fois le véhicule immobilisé, il sort la blonde sans ménagement. La pauvre femme s’affale dans les herbes. Il défait sa ceinture et lui file une sacrée rouste.
- Je vais t’apprendre à chier partout, connasse !
Les trois autres personnages sont sortis de la voiture et assistent à la correction de la blondasse. Puis, Moustapha demande à Ahmed, de pouvoir l’enculer, avec pour seul lubrifiant, ses coliques.
- Bonne idée, fais-toi plaisir...
Les trois hommes se mettent en cercle, autour du couple. Moustapha ouvre sa braguette, sort son énorme braquemart, attrape Béatrice, la remet debout, la retourne, et l’encule brutalement en l’obligeant à se pencher en avant.
- Là, tu ne peux pas dire que je t’encule à sec !
Les trois autres se marrent de bon cœur.
Cette fois, le terrible Moustapha l’a prise sans capote, il ne lime pas longtemps, excité qu’il est, des pleurs de la créature. Il ressort sa bite, fait tourner Béatrice sur elle-même, l’oblige à s’accroupir et lui enfourne sa queue polluée dans la bouche, en lui ordonnant :
- Maintenant, tu me fais jouir, et vite, morue.
Ne pouvant se soustraire, et sous les rires et les railleries des hommes, rires qui la blessent d’autant plus, la pauvre suce et reçoit très vite, de grosses giclées de foutre en bouche.
Moustapha la lâche et la repousse, elle se retrouve à nouveau le cul par terre. Elle se penche sur le côté, et vomit.
Le reste de la route se passe avec des discussions des hommes en arabe, de temps à autre un mot français fuse, mais c'est tout ce que peut capter Béatrice.
La voiture finit par s'arrêter devant la maison. Ahmed sort et tire la blonde derrière lui, la laisse s’étaler sur le trottoir, puis remonte dans le véhicule. Ali jette le manteau par la fenêtre, et l’auto repart aussi tôt.
Richard, qui guettait le retour de son épouse, sort précipitamment. Quand il voit dans quel état de saleté se trouve sa pauvre compagne, des coulures d’excréments le long des jambes, de la terre un peu partout, des bleus et des marques de coups sur tout le corps, sans parler des rayures faites par la cravache. Il la ramasse, ramasse aussi son manteau, l’emmène sur le côté de la maison, ouvre la porte du garage, saisie le tuyau d’arrosage, et commence par la laver à grande eau.
- Pas question que notre fils te voit dans cet état !
Comme Béatrice grelotte, il lui jette son manteau sur les épaules, et la guide vers la salle de bain, en faisant bien attention que le fils de la maison soit dans sa chambre.
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Re: Les tribulations de Béatrice

Message par marilope »

Sublime, tout simplement sublime ! Merci !
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Re: Les tribulations de Béatrice

Message par MissCougar »

Ce post est abject et ne peux sortir que d’un
Esprit malade - j’ai abandonné très vite
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Re: Les tribulations de Béatrice

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marilope a écrit : Sublime, tout simplement sublime ! Merci !
Merci bien. Heureux que ma nouvelle te plaise.
COrdialement
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Re: Les tribulations de Béatrice

Message par Utilisateur supprimé 66970 »

MissCougar a écrit : Ce post est abject et ne peux sortir que d’un
Esprit malade - j’ai abandonné très vite
Mais tu as le droit de ne pas aimer ! Penses-tu que tout le monde soit en admiration devant toi ?
Quant à poser un diagnostic médical, encore eut-il fallu que tu en es les compétences...
Cordialement
(PS : ça fait deux fois que tu vomis sur mes nouvelles, évite de les lire, elles sont toutes de la même veine...)
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Re: Les tribulations de Béatrice

Message par MissCougar »

Tu dois avoir un sérieux problème avec les femmes pour les avilir de cette façon. C’est un post public et je me donne le droit de commenter.
Quand on prend connaissance de ton pseudo - tu ne veux pas de crade, mais ton histoire est un amoncellement d’immondices envers les femmes. Tu es certainement dans la vrai vie un homme à éviter à tout prix. Pauvre type
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Re: Les tribulations de Béatrice

Message par Utilisateur supprimé 66970 »

MissCougar a écrit : Tu dois avoir un sérieux problème avec les femmes pour les avilir de cette façon. C’est un post public et je me donne le droit de commenter.
Quand on prend connaissance de ton pseudo - tu ne veux pas de crade, mais ton histoire est un amoncellement d’immondices envers les femmes. Tu es certainement dans la vrai vie un homme à éviter à tout prix. Pauvre type
Si tu le dis...
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Re: Les tribulations de Béatrice

Message par Cupydon »

MissCougar a écrit : Tu dois avoir un sérieux problème avec les femmes pour les avilir de cette façon. C’est un post public et je me donne le droit de commenter.
Quand on prend connaissance de ton pseudo - tu ne veux pas de crade, mais ton histoire est un amoncellement d’immondices envers les femmes. Tu es certainement dans la vrai vie un homme à éviter à tout prix. Pauvre type
Ses histoires sont tirées d'un blog histoire perverse, tout est inventé, ce sont des auteurs qui les ont écrites, suivant les demandes de leurs clients, tout est poussé au plus loin de ce qu'un être humain peut accepter, c'est cousue de fil d'or et d'argent on se retrouve dans une fantasmagorie en pleine dérive.
MissCougar les femmes expriment leurs envies et fantasmes, elles fixent leurs limites, nous les respectons et ne sommes que des Sextoys à leurs dispositions pour leurs plus grand plaisir ;)
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Re: Les tribulations de Béatrice

Message par MissCougar »

Merci Cupydon pour ton commentaire.
Ma critique est émise sur le contenu de ce topic qui n’a strictement rien à voir avec le candaulisme. C’est un texte nauséaux, malsain ou la femme est rabaissée à un niveau rarement égalé. Qu’il y ait un public (je n’ose imaginer quels sont ces adeptes d’une telle violence), on peut le comprendre, mais ce n’est pas le lieu le plus adapté.
Tu dis que les femmes expriment leurs envies et fantasmes, mais quel rapport avec cette histoire sordide dont la suite prévisible est la zoophilie la plus barbare. Pardon de ne pas te suivre.
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Re: Les tribulations de Béatrice

Message par Utilisateur supprimé 66970 »

...Ses histoires sont tirées d'un blog histoire perverse, tout est inventé, ce sont des auteurs qui les ont écrites, suivant les demandes de leurs clients, tout est poussé au plus loin de ce qu'un être humain peut accepter, c'est cousue de fil d'or et d'argent on se retrouve dans une fantasmagorie en pleine dérive...


Oui, je publie aussi sur on blog "novellesperverses", comme tu dis, les fictions sont des inventions pures... Tout comme certains sites publient des fictions policières apr exemple... et lorsque l'auteur raconte un meurtre horrible, il ne l'a pas réalisé, ni même ne le conseile !
Après, on aime, on n'aime pas... comme pour la musique, la peinture, etc...
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Re: Les tribulations de Béatrice

Message par marilope »

La suite de la décheance de Béatrice, vite !
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Re: Les tribulations de Béatrice

Message par Utilisateur supprimé 66970 »

marilope a écrit : La suite de la décheance de Béatrice, vite !
Désolé, elle n'est pas encore écrite, je suis sur d'autres nouvelles...
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Re: Les tribulations de Béatrice

Message par Cupydon »

MissCougar a écrit : Merci Cupydon pour ton commentaire.
Ma critique est émise sur le contenu de ce topic qui n’a strictement rien à voir avec le candaulisme. C’est un texte nauséaux, malsain ou la femme est rabaissée à un niveau rarement égalé. Qu’il y ait un public (je n’ose imaginer quels sont ces adeptes d’une telle violence), on peut le comprendre, mais ce n’est pas le lieu le plus adapté.
Tu dis que les femmes expriment leurs envies et fantasmes, mais quel rapport avec cette histoire sordide dont la suite prévisible est la zoophilie la plus barbare. Pardon de ne pas te suivre.
Je parlais de Toi et des autres femmes heureuses et épanouies, Libertine qui s'offrent aux Libertins, c'était pour faire un contraste, entre la réalité de femmes généreuse, qui s'offrent aux plaisirs charnels, réalisent leurs fantasmes, fixent leurs limites ! Libre et heureuse ! Épanouie sexuellement, ayant la possibilité d'avoir des Amoureux ! La réalité en somme, tu peux décider par exemple, d'aller au Sauna Mixte et Libertin, pour passer un moment hors du temps avec des hommes qui vont te respecter et être à ta disposition pour te faire jouir comme tu l'entends !
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