Cela faisait déjà 30 minutes et je n’entendais aucun bruit venir de sa chambre. J’allais brièvement me nettoyer et me rajuster, puis je toquai à la porte de sa chambre :
-Omar mon chéri ?
-Entre !
Il était sur son lit, la tête dans ses mains. Il semblait effondré. Je m’approchai et m’assis à côté de lui, bien décidé à l’aider à passer ce cap.
-Omar, pardonne-moi !
-Karim, tu n’as rien fait ! C’est moi le coupable !
Je posais mon bras sur son épaule pour l’enlacer :
-Non ! Il n’est rien arrivé que je ne désirais !
Il leva la tête et me fixa, les yeux si tristes, je lui souris tendrement.
-Je t’aime !
Je le sentis frissonner lorsque je lui dis ça.
-Je t’aime aussi ! Mais tu es mon petit garçon, je...
Il fallait qu’il arrête de s’apitoyer ! Je me relevai d’un bond, me plantant face à lui, les mains sur les hanches et l’air en colère :
-Petit garçon ?! Je ne suis plus un petit garçon depuis longtemps !
Je posai les mains sur mes petits seins naissants de manière provocante.
-Est ce qu’un petit garçon en a de si gros ? Et ce cul bombé ? Et ces jambes ? Et cette peau lisse ?
Je faisais glisser mes mains sur mon corps, et lui, suivait, le regard captivé, les courbes de mon corps.
-Crois-moi, je ne suis plus un petit garçon depuis un bail ! Je suis majeur et vacciné ! Et je te désire, comme une femme désire un homme ! Et jamais je n’ai été aussi vivant qu’il y a 30 minutes quand tu me prenais sauvagement sur le sol de la cuisine !
-Mais...
-Pas de mais !
Je me plaçai sur lui à califourchon, il se laissa faire, et je tendis mes lèvres vers lui. Il ne fit aucun mouvement, et je m’emparai de ses lèvres.
Quand il sentit ma langue toucher la sienne, il eut un bref sursaut puis sa langue entra dans la danse. Une frénésie s’empara de lui, ses mains courant sur mon corps tandis que nos bouches vibraient au rythme de nos respirations excitées.
-Ma chérie...tu es si douce !
-Je suis toute à toi mon Omar d’amour !
Il se leva, j’étais toujours lové contre lui. Il essayait d’ouvrir son pantalon.
-Attends mon chéri, je vais le faire !
Je glissai à ses pieds, ouvris sa braguette et sortis son énorme pine. Dieu, que j’aime cette vision ! Je tendis la main vers le bout rose vif, d’où perlait une goutte de sperme, ne pouvant retenir ma langue qui passa machinalement sur mes lèvres. En voyant ça, il s’exclama un peu ironique :
-Jamais je n’aurais supposé que tu sois à ce point salope !
Réalisant qu’il venait de dire ça à son beau-fils, il eut un sourire d’excuse.
-Tu as raison, je suis une belle salope et j’adore ça ! Et j’aime ta queue !
Je n’entendis pas ce qu’il dit ensuite, trop concentré à lui pomper son zob !
Quand je le sentis sur le point d’éjaculer, j’arrêtai ma manipulation, je me mis à quatre pattes devant lui, tournai un regard chaud comme la braise, je lui dis :
-Oh Omar, encule-moi ! Fais de moi ta femelle ! Je ne suis plus Karim mais Karima ta 2ème femme !
Il eut un temps d’arrêt puis, se laissant gagner par cette atmosphère de luxure, s’agenouilla :
-Petite cochonne, tu sais ce que j’aime ! Oh, quel cul d’enfer !
Il se pencha et y déposa plusieurs baisers avant de se mettre à me lécher l’anus.
-Comme il est adorable ! Si petit, je vais te défoncer comme une chienne !
A ces mots crus, je cambrais encore plus les reins, je sentis un filet de pré sperme sortir de mon petit zizi et couler le long de mes cuisses. Il posa son pouce sur mon anus et fit une petite pression.
-Oh Omar, mon mâle adoré, défonce-moi ! Défonce-moi comme tu le fais avec ma mère ! Je veux ton zob, maintenant !
Encouragé par mes suppliques, il décida d’y aller franco, il passa une main dans mon entre jambe pour récolter de ma mouille et l’appliqua directement sur mon anus palpitant. Il positionna son gland et poussa.
-Je le sens...il entre...humm...oui mon chéri !
Une fois bien engagé, il m’agrippa aux hanches et poussa fortement.
Deux poussées plus tard, il était entier en moi ! Il resta un instant immobile sans doute pour que je m’habitue à cette massive présence mais, impatient, c’est moi qui commençai à bouger le bassin.
-Quel vicieux ! Telle mère, tel fils !
-Défonce-moi ! Encule ta femelle Karima !
Réalisant quelle salope j’étais, il ne me ménagea plus. À chaque coup de butoir, je sentais ses couilles taper sur mon cul. D’avant en arrière, parfois la ressortant, puis me l’enfonçant de nouveau avec force.
Il allait si fort qu’il était pratiquement allongé sur mon dos. Il tenait mes petits seins.
-Oh Karima, je vais jouir !
-Ejacule en moi ! Je veux te sentir !
-Salope !
-Humm…
Le frottement, les mots crus, la situation, j’eus mon premier orgasme anal, mes jambes vacillèrent, tandis qu’il me remplissait de son jus les entrailles.
Lorsque j’émergeai à nouveau, j’étais allongé sur le ventre, avec lui allongé sur mon dos, et sa queue toujours dans mon anus et le ventre plein de son jus.
Et bizarrement, je voulais rester comme ça...et lui aussi, semble-t-il.
Soudain, brisant le silence apaisant post coït, le téléphone sonna.
-Ça doit être ta mère ! Je vais me retirer maintenant !
-Non, reste encore ! J’aimerais te sentir durcir à nouveau en moi !
-Tu es insatiable Karima mais je dois répondre !
-Attends !
On se tourna légèrement et je tendis la main vers le téléphone sur le chevet, je pris le combiner et l’air de rien :
-Allo ? Ah maman, c’est toi (...). Oui, vous avez mis du temps à répondre ? (...). On vient de revenir des courses ! (...). Omar ? Il ramène les courses !
Tout en disant cela, je prenais un plaisir pervers à onduler du bassin.
-Tiens, je te le passe, il arrive ! Dis, après je pourrais te reprendre, faudrait que je te demande quelque chose (...). Non, non, je te passe d’abord Omar !
Omar hésita à prendre le combiner mais s’en saisit :
-Allo chérie ! Oui les courses (...) oui, tout va bien !
Je sentais que d’avoir ma mère en ligne lui redonnait de la vigueur car, d’un coup, il prit de l’ampleur dans mon anus !
Omar sembla trouver un certain plaisir dans cette situation, car toujours en parlant de choses et d’autres avec ma mère, il me releva pour me caresser mes petits seins.
S’apercevant que j’avais glissé ma main pour jouer avec mon clito, il profita de la situation pour me repasser ma mère. Essoufflé, j’avais un peu de mal à garder une certaine sérénité, d’autant que Omar était bien décidé à aller au bout des choses !
-Maman (...) Oui...ce que je voulais te demander ? (...). Ah oui...tu vas rester combien de temps là-bas ? (...). Non, non, on a hâte que tu reviennes bien sûr (Omar venait de me mettre un gros coup de butoir). Oui, oui, ça va (...). L’émotion, c’est ça (...). Bon, ben à dans deux semaines ! Oui, bye !
J’entendis la ligne raccrocher mais ne pus pas remettre le combiné en place car mon beau-père, tel un sauvageon, me sodomisait comme un fou !
Son jus précédent emplissait encore mes entrailles, donnant à mon ventre un petit aspect rebondi. Soudain, il déchargea une nouvelle fois, ce qui gonfla encore plus mon ventre, appuyant sur ma vessie. Quand il se sépara de moi, de longs jets gluants coulaient entre mes cuisses
-Quelle baiseuse ! J’ai rarement tringlé une aussi belle salope ! Tu aimes le cul toi !
-Humm ! (Je m’étirais comme une chatte en chaleur). Elle rentre dans deux semaines ! On a tout notre temps ! Dis-je en parlant de ma mère. Oh, Omar mon mâle, tu vas voir à quel point je suis une belle salope !
Mon beau-père Omar 4
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