Le douanier

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.
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Utilisateur supprimé 66970

Le douanier

Message par Utilisateur supprimé 66970 »

Le douanier

Suite à une annonce passée disant que j'étais un homme mur passif, aimant les situations insolites et les insultes et autres gros mots, je suis appelé par un homme. Au téléphone il m'a déjà traiter de vieux pédé, de gros con, en même temps qu'il m’expliquant qu'il voulait vivre un de ses fantasmes où il serait douanier et moi un type louche, du moins suspect.
Au téléphone ses insultes tombaient à point nommé, et ça devenait fort excitant. Je décidais donc d'aller chez ce monsieur.

Habillé simplement malgré le froid, pantalon sans caleçon, polo, grosse veste. Je prends la voiture et arrive chez l'homme, un portail électrique est ouvert comme il me l'avait dit, je rentre et vais à la porte pour sonner.
La porte s'ouvre, et un homme grand et fort me fait entrer . Dès que la porte est refermée, je suis saisie par le bras et emmené devant une table en bois dont visiblement ce n'est pas la place habituelle, une chaise en bois, et l'ordre de poser mon manteau sur la table.
André, du moins est ce le nom de son émail, porte un uniforme qui ressemble à celui des douaniers pour le néophyte que je suis. Un képi est posé sur la table et l'homme est tête nue.
_ Vous savez pourquoi on vous a arrêté bien entendu…
_ Non monsieur, aucune idée.
_ Faites pas le malin, ça risque d’être fort désagréable pour vous sinon.

L'homme fouille dans mes poches puis repose le manteau en travers de la table. Puis, reposant le vêtement sur la table, il m'ordonne d'un ton sec :
_ Allez, contre le mur bras et jambes écartés…

Sans mot dire, je me colle au mur comme demandé.

_ Non ! Les pieds à un mètre du mur, la tête contre le mur.

Je rectifie ma position, et là j'ai droit à une palpation en règle, aucune partie de mon corps n'est épargnée, jusqu'à me tripoter la bite et les couilles à travers mon jeans. Puis je sens que l'homme palpe mon ventre avec force comme si il cherchait à déceler quelque chose dans mes intestins.

_ Bien… Rien dans le fringues, rien dans le ventre semble t il, c'est donc caché ailleurs !
_ Mais je ne sais pas de quoi vous parlez, monsieur, je vous assure…
_ Et un vol Colombie Mexique, Mexique Antilles et Antilles métropole, ça ne vous paraît pas suspect ça peut être ?
_ heuuu… Je bafouille un « non » qui sonne faux.
_ Parfait, nous allons vérifier tout de suite cela, baissez votre pantalon.
_ Mais monsieur…
_ Baissez le vous dis-je ! Ou alors vous préférez la garde à vue, avec de toute façon, la fouille corporelle ?

Voyant que je n'aurai pas le dernier mot, j’exécute l'ordre et baisse mon pantalon me retrouvant du même coup cul nus devant le douanier. Puis je retire prestement mes mocassins et enlève totalement mon jeans.

_ Vous voyagez sans slip vous ! Remarquez, cacher votre bite ridicule de gros porc ne sert à rien…

Je rougie, me sens humilier et n'ose plus dire un mot.

_ Votre gros ventre de vieux pédé sur l'assise de la chaise, les mains et les pieds au sol.

Sans bronché je pose mon ventre sur l'assise de la chaise et les mains par terre, La position est peu confortable mais pas plus. Je sens l'homme derrière moi qui va vers la table, un tiroir est ouvert je pense, puis refermé, et l'homme se rapproche à nouveau.

_ Écartes tes jambes gros con…

Là encore, je me sens mal mais j'écarte mes jambes du mieux que je peux. Puis je sens des doigts qui m'écartent les fesse et quelque chose de froid contre mon anus.

_ On va voir si tu planques quoi que se soit là dedans.

Et joignant le geste à la parole, l'homme m'introduit quelque chose de lisse et long dans le cul. L'objet à été lubrifié et rentre aisément pour aller buter tout au fond. Je suis relativement serein car avant de venir j'ai fait un profond lavement et j'ai très peu de chance de polluer son objet.

_ Ha ! Tu as le cul propre vieux pédé ! Tu dois avoir l'habitude de te faire mettre comme une gonzesse, vieille fiote !

Et l'homme joue avec le truc qu'il m'a mis dans le cul, de longs va-et-viens pour commencer, puis il le fait aller dans les petits coins, bref ce salaud m'excite terriblement et je bande.

_ T'aime ça vieille tarlouze, t'aime ça te faire travailler le cul, hein vieux machin… Réponds quand je te pose une question connard !
_ Oui monsieur…
_ He bien on n'est pas là pour ton plaisir du con !

Et joignant le geste à la parole il retire brutalement l'objet de mon cul et ordonne encore :
_ Allez, debout et contre le mur comme tout à l'heure, ça doit bien être caché quelque part petit malin va !

J'ai un peu de mal à me remettre debout car un peu ankylosé, mais je fais au plus vite et bais me remettre, les pieds à un mètre environ du mur, jambes bien écartées, et bras contre le mur. Je sens la présence de l'homme juste derrière moi, je ne sais pas ce qu'il fait, mais il s'agite. Puis deux mains vigoureuses s'emparent de mes fesses et les écartent vivement.

L'homme introduit directement sa queue dans l'anus à sa portée et commence à limer comme un démons.

L'introduction vive est légèrement douloureuse malgré mon excitation. Mais très vite cette petite douleur s'estompe.

Le douanier, lâchant les fesses, glisse ses mains sous le polo et vient tripoter outrageusement les vieilles mamelles grasses.
_ Puisque tu aimes la bite vieux chien pervers, je vais te remplir…

S'en suit une volée d'insultes toutes plus humiliantes les unes que les autres, et je prends un pied fantastique. Puis j'entends :
_ Branles toi l'enculé…

Je porte ma main droite à ma bouche et la lèche copieusement, puis la porte à ma queue et commence à me branler. Je me branle très peu de temps, car je sens l'homme derrière moi sur le point de jouir, et ça me fait jouir aussi.

Le douanier crache plusieurs jets de semence dans cet anus chaud et accueillant. Puis, une fois fini, reste quelques secondes en place pour reprendre son souffle, et ressort aussi vite qu'il était rentré.

_ Voilà, t'es pleine vieille tapette ! Maintenant remets ton froc et casses toi, j'ai plus envie de voir ta sale gueule de vieux con, VITE !

Ne sachant pas si ça fait partie du jeu ou si l'homme est sérieux, je décide de partir au plus vite car le ton est tout de même menaçant. J'enfile mon jeans et mes mocassins rapidement, reprends ma veste sur la table et, les yeux baissés, sort de la maison pour aller prestement m’engouffrer dans ma voiture et partir au plus vite.
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