Maryline

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.
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Maryline

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Maryline

Maryline est une femme de quarante-et-un ans, un mètre soixante, les cheveux mi-courts, châtain, des seins normaux, sans être trop menus. Elle est mariée, a deux enfants et est infirmière. Sa fille a un correspondant Anglais chez lequel elle a passé quelques jours et, en juste retour des choses, elle le reçoit à son tour.
Son mari et ses deux filles, devant revenir de province le lendemain, Maryline va chercher, à l'aéroport, le jeune homme. Elle a une photo et elle le reconnaît aussitôt. Il s'appelle Kevin, il a dix-huit ans et elle ne l'imaginait pas aussi grand et aussi beau.
Elle l'accoste, ils s'embrassent un peu gênés. Sur le trajet de retour, elle lui explique que toute la famille doit rentrer le lendemain, elle s'en excuse et elle est très troublée lorsqu'il lui dit :
- Ce n'est pas grave ! Ce sera un grand plaisir de rester avec une femme aussi belle que vous !
Maryline rougit de plaisir.
- Oh Kevin ! N'exagère pas ! Je peux te tutoyer ?
Kevin sourit.
- Bien sûr madame ! Et je vous le répète, je vous trouve absolument superbe ! Il ajoute, en regardant ses jambes que la robe dévoile à moitié, vous avez de belles jambes ! Elles ont l'air douces...
Maryline se sent de plus en plus troublée.
- Appelle-moi Maryline ! J'aimerais aussi que tu me tutoies... Et elle ajoute, tu ne te moques pas de moi ? Je ne suis plus si jeune.
Et avec un accent Anglais, qu'elle trouve adorable, il lui dit :
- Je ne dis pas que tu es belle par politesse ! Je te trouve vraiment, vraiment sublime ! J'aime ton visage, j'aime tes jambes ! J'aime... J'aime… Comme elle le sent hésiter à continuer, elle l'encourage :
- Tu aimes quoi ?
Il hésite encore :
- Non Maryline ! Je ne peux pas ! Je ne veux pas vous choquer…
Elle lui sourit :
- Je t'en prie ! Dis-moi… Et, pour le décider, elle pose brièvement sa main sur sa jambe avant de la ramener au volant.
- Eh bien... Eh bien ! Ta robe laisse deviner de jolis seins et... De... De jolies fesses... Bien remplies ! Tu ne fais pas mentir la réputation !
Maryline est de plus en plus troublée, elle est étonnée de sentir sa chatte se mouiller de plus en plus, alors qu'elle n'a jamais été très attirée par le sexe jusqu'à présent, même avec son mari. Essayant avec beaucoup de mal de garder son calme, elle lui demande :
- Et quelle est cette réputation ?
- C'est très cochon, hésite-t-il encore.
- Je t'en prie ! Dis-le moi, insiste-t-elle.
Et, toujours avec le même accent, qui la déstabilise un peu plus encore :
- Que les Françaises sont les meilleures pour la fellation et qu'elles adorent se faire sodomiser…
Maryline ne s'attendait pas à cela, elle rit nerveusement et, regardant Kevin brièvement, elle voit une bosse énorme qui déforme la braguette du jeune homme. Heureusement, ils arrivent et n'ont plus le temps d'être gênés.
Ils dînent ensuite, parlent de choses et d'autres, et Kevin est si galant que Maryline se sent de plus en plus à l'aise. Après le repas, ils vont sur le canapé, la chaîne diffuse de la musique, Kevin évoque son pays. Entendant un slow, il demande à son hôtesse si elle veut bien danser. Elle accepte, ils dansent doucement. Un deuxième slow suit et, insensiblement, ils se rapprochent. Elle sent alors contre son ventre la queue dure du jeune homme et, au lieu de s'écarter, tant qu'il en est encore temps, sa tête se niche sur l'épaule de Kevin.
Le jeune Anglais prend cela pour une invite. Il frotte alors sa bite de plus belle et, comme cela n'a pas l'air de déplaire à la mère de sa correspondante, il glisse les mains sur ses fesses. Il constate alors qu'effectivement, elle a une croupe bien remplie et il ne se prive pas de la malaxer. Il sent contre sa poitrine, les seins s'écraser dessus, les tétons sont durcis par l'excitation que ressent Maryline. Kevin lui relève lentement la tête, il l'embrasse et, comme on se jette à l'eau, elle lui dévore subitement la bouche. Ils se roulent ainsi un long patin qui dure plusieurs minutes et les laissent haletants.
Maryline s'agenouille ensuite doucement. Elle ouvre la braguette, fait descendre le pantalon et libère la queue de Kevin, qui a paru lui jaillir au visage, tant elle est raide. Elle contemple un instant, d'un regard admiratif, la bite dressée et si tendue, qu'elle en vibre, elle la trouve incroyablement dure, comparée à celle de son mari. Puis, elle s'approche et ses lèvres se referment sur le gland, qu'elle lèche et suce longuement.
Elle l'avale lentement ensuite et, alors que ses lèvres touchent le pubis de Kevin, il s'exclame :
- Ohhh ! Les Françaises ! Vous êtes formidables ! Toute la bite ! Tu m'avales toute la bite ! C'est si bon...
Maryline repense alors à la réputation, que les femmes françaises ont, soi-disant. Et les commentaires du jeune homme la survoltent encore plus. Elle retire la queue jusqu'au gland, gardant de dernier en bouche, le léchant par en dessous, puis elle avale toute la hampe. Elle inflige ce terrible traitement à Kevin, qui n'arrête pas de gémir de plaisir. Sous les assauts de la langue, à cause de l'onctuosité de la bouche et de la gorge accueillante, la bite paraît grossir encore et Maryline a l'impression d'avoir la bouche pleine.
Il contemple, émerveillé, la jolie tête aller et venir, joues alternativement gonflées et creusées par la succion, le long de sa queue toute luisante de salive. Il a l'impression que la jolie femme mariée, est une femme d'expérience en la matière, qu'elle prend son temps, et il a la certitude qu'il ressortira sa bite de la bouche brûlante, aussi flasque qu'un pneu crevé.
Maryline le pompe toujours en l'avalant jusqu'à la racine, chose qu'elle n'a jamais faite avec son mari. Faire une pipe étant même une pratique qu'elle n'aimait pas trop réaliser. C'est si bon que cela ne dure pas aussi longtemps que Kevin l'aurait souhaité. Il décharge soudain en poussant des gémissements, sans prévenir.
Dès la première giclée, Maryline est surprise par la violence du jet, par la chaleur du sperme et par son goût. Elle avale le liquide épais qui fuse sans relâche, les lèvres serrées autour de la hampe, de façon à ne rien laisser perdre. Elle est impressionnée par la quantité de foutre qu'il décharge et, consciencieusement, elle le boit, il a l'impression qu'elle lui pompe des litres de sperme. Sa gorge gargouille, alors qu'elle se remet à sucer la bite toute entière. Elle boit le foutre, tout le foutre.
L'engin diminue de volume petit à petit et perd toute sa rigidité. Lorsque Maryline se lève, elle se sent excitée comme jamais. C'est la première fois qu'une queue gicle dans sa bouche, qu'elle a bu le liquide épais et salé et, cela ne lui a pas déplu du tout. Ils s'embrassent longuement.
Les yeux brillants, Maryline demande au jeune Anglais :
- Alors ? Que penses-tu des Françaises ?
Kevin se serre contre elle en répondant :
- Vous êtes incroyables, formidables ! Jamais on ne m'a sucé comme ça Jamais une femme n'a avalé mon sperme !
Il l'embrasse langoureusement et ajoute :
- Caresse-toi ! Masturbe-toi... Là, dans le canapé…
Maryline est au-delà de toute retenue, elle s'assoit, ses mains glissent le long de ses jambes en remontant en même temps sa robe sur son ventre. Elle porte une jolie culotte noire et, sans aucune honte, elle frotte sa fente à travers le tissu d'un doigt.
Au bruit que cela fait, Kevin comprend qu'elle mouille abondamment. La jolie femme châtain se caresse peu à peu, avec plus de vigueur, s'exhibant sans aucune gêne, tant elle est en confiance, alors qu'elle ne s'est, d'une part, rarement masturbée et d'autre part, jamais devant une autre personne. Et encore moins son mari. Elle voit Kevin qui recommence à bander et elle écarte d'une main sa culotte pour se planter deux doigts à fond dans la chatte.
Maryline se masturbe ainsi quelques secondes, puis elle ajoute un troisième doigt. Elle regarde fixement la queue de Kevin qui grossit à vue d’œil et elle jouit dans cette position, les cuisses écartées, à quarante-et-un ans, devant un jeune homme qui pourrait être son fils.
À peine reprend-elle ses esprits, qu'il s'assoit à côté d'elle, l'enlace pour l'embrasser, tout en glissant une main sur la culotte. Il constate, à travers le sous-vêtement, que Maryline mouille incroyablement. Il lui murmure alors qu'elle répond à ses baisers :
- Déshabille-toi…
Sans aucune hésitation, elle se lève, glisse ses mains sous sa robe et enlève sa culotte. Puis il déboutonne sa robe et la retire lentement. Il lui reste juste un beau soutien-gorge noir qui moule bien ses deux seins.
Maryline vient à côté du jeune Anglais, saisit sa queue d'une main et la branle doucement. Elle sent sa liqueur imbiber sa chatte. Elle serre fort la bite tant elle en a envie. Elle s'installe de part et d'autre d'une jambe de Kevin et, tout en l'embrassant à pleine bouche, elle frotte sa vulve sur la cuisse du jeune homme, l'engluant carrément. Elle finit par monter sur lui, elle est tellement échauffée qu'elle veut être baisée à tout prix. Elle tient la queue raide, la frotte sur sa fente. Et, brutalement, elle s'empale en poussant un cri, tant son plaisir est grand. Elle s'est emmanchée à fond et, déjà, elle l'entraîne dans une cavalcade, elle se donne entièrement, jetant aux orties toute dignité de femme mariée, de femme respectable.
Kevin apprécie d'être chevauchée par une telle cavalière. Il n'aurait jamais imaginé baiser une telle femme. Il la laisse faire, prenant garde à ne pas jouir, ayant une autre idée en tête. Pendant qu'elle s'empale, il saisit ses fesses, les écarte, les malaxe et chatouille d'un doigt mouillé le petit trou. Il l'enfonce doucement et le fait aller et venir au même rythme que Maryline lui impose. Elle gémit soudain plus fort et elle est saisie par un orgasme dévastateur, qui la laisse pantelante quelques secondes.
Kevin se lève alors et, debout, il lui présente sa bite toujours raide.
Maryline l'avale d'un trait, jusqu'à ce que son nez bute sur le pubis du jeune mâle. Elle le suce comme une friandise. Elle ne se reconnaît pas. Elle qui n'a jamais trompé son mari, elle, pour qui se faire baiser une seule fois est suffisant pour le mois, là, elle n'arrête pas de jouir et d'avoir envie de recommencer.
- Mets-toi à quatre pattes ! Lui demande-t-il.
Elle se doute de ce qu'il désire. Mais elle s'installe comme il le souhaite, la tête dans les bras, la croupe haut levée.
Le jeune homme voit en gros plan son cul et cela ne la gêne pas. Elle sent son regard et cela la brûle, cela la fait mouiller encore plus. Il s'agenouille derrière elle et glisse un doigt dans son petit trou. Il l'enfonce vite à fond, puis il en met un second. Maryline a une petite grimace, mais elle le laisse faire et les deux doigts la pénètrent vite à fond.
Kevin les retire, guide son gland dans la raie et le glisse sur son anus entrouvert. Il pousse doucement, à petits coups.
Le fin anneau cède le passage peu à peu, il s'assouplit bien que Maryline soit crispée par l'appréhension. Dire qu'elle n'a jamais voulu que son mari la sodomise. Elle imagine la tête qu'il ferait s'il voyait la queue de ce gamin lui pénétrer son anus.
Quant à Kevin, si elle lui disait que c'est la première fois qu'elle avale du sperme, que c'est la première fois qu'elle se fait enculer, à quarante-et-un ans, il ne la croirait pas. Elle se répète qu'elle est une salope et les craintes qu'elle peut encore avoir à se faire dépuceler le petit trou, diminuent d'autant, d'autant que le jeune Anglais est très doux.
Maryline pousse un cri en sentant le gland franchir l'obstacle de son sphincter. Elle grimace, mais serre les dents et ne se dérobe pas. Toujours en petites poussées, Kevin l'emmanche et il l'encule enfin jusqu'aux couilles. Elle a un peu mal, son rectum lui paraît être en feu, elle a la sensation d'une énorme présence dans ses reins.
Le jeune homme commence à la sodomiser, retirant son manche à chaque fois un peu plus. Il est fasciné par la bague distendue qui enserre sa queue, par les fesses qu'il fend en deux. Il saisit la jolie française par les hanches et commence à la limer plus vite. Il voit Maryline gémir de douleur et il a la présence d'esprit de glisser une main sur sa chatte. Il lui caresse le bouton, le titille et elle apprécie visiblement cette initiative.
Kevin n'hésite alors plus. Il commence à l'enculer à grands coups de reins. Sa bite prend de plus en plus d'ampleur et il la sort jusqu'au gland, pour l'enfoncer jusqu'aux couilles.
C'est Maryline qui se masturbe à présent, de deux doigts bien plantés dans sa chatte. Son cul la brûle toujours autant, mais elle éprouve aussi un énorme plaisir à cet acte, dont elle n'aurait jamais cru être capable le matin même.
Il la sodomise à toute vitesse, lui bombarde les reins.
Son petit trou est à présent bien assoupli et la douleur est moins forte. Maryline est moins crispée et, lorsqu’elle sent les couilles buter sur sa chatte, la bite entièrement enfoncée dans son cul, elle a dans la tête l'image qu'elle doit donner et cela lui procure un énorme plaisir.
Maryline s'habitue de mieux en mieux à la grosse présence dans ses reins et, bien qu'il l'encule avec vigueur, elle entreprend de petits mouvements de va-et-vient.
Le jeune Anglais a du mal à croire à sa chance. Il a la sensation que sa queue est aspirée, malaxée, le petit trou est tendu à craquer. La mère de sa correspondante, une jolie femme mariée, qui a l'âge d'être sa mère, s'empale pour mieux se faire bourrer l'anus sur sa bite, comme une chienne. Il l'entend gémir sans discontinuer, il la voit grimacer.
Elle se sodomise un peu plus vite, la queue ressortant de ses reins presque toute, pour revenir dans son fondement avec un claquement lorsque le pubis de Kevin frappe ses fesses avec violence.
La jolie femelle est secouée de longs frissons.
Kevin a l'impression de lui remplir le trou du cul, à le lui faire éclater. Sa bite est incroyablement serrée. Il répond aux coups de croupe avec plus de force encore, faisant gémir de plus belle Maryline qui, ayant perdu toute retenue, exprime le plaisir qu'elle ressent :
- Oui, comme ça ! Plus loin, plus fort ! Dans mon cul...
Le jeune Anglais est comme fouetté par les paroles qu'il entend. Il lui saisit les seins à travers le soutien-gorge et, tout en les malaxant vigoureusement, il se met à pilonner le cul de Maryline, plus fort encore. Sa bite sort brusquement du petit trou et Kevin, fasciné, reste immobile, à la vue de l'anus incroyablement ouvert et qui met quelques longues secondes, avant de se refermer. Il est tiré de sa contemplation par les fesses de la belle salope qui se trémoussent, par la croupe qui se tend vers sa bite. Il ne peut résister et il plonge brutalement son engin, tout au fond des entrailles de Maryline, qui pousse un long cri de plaisir et de douleur mêlés.
Déjà, il ressort, fasciné par le trou béant et replonge dedans. Une vingtaine de fois, il recommence ce petit jeu qui arrache à chaque fois le même long cri à son amante :
- Il est beau ton cul Maryline ! Ton trou du cul est tout ouvert ! Écarte tes fesses ! Ouvre-moi ton cul encore plus...
La jolie femme mariée glisse les mains sur ses fesses et, sans aucune honte, ni pudeur, elle les ouvre à se les décrocher. Elle se retrouve à quatre pattes, la tête dans les coussins, le cul haut levé et complètement offert et, cette vision est tellement fabuleuse, que Kevin s'exclame :
- Les Françaises, quelles salopes ! Je n'aurais jamais pensé que vous soyez aussi salopes !
Maryline est brutalement surexcitée par les propos de son jeune amant et, alors qu'il vient de l'empaler une nouvelle fois, elle rugit :
- Oui salaud ! Encule-moi ! Défonce-moi le cul ! Plante-moi ta grosse pine dans le cul ! Oui, comme ça ! Plus fort ! Plus loin !
Maryline se tord, elle rue afin de mieux sentir la queue au fond de ses intestins.
L'Anglais ne peut plus se retenir, il explose en gémissant. Son sperme n'en finit pas de gicler, arrosant les boyaux de la belle quadragénaire.
La tête de Maryline est sens dessus dessous, elle jouit comme une démente. Jamais cela ne lui était arrivé avec une telle force.
Lorsque sa queue faiblit, Kevin la retire toute gluante.
Du foutre s'échappe du petit trou de Maryline, qui palpite, coule le long de ses cuisses. Au bout de quelques minutes, elle se redresse et s'assoit à côté du jeune homme. Ils s'enlacent. Elle lui demande en l'embrassant :
- Alors, tu les trouves comment, les Françaises ?
Avec un merveilleux sourire, il répond :
- Incroyable ! Vous êtes vraiment des cochonnes ! Vous êtes merveilleuses !
Ils sont épuisés et Maryline l'invite à dormir avec elle dans le lit conjugal.

Au matin, Maryline est réveillée par une sensation bizarre. Le jeune correspondant anglais de sa fille la tient serrée contre lui et elle sent sa queue dure, insinuée dans la raie de ses fesses. Elle se souvient brusquement de tout. Comment elle l'a sucé la veille, avalant du sperme pour la première fois, comment ce jeune homme de dix-huit ans l'a baisé, puis l'a enculé pour finir. Sodomisée pour la première fois également à quarante-et-un ans. Ces souvenirs lui font chaud au ventre et, mine de rien, elle pousse ses fesses vers lui pour que sa bite s'incruste.
Il gémit, elle tourne la tête, sourie et lui dit :
- Bonjour.
Pour toute réponse, il l'enlace et lui dévore la bouche en un long baiser, auquel elle répond aussitôt. Maryline se retourne alors et monte sur son jeune amant.
Tout en s'embrassant, il glisse une main sur sa chatte et glisse vite deux doigts dans un véritable marécage. Puis, il lui tâte les fesses à pleines mains, pendant qu'elle frotte sa chatte baveuse sur la queue dure. Il lui enfonce un doigt dans l'anus.
Elle se raidit à peine et lui dit :
- Il te plaît mon petit trou ?
Il enfonce le doigt jusqu'à la dernière phalange en répondant :
- Oh oui Maryline ! J'en ai envie…
Elle gémit :
- Baise-moi d'abord… Elle se soulève à peine, pointe le gland sur sa fente et elle s'empale d'un coup en poussant une longue plainte de plaisir.
Lui ordonnant de ne pas bouger, Maryline se met à s'agiter sur la queue. Kevin se laisse faire. Elle se soulève en faisant sortir la bite couverte de mouille et elle retombe de tout son poids en se la renfonçant toute entière. Les pubis se choquent et elle pousse des gémissements de plaisir.
- Ah, c'est si bon ! S'exclame t-elle.
Elle se baisse alors, écrase ses seins sur la poitrine de l'Anglais et, joue contre joue, elle fait remuer son cul à petits coups très rapides. Sa chatte aspire la queue avec avidité. Dans cette position, elle offre son cul et elle murmure :
- Mets-moi un doigt derrière.
Il lui fait lécher un doigt et il le lui introduit dans l'anus.
Elle accélère la cadence en gémissant :
- Par-devant ! Par-derrière ! En même temps…
Elle se met alors à lui sucer la langue, ses trois orifices emplis et elle jouit en émettant des sons rauques.
Kevin a le plus grand mal à se retenir d'éjaculer.
Ils restent ainsi quelques instants.
Toujours allongé, Kevin dit à la mère de son amie :
- J'ai envie de t'enculer.
Maryline s'attendait à cette envie. Elle s'agenouille, se baisse et commence à sucer la bite de son jeune amant. Elle l'imbibe de salive et la lèche sous toutes les coutures. En même temps, elle glisse un doigt dans sa chatte et s'assouplit, ensuite, l'anus avec.
La mère se met à quatre pattes, la tête sur les draps et elle s'écarte les fesses. Son anus s'ouvre et se ferme au rythme de sa respiration, car elle appréhende un peu le moment de l'introduction.
Kevin ajuste le gland sur la petite rondelle et pousse. En petits coups, mais inexorablement, il s'enfonce dans ses reins. Pendant toute la pénétration, il la voit grimacer et gémir doucement.
Elle s'efforce de mieux s'ouvrir pour l'accueillir, ses deux mains décrochant ses fesses le plus possible.
Le jeune homme a l'impression de pénétrer dans une fournaise sans fond, sa queue est comprimée, le sphincter serre spasmodiquement sa hampe avec force. Cela le stimule comme jamais, il ne l'a été, avec une autre femme. Il se loge vite tout au fond de son cul et ses couilles butent sur la chatte.
Maryline se détend peu à peu, elle sent son conduit presser voluptueusement la queue, elle la sent plantée loin dans son corps, lui retourner l'estomac presque.
Son jeune amant lui tient les hanches et il commence à la sodomiser doucement, en se sentant divinement à l'étroit. Il aurait aimé demeurer toujours dans son cul, mais il ne peut plus retenir son excitation. Après avoir baisé, avoir été sucé et à enculer cette si belle femme, et bien qu'elle ait l'âge d'être sa mère, il se déchaîne. Ses va-et-vient s'accélèrent, sa bite coulisse avec facilité au fur et à mesure, que le petit trou s'assouplit.
Maryline remue de la croupe, la douleur n'a pas été trop forte, elle s'attendait à souffrir davantage et elle se dit qu'elle s'habitue, finalement plutôt bien, à cette pratique qu'elle avait toujours refusée auparavant.
Le garçon accélère la cadence et dit à une Maryline qui gémit de plus belle :
- J'aime t'enculer ! C'est bon, j'aime ça !
Elle est comme fouettée par ces paroles teintées d'un délicieux accent anglais. Elle se met à s'empaler vers la bite, qui lui fait, à présent, plus de bien que de mal.
Il la sodomise de toute la longueur de son pieu, il se déchaîne, il lui pilonne le fondement, à toute vitesse et de toutes ses forces.
Maryline sent soudain des jets puissants de sperme fuser dans ses boyaux. Elle accélère le rythme et donne de violents coups de croupe en arrière. Elle jouit brusquement, son orgasme est beaucoup plus fort, que lorsqu'il l'a baisée auparavant. En mollissant, la bite est rejetée par son anus. La belle femme mariée a l'impression, que son petit trou reste béant et elle ressent une petite brûlure chaque fois qu'elle bouge. En se relevant, elle se tâte le fin anneau d'un doigt et dit à son jeune amant :
- Tu m'as défoncé ! Il ne veut plus se refermer…

Maryline prépare le petit déjeuner. Elle porte juste un peignoir. Après avoir déjeuné, ils parlent inévitablement de ce qu'ils viennent de vivre ensemble.
La belle quadragénaire est très intéressée par ce qu'a ressenti son jeune amant et ce qu'il pense d'elle.
Il lui avoue qu'il trouve bien meilleur de sodomiser une femme que de la baiser, et qu'il a adoré aussi qu'elle le suce à fond et qu'elle avale son sperme.
Maryline se sent de nouveau toute excitée. Jamais il ne lui était arrivé d'avoir autant envie de faire l'amour en un temps aussi rapproché.
Maryline l'interrompt soudain et lui dit :
- Demain soir, quand tu prendras l'avion, suis-moi aux toilettes de l'aéroport… Je te sucerai la queue à fond… Comme cadeau d'adieu, je boirai ton foutre.
Elle s'approche langoureusement, pose un baiser sur ses lèvres, lui prend la queue dans une main, la trouvant bien raide et elle ajoute :
- J'ai envie de toi encore ! J'ai envie de ta bite ! Viens me la mettre dans le cul ! Viens m'enculer
Elle sait que son jeune amant préfère ce trou-là et elle a envie de venir au-devant de ses désirs pour lui laisser un impérissable souvenir. Toujours dans la cuisine, elle enlève le peignoir, apparaît nue devant le jeune homme. Elle se sent salope et cela l'excite énormément. Elle se tourne, pose une jambe sur une chaise et s'écarte les fesses.
Il a sous les yeux sa belle croupe et son anus qu'il voit palpiter.
Elle glisse un doigt dans son anus en lui disant :
- Tu m'as bien ouvert le cul tout à l'heure ! Il est rempli de ton jus ! Viens me le défoncer encore, j'en ai envie…
Elle, si timorée d'habitude, se surprend à exprimer haut et fort ses envies, de façon plutôt crue.
Kevin est venu se coller derrière elle en l'agrippant aux hanches. Sa bite, de nouveau bien raide, bute contre les fesses offertes. Quand il colle son gland contre l'anus de Maryline, elle lui dit :
- Dis donc, tu es drôlement vicieux toi pour ton âge ! Tu aimes mon cul  Le jeune Anglais taquine quelques secondes le petit trou de la pointe de son pieu, en répondant :
- J'adore ton cul Maryline ! Il est tout petit et pourtant il peut avaler de grosses choses ! J'adore aller dedans...
Aussitôt, il force. Tout de suite, il sent l'orifice s'écarter sous la poussée. Le gland est entré sans aucune résistance et, d'une seule poussée, il s'enfonce jusqu'aux couilles, facilement, tant le conduit est bien graissé.
Maryline pousse un long cri guttural de douleur et de plaisir mêlés, elle ne sait pas.
Il l'a enculé d'un coup et c'est atrocement bon. Il voit son visage grimacer, il craint de lui avoir fait trop mal et il s'immobilise, ne bouge plus, toujours bien ancré au fond de ses entrailles.
Mais, sans attendre, Maryline pousse son majestueux fondement vers la queue qui la défonce, ses fesses forçant sur le pubis de son amant.
Kevin prend cela pour une invite, il ressort doucement du petit trou et Maryline pousse sa croupe sur sa bite. Il se sent comme avaler par l'anus bouillant et terriblement étroit. Cela est à peine croyable comment ce fut facile de la sodomiser, il n'en revient pas. Il ne remue toujours pas et, fasciné, il regarde la rondelle ouverte à se rompre, aller et venir sur son manche.
Elle pousse de drôle de râles chaque fois que la bite s'enlise dans son rectum.
Kevin n'en revient pas, un pur délice...
Maryline se met à rouler lascivement des hanches en lui lançant des regards excitants par-dessus son épaule où il peut lire son plaisir et sa douleur, quand elle grimace.
Il commence alors à accompagner la danse obscène, de la croupe sur sa bite, avec de lents va-et-viens. Il pourrait ne pas bouger, tant Maryline se défonce avec force, en faisant presque ressortir la queue de son cul. Elle halète en poussant de petits cris, son dos se creuse de plus en plus au fur et à mesure de la montée de son plaisir. Elle a la tête rejetée en arrière et se cambre toujours plus. Tout d'un coup, elle le regarde, la bouche crispée, les yeux écarquillés. Cela dure une fraction de seconde puis, c'est du délire. Elle est prise de spasmes, qui la font se tordre dans tous les sens, en poussant un feulement continu. Son anus se contracte autour de la queue. Ses mouvements ont fait que le jeune homme s'est retrouvé expulsé de son cul.
Qu'elle est belle, la bouche entrouverte, toute gémissante tandis qu'il va et vient dans le doux fourreau de son cul. Il est incapable d'en supporter davantage et il jouit à longs traits, se répandant en elle en gémissant de bonheur.
Maryline s'affale par terre, les jambes coupées par le plaisir, soutenue par son amant pour qu'elle ne se fasse pas mal.
Il sent le sphincter serrer convulsivement sa queue mollissant, jusqu'à ce qu'il l'expulse doucement.
Ils mettent quelques minutes à reprendre leurs esprits sur le carrelage, pourtant froid, de la cuisine. Ils s'embrassent tendrement, puis se lèvent.
- Mon Dieu ! Que m'as- tu fait ? J'ai cru mourir de plaisir, dit Maryline à
son jeune amant. Viens, allons prendre une douche.
Elle le prend par la main et l'emmène dans la salle de bain.
Cela les revigore. Ils se savonnent lentement une bonne demi-heure avec beaucoup de tendresse. Leurs langues se cherchent. Ils s'essuient mutuellement et elle constate avec surprise que Kevin bande de nouveau.
- Mais tu es incroyable ! Tu as encore envie ? Et par où veux-tu me prendre cette fois-ci ? Lui demande-t-elle innocemment, prévoyant la réponse.
Et elle ne se trompe pas quand il répond :
- Si tu veux bien, j'ai encore envie de ton cul ! Il me fait bander rien qu'en le regardant !
Elle regarde l'heure :
- D'accord ! On a encore le temps pour tout ranger ! Mon mari et mes enfants doivent arriver en début d'après-midi.
Kevin l'entraîne vers le lit conjugal sur lequel il s'allonge.
Maryline attrape sa queue et la branle doucement. Elle commence à la sucer, sa bouche est pleine et le pieu est déjà bien dur. Elle lèche consciencieusement, en salivant d'abondance sur le gland et toute la hampe. Déjà, elle se caresse et, pour bien se préparer, elle enfile un, puis deux doigts préalablement enduits de sa mouille, dans son anus, qui est resté bien souple.
Maryline vient sur son jeune amant, s'assied sur la queue qu'elle maintient bien droite. Elle s'écarte une fesse et pointe le gland sur son petit trou. Elle force un peu, pousse et le jeune homme la voit grimacer lorsque la grosse prune entre brusquement. Elle marque un temps d'arrêt. Elle s'empale ensuite lentement par l'anus, jusqu'à ce que toute la bite l'ait pénétré. Elle voit le jeune Anglais gémir de plaisir. Encouragée, la belle femme mariée commence à monter et à descendre. Peu à peu, ses mouvements prennent de l'ampleur et elle se sodomise bientôt sur toute la longueur de cette queue.
Fasciné, Kevin voit sa bite coulisser et la chatte humide et écartelée à cause de la grosse présence dans son rectum.
Maryline n'a pas trop mal, elle apprécie déjà l'intense échauffement et elle se met à aller et venir plus vite. Empalée par l'anus, elle sent un embrasement général envahir ses reins. C'est incroyablement fort et cela la fait gémir autant de plaisir que de douleur. Son petit trou s'est à nouveau bien élargi, et il s'est adapté aux dimensions de la bite qui le perfore. La jolie femme mariée monte et descend sur le pieu en gémissant sans discontinuer. Son jeune amant lui caresse les cuisses et, d'une main, elle se branle la chatte.
La jolie femme châtain se rend compte qu'elle se comporte comme une salope vicieuse et cela lui plaît incroyablement. Elle s'empale de plus en plus fort. La queue lui ramone l'arrière-train avec facilité, elle se soulève haut et se laisse retomber de tout son poids.
Dans son cul à présent béant, la bite coulisse avec une grande facilité. Kevin glisse les mains sous ses fesses.
Elle se cambre en arrière, en se tenant des deux mains sur le lit, et elle se soulève à peine comme il le lui demande.
Il se met alors à l'enculer, en donnant de violents et rapides coups de queue, avec une allure incroyablement rapide.
La femme mariée pousse alors des râles ininterrompus, laissant même échapper de petits cris lorsque la bite s'enfonce dans son cul jusqu'aux couilles.
Kevin est fou de plaisir, subjugué par cette si belle femme mariée, qui a le double de son âge et à qui il défonce l'anus, avec le sentiment qu'il a une chance formidable.
- Oh, j'aime t'enculer, gémit-il.
Maryline répond entre deux cris :
- Aahh ! Tu me fais jouir ! C'est bon ! Oui ! Encule-moi fort ! Défonce-moi le cul ! Défonce mon cul de salope…
Le jeune Anglais accélère encore le mouvement en disant :
- Je vais gicler dans ton cul de salope…
Et il décharge avec de violentes giclées. Le sperme fuse et brûle les entrailles de Maryline qui est foudroyée par un orgasme interminable. Tout le temps qu'il se vide, Kevin donne des coups de bite dans l’anus qu'il dévaste, avec un plaisir immense, coups de bite qui s'espacent peu à peu. Lorsqu'il sent sa queue faiblir, il encule la mère de son amie à fond et reste ainsi de longues minutes, la tenant serrée contre lui. Le pieu mollit de plus en plus et s'échappe enfin de l’œil de bronze bien ouvert.
Maryline se sent bien dans les bras de son jeune amant. Elle n'a aucun remord d'avoir trompé son mari, ni aucune honte de ce qu'elle a fait. Elle est très surprise par l'intensité du plaisir qu'elle a éprouvé en se faisant sodomiser. C'est pour elle une véritable révélation. Elle n'imaginait pas qu'une grosse bite, en un endroit aussi étroit, puisse causer autre chose que de la douleur. Elle qui n'était pas attirée par le sexe, a l'impression de voir la vie d'une façon différente.
Elle embrasse le jeune homme tendrement, leur baiser dure de longues secondes. Et, en se redressant, elle lui dit gentiment :
- Hé bien, petit cochon ! Tu m'as défoncé ! J'ai le petit trou tout ouvert ! Dis-moi, tu aimes m'enculer ?
Il sourit et répond :
- J'adore ça ! Ton cul est tellement serré ! J'aime te défoncer le cul, j'aime t'enculer ! Montre-le moi Maryline, montre-moi si je t'ai bien défoncé ton cul...
Sans la moindre hésitation, Maryline se retourne et, à genoux, la tête dans les draps, elle ouvre ses fesses de ses deux mains.
Kevin voit la fente luisante, entrouverte, mais ce qui le fascine le plus, c'est son anus qui palpite et qui est encore ouvert d'un bon centimètre. Elle lui demande :
- Alors, comment tu le trouves mon cul ? Tu me l'as bien défoncé, il ne veut plus se refermer !
Le jeune homme s'approche et touche l'anus d'un doigt qu'il enfonce vite jusqu'à la dernière phalange. Il le fait coulisser quelques secondes et répond :
- Ton cul est chaud ! Mon doigt rentre bien dedans ! Tu es vraiment cochonne Maryline ! Quand je t'ai vu, je n'aurai jamais cru que tu sois aussi salope !
Pour toute réponse, elle lui dit :
- Mets-moi un deuxième doigt dans mon cul de salope ! Branle-moi le cul…
La belle quadragénaire est émoustillée par sa supposée réputation et, pendant qu'il lui enfile deux doigts dans l'anus, elle se branle en même temps. Elle fait aller et venir sa croupe et, très vite, elle jouit en poussant des gémissements de plaisir.
Maryline se redresse doucement, embrasse le jeune homme une dernière fois et lui dit qu'il faut qu'ils s'habillent, car son mari et ses filles ne vont sans doute pas tarder à arriver. Et, en effet, une heure plus tard, les voilà.

Après déjeuner, le lendemain, Maryline emmène Kevin à l'aéroport accompagné de sa fille. Depuis le retour de son mari, elle n'a pas eu l'occasion d'être seule avec le jeune Anglais et elle le regrette, même son anus, se dit-elle, bien qu'il soit encore sensible et la brûle un peu.
Pendant le trajet, Maryline pense à tout ce qui s'est passé depuis l'avant-veille, pendant que sa fille discute à l'arrière avec son correspondant anglais qui est assis côté passager.
De là, il aperçoit une cuisse de Maryline, en grande partie dénudée, sa jupe étant remontée haut.
Ils arrivent enfin à l'aéroport, avec une bonne heure d'avance. Les bagages sont enregistrés et embarqués.
Sa fille décide d'aller dans un kiosque à journaux, elle adore feuilleter les magazines et elle y passerait son temps.
Maryline lui dit qu'elle viendra la chercher le moment venu, ajoutant que pour sa part, elle doit se rendre aux toilettes, car elle a mal au ventre.
Comme sa fille s'éloigne, Maryline se tourne vers son jeune amant et lui dit :
- Rejoins-moi vite ! J'ai envie de te bouffer la bite ! Je veux boire ton foutre.
Le jeune homme bande instantanément devant tant de promesses et de perversité.
Kevin attend une petite minute et pénètre dans les toilettes. Il voit un WC fermé et il chuchote :
- Maryline ? Il entend le verrou, la porte s'ouvre et il voit la mère de sa correspondante assise sur le trône, les jambes largement écartées, la jupe relevée sur son ventre. Elle n'a pas de culotte et elle se caresse doucement.
Il a l'impression que sa queue va exploser dans son slip, tant il bande dur. Il entre et tire le verrou. Il ne peut résister plus longtemps à la tentation et il pose une main entre les cuisses, de la mère de son amie.
Ses doigts glissent dans la fente qui les imbibe de mouille, en faisant un bruit très excitant de clapotis. De l'autre main, il défait les boutons du chemisier, l'écarte et dégage les seins du soutien-gorge. Il les malaxe à tour de rôle.
Il enfonce soudain deux doigts dans sa fente, ensemble, profondément. La jolie femme mariée se mord les lèvres de plaisir.
- Oui ! C'est bon ! Branle-moi ! Gémit-elle, tandis qu'il accélère ses mouvements.
Les doigts vont et viennent rapidement.
Maryline se sent ouverte, onctueuse, sur le point de jouir. Et, lorsqu'il se met à lui branler la chatte à toute allure, elle est secouée par un violent orgasme.
Maryline reprend ses esprits au bout de quelques secondes, puis dit au jeune Anglais :
- Merci ! C'est un beau cadeau d'adieu que tu viens de me faire ! À toi maintenant ! Je veux que tu te rappelles comme je suis salope…
Elle baisse le pantalon de Kevin, son slip et la queue dure jaillit devant ses lèvres. Elle la prend d'une main et commence un mouvement de va-et-vient. Elle ouvre la bouche et enfonce la queue au plus profond de sa gorge. Elle se retire doucement jusqu'au gland, puis l'avale jusqu'à la racine, son nez butant sur le pubis de son jeune amant. Elle le suce ainsi un long moment, tout en lui malaxant les couilles d'une main.
Ensuite, elle cesse de glisser ses lèvres autour du pieu ruisselant de salive et se met à lécher le gland brillant, l'entourant de sa langue, léchant toute la hampe et même les deux couilles.
Kevin gémit, il se tend vers la bouche avide et la belle femme mariée avale d'un coup sa bite.
Cela lui plaît beaucoup d'avoir la bouche pleine et de sentir ses lèvres contre le pubis de son amant. Elle le pompe comme si sa vie en dépendait.
Le jeune homme avance et recule, comme s'il se branlait dans sa gorge.
Elle a les joues déformées quand elle avale tout le pieu de chaire.
Soudain, il gémit :
- Tu vas me faire jouir salope ! C'est bon, Maryline...
Aussitôt, Maryline avale la grosse bite le plus possible, jusqu'aux couilles, la suce avec avidité, accélère encore la cadence et se livre toute entière.
Le jeune Anglais décharge avec violence, dans la bouche offerte, une première giclée de sperme.
La femme adultère l'avale avec délice.
Il retire sa queue aussitôt et finit de décharger sur le visage de Maryline, en se branlant vigoureusement.
Par réflexe, elle tend la langue pour attraper le plus possible de liquide. La giclée suivante fuse dans sa bouche ouverte et les autres sur ses cheveux et sur ses joues. Le foutre coule sur sa gorge et sur ses seins. Elle recueille de ses doigts un maximum de sperme et les lèche.
Il guide sa queue qui commence à débander vers sa bouche et attire la tête de la belle femelle. Il l'enfonce entièrement dans sa gorge.
Maryline se met à téter la queue, de plus en plus mollissant. Elle aspire le reste de foutre qui en sort, mâchouille la bite qui devient une petite chose élastique, qu'elle arrive à étirer comme un morceau de caoutchouc, en la suçant fortement.
Enfin, Kevin se recule et la jolie femme mûre porte une main à son visage, puis sur ses cheveux où elle trouve quelques mèches engluées de foutre.
Elle les porte à ses lèvres et les lèche. Elle rajuste son soutien-gorge, et enfin son chemisier et dit :
- Tu m'en as mis partout ! C'était délicieux ! Je me suis régalée !
Elle se lève, baisse sa jupe, sort des WC et va se refaire une beauté devant le lavabo. Elle est légèrement penchée, de manière à bien se voir dans la glace et Kevin admire ainsi sa croupe cambrée.
Le jeune Anglais ne peut résister. Il caresse les fesses par-dessus la jupe, puis glisse une main par-dessous et remonte entre ses cuisses. Il glisse un doigt vers sa chatte et l'enfonce dedans sans difficulté,
Maryline étant encore bien mouillée. Elle pousse un petit gémissement et lui dit :
- Hhhmmm ! Tu es un cochon ! Je vois qu'elle te plaît ma chatte !
Et pour rester dans le rôle qu'elle joue et lui laisser un dernier souvenir, elle ajoute :
- Et mon cul ? Il te plaît aussi ?
Il sort le doigt de sa chatte et le pointe sur l'anus qui frémit.
- Oui, il me plaît ton cul, Maryline !
Il tâte le petit trou qui s'assouplit.
- Vas-y ! Plante-moi ton doigt dans le cul ! Encule-moi avec !
Il voit la mère de son amie se cambrer un peu plus, en se tenant des deux mains au lavabo et il enfonce le doigt à fond dans son anus. Il le ramone quelques secondes à toute vitesse, jusqu'au moment où ils entendent des pas approcher.
Kevin retire vite le doigt et Maryline n'a que le temps de se rajuster, avant qu'un homme entre. Il fait ses besoins, puis s'en va.
Maryline donne alors un baiser langoureux à son jeune amant et lui dit ensuite :
- Je crois qu'il faut y aller. C'est dommage que l'on n'ait pas le temps… J'avais envie que tu m'encules ! J'avais envie de ta grosse bite dans mon cul ! J'aurais aimé que tu me défonces mon petit trou ! Tant pis, peut-être une autre fois. J'espère que tu as passé un agréable séjour en ma compagnie.
Elle voit qu'il bande et que, très certainement, il se serait fait une joie de la sodomiser.
Un peu dépité, il répond :
- Oui, c'est dommage... J'aurais bien aimé t'enculer encore, Maryline ! Grâce à toi, je vais avoir des souvenirs formidables.
En sortant des toilettes, elle lui dit :
- Tu aimes les Françaises alors ? Tu penses qu'on est des salopes ?
Et en repartant vers le hall, Kevin lui répond :
- Vous êtes formidables ! Vous êtes vraiment des salopes, je n'aurai jamais cru possible, que vous aimiez autant, vous faire enculer !
Arrivés à la salle d'attente, ils s'assoient.
Maryline ouvre son sac à main, prend quelque chose à l'intérieur qu'elle donne à son jeune amant.
- Tiens, garde ceci en souvenir…
Il tend la main et prend une jolie culotte noire. Il regarde aux alentours, personne ne les regarde et il la déplie.
- Magnifique ! Je penserai tout le temps à ton joli cul Maryline…
Et il la range dans ses affaires. Une annonce par haut-parleur indique alors, que le vol pour Londres est retardé d'une heure.
La fille de Maryline arrive aussitôt.
- Vous avez entendu ? L'avion aura du retard. Si cela ne vous gêne pas, je retourne au kiosque à journaux ! Il y a plusieurs livres qui m'intéressent.
Sa mère lui répond de prendre tout son temps et qu'elle viendra la chercher.
Une fois qu'elle s'est éloignée, Maryline se tourne vers le jeune Anglais et lui dit :
- Tu bandes toujours ? Ça te dirait de m'enculer ? J'ai envie que tu me défonces le cul une dernière fois. Comme toutes les Françaises, j'en ai tout le temps envie...
Elle ne lui laisse pas le temps de répondre, elle se lève, va aux toilettes et se dirige dans le même WC.
Kevin entre juste derrière elle et il ferme le verrou. Il la prend dans ses bras et la plaque contre lui. Ils échangent un long baiser pendant qu'il lui malaxe les fesses. Elle sent, contre son ventre, la queue qui bande dur. Il relève la jupe sur ses hanches, fait se retourner la belle femme mariée, qui se penche alors sur la cuvette, les jambes écartées.
Kevin mouille ses doigts sur la chatte qu'il trouve marécageuse. Il plante alors doucement un doigt dans l'anus de Maryline et l'enfonce rapidement tout au fond. Il le fait aller et venir quelques secondes.
Elle lui dit alors :
- Mets-moi un autre doigt dans le cul… Tu vas bien me l'ouvrir comme ça…
Il pointe un deuxième doigt et il les enfonce sur une phalange. Il entend la femme gémir. Il pousse fort, il progresse, la faisant geindre un peu plus fort encore. Enfin, il les enfonce entièrement et, sur le moment, elle grimace de la légère douleur, qu’elle ressent.
Il va et vient, le petit trou s'assouplit et, bientôt, il les coulisse dans le rectum avec la plus grande aisance. En même temps, il baisse son pantalon et frotte sa bite sur la fente. Il pénètre la chatte d'un coup jusqu'aux couilles, tellement Maryline mouille.
La belle quadragénaire pousse un profond soupir, tant cette pénétration brutale, augmente son excitation. Pénétrée par une grosse bite dans la chatte, deux doigts enfoncés à fond dans son cul, la font jouir en trois coups de queue seulement. Elle gémit alors :
- Je veux que tu m'encules ! Que tu m'encules tellement fort que j'en devienne folle…
Kevin retire sa bite de sa chatte. Il bouge encore ses doigts dans l'anus bien ouvert, puis les enlève. Il écarte les fesses, admire le petit trou béant.
Maryline s'impatiente.
- Dis-le que tu as envie de m'enculer, salaud ! Viens, plante-moi ta bite dans mon cul de salope !
Il présente le gland sur l'anneau et commence à pousser. Le rond s'élargit et avale soudain la grosse pine.
Maryline gémit de douleur. C'est toujours une effraction brutale. Elle serre les dents, le temps qu'il met, pour s'enfoncer dans son cul jusqu'aux couilles.
Il marque une pause.
C'est la jolie quadragénaire qui se met à remuer sa croupe à petits coups au bout de quelques secondes. La douleur est déjà moins forte, la brûlure dans ses reins, moins intense. Elle tourne alors la tête vers Kevin :
- Tu as envie de me défoncer ? Vas-y, encule-moi fort ! Défonce-moi le cul comme un sauvage...
Kevin la saisit par les hanches et, sortant sa queue jusqu'au gland, il emmanche Maryline brutalement jusqu'aux couilles.
Elle pousse un cri de douleur sous la méchante introduction et il la sodomise aussitôt avec fougue, ne lui laissant aucun répit.
Il est grisé par la vision de sa bite qui écartèle et défonce l'anus, de la belle femme châtain, donnant l'impression qu'il va se rompre. Sa queue navigue dans les boyaux offerts à une vitesse folle.
Elle garde la bouche ouverte et secoue la tête en tous sens. Son cul, son fondement est déchiré, il la brûle, elle a mal et éprouve un énorme plaisir à la fois, elle ne sait plus.
La posture qu'elle offre, dans des toilettes publiques, enculée par un jeune homme, amie de sa fille et qui a l'âge d'être son fils, alors qu'elle est mariée, la jupe retroussée, la croupe offerte, sodomisée alors qu'elle l'a toujours refusé à son mari, tout cela fait qu'elle se sent gagnée par la folie.
Kevin la défonce avec une telle fougue, l'enculant comme une brute jusqu'aux couilles, en ressortant quasiment toute sa bite, qu'elle a l'impression d'avoir le cul en charpie. Les mains cramponnées au réservoir du WC, elle commence à se projeter vers le jeune Anglais aussi vite et aussi fort qu'elle le peut.
Il ne prend plus la peine d'aller et venir et il regarde la belle salope se sodomiser seule. Elle s'empale d'elle-même, sur la bite, deux bonnes minutes, puis Kevin la reprend par les hanches, pour qu'elle ne bouge plus.
Le jeune homme retire sa queue et admire le trou qui reste bien ouvert.
- Écarte tes fesses Maryline ! Ton trou est tout ouvert !
Il plonge soudain sa queue dans l'anus jusqu'aux couilles, faisant gémir la belle femelle, puis la ressort de nouveau.
- Je t'encule facilement, ton cul est tout ouvert…
Et il recommence à l'empaler, recommençant ce petit jeu une bonne vingtaine de fois. Après, l'enculant à fond, il la saisit par les seins à travers le chemisier et lui dit :
- Je vais t'enculer et te faire jouir, salope !
Kevin recommence à lui bombarder le cul de coups de bite.
Maryline reste de nouveau la bouche ouverte, secoue la tête de plus belle et jouit brutalement avec un profond gémissement. Elle reprend ses esprits en s'empalant doucement sur la bite, le jeune Anglais la laissant faire. Elle gémit.
- C'était délicieux ! Je n'ai jamais joui comme ça…
Il la sodomise quelques secondes encore, refaisant vite chavirer la belle quadragénaire. Il sent qu'il est à bout, il retire sa bite et demande :
- Assieds-toi sur la cuvette, Maryline.
Sans réfléchir, elle s'exécute. Il presse sa queue vers sa bouche. Elle l'avale et se met à le sucer avec fougue. Elle l'embouche jusqu'aux couilles, sans réaliser encore qu'elle dévore un engin qui lui a ramoné le cul. Elle trouve le goût bizarre, mais ce n'est pas déplaisant.
Kevin lui tient la tête des deux mains et lui baise la bouche, s'enfonçant à fond dedans.
Elle le lèche, joue de la langue, elle accélère soudain la cadence. Elle l'aspire avec force et il lui asperge la gorge de nombreuses giclées de foutre qu'elle boit au fur et à mesure de leurs arrivées.
Le flot se tarit bientôt et la queue devient moins dure. Elle continue à le pomper jusqu'à ce qu'il ne bande plus.
Maryline se redresse alors et, à ce moment seulement, elle réalise qu'elle a sucé une queue venant de son cul. Elle a un mouvement de répulsion, mais, après analyse de ce qu'elle a fait et vécu, elle s'avoue que ce n'était pas désagréable. Elle se rajuste et revient à la salle d'attente avec Kevin.
Avant de la quitter, il lui murmure à l'oreille, pour que sa fille n'entende pas, qu'elle est une incroyable salope, qu'il aimerait encore l'enculer quand il voit ses fesses rebondies à travers la jupe, qu'il aime son cul et qu'il ne l'oubliera jamais.
Rien qu'avec ces paroles, l'envie de Maryline revient brutalement.

Sur le trajet de retour de l'aéroport, Maryline reste toute chamboulée par tous les événements de ces trois derniers jours. Assise dans le siège du conducteur, elle change souvent de position. En effet, ses fesses et son anus, en particulier, lui chauffent.
À quarante-et-un ans, se faire sodomiser autant de fois, pour la première fois de sa vie, en plus, en un laps de temps aussi court, c'est un exploit et il est difficile d'en sortir indemne. Et pourtant, ce fut une révélation. Elle se rend compte que la sodomie, la réconcilie avec le sexe et, malgré la douleur que cela occasionne, surtout au début, elle a formidablement joui.
Bien que son gros intestin et son petit trou soient en feu, elle se ferait volontiers enculer, sans une hésitation si le jeune Anglais était là.

Une fois arrivé à la maison, sa fille part rejoindre une amie. Maryline entre chez elle. Didier, son mari, est en train de faire la vaisselle. Elle lui demande si leur autre fille est là. Elle aussi est sortie. La jolie femme a toujours le ventre en ébullition et il se trouve, qu'elle a un homme sous la main. Son époux. Elle s'approche de lui, se colle contre son dos, le serre et, la tête sur une épaule, lui demande :
- Alors, mon chéri, je t'ai beaucoup manqué pendant ces trois jours ?
Didier est un peu étonné de l'attitude de sa femme, mais il répond :
- Oui. Tu m'as beaucoup manqué !
- Beaucoup, beaucoup ?
- Oui, vraiment beaucoup.
Elle glisse alors une main vers la braguette et se met à masser la queue à travers le pantalon.
- Et à elle ? Je lui ai manqué aussi ?
Didier n'en croit pas ses yeux. Jamais sa femme n'a pris d'initiative en matière de sexe. Il a peur de l'effaroucher et il répond prudemment :
- Oh oui ! Tu lui as beaucoup manqué aussi.
Maryline masse un peu plus encore la queue, puis les couilles. Elle sent l'engin grossir.
- Tu as raison mon chéri ! Je crois que je lui ai vraiment manqué…
Elle ouvre la braguette, glisse sa main dans le slip et caresse la queue qui grossit de plus en plus vite. Maryline s'agenouille alors et dit à son mari :
- Tourne-toi…
Il s'exécute aussitôt et déjà, elle s'affaire, baisse le pantalon et le slip. Elle prend la bite d'une main, la branle doucement et, regardant Didier dans les yeux, elle lui dit :
- Elle est belle ! J'ai envie de te la sucer…
Et, sans le laisser répondre, elle embouche l'engin brûlant. Maryline en a tellement envie qu'elle le suce avidement, voracement. Elle tète le gland, sa langue l'enrobant de salive.
Didier n'en revient pas. Il ne reconnaît pas sa femme et ne l'a jamais vu aussi active. Il ne s'en plaint pas, bien au contraire.
Elle commence alors à avaler la hampe, à chaque fois un peu plus et, très vite, elle parvient à tout avaler, son nez touchant le pubis de son mari, au grand étonnement de ce dernier.
Il en gémit de plaisir et prend la tête de Maryline dans ses mains pour rythmer la pipe sublime qu'elle lui fait.
Ses lèvres reviennent jusqu'au gland et elle l'avale ensuite jusqu'aux couilles. Maryline fait endurer ce délicieux supplice, à son mari une bonne minute. Elle sent qu'il a du mal à se retenir de jouir. Aussi, elle arrête de le pomper, le branle doucement et se met à lui lécher les couilles l'une après l'autre. Puis, elle les gobe chacune leur tour. Enfin, de la langue, elle longe la hampe et gobe le gland qu'elle suçote. Il est gonflé à éclater, jamais, elle n'a senti la bite de son mari aussi dure. Elle la lèche à petits coups de langue rapides. Elle sent qu'il est à bout, sa queue frémit.
Didier prévient sa femme qu'il va jouir, comme il le fait chaque fois qu'elle le suce. Mais, au lieu de se retirer, Maryline le pompe de plus belle. Il ne résiste plus, d'autant qu'elle l'avale à moitié et l'aspire jusqu'au gland à toute allure. Il gicle soudain, il lui donne son foutre en de longs jets.
Elle le boit au fur et à mesure. Elle est surprise par le goût du sperme, bien différent de celui de son jeune amant, mais pas désagréable pour autant. Elle l'aspire, le tète. Le gland est gros, il lui distend les lèvres. Elle le suce avec une telle frénésie qu'il lui échappe une seconde de la bouche. Le temps qu'elle le rattrape, du foutre fuse sur une joue et coule dans son cou. Jusqu'à la dernière goutte, elle le pompe. Il a pourtant fini de gicler, mais elle le suce encore. Elle ne laisse la queue qu'une fois qu'elle a repris sa taille normale.
Maryline se relève alors, enlace son mari et l'embrasse goulûment.
Il a d'abord un mouvement de recul lorsqu'il goûte à son sperme dans la bouche de sa femme, mais il se donne ensuite totalement à se baiser.
Au bout de longues secondes, ils en ressortent essoufflés. Elle lui demande alors :
- C'était bon mon chéri ? Tu as aimé ?
Il l'embrasse langoureusement un long moment et répond :
- Je t'aime à la folie ! Je n'aurais jamais cru que tu puisses être aussi géniale ! J'ai cru que tu me faisais mourir de plaisir…
Elle n'a pas le temps de répliquer. Ils entendent la voiture de leur fille arriver. En souriant à son mari, Maryline rajuste la queue et ferme la braguette.
Toute la famille dîne. Puis les filles s'installent devant la télé pour regarder un match de foot. Didier fait de nouveau la vaisselle. Il s'essuie les mains quand il entend Maryline descendre l'escalier.
Elle s'est changée, il la trouve très belle, avec un chemisier blanc, une jupe noire qui lui arrive à mi-cuisses, les jambes gainées de noir.
Alors qu'il s'approche de la cheminée dans le couloir, il lui dit :
- Tu es très belle ma chérie.
Il met des bûches dans le foyer et, quand il se relève, il voit sa femme adosser contre la rambarde de l'escalier et qui le regarde d'un air étrange, qu'il ne lui connaît pas.
Elle lui demande :
- Tu sais ce que je porte sous mes vêtements ?
Comme il lui répond que non, elle ajoute d'un air coquin
- Est-ce que tu veux voir de plus près ?
Il fait oui de la tête. Elle relève lentement la jupe et, surpris, il s'aperçoit qu'elle porte des bas et non des collants comme d'habitude, avec un superbe porte-jarretelle. Elle la remonte sur son ventre et il voit la culotte large, froufroutante que ses amis lui ont offerte pour ses quarante ans.
Elle a un petit sourire en apercevant la bosse qui déforme le pantalon de son mari. Elle laisse sa jupe, défait un bouton de son chemisier, un autre, un troisième. Elle l'écarte et il voit qu'elle porte la guêpière noire qu'elle a eue aussi en cadeau et qui lui relève haut les seins.
Maryline fait signe à son mari de la suivre et elle monte les escaliers.
Juste derrière elle, il la voit balancer ses hanches avec exagération, en relevant la jupe sur ses fesses. Elle entre dans la chambre et ferme la porte à clé, dès que Didier est passé devant elle. Elle saute aussitôt à son cou et l'embrasse avec passion. Il serre ses fesses et les malaxe.
Maryline s'agenouille alors devant son mari, baisse pantalon et slip. La queue jaillit devant ses yeux. Elle l'effleure de ses lèvres. Tout le corps de Didier se tend et vibre quelques secondes, comme secoué par une décharge électrique. Elle s'empare de sa queue qui est déjà lourde et dure. Sans plus attendre, elle la gobe doucement, entièrement, dans la chaleur de sa bouche, pour la sentir gonfler lentement, lui remplir la bouche, grandir et durcir, commencer à l'étouffer, déborder de ses lèvres.
Elle le tête doucement, sa main est descendue le long de la bite jusqu'aux couilles qu'elle malaxe. Ses hanches ont commencé à onduler par vagues, manifestant l'impatience de son corps, la bite s'est enfoncée jusqu'au fonds de la gorge accueillante, réclamant d'être sucé de manière plus rapide.
Maryline reprend à pleine main, le membre devenu dur comme un cep de vigne et elle entreprend une lente masturbation, en faisant glisser la fine peau d'une poigne ferme, dans un mouvement de va-et-vient régulier, rythmé par l'ondulation des hanches de son mari et du crescendo de ses soupirs. Tandis que sa bouche humide, dont les lèvres sont de plus en plus actives, embrasse goulûment le gland mauve.
Didier gémit soudain plus fort, crispe ses doigts dans la chevelure de sa femme.
Elle comprend qu'il va jouir. Elle sent la hampe grossir et se durcir comme une pierre, la pression monter, les palpitations de la queue s'accélérer. Elle a beau s'y attendre, elle est surprise quand il explose, quand le sperme emplit sa bouche en une violente giclée chaude. Elle la garde bien au fond de sa gorge, attendant la suite du séisme, quatre autres giclées qui, par ondes de moins en moins violentes, se font l'écho de la jouissance de son mari. Alors seulement, elle reprend très doucement sa tétée et boit avec gourmandise la semence, traquant du bout de sa langue la dernière petite goutte qui aurait pu lui échapper. Elle n'aime pas trop le goût du sperme, mais elle a trop envie d'être salope.
Son repas terminé, Maryline garde la bite au fond de sa bouche pour la sentir se recroqueviller, devenir douce et vulnérable, vaincue. Après un dernier regard à la queue recroquevillée, elle se lève et, dans un long baiser, mêle leurs bouches, leurs langues, leurs salives et elle partage le goût du foutre avec Didier. Elle l'aide alors à se déshabiller et lui demande de rester là, nu, debout contre le mur. Encore haletante, elle s'écarte enfin et, en fixant son mari dans les yeux, elle finit d'ouvrir son chemisier. Elle l'enlève et elle apparaît dans sa guêpière noire, impudique, terriblement provocante. Ses seins sont bien mis en évidence.
Utilisateur supprimé 66970

Re: Maryline

Message par Utilisateur supprimé 66970 »

suite...

Jamais il n'a vu sa femme parée d'une tenue aussi érotique. Il a encore du mal à croire en sa bonne fortune.
Maryline dégrafe sa jupe et la laisse tomber sur ses talons, par terre.
Didier l'observe, appuyé contre la porte. Il sent sa queue réagir déjà. Son épouse se livre sous ses yeux à une exhibition dont il ne l'aurait pas cru capable. Elle soulève ses seins plus haut que ne le fait la guêpière et elle se les caresse, en soutenant les regards de son mari. Après quelques secondes, elle s'assied sur le bord du lit et écarte les jambes. Elle glisse une main entre ses cuisses et se masse la chatte à travers la culotte, doucement.
Il voit sa femme gémir de plus en plus en se caressant ainsi.
Elle écarte soudain, l'entrejambe du sous-vêtement d'une main et elle continue de se caresser de l'autre. Ses doigts vont et viennent sur sa fente avec des bruits mouillés très érotiques. Elle glisse un doigt dedans avec un profond soupir. Elle l'enfonce à fond, se masturbe ainsi, puis en enfile un second.
Didier a du mal à reconnaître son épouse dans cette femme qui se branle sans pudeur devant lui, accomplissant ses phantasmes les plus fous et dont il n'osait même pas lui parler.
Maryline lui dévoile ainsi ses seins et sa vulve. Elle se relève brusquement, retire sa culotte, s'agenouille sur le lit, fait face à son mari et elle commence à se caresser d'une main. Elle remonte ses mains sur ses hanches, passe le long de ses seins, monte sur son cou et relève ses cheveux châtains. Elle ondule le corps et se caresse ainsi un petit moment. Les mamelons de ses seins pointent de manière très visible. De ses deux mains, elle se les caresse en pinçant légèrement les bouts.
Ses mains redescendent vers son ventre et continuent sur sa vulve. À cette simple caresse, elle soupire fort et remonte sur ses seins qu'elle masse avec plus de force pendant que sa respiration s'accélère.
De voir sa femme se donner du plaisir, Didier bande de nouveau aussi dur, bien qu'il ait joui déjà deux fois dans la soirée. Machinalement, il se branle doucement.
Maryline glisse ses mains entre ses cuisses largement écartées et pose ses doigts de chaque côté de sa vulve. Elle écarte ses lèvres vaginales et dévoile son clitoris.
Il l'entend respirer très fort.
Quand elle glisse un doigt sur son clitoris gonflé, elle pousse un râle de plaisir. Au début, elle le caresse lentement, mais après quelques coups de son majeur, elle augmente son rythme. Elle se masturbe maintenant en frottant son clitoris vivement. Les yeux fermés, elle semble y trouver un grand plaisir. D'une main, elle masturbe son clitoris et de l'autre, elle malaxe tour à tour ses deux seins.
Maryline s'étend alors sur le dos au milieu de son lit, écarte largement les jambes et recommence sa masturbation de ses deux mains. D'une main, elle tient ses lèvres ouvertes et de l'autre, elle glisse son majeur sur son clitoris et descend jusqu'à sa chatte qu'elle pénètre, puis en ressort et remonte jusqu'à son clitoris. Elle s'applique ce mouvement de va-et-vient pendant que son mari l'entend respirer de plus en plus fort.
Le corps de Maryline ondule sous ses caresses, qui vont de plus en plus vite. Puis, d'un coup, il la voit qui sursaute, tout son corps se tend et pendant qu'elle pousse un long râle, elle referme les jambes, emprisonnant sa main sur son sexe, pendant que de son autre, elle se pince les seins. Elle jouit devant son mari, se branlant devant lui pour la première fois, sans aucune honte.
Didier ne bouge toujours pas. Il attend que sa femme reprenne ses esprits, ne voulant pas rompre la magie de ces instants, attendant son bon vouloir.
Maryline ouvre les yeux, sourit à son mari et se retourne sur le ventre, la tête dans les oreillers, le cul en l'air, les jambes écartées, sa main glisse le long de son ventre, doucement. Ses doigts rejoignent sa fente, en ont écarté les lèvres, ont plongé dans son con trempé de désir, l'ont fouillé profondément pour se couvrir de son jus gluant, sont remontés vers son petit bouton.
Didier se branle avec ferveur, d'abord lentement, puis de plus en plus vite, mais en prenant garde de ne pas jouir. Il est fasciné par le dos de sa femme serré par la guêpière noire, reliée aux bas par des jarretelles, par sa croupe qu'elle offre à sa vue avec une impudeur qu'il ne lui connaissait pas.
Il est encore plus surpris quand elle sort les doigts de sa fente, les remonte jusqu'au bout de la raie de ses fesses, se caresse d'un doigt son petit trou mauve, en enduit l'anneau de sa mouille intime, et, du majeur, en a caressé le muscle d'un petit mouvement circulaire, en a lubrifié l'étroit passage secret puis s'est enfoncé le plus loin possible dans son rectum pour y jouer aussitôt une sarabande infernale.
Les doigts de sa main gauche fouillent sa chatte en même temps que le majeur de la main droite fouille son cul maintenant dressé vers le ciel de lit.
Didier a l'impression de rêver, il n'a pas l'impression de reconnaître son épouse dans cette femme qui s'exhibe devant lui, elle si sage jusqu'alors, elle qui lui a toujours refusé de mettre seulement un doigt dans son anus. Il la voit se branler vigoureusement en gémissement et se crisper de nouveau en une violente et totale jouissance, en étouffant un long cri dans l'oreiller.
Elle reste pantelante quelques longues secondes...
Toujours dans la même position offerte, Maryline tourne la tête vers son mari, lui sourit et dit doucement :
- Viens. Elle voit la queue tendue et ajoute, je te plais comme ça ? Tu ne me trouves pas trop salope ?
Elle tend sa main en arrière, prend celle de Didier et lui montre ce qu'elle veut, tandis qu'il répond :
- Tu es superbe ! Tu es vraiment la Maryline que je préfère. Même si tu étais encore plus salope, je t'aimerais !
Elle lui prend un doigt et l'approche de son anus tendu.
- Mouille-le dans ma chatte et mets-le dans mon petit trou…
Son rêve se réalise et Didier plonge son majeur dans la fente qu'il trouve boueuse. Il est vite trempé et il tourne alors le doigt autour du petit trou, en y mettant un peu de pression. Il le plonge soudain à fond, observant avec satisfaction la réaction surprise de sa femme, qui ne s'attendait pas à une entrée en matière aussi rapide. Son anneau se contracte fort et elle gémit.
Il la voit grimacer brièvement.
En une seule poussée lente, il l'a pénétrée de son majeur jusqu'à la garde, au plus profond de son fondement.
Maryline n'a pas eu vraiment mal, elle avait préalablement préparé le terrain, elle a à peine frémi, elle se laisse faire, elle apprécie même cette intromission brutale.
Didier la voit offrir mieux sa croupe, des deux mains, elle lui écarte ses fesses, signe pour lui d'acceptation de ce qu'il vient de lui faire. Son doigt s'active maintenant dans son cul, curieux et fouineur, il explorait les mystères invisibles de ce conduit obscur, il en caresse doucement les parois fragiles et gluantes, il le fait tournoyer en elle, tout en entrant et sortant d'à peine une demi phalange, arrachant encore et encore soupirs et gémissements à sa femme, qui se met à onduler, pour venir au-devant de ce doigt qui l'encule. En même temps, il s'aperçoit qu'elle se branle de plusieurs doigts dans la chatte, il les sent coulisser à travers la mince paroi qui sépare ses deux trous et sa belle épouse se crispe, jouit une nouvelle fois, les doigts enfouis à fond dans sa fente et dans son petit trou.
C'est la première fois que Didier voit sa femme avoir une multitude d'orgasmes et en redemander. Il laisse son majeur complètement enfoncé dans son anus, en attendant qu'elle émerge. Il a l'impression que sa queue grossit encore plus lorsque Maryline lui dit :
J'ai envie que tu me sodomises ! Mon petit trou n'est pas assez gros. Il faut que tu me le prépares pour ta queue… Dans la table de nuit... J'ai mis ce qu'il faut...
Didier ouvre le tiroir et y découvre une grosse carotte au bout pointu, mais qui s'évase vite en un fort diamètre et un tube de lubrifiant. Il est surpris, sa femme avait donc tout prémédité.
Toujours dans la même position, à genoux, la tête dans les bras, la croupe haut levée et les cuisses largement écartées, Maryline attend.
Didier met du lubrifiant sur son majeur, le glisse dans l'anus pour en enduire l'intérieur. Il en met ensuite sur le légume.
Elle sent soudain quelque chose de dur, de moins vivant qui s'introduit dans son cul doucement, mais inexorablement...
Tout en la pénétrant, il observe avec curiosité les réactions de sa femme sur son visage. Elle gémit et grimace. Bientôt, lorsque la carotte est enfoncée de moitié. Pour qu'elle s'habitue, il la sodomise ainsi sans dépasser cette limite. Puis, il l'enfonce à chaque poussée d'un bon centimètre pour enfin lui enfiler tout l'engin dans les boyaux. Il l'encule alors de toute la longueur, ne gardant entre ses doigts que quelques centimètres, pour bien la tenir et la manœuvrer à sa guise.
Maryline geint, grimace, mais elle ne se dérobe pas et s'ouvre même les fesses à se les décrocher.
Didier n'hésite alors plus. Il entreprend de longs et lents va-et-vient de son gode improvisé, jusqu'au fond des reins de sa femme, l'assouplissant à chaque passage un peu plus.
Maryline apprécie de plus en plus la carotte, alors qu'elle avait pris ce légume en désespoir de cause, à défaut d'autre chose. Elle ne se caresse pas la chatte et pourtant, elle se sent envahie par une étrange chaleur, par un nouveau plaisir que provoque en elle, dans sa tête et dans son corps, sa totale soumission acceptée et cette pénétration contre-nature.
Il l'encule sans douceur, lui arrachant des gémissements de plaisir et de douleur, comme il peut le constater sur son visage. Il lui laboure le fondement. Et il la voit jouir, alors qu'elle est seulement prise par le cul, lui confirmant qu'il est possible d'avoir du plaisir en cet endroit.
Le temps que Maryline s'en remette, il prend du lubrifiant et en enduit sa queue. Il observe alors la croupe de son épouse, son anus distendu par la carotte toujours fichée à fond. Il retire le légume et admire quelques secondes, le trou béant qui se referme peu à peu. Tranquillement, il pose son gland entre les fesses offertes et le pointe sur le petit trou.
Maryline comprend tout de suite où il veut en venir.
Didier s'enfonce très doucement en faisant pénétrer son membre un centimètre à la fois. Le cul de sa femme s'ouvre sans douleur grâce aux petits coups de reins qu'il donne.
Quand elle sent le ventre de son mari sur ses fesses, elle comprend qu'il l'a entièrement enculée. Ils restent soudés comme ça pendant un bon moment, puis il a commencé ses mouvements d'enculage, en savourant l'instant présent, la bite bien serrée dans ce trou étroit, heureux d'enfiler le cul de sa femme, qu'elle lui avait toujours refusé.
Didier la fait aller et venir en la tenant fermement par les hanches. Il ne voit pas son visage qui est appuyé dans ses avant-bras. Mais il comprend qu'elle apprécie de se faire sodomiser, lorsqu'il la voit donner des coups de bassin pour bouger sur son pieu.
Elle le sent au plus profond de son rectum.
Il se met à lui triturer les seins. Il pince les mamelons durs et il a le plaisir de la voir se trémousser de plus belle.
Maryline a l'impression que la queue prend encore de l'ampleur dans son petit trou. Elle a l'impression que le pieu de son mari lui défonce les entrailles, tellement elle le sent gros en elle. Elle ne lui connaissait pas cette vigueur. Elle a envie de le sentir encore plus loin et elle s'écarte les fesses du mieux qu'elle le peut. Elle lui tend son cul pour mieux le recevoir.
Didier lui malaxe encore les seins.
Maryline s'effondre soudain quand un orgasme lui broie le ventre et les reins.
Mais Didier la saisit par les hanches et il continue à lui ramoner le cul solidement. Chaque coup de boutoir procure une délicieuse jouissance supplémentaire à sa femme, chaque pénétration est un nouvel orgasme.
Elle se met à gémir plus fort de plaisir. Elle ne sait pas combien de temps cela a duré, sa jouissance ne cesse pas.
Didier s'est finalement crispé et elle sent son sperme gicler, à l'intérieur de son cul torturé. Cet arrosage copieux de foutre lui procure une ultime jouissance. Elle pousse un cri et elle sent ses dernières forces la quitter.
Ils mettent un long moment pour reprendre leur souffle.
Elle sent la bite perdre sa dureté et s'échapper de son anus. Ils s'allongent côte à côte. Maryline va dans les bras de son mari, pose sa tête sur sa poitrine et caresse doucement la queue molle. D'une petite voix, elle lui demande :
- C'était bon ? Tu as aimé ?
Didier lui caresse avec amour les cheveux et lui répond :
- Tu es si belle... Je t'aime ! Tu m'as fait le plus merveilleux des cadeaux… Il se demande à quoi il doit cette métamorphose, mais il n'ose pas le lui demander.
- Je te plais, habillée comme ça ? On dirait une pute...
- Au contraire ! Tu es très excitante.
- Tu as aimé me sodomiser ? Tu n'as trouvé ça sale ?
- C'était génial ! C'est bien meilleur que de faire l'amour normalement ! Et puis... Et puis...
- Quoi ? Vas-y, dis-moi tout...
- J'ai adoré comme tu m'as sucé !
- Alors, tu seras d'accord pour recommencer de temps en temps ? Ajoute-t-elle, sûre de la réponse de son mari.
- Quand tu voudras, mon amour et où tu voudras !
Tout en parlant, Maryline a continué à caresser la queue et, elle est surprise de la voir grossir de nouveau. Sans doute, est-ce l'effet de leur petite conversation.
- Eh bien ! Je ne t'ai jamais vu dans une telle forme ! Quatre fois dans la même journée ! Tu rajeunis mon chéri…
Maryline embrasse son mari, leur baiser devient passionné, il lui pelote les seins, glisse une main sur sa fente, la pénétrant de deux doigts.
Au bout de quelques secondes, elle se met à gémir et à onduler. Elle a de nouveau envie de faire l'amour. Après tout ce qu'elle a fait avec son jeune amant, puis avec son mari. Elle décide soudain de se comporter comme une véritable cochonne.
Elle se redresse et se met à genoux comme pour une prière arabe, les bras allongés devant elle, ses fesses rebondies posées sur ses talons. Elle ressent un intense échauffement dans le bas de son dos. Il est vrai que son anus a reçu un grand nombre de visites en trois jours. Mais elle relève malgré tout sa croupe cambrée et se tourne vers son mari.
- Viens m'enculer ! Je veux que tu me prennes comme ça encore, je veux te sentir très fort dans mes fesses, que tu m'encules fort !
Didier se glisse derrière sa femme, son sexe dans la main, et le présente à l'anus légèrement ouvert. Selon son désir, il pousse de tout son poids. Il l'embroche jusqu'à la garde comme s'il allait enfoncer un pieu, il ne s'arrête que lorsque son ventre est collé aux fesses de Maryline.
Elle pousse un long gémissement de douleur pendant qu'il s'enfonce dans ses reins et, quand il s'arrête pour qu'elle s'habitue, elle a un soupir ravi.
- C'est meilleur comme ça ! murmure-t-elle. Vas-y, défonce-moi ! Déchire-moi !
Didier se laisse aller sans retenue, son bas-ventre claque contre les fesses rondes et fermes, violant l’anus offert aussi loin qu'il le peut.
Rarement, elle n'a ressenti une telle sensation de plénitude, la queue inhabituellement dure de son mari y étant pour quelque chose. Maryline répond à chaque coup de boutoir par un feulement rauque. Elle gémit sans discontinuer et se contente de jouir sous les rudes coups de bite. Elle se découvre, avec étonnement quand même, friande de sodomie et adore avoir le fond de son cul rempli.
Didier continue ses longs va-et-vient entre les fesses superbes de sa femme.
- Continue ! Ah, tu me déchires, tu... Tu me fais mal, c'est booonn… Aaah...
Son mari se met à se démener dans le petit trou qu'il trouve bien élargi à présent, comme s'il voulait l'exploser, le démolir, le défonçant sans relâche. Il a l'impression de devenir dément.
Maryline a pris ses fesses à pleines mains et les écarte encore plus pour qu'il la sodomise mieux.
Didier rebondit sur les fesses accueillantes avec des claquements, il est presque devenu un homme primitif, seulement dominé par ses pulsions, par ses instincts. Il se tient fermement aux épaules de sa femme, la maintenant au sol.
Il sent la jouissance monter dans ses couilles. Il donne encore quelques furieux coups de reins et se répand dans le cul gracieusement offert en poussant un profond gémissement. Il a l'impression que c'est sa moelle qui se déverse. Qu'elle l'aspire. Il se retire de cette croupe accueillante et contemple, fasciné l’œil brun, ouvert et distendu de sa femme qui vient de jouir une dernière fois...
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Re: Maryline

Message par Hydrogenious »

Oui, vraiment une histoire très bandante. Superbe!
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Re: Maryline

Message par Utilisateur supprimé 66970 »

chrisdeforbes a écrit : Extraordianire !
Merci bien
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Re: Maryline

Message par Utilisateur supprimé 66970 »

Hydrogenious a écrit : Oui, vraiment une histoire très bandante. Superbe!
Merci, heureux qu'elle te plaise
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Re: Maryline

Message par marilope »

J'adore!! Merci beaucoup !
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Re: Maryline

Message par Utilisateur supprimé 66970 »

marilope a écrit : J'adore!! Merci beaucoup !
Merci à toi
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