Les joies de la démence sénile
C'est par une matinée sans joie ni soleil, que Marc se rend à la clinique du bois fleuri, le route est maussade, son esprit vagabonde, il sait qu'il va voir cette mère, jadis si aimante et pleine de vie, qui n'est plus que l'ombre de son ombre. Démence sénile lui ont annoncé, les médecins de la clinique, sans appel, pas de rémission possible, la voici devenue une crevette, tout est bon, sauf la tête.
Pas d'autoroute qui aurait pu accélérer le voyage, pas de gros souvenirs de sa nuit précédente, comme des milliers de nuits avec son épouse, calme sexuellement parlant, et depuis quelques années, il n'a même plus le goût de se masturber. Plus le goût, ou plus l'imagination, qui donnait tant de relief, à ses plaisirs personnels, il ne saurait le dire.
Il essaye de se souvenir de bons moments passés avec sa mère, plus jeune, il y a trente-cinq ou quarante ans, les années d’insouciance, de bonheur simple, du moins c'est comme ça qu'il les voit, aujourd'hui.
De souvenirs doux et flous de son enfance en souvenirs plus précis, il se souvient, maintenant, de son excitation quand, vers l'age de quatorze ans, quand il avait collé son œil au trou de la serrure, de la salle de bain, et qu'il avait pu voir les lourds seins de sa mère, penchée en avant sur le lavabo, et cette toison d'un noir de jais, un tablier de sapeur, qui s'affichait en haut de ses cuisses, longues et fines.
Une érection instantanée, et sa fuite au sous-sol pour se masturber, en léchant sa main droite, son sperme qui avait alors jailli très vite, comme s’il aspergeait sa maman, de son foutre chaud...
Et celui de ce moment si étrange, vers seize ans, peut-être quinze, alors qu'il jouait dans le jardin, avec mon meilleur pote, à faire des tirs de cavaliers avec les lances-cavalier, qu'ils avaient confectionnés avec des rayons de roue de vélo. Les cavaliers coupés dans les épingles à ardoises, récupérés, eux aussi, sur le chantier de construction, des pavillons de la deuxième tranche du lotissement, qui semblaient voler parfois en zigzag, ce qui amusait beaucoup les deux jeunes.
Ils tiraient sur une cible de polystyrène, à côté de la porte arrière du garage, quand d'un coup, un grand cri, et sa mère qui sort, comme une furie, d'avoir pris un cavalier dans la fesse et qui remonte sa jupe pour montrer aux garnements le bleu, qu'elle a maintenant. Ainsi, elle montre ses cuisses gainées de bas couleur chaire, sa culotte blanche en coton qu'elle relevait un peu, sur sa fesse gauche.
Quelle sensation d'un coup, une érection instantanée, il devait être rouge, mais plus que de honte de l'action, de la peur d’être surpris à bander furieusement de la sorte. Une fois repartie, son pote lui dit qu'il avait une mère un peu bizarre, mais pas mal foutue pour une vieille (d'une petite quarantaine).
Ou encore cette chaude après midi de juillet, son père en déplacement, sa mère avec une terrible migraine, qui la laissait plusieurs jours alitée, dans la pénombre de la chambre. Elle appelle, lui demande à travers la porte un grand verre d'eau. Il revient avec l'objet demandé, mais sans frapper, il ouvre et entre directement dans la chambre, elle a à peine le temps de remonter le drap sur ses seins, elle est assise dans son lit. Quelle vision furtive, ses lourdes mamelles, dont il s'était repu bien des années auparavant, accrochées haut sur la poitrine de cette femme mûre, fine, avec des hanches larges.
Aujourd'hui, à cinquante-deux ans, il a gardé le goût des femmes plus âgées, qu'il imagine plus dévergondées, plus perverses, plus joueuses. Et surtout, du moins pour bon nombre d'entre elles, qui, divorcées ou séparées, trop peu confiante en elles, se morfondent dans leur petit chez-elle, en espérant le grand bonheur de la venue du prince charmant, et qui, en douce, pour certaines, même refusant de l'admettre, se masturbent frénétiquement de temps à autre tant elles sont sexuellement en manque.
Mais toutes ces rêveries éveillées finissent par l’amener à sa destination. Le parking est ombragé, pas très grand, mais donnant sur une longue allée bordée de vieux platanes qui mène à l'entrée de la clinique. Le ciel s'est bien éclairci, et c'est maintenant un beau et chaud soleil qui illumine la voûte céleste.
La clinique est installée dans un vieux manoir, des dépendances bien plus modernes ont été accolées derrière le bâtiment principal, si bien qu'en arrivant, on ne penserait pas à une clinique.
À l’accueil, vers onze heures, il annonce qu'il va prendre sa mère, Geneviève, avec lui, toute la journée, et qu'il déjeunera à la cafétéria de l'établissement, mais qu'il se chargera de la faire manger. Puis, il se rend au deuxième étage, consacré aux patients atteints de dégénérescence et de démence sénile.
La chambre est propre, sent le frais, Geneviève est assise sur le fauteuil, relativement confortable et d'un aspect plus personnel, que les sempiternels fauteuils des hôpitaux. Elle porte une robe à fleurs, un peu kitch, qui se boutonne sur le devant. La lisière de ses bas de contention blancs apparaît en haut de ses cuisses qui ne sont pas cachées par la robe, relativement courte, mais de saison. La femme regarde la télévision, qui ronronne au mur.
- Bonjour maman, comment vas-tu ? Dit Marc, en entrant dans la pièce et se rendant au fauteuil pour l'embrasser.
- Bonjour monsieur.
L'homme ne se formalise pas, il est maintenant habitué à ce que sa mère ne le reconnaisse que très rarement. Après avoir fait deux bises et s’être débarrassé de sa veste, en la posant sur le lit, il demande, presque machinalement :
- Comment te portes-tu aujourd'hui, maman ?
- Ça irait mieux si Jack était plus gentil avec Sharon !
- Rassure-toi, ça va s'améliorer…
Marc se perd quelques instants dans une contemplation de cette femme, vieille de soixante-dix-sept ans, mais encore bien conservée. Si elle avait pu garder toute sa tête.
Il se rend compte que le soutien-gorge de sa mère, bien que visiblement blanc, reste perceptible sous la robe. Cette vision de ces gros seins lourds le ramène à ses pensées de ce matin.
Quelques minutes passent, seul le bruit de la télévision rempli la pièce, ces dialogues, totalement creux, semblent rassurer la vieille dame, comprend-elle le feuilleton, bien malin qui pourrait le dire.
D'un coup, Geneviève se lève de son fauteuil avec une vivacité qui laisse perplexe son fils. Elle fait quelques pas, mais ils sont, par contre, chancelants, elle doit être un peu ankylosée. Le fils prévenant se lève d'un bon et prend le bras de sa mère.
- Tu veux quoi maman ?
- Pipi.
- Je t’emmène maman.
Et joignant le geste à la parole, l'homme soutient et guide sa mère vers les toilettes, ouvre la porte, et va pour lâcher le bras.
Geneviève retient son fils en posant sa main sur la main qui tient encore son bras, et dit encore :
- Pipi, mais faut lever le couvercle sinon on va se faire gronder.
Marc relève le couvercle mais ensuite, il ne sait pas comment faire pour aider sa mère, il se dit qu'elle devrait remonter sa robe et baisser sa culotte pour s'asseoir, mais au lieu de ça, elle reste debout à attendre. Elle bug !
- Tu attends quoi maman ?
- Pipi, mais pas pipi culotte.
Et elle tire une nouvelle fois sur le bras de son fils.
L'homme comprend qu'il va devoir aider sa mère à remonter sa jupe et, sûrement, à baisser sa culotte pour qu'elle puisse uriner sur les toilettes. Il prend donc délicatement le bas, de la courte robe et remonte ce pli bien haut sur le ventre de la femme, qu'il maintient d'une main peu sûre, et de l'autre, il prend tour à tour un côté du slip, puis un autre pour le faire doucement glisser jusqu'à mi-cuisse. Puis, estimant que la culotte est suffisamment baissée, il dirige sa mère, pour l'asseoir sur le siège.
Geneviève, sans autre réaction, se laisse faire, puis, une fois assise, elle se laisse aller à uriner dans un bruit caractéristique.
Marc n'en revient pas, passé le malaise de devoir baisser la culotte à sa mère, voici que de folles idées lui arrivent en tête. Déjà, il ne reconnaît pas la chatte dont il avait le souvenir, celle peinte en noir profond par des poils bouclés, là, des poils clairsemés, gris, longs. Des lèvres longues, avec les petites lèvres, bien mal nommées, puisqu'elles dépassent des grandes.
La grand-mère serait-elle devenue impudique ? Ou seul, son état mental lui fait perdre le sens des convenances ? Toujours est-il qu'elle balbutie, une fois sa miction terminée :
- Pipi papier, pipi papier…
- Oui maman, je vais t'essuyer.
Voilà autre chose ! Si, bien évidemment, il connaît l'anatomie intime de la femme, il se dit que finalement, il n'a jamais vraiment observé une femme qui s’essuie la chatte après sa pisse ! Bon, après tout, dans l'état où se trouve sa mère, il ne risque pas grand-chose à essayer de se débrouiller !
Il enroule quatre ou cinq feuilles de papier hygiénique autour de sa main, et vient frotter celle-ci, sur la chatte encore bien ouverte. La sensation est étrange, il se surprend à penser que si quelqu'un de la clinique entrait, il aurait bien du mal à expliquer pourquoi, il n'a pas demandé de l'aide, de personnes spécialisées.
La vieille femme ne bouge pas, attendant la fin de l'opération, toutefois, son visage est devenu plus radieux, pas grand-chose, mais une petite lueur est apparue.
- Maman ! Je ne t'aurais jamais cru aussi salope ! Dit Marc, en riant intérieurement.
- Au fauteuil, au fauteuil, demande alors la pauvre vieille femme.
- Je vais t'enlever ton slip, pour que tu sois plus à l'aise, maman.
Une fois de plus, l’homme se sent pousser au vice par une force inconnue, comme on explique, quand on veut donner une excuse, à ses propres démons du vice et qu'on cherche à se rouler dans le stupre.
Il lève un pied pour faire glisser la culotte, puis l'autre, puis il enfourne la culotte de sa mère, dans sa poche arrière, il veut garder le précieux tissu, comme trophée de son audace vicieuse.
Ensuite, il aide sa mère à se lever des toilettes et lui remet sa robe, du mieux qu'il peut. Il se sent très excité de tant d'audaces et de vices, et les idées lui arrivent en tête, comme une rafale de balles.
La vieille femme se laisse maintenant guider hors de la petite pièce, elle semble plus sûre sur ses jambes, et elle se dirige, toujours tenue par le bras par son fils, vers son fauteuil.
- Il fait très beau, maman, si nous allions faire un tour dans le parc, avant le repas ?
Aucune réponse ne vient, la femme s'est seulement arrêté de marcher, elle tourne sa tête vers son fils et semble acquiescer, mais rien, de vraiment tangible, ne peut dire sa véritable envie, à ce moment-là.
Marc s'empare prestement de sa veste qui traîne sur le lit maternel, puis il guide sa mère, toujours accrochée à son bras vers l'office, où s'affairent quelques infirmières et aide-soignantes.
- Bonjour, j’emmène ma mère en promenade et ensuite, nous déjeunerons à la cafétéria, ne vous inquiétez pas de son absence.
- Très bien monsieur, bonne journée.
Incroyable, il s'attendait à devoir décliner son identité, voir à répondre à un questionnaire détaillé, ou pire encore, montrer ses papiers d'identité pour emmener sa mère au-dehors, là non, rien, n'importe qui vient prendre une vieille, sans autre forme de procès !
Ils empruntent l'ascenseur, toujours sans un mot, arrive dans le couloir, qu'ils suivent pour arriver, dans le magnifique hall d'entrée. Toujours aucune question ne lui est posée.
Ils cheminent doucement dans l'allée qui mène au parking, maintenant l'homme parle un peu à sa mère, lui raconte certains souvenirs, dont elle devrait se rappeler, si la maladie ne l'avait pas autant diminuée.
Parfois la vieille dame ouvre la bouche, pour faire des « ha » d'étonnement, ou des « oui », qui ne veulent trop rien dire.
À évoquer de doux souvenirs, l'homme retombe dans les souvenirs plus salaces, de son adolescence, quand il voyait sa mère et la voisine discuter, en maillot de bain toutes deux, des vacances, alors qu'elles étaient à se faire bronzer dans le jardin. Qu'il les voyait par la fenêtre entrouverte du sous-sol et qu'il se masturbait, en s'imaginant dans le lit de cette voisine, dix ans plus âgée que sa propre mère, mais encore si désirable, avec ses nichons ronds mais en belle forme de poire qu'elle ne cachait pas par un haut. Seins nus, voilà bien ce qu'il ferait plus tard avec ses copines, tient !
Après s’être retourné pour vérifier qu'ils étaient bien les seuls dans cette allée, le fils, de plus en plus vicieux, demande à la vieille dame tout à trac :
- Alors maman, te promener sans culotte, ça te plaît ?
- Culotte pipi commence à dire la pauvre femme, puis à le répéter comme un leitmotiv.
- Tu veux encore faire pipi ? C'est ça maman ?
L'homme cherche du regard autour de lui où il pourrait bien accroupir la vieille femme pour qu'elle puisse pisser tranquillement, il voit un petit bosquet, qui lui semble bien fourni et dans lequel passe le petit chemin de randonné, qui serpente dans tout le parc.
Il emmène Geneviève à sa suite, dans le petit bosquet. Une fois au milieu des arbres, il sort du sentier et se met à l'abri des regards, derrière un sapin.
La vieille femme suit docilement celui dont elle ne se rappelle plus qu'il est son fils. Quand il s’arrête, elle s’arrête aussi et recommence son lancinant :
- Culotte, pipi… Culotte, pipi…
- Oui, tiens-toi bien à moi, maman.
Cette fois-ci, Marc n'a aucune gêne à relever la courte robe. Il en profite même, avant que d'accompagner sa mère à s'accroupir, pour caresser subrepticement les poils, encore soyeux, de cette vieille moule grise.
Une fois accroupie, la vieille dame se vide la vessie avec ce bruit si particulier, que font les femmes, quand elles urinent.
Marc s'est accroupi aussi devant sa mère et observe attentivement, tout en la maintenant fermement, pour éviter qu'elle ne chute en arrière, le liquide jaune clair sortir de la chatte par laquelle lui-même, cinquante-deux ans auparavant, est sorti.
Geneviève ne s'émeut en rien, que son fils la regarde uriner, on dirait qu'elle n'a plus aucune conscience de son intimité, ou alors, serait-il possible qu'elle soit finalement, bien plus perverse, qu'on ne pourrait croire ?
Bientôt, les dernières gouttes s'échappent de cette vieille chatte bien ouverte, par la position de la femme.
L'homme est comme subjugué par ce spectacle, non pas de la miction d'une femme, mais de voir SA propre mère, uriner sous ses yeux. Il reste là, perdu dans des pensées, plus lubriques les unes que les autres.
- Pipi papier, pipi papier…
- Oui maman…
Mais cette fois, Marc, n'a pas de papier, ni mouchoir, ni autre petit bout de tissu, qui pourrait servir à sa mère. Finalement, il ose passer directement sa main, sur la vieille chatte, deux doigts entre les lèvres, le reste de la main plaquée sur le pubis. Puis, s'enhardissant encore un peu plus, il commence à masser doucement, le clitoris maternel.
Geneviève sourit, elle sourit de plus en plus, il semble bien que ces caresses lui procurent un début de plaisir, sûrement un plaisir tout simple, sûrement un plaisir oublié.
- Hum… laisse-t-elle échapper, de sa bouche entrouverte.
- Tu aimes ça, maman ?
- Hum… Fait-elle encore, pour toute réponse.
Le fils s'active de plus en plus sur le clito maternel, il en oublie même sa précaire position, si bien qu'à un moment, il tombe en avant sur ses genoux. Heureusement, il tient encore sa mère qui elle, n'a pas bougé. Il s'est laissé emporter par cette folle et grisante sensation incestueuse, bricoler le clitoris de sa propre mère. Incroyable !
Reprenant un tant soit peu ses esprits, et conscient que s’il raconte cet événement à quiconque, il ne sera jamais cru, pire, il sera pris pour un mythomane, il décide de faire encore quelques photos, avec son smartphone, de cet instant magique.
Geneviève se laisse guider et se retrouve debout, sa robe, tout d'abord retombée naturellement sur ses vieilles cuisses, encore assez fermes pour son âge, est maintenant remontée bien haut sur son ventre, et elle suit docilement la main de son fils, qui guide sa main pour qu'elle retienne cette robe, dévoilant ainsi sa chatte grise.
L'homme recul de quelques pas, s'empare de son smartphone et prend plusieurs photos de cette vieille femme, debout, jupe relevée.
Puis, profitant qu'elle soit debout sans bouger, il s'approche à nouveau, et fait glisser les bretelles de la petite robe, le long des bras fripés. Il déboutonne le haut du fin vêtement, et abaisse la robe sur le ventre.
Maintenant, Geneviève, est debout, les jambes gainées de ses bas de contention blancs, la robe relevée sur son ventre, la chatte à l'air, les poils gris flottants à la brise, les seins lourds emprisonnés dans le gros soutien-gorge blanc, à armatures.
Passant sur le côté, le fils incestueux attrape les deux bras du soutien-gorge, qui tiennent l'ensemble fermé, et les manœuvre de manière à ouvrir le sous-vêtement.
Celui-ci résiste quelques secondes, puis s'avoue vaincu ! Geneviève se retrouve vite avec ses vieux nichons à l'air.
Ils pendent, alors, jusqu'à ce que les tétons viennent au niveau du nombril, légèrement plus haut, de trois ou quatre centimètres.
Marc s'émerveille de ces vieilles mamelles, un peu flasques, mais encore bien lourdes. Il prend entre deux doigts, le téton droit et le pince doucement, pour voir si cette action, pourrait tirer une réaction chez sa vieille mère, en même temps que de l'autre main, maintenant qu'il vient de mettre son smartphone dans sa poche, il soupèse le sein gauche, le caresse, en apprécie la douceur, le soyeux.
La vieille dame indigne se laisse faire et commence à afficher, petit à petit, un sourire de contentement, sur son vieux visage. Elle tient toujours, d'une main ferme, le bas de sa robe.
Après quelques minutes, de ce tripatouillage de nichons maternels, Marc recule encore de quelques pas, reprend son appareil, et fait encore quelques bonnes photos.
- Maman ! Je n'aurais jamais cru ça de toi ! Tu es vraiment une vieille salope.
Si le tripotage de nichon et les caresses sur le clitoris donnaient quelques résultats, les mots ne semblent absolument pas toucher la vieille.
- Allez, je te rhabille…
Une fois encore, la vieille femme se laisse faire très docilement, sans plus de réaction que ça. Bientôt, elle se retrouve à nouveau vêtue de sa petite robe à bretelles, sans culotte mais ça, personne ne peut le deviner, par contre, sans soutien-gorge, là tout le monde peut voir, que ses lourdes mamelles sont libres, sous le fin tissu de la robe.
Une fois qu'il juge sa mère bien remise, ils reprennent le chemin, bras dessus, bras dessous, et il la guide vers le parking. Maintenant le soleil est bien chaud, pourtant en ce mardi midi, seules trois voitures sont garées sur le parking, et la voiture de Marc est, elle, non seulement à l'ombre, mais aussi un peu à l'écart, toute proche d'un sous-bois verdoyant, garé l'arrière donnant dans le sous-bois.
Il passe derrière la voiture, ouvre le coffre, et fait asseoir Geneviève dedans. Cette fois, il ne se gêne plus pour remonter la robe et tripoter le clitoris. Et ensuite, glisser deux doigts dans la chatte.
À nouveau, le visage de la vieille femme s'éclaire. Elle semble bien apprécier les caresses, qui lui sont faites. Quelque chose de bizarre se passe dans ce vieux cerveau, usé par des années médicamenteuses. Sa respiration se fait de plus en plus forte, pas encore bruyante, mais profonde et s'accélérant.
- Si j'osais je te roulerais une pelle, ça te dit de te souvenir de ta jeunesse maman ?
Bien entendu, la vieille femme ne répond rien, mais elle a maintenant les yeux mi-clos, comme une femme qui aurait sa pleine conscience et qui se régalerait, sous les caresses de son amant adoré.
Marc se laisse guider par ses bas instincts et vient plaquer sa bouche sur celle de sa mère, tout en continuant à lui fouiller sauvagement la chatte, et passer de son clitoris au vagin, en pénétrant directement la vieille moule, qui est maintenant bien ouverte et dégoulinante.
Sont-ce des réminiscences du passé, une sorte de réflexe, ou une véritable prise de conscience, au moins du plaisir, toujours est-il que la femme répond aux sollicitations de la langue de son fils, qui s'introduit en elle et fouille sa bouche.
L'homme bande à en faire craquer sa braguette, ça fait bien longtemps qu'il n'avait pas ressenti une telle excitation. Il ne sait pas quelle est la force, qui le pousse à de telles cochonneries, avec sa propre mère, mais il perd toute notion du temps et de l'espace. Il s’enhardit maintenant à glisser un doigt, puis deux, dans le rectum maternel.
Des doigts forcent doucement son sphincter, mais la femme semble bien apprécier, puisque sa respiration devient encore plus forte. Maintenant, elle miaule, comme une vieille chatte au coin du feu. Les doigts s'agitent dans son anus, ce diable d'homme, qui se dit son fils, est rudement expert dans ce genre de doigté.
Incroyable ! Il roule une pelle à sa mère en lui glissant deux doigts dans le cul ! Et ça le fait bander à mort, il est sur un petit nuage, à cent lieues de toute normalité, à peine conscient de ses actes. Sont-ils odieux, la justice trancherait que oui, à n'en pas douter, et ces faits seraient répréhensibles, mais l'homme, prisonnier de ses hormones, continue toutefois ses caresses incestueuses.
Bientôt, le bruit de l'arrivée prochaine d'une voiture, sort Marc de son rêve éveillé. Il retire prestement ses doigts de l'anus maternel, et entreprend de réajuster la tenue, de la vieille femme, avant que la voiture n'apparaisse sur le parking.
Geneviève se referme comme une huître, le sourire sur son vieux visage disparaît petit à petit, laissant place à cette face impassible, qu'on lui connaît.
Très vite, l'homme guide la vieille femme et l’installe à la place du passager avant. Puis fait le tour de sa voiture, entre de son côté chauffeur, et démarre.
Il reprend la route, qu'il a emprunté ce matin même pour venir, une petite route de campagne, qui serpente dans une foret tantôt clairsemée, tantôt plus drue. Il roule doucement à la recherche d'un petit chemin, qui rentrerait quand le bois.
La vieille dame ne bronche toujours pas, elle attend tranquillement, sans notion du temps qui passe.
Trouvant un petit sentier, visiblement pas trop emprunté, ou alors pas emprunté récemment, il suit pendant deux ou trois cents mètres le chemin et stoppe la voiture, dans un petit renfoncement sur le côté. Là, il devrait pouvoir faire demi-tour tout à l'heure, pour repartir.
À nouveau, il aide Geneviève à sortir du véhicule et ouvre le hayon pour l’installer. Avant de l'asseoir, il prend bien soin de remontée la robe haut, sur le ventre rond de la vieille dame, et de dégager les bras des bretelles, pour mettre la poitrine nourricière, bien en évidence. Une fois la femme bien assise, il se recule et reprend son smartphone, pour prendre des photos.
Quel tableau, la vieille dame assise sur le rebord du coffre de la voiture, ses jambes encore assez jolies pour leur âge, gainées de coton blanc, des bas de contention, les seins lourds et tombants dégagés, les jambes écartées laissant apparaître le pubis avec ses poils gris frisés, qui décore le mont de vénus.
Marc prend plusieurs photos. Puis il se dit que, maintenant, au point où il en est, plus rien ne l'empêche d'aller plus loin, aussi, il s'approche au contact de sa mère, du côté droit de celle-ci, ouvre sa braguette, fait glisser son pantalon, puis son slip. Ensuite, il s'empare de la main droite de la vieille femme, qu'il guide pour qu'elle se referme sur son sexe, fièrement dressé.
À nouveau, le visage de Geneviève s'illumine doucement, mais sûrement. On pourrait même sentir le retour du tonus musculaire, preuve que quelque chose se passe, bel et bien, dans ce vieux cerveau usé.
L'homme se branle par procuration, il tient et guide la main de sa mère qui elle est en contacte avec sa queue, prête à exploser. Pour éviter de jouir trop vite, il porte la main de sa mère à son visage en se penchant en avant, et lèche le creux de la main, qui l'a nourri jadis. Puis, se redressant, il fait appliquer la vieille main sur son sexe et reprend la masturbation.
Mais le moment est bien trop fort, tout se bouscule dans la tête de l'homme, qui commence à grogner, donnant ainsi des signes de sa jouissance prochaine. Un observateur pourrait voir, que la femme souri vraiment maintenant.
Alors qu'il sent qu'il va exploser et se répandre en longs jets de foutre tiède, il lâche la main, qui le branle et enfourne, sans autre forme de procès, sa bite, dans la bouche de la vieille femme. Il se branle encore pendant deux ou trois secondes, et jouit en longues saccades, comme fou de stupre, il jute dans la bouche de sa mère, comment est-ce possible !
Geneviève, toujours son sourire accroché à son visage, ne semble pas gênée, par ce foutre qui lui est imposé dans la bouche, mieux encore, elle déglutit et avale le précieux nectar de son fils, sans en baver une goutte. Visiblement, elle aime ce goût, si particulier, un peu salé.
Marc reprend un peu ses esprits, et une grosse culpabilité remonte du fin fond de son subconscient. Voilà bien l'homme, une fois qu'il a joui, il a honte, et voudrait sûrement que tout cela ne se soit jamais produit. La chute des hormones explique sûrement, cet état d'esprit, mais en partie seulement, le vice est le propre de l'homme, comme de la femme, cependant, l'homme se laisse plus aisément commander, par ses pulsions.
Cette fois, moins excité et bien plus mal à l'aise, il aide sa mère à se redresser et à se mettre debout, lui lisse le bas de la robe, puis récupère le gros soutien-gorge, qu'il avait glissé dans sa poche et le remet en place. Ce faisant, il touche bien évidemment les seins lourds et un peu flasques, pourtant si doux, de sa vieille mère, et une forme d'excitation revient très vite.
Une fois le soutien-gorge en place, la vieille femme, de nouveau amorphe, plie ses bras pour que son fils lui passe les bretelles. Une fois totalement rhabillée, elle se laisse guider jusqu'à la place avant, où elle s’assoit.
À nouveau dans le mode lubrique, Marc, en attachant la ceinture de sécurité, profite encore, pour peloter les gros nichons, à sa portée. Puis, laissant définitivement tranquille sa vieille mère, il referme la portière précautionneusement, et vient prendre place derrière le volant.
Un coup de clef, et hop la voiture est repartie, doucement dans le chemin, puis plus rapidement sur la route. Arrivée au parking, la voiture se gare.
En ramenant sa mère à la clinique, maintenant, Marc se tient très convenablement, il a toujours en tête ce qui vient de se passer, toute cette lubricité dont il a fait preuve, et cette pauvre femme qui ne réagit pas, ou si peu.
Ils vont à la cafétéria déjeuner, en silence, l'homme dit bien quelques mots, mais sans réponse. Puis, ils remontent à l'étage de la chambre.
L'homme installe sa mère dans son fauteuil, va à la salle de bain et fait tremper la culotte, puis se rend à l'office pour trouver une aide-soignante.
- Bonjour, je viens d'aider ma mère à aller aux toilettes, mais il y a eu un petit accident…
- Grave ?
- Non, non, un petit pipi-culotte, si bien que je lui ai retiré et mise à tremper, que vous ne vous posiez pas de question, quand vous passerez.
- C'est gentil monsieur, vous êtes parent ?
- Oui, son fils.
- Ha ! Si tous les fils pouvaient être aussi prévenants, avec leur vieille mère…
- De rien, c'est normal.
Sur ces derniers mots, l'homme tourne les talons, il se sent mal à l'aise et ça doit se voir.
Il repart, quitte la clinique, refait le chemin dans le grand sentier bordé de platanes, s’engouffre dans sa voiture et démarre.
Tout au long de la route, il se remémore tous ces instants, toute cette folie, est-ce totalement déraisonnable ? Est-ce punissable ? Est-ce que ces souvenirs, puissamment érotiques, mais également honteux, vont le poursuivre et l’empêcher de dormir ?
Une fois arrivé chez lui, après avoir embrassé sa femme, il passe une journée très quelconque. Le soir, son épouse va se coucher vers vingt-deux heures et lui en profite, pour aller sur son ordinateur dans son bureau.
Là, il s'enferme à clef, branche son smartphone et transfert les photos de son appareil, dans un répertoire qu'il tente de cacher au mieux. Puis, il éteint et va se coucher.
Plusieurs fois dans la nuit, une force invincible le poussera à aller sur son ordinateur, regarder des photos de ses turpitudes, avec sa mère.
Les joies de la démence sénile
La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.
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