Deuxième club, deuxième nuit : L'épanouissement d'une déesse

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.
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Zelldu30
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Deuxième club, deuxième nuit : L'épanouissement d'une déesse

Message par Zelldu30 »

L'air sentait le santal et les paillettes - cette fragrance sucrée qui annonçait toujours nos nuits d'abandon. Dans la pénombre dorée de l'Airbnb, elle se tenait devant le miroir, cette déesse de 1m80 aux reflets miel et ébène que j'avais la chance d'appeler ma femme.

Sa nuisette bleu océan, achetée dans ce sex-shop où nos rires complices s'étaient mêlés aux conseils de la vendeuse, épousait ses formes avec une insolence qui me coupait le souffle. Le tissu transparent ourlé de dentelle soulignait ses seins généreux que je connaissais si bien, chaque mouvement faisant danser les ombres entre ses courbes parfaites. Plus bas, ce string minimaliste qui disparaissait sous ses hanches en un sourire de soie, soulignant ce petit cul ferme que j'aimais voir rougir sous mes gifles d'excitation.

Elle s'était enduite le corps d'une crème pailletée qui la faisait scintiller comme une divinité - chaque centimètre de sa peau luisante semblait appeler mes lèvres. Ses doigts aux ongles jaune-orange ajustaient les bretelles tandis que ses pieds aux vernis bleu électrique s'enfonçaient dans la moquette.

"Tu crois qu'ils vont beaucoup me regarder ?" murmura-t-elle en relevant ses boucles brunes où se jouaient des reflets violets. Ses petites lunettes, ce délicieux paradoxe de provocation et de pudeur, glissèrent sur son nez. Je savais que dans le noir du club, seuls ses ongles et le bleu phosphorescent de sa lingerie brilleraient - autant de phares guidant les mains étrangères vers ce corps que j'adorais.

Je la regardai se parfumer l'intérieur des cuisses, ce geste rituel qui marquait notre entrée dans la danse libertine. Le flacon cliqueta contre son porte-jarretelles - dernier accessoire d'une armure de séduction que nous avions préparée ensemble pour qu'elle soit appréciée pièce à pièce par des inconnus.

"Prête ?" demandai-je, déjà dur à l'idée de voir d'autres hommes découvrir ce corps que je connaissais par cœur - mais jamais comme cela : offert, frémissant, ouvert à tous les possibles.
Elle pivota, faisant crisser les paillettes sur ses cuisses divines :
"Prête à leur faire oublier toutes les autres, oui."
La nuit s'annonçait chaude, et moi, j'étais prêt à partager ma reine.

En entrant dans le club après notre commande au bar nous allons nous installer toujours à la même place en terrasse afin d'observer les nouvelles possibilités de ce soir.

Après plusieurs verres et l'alcool bien chargé nous décida d'aller faire un tour dans tous les recoins du club.
Nous n’avons pas vu pas grand-chose quelques personnes barboter ici et là dans la piscine mais nous rien de très croustillant. On se dirige donc vers le coin câlin.

En entrant face à nous sur la banquette à côté de l'entrée se tenait deux couples les deux hommes étaient assis sur la banquette pendant que les deux demoiselles étaient occupées à les sucer généreusement.
Elles étaient à genoux le cul bien tendu on pouvait apercevoir l'énorme sexe des deux hommes disparaître dans la bouche de ces deux femmes.
Elles étaient agenouillées, arcs lombaires cambrés dans une offrande parfaite, leurs culs tendus comme des fruits mûrs sous la lumière ambrée. Nos regards se perdirent un instant dans ce ballet obscène : les sexes gonflés des deux mâles disparaissant par saccades entre les lèvres gourmandes des femmes, leurs mains agrippant les crânes avec une autorité qui fit frémir madame.

Nous nous éclipsâmes vers l’alcôve voisine, refuge ombragé où une fenêtre basse encadrait le spectacle tel un tableau vivant. Le matelas gémit quand elle s’y allongea, sa robe remontée sur ses hanches, son parfum mêlé maintenant à l’odeur musquée du lieu. Ma langue traça des cercles lents sur son sexe déjà humide, chaque lapement synchronisé avec les mouvements que nous observions à travers le vitrage – comme si nos corps communiaient à distance avec cette scène.

"Allons là-bas..." souffla-t-elle en désignant la banquette face aux couples, ses yeux brillant d’une détermination nouvelle.
Je m’installai, cuisses écartées, tandis qu’elle glissait entre mes jambes avec la grâce d’une pénitente. Le premier contact de sa langue sur le gland me fit arquer les reins – elle avait ce don de transformer chaque baiser en promesse, chaque pression en menace délicieuse.

Sa bouche s’abattit sur moi avec une expertise calculée, alternant succions profondes et rotations de langue qui firent trembler mes cuisses. À travers ses lunettes embuées, je voyais ses yeux noisette me fixer tandis que ses mains enserraient mes fesses pour mieux contrôler l’angle de ses descentes. Parfois, elle s’arrêtait pour laisser sa salive couler le long de ma verge en minces filets argentés, spectacle qui la fit sourire contre ma peau.

De l’autre côté de la pièce, les gémissements étouffés des femmes répondaient aux nôtres, créant une polyphonie du plaisir où chaque halètement, chaque claquement de lèvres mouillées semblait chorégraphié. Madame accéléra, une main glissée entre ses propres cuisses, son rythme devenant saccadé, égoïste, jusqu’à ce que mes doigts s’enfoncent dans ses boucles pour la guider vers ma jouissance – qu’elle accepta avec un gargouillis satisfait, ne perdant pas une goutte de mon offrande.

Quand elle releva enfin son visage, ses lèvres bleutées luisaient de notre mélange.
Nos positions s’inversèrent dans un chuchotement de peau contre peau. À mon tour de m’agenouiller devant elle, tandis que ses doigts se perdaient dans mes cheveux avec une douce autorité. La lumière tamisée enveloppait son sexe offert, luisant comme un fruit mûr sous la lune. Ma langue traça d’abord un cercle lent autour de ses lèvres frémissantes, savourant ce goût unique – mélange de son désir et du souvenir de ma propre jouissance encore sur ses doigts.

Ses hanches se soulevèrent en une danse instinctive, cherchant davantage de pression, tandis que ses yeux, derrière ces petites lunettes restaient fixés sur la scène érotique se déroulant devant nous. Les deux couples semblaient maintenant absorbés dans leur propre rythme, les femmes gémissant à chaque poussée des hommes, leurs corps se mouvant dans une synchronisation parfaite.

Je plongeai plus profondément, alternant les coups de langue rapides et les succions douces sur son clitoris, chaque mouvement calculé pour prolonger son plaisir. Ses mains se resserrèrent dans mes cheveux, ses ongles jaune-orange creusant légèrement dans mon cuir chevelu. "Oh oui… comme ça…" murmura-t-elle, sa voix rauque et basse, presque perdue dans le concert des soupirs et des mots murmurés qui emplissaient la pièce.
Elle profitait pleinement du spectacle, ses yeux passant des corps entrelacés à ma bouche occupée entre ses cuisses, comme si chaque vision alimentait son excitation. Mais bientôt, un changement subtil dans l’atmosphère nous alerta – les regards des autres couples se firent plus insistants, leurs mouvements plus privés, comme s’ils attendaient que nous nous éclipsions pour passer à l’étape suivante.

Nous échangeâmes un regard complice, un sourire entendu. Sans un mot, je déposai un dernier baiser sur son sexe palpitant avant de l’aider à se relever. Nous nous retirâmes discrètement, laissant derrière nous la porte entrouverte, un dernier coup d’œil nous révélant les couples déjà perdus dans une étreinte plus intime.

Dehors, dans le couloir faiblement éclairé, elle se pressa contre moi, son souffle chaud contre mon cou. "Ils avaient l’air de vouloir passer aux choses sérieuses," gloussa-t-elle, ses doigts traçant des cercles sur mon torse. "Mais nous aussi, non ?"
Sa main descendit, trouvant ma chair à nouveau tendue, prête pour la suite de cette nuit qui ne faisait que commencer. Le club bruissait encore de rires étouffés et de gémissements lointains, et nous, nous n’avions pas fini d’explorer tout ce qu’il avait à offrir.

La chaleur de nos ébats nous avait assoiffés. Nous nous réfugiâmes au bar, glaçons tintants dans nos verres, observant la piste où les corps s’entrelaçaient sans nous inviter. Le désir impatient de madame se lisait dans la façon dont ses doigts tambourinaient contre son cocktail – cette impatience qui nous ramena vers le coin câlin, dans la pièce close où la clé tourna avec un clic prometteur.

Quelques caresses expertes suffirent à la faire fondre. Mes doigts tracèrent le chemin que ma langue parcourut ensuite, la réduisant à un soupir tremblant contre le matelas. Quand je la pris en levrette, son dos arqué épousait chaque poussée, ses ongles bleus s’accrochant au tissu. "Plus fort", haleta-t-elle, avant de mordre son propre poing et de murmurer cette phrase qui électrifia l’air : "J’en ai marre… Invite un copain. Tu connais mes goûts."

Je bondis, chasseur en mission. Près de la sortie, mon regard se posa sur un jeune à la barbe soignée – trentaine discrète, allure propre, cette retenue des hommes de l’Est qui cache souvent des feux souterrains. Un signe de tête, un silence complice, et le voilà qui me suivait, son regard noir luisant entre les paupières mi-closes.

Dans l’antre verrouillé, j’allongeai madame sur le dos, écartant ses cuisses comme on ouvre un grimoire sacré. Ma langue travailla son clitoris tandis que l’étranger se dévêtait. Le claquement sec de la serviette tombant révélait une anatomie surprenante : membre trapu, presque carré, une largeur qui fit sourciller ma déesse.

Elle commença par l’explorer du bout des doigts, fascinée par cette circonférence inhabituelle. Puis, avec ce sourire de gourmande que je connais si bien, elle l’attira vers sa bouche. Le spectacle était hypnotique : ses lèvres peinant à encercler cette chair épaisse, sa langue s’acharnant sur le frein tandis que ses mains massaient les testicules. Elle suçait avec une voracité qui me fit durcir à nouveau, alternant profondes descentes et rotations de langue sur le gland – technique qu’elle réservait d’ordinaire aux plus chanceux.

L’homme grogna, ses doigts se crispant dans ses boucles. "Attends… Je vais…", bredouilla-t-il dans un français teinté d’accent. Trop tard. Ma femme le retint par les hanches, insistant pour continuer jusqu’à ce qu’un hoquet la fasse reculer – juste à temps pour voir les premières pulsations blanches éclabousser son sternum pailleté.

Elle cligna des yeux, surprise par son propre pouvoir. Dans le miroir au-dessus de nous, nos trois visages flamboyaient – et quelque part, derrière la porte, le club entier semblait battre au rythme de nos coeurs affolés.

Après un bref nettoyage, elle se remit à l'ouvrage avec une ardeur renouvelée, engloutissant son membre large jusqu'à la racine. Je voyais sa gorge se contracter à chaque descente profonde, ses yeux s'embuer de plaisir mêlé à un léger défi. Parfois, un haut-le-cœur fugitif trahissait l'intensité de son effort, mais elle persistait, ses mains agrippant fermement les cuisses de notre partenaire.

Je ne pus résister à l'envie d'optimiser ce tableau vivant. Guidant ma femme vers l'angle du lit, je l'installai dans une position où elle pourrait nous servir alternativement, bouche et sexe offerts. La scène qui s'ensuivit dépassa toutes mes
Ses yeux noisette, mi-clos sous ses boucles en désordre, brillaient d’une détermination sensuelle. Un simple geste de ses doigts pailletés nous invita à approcher.

Je me plaçai à sa droite, notre complice à sa gauche. Sa main gauche enroula ma base d’un grip ferme tandis que sa droite explorait déjà la large circonférence de l’autre sexe. Elle commença par moi – une descente lente, savourant chaque centimètre, sa langue dessinant des spirales sous le gland avant de remonter avec un « pop » satisfaisant. Puis, pivotant légèrement la tête, elle accueillit l’autre membre entre ses lèvres brillantes, forçant un gémissement rauque chez notre partenaire quand ses dents effleurèrent délicatement la peau tendue.
Le rythme s’établit comme une valse obscène :
Trois coups de langue sur ma longueur, terminés par une succion des testicules qui me fit grogner
Un engloutissement profond de l’épaisse verge, ses narines frôlant les poils pubiens tandis que ses doigts pétrissaient mes fesses
Retour à moi pour une gorge profonde, ses yeux levés vers les miens dans un défi silencieux.

Cette scène dont j'avais rêvé tellement longtemps été enfin bien réel devant moi.

La salive coulait en filets argentés, reliant nos chairs comme des guirlandes de désir. Parfois, elle nous unissait d’un geste audacieux – frottant nos glands l’un contre l’autre sur sa langue tendue.

L’alternance devint plus rapide, plus désordonnée. Sa main libre se glissa entre ses propres cuisses, ses doigts disparaissant dans son sexe gonflé au rythme de nos gémissements. Le lit grinçait sous nos mouvements, ajoutant sa complainte métallique à la symphonie des claquements de lèvres et des respirations saccadées.

Quand elle sentit notre tension monter, elle nous immobilisa d’une pression de paume sur nos ventres – prolongeant l’agonie délicieuse. "Pas encore", semblaient dire ses yeux rieurs avant qu’elle ne reprenne sa danse, nous maintenant au bord du précipice avec l’expertise cruelle de celles qui connaissent leur pouvoir.

Dans le miroir mural, je voyais se refléter l’arc de son dos, la lueur des paillettes sur ses seins libérés de la nuisette.
L'air était lourd des odeurs mêlées de sexe et de sueur quand je tendis délicatement le préservatif à notre nouvel ami. Nos regards se croisèrent un instant - une silencieuse passation de pouvoir entre hommes. Il hocha légèrement la tête, comprenant sans mots ce que j'attendais de lui : qu'il comble ma femme comme je ne pouvais plus le faire seul.

Madame était déjà positionnée à quatre pattes sur le lit, son dos cambré magnifiquement, ses mains agrippant les draps froissés. La lueur des bougies faisait luire la crème pailletée sur ses courbes, transformant son corps en une œuvre d'art vivante. Je vis ses épaules se contracter quand l'étranger s'approcha, sa silhouette se découpant derrière elle.

Le premier contact fut lent, presque cérémonieux. Ses mains massèrent les hanches de madame avant de la pénétrer avec une fermeté calculée. J'observai, fasciné, comment son ventre se soulevait à chaque poussée, comment ses lèvres entrouvertes laissaient échapper des halètements rauques.


Ça y est je pouvais enfin voir que ma femme prenait du plaisir avec un autre. Lors de la première rencontre c'était la première fois certes mais ma femme n'avait quasiment rien senti et c'était resté vraiment très bof. Là ce n'était pas la même chose.
Chaque mouvement provoquait chez elle une réaction authentique. Son visage, habituellement si maîtrisé, se déformait sous l'assaut du plaisir - sourcils froncés, bouche tordue, traits libérés de toute retenue. Quand il la retourna pour la prendre en missionnaire, je vis ses doigts s'enfoncer dans son dos, laissant des marques roses sur sa peau dorée.

Pourtant, malgré toute son ardeur, notre compagnon commençait à faiblir. Madame, experte, se mit à le stimuler de la bouche avec une dévotion touchante, mais son corps refusait de répondre.
Elle me murmura alors
"Un seul homme ne peut pas m’assouvir... Trouve-moi un deuxième étalon, je veux qu’on me prenne à tour de rôle jusqu’à ce que je ne tienne plus debout.
Je refermai doucement la porte derrière moi, laissant ma déesse aux mains – ou plutôt à la bouche – de notre premier partenaire, son membre imposant disparaissant entre ses lèvres gourmandes. L’air frais du couloir me fit reprendre mon souffle, mais je n’eus pas le temps de réfléchir qu’un homme s’approcha, un sourire entendu aux lèvres.

"Mon ami est avec vous, je crois ?" me dit-il d’une voix rauque. "Si l’envie vous prend, je peux me joindre à la fête..."
Je le détaillai rapidement : la quarantaine affirmée, un regard dominateur, une carrure solide. Rien de spectaculaire, mais une assurance qui en disait long. "Suivez-moi", lui lançai-je en rouvrant la porte.

À l’intérieur, le spectacle était plus enivrant que jamais. Ma femme, toujours allongée sur le dos, les cuisses grandes ouvertes, recevait notre premier partenaire en missionnaire. Sa poitrine se soulevait à chaque poussée, ses seins magnifiques tremblant sous l’impact.

Le nouvel arrivant n’eut pas besoin d’instructions. Il enroula un préservatif autour de son sexe déjà dur – l’excitation de voir son collègue plonger dans ma femme l’avait visiblement préparé. Sans ménagement, il écarta les lèvres de madame et s’enfonça d’un coup sec, déclenchant chez elle un gémissement rauque.

Je m’agenouillai près de sa tête, guidant son regard vers moi tandis qu’elle accueillait le premier homme dans sa bouche. Ses yeux brillants, légèrement larmoyants, me fixaient avec une intensité brûlante. Elle suçait avec ardeur, alternant coups de langue et descentes profondes, sa gorge se contractant autour de la chair offerte.

Pourtant, malgré leurs efforts, je sentais que quelque chose manquait. Les deux hommes, bien que volontaires, n’avaient pas cette énergie sauvage, cette endurance que madame recherchait. Leurs érections fluctuantes trahissaient leur excitation nerveuse, et je voyais dans le regard de ma femme cette lueur de frustration – elle avait besoin de plus.

Plus de taille. Plus de force. Plus de passion.

Je caressai sa joue en essuyant une traînée de salive. "Pas encore satisfaite, ma déesse ?" murmurai-je, sachant très bien la réponse. Son sourire en coin, ses pupilles dilatées, ses hanches qui continuaient de rouler malgré tout... Elle méritait mieux. Elle méritait d’être ravagée.
Et j’allais lui offrir ça.

Un souvenir me traversa l’esprit – ce jeune homme croisé plus tôt à l’entrée, ce Black athlétique au regard charmeur, dont la simple silhouette avait fait chuchoter ma femme : "Tu crois qu’il est bien monté ?" À présent, je lisais dans ses yeux haletants qu’elle le voulait, vraiment, et sans attendre.
Je quittai une nouvelle fois la pièce, laissant ma déesse se faire prendre avec ferveur par nos deux partenaires. Le couloir me parut interminable, jusqu’à ce que mon regard tombe sur lui, adossé au bar, ses muscles saillants soulignés par la faible lumière. Un simple signe de tête suffit – il me suivit sans un mot, son silence chargé d’une intensité palpable.

De retour dans la chambre, son hésitation initiale se dissipa en un instant. D’un geste sûr, il laissa tomber sa serviette, révélant une vérité qui me coupa le souffle : la rumeur n’avait pas menti. Son sexe, long et élancé, devait bien mesurer une vingtaine de centimètres – pas la massivité écrasante de notre premier partenaire, mais une longueur impressionnante, parfaitement proportionnée à son corps de dieu grec.

Je vis les yeux de ma femme s’écarquiller, sa bouche entrouverte par un "Oh..." muet d’excitation. Le jeune homme, malgré sa timidité apparente, ne perdit pas de temps – ses mains se posèrent sur ses hanches avec une assurance naturelle, comme s’il savait déjà exactement comment la faire crier.
"Alors, ma déesse..." murmurai-je en caressant ses cheveux, "...on essaie la légende ?"

Sans hésiter, je lui tendis une capote, anticipant déjà la puissance avec laquelle il allait prendre ma déesse. Mais l’étalon noir eut d’autres plans : "D’abord, qu’elle me suce." Sa voix, grave et autoritaire, ne laissait place à aucune négociation.

Je m’agenouillai près d’eux, hypnotisé par le spectacle obscène qui se déroulait sous mes yeux. La longue verge sombre, luisante de salive, disparaissait et réapparaissait entre les lèvres gourmandes de ma femme. Chaque descente profonde faisait briller ses yeux de larmes réflexes, tandis que ses doigts aux ongles orange – comme des flammes autour de ce membre noir – se refermaient autour de la base pour guider les mouvements.

"Plus profond," murmurai-je en caressant sa joue. Elle obéit avec une soumission excitante, sa gorge se contractant autour de cette chair brûlante, préparant notre étalon pour ce qui l’attendait.

Quand il fut assez dur, elle se positionna à quatre pattes, son dos cambré à en couper le souffle. Notre premier complice, toujours présent, vint se placer devant elle, glissant son sexe dans sa bouche avide. Mais le spectacle, c’était derrière : le black s’empara de ses hanches et l’enfourcha d’une poussée puissante, la faisant crier autour de la bite qu’elle suçait.

Il ne fit pas dans la dentelle. Chaque coup de reins était une revendication, une marque de domination. Ma femme tremblait sous l’assaut, ses gémissements étouffés par la verge dans sa bouche, ses doigts s’accrochant désespérément aux draps. À certains moments, je voyais son ventre se contracter quand il touchait le fond – ces instants où son plaisir se teintait d’une douleur exquise.

"Elle est à toi," grognai-je au black, "défonce-la comme elle le mérite."

Il ne se fit pas prier. La sueur ruisselait sur son torse sculpté tandis qu’il la pilonnait avec une force quasi animale. Ses jambes à elle commençaient à trembler, son souffle devenait saccadé – elle était à la limite, et je savais qu’elle adorait ça.

La pause s’imposa d’elle-même quand un de nos complices, plus attentif, partit nous quérir des bouteilles d’eau fraîche. Le black se retira avec un dernier coup de reins appuyé, laissant ma femme haletante, le visage enfoui dans le matelas, son corps marqué par nos jeux.
"On reprend ?" demandai-je en lui passant une main dans le dos.

Son sourire épuisé mais ravi en disait long. La nuit était encore jeune.
Nous nous déplaçâmes vers une nouvelle salle, plus ouverte, plus dangereuse. Une salle de projection où un film porno murmurait sur les murs, éclairant de lueurs bleutées l’immense banquette en U. L’endroit était accessible à tous – une exhibition consentie, un spectacle offert à quiconque oserait franchir la porte.

Rafraîchie, ma déesse prit place au centre de l’arène, agenouillée sur le matelas comme une prêtresse devant son autel. Les trois hommes s’installèrent autour d’elle en un cercle de chair tendue, le black imposant au centre, les deux autres flanquant ses côtés.
Elle commença par lui, bien sûr.

Ses lèvres s’enroulèrent autour de la longue verge noire avec une dévotion obscène, tandis que ses mains expertes se mirent à œuvrer sur les deux autres sexes. Je restai en retrait, buvant chaque détail :
La façon dont ses doigts orange enlaçaient les bites pâles, contrastant avec la peau sombre qu’elle suçait goulûment
Les grognements du black, ses mains agrippant ses boucles à chaque descente profonde

Le film projeté devenait superflu – la vraie action se jouait ici, sur ce matelas. Ma femme, transformée en symbole vivant de luxure, alternait entre :

Des gorges profondes qui faisaient frémir l’étalon noir
Des mouvements de poignet précis sur les autres membres, faisant perler le liquide pré-seminal
Des regards vers moi, ses yeux brillants de fierté canaille
"Elle est magnifique," chuchota un spectateur.

La scène était vraiment torride j'avais une image mentale pour me branler pendant de nombreuses sessions.

Ma femme était là à genoux à sucer un énorme black avec deux autres queues dans la main. Elle était délicieuse je ne l'ai jamais autant aimé qu'à ce moment-là.

Pendant qu’elle s’abîmait dans la fellation du black, avalant chaque centimètre de sa longue verge avec une ferveur obscène, notre premier complice – celui à la chair si large – enroula une capote autour de son membre déjà luisant de désir. Sans un mot, il se positionna derrière elle, ses mains puissantes agrippant ses hanches pour l’arquer davantage.
Le spectacle était à couper le souffle.

Je voyais son ventre se contracter sous la double pénétration, ses doigts s’accrochant désespérément aux cuisses du black. Ses gémissements, à peine audibles autour de la chair qui lui remplissait la bouche, trahissaient un plaisir brut, presque douloureux dans son intensité.
Le complice derrière elle accéléra, ses coups de reins devenant saccadés. "Je vais... je vais...", grogna-t-il avant de se figer, son corps tremblant tandis qu’il déchargeait au plus profond d’elle.


Ma femme, les yeux larmoyants mais brillants de triomphe, continua de sucer le black avec une énergie renouvelée – comme si chaque goutte de sperme perdue dans ce préservatif était une insulte qu’elle devait compenser par son talent.
Ce fut au tour du black d’enfoncer une capote d’un geste vif, ses yeux noir brillant d’une intention sans équivoque. Il l’attrapa brutalement par les hanches, la plaquant à même le sol comme une putain de bas étage, son corps magnifique écrasé contre le matelas moite.

"T’es à moi maintenant", gronda-t-il en lui écartant les cuisses d’une main ferme, avant de s’enfoncer d’un coup sec, sans préambule.
Et là, ce fut du brutal.

Ses coups de bassin claquaient comme des déflagrations, la chair contre la chair, chaque impact faisant trembler le matelas. Ma femme hurlait – des sons rauques, entrecoupés, à chaque fois qu’il lui défonçait le fond du ventre. Ses ongles orange griffaient le sol, ses jambes tremblaient, mais il la maintenant fermement en place, impitoyable.

Je voyais son ventre se soulever à chaque assaut, son visage tordu entre la douleur et l’extase, ses lèvres gonflées par les morsures qu’elle s’infligeait pour ne pas crier trop fort.

"Regarde-moi !" je lui ordonnai, et quand ses yeux noyés se tournèrent vers moi, je vis la soumission et la jouissance s’y mêler. "T’aimes ça, hein ? T’aimes te faire démolir ?"

Elle ne répondit pas, trop occupée à gémir, mais son corps disait tout – ses hanches qui tentaient de suivre le rythme, ses seins qui roulaient sous les secousses, son sexe ruisselant qui se contractait à chaque coup.

Puis, soudain, ses jambes se mirent à trembler de façon incontrôlable, son souffle devint saccadé – elle était au bord, mais le black ne ralentit pas. Au contraire, il redoubla, la maintenant au bord de la jouissance, prolongeant son supplice délicieux.

"Vas-y, fais-toi jouir !" je la provoquai, et ce fut comme si mes mots déclenchaient la déflagration.

Elle explosa en un cri étouffé, son corps secoué de spasmes, ses muscles se contractant autour de la bite qui continuait à la labourer sans pitié.
C’est alors que la porte s’ouvrit.

"Dans 10 minutes, fermeture !" lança la responsable d’un ton détaché, avant de refermer la porte, indifférente au spectacle obscène devant elle.
Alors que l'établissement s'apprêtait à fermer, les deux autres complices nous quittèrent, laissant le black allongé sur le canapé, son corps athlétique baignant dans une lueur tamisée.
Ma femme, toujours aussi dévouée, s'approcha de lui avec une grâce sensuelle et empoigna délicatement sa queue encore ferme, l'attirant vers sa bouche pour une ultime caresse.

Je murmurai à son oreille : "Fais-lui plaisir, chérie. Aide-le à trouver l'apaisement après cette belle performance." Elle hocha la tête, ses yeux brillants de détermination, avant de se mettre à l'ouvrage avec une ardeur renouvelée. Ses lèvres se refermèrent autour de lui, alternant mouvements langoureux et gorges profondes qui firent frémir son partenaire.

Le black, visiblement ému par tant d'attention, posa une main sur sa tête, caressant doucement ses cheveux tout en contemplant ce spectacle envoûtant. "C'est magnifique..." murmura-t-il, avant d'ajouter avec un sourire désolé : "Mais je ne pourrai pas finir ainsi, pas cette fois."

À cet instant, j'eus envie de me joindre à elle, de goûter moi aussi cette virilité généreuse, mais le temps nous était compté.

Ma femme, compréhensive, abandonna sa tâche avec élégance, tout en lui glissant avec un sourire coquin : "Si tu reviens, promis, tu auras droit à la totale."

Nous quittâmes l'établissement, enlacés, le cœur léger et l'esprit empli de souvenirs exaltants. Une nouvelle étape venait d'être franchie dans notre aventure, plus belle et plus unie que jamais.


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Si le récit si vous a plu malheureusement les aventures réellement vécues s'arrêtent là….
En revanche je pourrais vous compter les histoires qui se logent au fond de ma tête que j'aimerais faire vivre à ma femme.
compains
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Re: Deuxième club, deuxième nuit : L'épanouissement d'une déesse

Message par compains »

superbe recit !
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