par stef2606 » Ven 19 Aoû 2016 16:32
Assez vite, Guillaume posa une main sur la cuisse de Sylvie et lui dit d’un ton bref : « retourne toi, je vais te prendre par derrière maintenant » puis « Stéphane, aide là à se mettre sur le bord du lit ».
C’est très troublant ce changement de ton, plus directif, en plus, il se mit à parler, limite à ordonner, à commenter.
Ma femme à genoux sur le bord du lit, ne voyant rien, entend ceci « vas y, mets toi à 4 pates, je vais te prendre en levrette », puis commença alors un petit dialogue entre nous 3 :
Lui : « tu aimes être prise en levrette ma chère Sylvie ? »
Elle : « oui, ça va »
Lui : « ça va, ça signifie quoi ? »
Elle : « si, si, j’aime bien, ça change »
Lui : « en tout cas, je n’avais pas encore trop vu et encore moins exploité, mais tu as un super joli cul », ceci en lui caressant les fesses, jusque descendre jusque sa fente et la doigter.
Lui : « ça ne te dérange pas Stéphane, que je la prenne dans cette position ? »
Moi : « du tout, va y, j’aime beaucoup aussi »
Lui : « Tu ne l’as pas encore sucé ton homme…. va y, passe devant, elle va te sucer, tu vas voir Sylvie être baisée par la chatte et par la bouche, c’est excellent parait-il »
Je vois qu’il profite bien désormais de ses fesses, ils les tripotent, les malaxent, les écartent, puis y présente sa bite au niveau de ses lèvres et la pénètre en douceur cette fois. Il a les mains de chaque côtés de son bassin, et commence à la faire aller venir tout en lui enfonçant sa bite.
Sur sa demande je suis passé devant, à genoux sur le lit, ma bite au niveau du visage de ma femme, qui ne tarde pas à me lécher, sucer, je commence les va et vient dans sa bouche.
Rapidement, j’entends les couilles de Guillaume claquer sur le fesses de Sylvie, car il a très vite remis beaucoup d’énergie à la baiser, les secousses sont fortes, elle a beaucoup de mal à garder mon sexe en bouche, même si de mon côté je l’aide en lui tenant le visage.
Lui : « putain, t’es vraiment bonne, toi la petite sainte ni touche, qui fait sa petite timide »
Il lui écarte bien les fesses pour être au plus profond possible, avec à coup sûr une vue imprenable sur son petit trou, qu’il s’abstient de toucher, ceci étant convenu dès le départ, elle n’a jamais voulu et j’ai toujours respecté.
Je sens leurs souffles haletant, il a la forme son bel étalon, ma femme repartie dans ces petits gémissements, que je n’entendais pas souvent jusqu’à aujourd’hui.
Il se retire et lui dit : « à présent, tu vas venir sur moi », « je veux te voir danser sur mon sexe », « aller lève toi ! » elle est debout juste à côté du lit.
Elle : « je suis crevé ! »
Lui : « ton cul, lui il va bien encore » en plaquant sa main sur sa chatte, certainement dégoulinante.
Il s’installe sur le dos, puis guide ma femme, afin qu’elle l’enjambe et vienne s’empaler sur son membre dressé comme un « i » et toujours bien gonflé.
Elle est à califourchon, le sexe bien ouvert, il lui enfonce son engin et de suite lui donne un coup de reins.
Lui : « va y remue, à toi de travailler un peu, dandine toi, va y danse »
Pas super à l’aise, et bien fatiguée, elle bouge, descend, remonte sans cesse sur la bite de son amant, tout en donnant des rotations à son bassin pour accentuer les sensations.
Lui : « regarde comme elle est belle ta femme ». Je n’étais plus acteur mais spectateur.
De son côté, il alternait entre les palpations de ses fesses et de ses seins, dont il n’avait pas encore pu profiter. Il pinçait les bouts qui pointaient, les malaxaient, les serraient.
Après quelques minutes de baise intendance, il remonta les mains dans le dos de Sylvie et appuya, afin qu’elle se couche complétement sur lui, ses seins contre son torse, son visage près du sien.
Lui : « tiens, tiens, prends ça ! c’est bon ! elle est bonne ma bite !? » Il maintenait ses fesses et lui donnait de gros coup de reins, elle dégustait.
Elle : « oui c’est bon va y ! humm ! fais moi jouir »
Et là, je ne m’y attendais pas, car cela ne lui était pas autorisé en principe, il prit sa bouche.
Leur langue se mélangeait, ils s’embrassaient à pleine bouche, ma femme gémissant de plaisir.
Son 3ème orgasme de la soirée était là. Lui continuait à la pilonner et très vite, je l’ai entendu gémir, et lâcher son sperme dans les fesses de ma femme protéger par la capote.
Assez vite, elle l’enjamba pour se retirer et s’affala sur notre lit conjugal. Moi, toujours en érection, je me suis hissé entre ses cuisses, pour la pénétrer, chose que je n’ai pas eu de mal à faire, tant elle avait été dilatée par un beau calibre. Quelques petits coups de reins et je giclait en elle.
Guillaume, après un bref passage par la sdb privative, était déjà quasiment rhabillé, il nous a juste dit que c’était top et qu’il espérait que nous avions apprécié. Il descendit les escaliers, pris ses clefs et claqué la porte derrière lui. C’est derniers mots fut « on s’appelle ».
Sylvie était hs, il était plus de 2h du matin, soit pas loin de 3h non stop à baiser, une douche vite fait et dodo.