par stef2606 » Mer 14 Sep 2016 18:32
Voici le début de mon récit, j'espère que vous aurez l'impression d'y être...
Journée de travail terminée, je regagne en ce mardi 13/09 mon domicile. Il est passé 19h et il fait encore bien chaud. Je n’ai pas eu du tout de nouvelles de mon complice de la journée. J’ai échangé un petit sms avec ma femme en début d’aprem, faisant aucune allusion à notre soirée qui s’annonce.
En arrivant, elle est dans sa cuisine, prépare le repas, du classique quoi, je m’approche d’elle, un petit bisou comme à notre habitude, puis discussion sur notre journée de travail. Ni elle, ni moi, n’abordons ce qui pourtant nous trottine dans la tête depuis hier soir.
Le repas se passe, on débarrasse, puis on s’installe dans le canapé devant le journal télévisé. 20h30, je la vois se lever, et me disant « je vais me doucher ». Je lui réponds « ok », « je vais te préparer tes vêtements ». Je la suis dans la montée d’escalier, nous avons l’un et l’autre bien assimilé les consignes.
J’entends la douche couler, je prépare son ensemble ainsi que ses dessous orange, que je lui amène dans la sdb. Au passage, je constate qu’elle s’est rasée très récemment, car même si je n’ai pas l’occasion de toucher, je vois bien que son sexe est totalement lisse et démuni de poils.
Je redescends au rez de chaussé et attend patiemment qu’elle me rejoigne. 20 mn plus tard, elle apparait, les cheveux séchés, dégageant une bonne odeur de parfum, un peu de ricil autour des yeux, avec les vêtements que je lui ai choisis. Elle a dans les mains ses petits jouets qu’elle dépose comme demandé à côté de la tv du salon. Il y un œuf vibrant télécommandé, un sex toys noir vibrant, un cache pour les yeux (celui qu’elle avait lors du 1er rdv), et des petites menottes avec de la moumoute rose. Visiblement, elle n’a rien oublié.
L’atmosphère est particulier ce soir, on ne communique quasiment pas, chacun étant concentré sur la préparation de la soirée, je regarde le psg à la télé, dans l’attente de l’arrivée de deux loustics. Il est 21h00 !
Avec un petit 10 mn de retard, nous voyons les phares d’une voiture qui se gare devant la maison, on croit distinguer la 207 de Guillaume, des portières claquent, ils sont là.
L’un et l’autre nous nous levons, nous sommes anxieux cela se voit, je n’attends pas qu’ils sonnent à la porte, je vais à leur rencontre, Sylvie restant dans la salle à manger faisant les 100 pas. Je salue Guillaume qui a un large sourire, jeans, chemisette blanche, petite sacoche en bandoulière, puis Jerome, un grand brun, svelte et assez sec, jeune mais ça je le savais, 25/28 ans je dirais. Vêtu d’un jeans également et d’un tee shirt. Il est à l’aise et ne semble pas intimidé du tout.
Je les fais passer par le couloir, puis ouvre la porte donnant sur notre séjour, ils entrent et découvrent ma femme debout à nous attendre. Guillaume s’empresse de lui faire la bise chaleureusement et dit de suite « je te présente Jerome, un collègue de travail, mais pas que ! »
Celui-ci, en souriant de ce qui venait d’être dit, et pas intimidé par la situation lui fait à son tour la bise. Guillaume de suite « tu vois, je ne t’avais pas menti, c’est une très belle femme ». « en effet » dit-il.
Nous restons là un petit moment, debout dans le séjour, à discuter de tout et de rien, du super temps que nous avons actuellement, de notre belle maison, tout ceci permettant de détendre l’atmosphère. Je constate néanmoins que nos 2 invités déshabillent déjà du regard ma femme, mais uniquement du regard pour l’instant. Profitant d’un petit blanc dans la conversation, je propose que nous nous installions au salon. Aussitôt dit que nous nous y rendons.
Guillaume et Jérôme s’installent sur la banquette 3 places, rappelant immédiatement Sylvie qui comptait visiblement s’installer sur le 2 places, lui indiquant que sa place était entre eux 2.
Ma femme s’assis donc sur le bord du canapé, un peu timide, sa jupe remontant à mi-cuisses, bien entourées. La lumière du séjour étant allumée, ainsi que celle d’ambiance à côté de la télé dans le salon, je baisse les volets roulants électriques afin de ne pas être vus du voisinage. J’entends que ça discute dans le salon. Ensuite, en bon maitre de maison, je propose une boisson, et prend la commande, eau plate pour Guillaume, perrier menthe pour ma femme et coca pour le petit jeune, de l’eau également pour moi. Je tâche de préparer tout ça rapidement afin de ne rien rater, et m’aperçois en apportant au fur et à mesure les verres, qu’ils ont quelque peu lancés leurs approches, car des mains se promènent sur son dos, ses épaules, tandis que Jérôme a sa main sur le genou droit de ma femme.
Leurs mains vont et viennent par-dessus son haut, ainsi que le long de sa cuisse. Revenant avec les 2 derniers verres, Sylvie a été basculée un peu en arrière, les cuisses un peu entrouvertes et caressées par Jérôme qui n’hésite déjà pas à s’immiscer dans son entrejambe en faisant remonter légèrement sa jupe. Guillaume, sa main gauche sur la poitrine de ma femme, l’embrasse dans le cou, derrière l’oreille, puis sa joue, pour atteindre le coin de ses lèvres et enfin sa bouche.
Je m’installe à mon tour dans le salon, la banquette 2 places m’étant réservée, et je peux voir qu’il n’aura pas fallu longtemps pour qu’elle laisse sa bouche à son amant, car je vois bien que leurs langues tournicotent. La soirée est belle et bien lancée.