Oh cette mèche un peu rousse qui apparait, cette peau laiteuse de sortie de l'hiver, cette blouse qui ne demande qu'à s'ouvrir, ses cuisses si parfaites que tu montres nues sans bas ... arg, je m'imagine....
Je m'imagine arrivant par derrière toi, ma main effleure ton bras depuis l'épaule, jusqu'à la main, et puis comme pour mieux en profiter, rebrousse chemin et repart vers ton épaule mais en profitant bien de ta peau nue et douce.
J'écarte un peu ces cheveux dont la couleur enflamme mes sentiments pour mieux dégager ton cou à la peau si blanche. Si j'habitais les Carpates, je crois que je te ferais mienne de suite pour toutes les nuits en buvant de ton sang
Tu remontes les genoux, et je ne peux m'empêcher d'y déposer mes baisers brûlants pendant que mes mains partent à l'exploration de cette peau si douce que tu as à l'intérieur des cuisses. Mes mains dépassent la frontière de la blouse, entrant dans la 4ème dimension et s'aventurant jusqu'à la source de tous les plaisirs.
Que diable fait là cette culotte !
Otez là prestement madame, et sans mot dire, tes fesses se soulèvent pour laisser mes mains te retirer ce bout de tissus en trop qui étouffe ton paradis.
Découverte, ta source se met de suite à suinter pour laisser s’épancher un peu ta fontaine de jouissance que mes mains tentent de ranimer. C'est maintenant le merveilleux plateau plat de ton ventre qu'elles explorent avant d'atteindre l’Himalaya des désirs entre tes monts qu'un soutien gorge devenu inutile libère sous la pression de mes doigts.
Mes mains gravissent leur pente à la peau de soie si douce et viennent agacer le sommet qui se fait de plus en plus tendu, comme pour chercher la hauteur absolue pour un plus grand désir.
Haletante avec le désir au bord de toutes tes lèvres, je te laisse ainsi sur ce chemin, car ton mari ne m'a pas permis d'aller plus loin ...